Douce ivresse

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Douce ivresse Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Douce ivresse
Pour m’accueillir ce jour là, Odile a eu l’excellente idée de mettre un petit tablier blanc sur une guêpière noire. Cela lui donne l’allure d’une femme de ménage perverse. M’entendant arrivée elle s’est précipitée pour se courbe en m’offrant par cette pose son dos. Son slip se tend à craquer.
A l’aide d’une balayette elle dépoussière le dessous de la table basse. Je glisse ma main sous le fond de la culotte. La raie est chaude, moite à la faute de ne sais quoi. Je touche l’anus puis je descends plus bas. Odile est cambrée, me facilitant la tâche. Son sexe est inondé.
-Tu ne peux pas d’en empêcher !
-Plaints-toi !
-Je me plaints pas je constate !
Elle se redresse et m’échappe.
-Qu’est-ce que tu fais ?
-Je dois voir ma machine.
-Je t’accompagne…
-Fais ce que tu veux…
- Dis-le-moi que je te rends folle. Dis que tu penses tout le temps à moi, que tu as toujours envie de t’enfoncer ma queue.
Prenant appui sur la machine à laver, elle tend son derrière vers moi. Je la soulève par les hanches et la pose sur la machine à laver en marche. Ma queue s’enfonce d’un seul coup dans sa chatte. Elle se contorsionne pour m’agripper les reins avec ses talons.
- Ne bouge plus, attends ! C’est trop excitant.
Nos sommes restés un long moment soudés en ne faisant que d’imperceptibles mouvements pour faire durer notre plaisir. Elle contracte ses muscles pour masser ma queue. Puis elle a remué.
- Vas-y défonce-moi ! Laboure-moi la chatte.
Je la baise longtemps, alternant les coups de reins violents et les pauses. Elle me supplie d’aller plus vite, plus fort. Parfois elle m’insulte même.
- Baise-moi, baise-moi ! Qu’est-ce que tu attends petit salaud !
Le corps d’Odile est secoué de spasmes, serrant violemment les cuisses sur mes doigts, qui ne cessent de la fouiller avec ma queue. Je perçois le bourdonnement de la machine se lançant à un essorage.
La machine s’emballe, faisant vibrer tout sa mécanique. Je la lime encore et encore, en soufflant profondément. Mon geste additionné aux impulsions de la machine en accélération constante, le corps d’Odile vibre. Elle bouge les hanches pour l’inciter à aller plus vite. Soudain Odile se cabre, la machine est à son maximum, dans un vrombissement de fin du monde. Nous avons joui en même temps avec violence.
J’aide Odile à descendre de la machine. Tout en se rajustant, elle me murmure :
- Il faudra venir me voir chaque fois que tu sentiras ta quéquette te démanger, n’est-ce pas ?
- Oui… oui, Odile.
Comme je l’ai toujours dit Odile se montre chaque fois plus inventive, comme pour mieux me retenir. Un après midi, elle m’ouvre la porte avec autour du cou un collier de chien muni d’une laisse. Sitôt la porte fermée, elle se place à quatre pattes dans le couloir.
- Je suis ta chienne. Alors promène ta chienne.
Elle porte sa guêpière noire. Ses seins se balancent lourdement sous elle. Ses fesses mal dissimulées par sa petite culotte en fient de même à chacun de ses mouvements. Nous avons fait le tour du salon puis elle se frottée contre mes jambes comme l’aurait fait une vraie chienne.
- Jure-moi que tu viendras toujours vider tes couilles avec moi !
Elle s’est accroupie sur le divan en écartant ses fesses avec les mains, comme j’aime qu’elle le fasse. Son anus come à son habitude est très souple. J’y enfonce sans mal deux doigts enduit de sa mouille. Odile remue son popotin.
- Comme tu es cochon mon Alain ! Tu es le seul à me tripoter le cul comme tu me le fais.
Comme pour lui donner raison, je lui masse l’intérieur de l’anus avec mes doigts. Je constate sans grande surprise qu’elle mouille aussi bien de ce côté-là. Elle respire plus vite. La chair des fesses se plisse. Elle se cambre le plus possible pour faciliter la pénétration. Ses fesses rebondies, dressées presque à la verticale, s’évasent autour de mes doigts. Juste au-dessous, les lèvres du sexe s’épanouissent, laissant voir l’intérieur rouge et humide de la vulve.
Elle remue ses fesses.
- Tu as envie, hein salope ?
-Mets-la-moi.
Elle est si cambrée que je n’ai eu aucun mal pour faire pénétrer ma queue jusqu’au fond de son vagin. Ses muscles intimes se crispent, enserrant ma bite dans un fourreau chaud et gluant. Je la baise de plus en plus vite, et cela jusqu’à la faire jouir.
Bien plus tard autour d’un verre de soda elle prend des nouvelles de ma mère.
Je me garde bien de lui révélé la dernière trouvaille de ma mère. Après l’avoir conduit dans différent magasin, enfin nous rentrons. Comme ma mère peine à retirer comme chaque fois ses bottes, je me propose de l’aider. Ce qu’elle accepte avec grand plaisir.
Après lui avoir retiré celle de droite je m’attaque à celle de gauche. Elle profite de cet instant pour remonter son pied gainée de nylon couleur chaire le long de ma jambe jusqu'à la bosse que fait ma verge sous l’étoffe de mon pantalon.
-Mais maman qu’est-ce que tu fais ?
-Pauvre Alain... on dirait que tu me prends pour une sainte, mais moi aussi j'ai des besoins tu sais... d'ailleurs....
Coupant court ce qu’elle s’apprête à dire. Sourire aux lèvres elle me malaxe littéralement la queue avec son joli pied. Je glousse de plaisir, et très vite ma queue est rattraper par une forte érection. Alors la voilà qu'elle m'agrippe avec ses orteils le gland gorgée de sang toujours à travers l’étoffe. Plus est, son pied devenu nu dans ma main, libère un puissant parfum érotique qui m’échauffe au plus haut point. A ce que cela intéresse, un mélange d’effluves de pied échauffé, et de cuir dû à la botte.
-Eh bien mon fils, tu m’en vois ravie par ce que je touche !
Je suis dans l’incapacité de faire quoi que ce soit !
-Ce que je te propose, vu la situation. C’est que tout bonnement, on se masturbe ensemble ! Comme ça on s'aide mutuellement et tout le monde est content, ça te vas ?
Je bafouille un :
- Euh... oui je suppose...
Sans attendre, voila que ma mère retrousse l’ourlet de sa jupe et fait disparaître ses doigts sous sa culotte. J’aperçois à peine le ballet de ses doigts sous le tissu plissé. Mais ses yeux se referment et elle se mordille la lèvre en vacillant sur sa chaise. Je devine sans mal le plaisir intense qui l’envahit.
Puis voilà qu’elle les retire de leur cachette soyeuse en gémissant légèrement, elle rapproche sa main de mon visage et me la soumet.
-Cela te dit ?
Elle sait parfaitement que j’aime cela ! Son odeur n’a plus de secret pour moi, et cela depuis belle lurette. Déjà enfant j’humais les culottes de ma mère, les échangeant même avec celles des copains du quartier.
Je me saisis de sa main et place ses doigts à hauteur de mes narines. J'y retrouve les composantes subtiles de sa transpiration intime ainsi que de son urine, le tout formant un mélange poivré ayant valeur d'aphrodisiaque pour le sale être que je suis !
Je renifle ses doigts en soutenant son regard, me délectant. En guise de merci je porte un délicat baiser sur ce doigt qui porte les stigmates de sa visite récente au fond de sa chatte et le promène même tout le long de ma langue.
Sans attendre ma mère souhaite me faire à ce moment un cadeau, et me tend la culotte qu'elle a portée tout ce jour. J'y vois de jolies traces et comme je suis dans un état d’excitation extrêmement fort, je me gêne pas, et sous les yeux témoins de ma mère de la porter à mes narines pour l’humer.
-Cela me fait plaisir que cela te gêne pas de faire devant moi… tu sais comme j’aime te voir faire cela ! Tu sais que j'ai des besoins comme toutes les femmes… et cela malgré la mort…
-T’ais-toi maman, la coupé-je, je comprends…
Et là je commence à me caresser. Ma queue prend un peu plus de vigueur. Ma mère est en admiration devant le tableau qui lui est offert. Mon magnifique pénis qui ne cesse pas de gonfler, et de gonfler sans s'arrêter.
Elle ne perd pas une miette du spectacle, alors que je me masturbe de bonne grâce tout en respirant l'étoffe souillée qu’elle m’a gracieusement offerte, et que j’ai encore en passant, dans ma collection personnelle avec de nombreuse autres sous-vêtements. Elle ne reste pas en reste, maman, elle se caresse.
Faisant pour cela, suivre son index sur les contours de son sexe, pressant plus fort tout en haut, sur la petite tête de chair. Elle le titille du bout de son ongle vernis, étouffant un petit cri. Elle palpe sa chatte d’une main impatiente, et ouvre davantage les jambes gainées de bas. Elle déboutonne tant bien que mal avec sa main libre son chemisier. Elle se met l’instant d’après à caresser la poitrine, dont elle a écarté toujours d’une main, les nids douillés où ils étaient couchés. Effleurant ensuite les pointes à tour de rôle, prenant à pleine main la chair tiède et sensible. Ses aréoles sont fripées d’excitation. Elle malaxe les globes fermes, les étire, les presse. Elle fait rouler les tétons entre ses doigts et les pince. Le souffle court, les yeux fermés, alors que de la mouille suinte le long d’une de ces cuisses, arrêter dans son élan par la broderie du bas.
Elle porte son doigt à ses narines, et renifle comme je l’ai fait l’instant d’avant, l’odeur forte, avant de reprendre son massage. Les lèvres s’écartent une fois encore et son doigt explore son con trempé. Ça glisse plus que bien. Elle remonte vers son clitoris, se met à tourner autour, pressant de plus en plus fort. De son autre main, elle se caresse toujours la poitrine, allant de l’un à l’autre, les écrasant contre son torse, étirant les pointes durcies. Elle halète la maman, la bouche ouverte. Ça fait plaisir à entendre, croyez-moi ! Elle qui a tant souffert après la mort de mon père. Et c’est peut-être aussi pour ça que je tolérais tout de la part de ma mère.
Mais sur l’instant, je regarde ma mère se mouvoir. C’est extraordinairement bon. Elle pousse soudain un hurlement dément. À la même seconde, je me déverse en d’interminables saccades.

Les avis des lecteurs

S'agissant de « petit tablier blanc » de votre récit « Douce ivresse », vous devriez lire mes récits dans lesquels il est question de la tenue de Vesna : « Sortant de la salle de bains, elle n'a pas encore eu le temps de s'habiller. Toute nue, tout en mettant précipitamment ses talons hauts noirs vernis, elle se saisit du seul vêtement disponible au porte-manteau, un tablier blanc "serveuse de bar" pour venir en cuisine pour prendre le café. Elle a eu tout juste le temps de nouer rapidement son tablier dans le dos. Elle est donc en petit tablier blanc très court ne couvrant que le haut de ses cuisses qu'elle portait uniquement avec ses talons, donc sans slip, sans culotte, sans rien et "topless" ».

Histoire Erotique
Vite... la suite !!!!



Texte coquin : Douce ivresse
Histoire sexe : Une rose rouge
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