Doux foyer (3)
Récit érotique écrit par Leatherbite [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Doux foyer (3)
Résumé de l'épisode précédent :
Christelle et Alexandre sont un jeune couple belge, si tout semble parfait dans leurs vies, un incident a eu lieu : Alexandre a trompé sa femme, une mauvaise impulsion qu'il a regretté tout de suite, mais le mal était fait.
En représailles, Christelle a couché avec un autre homme sous leur toit, devant ses yeux, après une longue dispute, ils ont choisi de remettre les compteurs à zéro et d'oublier cette histoire.
Évidemment, c'est plus facile à dire qu'a faire et, outre la colère et la frustration de chacun, Alexandre a commencé à développer un fantasme autour de l'infidélité de sa femme, quelle n'est pas sa surprise de découvrir que Christelle aussi.
Ils ont donc décidé d'un petit scénario, mais si celui-ci ne semble pas vraiment excité Alex, c'est un changement de mise en scène qui accélérera les choses.
Alex se découvre alors un côté soumis insoupçonné pour ce jeune homme qui a toujours pensé être un dominant ...
J'ouvrais les yeux avec l'impression de sortir d'un mois de coma, un rapide regard sur le réveil du lit m'indiquait que je n'avais dormi que vingt minutes.
Allongée à l'envers, la tète reposant sur mon bras, Christelle avait du sentir que j'avais bougé puisque ses yeux magnifique peinaient à s'ouvrir et que son regard se posait sur moi.
Nous étions nus, tous les deux, encore peu conscient de ce qui venait de se passer.
« Gifle moi de toutes tes forces ... » lui avais-je dit.
Elle s'était interrompue, me regardant un moment, la gifle qui en avait suivie était légère, molle sans force.
Elle comprit tout de suite que c'était nul.
— Tu veux vraiment que je ...
— Oui, je t'en supplie ...
Alors elle retentait, deuxième gifle molle, puis une troisième, une quatrième, de moins en moins molle.
Je connaissais Christelle, je savais qui se passait dans sa tète : elle était en train d'aimer ça ...
Je la voyais remuer avec plus d'entrain sur le plug collé à la tète de lit.
— Ca te plait de me voir comme ça ?
— O ... Oui ...
Gifle ...
— Oui qui ?
— Oui Maîtresse ...
Je reconnaissais la scène, c'était dans le porno cuckold que j'avais regardé avec la maîtresse noire, elle avait regardé le même film, comme elle était peu expérimentée -pas du tout en fait- elle tentait d'imiter comme elle pouvait.
— Han putain c'est trop bon ...
Je la regardais avoir du plaisir, prenant mon sexe en main et remuant mes doigts dessus à une vitesse frénétique, comme si ma masturbation était aussi vitale que ma respiration. Dans mon bas ventre je sentais comme une démangeaison, un genre de poids agréable, tandis que je regardais cette femme, MA femme prendre du plaisir, son visage mêlant excitation et extase.
Christelle s'approchait de moi, ralentissant son rythme.
— Maintenant tu vas sucer la queue de mon am ...
Trop tard ...
Un jet de sperme chaud venait de souiller les draps, elle fut aussi surprise que moi, regardant la housse de matelas poisseuse, nos regards se mêlèrent un instant. Elle sortait le plug de son anus et s'allongeait en même temps que moi, jetant le jouet poisseux à même le sol et je la comprenais : nous étions tous les deux épuisés, il serait toujours temps de nettoyer plus tard.
C'était à ce moment la que je m'étais endormi, réalisant avec effroi que ce n'était pas seulement la scène qui m'avait fait jouir, mais l'évocation de ...
Non, impossible, je suis un homme hétérosexuel, m'imaginer en sucer un autre était inconcevable ,,,
Mais si c'était ma maîtresse qui me l'ordonnait ?
Lors de notre réveil, Christelle me souriait, elle se tournait vers moi et posait un baiser chaste sur mes lèvres.
— J'ai adoré et toi ?
— C'était particulier ...
Gros silence.
— Mais j'ai adoré aussi, tu as bien vu, on s'est même carrément endormis dans mon ...
— Oh beurk va prendre une douche gros dégueulasse !
Fit-elle en riant, je fis mine d'être vexé et de me lever, mais elle me saisissait par le bras, me refaisant chuter dans la tâche de liquide masculin que j'avais semé plus tôt.
Elle posait sa tète dans la paume de sa main, se relevant un peu, ses petits seins arrogants pointant vers moi.
— Peut-être que je me suis un peu laissée emporter avec le « tu vas sucer mon amant »
Fit-elle en imitant une pseudo voix de film d'horreur.
Je dus me tourner sur le ventre pour qu'elle ne constate pas mon érection naissante, c'était sûr : l'idée faisait son chemin en moi.
— Oui, clairement, tu me vois moi sucer un autre mec ?
Elle se mit à éclater de rire.
— Au moins tu dirais moins de blague pourries la bouche pleine ...
Nous nous miment à rire tous les deux comme si cette idée était totalement absurde, mais au final, j'espérais qu'elle ne remarquerait pas à quel point mon rire était feint.
— Il y a quoi d'autre que tu veux tester dans la vidéo ?
Je posais mon regard sur elle, devais-je être honnête ? Devais-je lui dire « tout » ?
Non, je savais que je ne pourrai jamais sucer un autre homme, dans la vie il y a les fantasmes que l'on peut réaliser et ceux qu'il vaut mieux ne jamais franchir, sucer un homme en faisait partie.
— Rien, tu as déjà comblé tous mes désirs.
— Tu mens Alex ...
Petit sourire, elle n'était pas fâchée, mais elle avait compris, peut-être pas tout, mais une partie ou alors c'était son petit truc de sale gosse habituelle : tenter de me faire croire que quelque chose qu'elle désirait était mon idée, comme quand je voulais un traiteur italien pour notre mariage et qu'elle avait réussi à me convaincre que je préférais la bouffe chinoise.
En y réfléchissant, Christelle m'avait souvent manipulée ainsi, même quand nous étions sortis ensemble la première fois.
Une manipulation gentille et douce, pas comme mon ex, Anne qui, pour le coup, était une vraie garce, Christelle avait prit le temps de me réparer et je ne l'aimerai jamais assez pour ça.
Je réalisais à quel point j'avais été stupide avec Anaïs, jamais je n'aurai du tromper une femme si parfaite ...
— Tu serais prêt à me donner carte blanche ?
Je haussais un sourcil à la question de ma femme.
— Que veux tu dire ?
Christelle me prit la main, caressant mon doigt avec douceur.
— Et bien, on n'est pas trop expérimenté la dedans ... Toi tu as été dominant et tu m'a déjà dit que tu avais été un peu soumis avec ton ex pour essayer, mais vite fait ... Du coup, voila ce que je te propose : je me renseigne et une fois de temps en temps, sans que tu sache quand, je te ferai essayer un nouveau truc, ça te tente ?
Je déglutissais difficilement, une peur m'envahissait à l'idée de dire oui, mais en même temps, l'excitation était présente.
— Je ne sais pas trop, je ...
— Je te promets que si tu ne veux pas faire un truc, on ne le fera pas, je demande juste que tu essaie et en échange, je serai la maîtresse que tu as besoin d'avoir ...
Pas « envie » mais « besoin » Christelle était déjà totalement dans le rôle ...
— Je ... D'accord ...
— Super !
Fit-elle de sa voix cristalline avant de se diriger vers le salon, elle se tournait alors vers moi.
— Je t'aime tu sais et je suis heureuse que tu m'aie fait découvrir ce monde si particulier ...
Je la regardai aller à la douche, mon regard se perdait sur le plug abandonné sur le sol que je saisissais en m'étirant le plus possible sans tomber du lit.
Je le considérais quelques secondes, repassant la scène dans ma tète « maintenant tu vas sucer mon am ... » avait-elle dit et tout de suite, mon sexe se fit plus dur.
Pouvais-je réellement faire ça ?
Le bruit de la douche se fit entendre, je regardais le plug dans ma main, une envie irrépressible d'essayer se fit en moi et je le collais à nouveau contre la tète de lit, me posant à quatre pattes et le prenant dans ma bouche, tentant d'imiter Christelle du mieux que je le pouvais, glissant mes lèvres le long du sexe de plastique, m'imaginant Christelle au bout du lit, hilare à me regarder m'humilier de cette manière.
En face : son amant, la braguette ouverte, à genoux, son sexe dans ma bouche.
Et je suçais ...
Dans mon bas ventre, je sentais une explosion de désir, mon sexe était dur comme de la pierre, je le saisissais et me masturbait à nouveau, je ne fus pas long à jouir avec cette scène dans ma tète, nouveau jet, à l'endroit exact ou se trouvait Christelle plus tôt.
J'entendais le bruit de la douche s’atténuer, je me relevais d'un coup, m'essuyant rapidement avec un mouchoir de la table de nuit -censé être pour me moucher de base- avant de l’enfoncer dans la poche de mon jeans, je le jetterai plus tard.
Christelle arrivait, propre, elle s'approchait de moi, mais ne se collait pas (j'avais encore mon propre sperme sur le bas de mon dos et un peu sur le côté quand je m'étais tourné dans le matelas)
Son attention se posait sur la tète de lit.
— Tiens ... Je ne l'avais pas retiré ?
Merde, l'imbécile ...
— Non, je ne crois pas sinon que ferait-il de nouveau la ?
Christelle semblait considérer la chose, puis le lit, puis moi, avait-elle compris ?
Non, elle haussait simplement les épaules.
— N'oublie pas, je te prévois un truc spécial, j'ignore quand, mais tiens toi prêt ...
Sur ces mots, je parti sous la douche ...
Une semaine plus tard ...
Cela faisait exactement sept jours que Christelle et moi n'avions rien fait, nous n'en avions même plus parler. Connaissant Christelle, la hype du truc avait du partir, nous avions même couché ensemble hier soir, donc, nous étions redevenu un couple classique.
Je jetai un œil à l'heure de mon ordinateur : seize heure, le moment de partir, j'enfilais ma veste et attrapais mon sac à dos avant de saluer les secrétaires et de me diriger vers ma voiture.
Quelques minutes plus tard j'arrivais à la maison, garant le véhicule dans le garage et passant la porte.
Le courrier était rangé sur la petite table basse à côté de la porte, j'avançais vers le salon qui était totalement vide.
— Christelle ?
Appelais-je, mais n'obtint pas de réponses, elle était peut-être sur l'ordinateur ?
Je posais mon sac prêt du canapé, ce fut le moment ou je réalisais ou se trouvait Christelle : elle était assise sur le lit, les jambes croisées, entièrement nue, à l'exception d'une paire de hauts talons noirs incrustés de petits carrés argentés. Les ongles de ses pieds étaient teints d'un noir de jais, elle me regardait silencieusement avec un sourire énigmatique.
Elle avait envie de faire des cochonneries ? Je n'étais pas contre ...
— Hey !
Fis-je en m'approchant en retirant déjà ma chemise.
— Ca ne t'as pas suffit hier soir ?
— Il faut qu'on parle !
Dit-elle sèchement. Qu'est ce que cela pouvait vouloir dire ? Elle avait le ton de quelqu'un qui allait m'engueuler pour une connerie, mais sa tenue laissait plutôt à penser que nous allions nous envoyer en l'air.
— Alex ...
Commençait elle comme si elle allait annoncer que nous allions divorcer, la je commençais à avoir peur.
— Je n'ai pas joui hier soir ...
J'étais surpris par ce qu'elle m'annonçait, mais commençait à comprendre : elle était dans son jeu de dominatrice, instantanément, je sentais mon sexe devenir tout dur.
— En fait, je n'ai pas joui une seule fois depuis qu'on est ensemble, tu es mou et tu as une petite bite !
Ok, le dialogue était nul et elle ne jouait pas encore très bien, mais entendre sa petite voix me dire ce genre de choses ignobles me fit durcir encore plus.
— Alors je te présente mon amant ...
Elle me montrait le mur du fond, sans surprise, le plug y était collé, fièrement dressé vers le lit.
— Déshabille toi et viens avec moi Alex ...
Je m’exécutais et m'approchais, intégralement nu du sexe de plastique qui me regardait droit dans les yeux de son œil de plastique unique.
— A ton avis, j'aurai du plaisir à le sucer ?
— Oui Maîtresse ...
Soufflais-je simplement, mais Christelle croisait les bras.
— Il a l'air un peu mou, une bouche devrait le faire durcir ...
— Avec votre bouche, il ne tiendra pas longtemps Maîtresse ...
Elle souriait.
— Si je le suce, il jouira aussi vite que toi, non, non je ne peux pas.
J'avais peur de ne pas comprendre.
— C'est toi qui va le sucer ...
Mon regard se posait sur Christelle, interloqué.
— Attends Chris on avait dit qu'on ne ferait pas ça.
— On avait dit qu'on ne ferait pas ce que tu n'aimes pas ...
— Mais je n'aime pas ça ...
Christelle s'approchait.
— Mon chéri, tu étais tellement concentré la dernière fois que tu n'a rien remarqué ? Quand je suis allée prendre ma douche, j'ai eu une grosse envie, alors je suis sortie encore humide, tremblante pour te voir à genoux en train de sucer le plug et même sans ça, je SAIS que j'avais retiré le plug de la tète de lit et tu n'a pas pris le temps de nettoyer la seconde tâche de sperme, tu pensais que je ne m'en apercevrait pas ?
Elle se collait maintenant à moi, passant son pied contre ma jambe, je sentais la matière de son talon et un peu de son épiderme contre mon mollet.
— Ou alors tu espérais que je m'en rende compte ?
Ses lèvres s'approchèrent de mon oreille.
— Ose dire que tu n'aime pas ça ...
Chuchotait-elle
— Je ... Je ne sais p ...
— Tu vas encore te mentir à toi-même ? Très bien !
Son ton était plus dur, plus autoritaire.
— A genoux et suce moi cette bite salope !
Si son jeu d'actrice n'était pas terrible auparavant, la je pouvais dire qu'elle était totalement rentrée dans le rôle. Je me mis à genoux et commençais à sucer le gode en plastique.
Je sentais les doigts fins de Christelle dans mes cheveux qui me poussait d'un coup sur le sexe de plastique, sans forcer au point que je m'étrangle.
— Aller petite salope, je veux que tu prenne du plaisir, gémis pour moi !
Je m’exécutais avec plus d'entrain, jetant des regards à la dérobé, mais ne trouvant ma femme nulle part, mon champ de vision me permettait juste de voir un de ses pieds et une partie de sa hanche.
— Mieux que ça !
Alors je poussais encore plus, tentant la gorge profonde, m’étouffant dessus à en pleurer et Christelle qui continuait de m'insulter de tous les noms « salope, pute, chienne »
— Je vais te faire sucer des bites dans des toilettes publiques ...
S'en était trop, je saisissais mon sexe et entamait de vas-et-viens pour jouir, mais Christelle se glissait dans mon dos et saisissait mes deux mains.
— Non, tu ne te branle pas, sinon tu vas jouir trop vite !
Alors je m’exécutais, entendait son petit rire qui me rendait fou. Mon sexe était tendu à craquer, tandis que je suçais cet amant en plastique en réalisant à quel point j'aurai voulu que ce soit un vrai.
Qu'est ce qui m'arrive ?
— Ok, maintenant je veux me faire baiser !
Christelle prenait ma place, se penchant en avant et avant de s'empaler sur le gode encore humide de ma bave, elle me dit doucement.
— J'ai fais une playlist de porno et de conseils sur le cuckolding et la domination, ça c'est juste un avant gout ...
Elle s'enfonçait sur le plug, faisant des vas-et-viens puissants.
— Oui, c'est comme ça que baisent les vrais mecs !
Je la regardait un moment, les mains dans le dos comme si les retirer de la était grave. J'avais une envie folle de me masturber, mais je ne pouvais pas
— Ah lèche moi !
Je m'avançais à quatre patte jusqu’à son entre jambe, mais alors que je pensais poser ma langue sur son clito, elle tirait sur mes cheveux.
— Pas la imbécile, un bon esclave lèche les pieds de sa maîtresse !
Ce fut à ce moment la que je comprenais qu'elle avait vraiment potassé, le fétichisme des pieds était un fantasme récurrent dans les histoires de domination et j'avais de la chance : elle avait des pieds magnifique.
Je me penchais alors comme si je prosternais à la japonaise et posais mes lèvres sur les orteils de Christelle, embrassant chacun avec attention.
— J'ai dis lécher pas embrasser, passe bien ta langue, je veux la sentir !
Alors je le fis, ma langue passant entre chaque orteil, pendant que Christelle prenait du plaisir avec son plug et m'insultait avec force.
— Maintenant fais moi jouir avec ta langue, vu que tu n'es bon qu'a ça !
La situation me rendait fou, j'étais dur comme de l'acier, je n'en pouvais plus, Christelle avait un plaisir fou et je voulais aussi. Je m’emparai de mon sexe et entamait une masturbation tout en la léchant, elle était tellement dans son jeu qu'elle ne réalisait pas que je me masturbais.
— Oh putain je vais jouir Alex !
Mais elle fut interrompue par ma propre jouissance, je poussais un râle tandis que le liquide chaud attérissait sur ses orteils de la chaussure droite, les salissant, les souillant d'une manière qu'un soumis ne devrait pas souiller sa maîtresse.
Christelle redevint Christelle, pliait les genoux et me regardait de nouveau amoureusement.
— Tu as aimé ?
— Oui ...
Fis-je en tentant de calmer ma respiration.
— Tu as bien joui ?
— Oui
Répondais-je à nouveau, mais Christelle se fit à nouveau plus rude.
— Tant mieux pour toi parce que moi pas !
Je levais les yeux vers elle, quel con, j'aurai du attendre.
— En plus j'avais prévu plein de trucs et toi ... Oh laisse tomber, je vais à la douche, mon pied est dégueulasse !
Elle s'interrompait un instant, regardant son pied, puis moi, j’eus peur de comprendre, mais elle se contentait de se diriger vers la salle de bain en pestant que c'était de nouvelles chaussures et en me traitant d’égoïste.
Je mangeais seul ce soir la, elle sortait manger avec des copines, en revenant, elle ne m'adressait pas la parole.
Je m'en voulais à mort, elle avait raison : j'étais un sale égoïste, dire que j'aurai juste eu à me retenir ...
Christelle et Alexandre sont un jeune couple belge, si tout semble parfait dans leurs vies, un incident a eu lieu : Alexandre a trompé sa femme, une mauvaise impulsion qu'il a regretté tout de suite, mais le mal était fait.
En représailles, Christelle a couché avec un autre homme sous leur toit, devant ses yeux, après une longue dispute, ils ont choisi de remettre les compteurs à zéro et d'oublier cette histoire.
Évidemment, c'est plus facile à dire qu'a faire et, outre la colère et la frustration de chacun, Alexandre a commencé à développer un fantasme autour de l'infidélité de sa femme, quelle n'est pas sa surprise de découvrir que Christelle aussi.
Ils ont donc décidé d'un petit scénario, mais si celui-ci ne semble pas vraiment excité Alex, c'est un changement de mise en scène qui accélérera les choses.
Alex se découvre alors un côté soumis insoupçonné pour ce jeune homme qui a toujours pensé être un dominant ...
J'ouvrais les yeux avec l'impression de sortir d'un mois de coma, un rapide regard sur le réveil du lit m'indiquait que je n'avais dormi que vingt minutes.
Allongée à l'envers, la tète reposant sur mon bras, Christelle avait du sentir que j'avais bougé puisque ses yeux magnifique peinaient à s'ouvrir et que son regard se posait sur moi.
Nous étions nus, tous les deux, encore peu conscient de ce qui venait de se passer.
« Gifle moi de toutes tes forces ... » lui avais-je dit.
Elle s'était interrompue, me regardant un moment, la gifle qui en avait suivie était légère, molle sans force.
Elle comprit tout de suite que c'était nul.
— Tu veux vraiment que je ...
— Oui, je t'en supplie ...
Alors elle retentait, deuxième gifle molle, puis une troisième, une quatrième, de moins en moins molle.
Je connaissais Christelle, je savais qui se passait dans sa tète : elle était en train d'aimer ça ...
Je la voyais remuer avec plus d'entrain sur le plug collé à la tète de lit.
— Ca te plait de me voir comme ça ?
— O ... Oui ...
Gifle ...
— Oui qui ?
— Oui Maîtresse ...
Je reconnaissais la scène, c'était dans le porno cuckold que j'avais regardé avec la maîtresse noire, elle avait regardé le même film, comme elle était peu expérimentée -pas du tout en fait- elle tentait d'imiter comme elle pouvait.
— Han putain c'est trop bon ...
Je la regardais avoir du plaisir, prenant mon sexe en main et remuant mes doigts dessus à une vitesse frénétique, comme si ma masturbation était aussi vitale que ma respiration. Dans mon bas ventre je sentais comme une démangeaison, un genre de poids agréable, tandis que je regardais cette femme, MA femme prendre du plaisir, son visage mêlant excitation et extase.
Christelle s'approchait de moi, ralentissant son rythme.
— Maintenant tu vas sucer la queue de mon am ...
Trop tard ...
Un jet de sperme chaud venait de souiller les draps, elle fut aussi surprise que moi, regardant la housse de matelas poisseuse, nos regards se mêlèrent un instant. Elle sortait le plug de son anus et s'allongeait en même temps que moi, jetant le jouet poisseux à même le sol et je la comprenais : nous étions tous les deux épuisés, il serait toujours temps de nettoyer plus tard.
C'était à ce moment la que je m'étais endormi, réalisant avec effroi que ce n'était pas seulement la scène qui m'avait fait jouir, mais l'évocation de ...
Non, impossible, je suis un homme hétérosexuel, m'imaginer en sucer un autre était inconcevable ,,,
Mais si c'était ma maîtresse qui me l'ordonnait ?
Lors de notre réveil, Christelle me souriait, elle se tournait vers moi et posait un baiser chaste sur mes lèvres.
— J'ai adoré et toi ?
— C'était particulier ...
Gros silence.
— Mais j'ai adoré aussi, tu as bien vu, on s'est même carrément endormis dans mon ...
— Oh beurk va prendre une douche gros dégueulasse !
Fit-elle en riant, je fis mine d'être vexé et de me lever, mais elle me saisissait par le bras, me refaisant chuter dans la tâche de liquide masculin que j'avais semé plus tôt.
Elle posait sa tète dans la paume de sa main, se relevant un peu, ses petits seins arrogants pointant vers moi.
— Peut-être que je me suis un peu laissée emporter avec le « tu vas sucer mon amant »
Fit-elle en imitant une pseudo voix de film d'horreur.
Je dus me tourner sur le ventre pour qu'elle ne constate pas mon érection naissante, c'était sûr : l'idée faisait son chemin en moi.
— Oui, clairement, tu me vois moi sucer un autre mec ?
Elle se mit à éclater de rire.
— Au moins tu dirais moins de blague pourries la bouche pleine ...
Nous nous miment à rire tous les deux comme si cette idée était totalement absurde, mais au final, j'espérais qu'elle ne remarquerait pas à quel point mon rire était feint.
— Il y a quoi d'autre que tu veux tester dans la vidéo ?
Je posais mon regard sur elle, devais-je être honnête ? Devais-je lui dire « tout » ?
Non, je savais que je ne pourrai jamais sucer un autre homme, dans la vie il y a les fantasmes que l'on peut réaliser et ceux qu'il vaut mieux ne jamais franchir, sucer un homme en faisait partie.
— Rien, tu as déjà comblé tous mes désirs.
— Tu mens Alex ...
Petit sourire, elle n'était pas fâchée, mais elle avait compris, peut-être pas tout, mais une partie ou alors c'était son petit truc de sale gosse habituelle : tenter de me faire croire que quelque chose qu'elle désirait était mon idée, comme quand je voulais un traiteur italien pour notre mariage et qu'elle avait réussi à me convaincre que je préférais la bouffe chinoise.
En y réfléchissant, Christelle m'avait souvent manipulée ainsi, même quand nous étions sortis ensemble la première fois.
Une manipulation gentille et douce, pas comme mon ex, Anne qui, pour le coup, était une vraie garce, Christelle avait prit le temps de me réparer et je ne l'aimerai jamais assez pour ça.
Je réalisais à quel point j'avais été stupide avec Anaïs, jamais je n'aurai du tromper une femme si parfaite ...
— Tu serais prêt à me donner carte blanche ?
Je haussais un sourcil à la question de ma femme.
— Que veux tu dire ?
Christelle me prit la main, caressant mon doigt avec douceur.
— Et bien, on n'est pas trop expérimenté la dedans ... Toi tu as été dominant et tu m'a déjà dit que tu avais été un peu soumis avec ton ex pour essayer, mais vite fait ... Du coup, voila ce que je te propose : je me renseigne et une fois de temps en temps, sans que tu sache quand, je te ferai essayer un nouveau truc, ça te tente ?
Je déglutissais difficilement, une peur m'envahissait à l'idée de dire oui, mais en même temps, l'excitation était présente.
— Je ne sais pas trop, je ...
— Je te promets que si tu ne veux pas faire un truc, on ne le fera pas, je demande juste que tu essaie et en échange, je serai la maîtresse que tu as besoin d'avoir ...
Pas « envie » mais « besoin » Christelle était déjà totalement dans le rôle ...
— Je ... D'accord ...
— Super !
Fit-elle de sa voix cristalline avant de se diriger vers le salon, elle se tournait alors vers moi.
— Je t'aime tu sais et je suis heureuse que tu m'aie fait découvrir ce monde si particulier ...
Je la regardai aller à la douche, mon regard se perdait sur le plug abandonné sur le sol que je saisissais en m'étirant le plus possible sans tomber du lit.
Je le considérais quelques secondes, repassant la scène dans ma tète « maintenant tu vas sucer mon am ... » avait-elle dit et tout de suite, mon sexe se fit plus dur.
Pouvais-je réellement faire ça ?
Le bruit de la douche se fit entendre, je regardais le plug dans ma main, une envie irrépressible d'essayer se fit en moi et je le collais à nouveau contre la tète de lit, me posant à quatre pattes et le prenant dans ma bouche, tentant d'imiter Christelle du mieux que je le pouvais, glissant mes lèvres le long du sexe de plastique, m'imaginant Christelle au bout du lit, hilare à me regarder m'humilier de cette manière.
En face : son amant, la braguette ouverte, à genoux, son sexe dans ma bouche.
Et je suçais ...
Dans mon bas ventre, je sentais une explosion de désir, mon sexe était dur comme de la pierre, je le saisissais et me masturbait à nouveau, je ne fus pas long à jouir avec cette scène dans ma tète, nouveau jet, à l'endroit exact ou se trouvait Christelle plus tôt.
J'entendais le bruit de la douche s’atténuer, je me relevais d'un coup, m'essuyant rapidement avec un mouchoir de la table de nuit -censé être pour me moucher de base- avant de l’enfoncer dans la poche de mon jeans, je le jetterai plus tard.
Christelle arrivait, propre, elle s'approchait de moi, mais ne se collait pas (j'avais encore mon propre sperme sur le bas de mon dos et un peu sur le côté quand je m'étais tourné dans le matelas)
Son attention se posait sur la tète de lit.
— Tiens ... Je ne l'avais pas retiré ?
Merde, l'imbécile ...
— Non, je ne crois pas sinon que ferait-il de nouveau la ?
Christelle semblait considérer la chose, puis le lit, puis moi, avait-elle compris ?
Non, elle haussait simplement les épaules.
— N'oublie pas, je te prévois un truc spécial, j'ignore quand, mais tiens toi prêt ...
Sur ces mots, je parti sous la douche ...
Une semaine plus tard ...
Cela faisait exactement sept jours que Christelle et moi n'avions rien fait, nous n'en avions même plus parler. Connaissant Christelle, la hype du truc avait du partir, nous avions même couché ensemble hier soir, donc, nous étions redevenu un couple classique.
Je jetai un œil à l'heure de mon ordinateur : seize heure, le moment de partir, j'enfilais ma veste et attrapais mon sac à dos avant de saluer les secrétaires et de me diriger vers ma voiture.
Quelques minutes plus tard j'arrivais à la maison, garant le véhicule dans le garage et passant la porte.
Le courrier était rangé sur la petite table basse à côté de la porte, j'avançais vers le salon qui était totalement vide.
— Christelle ?
Appelais-je, mais n'obtint pas de réponses, elle était peut-être sur l'ordinateur ?
Je posais mon sac prêt du canapé, ce fut le moment ou je réalisais ou se trouvait Christelle : elle était assise sur le lit, les jambes croisées, entièrement nue, à l'exception d'une paire de hauts talons noirs incrustés de petits carrés argentés. Les ongles de ses pieds étaient teints d'un noir de jais, elle me regardait silencieusement avec un sourire énigmatique.
Elle avait envie de faire des cochonneries ? Je n'étais pas contre ...
— Hey !
Fis-je en m'approchant en retirant déjà ma chemise.
— Ca ne t'as pas suffit hier soir ?
— Il faut qu'on parle !
Dit-elle sèchement. Qu'est ce que cela pouvait vouloir dire ? Elle avait le ton de quelqu'un qui allait m'engueuler pour une connerie, mais sa tenue laissait plutôt à penser que nous allions nous envoyer en l'air.
— Alex ...
Commençait elle comme si elle allait annoncer que nous allions divorcer, la je commençais à avoir peur.
— Je n'ai pas joui hier soir ...
J'étais surpris par ce qu'elle m'annonçait, mais commençait à comprendre : elle était dans son jeu de dominatrice, instantanément, je sentais mon sexe devenir tout dur.
— En fait, je n'ai pas joui une seule fois depuis qu'on est ensemble, tu es mou et tu as une petite bite !
Ok, le dialogue était nul et elle ne jouait pas encore très bien, mais entendre sa petite voix me dire ce genre de choses ignobles me fit durcir encore plus.
— Alors je te présente mon amant ...
Elle me montrait le mur du fond, sans surprise, le plug y était collé, fièrement dressé vers le lit.
— Déshabille toi et viens avec moi Alex ...
Je m’exécutais et m'approchais, intégralement nu du sexe de plastique qui me regardait droit dans les yeux de son œil de plastique unique.
— A ton avis, j'aurai du plaisir à le sucer ?
— Oui Maîtresse ...
Soufflais-je simplement, mais Christelle croisait les bras.
— Il a l'air un peu mou, une bouche devrait le faire durcir ...
— Avec votre bouche, il ne tiendra pas longtemps Maîtresse ...
Elle souriait.
— Si je le suce, il jouira aussi vite que toi, non, non je ne peux pas.
J'avais peur de ne pas comprendre.
— C'est toi qui va le sucer ...
Mon regard se posait sur Christelle, interloqué.
— Attends Chris on avait dit qu'on ne ferait pas ça.
— On avait dit qu'on ne ferait pas ce que tu n'aimes pas ...
— Mais je n'aime pas ça ...
Christelle s'approchait.
— Mon chéri, tu étais tellement concentré la dernière fois que tu n'a rien remarqué ? Quand je suis allée prendre ma douche, j'ai eu une grosse envie, alors je suis sortie encore humide, tremblante pour te voir à genoux en train de sucer le plug et même sans ça, je SAIS que j'avais retiré le plug de la tète de lit et tu n'a pas pris le temps de nettoyer la seconde tâche de sperme, tu pensais que je ne m'en apercevrait pas ?
Elle se collait maintenant à moi, passant son pied contre ma jambe, je sentais la matière de son talon et un peu de son épiderme contre mon mollet.
— Ou alors tu espérais que je m'en rende compte ?
Ses lèvres s'approchèrent de mon oreille.
— Ose dire que tu n'aime pas ça ...
Chuchotait-elle
— Je ... Je ne sais p ...
— Tu vas encore te mentir à toi-même ? Très bien !
Son ton était plus dur, plus autoritaire.
— A genoux et suce moi cette bite salope !
Si son jeu d'actrice n'était pas terrible auparavant, la je pouvais dire qu'elle était totalement rentrée dans le rôle. Je me mis à genoux et commençais à sucer le gode en plastique.
Je sentais les doigts fins de Christelle dans mes cheveux qui me poussait d'un coup sur le sexe de plastique, sans forcer au point que je m'étrangle.
— Aller petite salope, je veux que tu prenne du plaisir, gémis pour moi !
Je m’exécutais avec plus d'entrain, jetant des regards à la dérobé, mais ne trouvant ma femme nulle part, mon champ de vision me permettait juste de voir un de ses pieds et une partie de sa hanche.
— Mieux que ça !
Alors je poussais encore plus, tentant la gorge profonde, m’étouffant dessus à en pleurer et Christelle qui continuait de m'insulter de tous les noms « salope, pute, chienne »
— Je vais te faire sucer des bites dans des toilettes publiques ...
S'en était trop, je saisissais mon sexe et entamait de vas-et-viens pour jouir, mais Christelle se glissait dans mon dos et saisissait mes deux mains.
— Non, tu ne te branle pas, sinon tu vas jouir trop vite !
Alors je m’exécutais, entendait son petit rire qui me rendait fou. Mon sexe était tendu à craquer, tandis que je suçais cet amant en plastique en réalisant à quel point j'aurai voulu que ce soit un vrai.
Qu'est ce qui m'arrive ?
— Ok, maintenant je veux me faire baiser !
Christelle prenait ma place, se penchant en avant et avant de s'empaler sur le gode encore humide de ma bave, elle me dit doucement.
— J'ai fais une playlist de porno et de conseils sur le cuckolding et la domination, ça c'est juste un avant gout ...
Elle s'enfonçait sur le plug, faisant des vas-et-viens puissants.
— Oui, c'est comme ça que baisent les vrais mecs !
Je la regardait un moment, les mains dans le dos comme si les retirer de la était grave. J'avais une envie folle de me masturber, mais je ne pouvais pas
— Ah lèche moi !
Je m'avançais à quatre patte jusqu’à son entre jambe, mais alors que je pensais poser ma langue sur son clito, elle tirait sur mes cheveux.
— Pas la imbécile, un bon esclave lèche les pieds de sa maîtresse !
Ce fut à ce moment la que je comprenais qu'elle avait vraiment potassé, le fétichisme des pieds était un fantasme récurrent dans les histoires de domination et j'avais de la chance : elle avait des pieds magnifique.
Je me penchais alors comme si je prosternais à la japonaise et posais mes lèvres sur les orteils de Christelle, embrassant chacun avec attention.
— J'ai dis lécher pas embrasser, passe bien ta langue, je veux la sentir !
Alors je le fis, ma langue passant entre chaque orteil, pendant que Christelle prenait du plaisir avec son plug et m'insultait avec force.
— Maintenant fais moi jouir avec ta langue, vu que tu n'es bon qu'a ça !
La situation me rendait fou, j'étais dur comme de l'acier, je n'en pouvais plus, Christelle avait un plaisir fou et je voulais aussi. Je m’emparai de mon sexe et entamait une masturbation tout en la léchant, elle était tellement dans son jeu qu'elle ne réalisait pas que je me masturbais.
— Oh putain je vais jouir Alex !
Mais elle fut interrompue par ma propre jouissance, je poussais un râle tandis que le liquide chaud attérissait sur ses orteils de la chaussure droite, les salissant, les souillant d'une manière qu'un soumis ne devrait pas souiller sa maîtresse.
Christelle redevint Christelle, pliait les genoux et me regardait de nouveau amoureusement.
— Tu as aimé ?
— Oui ...
Fis-je en tentant de calmer ma respiration.
— Tu as bien joui ?
— Oui
Répondais-je à nouveau, mais Christelle se fit à nouveau plus rude.
— Tant mieux pour toi parce que moi pas !
Je levais les yeux vers elle, quel con, j'aurai du attendre.
— En plus j'avais prévu plein de trucs et toi ... Oh laisse tomber, je vais à la douche, mon pied est dégueulasse !
Elle s'interrompait un instant, regardant son pied, puis moi, j’eus peur de comprendre, mais elle se contentait de se diriger vers la salle de bain en pestant que c'était de nouvelles chaussures et en me traitant d’égoïste.
Je mangeais seul ce soir la, elle sortait manger avec des copines, en revenant, elle ne m'adressait pas la parole.
Je m'en voulais à mort, elle avait raison : j'étais un sale égoïste, dire que j'aurai juste eu à me retenir ...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent
vraiment j’adore la progression
les insultes au bon moment
je m’y vois tout à fait
un vrai bonheur
vraiment j’adore la progression
les insultes au bon moment
je m’y vois tout à fait
un vrai bonheur
J’ai besoin d’une femme pour me faire lécher ses pieds de la même manière jusqu’à ce qu’on jouisse à deux. De préférence sur Paris. Mon insta pour celles qui le veulent: @zorx_k
D'accord pour une fois avec la lectrice précédente et toujours ces erreurs de temps, ce qui gâche quelque peu la lecture du récit ! Didier
un futur soumis à prendre en mains!!il lui faut une vraie bite à sucer , cela commencera son dressage!!toutes les mêmes ces pseudos mecs!!