Doux foyer (1)
Récit érotique écrit par Leatherbite [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Doux foyer (1)
je m'appelle Alexandre, j'ai vingt trois ans, je suis un mec comme il en existe des millions : mince, de taille moyenne, les cheveux bruns, je suis monsieur tout le monde.
Je partage ma vie avec Christelle, ma femme, nous sommes mariés depuis deux ans, c'est une rouquine de vingt deux ans, les cheveux courts, mince et élancée, elle a de jolies tâches de rousseur qui ressortent en été, une voix d'ange et des grands yeux verts.
Christelle, c'est l'archétype de la fille super sympa qui s'entend avec tout le monde.
Je travaillais dans un bureau, Christelle, quant à elle, avait un job en mi-temps comme conseillère dans une boutique, pas un boulot très reluisant, mais sa famille étant riche, nous vivions dans une assez belle maison isolée de tout.
La porte d'entrée donnait sur un vestibule qui, lui même débouchait sur notre salon, puis venait la chambre, la salle de bain était à l'opposé et la cuisine sur le côté.
Je suis un homme très amoureux, mais j'ai commis un impair, une seule fois, mais la fois de trop.
J'ai toujours eu certains fantasmes de domination, mais n'avais jamais osé en parler à Christelle, avec le temps la frustration était très forte, Christelle et moi couchions ensemble, mais ce n'était pas pareil.
Pourquoi ne lui en ai-je pas parlé à elle ? La raison est simple : je l'aime bien trop ...
Comprenez moi : mes fantasmes sont trash et très irrespectueux, j'aime traiter une femme comme de la merde, qu'elle soit un sextoy, l'offrir à d'autres mecs, la tenir en laisse etc ... Et tout ça je ne pourrai jamais le faire à Christelle, jamais je ne pourrai lui faire du mal, même dans le cadre d'un jeu sexuel.
Il y a un an, quand elle était partie en vacances voir sa famille en France, j'ai cherché, je me disais que ce serait une seule fois, qu'elle ne le saurait jamais, décision impulsive et ridicule, mais la frustration était trop forte.
J'ai discuté avec Anaïs, une fille brune, un peu boulotte avec des lunettes et un visage magnifique.
Je l'ai rencontrée à l'hôtel, ce fut torride.
Elle portait un chemisier blanc et une petite jupe, la parfaite tenue de secrétaire, sans sous vêtements. J'avais arraché les boutons et commencé à travailler ses tétons, les malaxant, les titillant, puis les pinçant, prenant plaisir à la voir gémir.
— Tu aimes ça salope ?
— Oui maître ...
Ma main était ensuite venue lever sa jupe pour caresser son entrejambe.
— Écarte !
Ordonnais-je, avec le plaisir de la voir s'exécuter.
Mes doigts pénétrèrent son intimité sans aucune forme de pudeur, avant de lui enfoncer mes doigts poisseux de cyprine entre les lèvres.
Puis je lui avais ordonné de se déshabillé, de la je lui ai fais mettre les mains sur le mur et cambrer les fesses, une série des coups de cravache avaient suivi, d'abord doux, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'elle demande grâce.
Les fesses rougies, elle tremblait déjà d'excitation, je lui mis un collier autour du coup et l'attirais à moi pour lui offrir un baiser bestial qui n'avait rien de romantique.
— A genoux catin !
Et elle s'était exécutée, la jolie Anaïs, bibliothécaire qui était loin de montrer au monde sa facette si particulière, cette facette qu'elle ne montrait qu'a moi et qu'une seule fois dans ma vie, je devais en profiter.
Je sentais mon sexe dur s'enfoncer dans sa gorge, les lèvres délicate de la jeune fille caresser les paroi de mon membre turgescent, si bien que je commençais même à me sentir particulièrement excité, proche de la fin, aussi lui ordonnais-je de se redresser.
Je lui accrochais alors des pinces au tétons et lui mis un bâillon, s’ensuivit un peu de torture des seins, d'abord en tirant sur les pinces, puis en fouettant doucement les bouts de ses mamelons avec le bout de ma cravache.
Les yeux bandés je la fis marcher à travers la pièce en la tenant en laisse, vérifiant qu'il ne lui arrivait rien, le BDSM est un jeu après tout, pas une véritable torture.
Enfin je lui retirai le bandeau.
— Sur le lit salope !
Anaïs s’exécutait. Je la regardais prendre place, allongée sur le dos avant de me "mettre en colère"
— à quatre pattes, comme une chienne, c'est tout ce que tu mérite !
Et je la pris avec force et vigueur, donnant des coups de rein puissants, je l'ai besognée ainsi pendant dix bonnes minutes, avant de la faire changer de position, m'enfonçant en elle, pénétrant sa petite caverne, la regardant droit dans les yeux avant de poser mes mains sur son cou et de l'étrangler, pas trop fort, juste ce qu'il faut pour l'exciter.
Lorsque je sentais que j'allais venir, je lui ordonnais de se mettre à genoux, j'attrapais mon sexe et le jet puissant qui en sortait repeignait le visage de la belle Anaïs qui ponctuait cette courte session par un "merci maître" très excitant.
Bien sûr, j'avais pensé à l'aftercare, me collant à elle, après lui avoir nettoyé le visage, ce que je n'avais pas prévu c'est qu'elle attrape mon téléphone pour voir l'heure qu'il était et qu'elle me voit sur le fond d'écran enlacé contre Christelle.
Elle l'avait directement mal prit, prétextant qu'elle ne voulait pas avoir à faire à un homme marié, furieuse elle était partie en hurlant à en réveiller tout l'hôtel, me promettait de tout balancer à ma femme, hélas pour elle, elle ne connaissait pas mon vrai nom, je me cru tiré d'affaire, du moins le pensais-je ...
Cela faisait quelques mois que Christelle était distante, muette, elle parlait peu et semblait toujours ailleurs, mais ce jour la, elle semblait de bonne humeur, je fus réveillé par la bonne odeur des croissants.
— Merci mon amour !
Lui dis-je avant de l'embrasser et de filer au travail.
Le boulot était incroyablement chiant, durant quatre heures, je fis ce que j'avais à faire avant de partir m'acheter un sandwich.
C'est la que je la vis ou plutôt que je cru la voir : Anaïs, au bout de la rue. Mon instinct disait de fuir, mais je devais en avoir le cœur net, je m'étais élancé à sa poursuite, mais plus rien, sans doute avais-je rêver.
Cela m'obsédait les quatre heures suivantes : était-ce elle ? M'avait-elle retrouvé ? Non c'était ridicule, c'était arrivé il y a un an, elle avait du tourner la page.
Et il restait la possibilité que je me trompe.
Après le travail, je rentrais chez moi, prenant la voiture pour venir me garer devant notre bâtisse, impatient de rentrer chez moi, mais je ne me doutais pas de ce qui m'attendais.
Je fermais la porte derrière moi, sans trop y réfléchir, ma musique encore dans mes oreilles, j'ôtais les écouteurs et enfin levais les yeux pour voir un spectacle inattendu.
Christelle était la, à genoux sur le canapé, derrière elle, un homme que je ne connaissais pas en train de la prendre sauvagement par derrière, elle gémissait avec force, elle était entièrement nue et semblait prendre un plaisir immense.
Je lâchais mon sac à dos sur le sol, complètement abasourdi par ce que je voyais.
Christelle en train de me tromper ...
Christelle qui me trompe dans NOTRE maison ...
Christelle avec un inconnu en train de s'envoyer en l'air alors qu'elle savait très bien que je devais rentrer maintenant ...
Il la prenait sans ménagement, lui mettant des fessée et la tirant par les cheveux, elle criait de plaisir, elle ne simulait pas.
C'était torride, hard et cela aurait pu être excitant si c'était un porno ou spectacle live, mais la c'était MA femme ...
Avec un autre homme ...
Je n'arrivais même pas à m'énerver, mes lèvres tremblaient, mes poings se serraient, je ne poussais mot, c'était comme si j'attendais qu'elle me remarque ...
Mais ce fut l'homme qui me remarquait, il levait un sourcil et dit simplement à ma femme :
— Je crois que ton mec est rentré ...
Elle ouvrait les yeux, toujours en plein plaisir, mais ce fut sa réaction qui me choquait le plus.
— Salut Hou, Alex ... Si tu as Huumm faim ... Il y a des restes Houmf dans la cuisine ...
Sérieusement ...
Elle était en train de me tromper et tout ce qu'elle trouvait à dire c'était ça ? "si tu as faim il y a des restes dans la cuisine" ?
L'homme s'arrêtait finalement petit à petit.
— T'es sûre qu'il est OK, il a pas trop l'air la ...
Christelle me jetait un regard, pas désolé, ni inquiète, mais plutôt méprisant.
— T'inquiète, il s'en remettra ...
Comment ça "il s'en remettra" ?
ce fut la goutte d'eau.
— Non, mais tu te fous de ma gueule !?
L'homme fut surpris par la force de mon cri, il sorti précipitamment de MA femme et embarquait ses fringues, il quitta les lieux, sans même se rhabiller.
Christelle, elle se redressait et s'approchait de moi.
— C'est quoi ton problème !?
Elle ne pouvait pas être sérieuse, c'était un canular, c'était obligé ...
J'explosais ...
— Tu me trompe ? Et dans NOTRE maison en plus, sous NOTRE toit !!!
Mais Christelle ne semblait pas prête à baisser les armes, pointant sur moi un doigt accusateur, l'on aurait cru rêver, elle me trompait et ça allait être ma faute ?
— Alors primo, c'est MA maison, la maison que MES parents m'ont achetée à MOI pour que j'y vive avec l'homme que j'aime.
— Quand on aime, on ne trompe pas !
— C'est vrai ou au moins on fait ça à l'hôtel j'imagine ?
Gros blanc ...
Elle savait ...
Elle savait pour Anaïs, pour l'hôtel, pour la tromperie. J'avais regretté directement après, mais cela avait été plus fort que moi, je m'étais toujours dis qu'elle ne le saurait jamais, j'avais été jusque Charleroi pour rencontrer cette fille et malgré tout ...
Elle savait ...
— C'est Anaïs qui te l'a dit ?
— Qui ?
— La fille avec qui ... Je t'ai ...
— Avec qui tu m'a TROMPÉE Alex, n'aie pas peur de le dire ... Et non, c'est juste que tu ne sais pas bien géré ton historique et tes mots de passe ...
Je m'écroulais sous le poids de la culpabilité, de la frustration, de la colère, elle vint s'asseoir à côté de moi, elle semblait plus calme.
— Ecoute Alex, je t'aime ... Sincèrement, mais ce qu'il s'est passé ce jour la, n'avait pas à se produire. Tu m'a trompée, je t'ai trompé, c'était juste un simple retour des choses.
Je levais un regard interloqué devant ce qu'elle venait de dire, comment ça ? Elle trouvait ça normal ?
— Je ne veux pas te perdre Alex, j'avoue ce n'était pas très malin de ma part, j'aurai du te hurler dessus ou te fiche dehors quelques temps, mais je t'aime, sincèrement et je voulais que tu te sentes trahi comme je me suis sentie trahie ...
Je n'avais plus la force de répliquer, que dire, elle avait raison : j'avais fauté le premier.
J'ai accepté cette punition, nous avions remis les compteurs à zéros en nous promettant de ne plus faire d'erreurs, nous avons mangé, puis nous sommes aller dormir, mais ni elle ni moi n'avons fermé l'œil de la nuit.
Ce qui nous empêchait de dormir était très différents, j'avais été énormément impactée par ce qu'il s'était passé -qui ne le serait pas ?- mais elle c'était une toute autre raison.
En dépit de son mobile, elle avait apprécié faire ça alors que je l'observai et je n'avais aucune idée à quel point notre vie allait changer radicalement ...
A suivre ...
Cette histoire est une fiction, toute ressemblance avec des personnages réels serait purement fortuite.
Je partage ma vie avec Christelle, ma femme, nous sommes mariés depuis deux ans, c'est une rouquine de vingt deux ans, les cheveux courts, mince et élancée, elle a de jolies tâches de rousseur qui ressortent en été, une voix d'ange et des grands yeux verts.
Christelle, c'est l'archétype de la fille super sympa qui s'entend avec tout le monde.
Je travaillais dans un bureau, Christelle, quant à elle, avait un job en mi-temps comme conseillère dans une boutique, pas un boulot très reluisant, mais sa famille étant riche, nous vivions dans une assez belle maison isolée de tout.
La porte d'entrée donnait sur un vestibule qui, lui même débouchait sur notre salon, puis venait la chambre, la salle de bain était à l'opposé et la cuisine sur le côté.
Je suis un homme très amoureux, mais j'ai commis un impair, une seule fois, mais la fois de trop.
J'ai toujours eu certains fantasmes de domination, mais n'avais jamais osé en parler à Christelle, avec le temps la frustration était très forte, Christelle et moi couchions ensemble, mais ce n'était pas pareil.
Pourquoi ne lui en ai-je pas parlé à elle ? La raison est simple : je l'aime bien trop ...
Comprenez moi : mes fantasmes sont trash et très irrespectueux, j'aime traiter une femme comme de la merde, qu'elle soit un sextoy, l'offrir à d'autres mecs, la tenir en laisse etc ... Et tout ça je ne pourrai jamais le faire à Christelle, jamais je ne pourrai lui faire du mal, même dans le cadre d'un jeu sexuel.
Il y a un an, quand elle était partie en vacances voir sa famille en France, j'ai cherché, je me disais que ce serait une seule fois, qu'elle ne le saurait jamais, décision impulsive et ridicule, mais la frustration était trop forte.
J'ai discuté avec Anaïs, une fille brune, un peu boulotte avec des lunettes et un visage magnifique.
Je l'ai rencontrée à l'hôtel, ce fut torride.
Elle portait un chemisier blanc et une petite jupe, la parfaite tenue de secrétaire, sans sous vêtements. J'avais arraché les boutons et commencé à travailler ses tétons, les malaxant, les titillant, puis les pinçant, prenant plaisir à la voir gémir.
— Tu aimes ça salope ?
— Oui maître ...
Ma main était ensuite venue lever sa jupe pour caresser son entrejambe.
— Écarte !
Ordonnais-je, avec le plaisir de la voir s'exécuter.
Mes doigts pénétrèrent son intimité sans aucune forme de pudeur, avant de lui enfoncer mes doigts poisseux de cyprine entre les lèvres.
Puis je lui avais ordonné de se déshabillé, de la je lui ai fais mettre les mains sur le mur et cambrer les fesses, une série des coups de cravache avaient suivi, d'abord doux, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'elle demande grâce.
Les fesses rougies, elle tremblait déjà d'excitation, je lui mis un collier autour du coup et l'attirais à moi pour lui offrir un baiser bestial qui n'avait rien de romantique.
— A genoux catin !
Et elle s'était exécutée, la jolie Anaïs, bibliothécaire qui était loin de montrer au monde sa facette si particulière, cette facette qu'elle ne montrait qu'a moi et qu'une seule fois dans ma vie, je devais en profiter.
Je sentais mon sexe dur s'enfoncer dans sa gorge, les lèvres délicate de la jeune fille caresser les paroi de mon membre turgescent, si bien que je commençais même à me sentir particulièrement excité, proche de la fin, aussi lui ordonnais-je de se redresser.
Je lui accrochais alors des pinces au tétons et lui mis un bâillon, s’ensuivit un peu de torture des seins, d'abord en tirant sur les pinces, puis en fouettant doucement les bouts de ses mamelons avec le bout de ma cravache.
Les yeux bandés je la fis marcher à travers la pièce en la tenant en laisse, vérifiant qu'il ne lui arrivait rien, le BDSM est un jeu après tout, pas une véritable torture.
Enfin je lui retirai le bandeau.
— Sur le lit salope !
Anaïs s’exécutait. Je la regardais prendre place, allongée sur le dos avant de me "mettre en colère"
— à quatre pattes, comme une chienne, c'est tout ce que tu mérite !
Et je la pris avec force et vigueur, donnant des coups de rein puissants, je l'ai besognée ainsi pendant dix bonnes minutes, avant de la faire changer de position, m'enfonçant en elle, pénétrant sa petite caverne, la regardant droit dans les yeux avant de poser mes mains sur son cou et de l'étrangler, pas trop fort, juste ce qu'il faut pour l'exciter.
Lorsque je sentais que j'allais venir, je lui ordonnais de se mettre à genoux, j'attrapais mon sexe et le jet puissant qui en sortait repeignait le visage de la belle Anaïs qui ponctuait cette courte session par un "merci maître" très excitant.
Bien sûr, j'avais pensé à l'aftercare, me collant à elle, après lui avoir nettoyé le visage, ce que je n'avais pas prévu c'est qu'elle attrape mon téléphone pour voir l'heure qu'il était et qu'elle me voit sur le fond d'écran enlacé contre Christelle.
Elle l'avait directement mal prit, prétextant qu'elle ne voulait pas avoir à faire à un homme marié, furieuse elle était partie en hurlant à en réveiller tout l'hôtel, me promettait de tout balancer à ma femme, hélas pour elle, elle ne connaissait pas mon vrai nom, je me cru tiré d'affaire, du moins le pensais-je ...
Cela faisait quelques mois que Christelle était distante, muette, elle parlait peu et semblait toujours ailleurs, mais ce jour la, elle semblait de bonne humeur, je fus réveillé par la bonne odeur des croissants.
— Merci mon amour !
Lui dis-je avant de l'embrasser et de filer au travail.
Le boulot était incroyablement chiant, durant quatre heures, je fis ce que j'avais à faire avant de partir m'acheter un sandwich.
C'est la que je la vis ou plutôt que je cru la voir : Anaïs, au bout de la rue. Mon instinct disait de fuir, mais je devais en avoir le cœur net, je m'étais élancé à sa poursuite, mais plus rien, sans doute avais-je rêver.
Cela m'obsédait les quatre heures suivantes : était-ce elle ? M'avait-elle retrouvé ? Non c'était ridicule, c'était arrivé il y a un an, elle avait du tourner la page.
Et il restait la possibilité que je me trompe.
Après le travail, je rentrais chez moi, prenant la voiture pour venir me garer devant notre bâtisse, impatient de rentrer chez moi, mais je ne me doutais pas de ce qui m'attendais.
Je fermais la porte derrière moi, sans trop y réfléchir, ma musique encore dans mes oreilles, j'ôtais les écouteurs et enfin levais les yeux pour voir un spectacle inattendu.
Christelle était la, à genoux sur le canapé, derrière elle, un homme que je ne connaissais pas en train de la prendre sauvagement par derrière, elle gémissait avec force, elle était entièrement nue et semblait prendre un plaisir immense.
Je lâchais mon sac à dos sur le sol, complètement abasourdi par ce que je voyais.
Christelle en train de me tromper ...
Christelle qui me trompe dans NOTRE maison ...
Christelle avec un inconnu en train de s'envoyer en l'air alors qu'elle savait très bien que je devais rentrer maintenant ...
Il la prenait sans ménagement, lui mettant des fessée et la tirant par les cheveux, elle criait de plaisir, elle ne simulait pas.
C'était torride, hard et cela aurait pu être excitant si c'était un porno ou spectacle live, mais la c'était MA femme ...
Avec un autre homme ...
Je n'arrivais même pas à m'énerver, mes lèvres tremblaient, mes poings se serraient, je ne poussais mot, c'était comme si j'attendais qu'elle me remarque ...
Mais ce fut l'homme qui me remarquait, il levait un sourcil et dit simplement à ma femme :
— Je crois que ton mec est rentré ...
Elle ouvrait les yeux, toujours en plein plaisir, mais ce fut sa réaction qui me choquait le plus.
— Salut Hou, Alex ... Si tu as Huumm faim ... Il y a des restes Houmf dans la cuisine ...
Sérieusement ...
Elle était en train de me tromper et tout ce qu'elle trouvait à dire c'était ça ? "si tu as faim il y a des restes dans la cuisine" ?
L'homme s'arrêtait finalement petit à petit.
— T'es sûre qu'il est OK, il a pas trop l'air la ...
Christelle me jetait un regard, pas désolé, ni inquiète, mais plutôt méprisant.
— T'inquiète, il s'en remettra ...
Comment ça "il s'en remettra" ?
ce fut la goutte d'eau.
— Non, mais tu te fous de ma gueule !?
L'homme fut surpris par la force de mon cri, il sorti précipitamment de MA femme et embarquait ses fringues, il quitta les lieux, sans même se rhabiller.
Christelle, elle se redressait et s'approchait de moi.
— C'est quoi ton problème !?
Elle ne pouvait pas être sérieuse, c'était un canular, c'était obligé ...
J'explosais ...
— Tu me trompe ? Et dans NOTRE maison en plus, sous NOTRE toit !!!
Mais Christelle ne semblait pas prête à baisser les armes, pointant sur moi un doigt accusateur, l'on aurait cru rêver, elle me trompait et ça allait être ma faute ?
— Alors primo, c'est MA maison, la maison que MES parents m'ont achetée à MOI pour que j'y vive avec l'homme que j'aime.
— Quand on aime, on ne trompe pas !
— C'est vrai ou au moins on fait ça à l'hôtel j'imagine ?
Gros blanc ...
Elle savait ...
Elle savait pour Anaïs, pour l'hôtel, pour la tromperie. J'avais regretté directement après, mais cela avait été plus fort que moi, je m'étais toujours dis qu'elle ne le saurait jamais, j'avais été jusque Charleroi pour rencontrer cette fille et malgré tout ...
Elle savait ...
— C'est Anaïs qui te l'a dit ?
— Qui ?
— La fille avec qui ... Je t'ai ...
— Avec qui tu m'a TROMPÉE Alex, n'aie pas peur de le dire ... Et non, c'est juste que tu ne sais pas bien géré ton historique et tes mots de passe ...
Je m'écroulais sous le poids de la culpabilité, de la frustration, de la colère, elle vint s'asseoir à côté de moi, elle semblait plus calme.
— Ecoute Alex, je t'aime ... Sincèrement, mais ce qu'il s'est passé ce jour la, n'avait pas à se produire. Tu m'a trompée, je t'ai trompé, c'était juste un simple retour des choses.
Je levais un regard interloqué devant ce qu'elle venait de dire, comment ça ? Elle trouvait ça normal ?
— Je ne veux pas te perdre Alex, j'avoue ce n'était pas très malin de ma part, j'aurai du te hurler dessus ou te fiche dehors quelques temps, mais je t'aime, sincèrement et je voulais que tu te sentes trahi comme je me suis sentie trahie ...
Je n'avais plus la force de répliquer, que dire, elle avait raison : j'avais fauté le premier.
J'ai accepté cette punition, nous avions remis les compteurs à zéros en nous promettant de ne plus faire d'erreurs, nous avons mangé, puis nous sommes aller dormir, mais ni elle ni moi n'avons fermé l'œil de la nuit.
Ce qui nous empêchait de dormir était très différents, j'avais été énormément impactée par ce qu'il s'était passé -qui ne le serait pas ?- mais elle c'était une toute autre raison.
En dépit de son mobile, elle avait apprécié faire ça alors que je l'observai et je n'avais aucune idée à quel point notre vie allait changer radicalement ...
A suivre ...
Cette histoire est une fiction, toute ressemblance avec des personnages réels serait purement fortuite.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui, je suis d'accord avec Didier, tu devrais écrire au présent. J'ai apprécié la fin, annonciatrice de cocufiage et humiliations à venir! 😉
Toujoursce problème avec le passé simple ! Pourtant j'ai apprécié votre récit qui m'a bien excité ! Didier
Même si c'est une fiction, c'est mérité.