Dounia, ma plus belle voisine, la fin.
Récit érotique écrit par Santiano [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dounia, ma plus belle voisine, la fin.
Depuis cette soirée fantastique, nous continuons de vivre dans le pêché de l'adultère mais avec une passion hors du commun. Régulièrement, nous sortons au cinéma, au restaurant, nous partons en balade au bord de l'océan, dans la montagne et dans les campagnes qui entourent notre métropole. Je crois de plus en plus que c'est la femme de ma vie. De son côté, elle me fait bien comprendre qu'elle ressent les mêmes sentiments. Un soir sur deux nous dormons ensemble.
A chaque fois, je prends du plaisir à découvrir ce corps sublime. Lorsque son frère ou sa sœur son présent, nous cachons nos sentiments. Nous ne voulons pas éveiller des soupçons qui pourraient être fatals à notre couple. Un mercredi, mon responsable d'entreprise me propose de prendre une journée de repos, ravi d'apprendre cette nouvelle, je téléphone à ma chère Dounia. Nous décidons de passer la soirée du mardi ensemble, nous dînons ensemble, elle couche sa fille, puis me rejoins sur le canapé. Nous nous câlinons, nous nous embrassons et très vite nos mains se baladent sur nos corps. Nous partons dans la chambre pour profiter de ce moment d'intimité.
Elle est habillé avec une robe légère, tenue qu'elle affectionne quand nous nous voyons et que personnellement j'adore aussi car elle met en valeur ses formes délicieuses. Je me colle rapidement contre son dos, j'adore lui faire des bisous dans le cou, sentir son parfum qui m’envoûte à chacun de nos ébats. Je l'embrasse dans le cou, caresse ses épaules, puis tout doucement glisse mes doigts sous les bretelles de son vêtement afin de laisser paraître des dessous toujours aussi sexy et chic. À ma plus grande surprise, ce soir elle ne porte pas de soutien-gorge, j'ai donc accès à sa poitrine directement. Je lui masse ses seins, titille le bout de ses tétons, ce qui l'excite énormément, elle est très sensible à ce niveau là. Je continue de jouer avec elle pendant de longues minutes, je sais qu'elle aime par dessus tout la sensualité de nos ébats. Elle finit par se retourner, m'enlève mon polo, puis toujours avec douceur fait descendre mon pantalon sur mes chevilles. J'ai beaucoup de mal à cacher mon érection, mon boxer laisse paraître une énorme bosse. Elle se met à genou, baisse mon sous-vêtement, commence à prendre en main mon membre, fait des allers-retours puis approche sa bouche afin de l'avaler. Sa langue est douce, elle me procure beaucoup de plaisirs.
Je l'invite à se relever et à se coucher sur le lit. Tout doucement, je glisse ma tête sous le bas de sa robe, de mes mains je saisis les élastiques de son strings que je fais coulisser le long de ses jambes. Ses lèvres déjà humides, laisse échapper une odeur de désir. Ma bouche entre en contact avec son puits d'amour, je lui lèche le clitoris, pénètre sa vulve, ce qui la fait sursauter de plaisir. Très vite, je lui enlève entièrement sa robe. Elle est magnifique toute nue, elle écarte les cuisses et s'offre à moi. Lentement, je remonte, puis avec un coup de bassin je la prends en missionnaire. Je fais quelques vas et vient, je me retire, elle se met à quatre pattes, je saisis ses hanches et je lui fais une levrette. La vue de ses fesses et la douceur de sa minette me font rapidement monter dans les tours. Je fais tout pour me contrôler, j'ai envie qu'elle prenne aussi du plaisir. Chose qui se passe, puisque j'entends des gémissements réguliers sortant de sa bouche. Nous nous positionnons en position de la cuillère, je suis derrière elle, je saisis ses seins et dans le même temps pénètre sa vulve. J'adore cette position, je sens son corps se tortiller dans tout les sens. Quelques fois avec ma jambe, je soulève sa cuisse pour lui caresse le clitoris en même temps que je suis en elle. Dounia commence à avoir des sursauts de jouissance, l'orgasme n'est pas très loin. C'est alors que je me mets sur le dos, en position du chandelier. Après quelques allers-retour, elle commence à grogner, puis pousse un cri énorme de jouissance, de mon côté, mon gland grossit de plus en plus, puis finit par éclater en elle. En se couchant sur moi, je sens ma semence couler sur mes jambes et sur mon sexe qui ramollit petit à petit. Après une brève toilette, nous voilà parti dans les bras de Morphée. La nuit est magique, je dors à côté d'une femme que j'aime par dessus tout. Parfois, il m'arrive même de me réveiller et de regarder son corps grâce aux lumières extérieures. Il est huit heure, le réveil sonne, j'ai encore envie d'elle, j'ai ce que l'on appelle la gaule matinale.
Après une fellation digne de ce nom et une jouissance extrême sur les seins de Dounia, nous nous levons pour prendre notre petit déjeuner. Quand soudain, la sonnette de son appartement retentit. Dans un premier temps, nous pensons à un livreur de colis ou à un jeune qui s'amuse.
Quand le bruit métallique de la clé se fait entendre dans la serrure de la porte, le stress monte. C'est Mounir et Zora qui apparaissent à l'entrée. Je suis décomposé, comment vont-ils percevoir notre présence en sous-vêtement autour d'une table décorée de croissants et de deux tasses de café. Dans un premier temps, son frère vient me saluer ainsi que sa sœur. Dounia complètement déboussolée, monte dans la chambre puis revient habiller, elle me jette un peignoir afin que je puisse préserver mon intimité. Mounir me fait signe, il veut que je lui parle, nous allons dans une pièce à l'écart des filles. Nous discutons de la relation que j'ai avec sa sœur, ayant peur que ce ne soit qu'une histoire de cul, je le rassure tout de suite en lui disant que je n'ai jamais été aussi amoureux d'une fille. Dubitatif, il me dit que depuis un moment, il revoit un sourire beaucoup plus prononcer sur les lèvres de sa sœur, elle est beaucoup plus coquette et attentionnée. Toujours aussi suspicieux, il continue de m'harceler de question puis je ne sais pas ce qui se passe à ce moment là dans ma tête, mais je lui demande la main de sa sœur. Étant en couple mais pas mariée, je me dis que c'est peut être la chance de ma vie de vivre un amour idyllique avec une femme aussi belle et aussi tendre. Nous retournons dans la pièce ou les deux sœurs discutent. Dounia est en larme, elle vient dans mes bras et dans un premier temps me demande pardon, elle ne veut pas me faire souffrir. Elle retourne sur le canapé puis Mounir prend la parole, il fait part de ma demande en mariage à ses sœurs. Ma dulcinée passe des larmes de tristesses à des larmes de joie. Son frère l'invite à se séparer rapidement de son compagnon afin de mettre en place les préparatifs du mariage. Il ne veut personne d'autre que moi comme beau-frère. Au bout de quelques jours, ils se retrouvent en réunion de famille avec l'homme qui va devenir son ancien copain. J'apprends de la bouche de Zora que son ex n'était pas content d'apprendre cette nouvelle mais qu'il comprenait qu'avec les absences répétées il ne pouvait donner satisfaction à Dounia. À mon tour, je suis invité par les membres de sa famille, je me présente à tout le monde. Très vite, je m'allie d'amitié avec ses parents et ses cousins. Un an après nos fiançailles, nous nous sommes mariés, puis nous avons eux un enfant. Je vis maintenant avec Dounia un amour parfait. Comme quoi, les rencontres les plus inattendues peuvent se faire à proximité de chez soi.
A chaque fois, je prends du plaisir à découvrir ce corps sublime. Lorsque son frère ou sa sœur son présent, nous cachons nos sentiments. Nous ne voulons pas éveiller des soupçons qui pourraient être fatals à notre couple. Un mercredi, mon responsable d'entreprise me propose de prendre une journée de repos, ravi d'apprendre cette nouvelle, je téléphone à ma chère Dounia. Nous décidons de passer la soirée du mardi ensemble, nous dînons ensemble, elle couche sa fille, puis me rejoins sur le canapé. Nous nous câlinons, nous nous embrassons et très vite nos mains se baladent sur nos corps. Nous partons dans la chambre pour profiter de ce moment d'intimité.
Elle est habillé avec une robe légère, tenue qu'elle affectionne quand nous nous voyons et que personnellement j'adore aussi car elle met en valeur ses formes délicieuses. Je me colle rapidement contre son dos, j'adore lui faire des bisous dans le cou, sentir son parfum qui m’envoûte à chacun de nos ébats. Je l'embrasse dans le cou, caresse ses épaules, puis tout doucement glisse mes doigts sous les bretelles de son vêtement afin de laisser paraître des dessous toujours aussi sexy et chic. À ma plus grande surprise, ce soir elle ne porte pas de soutien-gorge, j'ai donc accès à sa poitrine directement. Je lui masse ses seins, titille le bout de ses tétons, ce qui l'excite énormément, elle est très sensible à ce niveau là. Je continue de jouer avec elle pendant de longues minutes, je sais qu'elle aime par dessus tout la sensualité de nos ébats. Elle finit par se retourner, m'enlève mon polo, puis toujours avec douceur fait descendre mon pantalon sur mes chevilles. J'ai beaucoup de mal à cacher mon érection, mon boxer laisse paraître une énorme bosse. Elle se met à genou, baisse mon sous-vêtement, commence à prendre en main mon membre, fait des allers-retours puis approche sa bouche afin de l'avaler. Sa langue est douce, elle me procure beaucoup de plaisirs.
Je l'invite à se relever et à se coucher sur le lit. Tout doucement, je glisse ma tête sous le bas de sa robe, de mes mains je saisis les élastiques de son strings que je fais coulisser le long de ses jambes. Ses lèvres déjà humides, laisse échapper une odeur de désir. Ma bouche entre en contact avec son puits d'amour, je lui lèche le clitoris, pénètre sa vulve, ce qui la fait sursauter de plaisir. Très vite, je lui enlève entièrement sa robe. Elle est magnifique toute nue, elle écarte les cuisses et s'offre à moi. Lentement, je remonte, puis avec un coup de bassin je la prends en missionnaire. Je fais quelques vas et vient, je me retire, elle se met à quatre pattes, je saisis ses hanches et je lui fais une levrette. La vue de ses fesses et la douceur de sa minette me font rapidement monter dans les tours. Je fais tout pour me contrôler, j'ai envie qu'elle prenne aussi du plaisir. Chose qui se passe, puisque j'entends des gémissements réguliers sortant de sa bouche. Nous nous positionnons en position de la cuillère, je suis derrière elle, je saisis ses seins et dans le même temps pénètre sa vulve. J'adore cette position, je sens son corps se tortiller dans tout les sens. Quelques fois avec ma jambe, je soulève sa cuisse pour lui caresse le clitoris en même temps que je suis en elle. Dounia commence à avoir des sursauts de jouissance, l'orgasme n'est pas très loin. C'est alors que je me mets sur le dos, en position du chandelier. Après quelques allers-retour, elle commence à grogner, puis pousse un cri énorme de jouissance, de mon côté, mon gland grossit de plus en plus, puis finit par éclater en elle. En se couchant sur moi, je sens ma semence couler sur mes jambes et sur mon sexe qui ramollit petit à petit. Après une brève toilette, nous voilà parti dans les bras de Morphée. La nuit est magique, je dors à côté d'une femme que j'aime par dessus tout. Parfois, il m'arrive même de me réveiller et de regarder son corps grâce aux lumières extérieures. Il est huit heure, le réveil sonne, j'ai encore envie d'elle, j'ai ce que l'on appelle la gaule matinale.
Après une fellation digne de ce nom et une jouissance extrême sur les seins de Dounia, nous nous levons pour prendre notre petit déjeuner. Quand soudain, la sonnette de son appartement retentit. Dans un premier temps, nous pensons à un livreur de colis ou à un jeune qui s'amuse.
Quand le bruit métallique de la clé se fait entendre dans la serrure de la porte, le stress monte. C'est Mounir et Zora qui apparaissent à l'entrée. Je suis décomposé, comment vont-ils percevoir notre présence en sous-vêtement autour d'une table décorée de croissants et de deux tasses de café. Dans un premier temps, son frère vient me saluer ainsi que sa sœur. Dounia complètement déboussolée, monte dans la chambre puis revient habiller, elle me jette un peignoir afin que je puisse préserver mon intimité. Mounir me fait signe, il veut que je lui parle, nous allons dans une pièce à l'écart des filles. Nous discutons de la relation que j'ai avec sa sœur, ayant peur que ce ne soit qu'une histoire de cul, je le rassure tout de suite en lui disant que je n'ai jamais été aussi amoureux d'une fille. Dubitatif, il me dit que depuis un moment, il revoit un sourire beaucoup plus prononcer sur les lèvres de sa sœur, elle est beaucoup plus coquette et attentionnée. Toujours aussi suspicieux, il continue de m'harceler de question puis je ne sais pas ce qui se passe à ce moment là dans ma tête, mais je lui demande la main de sa sœur. Étant en couple mais pas mariée, je me dis que c'est peut être la chance de ma vie de vivre un amour idyllique avec une femme aussi belle et aussi tendre. Nous retournons dans la pièce ou les deux sœurs discutent. Dounia est en larme, elle vient dans mes bras et dans un premier temps me demande pardon, elle ne veut pas me faire souffrir. Elle retourne sur le canapé puis Mounir prend la parole, il fait part de ma demande en mariage à ses sœurs. Ma dulcinée passe des larmes de tristesses à des larmes de joie. Son frère l'invite à se séparer rapidement de son compagnon afin de mettre en place les préparatifs du mariage. Il ne veut personne d'autre que moi comme beau-frère. Au bout de quelques jours, ils se retrouvent en réunion de famille avec l'homme qui va devenir son ancien copain. J'apprends de la bouche de Zora que son ex n'était pas content d'apprendre cette nouvelle mais qu'il comprenait qu'avec les absences répétées il ne pouvait donner satisfaction à Dounia. À mon tour, je suis invité par les membres de sa famille, je me présente à tout le monde. Très vite, je m'allie d'amitié avec ses parents et ses cousins. Un an après nos fiançailles, nous nous sommes mariés, puis nous avons eux un enfant. Je vis maintenant avec Dounia un amour parfait. Comme quoi, les rencontres les plus inattendues peuvent se faire à proximité de chez soi.
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