Douces caresses
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Douces caresses
Douces caresses
J'étais nu, elle me découvrait, elle s'approchait lentement de moi. Elle prenait son temps, ses yeux parcouraient mon corps du haut vers le bas. Elle insistait bien sûr sur mon dispositif de chasteté. C'était un modèle PK Sécure en titane. Il était indestructible, et son système de fermeture était très sécurisé. Autant dire que sans la clé il n'y avait aucune chance de le retirer.
Ce n'était pas elle, Nathalie, qui me l'avait posée. Elle me découvrait comme j'étais, et j'étais toujours comme cela. C'était un choix, c'était une expérience que j'avais voulu faire. Histoire de découvrir de nouvelles sensations, puis avec le temps je m'étais laisser prendre au jeu et à ce moment je ne souhaitais plus le retirer.
Je n'avais plus d'érections, ou en tout cas elles n'avaient plus rien de spectaculaires mais ça ne veut pas dire que je n'avais plus de désir ni de plaisir. Bien au contraire. J'avais découvert d'autres plaisirs, j'aimais de plus en plus ces nouveaux plaisirs, cette frustration. J'aimais tout particulièrement sentir mes couilles frotter contre mes cuisses quand je marchais, c'était agréable, surtout que je ne portais pas de sous vêtements.
C'est Jonas qui détenais mes clés. Jonas, c'est mon doudou. Enfin je le partage avec Nathalie. C'est son doudou aussi.
C'est Jonas qui nous avait présenté, il adorait mon dispositif de chasteté, il trouvait que ça me rendait terriblement soumis et comme il était actif, exclusivement actif, ça lui allait très bien.
Il était dans un coin de la chambre, il s'était fait tout petit et pour ne pas me distraire il avait gardé ses vêtements. Vous savez Jonas à une grosse quéquette, bien longue, bien large, bien dure. Un truc qui fait rêver, et comme il a une très forte libido, deux partenaires ne sont pas de trop pour le satisfaire.
J'en reviens donc au moment ou Nathalie s'approchait lentement de moi. Je la surveillais des yeux. Elle me souriait. Elle tendait la main dans ma direction et avec une grande douceur la glissait sur ma poitrine, je tressaillais, mais la laissait faire.
Sa main se promenait sur mon corps, les tétons, puis un peu plus bas, un peu sur le coté, un peu de l'autre côté passait longuement sur mon ventre. Heureusement que je fais de la muscu, le résultat semblait lui plaire.
Sa main descendait encore un peu et finissait par rencontrer ma cage à bite. Ce truc la faisait délirer, elle voulait me voir nu quand nous étions tous les trois à la maison, elle me trouvais sexy, c'est aussi ce que pensais Jonas, il me l'avais dit plus d'une fois.
Elle ne se retenait pas de me tripoter les couilles, elle y allait avec beaucoup de douceur, mais elle y allait. Elle ne me faisait pas mal, ce n'était pas son genre, au début ce petit truc l'inquiétait, elle avait peur que ce ne soit douloureux pour moi.
Je l'avais rassurée, c'est même confortable avec un peu de temps. Frustrant, je ne dis pas mais douloureux en aucun cas. Confortable ? Vous ne me croyez pas alors essayez. C'est qu'au début c'est souvent désagréable mais avec un peu de temps, et à la condition que le dispositif soit parfaitement ajusté et adapté, ça devient réellement confortable.
Quand j'ai une érection je sens ma queue confinée, enfermée, je sens la pression tout autour, une pression douce et rassurante. Je sens que ma queue tente de se redresser avec force, et aucune réaction visible. Sous la moindre étoffe on ne voit rien, moi je ressens tout mais nul ne voit rien.
La main de Nathalie glissait en haut de mes cuisses puis rapidement entre mes cuisses. Mes couilles pendaient et elle s'amusait avec.
– Ça ne produit aucune réaction ? Me faisait-elle remarquer.
– Aucune réaction visible ! Répondais-je.
Elle me regardait alors dans les yeux, me massait les couilles avec un peu plus de force.
– Moi,en tous cas, je ne vois rien.
Elle me donnait alors un baiser. Passait son autre main dans mon dos et me serrait contre elle. Son corps était doux et chaud. Elle se reculait d'un pas et lentement, toujours en prenant son temps retirait tous ses vêtements un par un. Elle prenait bien le temps de les replier et ne se contentait pas de les jeter dans un coin.
J'étais nu et rapidement elle aussi était nue. Je sentais la chaleur de son corps tant elle était proche de moi. Elle se rapprochait encore un peu et c'est sa peau que je sentais contre la mienne.
Ma queue protestait dans sa cage. Je jetais un regard dans sa direction, rien n'était visible mais je sentais bien la pression de la cage maintenant. C'est à peine si la cage se redressait, d'une manière imperceptible ou presque.
Elle glissait une main juste sous mes couilles et la refermait dessus. Elle me massait les couilles, ce n'était pas vraiment désagréable.
– Je ne te fais pas mal au moins ?
– Non, tu peux y aller un peu plus fort.
Elle refermait alors sa main avec plus de force et tirait sur mes couilles, elle m'arrachait un sourire forcé. Elle recommençait, me lâchait puis refermait sa main de nouveau, elle serrait, pas trop fort mais avec fermeté tout de même, puis elle tirait sur mes couilles, là je me tortillais. C'était nouveau, c'était étrange comme sensation. Elle me lâchait et de nouveau elle recommençait.
Elle se glissait contre moi et sa peau caressait la mienne. Ma peau contre la sienne, mes couilles écrasées dans le creux de sa main, ma situation était confortable et à la fois un peu inconfortable. Elle m'embrassait avec passion sur les lèvres et c'est un vrai baiser que je lui rendais.
Jonas nous regardait, il se massait son entre jambe. Il nous voyait tous les deux entièrement nus et ça devait commencer à lui donner des idées. Je le voyais, il se relevait et retirait ses vêtements. Il le faisait très vite et ne prenait pas soin de les ranger. Ses vêtements volaient à travers la pièce et c'est en seulement quelques secondes qu'il se retrouvait entièrement nu à son tour.
Il s'approchait de nous et prenait Nathalie dans ses bras. Il me caressait les couilles quelques seconde et refermait ses bras autour de sa copine. Elle m'oubliait et je restais là debout au milieu de la pièce, les bras dans mon dos, les jambes très légèrement écartées. J'avalais ma salive, je ne bougeais pas.
Nathalie se retournait vers Jonas, elle le prenait dans ses bras et c'est avec tout son corps qu'elle lui caressait le sien. Jonas bandait, il ne me le cachait pas. Je pouvais voir très distinctement sa grosse queue s'écraser contre la cuisse de Nath. Elle passait une main dessus et je voyais cette énorme queue palpiter et se durcir.
Jonas entraînait sa copine sur le lit,il s'allongeait sur le dos et l'allongeait sur lui. Pour Nathalie c'était confortable. Pour moi beaucoup moins. C'est un sentiment de frustration qui montait en moi. Je les voyais se caresser et s'embrasser. Ils m'avaient oublié.
Pourtant j'étais visible. Debout,au pied du lit, les mains dans le dos,les jambes légèrement écartées et la bite encage. On ne voyait que moi !
Je ne bougeais pas, la frustration montait en moi. Le désir montait de plus en plus. Mais je savais que je n'aurais pas droit au plaisir. Le plaisir, c'était pour les deux autres, j'étais leur doudou. Ils pouvaient m'utiliser , jouer avec moi, me toucher, me demander de les toucher, ce jour là, ils avaient décidé de jouer avec mes nerfs. Ils avaient décidé de jouer ensemble.
Ils ne se cachaient pas. Je pouvais voir Nathalie s'allonger sur le corps de Jonas. Elle écartait les jambes et le chevauchait. Elle s'asseyait sur son sexe qui s'allongeait sur son ventre, il ne tentait pas encore de la pénétrer. Elle écrasait ses seins sur son torse musclé. Il la caressait avec douceur en lui donnant des baisers.
Ces préliminaires devaient durer un long moment. La tension sexuelle et la frustration étaient au plus haut niveau pour moi. Je tremblais presque mais je ne bougeais toujours pas. Je restais en position, je n'avais que le droit de les observer et je les observais.
Je sentais ma queue qui prenait toute la place dans sa petite cage, je sentais ma cage qui s'était refermée tout autour de ma queue. Au bout d'un certain temps je ne dirais pas que c'était toujours aussi confortable mais ce n'était pas douloureux. Ça ce n'était pas le but.
Nathalie se penchait sur Jonas, elle le masturbait et toujours avec des mouvements lents, ou alors c'était moi qui …
Bref elle passait sa langue sur son gland puis le prenait dans sa bouche. Je devinais le plaisir de Jonas. Ce plaisir que je savais si bien lui donner moi aussi, ce plaisir qui m'était interdit depuis maintenant plus de deux ans.
J'avais envie de la remplacer, j 'avais envie de prendre la place de Jonas. Je n'avais aucune chance que cela se produise. Le contrat que nous avions passé tous les trois organisait notre relation et définissait ma place dans cette relation.
Seule Nathalie pouvait décider d'un changement sans rompre ce contrat.
Je les regardais et mon cœur battait très fort. J'avais envie d'exploser, je me sentais bien, la frustration fait partie intégrante du plaisir. Et sur ce point j'étais comblé. J'avais ma dose.
Je ne bougeais pas, je restais sur place à les regarder. Nathalie se frottait contre Jonas, puis elle se relevait, d'une main elle redressait sa queue, et en un mouvement lent mais décidé, elle se glissait dessus. Cette énorme queue la pénétrait sur toute sa longueur. Elle penchait la tête en arrière et poussait un gémissement de plaisir.
La sodomie, Jonas la pratiquait avec moi. Pour ce qui est de me pénétrer il n'y avait pas d'autre choix mais avec Nathalie il avait le choix et, Nathalie préférait la seconde option.
D’où j'étais je pouvais voir très distinctement la queue de Jonas glisser dans le vagin de Nathalie. Elle se soulevait et se laissait retomber et à chaque fois elle poussait un cri de plaisir. Il soulevait ses cuisse et la soulevait encore plus. Par moment ses gémissements devenaient de véritables cris mais des cris de plaisir.
Moi je tremblais de désir, c'est tout ce qu'on voulait bien me laisser, le désir, un désir qui me serait dénié. J'avalais ma salive encore une fois et bougeais mes jambes. Je restais sur place, mais je bougeais. Je sentais mes couilles glisser contre mes cuisses, c'était une sensation inattendue mais très agréable.
Mes couilles faisaient une sorte de grosse boule qui pendait sous ma cage et se balançait lourdement.
Chaque coup que se prenait Nathalie résonnait dans ma tête, je m'imaginais à sa place. J'avais, par dessus tout, envie de prendre sa place.
Jonas se redressait, repliait ses jambes et assis en tailleur il refermait ses bras autour de sa copine, il se balançait sur ses fesses et Nathalie le suivait, se balançait en même temps. Elle se cambrait, se redressait, s'agitait. Ses cris devenaient plus puissants, moins régulier, elle jouissait, ça ne faisait aucun doute, elle jouissait.
Je la regardait, je voyais son visage se déformer, sous l'effet du plaisir et moi je restais là privé de tout, je n'étais pas attaché mais on m'avait demandé de ne pas bouger et je ne bougeais pas.
Jonas lui aussi poussait un long cri, il jouissais à son tour. Ils se sont alors effondrés sur eux même dans la position qu'ils occupaient. Je pouvais voir un long filet de liquide blanc couler entre leurs cuisses.
Ils m'ont alors regardé, on pouvait voir à leurs yeux le plaisir partagé, ma frustration devait sans doute les amuser ! Mais la frustration fait partie du plaisir !
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
J'étais nu, elle me découvrait, elle s'approchait lentement de moi. Elle prenait son temps, ses yeux parcouraient mon corps du haut vers le bas. Elle insistait bien sûr sur mon dispositif de chasteté. C'était un modèle PK Sécure en titane. Il était indestructible, et son système de fermeture était très sécurisé. Autant dire que sans la clé il n'y avait aucune chance de le retirer.
Ce n'était pas elle, Nathalie, qui me l'avait posée. Elle me découvrait comme j'étais, et j'étais toujours comme cela. C'était un choix, c'était une expérience que j'avais voulu faire. Histoire de découvrir de nouvelles sensations, puis avec le temps je m'étais laisser prendre au jeu et à ce moment je ne souhaitais plus le retirer.
Je n'avais plus d'érections, ou en tout cas elles n'avaient plus rien de spectaculaires mais ça ne veut pas dire que je n'avais plus de désir ni de plaisir. Bien au contraire. J'avais découvert d'autres plaisirs, j'aimais de plus en plus ces nouveaux plaisirs, cette frustration. J'aimais tout particulièrement sentir mes couilles frotter contre mes cuisses quand je marchais, c'était agréable, surtout que je ne portais pas de sous vêtements.
C'est Jonas qui détenais mes clés. Jonas, c'est mon doudou. Enfin je le partage avec Nathalie. C'est son doudou aussi.
C'est Jonas qui nous avait présenté, il adorait mon dispositif de chasteté, il trouvait que ça me rendait terriblement soumis et comme il était actif, exclusivement actif, ça lui allait très bien.
Il était dans un coin de la chambre, il s'était fait tout petit et pour ne pas me distraire il avait gardé ses vêtements. Vous savez Jonas à une grosse quéquette, bien longue, bien large, bien dure. Un truc qui fait rêver, et comme il a une très forte libido, deux partenaires ne sont pas de trop pour le satisfaire.
J'en reviens donc au moment ou Nathalie s'approchait lentement de moi. Je la surveillais des yeux. Elle me souriait. Elle tendait la main dans ma direction et avec une grande douceur la glissait sur ma poitrine, je tressaillais, mais la laissait faire.
Sa main se promenait sur mon corps, les tétons, puis un peu plus bas, un peu sur le coté, un peu de l'autre côté passait longuement sur mon ventre. Heureusement que je fais de la muscu, le résultat semblait lui plaire.
Sa main descendait encore un peu et finissait par rencontrer ma cage à bite. Ce truc la faisait délirer, elle voulait me voir nu quand nous étions tous les trois à la maison, elle me trouvais sexy, c'est aussi ce que pensais Jonas, il me l'avais dit plus d'une fois.
Elle ne se retenait pas de me tripoter les couilles, elle y allait avec beaucoup de douceur, mais elle y allait. Elle ne me faisait pas mal, ce n'était pas son genre, au début ce petit truc l'inquiétait, elle avait peur que ce ne soit douloureux pour moi.
Je l'avais rassurée, c'est même confortable avec un peu de temps. Frustrant, je ne dis pas mais douloureux en aucun cas. Confortable ? Vous ne me croyez pas alors essayez. C'est qu'au début c'est souvent désagréable mais avec un peu de temps, et à la condition que le dispositif soit parfaitement ajusté et adapté, ça devient réellement confortable.
Quand j'ai une érection je sens ma queue confinée, enfermée, je sens la pression tout autour, une pression douce et rassurante. Je sens que ma queue tente de se redresser avec force, et aucune réaction visible. Sous la moindre étoffe on ne voit rien, moi je ressens tout mais nul ne voit rien.
La main de Nathalie glissait en haut de mes cuisses puis rapidement entre mes cuisses. Mes couilles pendaient et elle s'amusait avec.
– Ça ne produit aucune réaction ? Me faisait-elle remarquer.
– Aucune réaction visible ! Répondais-je.
Elle me regardait alors dans les yeux, me massait les couilles avec un peu plus de force.
– Moi,en tous cas, je ne vois rien.
Elle me donnait alors un baiser. Passait son autre main dans mon dos et me serrait contre elle. Son corps était doux et chaud. Elle se reculait d'un pas et lentement, toujours en prenant son temps retirait tous ses vêtements un par un. Elle prenait bien le temps de les replier et ne se contentait pas de les jeter dans un coin.
J'étais nu et rapidement elle aussi était nue. Je sentais la chaleur de son corps tant elle était proche de moi. Elle se rapprochait encore un peu et c'est sa peau que je sentais contre la mienne.
Ma queue protestait dans sa cage. Je jetais un regard dans sa direction, rien n'était visible mais je sentais bien la pression de la cage maintenant. C'est à peine si la cage se redressait, d'une manière imperceptible ou presque.
Elle glissait une main juste sous mes couilles et la refermait dessus. Elle me massait les couilles, ce n'était pas vraiment désagréable.
– Je ne te fais pas mal au moins ?
– Non, tu peux y aller un peu plus fort.
Elle refermait alors sa main avec plus de force et tirait sur mes couilles, elle m'arrachait un sourire forcé. Elle recommençait, me lâchait puis refermait sa main de nouveau, elle serrait, pas trop fort mais avec fermeté tout de même, puis elle tirait sur mes couilles, là je me tortillais. C'était nouveau, c'était étrange comme sensation. Elle me lâchait et de nouveau elle recommençait.
Elle se glissait contre moi et sa peau caressait la mienne. Ma peau contre la sienne, mes couilles écrasées dans le creux de sa main, ma situation était confortable et à la fois un peu inconfortable. Elle m'embrassait avec passion sur les lèvres et c'est un vrai baiser que je lui rendais.
Jonas nous regardait, il se massait son entre jambe. Il nous voyait tous les deux entièrement nus et ça devait commencer à lui donner des idées. Je le voyais, il se relevait et retirait ses vêtements. Il le faisait très vite et ne prenait pas soin de les ranger. Ses vêtements volaient à travers la pièce et c'est en seulement quelques secondes qu'il se retrouvait entièrement nu à son tour.
Il s'approchait de nous et prenait Nathalie dans ses bras. Il me caressait les couilles quelques seconde et refermait ses bras autour de sa copine. Elle m'oubliait et je restais là debout au milieu de la pièce, les bras dans mon dos, les jambes très légèrement écartées. J'avalais ma salive, je ne bougeais pas.
Nathalie se retournait vers Jonas, elle le prenait dans ses bras et c'est avec tout son corps qu'elle lui caressait le sien. Jonas bandait, il ne me le cachait pas. Je pouvais voir très distinctement sa grosse queue s'écraser contre la cuisse de Nath. Elle passait une main dessus et je voyais cette énorme queue palpiter et se durcir.
Jonas entraînait sa copine sur le lit,il s'allongeait sur le dos et l'allongeait sur lui. Pour Nathalie c'était confortable. Pour moi beaucoup moins. C'est un sentiment de frustration qui montait en moi. Je les voyais se caresser et s'embrasser. Ils m'avaient oublié.
Pourtant j'étais visible. Debout,au pied du lit, les mains dans le dos,les jambes légèrement écartées et la bite encage. On ne voyait que moi !
Je ne bougeais pas, la frustration montait en moi. Le désir montait de plus en plus. Mais je savais que je n'aurais pas droit au plaisir. Le plaisir, c'était pour les deux autres, j'étais leur doudou. Ils pouvaient m'utiliser , jouer avec moi, me toucher, me demander de les toucher, ce jour là, ils avaient décidé de jouer avec mes nerfs. Ils avaient décidé de jouer ensemble.
Ils ne se cachaient pas. Je pouvais voir Nathalie s'allonger sur le corps de Jonas. Elle écartait les jambes et le chevauchait. Elle s'asseyait sur son sexe qui s'allongeait sur son ventre, il ne tentait pas encore de la pénétrer. Elle écrasait ses seins sur son torse musclé. Il la caressait avec douceur en lui donnant des baisers.
Ces préliminaires devaient durer un long moment. La tension sexuelle et la frustration étaient au plus haut niveau pour moi. Je tremblais presque mais je ne bougeais toujours pas. Je restais en position, je n'avais que le droit de les observer et je les observais.
Je sentais ma queue qui prenait toute la place dans sa petite cage, je sentais ma cage qui s'était refermée tout autour de ma queue. Au bout d'un certain temps je ne dirais pas que c'était toujours aussi confortable mais ce n'était pas douloureux. Ça ce n'était pas le but.
Nathalie se penchait sur Jonas, elle le masturbait et toujours avec des mouvements lents, ou alors c'était moi qui …
Bref elle passait sa langue sur son gland puis le prenait dans sa bouche. Je devinais le plaisir de Jonas. Ce plaisir que je savais si bien lui donner moi aussi, ce plaisir qui m'était interdit depuis maintenant plus de deux ans.
J'avais envie de la remplacer, j 'avais envie de prendre la place de Jonas. Je n'avais aucune chance que cela se produise. Le contrat que nous avions passé tous les trois organisait notre relation et définissait ma place dans cette relation.
Seule Nathalie pouvait décider d'un changement sans rompre ce contrat.
Je les regardais et mon cœur battait très fort. J'avais envie d'exploser, je me sentais bien, la frustration fait partie intégrante du plaisir. Et sur ce point j'étais comblé. J'avais ma dose.
Je ne bougeais pas, je restais sur place à les regarder. Nathalie se frottait contre Jonas, puis elle se relevait, d'une main elle redressait sa queue, et en un mouvement lent mais décidé, elle se glissait dessus. Cette énorme queue la pénétrait sur toute sa longueur. Elle penchait la tête en arrière et poussait un gémissement de plaisir.
La sodomie, Jonas la pratiquait avec moi. Pour ce qui est de me pénétrer il n'y avait pas d'autre choix mais avec Nathalie il avait le choix et, Nathalie préférait la seconde option.
D’où j'étais je pouvais voir très distinctement la queue de Jonas glisser dans le vagin de Nathalie. Elle se soulevait et se laissait retomber et à chaque fois elle poussait un cri de plaisir. Il soulevait ses cuisse et la soulevait encore plus. Par moment ses gémissements devenaient de véritables cris mais des cris de plaisir.
Moi je tremblais de désir, c'est tout ce qu'on voulait bien me laisser, le désir, un désir qui me serait dénié. J'avalais ma salive encore une fois et bougeais mes jambes. Je restais sur place, mais je bougeais. Je sentais mes couilles glisser contre mes cuisses, c'était une sensation inattendue mais très agréable.
Mes couilles faisaient une sorte de grosse boule qui pendait sous ma cage et se balançait lourdement.
Chaque coup que se prenait Nathalie résonnait dans ma tête, je m'imaginais à sa place. J'avais, par dessus tout, envie de prendre sa place.
Jonas se redressait, repliait ses jambes et assis en tailleur il refermait ses bras autour de sa copine, il se balançait sur ses fesses et Nathalie le suivait, se balançait en même temps. Elle se cambrait, se redressait, s'agitait. Ses cris devenaient plus puissants, moins régulier, elle jouissait, ça ne faisait aucun doute, elle jouissait.
Je la regardait, je voyais son visage se déformer, sous l'effet du plaisir et moi je restais là privé de tout, je n'étais pas attaché mais on m'avait demandé de ne pas bouger et je ne bougeais pas.
Jonas lui aussi poussait un long cri, il jouissais à son tour. Ils se sont alors effondrés sur eux même dans la position qu'ils occupaient. Je pouvais voir un long filet de liquide blanc couler entre leurs cuisses.
Ils m'ont alors regardé, on pouvait voir à leurs yeux le plaisir partagé, ma frustration devait sans doute les amuser ! Mais la frustration fait partie du plaisir !
Fin
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