Doux foyer (4)
Récit érotique écrit par Leatherbite [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2024 dans la catégorie Fétichisme
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Doux foyer (4)
Résumé de l'épisode précédent : Alexandre a fini par se rendre à l'évidence : tout dominant soit-il, il trouve un plaisir évident à être dominé par Christelle, l'infidélité de sa femme a été une belle occasion de découvrir ce côté soumis caché au plus profond de lui et le couple évolue doucement vers ce genre de fantasme.
Pourtant, lors de la dernière session, Alexandre n'a pas pu se retenir et a conclu trop vite, ce qui ne semblait qu'un simple incident a ruiné les plans de Christelle qui prend très mal la réaction égoïste de son mari.
La lendemain, je su que Christelle n'avait pas dormi de la nuit.
Ma femme et moi on se connaissait bien, si bien que je savais dire quand cela allait chauffer pour moi et ce matin, c'était évident.
Pourquoi ?
Quand Christelle m'a trompé, elle était aussi enjouée que maintenant. Je savais qu'elle n'avait pas dormi, je l'avais entendu remuer un moment, avant de voir la lumière de son smartphone. Je savais qu'elle devait regarder des trucs pour arriver à s'endormir, mais j'étais bien en peine de deviner de quoi il s'agissait.
Une chose, cela me concernait ...
Ma femme avait donc enfilé sa tenue du jour : le T-shirt du magasin pour lequel elle bossait, un jeans et une paire de sandales en liège. Mon regard se posait sur son pied, me rappelant les événements de la veille et je me sentais tout à coup à l'étroit dans mon jeans.
Je n'avais jamais vraiment manifesté un quelconque intérêt pour le fétichisme du pied, mais si l'on m'avait dit il y a encore un mois que je prendrai mon pied à imaginer ma femme en pleine relation sexuelle avec un autre homme, j'aurai ri.
Christelle mettait souvent des chaussures ouvertes : des tongs en été ou des talons hauts en soirée, mais ô grand jamais, je n'avais été attiré par cette partie de son anatomie.
Soyons clairs : elle a des pieds sublimes -comme tout le reste de sa personne d'ailleurs- mais jamais je n'aurai cru les regarder avec une telle envie, jamais je n'aurai cru bander aussi fort pour ses pieds.
Toute la journée au travail, je ne pensais qu'a ses pieds, j'avais une érection à m'en déformer le pantalon, si tout le reste était évidemment toujours excitant, je remarquais que j'étais dans ma période « pieds » et si ceux de ma femme restaient mes favoris, je me surpris plusieurs fois à baisser le regard pour observait des femmes en sandales et je constatais que la vue de leurs pieds m'excitaient. J'avais bien envoyé un SMS à Christelle pour lui dire que j'avais adoré notre soirée d'hier que j'étais désolé et que j'avais encore envie de les lécher, mais elle ne me répondait pas, me lâchant un premier vu, puis d'autres au fur et à mesure que je lui écrivais.
Elle devait être vraiment fâchée ...
Et pendant ce temps la je bandais à nouveau sur Elena, la responsable compta qui portait -elle aussi- des sandales, je ne pouvais pas la blairer d'habitude, mais la, j'aurai adoré pouvoir poser ma langue sur ses orteils et ...
Bon sang, que m'arrive-t-il ? Je ne devais penser qu'a ceux de Christelle, il étaient d'ailleurs largement plus beaux ...
Rentré à la maison, Chris et moi commencions à manger, je constatais qu'elle était restée pieds nus, elle qui avait l'habitude de mettre des chaussettes.
Elle essayait de m'exciter visiblement, je ne voyais pas d'autres explications.
Je terminai de manger en vitesse et commençais à me glisser sous la table, m'approchant doucement de son pied nu, prêt à y poser ma langue ...
Mais elle le retirait de ma portée ... Ok, pas maintenant, j'ai compris ...
Le soir nous regardions la télévision, elle posait ses pieds sur mes cuisses, j'avais envie, j'en attrapais un doucement, commençant à le masser ...
Elle se repliait et s'asseyait en tailleur ...
Après, nous allions nous coucher, elle se posait par dessus la couverture, l'été était chaud, elle glissait ses pieds parfait sur le drap, je m'approchais à genoux ... Elle les glissaient sous la couverture.
Ok, j'avais compris le message ...
Je désertai le lit et me dirigeai vers la salle de bain, visiblement, elle restait la, tant pis. Je me posais sur les toilettes et tapait « feet » dans la recherche internet, un tad de vidéos me furent proposées, il y avait des pieds différents de toutes les tailles, toutes les couleurs et même toutes les situations.
J'entamais donc une masturbation sur une vidéo d'une jolie blonde, la pauvre demoiselle venait de se faire larguer, mais heureusement son beau frère -qui l'avait aidée à déménagé- vint à son secours pour l'écouter pleurer sans larmes et sans aucun talent d'actrice.
Bien entendu, la jeune femme était en sandales et le jeune homme était fétichiste, rapidement, la femme s'endormait das le canapé et sans se fiche une seconde du consentement de la demoiselle, le jeune homme entreprit de la déchaussé et de lui sucer les orteils un à un ...
Mouais, le plus intéressant dans un porno, ce n'était clairement pas le scénario, mais peu importe, cela ferait l'affaire.
Ma main s'agitait doucement sur mon sexe tendu, tandis que -dans le film- la jolie blonde s'était réveillée et avait surpris son beau frère en train de sucer son gros orteils comme elle le faisait sûrement dans d'autres vidéos avec une autre partie du corps de ses amants.
L'homme finissait par réaliser que la demoiselle était éveillée, il voulait s'interrompre, mais celle-ci lui glissait à nouveau ses orteils en bouche ...
C'était vraiment mal joué, mais terriblement excitant, je me masturbais de plus en plus fort.
Cette fois-ci la jeune femme s'était posée de manière à masturber le sexe de son beau frère avec ses pieds, faisant de longs vas et viens sur le sexe tendu, avant de démontrer sa souplesse en se penchant et en prenant le gland dans sa bouche, suçant son amant, tout en passant doucement sa langue sur ses gros orteils, aussi loin que sa souplesse le lui permettait. Elle poussait des gémissements bien plus réaliste que le reste de son jeu d'actrice.
Ses orteils se refermaient petit à petit sur le sexe de son amant, elle crachait dessus, son gros orteil était souillé de salive coulante.
Je n'en pouvais plus, j'imaginais Christelle me faire cela, Christelle me masturber avec ses pieds ... Non, Christelle masturbant un autre homme avec ses pieds, Christelle qui suce un autre homme pendant que je lui lèche les pieds, Christelle qui ...
Ouvrait la porte de la salle de bain et me jetait un regard alors que j'étais la : assis sur les WC, le téléphone dans une main, ma queue en érection dans l'autre.
Elle ne pipait mot et refermait la porte, le regard de mépris qu'elle m'avait jeté n'avait rien d'un jeu sexuel, aussi préférais-je m'interrompre pour le moment.
Je n'imaginais pas à quel point j'allais le regretter ...
Trois jours plus tard ...
Ce jour la j'étais en congé, Christelle travaillait, mais devait rentrer d'une minute à l'autre.
Cela faisait trois jours et rien, elle m'adressait la parole, riait à mes blagues, tout semblait rentré dans l'autre, à l'exception que nous n'avions plus fait l'amour que ce soit de manière traditionnel ou dans le but d'évoluer dans ma soumission.
Etait-elle fâchée à ce point la ? Oui, je connaissais ma femme et tous les sourires qu'elle pouvait sortir étaient forcés, je le savais.
J'étais en train de me toucher en vitesse avant son retour -trois jours d'abstinence, c'était long bordel- quand on sonnait à la porte.
Je fis de mon mieux pour me camoufler du mieux que je pouvais afin que le livreur ne puisse voir mon érection : c'était un petit paquet cubique que je réceptionnait au nom de ma femme.
Bizarre qu'elle ne m'en ait pas parlé.
Je soupesais le paquet qui ne semblait pas bien lourd, qu'est ce que cela pouvait être ?
Trop curieux, je commençais à chercher un couteau pour ouvrir le paquet quand la porte d'entrée s'ouvrait, révélant Christelle qui posait son regard directement sur sa livraison, puis sur mon couteau.
— Ah, il est arrivé !
Dit-elle simplement en me l'arrachant des mains, elle posait alors son regard sur le couteau de cuisine.
— Tu voulais l'ouvrir ?
Je posai le couteau sur la table d'entrée.
— Oui, comme ça avait été livré ici, je pensais.
— C'est MON paquet !
Ça c'était nouveau, depuis le temps que nous étions ensemble, elle n'avait jamais eu de secret pour moi.
— Il y a quoi dedans ?
— Une solution ...
— Comment ça « une solution » ?
— Tu verras ...
Je la vis se diriger vers la chambre, sans doute pour aller sur l'ordinateur, je la rattrapais le plus vite possible. Que voulait-elle dire ? Pourquoi tant de mystère ? Avait-elle l'intention de me quitter ? Ça expliquerait sa manière d'être si distante avec moi. Je sentais la peur me déchirer de l'intérieur, peut-être en avait elle assez de moi ? Peut-être que jouer les dominatrices ça l'emmerde finalement ?
— Dis-moi ce qui ne va pas
— Laisse moi tranquille !
Je la lâchais directement, je ne l'avais jamais vue ainsi.
— Je suis désolé Christelle, désolé pour tout, je ne voulais pas te vexer, je t'aime ...
Son regard se fit plus doux, elle s'approchait de moi et se collait dans mes bras.
— Tu sais que je t'aime hein ?
Je ne répondait pas, je n'en savais rien, peut-être qu'elle ne m'aimait plus après tout, je l'avais trompé et j'avais failli à ma tâche il y a quelques jours en ne pouvant pas m'empêcher de me toucher.
— J'ai beaucoup réfléchi et j'ai envie qu'on aille plus loin, mais je ne veux pas que tu jouisse de nouveau trop vite ...
Je me sentais blessé.
— Je suis désolé mon cœur, je ...
— Non ! ... Non ... Pas d'excuses ...
Elle me regardait droit dans les yeux, ses yeux lançaient un regard déterminé.
— Je veux que tu aille à la supérette nous chercher un bon verre de vin ...
La j'étais rassurée, je connaissais Christelle, quand elle voulait que la soirée soit coquine, elle aimait beaucoup boire du vin, du rouge pour être précis.
Excité comme jamais, je roulais à toute berzingue pour arriver au magasin, j'attrapais une bouteille et retournai à la maison.
Mes mains tremblaient alors même que je sortais les clefs et que je tentais de les glisser dans la serrure, je failli faire tomber la bouteille.
Quand enfin, la porte cédait, je constatais que la maison était plongée dans le noir à l'exception d'une petite lumière tamisée dans la chambre ...
Je filer à la cuisine pour sortir deux verres, mais quelque chose m'attrapai le bras, la bouteille se brisait au sol, tandis que je me sentais plaqué au mur, Christelle se collait à moi et m’enfonçait sa langue dans la bouche ...
— Chérie, le vin ...
— Je m'en fous !
Elle se collait à moi, m'embrassant à pleine bouche, ses doigts délicats s'affairaient à défaire la ceinture de mon pantalon.
— Enlève tes fringues ...
Sa respiration était rapide, je pouvais sentir son cœur qui battait la chamade, je m’exécutais, retirant mon pantalon et mes chaussures tandis qu'elle m'aidait à enlever mon t-shirt.
Ce fut le moment ou je réalisais qu'elle portait une robe très sexy, la même robe qu'elle portait en général pour les grandes occasions : une belle robe noire, fendue avec une paire de talons hauts, ouverts évidemment.
— Tu me fais confiance ?
— Oui mon amour ...
Lui répondais-je ...
Elle posait alors ses lèvres sur mon sexe, commençant à l'enfoncer au plus profond dans sa gorge, je sentais sa langue commencer à parcourir la dureté de mon sexe, s'affairant rapidement sur mes testicules.
C'était la première fois depuis plusieurs semaines qu'elle semblait motivée par autre chose que la domination.
Elle me regardait un instant, me souriant, mon pénis était comme de l'acier, prêt à défoncer n'importe quelle porte, sur le moment, mes fantasmes d’infidélité ou fétichistes étaient clairement envolé au profit de la possibilité de la prendre violemment, ici dans la cuisine.
Sa bouche se remit au travail, gobant d'abord mes testicules, puis engouffrant mon bâton intime entre ses lèvres, effectuant des aller et venues sur mon sexe en érection. Je n'avais aucun endroit ou m'accrocher, alors mes mains passèrent dans ses cheveux et se crispèrent dessus, sa fellation était si bonne que je cru qu'elle voulait m'arracher le sexe, je sentais que j'allais venir très bientôt je ... J'allais ...
— Aaaahh Chris ... Stoooppp, je ... aaaahhh
Je me rependais à grosse coulée sur le sol entre ses pieds, elle continuait de me masturber ainsi, nu, adossé contre le mur, ses doigts délicats serrés autour de mon sexe tendu.
Je la regardais.
— Je ... Je suis désolé, je voulais attendre encore un peu et ...
— Ce n'est pas grave voyons ...
Elle avait un drôle de sourire, elle semblait récupérer quelque chose à l'arrière de sa robe.
— C'était tellement ...
Je la vis hésiter un moment en captant mon regard avec le sien ...
— Pitoyable ...
Quoi ?
— Pardon ?
— Pitoyable ... Minable si tu préfères, chéri tu es incapable de te retenir de te branler plus de cinq minutes ...
— Ou tu veux en venir ?
— A ça !
Je sentais un objet en métal s'entourer autour de mon sexe, puis sur mon pénis et un cliquetis qui suivait. Avant même de regarder j'avais deviné ce qui se cachait dans ce paquet.
Mon regard passait du sourire espiègle de ma femme à mon pénis ramolli par l'éjaculation qui était maintenant enfermé dans une cage de chasteté en métal.
— T'es pas sérieuse la ?
— « Maîtresse »
— Christelle, tu ...
— « Maîtresse » !
— Enlève moi ce truc !
— « Enlevez-moi ce truc ... Maîtresse ... »
— Christelle ...
Tout à coup, elle me repoussait contre le mur, relevant sa jupe et me collant son intimité contre les lèvres.
— Tu veux que je te libère ? Tu me lèche !
Je ne pouvais pas répondre, complètement écrasé contre son intimité, je sortais ma langue et commençais à caresser les parois de son entre jambe, passant doucement contre chaque partie, puis venant lécher son petit bouton, je pouvais sentir sa jambe droite qui se plaçait derrière ma tète, tandis que je me donnais à fond pour la faire jouir.
La cage était étroite et sans me faire vraiment mal, elle était peu agréable. Je lisais partout que les cages de chasteté étaient douloureuses pendant l'érection, mais ce n'était pas le cas, par contre je sentais bien qu'il me serait impossible de jouir avec une telle chose.
Ma Maîtresse s'emparait de ma tète et m'écrasait contre son pied, je n'avais pas besoin qu'elle m'ordonne quoi que ce soit que je léchais déjà ses orteils avec avidité, mes lèvres encore humides de son liquide féminin.
La situation était pathétique, j'en avais conscience et cela m'excitait au plus haut point.
— Tu vois ? Quand tu ne peux pas jouir, je m'amuse largement mieux ...
Chris tirait une chaise et s'installait dessus, me présentant ses orteils que je voulais lécher à nouveau, mais à peine touchais-je le bout de son ongle qu'elle reculait son pied.
Pensant à un jeu de frustration je revenais à l'assaut, une fois, deux fois, mais rien n'y fit, non, elle voulait autre chose.
Je constatais qu'elle remuait ses orteils de manière à me présenter le plus gros.
— Suce, salope !
Mon regard se plantait dans le sien et j'y détectais quelque chose d'excitant et inquiétant à la fois : elle prenait un plaisir maléfique à ce genre de petit jeu. Ses yeux pleins d'arrogance au milieu de ce visage bien fait, surplombant ses jolies tâches de rousseur, ses lèvres fines étirées dans un sourire de démone.
Je craquais ...
Ma bouche vint chercher son orteil et je commençais à le sucer, comme j'avais sucé le dildo.
— Huumm une bonne petite pute dis donc ...
Je continuais, fier que ma Maîtresse apprécie les efforts que je fournissais pour elle
— Tu es très douée, si j'avais une bite, je jouirai ...
Je recouvrai mes dents avec mes lèvres, engouffrant son appendice dans ma bouche, passant ma langue autour, je voyais bien à quel point ce petit jeu l'excitait.
— La prochaine fois, je te ferai sucer des grosses bites dans la forêt de Soignes !
Une peur indicible s'emparait de moi et je stoppais net, reculant, un filet de bave reliant encore mes lèvres à son orteil.
— Christelle !
— Pardon, je m'emballe ...
Ce qui me fit peur sur le moment n'était pas le fait qu'elle évoque l'idée de me faire sucer des queues pour jouer le jeu, mais le fait qu'elle avait l'air très sérieuse et surtout, qu'elle n'avait pas réellement l'air désolée le moins du monde.
— Tu veux vraiment que je fasse une chose pareille ?
Demandais-je par peur, mais pour toute réponse, elle se contentait d'écarter les cuisses.
— Lèche moi !
— Je veux une réponse !
— Mais non, arrête de flipper et lèche moi !
Peu convaincu, je commençais à m’exécuter, pensant sincèrement qu'il était peut-être temps d'arrêter ce genre de jeu. Christelle commençait à vraiment s'y prendre au sérieux et j'avais peur que cela lui monte à la tète.
Ma langue s'affairait en elle, passant de son intérieur à son clitoris, je sentai ma queue dure contre la cage et sans que je sache trop pourquoi, je commençais à remuer le bassin pour baiser une paire de fesses invisibles.
— Et bien on veut jouir ?
Je fis signe que oui, mais Christelle n'avait pas l'air décidée le moins du monde.
— Moi d'abord ...
Alors je passais à la vitesse supérieure, remuant mes lèvres contre les siennes, jouant de ma langue en elle.
Au bout d'un moment je pouvais la sentir se tendre, ses orteils se recroqueviller au sol, ses cuisses serrées et enfin la libération.
— Aaaaahhh ooouuuiiiii !!!
Ses jambes tremblèrent pendant un moment, sa respiration se calmait, elle redescendait à son rythme, son regard redevenant plus doux.
— Et moi Maîtresse ?
Demandais-je
— Tu as déjà joui non ? Viens on va se coucher.
— Chris, je ne vais pas arriver à dormir comme ça ...
Je la vis soupirer et lever les yeux au ciel, ce qui m'inquiétait.
— Très bien, je vais me poser sur la chaise et tu pourras te masturber en me regardant ...
Je la vis prendre une position sexy, mais soft, jambes croisées, son pied titillant mon attention.
— Christelle ... La cage ...
— Je n'ai pas dis que je te libérerai, à toi de trouver un moyen ...
— Comment ?
— Frappe le ...
Mes yeux écarquillèrent. Pour toute réponse le bout du pied de Christelle vint caresser la cage avant d'y mettre un petit coup du bout des orteils.
Je sentais mon sexe durcir dedans.
Je saisissais mon sexe encagé et tentait des vas et viens, mais la cage m’empêchait de le sentir, je tentai bien de passer mes doigts entre pour le caresser, mais rien n'y fit.
Je doutais fort que le frapper puisse m'aider à quoi que ce soit.
— Je m'ennuie la, il te reste une minute, après je vais regarder la télé ...
— T'es pas sérieuse ...
— « vous » n'êtes pas sérieuse « Maîtresse » !
— Vous n'êtes pas sérieuse Maîtresse ...
Elle observait la fine montre en cuir à son poignet.
— cinquante secondes ...
Alors je commençais à taper, d'abord légèrement par peur de me faire mal, mais je n'entrait pas dans la situation, comment était-ce possible de se faire jouir ainsi ? Cela n'avait pas de sens !
— Trente secondes ...
La situation était délicate, mais je commençais à rentrer dans le jeu, frappant mon sexe du plat de la main, tout en regardant les pieds de Christelle et passant à son regard méprisant.
— Si tu n'y arrive pas, je te laisse en cage pour une semaine ...
Reprise des coups, je sentais mon sexe gonfler contre les parois de la cage, aussi incroyable que cela puisse paraître, cela fonctionnait, je continuais à frapper de plus en plus fort .....
— Hhaaaaaaa ...
Une giclée de sperme souillait le bout de la cage et le sol sous moi, tandis que Christelle, posait son pied au sol et se penchait pour considérer la flaque de jouissance entre mes jambes.
— Oui ... Pitoyable, bravo tu as réussi ...
— Merci ...
Fis-je plutôt fier de moi.
— Dommage que tu aies trois secondes de retard ... Une semaine donc ...
— Quoi ? Non !
Christelle me fit ce petit sourire sincère, la Maîtresse avait définitivement quitté ses pensées, elle redevenait la femme amoureuse et adorable que j'aimais tant.
— Relax, je plaisante ...
Elle m'enlevait la cage et nous nous mîmes devant la télévision, passant une soirée comme un couple normal ...
Pourtant, lors de la dernière session, Alexandre n'a pas pu se retenir et a conclu trop vite, ce qui ne semblait qu'un simple incident a ruiné les plans de Christelle qui prend très mal la réaction égoïste de son mari.
La lendemain, je su que Christelle n'avait pas dormi de la nuit.
Ma femme et moi on se connaissait bien, si bien que je savais dire quand cela allait chauffer pour moi et ce matin, c'était évident.
Pourquoi ?
Quand Christelle m'a trompé, elle était aussi enjouée que maintenant. Je savais qu'elle n'avait pas dormi, je l'avais entendu remuer un moment, avant de voir la lumière de son smartphone. Je savais qu'elle devait regarder des trucs pour arriver à s'endormir, mais j'étais bien en peine de deviner de quoi il s'agissait.
Une chose, cela me concernait ...
Ma femme avait donc enfilé sa tenue du jour : le T-shirt du magasin pour lequel elle bossait, un jeans et une paire de sandales en liège. Mon regard se posait sur son pied, me rappelant les événements de la veille et je me sentais tout à coup à l'étroit dans mon jeans.
Je n'avais jamais vraiment manifesté un quelconque intérêt pour le fétichisme du pied, mais si l'on m'avait dit il y a encore un mois que je prendrai mon pied à imaginer ma femme en pleine relation sexuelle avec un autre homme, j'aurai ri.
Christelle mettait souvent des chaussures ouvertes : des tongs en été ou des talons hauts en soirée, mais ô grand jamais, je n'avais été attiré par cette partie de son anatomie.
Soyons clairs : elle a des pieds sublimes -comme tout le reste de sa personne d'ailleurs- mais jamais je n'aurai cru les regarder avec une telle envie, jamais je n'aurai cru bander aussi fort pour ses pieds.
Toute la journée au travail, je ne pensais qu'a ses pieds, j'avais une érection à m'en déformer le pantalon, si tout le reste était évidemment toujours excitant, je remarquais que j'étais dans ma période « pieds » et si ceux de ma femme restaient mes favoris, je me surpris plusieurs fois à baisser le regard pour observait des femmes en sandales et je constatais que la vue de leurs pieds m'excitaient. J'avais bien envoyé un SMS à Christelle pour lui dire que j'avais adoré notre soirée d'hier que j'étais désolé et que j'avais encore envie de les lécher, mais elle ne me répondait pas, me lâchant un premier vu, puis d'autres au fur et à mesure que je lui écrivais.
Elle devait être vraiment fâchée ...
Et pendant ce temps la je bandais à nouveau sur Elena, la responsable compta qui portait -elle aussi- des sandales, je ne pouvais pas la blairer d'habitude, mais la, j'aurai adoré pouvoir poser ma langue sur ses orteils et ...
Bon sang, que m'arrive-t-il ? Je ne devais penser qu'a ceux de Christelle, il étaient d'ailleurs largement plus beaux ...
Rentré à la maison, Chris et moi commencions à manger, je constatais qu'elle était restée pieds nus, elle qui avait l'habitude de mettre des chaussettes.
Elle essayait de m'exciter visiblement, je ne voyais pas d'autres explications.
Je terminai de manger en vitesse et commençais à me glisser sous la table, m'approchant doucement de son pied nu, prêt à y poser ma langue ...
Mais elle le retirait de ma portée ... Ok, pas maintenant, j'ai compris ...
Le soir nous regardions la télévision, elle posait ses pieds sur mes cuisses, j'avais envie, j'en attrapais un doucement, commençant à le masser ...
Elle se repliait et s'asseyait en tailleur ...
Après, nous allions nous coucher, elle se posait par dessus la couverture, l'été était chaud, elle glissait ses pieds parfait sur le drap, je m'approchais à genoux ... Elle les glissaient sous la couverture.
Ok, j'avais compris le message ...
Je désertai le lit et me dirigeai vers la salle de bain, visiblement, elle restait la, tant pis. Je me posais sur les toilettes et tapait « feet » dans la recherche internet, un tad de vidéos me furent proposées, il y avait des pieds différents de toutes les tailles, toutes les couleurs et même toutes les situations.
J'entamais donc une masturbation sur une vidéo d'une jolie blonde, la pauvre demoiselle venait de se faire larguer, mais heureusement son beau frère -qui l'avait aidée à déménagé- vint à son secours pour l'écouter pleurer sans larmes et sans aucun talent d'actrice.
Bien entendu, la jeune femme était en sandales et le jeune homme était fétichiste, rapidement, la femme s'endormait das le canapé et sans se fiche une seconde du consentement de la demoiselle, le jeune homme entreprit de la déchaussé et de lui sucer les orteils un à un ...
Mouais, le plus intéressant dans un porno, ce n'était clairement pas le scénario, mais peu importe, cela ferait l'affaire.
Ma main s'agitait doucement sur mon sexe tendu, tandis que -dans le film- la jolie blonde s'était réveillée et avait surpris son beau frère en train de sucer son gros orteils comme elle le faisait sûrement dans d'autres vidéos avec une autre partie du corps de ses amants.
L'homme finissait par réaliser que la demoiselle était éveillée, il voulait s'interrompre, mais celle-ci lui glissait à nouveau ses orteils en bouche ...
C'était vraiment mal joué, mais terriblement excitant, je me masturbais de plus en plus fort.
Cette fois-ci la jeune femme s'était posée de manière à masturber le sexe de son beau frère avec ses pieds, faisant de longs vas et viens sur le sexe tendu, avant de démontrer sa souplesse en se penchant et en prenant le gland dans sa bouche, suçant son amant, tout en passant doucement sa langue sur ses gros orteils, aussi loin que sa souplesse le lui permettait. Elle poussait des gémissements bien plus réaliste que le reste de son jeu d'actrice.
Ses orteils se refermaient petit à petit sur le sexe de son amant, elle crachait dessus, son gros orteil était souillé de salive coulante.
Je n'en pouvais plus, j'imaginais Christelle me faire cela, Christelle me masturber avec ses pieds ... Non, Christelle masturbant un autre homme avec ses pieds, Christelle qui suce un autre homme pendant que je lui lèche les pieds, Christelle qui ...
Ouvrait la porte de la salle de bain et me jetait un regard alors que j'étais la : assis sur les WC, le téléphone dans une main, ma queue en érection dans l'autre.
Elle ne pipait mot et refermait la porte, le regard de mépris qu'elle m'avait jeté n'avait rien d'un jeu sexuel, aussi préférais-je m'interrompre pour le moment.
Je n'imaginais pas à quel point j'allais le regretter ...
Trois jours plus tard ...
Ce jour la j'étais en congé, Christelle travaillait, mais devait rentrer d'une minute à l'autre.
Cela faisait trois jours et rien, elle m'adressait la parole, riait à mes blagues, tout semblait rentré dans l'autre, à l'exception que nous n'avions plus fait l'amour que ce soit de manière traditionnel ou dans le but d'évoluer dans ma soumission.
Etait-elle fâchée à ce point la ? Oui, je connaissais ma femme et tous les sourires qu'elle pouvait sortir étaient forcés, je le savais.
J'étais en train de me toucher en vitesse avant son retour -trois jours d'abstinence, c'était long bordel- quand on sonnait à la porte.
Je fis de mon mieux pour me camoufler du mieux que je pouvais afin que le livreur ne puisse voir mon érection : c'était un petit paquet cubique que je réceptionnait au nom de ma femme.
Bizarre qu'elle ne m'en ait pas parlé.
Je soupesais le paquet qui ne semblait pas bien lourd, qu'est ce que cela pouvait être ?
Trop curieux, je commençais à chercher un couteau pour ouvrir le paquet quand la porte d'entrée s'ouvrait, révélant Christelle qui posait son regard directement sur sa livraison, puis sur mon couteau.
— Ah, il est arrivé !
Dit-elle simplement en me l'arrachant des mains, elle posait alors son regard sur le couteau de cuisine.
— Tu voulais l'ouvrir ?
Je posai le couteau sur la table d'entrée.
— Oui, comme ça avait été livré ici, je pensais.
— C'est MON paquet !
Ça c'était nouveau, depuis le temps que nous étions ensemble, elle n'avait jamais eu de secret pour moi.
— Il y a quoi dedans ?
— Une solution ...
— Comment ça « une solution » ?
— Tu verras ...
Je la vis se diriger vers la chambre, sans doute pour aller sur l'ordinateur, je la rattrapais le plus vite possible. Que voulait-elle dire ? Pourquoi tant de mystère ? Avait-elle l'intention de me quitter ? Ça expliquerait sa manière d'être si distante avec moi. Je sentais la peur me déchirer de l'intérieur, peut-être en avait elle assez de moi ? Peut-être que jouer les dominatrices ça l'emmerde finalement ?
— Dis-moi ce qui ne va pas
— Laisse moi tranquille !
Je la lâchais directement, je ne l'avais jamais vue ainsi.
— Je suis désolé Christelle, désolé pour tout, je ne voulais pas te vexer, je t'aime ...
Son regard se fit plus doux, elle s'approchait de moi et se collait dans mes bras.
— Tu sais que je t'aime hein ?
Je ne répondait pas, je n'en savais rien, peut-être qu'elle ne m'aimait plus après tout, je l'avais trompé et j'avais failli à ma tâche il y a quelques jours en ne pouvant pas m'empêcher de me toucher.
— J'ai beaucoup réfléchi et j'ai envie qu'on aille plus loin, mais je ne veux pas que tu jouisse de nouveau trop vite ...
Je me sentais blessé.
— Je suis désolé mon cœur, je ...
— Non ! ... Non ... Pas d'excuses ...
Elle me regardait droit dans les yeux, ses yeux lançaient un regard déterminé.
— Je veux que tu aille à la supérette nous chercher un bon verre de vin ...
La j'étais rassurée, je connaissais Christelle, quand elle voulait que la soirée soit coquine, elle aimait beaucoup boire du vin, du rouge pour être précis.
Excité comme jamais, je roulais à toute berzingue pour arriver au magasin, j'attrapais une bouteille et retournai à la maison.
Mes mains tremblaient alors même que je sortais les clefs et que je tentais de les glisser dans la serrure, je failli faire tomber la bouteille.
Quand enfin, la porte cédait, je constatais que la maison était plongée dans le noir à l'exception d'une petite lumière tamisée dans la chambre ...
Je filer à la cuisine pour sortir deux verres, mais quelque chose m'attrapai le bras, la bouteille se brisait au sol, tandis que je me sentais plaqué au mur, Christelle se collait à moi et m’enfonçait sa langue dans la bouche ...
— Chérie, le vin ...
— Je m'en fous !
Elle se collait à moi, m'embrassant à pleine bouche, ses doigts délicats s'affairaient à défaire la ceinture de mon pantalon.
— Enlève tes fringues ...
Sa respiration était rapide, je pouvais sentir son cœur qui battait la chamade, je m’exécutais, retirant mon pantalon et mes chaussures tandis qu'elle m'aidait à enlever mon t-shirt.
Ce fut le moment ou je réalisais qu'elle portait une robe très sexy, la même robe qu'elle portait en général pour les grandes occasions : une belle robe noire, fendue avec une paire de talons hauts, ouverts évidemment.
— Tu me fais confiance ?
— Oui mon amour ...
Lui répondais-je ...
Elle posait alors ses lèvres sur mon sexe, commençant à l'enfoncer au plus profond dans sa gorge, je sentais sa langue commencer à parcourir la dureté de mon sexe, s'affairant rapidement sur mes testicules.
C'était la première fois depuis plusieurs semaines qu'elle semblait motivée par autre chose que la domination.
Elle me regardait un instant, me souriant, mon pénis était comme de l'acier, prêt à défoncer n'importe quelle porte, sur le moment, mes fantasmes d’infidélité ou fétichistes étaient clairement envolé au profit de la possibilité de la prendre violemment, ici dans la cuisine.
Sa bouche se remit au travail, gobant d'abord mes testicules, puis engouffrant mon bâton intime entre ses lèvres, effectuant des aller et venues sur mon sexe en érection. Je n'avais aucun endroit ou m'accrocher, alors mes mains passèrent dans ses cheveux et se crispèrent dessus, sa fellation était si bonne que je cru qu'elle voulait m'arracher le sexe, je sentais que j'allais venir très bientôt je ... J'allais ...
— Aaaahh Chris ... Stoooppp, je ... aaaahhh
Je me rependais à grosse coulée sur le sol entre ses pieds, elle continuait de me masturber ainsi, nu, adossé contre le mur, ses doigts délicats serrés autour de mon sexe tendu.
Je la regardais.
— Je ... Je suis désolé, je voulais attendre encore un peu et ...
— Ce n'est pas grave voyons ...
Elle avait un drôle de sourire, elle semblait récupérer quelque chose à l'arrière de sa robe.
— C'était tellement ...
Je la vis hésiter un moment en captant mon regard avec le sien ...
— Pitoyable ...
Quoi ?
— Pardon ?
— Pitoyable ... Minable si tu préfères, chéri tu es incapable de te retenir de te branler plus de cinq minutes ...
— Ou tu veux en venir ?
— A ça !
Je sentais un objet en métal s'entourer autour de mon sexe, puis sur mon pénis et un cliquetis qui suivait. Avant même de regarder j'avais deviné ce qui se cachait dans ce paquet.
Mon regard passait du sourire espiègle de ma femme à mon pénis ramolli par l'éjaculation qui était maintenant enfermé dans une cage de chasteté en métal.
— T'es pas sérieuse la ?
— « Maîtresse »
— Christelle, tu ...
— « Maîtresse » !
— Enlève moi ce truc !
— « Enlevez-moi ce truc ... Maîtresse ... »
— Christelle ...
Tout à coup, elle me repoussait contre le mur, relevant sa jupe et me collant son intimité contre les lèvres.
— Tu veux que je te libère ? Tu me lèche !
Je ne pouvais pas répondre, complètement écrasé contre son intimité, je sortais ma langue et commençais à caresser les parois de son entre jambe, passant doucement contre chaque partie, puis venant lécher son petit bouton, je pouvais sentir sa jambe droite qui se plaçait derrière ma tète, tandis que je me donnais à fond pour la faire jouir.
La cage était étroite et sans me faire vraiment mal, elle était peu agréable. Je lisais partout que les cages de chasteté étaient douloureuses pendant l'érection, mais ce n'était pas le cas, par contre je sentais bien qu'il me serait impossible de jouir avec une telle chose.
Ma Maîtresse s'emparait de ma tète et m'écrasait contre son pied, je n'avais pas besoin qu'elle m'ordonne quoi que ce soit que je léchais déjà ses orteils avec avidité, mes lèvres encore humides de son liquide féminin.
La situation était pathétique, j'en avais conscience et cela m'excitait au plus haut point.
— Tu vois ? Quand tu ne peux pas jouir, je m'amuse largement mieux ...
Chris tirait une chaise et s'installait dessus, me présentant ses orteils que je voulais lécher à nouveau, mais à peine touchais-je le bout de son ongle qu'elle reculait son pied.
Pensant à un jeu de frustration je revenais à l'assaut, une fois, deux fois, mais rien n'y fit, non, elle voulait autre chose.
Je constatais qu'elle remuait ses orteils de manière à me présenter le plus gros.
— Suce, salope !
Mon regard se plantait dans le sien et j'y détectais quelque chose d'excitant et inquiétant à la fois : elle prenait un plaisir maléfique à ce genre de petit jeu. Ses yeux pleins d'arrogance au milieu de ce visage bien fait, surplombant ses jolies tâches de rousseur, ses lèvres fines étirées dans un sourire de démone.
Je craquais ...
Ma bouche vint chercher son orteil et je commençais à le sucer, comme j'avais sucé le dildo.
— Huumm une bonne petite pute dis donc ...
Je continuais, fier que ma Maîtresse apprécie les efforts que je fournissais pour elle
— Tu es très douée, si j'avais une bite, je jouirai ...
Je recouvrai mes dents avec mes lèvres, engouffrant son appendice dans ma bouche, passant ma langue autour, je voyais bien à quel point ce petit jeu l'excitait.
— La prochaine fois, je te ferai sucer des grosses bites dans la forêt de Soignes !
Une peur indicible s'emparait de moi et je stoppais net, reculant, un filet de bave reliant encore mes lèvres à son orteil.
— Christelle !
— Pardon, je m'emballe ...
Ce qui me fit peur sur le moment n'était pas le fait qu'elle évoque l'idée de me faire sucer des queues pour jouer le jeu, mais le fait qu'elle avait l'air très sérieuse et surtout, qu'elle n'avait pas réellement l'air désolée le moins du monde.
— Tu veux vraiment que je fasse une chose pareille ?
Demandais-je par peur, mais pour toute réponse, elle se contentait d'écarter les cuisses.
— Lèche moi !
— Je veux une réponse !
— Mais non, arrête de flipper et lèche moi !
Peu convaincu, je commençais à m’exécuter, pensant sincèrement qu'il était peut-être temps d'arrêter ce genre de jeu. Christelle commençait à vraiment s'y prendre au sérieux et j'avais peur que cela lui monte à la tète.
Ma langue s'affairait en elle, passant de son intérieur à son clitoris, je sentai ma queue dure contre la cage et sans que je sache trop pourquoi, je commençais à remuer le bassin pour baiser une paire de fesses invisibles.
— Et bien on veut jouir ?
Je fis signe que oui, mais Christelle n'avait pas l'air décidée le moins du monde.
— Moi d'abord ...
Alors je passais à la vitesse supérieure, remuant mes lèvres contre les siennes, jouant de ma langue en elle.
Au bout d'un moment je pouvais la sentir se tendre, ses orteils se recroqueviller au sol, ses cuisses serrées et enfin la libération.
— Aaaaahhh ooouuuiiiii !!!
Ses jambes tremblèrent pendant un moment, sa respiration se calmait, elle redescendait à son rythme, son regard redevenant plus doux.
— Et moi Maîtresse ?
Demandais-je
— Tu as déjà joui non ? Viens on va se coucher.
— Chris, je ne vais pas arriver à dormir comme ça ...
Je la vis soupirer et lever les yeux au ciel, ce qui m'inquiétait.
— Très bien, je vais me poser sur la chaise et tu pourras te masturber en me regardant ...
Je la vis prendre une position sexy, mais soft, jambes croisées, son pied titillant mon attention.
— Christelle ... La cage ...
— Je n'ai pas dis que je te libérerai, à toi de trouver un moyen ...
— Comment ?
— Frappe le ...
Mes yeux écarquillèrent. Pour toute réponse le bout du pied de Christelle vint caresser la cage avant d'y mettre un petit coup du bout des orteils.
Je sentais mon sexe durcir dedans.
Je saisissais mon sexe encagé et tentait des vas et viens, mais la cage m’empêchait de le sentir, je tentai bien de passer mes doigts entre pour le caresser, mais rien n'y fit.
Je doutais fort que le frapper puisse m'aider à quoi que ce soit.
— Je m'ennuie la, il te reste une minute, après je vais regarder la télé ...
— T'es pas sérieuse ...
— « vous » n'êtes pas sérieuse « Maîtresse » !
— Vous n'êtes pas sérieuse Maîtresse ...
Elle observait la fine montre en cuir à son poignet.
— cinquante secondes ...
Alors je commençais à taper, d'abord légèrement par peur de me faire mal, mais je n'entrait pas dans la situation, comment était-ce possible de se faire jouir ainsi ? Cela n'avait pas de sens !
— Trente secondes ...
La situation était délicate, mais je commençais à rentrer dans le jeu, frappant mon sexe du plat de la main, tout en regardant les pieds de Christelle et passant à son regard méprisant.
— Si tu n'y arrive pas, je te laisse en cage pour une semaine ...
Reprise des coups, je sentais mon sexe gonfler contre les parois de la cage, aussi incroyable que cela puisse paraître, cela fonctionnait, je continuais à frapper de plus en plus fort .....
— Hhaaaaaaa ...
Une giclée de sperme souillait le bout de la cage et le sol sous moi, tandis que Christelle, posait son pied au sol et se penchait pour considérer la flaque de jouissance entre mes jambes.
— Oui ... Pitoyable, bravo tu as réussi ...
— Merci ...
Fis-je plutôt fier de moi.
— Dommage que tu aies trois secondes de retard ... Une semaine donc ...
— Quoi ? Non !
Christelle me fit ce petit sourire sincère, la Maîtresse avait définitivement quitté ses pensées, elle redevenait la femme amoureuse et adorable que j'aimais tant.
— Relax, je plaisante ...
Elle m'enlevait la cage et nous nous mîmes devant la télévision, passant une soirée comme un couple normal ...
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
De mieux en mieux
le juste dosage entre réalité et fiction
très très efficace sur moi
j’adorerais !
le juste dosage entre réalité et fiction
très très efficace sur moi
j’adorerais !
A mes lecteurs-trices
Merci à tous pour vos retours, ça fait chaud au cœur.
Pas d'inquiétude, la domination de Christelle et la nouvelle vie d'Alex ne font que commencer.
Navré, j'ai remarqué que j'avais laissé une ou deux fautes d'orthographe passer, j'y ferai plus attention à l'avenir.
J'espère que vous apprécierez le prochain épisode qui devrait être disponible très bientôt.
Merci à tous pour vos retours, ça fait chaud au cœur.
Pas d'inquiétude, la domination de Christelle et la nouvelle vie d'Alex ne font que commencer.
Navré, j'ai remarqué que j'avais laissé une ou deux fautes d'orthographe passer, j'y ferai plus attention à l'avenir.
J'espère que vous apprécierez le prochain épisode qui devrait être disponible très bientôt.
une semaine de cage aurait été un minimum, plus cela les rend dociles et obéissants, déjà testé !!à utiliser sans modération cela fait ressortir leur coté féminin,ils sont beaucoup plus à l'écoute du corps de leur partenaire.
J'adore. J'espère bien qu'elle ira plus loin, il mérite bien de garder sa cage 1 semaine au moins, et de lecher son jus qu'il aura maladroitement lâcher sur les pieds de sa maîtresse.. avant de sucer de réelles belles queues.. j'adorerais être à sa place
Elle était sérieuse pour le faire sucer tout le quartier !!!!