Doux foyer (10)
Récit érotique écrit par Leatherbite [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Doux foyer (10)
Résumé de l'épisode précédent : Alex et Christelle ont connus une évolution significative dans leur domination, poussés par les défis quotidien de Maîtresse Jenny, ils ont enfin testé le pegging, une situation qu'Alex n'a pas détesté.
Parallèlement à cela, Paul, collègue d'Alex, qui lui avait proposé d'une fois venir manger chez lui et sa femme et Laeti, est à cents lieux d'imaginer la vie de fantasmes que vivent les tourtereaux. Christelle, soupçonneuse, décide de contacter Paul et prend rendez-vous avec le couple, sans demander l'avis d'Alex, lorsque celui-ci essaie de comprendre pourquoi, Christelle lui explique avoir une surprise pour lui ...
Mercredi matin, l'on attaquait le milieu de semaine. Je sortais du lit, curieusement, Christelle était déjà réveillée, elle qui était une véritable marmotte, c'était plutôt rare.
Aujourd'hui, mon programme était chargé : le défi de Maîtresse Jenny, le travail et enfin le dîner chez Paul et Laeti, j'ignorais sincèrement ce que je devrais faire.
Christelle déposait une boite sur la table, elle était toute petite, son regard était équivoque : pétillant d'excitation. Je l'ouvrais doucement, un peu craintif de ce que j'allais y trouver, ma main rencontrait un objet en acier froid, circulaire et long.
— Un plug anal ?
— C'est ton défi d'aujourd'hui ...
Christelle était visiblement très excitée
— Et toi ? Je peux savoir ?
Elle m'embrassait rapidement du bout des lèvres.
— Chéri, bien sûr que non, tu connais les règles ...
Elle avait ce petit sourire énigmatique qui voulait autant dire « on va s'amuser » que « tu vas en chier »
Après ce petit échange, il était temps de partir au travail, je fonçais à ma voiture, quand mon téléphone sonnait, c'était Christelle qui me précisait d'éviter la route que j'avais l'habitude de prendre à cause de travaux.
Je prenais donc la seule autre route menant au travail qui passait juste devant chez Paul, sa voiture n'était pas la, je jetai un œil rapide à la maison ...
Pour apercevoir un homme se dirigeant vers Laeti qui attendait devant l'entrée.
Le type regardait son téléphone, puis jetait un œil à la jeune femme, semblant lui poser une question, jusque la, rien d'anormal, mais par la suite, Laeti passait le plat de sa main sur l'entrejambe du mec et le caressait sans aucune pudeur, heureusement pour elle, il n'y avait personne à ce moment la de la journée.
Laeti était infidèle ? Devais-je en parler à Paul ? Pour le moment je gardais cette information dans un coin de ma tète.
Mes pensées furent interrompues par la sonnerie SMS de mon téléphone que je prenais rapidement au feu rouge pour jeter un œil : une question de Christelle « Tu ferais n'importe quoi pour moi ? » sûr de moi, je répondais « oui » ne l'avais-je pas déjà prouvé ?
Autre SMS « Si je t'avais tendu un petit piège pour quelque chose, tu m'en voudrais ? »
Je restai un peu sonné par la question, Christelle m'avait-elle trahi ? Un coup de klaxon me fit revenir à la réalité, je démarrais à nouveau et arrivait au travail.
Je checkais mon téléphone, répondant en demandant à ma femme ce qu'elle voulait dire, mais point de réponse.
Point de Paul non plus d'ailleurs, au fil du temps, il ne venait toujours pas et le patron venait me voir pour m'expliquer qu'il s'était fait porter pâle, bizarre, je n'avais pas vu sa voiture ce matin pourtant.
La journée s'écoulait doucement, le plug anal était extrêmement dérangeant et un peu douloureux, avoir ce genre de jouet dans le cul quand on jouait et quand on travaillait c'étaient deux choses différentes.
Une fois la journée terminée, je prenais la voiture, me rendant chez Paul, le trajet était rapide.
Une fois arrivé, je checkais à nouveau mon téléphone, mais aucune réponse de Christelle malgré qu'elle m'ait lâché un « vu », tout cela commençais à m'inquiéter.
Je sonnais à la porte de la maison, la voiture de Paul était toujours portée disparue.
Au bout de quelques minutes, la porte s'ouvrait sur Laeti enroulée dans une serviette, elle était totalement nue.
— Alex ? T'es en avance !
— Ah non, je suis à l'heure, Paul est la ?
— Non, il est allé chercher quelque chose pour ce soir, entre ...
Je pénétrai dans la maison, le long couloir blanc qui menait à la salle à manger était très serré pour ce qui semblait être une maison plutôt spacieuse.
— Désolée, j'étais sous la douche.
— Pas de soucis, fais comme chez toi !
J'avais dis cela en rigolant, mais mon regard se posait sur ses cheveux : totalement secs, à quoi était en train de jouer cette fille ?
— Heu ... Je peux revenir plus tard, quand tu seras habillée ? Paul sera peut-être la ...
— Non, il ne viendra pas.
— Quoi ?
Laeti se tournait alors vers moi avec un regard d'enfant prise en faute.
— Pas ... Maintenant je veux dire ... Je te sers un verre ?
— Avec plaisir.
Laeti m'apportait un verre de vin et s'installait juste à mes côtés, les jambes croisées. J'avais une vue imprenable sur ses jambes, mais surtout, réflexe de fétichiste : je pouvais regarder ses pieds.
Ils étaient magnifiques, parfait, les ongles ni trop longs, ni trop courts, d'une forme excitante, presque comme ceux de Christelle, à l'exception prêt de la préférence de ma femme pour les couleurs froides et le noir, Laeti, elle, avait choisi un blanc pur.
Je le sentais mal : la disparition de Paul, ce type qu'elle avait chauffé ce matin, son attitude qui donnait l'impression qu'elle tentait de me séduire, cela expliquait, entre autre, la disparition de mon collègue.
— Laeti ... heu ... C'est gentil, mais j'aimerais savoir ou est Paul ...
— Pourquoi ? ... Tu n'es pas bien la ? ...
Elle avait parlé d'une voix ultra sensuelle et commençait à se pencher vers moi.
Si je devais être honnête, Laeti était clairement une belle femme, mais malgré notre sexualité plus ouverte, je n'avais aucune intention de tromper Christelle à nouveau, ce n'était pas au goût du jour et je n'en avais aucune envie. J'avais failli la perdre une fois et si l'idée de la voir se faire prendre par un autre homme m'excitait, c'était aussi parce que cette fois, ce serait dans le cadre d'un jeu sexuel et non par vengeance.
Avant même que je ne le réalise, Laeti se penchait vers moi pour tenter de m'embrasser, je la repoussais doucement.
— Tu fais quoi la ?
— Oh, aller, tu n'a pas une petite idée de pourquoi Paul n'est pas la ?
— Laeti, non, je ne ferai pas ça.
— Je ne te plais pas ?
Tout en parlant, elle ouvrait doucement la serviette qui cachait son corps, un corps magnifique : un tatouage partait de son coude droit à l'épaule, elle avait de fins abdominaux et une poitrine moyenne, un rien plus grosse que celle de Christelle, mais clairement ridiculement petite comparée à celle de Maîtresse Jenny.
— Tu es très bien, mais je suis marié ...
— Oh arrête, je suis sûre que tu en meurs d'envie ,,.
La main de Laeti s'était posée sur ma jambe et remontait, j'aurai aimé dire que c'était ma fidélité à toute épreuve qui m'avait poussé à me lever, mais c'était aussi et surtout la peur qu'elle touche la cage de chasteté à travers mon jeans.
— Je dois aller aux toilettes !
Sans même lui laisser le temps de m'indiquer ou c'était, je me dirigeais vers ce que j'imaginais être la porte des toilettes pour me retrouver en haut de la cave.
— C'est en haut ...
La voix de Laeti avait paru soupirer.
Je montais rapidement, passant la porte et me posant devant la cuvette, sortant mon sexe encagé et tachant de viser juste entre les barreaux pour pouvoir uriner dans la toilette.
— Comment me sortir de ce merdier ...
En cavalant pardi ! Je n'avais qu'a descendre et partir par la porte, tout simplement.
Tout cela n'était pas normal, Laeti me connaissait à peine, pourquoi vouloir me séduire tout à coup ? On ne pouvait pas dire que je sois un homme laid, mais de la à dépasser le physique de Paul, il y avait une marge.
Tout à coup la porte s'ouvrait sur Laeti, entièrement nue qui me regardait droit dans les yeux.
— Aller, essuie moi tout ça et on pourra ...
Gros blanc ...
Je devinais assez aisément ce qui l'avait motivée à la boucler : ma main refermée sur un sexe dans une cage avec un string en dentelle en guise de sous vêtements.
Qu'allait-il se passer maintenant ?
Le visage de Laeti était choqué, elle fermait et ouvrait la bouche plusieurs fois avant de pousser un ricanement, puis d'éclater de rire.
— Nooonn t'es dans ce genre de délire ? Christelle c'est quoi ? Ta « Maîtresse » un truc comme ça ? Moi qui te prenais pour un tombeur et tu es juste ... Ah ah ah ah ...
Je passais à côté d'elle sans mot dire, honteux et humilié. Elle raconterait sûrement ça à Paul, il fallait que je parte. Je pouvais toujours mentir ou trouver une solution, voire, pourquoi pas, raconter ce qu'il s'était passé au matin avec le gars.
Je me dirigeais rapidement vers la porte d'entrée, entendant vaguement Laeti derrière qui m'interpellait et finissait par se planter entre moi et la sortie.
— J'ai un énorme gode pour ton cul si t'aimes ça ...
Je restais à la regarder un moment, elle avait dit cela avec une telle sensualité, on sentait qu'elle était habituée à séduire. Ma respiration s'était accélérée et mon sexe pulsait dans sa cage.
Tout à coup, elle éclatait de rire à nouveau.
— J'y crois pas ! T'étais en train d'y penser avoue ! C'est tellement pitoyable ...
Je la dépassais et rentrait dans ma voiture, elle refermait la porte derrière moi, sans doute avait-elle envie de rajouter une couche, mais elle avait préféré ne pas sortir nue, malgré l'absence évidente de voisins.
Tout en roulant, j'étais tellement en colère que je manquais de rentrer dans un taxi qui se dirigeait dans le sens contraire, un rapide coup d’œil à mon téléphone : pas de message de Christelle, je tentais de l'appeler, mais n'obtenais aucune réponse.
Vingt minutes plus tard, je me garais dans l'allée, sortant de ma voiture, je me dirigeais vers la porte de la maison, remarquant enfin ce que j'aurais du voir en arrivant : la voiture de Paul, garée un peu plus loin.
— Non ...
Je sortais mes clefs de ma poche et les dirigeais vers la serrure, le cœur battant à tout rompre. J'avais dis à Christelle que ça m'exciterait, mais pas comme ça ! Pas dans mon dos !
— Non ...
La clef peinait à rentrer dans la serrure et je faisais tomber le trousseau.
Putain de merde ...
— Non ...
Quand je pense que j'avais refusé de faire quoi que ce soit avec Laeti et que la cage n'était pas la seule responsable de ce refus ...
— Non ...
Après un temps qui me paraissait une éternité, je poussais la porte, entendant clairement le lit grincer et un homme lâcher des insanités.
Elle baisait dans notre chambre, elle me trompait encore ...
Je déboulais dans la chambre pour la confondre et tombait sur un spectacle singulier :
Paul était la, à quatre pattes, le visage maquillé, une perruque sur le crane et habillé d'une robe sexy, il avait la bouche ouverte et les yeux clos pendant qu'un type avec une cagoule était en train de le baiser avec douceur.
— Putain vous faites quoi la!?
— Ce n'est pas évident ?
La voix de ma femme qui venait de derrière moi, je me retournais, elle était entièrement nue.
— C'est quoi ce bordel ?
— Tu vas le savoir bientôt, mais maintenant que tu es la ... Cyril, vas-y à fond !
L'homme à la cagoule fit un salut militaire et attrapait les hanches de Paul avec férocité, ses coups de rein devenaient de plus en plus violents, une véritable sauvagerie et mon collègue de travail se mettait à pousser des cris de plaisir aigus, visiblement un rien surjoués.
— Regard Alex, regarde bien, je veux que tu observe ... Laisse moi te déshabiller ...
Je restais la à observer Paul en train de se faire mettre par un autre homme, il poussait sur ses mains pour se redresser et révéler son sexe encagé lui aussi, dans une cage encore plus petite que la mienne, comment un sexe d'homme pouvait tenir la dedans d'ailleurs ?
« La dessous » aurait même été un meilleur qualificatif : hormis l'anneau, la cage était une simple plaque.
Je sentais Christelle qui commençait à jouer avec mon plug anal tandis que mon pantalon et mon string était accrochés à mes chevilles et qu'elle m'avait débarrassé de ma veste et de ma chemise.
— Regarde comme il prend du plaisir Alex, regarde comme il a l'air heureux ... Tu ne trouve pas ?
— Je ... Oui ...
Christelle fit un geste que je ne voyais pas et le Cyril en question retirait sa cagoule, son visage ne m'était pas inconnu, mais ou ...
Je comprenais lorsque le dernier invité arrivait.
— Tu pourrais les rejoindre ...
Laeti venait d'entrer, elle portait une robe noire et une paire de talons, elle s'était un peu maquillée et était toujours resplendissante.
— Attends, je ne comprends plus rien la ...
Christelle s'approchait de moi.
— Mon pauvre Alex, je t'avais dis que je t'avais joué un vilain tour pas vrai ?
Laeti et elle échangèrent un regard complice, alors que la blonde laissait choir sa robe.
— C'est moi qui t'ai dis de faire un détour pour que tu vois Cyril l'embrasser, c'est aussi moi qui ai eu l'idée de ce scénario : j'ai demandé à Laeti de te séduire pour moi et elle l'a fait ...
Ok, le type était le mec de ce matin, mais le reste ... Cela 'navait aucun sens !
— Attends, je ne comprends plus rien la ... Tu as tout expliqué à une inconnue ...
Laeti répondait à sa place, tout en enfilant le gode ceinture de ma femme.
— On est des habitués de chez Maîtresse Jenny, en fait, au départ on était comme vous : un peu réticents, nous aussi on a fait la semaine des défis ...
Christelle s'approchait doucement de moi.
— J'ai pensé à ça des que Laeti m'a contactée, ton collègue ne s'appelle Paul qu'au travail, à la maison ou en club, c'est Pauline ... et Pauline ... Aime la bite comme tu peux le voir ...
C'était rien de le dire : Paul ou plutôt Pauline était en train de se faire démolir l'arrière train et semblait réellement aimer cela.
— Maintenant tu vas avoir un choix à faire : soit tu suces Laeti et Cyril me baise, soit Laeti me baise et tu suces Cyril ...
— Quoi ? Attends ... Quoi ?
— Tu m'a comprise, ce soir quelqu'un va me baiser devant toi et c'est toi qui va choisir.
Laeti se penchait à mon oreille.
— Si tu ne choisi pas dans moins d'une minute, Cyril et moi on la baise à tour de rôle ...
— Non, mais attendez ...
— Tic tac, tic tac ...
— Je ... Ok, fais toi baisée par Cyril !
C'était forcément le bon choix, je n'avais aucune envie de sucer un homme.
Christelle se mettait à rire.
— On tutoie sa Maîtresse maintenant ?
Je restais interdit, pris en faute.
— Non ... P ... Pardon M ...
Laeti m'interrompait.
— Et en plus, tu as vu comme il t'envoie te faire baiser pour ne pas avoir à sucer un sexe de mec ?
— Oui, une vraie salope !
— Non, c'est pas ...
— Trop tard ...
Un élan de trouille se faisait alors que Laeti me maintenait la tète et que Cyril semblait se branler, comme pour se diriger vers moi, mais Christelle interrompait la situation en éclatant de rire.
— Aller t'inquiète, je plaisante ...
Christelle se plaçait alors en position levrette, comme la première fois que je l'avais vue me tromper, Laeti se plaçait derrière elle, au final, le choix n'en était pas un, puisqu'elle avait déjà anticipé ma réaction.
Cyril se masturbait devant le visage de ma femme et Christelle me jetait un regard inquiet.
— Si c'est trop pour toi, tu le dis d'accord ?
Elle rapprochait ses lèvres du sexe tendu de l'homme, je n'en perdais pas une miette, mon regard croisait celui de Paul qui, lui non plus, ne ratait rien du spectacle.
La langue de Christelle se posait sur le sexe tendu de Cyril, elle me jetait un dernier regard, sans doute en attente d'une réaction de ma part, mais comme je ne disais rien, elle commençait à engouffrer le gland turgescent de l'homme dans sa bouche.
De son côté, Laeti commençais à la pénétrer, très doucement, tout cela était vraiment très lent, comme pour me permettre d'interrompre à tout moment, mais je ne le voulais pas.
Je regardais ma femme sucer un autre homme et j'étais excité et elle l'était aussi.
J'aurai pu me demander ce qui n'allait pas chez moi, mais je me rendais bien compte qu'au final, peu importe ce que les gens en pensent, c'est un fantasme qui n'appartenait qu'a nous, je regardais sa bouche s'affairer sur cette queue si épaisse, sa langue passant autour du gland, ses tâches de rousseur qui remuaient avec son visage tandis qu'elle jouait avec cette saucisse de chair comme un chat avec sa proie.
Laeti lui ramonait l'arrière train gentiment, sans trop de violence, je me disais que c'était très pépère comparé à la première fois.
La blonde se tournait alors vers son mec.
— Pauline ... Attache le ...
Alors Paul s'approchait de moi, enfonçant mes poignets dans des menottes, puis mes chevilles et reliant le tout, je ne pouvais plus bouger.
— Est-ce le moment Maîtresse ?
— Oui salope !
De quoi ? De quel moment s'agissait-il ?
Laeti se penchait vers Christelle.
— Toujours décidée ma belle ?
Christelle recrachait la queue de Cyril
— Plus que jamais ...
Paul venait se placer à mes côtés, il se mettait à genoux, comme moi.
Laeti se mettait alors à parler.
— Désolée ma belle ...
Pourquoi désolé ?
Ce qu'il se passait après allait très rapidement : Laeti enfonçait son gode ceinture en Christelle avec force et vu l'expression physique de ma femme, ce ne devait pas être dans le vagin, mais la blonde ne s'arrêtait pas la, elle commençait à pilonner furieusement Christelle qui en avait les larmes aux yeux, tandis que Cyril se branlait.
Il fallait arrêter ça.
— Stop, arrête, tu vois bien qu'elle souffre !
Par bonheur, Laeti s'arrêtait, elle me regardait alors tandis que Christelle reprenait son souffle.
La blonde avait un sourire mauvais.
— Tu veux que j'arrête de torturer ta femme ? Tu sais que c'est son idée ?
— De quoi tu parles ?
— Si tu veux que je m'arrête, tu embrasses Pauline !
Moi ? Embrasser un mec ?
— Pardon ? Mais c'est hors de q ...
Laeti reprenait son pilonnage, le cri de ma femme me fendait le cœur ...
— Stop, stop, d'accord, d'accord !
Je regardais Paul qui me regardait lui aussi, j'étais tremblant, approchant mes lèvres des siennes, je n'avais aucune envie d'embrasser un autre homme, mais il le fallait si je ne voulais pas que Christelle finisse à chier en marchant comme les chevaux à force de se faire détruire l'arrière train par cette folle.
Nos lèvres se touchèrent, puis je rompais le contact.
— C'est bon maintenant ?
— Tu te fous de ma gueule ? Un VRAI baiser !
— Non, je ...
Coup de rein de Laeti
— Ok ... D'accord, sale timbrée !
— Je te l'ai dis : c'est l'idée de Christelle ...
— Parce que tu trouve qu'elle a l'air de kiffer la ?
Laeti se mettait à rire.
— Pauvre Alex, tu ne comprends pas, ce soir Christelle veut que tu franchisse une certaine limite, mais elle savait qu'elle aussi devrait se sacrifier ... Vois tu, elle m'a expliqué que tu n'avais jamais voulu la dominer parce que tu la trouvais trop pure, que se passe-t-il si ta déesse se fait malmener au juste ?
— Je ...
— Ta gueule et embrasse !
Tremblant, je regardais à nouveau Paul, cet espèce d'enfoiré était excité, autant que sa folle furieuse, aller courage Alex, il fallait que je me force, ce n'était qu'un mauvais moment à passer.
Doucement, je m'approchais, sentant les mains de Paul saisir mon visage puis sa bouche contre la mienne, sa langue qui s'enfonçait entre mes lèvres alors que je n'étais pas prêt, il en profitait ce connard !
— Pince ses tetons !
Les mains de Paul se mettait à pincer ma poitrine, tandis que sa langue fouillait encore contre la mienne.
— Mais elle bande cette salope !
De quoi ? Laeti était dingue, jamais je ne pourrais ...
Si ...
Je sentais que je bandais dans ma cage ...
Paul finissait par rompre le contact et mon regard se perdait dans celui de Christelle ... Elle était excitée.
— Bien !
Laeti avait conclut ainsi, sortant une paire de menotte qu'elle attachait aux poignets de Christelle.
— Maintenant je vais enculer ta femme jusqu'à ce qu'elle en pleure, à moins que ...
A moins que ...
— A moins que tu nous fasses une pipe bien baveuse à Cyril ...
Parallèlement à cela, Paul, collègue d'Alex, qui lui avait proposé d'une fois venir manger chez lui et sa femme et Laeti, est à cents lieux d'imaginer la vie de fantasmes que vivent les tourtereaux. Christelle, soupçonneuse, décide de contacter Paul et prend rendez-vous avec le couple, sans demander l'avis d'Alex, lorsque celui-ci essaie de comprendre pourquoi, Christelle lui explique avoir une surprise pour lui ...
Mercredi matin, l'on attaquait le milieu de semaine. Je sortais du lit, curieusement, Christelle était déjà réveillée, elle qui était une véritable marmotte, c'était plutôt rare.
Aujourd'hui, mon programme était chargé : le défi de Maîtresse Jenny, le travail et enfin le dîner chez Paul et Laeti, j'ignorais sincèrement ce que je devrais faire.
Christelle déposait une boite sur la table, elle était toute petite, son regard était équivoque : pétillant d'excitation. Je l'ouvrais doucement, un peu craintif de ce que j'allais y trouver, ma main rencontrait un objet en acier froid, circulaire et long.
— Un plug anal ?
— C'est ton défi d'aujourd'hui ...
Christelle était visiblement très excitée
— Et toi ? Je peux savoir ?
Elle m'embrassait rapidement du bout des lèvres.
— Chéri, bien sûr que non, tu connais les règles ...
Elle avait ce petit sourire énigmatique qui voulait autant dire « on va s'amuser » que « tu vas en chier »
Après ce petit échange, il était temps de partir au travail, je fonçais à ma voiture, quand mon téléphone sonnait, c'était Christelle qui me précisait d'éviter la route que j'avais l'habitude de prendre à cause de travaux.
Je prenais donc la seule autre route menant au travail qui passait juste devant chez Paul, sa voiture n'était pas la, je jetai un œil rapide à la maison ...
Pour apercevoir un homme se dirigeant vers Laeti qui attendait devant l'entrée.
Le type regardait son téléphone, puis jetait un œil à la jeune femme, semblant lui poser une question, jusque la, rien d'anormal, mais par la suite, Laeti passait le plat de sa main sur l'entrejambe du mec et le caressait sans aucune pudeur, heureusement pour elle, il n'y avait personne à ce moment la de la journée.
Laeti était infidèle ? Devais-je en parler à Paul ? Pour le moment je gardais cette information dans un coin de ma tète.
Mes pensées furent interrompues par la sonnerie SMS de mon téléphone que je prenais rapidement au feu rouge pour jeter un œil : une question de Christelle « Tu ferais n'importe quoi pour moi ? » sûr de moi, je répondais « oui » ne l'avais-je pas déjà prouvé ?
Autre SMS « Si je t'avais tendu un petit piège pour quelque chose, tu m'en voudrais ? »
Je restai un peu sonné par la question, Christelle m'avait-elle trahi ? Un coup de klaxon me fit revenir à la réalité, je démarrais à nouveau et arrivait au travail.
Je checkais mon téléphone, répondant en demandant à ma femme ce qu'elle voulait dire, mais point de réponse.
Point de Paul non plus d'ailleurs, au fil du temps, il ne venait toujours pas et le patron venait me voir pour m'expliquer qu'il s'était fait porter pâle, bizarre, je n'avais pas vu sa voiture ce matin pourtant.
La journée s'écoulait doucement, le plug anal était extrêmement dérangeant et un peu douloureux, avoir ce genre de jouet dans le cul quand on jouait et quand on travaillait c'étaient deux choses différentes.
Une fois la journée terminée, je prenais la voiture, me rendant chez Paul, le trajet était rapide.
Une fois arrivé, je checkais à nouveau mon téléphone, mais aucune réponse de Christelle malgré qu'elle m'ait lâché un « vu », tout cela commençais à m'inquiéter.
Je sonnais à la porte de la maison, la voiture de Paul était toujours portée disparue.
Au bout de quelques minutes, la porte s'ouvrait sur Laeti enroulée dans une serviette, elle était totalement nue.
— Alex ? T'es en avance !
— Ah non, je suis à l'heure, Paul est la ?
— Non, il est allé chercher quelque chose pour ce soir, entre ...
Je pénétrai dans la maison, le long couloir blanc qui menait à la salle à manger était très serré pour ce qui semblait être une maison plutôt spacieuse.
— Désolée, j'étais sous la douche.
— Pas de soucis, fais comme chez toi !
J'avais dis cela en rigolant, mais mon regard se posait sur ses cheveux : totalement secs, à quoi était en train de jouer cette fille ?
— Heu ... Je peux revenir plus tard, quand tu seras habillée ? Paul sera peut-être la ...
— Non, il ne viendra pas.
— Quoi ?
Laeti se tournait alors vers moi avec un regard d'enfant prise en faute.
— Pas ... Maintenant je veux dire ... Je te sers un verre ?
— Avec plaisir.
Laeti m'apportait un verre de vin et s'installait juste à mes côtés, les jambes croisées. J'avais une vue imprenable sur ses jambes, mais surtout, réflexe de fétichiste : je pouvais regarder ses pieds.
Ils étaient magnifiques, parfait, les ongles ni trop longs, ni trop courts, d'une forme excitante, presque comme ceux de Christelle, à l'exception prêt de la préférence de ma femme pour les couleurs froides et le noir, Laeti, elle, avait choisi un blanc pur.
Je le sentais mal : la disparition de Paul, ce type qu'elle avait chauffé ce matin, son attitude qui donnait l'impression qu'elle tentait de me séduire, cela expliquait, entre autre, la disparition de mon collègue.
— Laeti ... heu ... C'est gentil, mais j'aimerais savoir ou est Paul ...
— Pourquoi ? ... Tu n'es pas bien la ? ...
Elle avait parlé d'une voix ultra sensuelle et commençait à se pencher vers moi.
Si je devais être honnête, Laeti était clairement une belle femme, mais malgré notre sexualité plus ouverte, je n'avais aucune intention de tromper Christelle à nouveau, ce n'était pas au goût du jour et je n'en avais aucune envie. J'avais failli la perdre une fois et si l'idée de la voir se faire prendre par un autre homme m'excitait, c'était aussi parce que cette fois, ce serait dans le cadre d'un jeu sexuel et non par vengeance.
Avant même que je ne le réalise, Laeti se penchait vers moi pour tenter de m'embrasser, je la repoussais doucement.
— Tu fais quoi la ?
— Oh, aller, tu n'a pas une petite idée de pourquoi Paul n'est pas la ?
— Laeti, non, je ne ferai pas ça.
— Je ne te plais pas ?
Tout en parlant, elle ouvrait doucement la serviette qui cachait son corps, un corps magnifique : un tatouage partait de son coude droit à l'épaule, elle avait de fins abdominaux et une poitrine moyenne, un rien plus grosse que celle de Christelle, mais clairement ridiculement petite comparée à celle de Maîtresse Jenny.
— Tu es très bien, mais je suis marié ...
— Oh arrête, je suis sûre que tu en meurs d'envie ,,.
La main de Laeti s'était posée sur ma jambe et remontait, j'aurai aimé dire que c'était ma fidélité à toute épreuve qui m'avait poussé à me lever, mais c'était aussi et surtout la peur qu'elle touche la cage de chasteté à travers mon jeans.
— Je dois aller aux toilettes !
Sans même lui laisser le temps de m'indiquer ou c'était, je me dirigeais vers ce que j'imaginais être la porte des toilettes pour me retrouver en haut de la cave.
— C'est en haut ...
La voix de Laeti avait paru soupirer.
Je montais rapidement, passant la porte et me posant devant la cuvette, sortant mon sexe encagé et tachant de viser juste entre les barreaux pour pouvoir uriner dans la toilette.
— Comment me sortir de ce merdier ...
En cavalant pardi ! Je n'avais qu'a descendre et partir par la porte, tout simplement.
Tout cela n'était pas normal, Laeti me connaissait à peine, pourquoi vouloir me séduire tout à coup ? On ne pouvait pas dire que je sois un homme laid, mais de la à dépasser le physique de Paul, il y avait une marge.
Tout à coup la porte s'ouvrait sur Laeti, entièrement nue qui me regardait droit dans les yeux.
— Aller, essuie moi tout ça et on pourra ...
Gros blanc ...
Je devinais assez aisément ce qui l'avait motivée à la boucler : ma main refermée sur un sexe dans une cage avec un string en dentelle en guise de sous vêtements.
Qu'allait-il se passer maintenant ?
Le visage de Laeti était choqué, elle fermait et ouvrait la bouche plusieurs fois avant de pousser un ricanement, puis d'éclater de rire.
— Nooonn t'es dans ce genre de délire ? Christelle c'est quoi ? Ta « Maîtresse » un truc comme ça ? Moi qui te prenais pour un tombeur et tu es juste ... Ah ah ah ah ...
Je passais à côté d'elle sans mot dire, honteux et humilié. Elle raconterait sûrement ça à Paul, il fallait que je parte. Je pouvais toujours mentir ou trouver une solution, voire, pourquoi pas, raconter ce qu'il s'était passé au matin avec le gars.
Je me dirigeais rapidement vers la porte d'entrée, entendant vaguement Laeti derrière qui m'interpellait et finissait par se planter entre moi et la sortie.
— J'ai un énorme gode pour ton cul si t'aimes ça ...
Je restais à la regarder un moment, elle avait dit cela avec une telle sensualité, on sentait qu'elle était habituée à séduire. Ma respiration s'était accélérée et mon sexe pulsait dans sa cage.
Tout à coup, elle éclatait de rire à nouveau.
— J'y crois pas ! T'étais en train d'y penser avoue ! C'est tellement pitoyable ...
Je la dépassais et rentrait dans ma voiture, elle refermait la porte derrière moi, sans doute avait-elle envie de rajouter une couche, mais elle avait préféré ne pas sortir nue, malgré l'absence évidente de voisins.
Tout en roulant, j'étais tellement en colère que je manquais de rentrer dans un taxi qui se dirigeait dans le sens contraire, un rapide coup d’œil à mon téléphone : pas de message de Christelle, je tentais de l'appeler, mais n'obtenais aucune réponse.
Vingt minutes plus tard, je me garais dans l'allée, sortant de ma voiture, je me dirigeais vers la porte de la maison, remarquant enfin ce que j'aurais du voir en arrivant : la voiture de Paul, garée un peu plus loin.
— Non ...
Je sortais mes clefs de ma poche et les dirigeais vers la serrure, le cœur battant à tout rompre. J'avais dis à Christelle que ça m'exciterait, mais pas comme ça ! Pas dans mon dos !
— Non ...
La clef peinait à rentrer dans la serrure et je faisais tomber le trousseau.
Putain de merde ...
— Non ...
Quand je pense que j'avais refusé de faire quoi que ce soit avec Laeti et que la cage n'était pas la seule responsable de ce refus ...
— Non ...
Après un temps qui me paraissait une éternité, je poussais la porte, entendant clairement le lit grincer et un homme lâcher des insanités.
Elle baisait dans notre chambre, elle me trompait encore ...
Je déboulais dans la chambre pour la confondre et tombait sur un spectacle singulier :
Paul était la, à quatre pattes, le visage maquillé, une perruque sur le crane et habillé d'une robe sexy, il avait la bouche ouverte et les yeux clos pendant qu'un type avec une cagoule était en train de le baiser avec douceur.
— Putain vous faites quoi la!?
— Ce n'est pas évident ?
La voix de ma femme qui venait de derrière moi, je me retournais, elle était entièrement nue.
— C'est quoi ce bordel ?
— Tu vas le savoir bientôt, mais maintenant que tu es la ... Cyril, vas-y à fond !
L'homme à la cagoule fit un salut militaire et attrapait les hanches de Paul avec férocité, ses coups de rein devenaient de plus en plus violents, une véritable sauvagerie et mon collègue de travail se mettait à pousser des cris de plaisir aigus, visiblement un rien surjoués.
— Regard Alex, regarde bien, je veux que tu observe ... Laisse moi te déshabiller ...
Je restais la à observer Paul en train de se faire mettre par un autre homme, il poussait sur ses mains pour se redresser et révéler son sexe encagé lui aussi, dans une cage encore plus petite que la mienne, comment un sexe d'homme pouvait tenir la dedans d'ailleurs ?
« La dessous » aurait même été un meilleur qualificatif : hormis l'anneau, la cage était une simple plaque.
Je sentais Christelle qui commençait à jouer avec mon plug anal tandis que mon pantalon et mon string était accrochés à mes chevilles et qu'elle m'avait débarrassé de ma veste et de ma chemise.
— Regarde comme il prend du plaisir Alex, regarde comme il a l'air heureux ... Tu ne trouve pas ?
— Je ... Oui ...
Christelle fit un geste que je ne voyais pas et le Cyril en question retirait sa cagoule, son visage ne m'était pas inconnu, mais ou ...
Je comprenais lorsque le dernier invité arrivait.
— Tu pourrais les rejoindre ...
Laeti venait d'entrer, elle portait une robe noire et une paire de talons, elle s'était un peu maquillée et était toujours resplendissante.
— Attends, je ne comprends plus rien la ...
Christelle s'approchait de moi.
— Mon pauvre Alex, je t'avais dis que je t'avais joué un vilain tour pas vrai ?
Laeti et elle échangèrent un regard complice, alors que la blonde laissait choir sa robe.
— C'est moi qui t'ai dis de faire un détour pour que tu vois Cyril l'embrasser, c'est aussi moi qui ai eu l'idée de ce scénario : j'ai demandé à Laeti de te séduire pour moi et elle l'a fait ...
Ok, le type était le mec de ce matin, mais le reste ... Cela 'navait aucun sens !
— Attends, je ne comprends plus rien la ... Tu as tout expliqué à une inconnue ...
Laeti répondait à sa place, tout en enfilant le gode ceinture de ma femme.
— On est des habitués de chez Maîtresse Jenny, en fait, au départ on était comme vous : un peu réticents, nous aussi on a fait la semaine des défis ...
Christelle s'approchait doucement de moi.
— J'ai pensé à ça des que Laeti m'a contactée, ton collègue ne s'appelle Paul qu'au travail, à la maison ou en club, c'est Pauline ... et Pauline ... Aime la bite comme tu peux le voir ...
C'était rien de le dire : Paul ou plutôt Pauline était en train de se faire démolir l'arrière train et semblait réellement aimer cela.
— Maintenant tu vas avoir un choix à faire : soit tu suces Laeti et Cyril me baise, soit Laeti me baise et tu suces Cyril ...
— Quoi ? Attends ... Quoi ?
— Tu m'a comprise, ce soir quelqu'un va me baiser devant toi et c'est toi qui va choisir.
Laeti se penchait à mon oreille.
— Si tu ne choisi pas dans moins d'une minute, Cyril et moi on la baise à tour de rôle ...
— Non, mais attendez ...
— Tic tac, tic tac ...
— Je ... Ok, fais toi baisée par Cyril !
C'était forcément le bon choix, je n'avais aucune envie de sucer un homme.
Christelle se mettait à rire.
— On tutoie sa Maîtresse maintenant ?
Je restais interdit, pris en faute.
— Non ... P ... Pardon M ...
Laeti m'interrompait.
— Et en plus, tu as vu comme il t'envoie te faire baiser pour ne pas avoir à sucer un sexe de mec ?
— Oui, une vraie salope !
— Non, c'est pas ...
— Trop tard ...
Un élan de trouille se faisait alors que Laeti me maintenait la tète et que Cyril semblait se branler, comme pour se diriger vers moi, mais Christelle interrompait la situation en éclatant de rire.
— Aller t'inquiète, je plaisante ...
Christelle se plaçait alors en position levrette, comme la première fois que je l'avais vue me tromper, Laeti se plaçait derrière elle, au final, le choix n'en était pas un, puisqu'elle avait déjà anticipé ma réaction.
Cyril se masturbait devant le visage de ma femme et Christelle me jetait un regard inquiet.
— Si c'est trop pour toi, tu le dis d'accord ?
Elle rapprochait ses lèvres du sexe tendu de l'homme, je n'en perdais pas une miette, mon regard croisait celui de Paul qui, lui non plus, ne ratait rien du spectacle.
La langue de Christelle se posait sur le sexe tendu de Cyril, elle me jetait un dernier regard, sans doute en attente d'une réaction de ma part, mais comme je ne disais rien, elle commençait à engouffrer le gland turgescent de l'homme dans sa bouche.
De son côté, Laeti commençais à la pénétrer, très doucement, tout cela était vraiment très lent, comme pour me permettre d'interrompre à tout moment, mais je ne le voulais pas.
Je regardais ma femme sucer un autre homme et j'étais excité et elle l'était aussi.
J'aurai pu me demander ce qui n'allait pas chez moi, mais je me rendais bien compte qu'au final, peu importe ce que les gens en pensent, c'est un fantasme qui n'appartenait qu'a nous, je regardais sa bouche s'affairer sur cette queue si épaisse, sa langue passant autour du gland, ses tâches de rousseur qui remuaient avec son visage tandis qu'elle jouait avec cette saucisse de chair comme un chat avec sa proie.
Laeti lui ramonait l'arrière train gentiment, sans trop de violence, je me disais que c'était très pépère comparé à la première fois.
La blonde se tournait alors vers son mec.
— Pauline ... Attache le ...
Alors Paul s'approchait de moi, enfonçant mes poignets dans des menottes, puis mes chevilles et reliant le tout, je ne pouvais plus bouger.
— Est-ce le moment Maîtresse ?
— Oui salope !
De quoi ? De quel moment s'agissait-il ?
Laeti se penchait vers Christelle.
— Toujours décidée ma belle ?
Christelle recrachait la queue de Cyril
— Plus que jamais ...
Paul venait se placer à mes côtés, il se mettait à genoux, comme moi.
Laeti se mettait alors à parler.
— Désolée ma belle ...
Pourquoi désolé ?
Ce qu'il se passait après allait très rapidement : Laeti enfonçait son gode ceinture en Christelle avec force et vu l'expression physique de ma femme, ce ne devait pas être dans le vagin, mais la blonde ne s'arrêtait pas la, elle commençait à pilonner furieusement Christelle qui en avait les larmes aux yeux, tandis que Cyril se branlait.
Il fallait arrêter ça.
— Stop, arrête, tu vois bien qu'elle souffre !
Par bonheur, Laeti s'arrêtait, elle me regardait alors tandis que Christelle reprenait son souffle.
La blonde avait un sourire mauvais.
— Tu veux que j'arrête de torturer ta femme ? Tu sais que c'est son idée ?
— De quoi tu parles ?
— Si tu veux que je m'arrête, tu embrasses Pauline !
Moi ? Embrasser un mec ?
— Pardon ? Mais c'est hors de q ...
Laeti reprenait son pilonnage, le cri de ma femme me fendait le cœur ...
— Stop, stop, d'accord, d'accord !
Je regardais Paul qui me regardait lui aussi, j'étais tremblant, approchant mes lèvres des siennes, je n'avais aucune envie d'embrasser un autre homme, mais il le fallait si je ne voulais pas que Christelle finisse à chier en marchant comme les chevaux à force de se faire détruire l'arrière train par cette folle.
Nos lèvres se touchèrent, puis je rompais le contact.
— C'est bon maintenant ?
— Tu te fous de ma gueule ? Un VRAI baiser !
— Non, je ...
Coup de rein de Laeti
— Ok ... D'accord, sale timbrée !
— Je te l'ai dis : c'est l'idée de Christelle ...
— Parce que tu trouve qu'elle a l'air de kiffer la ?
Laeti se mettait à rire.
— Pauvre Alex, tu ne comprends pas, ce soir Christelle veut que tu franchisse une certaine limite, mais elle savait qu'elle aussi devrait se sacrifier ... Vois tu, elle m'a expliqué que tu n'avais jamais voulu la dominer parce que tu la trouvais trop pure, que se passe-t-il si ta déesse se fait malmener au juste ?
— Je ...
— Ta gueule et embrasse !
Tremblant, je regardais à nouveau Paul, cet espèce d'enfoiré était excité, autant que sa folle furieuse, aller courage Alex, il fallait que je me force, ce n'était qu'un mauvais moment à passer.
Doucement, je m'approchais, sentant les mains de Paul saisir mon visage puis sa bouche contre la mienne, sa langue qui s'enfonçait entre mes lèvres alors que je n'étais pas prêt, il en profitait ce connard !
— Pince ses tetons !
Les mains de Paul se mettait à pincer ma poitrine, tandis que sa langue fouillait encore contre la mienne.
— Mais elle bande cette salope !
De quoi ? Laeti était dingue, jamais je ne pourrais ...
Si ...
Je sentais que je bandais dans ma cage ...
Paul finissait par rompre le contact et mon regard se perdait dans celui de Christelle ... Elle était excitée.
— Bien !
Laeti avait conclut ainsi, sortant une paire de menotte qu'elle attachait aux poignets de Christelle.
— Maintenant je vais enculer ta femme jusqu'à ce qu'elle en pleure, à moins que ...
A moins que ...
— A moins que tu nous fasses une pipe bien baveuse à Cyril ...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai tout lu d'une traite... enfin j'ai du m’arrêter quelques fois pour ne pas salir mon bureau. Vivement la suite!
Vivement la suite, je suis cette histoire qui est vraiment prenante.