Douce érotique - histoire érotique

J’ai adoré faire l’amour avec cette femme. La première fois que je l’ai vu elle ne semblait pas facile à aborder. Mais c‘était un peu ça qui m’excitait. Dans une soirée, avec des amis, je la découvrais de dos, l’ouverture de sa robe descendait presque jusqu’à la naissance de ses fesses, les cheveux relevés dans un chignon en tourbillon laissait apparaître une fine nuque qui appelait aux baisés. J’imaginais déjà mon corps contre le sien, juste derrière, entrain de l’embrasser dans le cou, elle tenant sa tête en avant pour mieux le découvrir poussant de petits soupirs de plaisirs, un léger duvet se dressant sous l’excitation, ma main sur son ventre, la sienne sur la mienne me pressant plus vers elle.

Je m’approchais d’elle par derrière et me mis à son niveau un peu en retrait. Elle avait le regard dans le vide, une coupe de champagne à la main, tournant son doigt nonchalamment sur le rebord. A quoi pouvait-elle penser à cet instant ? Elle ne semblait pas avoir fait attention à ma présence auprès d’elle et je dus engager doucement la conversation pour voir son regard bleu acier se poser sur moi.
_ A quoi pensez-vous, si je puis me permettre ?
Nullement étonnée, elle me fit un léger sourire et me rétorqua :
_ Notre relation demanderait plus d’intimité pour que je puisse vous en délivrer une parcelle, mais vous me semblez charmant et je pourrais bien vous en raconter un petit peu, seulement si vous me promettez de ne le répéter à aucun de nos amis communs.
Je promettais et elle me prit par la main pour m’amener un peu en retrait de la fête. Dans un recoin de l’appartement, nous trouvîmes deux chaises sur lesquelles nous nous assîmes. Elle les jambes croisées, dirigées vers les miennes, nos genoux se touchant dans une légère chaleur intérieure mutuelle. Son buste légèrement penché vers moi me faisait découvrir deux jolies naissances de seins bien ronds de couleur crème ivoire avec quelques tâches de rousseur. Une peau veloutée et soyeuse. Elle se rendit compte de mon regard peut-être trop insistant et planta ses yeux droit dans les miens avec un petit sourire coquin.
_ Vous savez ce qui me fait le plus plaisir dans ce genre de soirées ? me demanda-t-elle.
_ Vous allez sûrement me le dire ! rétorquais-je intrigué.
Elle posa sa main contre la mienne avec un léger appuiement, s’approcha plus près de mon oreille et me dit dans un souffle :
_ C’est d’avoir un petit vibro dans la chatte et d’avoir mes boules de gueycha dans les fesses qui n’attendent qu’une chose c’est d’être sorti par une main experte pour me faire exploser.

Je ne m’attendais pas à une telle réponse et j’eu un début d’érection. L’imaginer là, à côté de moi, se donnant du plaisir grâce à de charmants petits gadgets sexuels était extrêmement excitant. Elle due sentir mon excitation car elle se dirigea immédiatement vers ma bouche pour m’embrasser. Je lui rendis son baiser et nous commençâmes à nous caresser plus expressivement. De toute évidence elle n’attendait qu’une chose c’est de se faire baiser. En mettant ma main à mon sexe elle sentit mon érection entière et dure, elle le malaxait fortement ce qui était presque douloureux, mais bizarrement je bandais encore plus car ces baisers suivaient les courbes de ma mâchoire, d’une oreille à une autre, mouillant ma peau du bout de sa langue et me donnaient encore plus de plaisir. Nous ne faisions plus attention au monde qui pouvait passer par là et nous continuions nos jeux érotiques. Subitement elle prit ma main pour la diriger vers le bas de sa robe dans le dos pour que je puisse entrer à l’intérieur. Elle n’avait pas de culotte et je pu atteindre son petit trou déjà bien dilaté. Je touchais les rebords de son anus et tournais autour pour l’exciter encore plus, je sentis tout d’un coup un objet métallique qui devait être une des boules de gueycha, elle voulait sortir bien évidemment et je la laissais aller. Lorsque je sentis la boule bien sorti, je la reteins pour la faire tourner sur l’anus et brusquement je la refis entrer à l’intérieur. Elle ne put retenir un gémissement de plaisir qui m’excita tellement que je lui demandais de sortir mon sexe pour le prendre dans sa bouche. Elle m’embrassait à pleine langue en me sortant le sexe puis se baissa pour me lécher délicatement le bout du gland en tournant doucement autour du bout de la langue, puis de commencer à le sucer et à s’enfoncer ma verge dans la bouche avec un petit rythme de va-et-vient vraiment sublime. Pendant ce temps je continuais à jouer avec son anus et ses petites boules pour lui arracher de profonds gémissements. Elle n’en pouvait plu et je sentais aussi du côté de sa chatte très mouillée, la petite vibration du vibro. Elle me dit alors qu’elle allait venir et qu’ensuite je pourrais lui baiser son petit cul. Je sentis les boules sortir violemment et elle gémit fortement en se contractant. Je me retins de jouir pour pouvoir continuer ensuite dans ce qu’elle m’avait promis. Elle releva sa robe découvrant son sexe au niveau de mon visage. Je ne pu m’empêcher de le humer et de le lécher doucement pour m’enivrer de ce parfum. Le petit vibro faisait toujours son œuvre et je touchais son anus parfaitement dilaté. Je sentais qu’elle voulait ma queue dans son petit trou, en la sentant tortiller ses fesses et en gémissant plaintivement. Elle se mit donc à califourchon sur moi, mon sexe dressé vers son œillet et elle se l’enfonça doucement pour bien ressentir le plaisir de l’entrée.
_ Oh ! que c’est bon ! me dit-elle en me regardant dans les yeux.
Elle accéléra le mouvement et je la voyais partir. Ces gémissements devenaient de plus en plus rapide et ces beaux seins hors de son décolletés appelaient encore plus au désir en se frottant sur mon torse.
_ Je la veux, je la veux, encore, dans mon petit cul. C’est bon, j’aime comme elle me met.
Elle prenait vraiment son pied sur ma queue et elle allait de plus en plus vite. Puis en me regardant elle me dit avec un sourire de jouissance :
_ Je vais jouir , rempli moi le cul de ton fouttre.
Je ne pus me retenir longtemps et je jouis à l’intérieur de son cul, ce qui la fît partir à son tour.
Je luis posais des petits baisés dans le cou, pendant qu’elle frottait tendrement sa joue contre la mienne. Elle se releva, baissa sa robe, me donna une dernière caresse sur la joue en me souriant, puis se retourna pour se diriger vers la salle des convives.