Douceur feminine
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Douceur feminine
C'est en promenant le chien de la voisine, que Valeriane, fait la connaissance d'une femme, qui habite depuis peu dans le quartier. L'animal se met à tourner autour d'elle, et à la renifler, en agitant sa queue. Valeriane à l'occasion d'engager le dialogue :
-Il vous a adopté, il n'est pas méchant, n'aillez crainte !
La femme s'accroupit et commence à caresser le chien, mais, en s'accroupissant, mécaniquement, la jupe de la femme remonte sur ses cuisses en, en dévoilant une bonne partie. Valeriane ne quitte pas des yeux les cuisses magnifiques de l'inconnue, qui le remarque. En souriant, elle tire sur le tissu, mais en vain, il ne se tend pas, ni ne descend. Elle se releve, c'est en souriant qu'elle salue Valeriane et tourne la clé pour ouvrir la porte. Valeriane reste un moment à regarder la femme entrer chez elle. Il se passe quelque chose en elle, son cœur se serre fortement et se met à battre la chamade. Valeriane fait demi-tour, mais une fois dans son lit, elle ne pense qu'à cette femme qui pourrait être sa maman, apparemment, elle a le double de son âge.
Maintenant Valeriane a l'obsession de revoir cette femme qui la trouble énormément. Elle se promène avec le chien après on travail dans l'espoir de rencontrer cette belle inconnue. Cela fait déjà plusieurs jours que la femme semble avoir disparue. Valeriane désespère, elle en perd l'appétit. Mais, elle est très tenace, un jour, elle sursaute, enfin la femme réapparaît, elle descend de sa voiture, Valeriane s'approche souriante et la salue. La femme répond en souriant aussi. La conversation s'engage, Valeriane curieuse demande :
-Cela fait plusieurs jours que je ne vous ai pas vue, je pensais que le quartier ne vous plaisait plus et que vous aviez déménagée ?
La femme sourit et répond :
-Oh non, je suis allé voir maman souffrante, entrez boire un verre, nous parlerons devant un verre !
C'est inespéré pour Valeriane qui accepte, pendant la conversation, elle apprend que la femme s'appelle Isabelle, que son mari est décédé peu après leur mariage. Petit à petit, les deux sympathisent. Valériane n'a que d'yeux pour Isabelle, l'heure tourne, il est temps pour Valeriane de rejoindre son petit appartement. Au fil des jours, après leur travail, les deux femmes se voient fréquemment, dinent souvent ensemble. Isabelle considère Valeriane comme sa fille. Les deux font du lèche-vitrine chaque fois que c'est possible, elle se promenent bras dessus, bras dessous, blottit l'une contre l'autre. Il est temps de rentrer, Isabelle demande à Valeriane de diner avec elle, car elle à un coup de cafard.
Le diner se passe comme chaque fois très bien, Valeriane regarde Isabelle, qui a les yeux remplit de larmes. Elle lui demande, inquiète :
-Qu'est-ce que tu as Isabelle ?
-Oh rien, juste un petit coup de blouse, je repense à mon mari ?
Valeriane se lève, passe derrière Isabelle et pose ses mains sur ses épaules, et commence un doux massage. Isabelle soupire profondément, et ferme les yeux. Les mains fines de la masseuse
qui glissent délicatement sur les épaules, font geindre doucement Isabelle. Valeriane devient plus audacieuse, ses mains, avec délicatesse, passent sur le cou, et s'enfoncent très lentement dans l'ouverture du corsage. Isabelle sursaute, elle sent le bout des doigts se poser sur le haut de ses seins et qui commencent à s'insérer dans son soutien-gorge. Elle se relève, et fait face à Valeriane. Les deux femmes se regardent, Isabelle semble déstabilisée, elle dit en béguant :
-Mais qu'est-ce qui te prend Valeriane ?
Valeriane l'enlace, la regarde droit dans les yeux et lui avoue :
-Je t'aime depuis le premier jour que je t'ai rencontré, je suis dingue de toi, ne me chasse pas, je t'en prie !
Isabelle, surprise par cet aveu, réplique :
-Mais je ne suis pas lesbienne, de là à coucher avec une femme, il y a une marge !
Valeriane avance son visage, les souffles se mêlent, elle murmure :
Je t'aime mon amour, toi, tu ne ressent rien pour moi ?
Isabelle complétement désorientée répond avec des tremolos dans la voix !
-Je n'ai pas dit cela, mais laisse-moi le temps de m'y faire, ne brusque pas les choses, oh, tu me rend folle toi !
Valeriane insiste :
-Alors dis que tu m'aimes aussi !
Isabelle s'effondre en larmes, elle repond entre deux sanglots !
-Ne me torture pas, c'est déjà assez difficile comme cela !
Valeriane devient exigeante :
-Dis-le, dis-le que toi aussi, tu m'aimes !
Isabelle s'accroche fortement à Valeriane et répond en criant :
-Oui, oui, je t'aime, voila, tu es contente, mais qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu, j'ai l'âge de ta maman !
Valeriane lui relève le menton et lui dit :
-C'est l'amour, Dieu n'y est pour rien, oh que je suis heureuse que tu m'aimes aussi, la différence d'âge ne m'incommode pas, je te la ferai oublier !
Les lèvres se frôlent avant de s'unir. Les langues se nouent, les respirations s'accélèrent. Isabelle en tremblant s'accroche à Valeriane pour ne pas s'écrouler de honte. Le baiser et un vrai baiser d'amour. Enfin, les lèvres se séparent. Isabelle renifle et dit en regardant Valeriane :
-Je dois être folle, j'ai honte de moi et je suis heureuse en même temps !
Valeriane l'embrasse à nouveau, du haut de ses vingt-six ans, elle lui dit :
-Montre-moi ta chambre, mon amour et aimons-nous, jusqu'au petit matin !
C'est en prenant la main de Valeriane qu'Isabelle l'emmène dans son nid. Avec dextérité, les deux femmes se dévêtent en ne se quittant pas des yeux. Isabelle, à de petits seins bien fermes. Valeriane, elle, a une poitrine généreuse, qui pend un peu sur son torse. Isabelle s'étend nue sur son lit, rapidement Valeriane la rejoint.
-Il vous a adopté, il n'est pas méchant, n'aillez crainte !
La femme s'accroupit et commence à caresser le chien, mais, en s'accroupissant, mécaniquement, la jupe de la femme remonte sur ses cuisses en, en dévoilant une bonne partie. Valeriane ne quitte pas des yeux les cuisses magnifiques de l'inconnue, qui le remarque. En souriant, elle tire sur le tissu, mais en vain, il ne se tend pas, ni ne descend. Elle se releve, c'est en souriant qu'elle salue Valeriane et tourne la clé pour ouvrir la porte. Valeriane reste un moment à regarder la femme entrer chez elle. Il se passe quelque chose en elle, son cœur se serre fortement et se met à battre la chamade. Valeriane fait demi-tour, mais une fois dans son lit, elle ne pense qu'à cette femme qui pourrait être sa maman, apparemment, elle a le double de son âge.
Maintenant Valeriane a l'obsession de revoir cette femme qui la trouble énormément. Elle se promène avec le chien après on travail dans l'espoir de rencontrer cette belle inconnue. Cela fait déjà plusieurs jours que la femme semble avoir disparue. Valeriane désespère, elle en perd l'appétit. Mais, elle est très tenace, un jour, elle sursaute, enfin la femme réapparaît, elle descend de sa voiture, Valeriane s'approche souriante et la salue. La femme répond en souriant aussi. La conversation s'engage, Valeriane curieuse demande :
-Cela fait plusieurs jours que je ne vous ai pas vue, je pensais que le quartier ne vous plaisait plus et que vous aviez déménagée ?
La femme sourit et répond :
-Oh non, je suis allé voir maman souffrante, entrez boire un verre, nous parlerons devant un verre !
C'est inespéré pour Valeriane qui accepte, pendant la conversation, elle apprend que la femme s'appelle Isabelle, que son mari est décédé peu après leur mariage. Petit à petit, les deux sympathisent. Valériane n'a que d'yeux pour Isabelle, l'heure tourne, il est temps pour Valeriane de rejoindre son petit appartement. Au fil des jours, après leur travail, les deux femmes se voient fréquemment, dinent souvent ensemble. Isabelle considère Valeriane comme sa fille. Les deux font du lèche-vitrine chaque fois que c'est possible, elle se promenent bras dessus, bras dessous, blottit l'une contre l'autre. Il est temps de rentrer, Isabelle demande à Valeriane de diner avec elle, car elle à un coup de cafard.
Le diner se passe comme chaque fois très bien, Valeriane regarde Isabelle, qui a les yeux remplit de larmes. Elle lui demande, inquiète :
-Qu'est-ce que tu as Isabelle ?
-Oh rien, juste un petit coup de blouse, je repense à mon mari ?
Valeriane se lève, passe derrière Isabelle et pose ses mains sur ses épaules, et commence un doux massage. Isabelle soupire profondément, et ferme les yeux. Les mains fines de la masseuse
qui glissent délicatement sur les épaules, font geindre doucement Isabelle. Valeriane devient plus audacieuse, ses mains, avec délicatesse, passent sur le cou, et s'enfoncent très lentement dans l'ouverture du corsage. Isabelle sursaute, elle sent le bout des doigts se poser sur le haut de ses seins et qui commencent à s'insérer dans son soutien-gorge. Elle se relève, et fait face à Valeriane. Les deux femmes se regardent, Isabelle semble déstabilisée, elle dit en béguant :
-Mais qu'est-ce qui te prend Valeriane ?
Valeriane l'enlace, la regarde droit dans les yeux et lui avoue :
-Je t'aime depuis le premier jour que je t'ai rencontré, je suis dingue de toi, ne me chasse pas, je t'en prie !
Isabelle, surprise par cet aveu, réplique :
-Mais je ne suis pas lesbienne, de là à coucher avec une femme, il y a une marge !
Valeriane avance son visage, les souffles se mêlent, elle murmure :
Je t'aime mon amour, toi, tu ne ressent rien pour moi ?
Isabelle complétement désorientée répond avec des tremolos dans la voix !
-Je n'ai pas dit cela, mais laisse-moi le temps de m'y faire, ne brusque pas les choses, oh, tu me rend folle toi !
Valeriane insiste :
-Alors dis que tu m'aimes aussi !
Isabelle s'effondre en larmes, elle repond entre deux sanglots !
-Ne me torture pas, c'est déjà assez difficile comme cela !
Valeriane devient exigeante :
-Dis-le, dis-le que toi aussi, tu m'aimes !
Isabelle s'accroche fortement à Valeriane et répond en criant :
-Oui, oui, je t'aime, voila, tu es contente, mais qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu, j'ai l'âge de ta maman !
Valeriane lui relève le menton et lui dit :
-C'est l'amour, Dieu n'y est pour rien, oh que je suis heureuse que tu m'aimes aussi, la différence d'âge ne m'incommode pas, je te la ferai oublier !
Les lèvres se frôlent avant de s'unir. Les langues se nouent, les respirations s'accélèrent. Isabelle en tremblant s'accroche à Valeriane pour ne pas s'écrouler de honte. Le baiser et un vrai baiser d'amour. Enfin, les lèvres se séparent. Isabelle renifle et dit en regardant Valeriane :
-Je dois être folle, j'ai honte de moi et je suis heureuse en même temps !
Valeriane l'embrasse à nouveau, du haut de ses vingt-six ans, elle lui dit :
-Montre-moi ta chambre, mon amour et aimons-nous, jusqu'au petit matin !
C'est en prenant la main de Valeriane qu'Isabelle l'emmène dans son nid. Avec dextérité, les deux femmes se dévêtent en ne se quittant pas des yeux. Isabelle, à de petits seins bien fermes. Valeriane, elle, a une poitrine généreuse, qui pend un peu sur son torse. Isabelle s'étend nue sur son lit, rapidement Valeriane la rejoint.
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Les avis des lecteurs
Très beau récit!