Doux Foyer (11)
Récit érotique écrit par Leatherbite [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Doux Foyer (11)
Résumé de l'épisode précédent : Journée chargée pour Alex, son défi consiste en un plug anal qu'il doit porter toute la journée.
Christelle le prévient qu'il y a des travaux sur la route, Alex dévie alors son trajet pour passer devant la maison de son collègue ou il surprend sa femme en train de caresser le sexe d'un autre homme.
Plus tard dans la journée, il rejoint le couple chez eux, mais est surpris de constater l'absence de Paul et la présence de Laeti, sa femme, qui le drague sans aucune retenue.
Lorsque Laeti découvre la cage de chasteté d'Alex et se moque de lui, il décide de quitter les lieux et retourner chez lui pour découvrir une scène plutôt singulière : un homme inconnu en train de baiser Paul, travesti en femme.
Christelle avoue alors à Alex que tout était prévu depuis le départ : Laeti, qui arrive à ce moment la, était dans le coup, tout cela était un canular pour amener Alex à une soirée très spéciale.
Les péripéties se suivent et Alex se retrouve attaché à regarder sa femme se faire baiser l'anus violemment.
Laeti lui révèle alors que s'il veut que le calvaire de sa femme s'arrête, il devra accepter de sucer l'homme ...
J'étais la, à genoux, le sexe de l'homme tendu devant moi, tremblant ...
Comment pourrais-je faire une telle chose ?
Mon regard passait du sexe tendu de Cyril qui, visiblement n'attendait que ça, à Christelle qui semblait attendre elle aussi.
En fait, le monde entier était comme suspendu, tout le monde semblait attendre ma décision pendant un instant qui semblait durer une éternité.
Laeti prit alors les choses en main, s'emparant des hanches de ma femme et s'enfonçant d'un coup sec, Christelle hurlait et cela déclenchait en moi une sorte de réflexe de protection, ma bouche s'ouvrait et, les yeux fermé, je refermais mes lèvres sur ce bâton de chair qui m'était tendu.
Le goût était amer, était-ce cela que Christelle avait en bouche quand elle m'en faisait une ?
— Bien, mais il va falloir mettre un peu d'entrain ...
Laeti était impitoyable ...
Alors je m'activais, maudissant les envies de Christelle, j'étais en train de pratiquer une fellation sur un type que je ne connaissais même pas, tandis que mon collègue de travail (habillé en femme soit disant passant) observait la scène en se caressant l'anus.
Je sentais ce gourdin entrer et sortir de ma bouche, j'avais honte, quelle humiliation ! Faire cela devant ma femme et mon collègue ...
Et le pire de tout cela : je ne pouvais même pas dire que je détestais cela : l'humiliation me rendait euphorique et je sentais mon sexe devenir d'acier dans ma cage.
Laeti sortait des fesses de ma femme, je la voyais se lever et m'interrompais dans ma fellation, la jolie blonde s'accroupissait prêt de moi, son regard avait changé, plus bienveillant, un peu comme Christelle quand elle sentait qu'elle avait été trop loin.
— Putain, toi t'es vraiment amoureux ...
Ses mains se posèrent de part et d'autre de mon visage avec une certaine bienveillance, ses lèvres touchèrent les miennes dans un baiser passionné. Je voulais la repousser, mais je ne le fis pas, sans doute était-ce ce que Christelle désirait ? Je ne savais même plus ou j'en étais.
Laeti m'observait, elle était vraiment belle, beaucoup plus jeune que je ne l'avais cru, sans doute début vingtaine comme nous.
— Ta dévotion envers Christelle est incroyable, un jour tu seras au niveau de Pauline ...
Pardon quoi ?
— Et à ce titre, il va falloir faire plus d'efforts ...
A peine la phrase terminée qu'elle m'enfonçait le sexe de Cyril dans la bouche, mais plus question de me laisser sucer à mon aise, elle l'enfonçait jusqu'à la garde et je toussais dessus, des larmes sortaient de mes yeux, je m’étouffais ...
J'entendais vaguement Christelle qui suppliait Laeti d'arrêter et celle-ci de lui répondre qu'elle m'avait ordonné une pipe bien baveuse et qu'elle l'aurait, que Christelle était trop gentille avec moi et qu'il fallait, je cite « me faire sucer des bites comme une sale putain, qu'il n'y a que comme ça que je comprendrais »
Au bout d'un moment qui me paraissait durer une éternité, Cyril se mettait à trembler, du foutre chaud se déversait dans ma bouche et, enfin, Laeti me lâchait.
Je me penchais en avant, toussant le foutre sur les pieds de Cyril, crachant de la salive sèche, j'étais rouge, les yeux humides.
Mais mon calvaire n'était pas terminé.
— Tu as sali mon amant, nettoie petite putain !
Les mains se Laeti se plantaient dans mes cheveux et mon visage était écrasé sur le pied de Cyril.
— LECHE !
Ma langue s'activait, j'aurai fais n'importe quoi pour que cela s'arrête et j'avais honte de l'admettre, mais ma queue était tendu à craquer dans ma cage de chasteté.
Quand Laeti avait enfin fini, elle me relâchait et regardait Christelle droit dans les yeux.
— C'est comme cela qu'on traite les salopes !
Je restais ainsi, le visage couché sur le sol, tandis que Laeti commençait à masturber Cyril avec Paul qui lui léchait les pieds à même le sol.
— On n'a pas fini de s'amuser ...
Mais s'en était trop pour Christelle qui regardait Laeti avec hargne.
— Sortez d'ici ... Tous ... Je ne veux plus voir personne ...
Quelques instants plus tard, alors que tout le monde était parti, Christelle me détachait, je la suivais comme un pilote automatique sous la douche, elle me lavait, répétant sans arrêt combien elle était désolée.
Pour ma part, j'étais incapable de penser.
Le lendemain matin, j'envoyais un SMS au travail pour leur dire que j'étais malade, sans doute jusqu'à la fin de la semaine et je prenais une douche rapide.
Mon regard se posait sur la petite table à côté de la baignoire, pas de bas et de string et c'était tant mieux, au diable le travail, au diable les défis de Maîtresse Jenny, au diable Laeti et sa névrose ...
Et au diable Christelle et ses petits jeux de manipulation ...
Une notification SMS résonnait sur mon portable, je regardais rapidement : un SMS de Maîtresse Jenny qui commençait par « je suis désolée » en l'ouvrant, la suite disait simplement « il faut qu'on parle »
Je posais mon téléphone sur la table du bureau et m'allongeais dans le canapé, je refusais de retourner dans ce lit avec ma femme qui m'avait « forcé » (il n'y avait pas d'autres mots) à faire ce que j' avais fais la veille ...
Nouveau SMS, de Paul cette fois : « Ça va vieux ? Désolé, Laeti peu se montrer très virulente quand elle est excitée »
Super, ça va me faire oublier que je me suis pratiquement fait v ...
Je refuser même de penser à ce mot, en était-ce un ? Après tout, je l'avais fait de mon plein gré, mais je ne voulais pas le faire, Laeti avait prit ma femme en « otage » mais à sa demande, donc que disait la loi la dessus ?
En vérité, pas grand chose ... Et honnêtement, je m'en fichais, j'avais juste envie qu'on me laisse tranquille ...
Et puis, il y avait la honte de devoir admettre que j'avais aimé cela, inutile de dire que, après cet incident, Christelle m'avait libéré de la cage de chasteté et rien qu'a me rappeler de la scène, je bandais férocement.
Christelle débarquait alors dans le salon, avec un top et un short, elle s'approchait de moi et posait une main sur ma cuisse.
— Je ... Je vais prendre congé, ça marche ? Aujourd'hui on va faire des trucs de couples plus ... Traditionnel ...
Elle était visiblement inquiète, posant son regard partout dans la pièce.
— Je pourrais même te sucer devant la télé, ça fait longtemps que je ne l'ai pas fais hein ?
Mais ma réponse était inaudible, sans doute parce que je ne voulais pas réellement être aussi violent dans mes propos, mais quand elle me demanda de répéter, je ne pu m'en empêcher.
— J'aurais du la laisser te baiser ...
Christelle n'insistait pas, elle comprenait que je n'avais aucune envie de lui parler aujourd'hui, elle filait sous la douche, s'habillait et partait finalement travailler.
Pendant les heures qui suivaient, je restais la comme une loque à regarder la télévision, zappant de bêtise en bêtise, à moitié endormi lorsque l'on sonnait à la porte.
Ma première idée était de laisser le clampin sans réponse, je n'y étais pour personne, mais à force que cela insiste et que mon téléphone se mettait à vibrer de SMS, je me décidais à me diriger vers la porte.
— Maîtresse Jenny ?
— Juste Jennifer aujourd'hui ...
Elle avait l'air vraiment désolée, elle portait un jeans, une paire de sandales blanches et un t-shirt à manches longues couleur chaire. Son maquillage était comme d'habitude, un peu trop prononcé sur les lèvres, des volutes de noirs autour des yeux, des faux ongles aux mains ...
Elle rentrait, sans attendre ma permission
— Maîtresse ... Heu ... Jennifer, je suis désolé, je ne suis pas d'humeur ...
Son regard avait l'air sincère, c'était peut-être ce qui m'empêchait de la mettre dehors ...
— Je suis désolé pour cet incident, je ne voulais pas que cela se passe comme ça ... Il faut qu'on discute, je m'inquiète pour Christelle ...
— Comment cela ?
— Je peux m'asseoir ?
— Bien sûr ...
Elle s'était assise et on restait la à ne pas parler, sans trop savoir quoi se dire. Elle finissait par rompre le silence.
— Christelle a besoin de comprendre quelles sont les limites de son partenaire, le consentement c'est important et la manière dont elle a joué avec ton côté protecteur ce n'était pas bien ...
— Je vous le fais pas dire ...
— Mais ...
— Mais ?
Qu'est ce qu'elle allait me sortir maintenant ?
— Mais Christelle n'a pas agit ainsi sans raison, la façon de faire était maladroite, mais elle voulait juste te faire progresser et tu l'a fais.
— Je ne voulais pas sucer une bite !
— Alex ...
— Quoi ?
— Regarde moi dans les yeux et jure moi que tu n'a pas aimé ça ...
— Je ...
Mais que pouvais-je dire ? Bien sûr que si j'avais aimé et pire encore : j'en avais été soulagé. C'était comme si, une fois la limite franchie, il n'y avait plus besoin de la franchir à nouveau, comme si j'avais enfin osé ouvrir la boite de Pandore. De quoi pouvais-je avoir honte ? Je l'avais déjà fait ...
Et je voulais recommencer ...
— J'ai raison n'est-ce pas ?
— Je ...
— Dis le ...
— Non, je ...
— Oh aller Alex, toi même tu en est conscient ...
— Mais je ...
— Tu bandes !
Je regardais mon pantalon et, effectivement, l'idée d'y repenser m'avait tendu, pire, je sentais une forme d'excitation au plus profond de moi.
Maîtresse Jennifer s'approchait de moi, ramenant ses lèvres prêt de mon oreille.
— Admets le Alex, tu en rêve ... Tu veux être la pute de Christelle ...
J'en tremblais d'excitation.
— Et si je te faisais lécher mes pieds ? Tu sais ce n'est pas par hasard que je porte des sandales ...
Mon regard se tournait vers le bas, elle avait raison : j'étais en colère, mais excité.
Jennifer posait sa main sur la mienne.
— Écoute Alex ... Christelle a fait une erreur et elle s'en veut et elle n'est pas la seule d'ailleurs, mais, même sans la défendre, tu dois reconnaître que ça t'a fait progresser ... Non ?
— Je l'admets ...
— Et que tu as aimé ça ...
— Je l'admets aussi ...
Un petit silence s'était imposé entre nous, au bout d'un moment qui semblait une éternité, Jennifer reprenait la parole.
— Alex ...
— Oui ...
— Avec l'autorisation de Christelle accepterais-tu de te soumettre à moi aujourd'hui ?
— Hein ?
— Je voudrais t'amener à quelque chose aujourd'hui, quelque chose de très excitant, mais je veux ton accord, histoire que ça se passe plus en douceur qu'hier ...
La garce savait très bien ce qu'elle était en train de faire, je la voyais jouer avec sa sandale, elle avait parlé de sexe et de domination pour m'exciter, pour que je ne sois plus capable de réfléchir ...
Et ça avait marché.
— Oui, d'accord ...
Marché, mais pas au point de me rendre stupide pour autant.
— Mais je veux pouvoir tout stopper à tout moment !
Jennifer semblait surprise, mais elle hochait la tète pour confirmer, un léger sourire doux et sincère se dessinait sur son visage avant de reprendre un visage plus autoritaire.
— Maintenant va mettre ta cage de chasteté et rejoins moi dehors !
Je la voyais pianoter sur son portable le temps que je referme la cage, laissant la clef sur la table du salon.
Une fois dans sa voiture, je commençais à me demander si c'était une bonne idée, je n'étais simplement pas dans le mood, même si elle m'avait vraiment bien excité, mon regard passait de la route à elle à plusieurs reprises et particulièrement quand je sentais sa main sur ma cuisse, qui vint passer sur la cage de chasteté pour tenter de toucher la peau à travers l'acier (et mon jeans) elle m'excitait vraiment ...
En revanche ce qui fit redescendre la tension sexuelle fut le moment ou l'on s'engageait dans la rue de Paul.
— Attends, qu'est ce que tu ...
— Quelqu'un d'autre aussi aimerait s'excuser ...
— Non pas cette timbrée !
— Elle n'est pas timbrée Alex, elle a juste essayé d'aider, même si je comprends ta colère ...
— Mais ...
— Tu te tais ! Tu a accepté de te soumettre, attends au moins de voir ou cela te mène ...
— Je ... Ok ... Très bien ...
— Très bien qui ?
— Maîtresse ...
Devant la maison, se tenait Laeti, elle était habillée d'une manière très provocante : en tant que fétichiste, ce que je remarquais en premier était évidemment la paire de chaussures ouvertes à talons de couleur noire, elle portait une jolie robe blanche qui lui allait magnifiquement, ainsi qu'un maquille assez travaillé.
— Ouvre lui la portière arrière, vous allez discuter le temps qu'on arrive ...
— Qu'on arrive ou ?
— Tu verras !
Je m’exécutais, tenant donc la porte à cette sorcière, avant de la suivre et Maîtresse Jennifer redémarrait doucement, roulant plus lentement qu'à l'arrivée chez Laeti. Cette dernière avait l'air mal à l'aise ...
— Alex ... Avant de commencer, je tenais à te dire que j'étais désolée ...
— De quoi ? De m'avoir fait du chantage pour que je suce une bite ?
— Oui ... C'est le problème avec le SM, des fois on est un peu trop enthousiaste ...
— Oh, ben dans ce cas c'est pas grave si on m'a forcé, on s'en fout ? C'est ça l'idée ?
— Non, sincèrement Alex, je n'aurais pas du et Christelle non plus, on est vraiment désolée, elle te le dira ce soir. Maîtresse Jenny nous avait demandé de pousser un peu et ... On a fait n'importe quoi ...
Mon visage était fermé, j'étais en colère, je ne savais que répondre, elle me faisait de la peine et avait l'air sincèrement désolée.
— Je te promets que ça n'arrivera plus ....
Gros silence de ma part, ce fut Maîtresse Jenny qui intervenait pour permettre à tout cela de continuer.
— Alors Alex ? Tu lui pardonne et vous vous serrez la main ?
Je regardais le visage de Laeti, elle avait l'air sincère ... Et aussi terriblement séduisante ...
— Ok, ça va ...
on se serrait la main et Maîtresse Jenny cru bon d'ajouter.
— T'inquiète ma belle, de toute façon il a avoué qu'il aimait ça !
Le sourire de Laeti à cet instant me rappelait celui qu'elle avait en découvrant la cage de chasteté hier.
— Et pour ... L'autre truc ? ... Il a accepté ?
— Oui ...
— Intéressant ...
— L'autre truc ?
Je demandais, car n'étant visiblement pas dans la confidence de quelque chose que j'avais accepté, Maîtresse Jenny apportait alors quelques précisions.
— Te soumettre.
— Je ...
Laeti réagissait à ce moment la en enlevant ses chaussures et en plaçant ses pieds sur mes cuisses.
— Lèche, le temps qu'on arrive.
— Mais, je ...
— Lèche !
Alors je ne me fis pas prier, attrapant les pieds sublimes de Laeti avec précautions, passant ma langue sur le gros orteil, la glissant le long du dos du pied, prenant parfois les orteils en bouche, le tout sous le regard amusé de Laeti.
Nous arrivâmes à un feu rouge, il venait de débuter et nous étions, évidemment du côté de la rue, je m'interrompais.
— Qui t'as dis de t'arrêter ?
— Mais il y a des gens, ils vont me voir.
— Pas mon problème, lèche !
Alors je poursuivais mon œuvre, fermant les yeux pour ne voir personne, comme on ferme les yeux dans une attraction qui va trop vite.
— Nous y sommes ...
Je remarquais alors que nous étions en plein centre ville de Bruxelles.
Maîtresse Jenny garait sa voiture et nous sortions tous les trois pour rentrer dans un sex-shop à la devanture vitrée ne laissant aucun doute quant à la nature des produits à consommer ici.
Laeti s'accrochait à mon bras, tandis que ma dominatrice du jour allait demander une place, comme souvent, pour les femmes c'était gratuit.
Comme une confidence, elle me glissait qu'elle avait déjà emmené Ellie dans cet endroit.
— Montez tous les deux et attendez moi dans la première pièce, celle avec le lit, j'arrive ...
Nous montions les marches, Laeti avait l'air aussi nerveuse que moi, tremblants de tous ses membres.
L'endroit avec le lit était une sorte de chambre aux murs décrépi, sans portes, il y avait un lit noir clairement pas fait pour dormir et un bidet juste à côté.
Le bruit du téléphone de Laeti se mettait à raisonner, elle consultait le message, puis se tournait vers moi pour me le montrer.
Cela disait : à poil !
J'obéissais, enlevant mes vêtements, très inquiet de la suite des événements. Maîtresse Jenny débarquait quelques instants plus tard avec un gigantesque sac de sport, elle me jetait un truc dans les mains.
— Mets ça !
Pendant que j'enfilais la cagoule qu'elle venait de me jeter, elle enfournait mes fringues dans le sac, puis jetais un regard dubitatif à Laeti.
— Le « à poil » c'était pour vous deux !
Laeti avait soudain l'air mal à l'aise.
— Mais c'est lui qui doit se soumettre, pas moi.
— Tu discutes ?
Laeti baissait la tète.
— Non Maîtresse ...
— Bien !
Maîtresse Jenny sortait alors de son sac une cravache et un martinet qu'elle déposait sur le lit, avant de mettre les vêtements de Laeti dans le sac, la blonde avait conservé ses chaussures.
— Je vais mettre le sac à la réception, en attendant, Alex tu lèche les pieds de Laeti !
Bon, ça, je l'avais déjà fait, je me mettais donc à genoux, devant Laeti qui s’assaillait sur le lit, elle semblait ne plus trop oser me donner des ordres, aussi me mettais-je au travail, léchant les talons et les pieds de la jolie blonde, suçant le bout de ses orteils, puis son talon à nouveau.
Lorsque Maîtresse Jenny était de retour, elle nous accrochait une laisse à tous les deux et nous emmenait, nous ordonnant d'attendre.
Nous étions à l'entrée de deux salles, chacune partant de part et d'autres, aucune n'était fermée.
A ma droite se tenait probablement une salle de cinéma, de l'autre côté, cela ressemblait plutôt à un couloir.
Un petit regard me permettait de voir un homme dans la salle, le film diffusé était bien entendu un film porno ou l'actrice était nue, attachée, un bâillon dans la bouche et ou un homme en costume la forçait à se regarder dans un miroir, ce porno, je l'avais déjà vu plusieurs fois, étant un grand fan de l'actrice.
L'homme présent dans la salle était un marocain, assez jeune, il portait un pantalon de jogging et un sweat-shirt, il était clairement en train de se masturber,
Maîtresse Jennifer débarquait alors dans la salle, comme s'il était gêné de ce qu'il était en train de faire, le marocain remballait son sexe, mais la domina s'approchait de lui pour lui parler, l'arabe hochait la tète en signe d'acceptation, mais de la ou nous étions, il était impossible de savoir ce qu'elle lui avait demandé.
Maîtresse Jennifer revenait vers nous tandis que l'inconnu pianotait sur son portable.
— Alex, tu vas par le couloir, première à droite, deuxième à gauche et tu te mets à genoux dans la cabine.
— Attendez, quelle cabine ?
Maîtresse Jennifer levait les yeux au ciel.
— Obéis !
Je m’exécutais donc pendant qu'elle envoyait Laeti auprès du gars, avant de revenir et m'accompagner.
Nous étions deux, à genoux, devant plusieurs trous, je savais exactement ce que c'était : des gloryholes : des trous dans lesquels on passait sa queue et ou quelqu'un de l'autre côté pouvait jouer avec le sexe proposé.
Maîtresse Jenny voulait me faire sucer la queue de ce marocain ? Ok, j'étais excité par les événements récents, mais la situation était telle que je me sentais soudainement mal à l'aise.
Laeti se collait à moi, me prenant dans ses bras, ce qui était plutôt surprenant.
— je sais : tu as peur, mais c'est différent d'hier, n'oublie pas que tu arrête à tout moment si tu le souhaite ...
— Je ... Je ne sais pas ...
— Je t'explique, le gars ne va pas venir tout seul, Maîtresse Jenny lui a demandé d'envoyer un SMS à quelques amis à lui, elle m'a envoyée lui parler pour qu'il me voit, il sait qu'il y aura un homme avec, mais le jeu qu'elle lui a proposé c'est de ne pas dire de quel côté, les chanceux profitent de ma bouche, les autres profitent de la tienne sans savoir, apparemment il est joueur.
— Je ...
— Alors si tu ne veux pas, on ne t'en voudra pas ... Sinon, t'as intérêt à assurer ...
Elle avait reprit ce ton un peu autoritaire, mais me voyant toujours nerveux, elle ajoutait :
— Ça t'aiderait si je me la jouais dominatrice ?
— Je crois que ouais, franchement, j'ai pas envie de partir, je veux progresser dans ma domination.
— Alors prépare toi salope, parce qu'ils arrivent ...
Effectivement on entendait de jeunes hommes s'approcher, la première queue ne tardait pas à passer par le premier trou, c'était une énorme queue noire, des veines saillantes zébraient le long du pénis dur comme de l'acier ...
Et elle était de mon côté ...
Laeti chuchotait.
— T'attends quoi ?
— T'as vu le machin ?
— Justement, ça te fera un baptême du feu plutôt carabiné.
— Non, mais la j'ose pas ...
Laeti parti dans un petit rire, j'avais la sensation qu'on commençait à s'apprécier, c'était le cas de mon côté en tout cas. J'aimais bien la découvrir un peu moins dominatrice, malgré sa promesse de l'être.
— Ok, je commence, tu suis ...
Laeti commençait à poser ses lèvres autour du sexe tendu et j'étais surpris de ne pas avoir entendu un craquement au moment ou elle avait ouvert sa mâchoire avec une si grande amplitude.
Ses lèvres s'activaient, suçant le sexe tendu, elle avait l'air parfaitement douée, sortant sa langue pour toucher les testicules chaque fois qu'elle arrivait au bout.
J'étais déjà surpris que ce soit anatomiquement faisable vu la taille du gourdin.
— A toi ... Mais ? Rhan, salope va !
Avait-elle dit en m'observant, je ne m'en étais même pas aperçu, mais une autre bite avait jailli dans l'un des trous et je m'étais machinalement mit à la masturber.
— Je ...
— Ben suce le maintenant, c'est bon, je m'occupe de l'autre.
La scène était surréaliste, mais bien réelle, je suçais le sexe d'un inconnu à travers la paroi, le fait de ne pas voir à quoi il ressemblait et de l'avoir déjà fait rendait le tout encore plus facile ... Et excitant.
De son côté, Laeti se donnait à fond elle aussi, nos corps étaient très proches, nous étions tous les deux en train de sucer deux inconnus, nous faisions une bonne équipe
Au bout d'un moment elle commençait à se retirer de l’énorme queue noire.
— Alex, faut que tu goutte, obligé !
— Hein, mais c'est trop gros ...
— Oh, dépêche toi petite pute !
Je sentais bien qu'elle avait essayé de le dire pour m'exciter, elle n'était pas du tout dans ce mood, ceci dit c'était quand-même excitant, alors je venais poser mes lèvres sur cet énorme boa, tandis que la main de Laeti venait remplacer ma bouche sur l'autre sexe.
J'avais horriblement mal aux mâchoires rien qu'a devoir les disloquer comme je le faisais pour pouvoir tenir ce truc dans ma bouche, mais je n'étais pas au maximum de mes surprises : tout à coup, je le sentais gonflé et un énorme jet de foutre se rependait sur ma langue ce qui déclenchait le rire de Laeti
— Surprise motherfucker !
Dit-elle dans une mauvaise imitation d'un célèbre acteur Afro américain dont on taira le nom.
Par vengeance je lui crachait le foutre sur le visage.
— Surprise motherfucker !
L'on se regardait un moment avant d'éclater de rire, la voix de Maîtresses Jenny nous interrompait de l'extérieur.
— Hey, plus de fellation, moins de rire, vous n'êtes pas la pour vous amusez, rendez-moi fière bande de salopes !
Alors nous repartions à l'action, une queue après l'autre et je prenais un véritable plaisir humiliant à sucer des sexes d'hommes dans cette cabine avec Laeti qui passait elle aussi d'un pénis à l'autre.
Puis vint le moment ou un dernier pénis sortait, nous nous jetions un regard complice et commencions à le sucer comme deux actrices X dans un film.
Nos langues se touchaient par moment, je sentais la main de Laeti sur ma cuisse, nos regards se croisaient tandis que les langues glissaient sur le gourdin de l'homme qui devait se douter que le mec était l'une des deux langues, mais semblait s'en fiche sous le plaisir qu'il devait ressentir.
Au bout d'un moment, il se mit à trembler et Laeti attrapait mon visage, sa langue se mélangeait à la main tandis que, de sa main droite, elle faisait jouir l'homme sur nos deux bouches.
J'entendais vaguement une voix remercier Maîtresse Jenny, mais le monde était différent autour de moi, Laeti et moi étions en train de nous embrasser et je savais, à cet instant précis, qu'elle et moi allions devenir amis très proches ...
Maîtresse Jenny ouvrait alors la porte de la cabine pour nous trouver couverts de foutre, pataugeant dans plus de sperme encore, en train de nous embrasser.
— Regardez-moi ça, il y a moins d'une heure, il ne pouvait pas la blairer et maintenant ils jouent les salopes à deux ... Allez vous lavez petites putes !
Cela avait été dit sans aucune autorité, Jenny avait ricané en parlant.
Une fois clean, nous nous étions rhabillés tous les deux et faisions la route inverse dans la voiture de Jennifer, j'étais à l'avant avec Jenny, tandis que Laeti m'envoyait des gifs marrants comme si on avait toujours été proches, me faisant oublier le fait que, ce matin je ne lui aurait même pas pissé dessus si elle était en feu.
Jennifer se mit à m'expliquer la suite.
— Alex, puisque maintenant tu as franchi une étape, je voudrais qu'on parle de ce que j'avais prévu pour la fin de la semaine.
J'étais tout ouïe.
— Je veux organiser une soirée chez moi, dans mon appartement, il y aura des gens que tu connais et d'autres que tu connais moins. Avant de poursuivre, je veux que tu saches que tu pourras interrompre ta soumission à tout moment, mais j'aimerais que tu essaie d'aller jusqu'au bout ...
Jennifer semblait mal à l'aise, mais poursuivait néanmoins en s'arrêtant devant chez Laeti, le temps pour cette dernière de me faire la bise et de me dire qu'elle avait passé un merveilleux moment.
— Je ne vais pas te mentir Alex, je compte te faire aller plus loin, tu sais de quoi je parle, mais si tu ne le sens pas, alors tu pourras arrêter ...
Son regard était comme suppliant.
— Mais j'aimerais que tu tente le coup, tu vas vivre des événements compliqué à vivre, mais très « kinky », garde ça en tète ...
Je rentrais chez moi plus tard, Christelle était la, dans le canapé, inquiète. Je la regardais durement quelques secondes avant de me dérider et de la serrer fort dans mes bras.
Je lui pardonnais, je ne pouvais pas continuer à lui en vouloir et j'aurai de toute façon besoin de son soutien demain soir, quelque chose me dit que cela allait être une soirée difficile ...
Difficile ... Mais excitante ...
Christelle le prévient qu'il y a des travaux sur la route, Alex dévie alors son trajet pour passer devant la maison de son collègue ou il surprend sa femme en train de caresser le sexe d'un autre homme.
Plus tard dans la journée, il rejoint le couple chez eux, mais est surpris de constater l'absence de Paul et la présence de Laeti, sa femme, qui le drague sans aucune retenue.
Lorsque Laeti découvre la cage de chasteté d'Alex et se moque de lui, il décide de quitter les lieux et retourner chez lui pour découvrir une scène plutôt singulière : un homme inconnu en train de baiser Paul, travesti en femme.
Christelle avoue alors à Alex que tout était prévu depuis le départ : Laeti, qui arrive à ce moment la, était dans le coup, tout cela était un canular pour amener Alex à une soirée très spéciale.
Les péripéties se suivent et Alex se retrouve attaché à regarder sa femme se faire baiser l'anus violemment.
Laeti lui révèle alors que s'il veut que le calvaire de sa femme s'arrête, il devra accepter de sucer l'homme ...
J'étais la, à genoux, le sexe de l'homme tendu devant moi, tremblant ...
Comment pourrais-je faire une telle chose ?
Mon regard passait du sexe tendu de Cyril qui, visiblement n'attendait que ça, à Christelle qui semblait attendre elle aussi.
En fait, le monde entier était comme suspendu, tout le monde semblait attendre ma décision pendant un instant qui semblait durer une éternité.
Laeti prit alors les choses en main, s'emparant des hanches de ma femme et s'enfonçant d'un coup sec, Christelle hurlait et cela déclenchait en moi une sorte de réflexe de protection, ma bouche s'ouvrait et, les yeux fermé, je refermais mes lèvres sur ce bâton de chair qui m'était tendu.
Le goût était amer, était-ce cela que Christelle avait en bouche quand elle m'en faisait une ?
— Bien, mais il va falloir mettre un peu d'entrain ...
Laeti était impitoyable ...
Alors je m'activais, maudissant les envies de Christelle, j'étais en train de pratiquer une fellation sur un type que je ne connaissais même pas, tandis que mon collègue de travail (habillé en femme soit disant passant) observait la scène en se caressant l'anus.
Je sentais ce gourdin entrer et sortir de ma bouche, j'avais honte, quelle humiliation ! Faire cela devant ma femme et mon collègue ...
Et le pire de tout cela : je ne pouvais même pas dire que je détestais cela : l'humiliation me rendait euphorique et je sentais mon sexe devenir d'acier dans ma cage.
Laeti sortait des fesses de ma femme, je la voyais se lever et m'interrompais dans ma fellation, la jolie blonde s'accroupissait prêt de moi, son regard avait changé, plus bienveillant, un peu comme Christelle quand elle sentait qu'elle avait été trop loin.
— Putain, toi t'es vraiment amoureux ...
Ses mains se posèrent de part et d'autre de mon visage avec une certaine bienveillance, ses lèvres touchèrent les miennes dans un baiser passionné. Je voulais la repousser, mais je ne le fis pas, sans doute était-ce ce que Christelle désirait ? Je ne savais même plus ou j'en étais.
Laeti m'observait, elle était vraiment belle, beaucoup plus jeune que je ne l'avais cru, sans doute début vingtaine comme nous.
— Ta dévotion envers Christelle est incroyable, un jour tu seras au niveau de Pauline ...
Pardon quoi ?
— Et à ce titre, il va falloir faire plus d'efforts ...
A peine la phrase terminée qu'elle m'enfonçait le sexe de Cyril dans la bouche, mais plus question de me laisser sucer à mon aise, elle l'enfonçait jusqu'à la garde et je toussais dessus, des larmes sortaient de mes yeux, je m’étouffais ...
J'entendais vaguement Christelle qui suppliait Laeti d'arrêter et celle-ci de lui répondre qu'elle m'avait ordonné une pipe bien baveuse et qu'elle l'aurait, que Christelle était trop gentille avec moi et qu'il fallait, je cite « me faire sucer des bites comme une sale putain, qu'il n'y a que comme ça que je comprendrais »
Au bout d'un moment qui me paraissait durer une éternité, Cyril se mettait à trembler, du foutre chaud se déversait dans ma bouche et, enfin, Laeti me lâchait.
Je me penchais en avant, toussant le foutre sur les pieds de Cyril, crachant de la salive sèche, j'étais rouge, les yeux humides.
Mais mon calvaire n'était pas terminé.
— Tu as sali mon amant, nettoie petite putain !
Les mains se Laeti se plantaient dans mes cheveux et mon visage était écrasé sur le pied de Cyril.
— LECHE !
Ma langue s'activait, j'aurai fais n'importe quoi pour que cela s'arrête et j'avais honte de l'admettre, mais ma queue était tendu à craquer dans ma cage de chasteté.
Quand Laeti avait enfin fini, elle me relâchait et regardait Christelle droit dans les yeux.
— C'est comme cela qu'on traite les salopes !
Je restais ainsi, le visage couché sur le sol, tandis que Laeti commençait à masturber Cyril avec Paul qui lui léchait les pieds à même le sol.
— On n'a pas fini de s'amuser ...
Mais s'en était trop pour Christelle qui regardait Laeti avec hargne.
— Sortez d'ici ... Tous ... Je ne veux plus voir personne ...
Quelques instants plus tard, alors que tout le monde était parti, Christelle me détachait, je la suivais comme un pilote automatique sous la douche, elle me lavait, répétant sans arrêt combien elle était désolée.
Pour ma part, j'étais incapable de penser.
Le lendemain matin, j'envoyais un SMS au travail pour leur dire que j'étais malade, sans doute jusqu'à la fin de la semaine et je prenais une douche rapide.
Mon regard se posait sur la petite table à côté de la baignoire, pas de bas et de string et c'était tant mieux, au diable le travail, au diable les défis de Maîtresse Jenny, au diable Laeti et sa névrose ...
Et au diable Christelle et ses petits jeux de manipulation ...
Une notification SMS résonnait sur mon portable, je regardais rapidement : un SMS de Maîtresse Jenny qui commençait par « je suis désolée » en l'ouvrant, la suite disait simplement « il faut qu'on parle »
Je posais mon téléphone sur la table du bureau et m'allongeais dans le canapé, je refusais de retourner dans ce lit avec ma femme qui m'avait « forcé » (il n'y avait pas d'autres mots) à faire ce que j' avais fais la veille ...
Nouveau SMS, de Paul cette fois : « Ça va vieux ? Désolé, Laeti peu se montrer très virulente quand elle est excitée »
Super, ça va me faire oublier que je me suis pratiquement fait v ...
Je refuser même de penser à ce mot, en était-ce un ? Après tout, je l'avais fait de mon plein gré, mais je ne voulais pas le faire, Laeti avait prit ma femme en « otage » mais à sa demande, donc que disait la loi la dessus ?
En vérité, pas grand chose ... Et honnêtement, je m'en fichais, j'avais juste envie qu'on me laisse tranquille ...
Et puis, il y avait la honte de devoir admettre que j'avais aimé cela, inutile de dire que, après cet incident, Christelle m'avait libéré de la cage de chasteté et rien qu'a me rappeler de la scène, je bandais férocement.
Christelle débarquait alors dans le salon, avec un top et un short, elle s'approchait de moi et posait une main sur ma cuisse.
— Je ... Je vais prendre congé, ça marche ? Aujourd'hui on va faire des trucs de couples plus ... Traditionnel ...
Elle était visiblement inquiète, posant son regard partout dans la pièce.
— Je pourrais même te sucer devant la télé, ça fait longtemps que je ne l'ai pas fais hein ?
Mais ma réponse était inaudible, sans doute parce que je ne voulais pas réellement être aussi violent dans mes propos, mais quand elle me demanda de répéter, je ne pu m'en empêcher.
— J'aurais du la laisser te baiser ...
Christelle n'insistait pas, elle comprenait que je n'avais aucune envie de lui parler aujourd'hui, elle filait sous la douche, s'habillait et partait finalement travailler.
Pendant les heures qui suivaient, je restais la comme une loque à regarder la télévision, zappant de bêtise en bêtise, à moitié endormi lorsque l'on sonnait à la porte.
Ma première idée était de laisser le clampin sans réponse, je n'y étais pour personne, mais à force que cela insiste et que mon téléphone se mettait à vibrer de SMS, je me décidais à me diriger vers la porte.
— Maîtresse Jenny ?
— Juste Jennifer aujourd'hui ...
Elle avait l'air vraiment désolée, elle portait un jeans, une paire de sandales blanches et un t-shirt à manches longues couleur chaire. Son maquillage était comme d'habitude, un peu trop prononcé sur les lèvres, des volutes de noirs autour des yeux, des faux ongles aux mains ...
Elle rentrait, sans attendre ma permission
— Maîtresse ... Heu ... Jennifer, je suis désolé, je ne suis pas d'humeur ...
Son regard avait l'air sincère, c'était peut-être ce qui m'empêchait de la mettre dehors ...
— Je suis désolé pour cet incident, je ne voulais pas que cela se passe comme ça ... Il faut qu'on discute, je m'inquiète pour Christelle ...
— Comment cela ?
— Je peux m'asseoir ?
— Bien sûr ...
Elle s'était assise et on restait la à ne pas parler, sans trop savoir quoi se dire. Elle finissait par rompre le silence.
— Christelle a besoin de comprendre quelles sont les limites de son partenaire, le consentement c'est important et la manière dont elle a joué avec ton côté protecteur ce n'était pas bien ...
— Je vous le fais pas dire ...
— Mais ...
— Mais ?
Qu'est ce qu'elle allait me sortir maintenant ?
— Mais Christelle n'a pas agit ainsi sans raison, la façon de faire était maladroite, mais elle voulait juste te faire progresser et tu l'a fais.
— Je ne voulais pas sucer une bite !
— Alex ...
— Quoi ?
— Regarde moi dans les yeux et jure moi que tu n'a pas aimé ça ...
— Je ...
Mais que pouvais-je dire ? Bien sûr que si j'avais aimé et pire encore : j'en avais été soulagé. C'était comme si, une fois la limite franchie, il n'y avait plus besoin de la franchir à nouveau, comme si j'avais enfin osé ouvrir la boite de Pandore. De quoi pouvais-je avoir honte ? Je l'avais déjà fait ...
Et je voulais recommencer ...
— J'ai raison n'est-ce pas ?
— Je ...
— Dis le ...
— Non, je ...
— Oh aller Alex, toi même tu en est conscient ...
— Mais je ...
— Tu bandes !
Je regardais mon pantalon et, effectivement, l'idée d'y repenser m'avait tendu, pire, je sentais une forme d'excitation au plus profond de moi.
Maîtresse Jennifer s'approchait de moi, ramenant ses lèvres prêt de mon oreille.
— Admets le Alex, tu en rêve ... Tu veux être la pute de Christelle ...
J'en tremblais d'excitation.
— Et si je te faisais lécher mes pieds ? Tu sais ce n'est pas par hasard que je porte des sandales ...
Mon regard se tournait vers le bas, elle avait raison : j'étais en colère, mais excité.
Jennifer posait sa main sur la mienne.
— Écoute Alex ... Christelle a fait une erreur et elle s'en veut et elle n'est pas la seule d'ailleurs, mais, même sans la défendre, tu dois reconnaître que ça t'a fait progresser ... Non ?
— Je l'admets ...
— Et que tu as aimé ça ...
— Je l'admets aussi ...
Un petit silence s'était imposé entre nous, au bout d'un moment qui semblait une éternité, Jennifer reprenait la parole.
— Alex ...
— Oui ...
— Avec l'autorisation de Christelle accepterais-tu de te soumettre à moi aujourd'hui ?
— Hein ?
— Je voudrais t'amener à quelque chose aujourd'hui, quelque chose de très excitant, mais je veux ton accord, histoire que ça se passe plus en douceur qu'hier ...
La garce savait très bien ce qu'elle était en train de faire, je la voyais jouer avec sa sandale, elle avait parlé de sexe et de domination pour m'exciter, pour que je ne sois plus capable de réfléchir ...
Et ça avait marché.
— Oui, d'accord ...
Marché, mais pas au point de me rendre stupide pour autant.
— Mais je veux pouvoir tout stopper à tout moment !
Jennifer semblait surprise, mais elle hochait la tète pour confirmer, un léger sourire doux et sincère se dessinait sur son visage avant de reprendre un visage plus autoritaire.
— Maintenant va mettre ta cage de chasteté et rejoins moi dehors !
Je la voyais pianoter sur son portable le temps que je referme la cage, laissant la clef sur la table du salon.
Une fois dans sa voiture, je commençais à me demander si c'était une bonne idée, je n'étais simplement pas dans le mood, même si elle m'avait vraiment bien excité, mon regard passait de la route à elle à plusieurs reprises et particulièrement quand je sentais sa main sur ma cuisse, qui vint passer sur la cage de chasteté pour tenter de toucher la peau à travers l'acier (et mon jeans) elle m'excitait vraiment ...
En revanche ce qui fit redescendre la tension sexuelle fut le moment ou l'on s'engageait dans la rue de Paul.
— Attends, qu'est ce que tu ...
— Quelqu'un d'autre aussi aimerait s'excuser ...
— Non pas cette timbrée !
— Elle n'est pas timbrée Alex, elle a juste essayé d'aider, même si je comprends ta colère ...
— Mais ...
— Tu te tais ! Tu a accepté de te soumettre, attends au moins de voir ou cela te mène ...
— Je ... Ok ... Très bien ...
— Très bien qui ?
— Maîtresse ...
Devant la maison, se tenait Laeti, elle était habillée d'une manière très provocante : en tant que fétichiste, ce que je remarquais en premier était évidemment la paire de chaussures ouvertes à talons de couleur noire, elle portait une jolie robe blanche qui lui allait magnifiquement, ainsi qu'un maquille assez travaillé.
— Ouvre lui la portière arrière, vous allez discuter le temps qu'on arrive ...
— Qu'on arrive ou ?
— Tu verras !
Je m’exécutais, tenant donc la porte à cette sorcière, avant de la suivre et Maîtresse Jennifer redémarrait doucement, roulant plus lentement qu'à l'arrivée chez Laeti. Cette dernière avait l'air mal à l'aise ...
— Alex ... Avant de commencer, je tenais à te dire que j'étais désolée ...
— De quoi ? De m'avoir fait du chantage pour que je suce une bite ?
— Oui ... C'est le problème avec le SM, des fois on est un peu trop enthousiaste ...
— Oh, ben dans ce cas c'est pas grave si on m'a forcé, on s'en fout ? C'est ça l'idée ?
— Non, sincèrement Alex, je n'aurais pas du et Christelle non plus, on est vraiment désolée, elle te le dira ce soir. Maîtresse Jenny nous avait demandé de pousser un peu et ... On a fait n'importe quoi ...
Mon visage était fermé, j'étais en colère, je ne savais que répondre, elle me faisait de la peine et avait l'air sincèrement désolée.
— Je te promets que ça n'arrivera plus ....
Gros silence de ma part, ce fut Maîtresse Jenny qui intervenait pour permettre à tout cela de continuer.
— Alors Alex ? Tu lui pardonne et vous vous serrez la main ?
Je regardais le visage de Laeti, elle avait l'air sincère ... Et aussi terriblement séduisante ...
— Ok, ça va ...
on se serrait la main et Maîtresse Jenny cru bon d'ajouter.
— T'inquiète ma belle, de toute façon il a avoué qu'il aimait ça !
Le sourire de Laeti à cet instant me rappelait celui qu'elle avait en découvrant la cage de chasteté hier.
— Et pour ... L'autre truc ? ... Il a accepté ?
— Oui ...
— Intéressant ...
— L'autre truc ?
Je demandais, car n'étant visiblement pas dans la confidence de quelque chose que j'avais accepté, Maîtresse Jenny apportait alors quelques précisions.
— Te soumettre.
— Je ...
Laeti réagissait à ce moment la en enlevant ses chaussures et en plaçant ses pieds sur mes cuisses.
— Lèche, le temps qu'on arrive.
— Mais, je ...
— Lèche !
Alors je ne me fis pas prier, attrapant les pieds sublimes de Laeti avec précautions, passant ma langue sur le gros orteil, la glissant le long du dos du pied, prenant parfois les orteils en bouche, le tout sous le regard amusé de Laeti.
Nous arrivâmes à un feu rouge, il venait de débuter et nous étions, évidemment du côté de la rue, je m'interrompais.
— Qui t'as dis de t'arrêter ?
— Mais il y a des gens, ils vont me voir.
— Pas mon problème, lèche !
Alors je poursuivais mon œuvre, fermant les yeux pour ne voir personne, comme on ferme les yeux dans une attraction qui va trop vite.
— Nous y sommes ...
Je remarquais alors que nous étions en plein centre ville de Bruxelles.
Maîtresse Jenny garait sa voiture et nous sortions tous les trois pour rentrer dans un sex-shop à la devanture vitrée ne laissant aucun doute quant à la nature des produits à consommer ici.
Laeti s'accrochait à mon bras, tandis que ma dominatrice du jour allait demander une place, comme souvent, pour les femmes c'était gratuit.
Comme une confidence, elle me glissait qu'elle avait déjà emmené Ellie dans cet endroit.
— Montez tous les deux et attendez moi dans la première pièce, celle avec le lit, j'arrive ...
Nous montions les marches, Laeti avait l'air aussi nerveuse que moi, tremblants de tous ses membres.
L'endroit avec le lit était une sorte de chambre aux murs décrépi, sans portes, il y avait un lit noir clairement pas fait pour dormir et un bidet juste à côté.
Le bruit du téléphone de Laeti se mettait à raisonner, elle consultait le message, puis se tournait vers moi pour me le montrer.
Cela disait : à poil !
J'obéissais, enlevant mes vêtements, très inquiet de la suite des événements. Maîtresse Jenny débarquait quelques instants plus tard avec un gigantesque sac de sport, elle me jetait un truc dans les mains.
— Mets ça !
Pendant que j'enfilais la cagoule qu'elle venait de me jeter, elle enfournait mes fringues dans le sac, puis jetais un regard dubitatif à Laeti.
— Le « à poil » c'était pour vous deux !
Laeti avait soudain l'air mal à l'aise.
— Mais c'est lui qui doit se soumettre, pas moi.
— Tu discutes ?
Laeti baissait la tète.
— Non Maîtresse ...
— Bien !
Maîtresse Jenny sortait alors de son sac une cravache et un martinet qu'elle déposait sur le lit, avant de mettre les vêtements de Laeti dans le sac, la blonde avait conservé ses chaussures.
— Je vais mettre le sac à la réception, en attendant, Alex tu lèche les pieds de Laeti !
Bon, ça, je l'avais déjà fait, je me mettais donc à genoux, devant Laeti qui s’assaillait sur le lit, elle semblait ne plus trop oser me donner des ordres, aussi me mettais-je au travail, léchant les talons et les pieds de la jolie blonde, suçant le bout de ses orteils, puis son talon à nouveau.
Lorsque Maîtresse Jenny était de retour, elle nous accrochait une laisse à tous les deux et nous emmenait, nous ordonnant d'attendre.
Nous étions à l'entrée de deux salles, chacune partant de part et d'autres, aucune n'était fermée.
A ma droite se tenait probablement une salle de cinéma, de l'autre côté, cela ressemblait plutôt à un couloir.
Un petit regard me permettait de voir un homme dans la salle, le film diffusé était bien entendu un film porno ou l'actrice était nue, attachée, un bâillon dans la bouche et ou un homme en costume la forçait à se regarder dans un miroir, ce porno, je l'avais déjà vu plusieurs fois, étant un grand fan de l'actrice.
L'homme présent dans la salle était un marocain, assez jeune, il portait un pantalon de jogging et un sweat-shirt, il était clairement en train de se masturber,
Maîtresse Jennifer débarquait alors dans la salle, comme s'il était gêné de ce qu'il était en train de faire, le marocain remballait son sexe, mais la domina s'approchait de lui pour lui parler, l'arabe hochait la tète en signe d'acceptation, mais de la ou nous étions, il était impossible de savoir ce qu'elle lui avait demandé.
Maîtresse Jennifer revenait vers nous tandis que l'inconnu pianotait sur son portable.
— Alex, tu vas par le couloir, première à droite, deuxième à gauche et tu te mets à genoux dans la cabine.
— Attendez, quelle cabine ?
Maîtresse Jennifer levait les yeux au ciel.
— Obéis !
Je m’exécutais donc pendant qu'elle envoyait Laeti auprès du gars, avant de revenir et m'accompagner.
Nous étions deux, à genoux, devant plusieurs trous, je savais exactement ce que c'était : des gloryholes : des trous dans lesquels on passait sa queue et ou quelqu'un de l'autre côté pouvait jouer avec le sexe proposé.
Maîtresse Jenny voulait me faire sucer la queue de ce marocain ? Ok, j'étais excité par les événements récents, mais la situation était telle que je me sentais soudainement mal à l'aise.
Laeti se collait à moi, me prenant dans ses bras, ce qui était plutôt surprenant.
— je sais : tu as peur, mais c'est différent d'hier, n'oublie pas que tu arrête à tout moment si tu le souhaite ...
— Je ... Je ne sais pas ...
— Je t'explique, le gars ne va pas venir tout seul, Maîtresse Jenny lui a demandé d'envoyer un SMS à quelques amis à lui, elle m'a envoyée lui parler pour qu'il me voit, il sait qu'il y aura un homme avec, mais le jeu qu'elle lui a proposé c'est de ne pas dire de quel côté, les chanceux profitent de ma bouche, les autres profitent de la tienne sans savoir, apparemment il est joueur.
— Je ...
— Alors si tu ne veux pas, on ne t'en voudra pas ... Sinon, t'as intérêt à assurer ...
Elle avait reprit ce ton un peu autoritaire, mais me voyant toujours nerveux, elle ajoutait :
— Ça t'aiderait si je me la jouais dominatrice ?
— Je crois que ouais, franchement, j'ai pas envie de partir, je veux progresser dans ma domination.
— Alors prépare toi salope, parce qu'ils arrivent ...
Effectivement on entendait de jeunes hommes s'approcher, la première queue ne tardait pas à passer par le premier trou, c'était une énorme queue noire, des veines saillantes zébraient le long du pénis dur comme de l'acier ...
Et elle était de mon côté ...
Laeti chuchotait.
— T'attends quoi ?
— T'as vu le machin ?
— Justement, ça te fera un baptême du feu plutôt carabiné.
— Non, mais la j'ose pas ...
Laeti parti dans un petit rire, j'avais la sensation qu'on commençait à s'apprécier, c'était le cas de mon côté en tout cas. J'aimais bien la découvrir un peu moins dominatrice, malgré sa promesse de l'être.
— Ok, je commence, tu suis ...
Laeti commençait à poser ses lèvres autour du sexe tendu et j'étais surpris de ne pas avoir entendu un craquement au moment ou elle avait ouvert sa mâchoire avec une si grande amplitude.
Ses lèvres s'activaient, suçant le sexe tendu, elle avait l'air parfaitement douée, sortant sa langue pour toucher les testicules chaque fois qu'elle arrivait au bout.
J'étais déjà surpris que ce soit anatomiquement faisable vu la taille du gourdin.
— A toi ... Mais ? Rhan, salope va !
Avait-elle dit en m'observant, je ne m'en étais même pas aperçu, mais une autre bite avait jailli dans l'un des trous et je m'étais machinalement mit à la masturber.
— Je ...
— Ben suce le maintenant, c'est bon, je m'occupe de l'autre.
La scène était surréaliste, mais bien réelle, je suçais le sexe d'un inconnu à travers la paroi, le fait de ne pas voir à quoi il ressemblait et de l'avoir déjà fait rendait le tout encore plus facile ... Et excitant.
De son côté, Laeti se donnait à fond elle aussi, nos corps étaient très proches, nous étions tous les deux en train de sucer deux inconnus, nous faisions une bonne équipe
Au bout d'un moment elle commençait à se retirer de l’énorme queue noire.
— Alex, faut que tu goutte, obligé !
— Hein, mais c'est trop gros ...
— Oh, dépêche toi petite pute !
Je sentais bien qu'elle avait essayé de le dire pour m'exciter, elle n'était pas du tout dans ce mood, ceci dit c'était quand-même excitant, alors je venais poser mes lèvres sur cet énorme boa, tandis que la main de Laeti venait remplacer ma bouche sur l'autre sexe.
J'avais horriblement mal aux mâchoires rien qu'a devoir les disloquer comme je le faisais pour pouvoir tenir ce truc dans ma bouche, mais je n'étais pas au maximum de mes surprises : tout à coup, je le sentais gonflé et un énorme jet de foutre se rependait sur ma langue ce qui déclenchait le rire de Laeti
— Surprise motherfucker !
Dit-elle dans une mauvaise imitation d'un célèbre acteur Afro américain dont on taira le nom.
Par vengeance je lui crachait le foutre sur le visage.
— Surprise motherfucker !
L'on se regardait un moment avant d'éclater de rire, la voix de Maîtresses Jenny nous interrompait de l'extérieur.
— Hey, plus de fellation, moins de rire, vous n'êtes pas la pour vous amusez, rendez-moi fière bande de salopes !
Alors nous repartions à l'action, une queue après l'autre et je prenais un véritable plaisir humiliant à sucer des sexes d'hommes dans cette cabine avec Laeti qui passait elle aussi d'un pénis à l'autre.
Puis vint le moment ou un dernier pénis sortait, nous nous jetions un regard complice et commencions à le sucer comme deux actrices X dans un film.
Nos langues se touchaient par moment, je sentais la main de Laeti sur ma cuisse, nos regards se croisaient tandis que les langues glissaient sur le gourdin de l'homme qui devait se douter que le mec était l'une des deux langues, mais semblait s'en fiche sous le plaisir qu'il devait ressentir.
Au bout d'un moment, il se mit à trembler et Laeti attrapait mon visage, sa langue se mélangeait à la main tandis que, de sa main droite, elle faisait jouir l'homme sur nos deux bouches.
J'entendais vaguement une voix remercier Maîtresse Jenny, mais le monde était différent autour de moi, Laeti et moi étions en train de nous embrasser et je savais, à cet instant précis, qu'elle et moi allions devenir amis très proches ...
Maîtresse Jenny ouvrait alors la porte de la cabine pour nous trouver couverts de foutre, pataugeant dans plus de sperme encore, en train de nous embrasser.
— Regardez-moi ça, il y a moins d'une heure, il ne pouvait pas la blairer et maintenant ils jouent les salopes à deux ... Allez vous lavez petites putes !
Cela avait été dit sans aucune autorité, Jenny avait ricané en parlant.
Une fois clean, nous nous étions rhabillés tous les deux et faisions la route inverse dans la voiture de Jennifer, j'étais à l'avant avec Jenny, tandis que Laeti m'envoyait des gifs marrants comme si on avait toujours été proches, me faisant oublier le fait que, ce matin je ne lui aurait même pas pissé dessus si elle était en feu.
Jennifer se mit à m'expliquer la suite.
— Alex, puisque maintenant tu as franchi une étape, je voudrais qu'on parle de ce que j'avais prévu pour la fin de la semaine.
J'étais tout ouïe.
— Je veux organiser une soirée chez moi, dans mon appartement, il y aura des gens que tu connais et d'autres que tu connais moins. Avant de poursuivre, je veux que tu saches que tu pourras interrompre ta soumission à tout moment, mais j'aimerais que tu essaie d'aller jusqu'au bout ...
Jennifer semblait mal à l'aise, mais poursuivait néanmoins en s'arrêtant devant chez Laeti, le temps pour cette dernière de me faire la bise et de me dire qu'elle avait passé un merveilleux moment.
— Je ne vais pas te mentir Alex, je compte te faire aller plus loin, tu sais de quoi je parle, mais si tu ne le sens pas, alors tu pourras arrêter ...
Son regard était comme suppliant.
— Mais j'aimerais que tu tente le coup, tu vas vivre des événements compliqué à vivre, mais très « kinky », garde ça en tète ...
Je rentrais chez moi plus tard, Christelle était la, dans le canapé, inquiète. Je la regardais durement quelques secondes avant de me dérider et de la serrer fort dans mes bras.
Je lui pardonnais, je ne pouvais pas continuer à lui en vouloir et j'aurai de toute façon besoin de son soutien demain soir, quelque chose me dit que cela allait être une soirée difficile ...
Difficile ... Mais excitante ...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours aussi excitant!!! Vivement la suite
Cher couple,
Je suis ravie que mon histoire vous inspire, j'espère que la suite vous donnera encore plus d'idées ;)
Je suis ravie que mon histoire vous inspire, j'espère que la suite vous donnera encore plus d'idées ;)
Le plan glory hole en duo est vraiment excitant ! Avec ma compagne nous sommes li-bi-bertins avec expérience, mais ça on ne l'a jamais fait. Il y a un club dans notre région qui a un coin glory, ça va être un truc à organiser. :-) Merci pour l'inspiration !
Super !! Vraiment bien !!