Doux foyer (8)
Récit érotique écrit par Leatherbite [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Doux foyer (8)
Résumé de l'épisode précédent :
Alors que la soirée domination bat son plein chez Maîtresse Jenny, Alex fini par se vexer après que l'hôtesse des lieux tente de le pousser à sucer un de ses esclaves, furieux, il veut s'en aller, mais Maîtresse Jennifer lui faire alors une proposition : une semaine de chasteté avec des défis à accomplir pour lui et Christelle dans le but de le faire évoluer dans sa soumission.
Une fois rentré chez nous, je n'avais de cesse de tourner cette soirée dans ma tète, tentant d'analyser au mieux la situation : devant moi, j'avais une semaine de cage supplémentaire et une semaine de défis à accomplir, Christelle également.
En tant que soumis je ne pouvais pas connaître les défis imposé à ma femme, elle avait accès à certains des miens, sauf cas exceptionnel, ainsi que Maîtresse Jenny l'avait voulu.
Une semaine de chasteté, c'était déjà compliqué, mais deux en suivant, c'était horrible : j'avais besoin de jouir, je sentais parfois mon sexe battre la mesure de mes battements de cœur contre les anneaux de ma cage en métal.
J'avais bien essayé la méthode des claques pour me faire jouir, mais c'était impossible.
Par curiosité, j'avais regardé sur internet s'il existait des méthodes pour jouir avec une cage de chasteté et -bien entendu- la seule que j'avais trouvée était l'orgasme prostatique, non merci, jamais rien ne rentrerait dans mon cul !
Ce lundi matin, j'avais l'esprit embrumé quand la sonnette de la maison retentissait dans le silence paisible de la matinée, comme toujours, Christelle dormait comme une masse : une apocalypse nucléaire n'aurait pas été foutue de la réveiller, elle avait un sommeil incroyablement lourd.
J'enfilais rapidement un jeans et un t-shirt pour me traîner jusqu'à la porte et ouvrait cette dernière pour tomber nez-à-nez avec Alonso.
Il avait toujours cet air de cyborg sans aucune expression, il était habillé d'un costume très chic, le soleil matinal formant une espèce de lueur sur son crane chauve.
— Un présent de la part de Maîtresse Jenny
Je le remerciais et prenait le paquet avant de rentrer et de le déposer sur la table basse du salon.
C'était une petite boite presque plate, je la secouais, mais rien ne teintait à l'intérieur ce qui m'indiquait donc que ce devait être des vêtements, il y avait une petite étiquette collée dessus sur laquelle était précisé que c'était pour moi, mais à n'ouvrir qu'en compagnie de Maîtresse Christelle.
« Maîtresse Christelle » bizarrement le lire me rendait un peu excité.
Cette dernière débarquait alors dans le salon dans sa petite nuisette grise, elle se frottait les yeux en baillant, elle était incroyablement mignonne et j'avais parfois du mal à croire que cette princesse si adorable puisse se muter en dominatrice sans pitié.
— C'est quoi ? Un cadeau ?
J’acquiesçais en hochant la tète, l'air somnolant, Christelle se dirigeait vers le présentoir à couteau et en sortait un assez imposant, elle entreprenait alors de découper la ficelle et les scotch qui retenaient la boite fermée, quelle n'était pas notre surprise de découvrir dedans une paire de bas blancs et un string, dessus il y avait un mot.
— Apparemment elle s'est trompée, c'est pour toi ,,,
dis-je alors que ma chérie lisait la petite carte.
— Non non mon cœur, il est bien précisé que c'est pour toi ...
Elle me tendait le mot que je m'empressais de lire, effectivement, il était question de les mettre tous les jours cette semaine, je haussais un sourcil et me tournait vers Christelle avec un air grave.
— Elle veut me transformer en Ellie ou quoi ? Je te préviens, c'est hors de question de ...
Mais j'étais interrompu par le soupir puissant de Christelle et son regard déçu.
— T'en a pas marre de râler ?
— Je ...
— Écoute Alex, que tu aies des limites, je peux comprendre, que tu aies flippé à cette soirée, je peux comprendre aussi, mais sérieusement ...
Christelle s'emparait d'un des bas blanc, il était sexy avec un petit nœud au niveau de la jarretière, un truc très girly.
— Tu dois juste les mettre, personne ne les verras, ça ne va pas te tuer ...
— Mais je ...
— Si ça t'emmerde, on arrête tout et on redevient un couple de moldus qui font leurs affaires en missionnaire les yeux dans les yeux, le petit coït pépère du dimanche soir, c'est ça que tu veux ?
— Non évidemment, mais ...
Christelle m'interrompait en laissant tomber le bas dans la boite, elle attrapait mon visage entre ses mains pour que je la regarde dans les yeux.
— Alors fais moi confiance, c'est juste pour s'amuser d'accord ?
— Je ... oui ...
— Je veux que tu évolue dans ta soumission ... et toi ?
— Je ... moi aussi ...
— Alors dis le !
— Hein ?
— Dis-le Alex !
— Je ... J'ai envie d'évoluer dans m'a soumission ?
— Mieux que ça !
Tout à coup je comprenais ou elle voulait en venir, un peu taquin et pour me rattraper, je répondais donc :
— Je vous supplie de m'aider à évoluer dans ma soumission Maîtresse ... et de m'aider à mettre ses trucs après ma douche parce que je n'ai aucune idée de comment ça marche.
Christelle pouffait, moi aussi, au moins cette histoire n'entamait pas notre complicité et c'était cela le plus important.
Après ma douche, Christelle m'aidait donc à enfiler ces satanés bas : moi assis sur une chaise, elle utilisant ses doigts fins et délicats pour glisser le tissu autour de mon pied et remonter le long de ma jambe, elle s'interrompait à mi-chemin.
— Alex ?
— Humm ?
— Tu ne vas pas sérieusement porter cela alors que tu n'es pas épilé ?
Mon regard croisait le sien, plus de plaisanteries cette fois : elle était très sérieuse.
— Tu ne veux quand-même pas que je ...
— Ah si !
— Mais je n'ai pas le temps mon amour, je dois partir travailler ...
Trop tard, une fois que Christelle avait une idée en tète c'était fichu pour lui faire penser à autre chose, elle revenait quelques instants plus tard armée de son rasoir et de ma crème à raser.
Cela prit une heure : tondeuse à cheveux, puis crème, puis rasoir, quelques blessures superficielles car les poils d'un homme sont souvent plus résistants que ceux des femmes, mais au bout d'une bataille acharnée et avec quelques minutes de retard, j'arrivais au boulot.
C'était drôle : au final, je n'avais même plus cette impression de porter quelque chose de spécial, j'oubliais carrément l’humiliation d'être en string.
Au bout d'un moment, alors que j'étais bien lancé, Paul -mon collègue- me demandait de noter rapidement un numéro de téléphone sur un post-it car lui n'avait pas accès aux siens (ce grand distrait avait du oublier d'en faire la commande une fois de plus) quelques instants plus tard, il me demandait de le lui dicter et une fois son appel passé me donnait l'autorisation de le jeter, ce que je fis, hélas le bout de papier chiffonné attérissait juste à côté de la poubelle, je me penchais donc pour le récupérer et le mettre à sa place quand je me rappelais ce que je portais et me redressais immédiatement gêné.
Mon regard croisait celui de Paul qui -s'il avait vu quoi que ce soit- n'en laissait rien transparaître, pourtant vu ou était situé son regard à cet instant il aurait du voir.
Peut-être ne voyait-on rien après tout ? Ou peut-être n'y avait-il pas prêté attention.
A la fin de la journée, mon collègue m'apostrophait.
— Hey Alex !
— Hey Paul !
— Merci pour ton aide avec l'appel.
— T'inquiète avec plaisir ...
Paul semblait mal à l'aise.
— On va boire un verre ?
— Heu ... Christelle m'attend et ...
— Je voudrais juste te parler d'un truc en fait ...
— Bah on peux faire ça ici ...
— Heu ... Ouais ok ... Çà fait longtemps ?
— De ?
Paul se penchait vers moi comme sur le ton de la confidence.
— Que tu te travestis ?
— Hein ?
Immédiatement je pensais à mon string et mes collants, il avait du voir quand je m'étais penché, il savait cet enfoiré et j'allais avoir difficile à lui faire oublier ça.
Sur le coup je jouais les innocents.
— De quoi tu parles ?
— J'ai vu ce que tu portes ... Et tu sais ... J'y ai souvent pensé ...
Ok, la c'était la meilleure : Paul ? Mon collègue pensait à se travestir ? Lui qui enchaînait les filles les unes après les autres ? Marié à Laetitia depuis un an et très amoureux ? Aucun risque, il essayait de me faire marcher c'était évident.
— Paul ... Je ne sais pas ce que tu crois avoir vu, mais ce que je porte est un string pour homme, Christelle me l'a acheté et demandé de l'essayer par curiosité, c'est tout ...
Paul avait l'air déçu.
— Ok ... Heu ... On peux oublier ce que j'ai dis ?
Un sourire sincère s'affichait sur mon visage.
— Évidemment, ne t'inquiète pas c'est déjà oublié ...
J'allais partir, mais Paul me rattrapait rapidement.
— Ca te dirait de venir manger à la maison un de ces quatre ? Laetitia aimerait connaître mes collègues de travail.
— Bien sûr, je viendrais avec Christelle ...
— Heu ... En fait, Laeti est timide, donc on pensait, toi tout seul ...
— Heu ... C'est ... Bizarre ... Je vais en parler à ma femme d'accord ?
Il avait l'air déçu, mais résigné.
Je quittais les lieux tranquillement, rentrant chez moi, me demandant si j'arriverai à finir la semaine sans que l'on me prenne pour une sissy façon Ellie.
— Chérie ? Je suis rentré !
Lançais-je à la cantonade, surpris de ne pas entendre ma femme me répondre, pire, le seul son que j'entendais étaient des gémissements.
Les souvenirs de cette horrible soirée de tromperie me revinrent en mémoire, l'avais-je énervée à ce point ? Je me précipitais dans le salon ... Rien, le son venait de la chambre, je pouvais rapidement distinguer Christelle qui se masturbait allégrement avec un gode.
Un sourire se dessinait sur mon visage.
— Wow, mon cœur, tu sais comment m'accueillir !
Mais Christelle ne me répondait pas, elle ne me regardait même pas, trop occupée, à saisir un dildo d'une main mal assurée qu'elle portait à sa bouche, devant un tel spectacle, je sentais mon pénis pulser contre la cage.
Le vibro de sa bouche s'enfonçait violemment dans sa gorge, elle commençait à étouffer, tousser et cracher, les yeux humides et les lèvres coulantes, elle ressortait le gode et crachait au sol, regardant vers le haut comme plantant ses yeux dans le regard d'un amant imaginaire dont le dildo aurait été son pénis.
— Oh Jeff, ta queue est tellement dure ...
Hein ?
Qui c'est Jeff ?
Ma queue se mettait à tambouriner de plus en plus violemment contre ma cage tandis que je me demandais si Christelle pensait à un autre homme alors même que je l'observais en train de se masturber.
Pendant ce temps Christelle se tourner vers l'autre gode.
— Vas-y Max, plus fort, défonce moi bien pendant que mon mari est absent !
Ma respiration s’accélérait, Christelle était en train de me rejouer le jeu du cuckolding.
Doucement, je retirais mes vêtements, prêt à la rejoindre, je m'apprêtais à retirer les bas, mais Christelle se tournait alors vers moi.
— Non !
Son regard ne laissait passer aucune équivoque.
— Ça, tu les garde !
— Oui Maîtresse ...
Répondais-je timidement en m'approchant à quatre pattes, tandis que Christelle faisait mine de sucer deux hommes à la fois avec ses godes, avant d'en présenter un devant mon visage.
— Suce !
Je m’exécutais, prenant le sexe en bouche, le suçant à mon aise, comme je le faisais d'habitude, mais un soupir de Christelle m'interrompait.
— Pardon Maîtresse, aurais-je échoué ?
Ma dominante me jetai un regard plein de mépris qui me rendait fou de désir. Elle attrapait ma tète et enfonçait le gode dans ma gorge, je sentais le gland en plastique qui butait contre ma glotte et me mit à tousser et saliver.
— Tu ne sais donc pas sucer une bite correctement ?
Elle plaçait le gode au niveau de son pubis.
— Suce moi, comme je l'ai fais avec Jeff ...
« Jeff » le fameux amant imaginaire ...
Je m’exécutais donc, à quatre pattes, la queue de plastique entre mes lèvres, je l’enfonçais au mieux et tentant de le garder un maximum puis le relâchais quand je n'en pouvais plus, ma gorge était en feu et je toussais de plus en plus, mon menton était souillé de bave et Christelle me regardait avec un mélange de fierté et de mépris.
— Maintenant tu peux sucer normalement et écoute bien ce que j'ai à te dire ...
Je m’exécutais donc, ne perdant pas une miette de son regard sur moi.
— Je vais prendre un amant !
Je relâchais immédiatement le dildo ...
— Quoi ? Christelle je ...
— TU TE TAIS !
J'étais coupé dans mon élan, abasourdi parce qu'elle était en train de me dire.
— Suce !
Pour je ne savais quelle raison, je me mettais à sucer à nouveau, tandis qu'elle continuait de parler, une part de moi espérait que ce n'était qu'un jeu de plus, mais elle avait l'air tellement sérieuse.
— Je vais prendre un amant et tu le préparera avec ta bouche comme une bonne salope.
A nouveau je relâchais le gode pour répliquer, mais elle avait du s'y attendre, puisqu'elle le renfonçait de plus belle.
— Et après ça il me baisera devant toi et je te regarderai dans les yeux pendant qu'il me prendra en levrette, je veux que tu vois le plaisir sur mon visage, je veux que tu saches à quel point un autre homme me comble.
Je continuais de sucer, de plus en plus profondément, j'avais envie que ce jeu s'arrête ...
Vraiment ?
Une part de moi ne pouvait nier être excité à cette idée et dans ma tète la situation prenait forme : moi à genoux dans des sous vêtements féminins, la queue d'un homme dans ma bouche avant qu'il ne jette un regard complice à Christelle et qu'ils rigolent de moi ensemble avant de s'embrasser, puis il la prendrait sauvagement, son regard posé sur moi qui ...
Etais-je en train de délirer ?
Tout à coup, un déclic se faisait entendre et la cage de chasteté tombait mollement sur le tapis, libérant mon pénis qui grossissait à vue d’œil. Christelle me retirait le gode de la bouche, posant son pied nu sur mon sexe tendu.
— Mais tu bande salope !
— Non je ...
— Tu bande à l'idée que je me fasse baiser par d'autres mecs !
— Jamais, Chris, je ...
— C'est « Maitresse » sale chien !
— Je ...
Elle s'emparait alors de mon sexe et le masturbais violemment, avant de s'interrompre
— Continue, branle toi !
Je m’exécutais sans trop comprendre ce qui était en train de se passer, Christelle avait-elle perdu la boule ? Et moi qui lui obéissait, qu'étais-je en train de faire ?
— Il va me prendre Alex, il va me baiser comme la pire des salope, il va me faire ce que toi, le prétendu dominant tu es incapable de faire, il va me faire sienne Alex et je serai sa pute !
Je me masturbais avec ferveur, sentant l'excitation monté, étais-je vraiment excité par cette situation ? Non cela ne pouvait pas ...
— Et toi aussi tu seras sa salope, il va te baiser le cul comme une chienne !
— Aaaaaahhhhh ...
Un jet de sperme chaud s'échappait de mon pénis et tombait à grosses gouttes sur son pied, couvrant le gros orteil jusqu’à la cheville. Je continuais mon va et viens, faisant couler le reste du sperme sur l'épiderme de ses petons, sans oser la regarder.
Son pied se dressait alors juste devant moi
— Nettoie !
Comme un robot, je ne protestais pas, léchant mon propre foutre sur les orteils et le bord du pied de ma dominante, j'étais encore trop sous le choc et -il faut le dire- trop excité pour dire quoi que ce soit.
Une fois fait, Christelle attrapait un rouleau de sopalin et m'essuyait la bouche, elle me nettoyait aussi le sexe et l'enfermait à nouveau dans la cage de chasteté, avant de me prendre dans ses bras.
— Chhhtt c'est fini, c'était très bien ... C'était mon défi Alex, je suis vraiment désolée, j'espère que ça ne t'a pas trop perturbé.
Ah si, ça je l'étais ...
— Dis quelque chose Alex s'il te plaît ...
— Je veux qu'on essaie ...
— Hein ?
Christelle semblait choquée, mais une part de moi était déterminée.
— Je veux te voir baiser avec un amant ...
Alors que la soirée domination bat son plein chez Maîtresse Jenny, Alex fini par se vexer après que l'hôtesse des lieux tente de le pousser à sucer un de ses esclaves, furieux, il veut s'en aller, mais Maîtresse Jennifer lui faire alors une proposition : une semaine de chasteté avec des défis à accomplir pour lui et Christelle dans le but de le faire évoluer dans sa soumission.
Une fois rentré chez nous, je n'avais de cesse de tourner cette soirée dans ma tète, tentant d'analyser au mieux la situation : devant moi, j'avais une semaine de cage supplémentaire et une semaine de défis à accomplir, Christelle également.
En tant que soumis je ne pouvais pas connaître les défis imposé à ma femme, elle avait accès à certains des miens, sauf cas exceptionnel, ainsi que Maîtresse Jenny l'avait voulu.
Une semaine de chasteté, c'était déjà compliqué, mais deux en suivant, c'était horrible : j'avais besoin de jouir, je sentais parfois mon sexe battre la mesure de mes battements de cœur contre les anneaux de ma cage en métal.
J'avais bien essayé la méthode des claques pour me faire jouir, mais c'était impossible.
Par curiosité, j'avais regardé sur internet s'il existait des méthodes pour jouir avec une cage de chasteté et -bien entendu- la seule que j'avais trouvée était l'orgasme prostatique, non merci, jamais rien ne rentrerait dans mon cul !
Ce lundi matin, j'avais l'esprit embrumé quand la sonnette de la maison retentissait dans le silence paisible de la matinée, comme toujours, Christelle dormait comme une masse : une apocalypse nucléaire n'aurait pas été foutue de la réveiller, elle avait un sommeil incroyablement lourd.
J'enfilais rapidement un jeans et un t-shirt pour me traîner jusqu'à la porte et ouvrait cette dernière pour tomber nez-à-nez avec Alonso.
Il avait toujours cet air de cyborg sans aucune expression, il était habillé d'un costume très chic, le soleil matinal formant une espèce de lueur sur son crane chauve.
— Un présent de la part de Maîtresse Jenny
Je le remerciais et prenait le paquet avant de rentrer et de le déposer sur la table basse du salon.
C'était une petite boite presque plate, je la secouais, mais rien ne teintait à l'intérieur ce qui m'indiquait donc que ce devait être des vêtements, il y avait une petite étiquette collée dessus sur laquelle était précisé que c'était pour moi, mais à n'ouvrir qu'en compagnie de Maîtresse Christelle.
« Maîtresse Christelle » bizarrement le lire me rendait un peu excité.
Cette dernière débarquait alors dans le salon dans sa petite nuisette grise, elle se frottait les yeux en baillant, elle était incroyablement mignonne et j'avais parfois du mal à croire que cette princesse si adorable puisse se muter en dominatrice sans pitié.
— C'est quoi ? Un cadeau ?
J’acquiesçais en hochant la tète, l'air somnolant, Christelle se dirigeait vers le présentoir à couteau et en sortait un assez imposant, elle entreprenait alors de découper la ficelle et les scotch qui retenaient la boite fermée, quelle n'était pas notre surprise de découvrir dedans une paire de bas blancs et un string, dessus il y avait un mot.
— Apparemment elle s'est trompée, c'est pour toi ,,,
dis-je alors que ma chérie lisait la petite carte.
— Non non mon cœur, il est bien précisé que c'est pour toi ...
Elle me tendait le mot que je m'empressais de lire, effectivement, il était question de les mettre tous les jours cette semaine, je haussais un sourcil et me tournait vers Christelle avec un air grave.
— Elle veut me transformer en Ellie ou quoi ? Je te préviens, c'est hors de question de ...
Mais j'étais interrompu par le soupir puissant de Christelle et son regard déçu.
— T'en a pas marre de râler ?
— Je ...
— Écoute Alex, que tu aies des limites, je peux comprendre, que tu aies flippé à cette soirée, je peux comprendre aussi, mais sérieusement ...
Christelle s'emparait d'un des bas blanc, il était sexy avec un petit nœud au niveau de la jarretière, un truc très girly.
— Tu dois juste les mettre, personne ne les verras, ça ne va pas te tuer ...
— Mais je ...
— Si ça t'emmerde, on arrête tout et on redevient un couple de moldus qui font leurs affaires en missionnaire les yeux dans les yeux, le petit coït pépère du dimanche soir, c'est ça que tu veux ?
— Non évidemment, mais ...
Christelle m'interrompait en laissant tomber le bas dans la boite, elle attrapait mon visage entre ses mains pour que je la regarde dans les yeux.
— Alors fais moi confiance, c'est juste pour s'amuser d'accord ?
— Je ... oui ...
— Je veux que tu évolue dans ta soumission ... et toi ?
— Je ... moi aussi ...
— Alors dis le !
— Hein ?
— Dis-le Alex !
— Je ... J'ai envie d'évoluer dans m'a soumission ?
— Mieux que ça !
Tout à coup je comprenais ou elle voulait en venir, un peu taquin et pour me rattraper, je répondais donc :
— Je vous supplie de m'aider à évoluer dans ma soumission Maîtresse ... et de m'aider à mettre ses trucs après ma douche parce que je n'ai aucune idée de comment ça marche.
Christelle pouffait, moi aussi, au moins cette histoire n'entamait pas notre complicité et c'était cela le plus important.
Après ma douche, Christelle m'aidait donc à enfiler ces satanés bas : moi assis sur une chaise, elle utilisant ses doigts fins et délicats pour glisser le tissu autour de mon pied et remonter le long de ma jambe, elle s'interrompait à mi-chemin.
— Alex ?
— Humm ?
— Tu ne vas pas sérieusement porter cela alors que tu n'es pas épilé ?
Mon regard croisait le sien, plus de plaisanteries cette fois : elle était très sérieuse.
— Tu ne veux quand-même pas que je ...
— Ah si !
— Mais je n'ai pas le temps mon amour, je dois partir travailler ...
Trop tard, une fois que Christelle avait une idée en tète c'était fichu pour lui faire penser à autre chose, elle revenait quelques instants plus tard armée de son rasoir et de ma crème à raser.
Cela prit une heure : tondeuse à cheveux, puis crème, puis rasoir, quelques blessures superficielles car les poils d'un homme sont souvent plus résistants que ceux des femmes, mais au bout d'une bataille acharnée et avec quelques minutes de retard, j'arrivais au boulot.
C'était drôle : au final, je n'avais même plus cette impression de porter quelque chose de spécial, j'oubliais carrément l’humiliation d'être en string.
Au bout d'un moment, alors que j'étais bien lancé, Paul -mon collègue- me demandait de noter rapidement un numéro de téléphone sur un post-it car lui n'avait pas accès aux siens (ce grand distrait avait du oublier d'en faire la commande une fois de plus) quelques instants plus tard, il me demandait de le lui dicter et une fois son appel passé me donnait l'autorisation de le jeter, ce que je fis, hélas le bout de papier chiffonné attérissait juste à côté de la poubelle, je me penchais donc pour le récupérer et le mettre à sa place quand je me rappelais ce que je portais et me redressais immédiatement gêné.
Mon regard croisait celui de Paul qui -s'il avait vu quoi que ce soit- n'en laissait rien transparaître, pourtant vu ou était situé son regard à cet instant il aurait du voir.
Peut-être ne voyait-on rien après tout ? Ou peut-être n'y avait-il pas prêté attention.
A la fin de la journée, mon collègue m'apostrophait.
— Hey Alex !
— Hey Paul !
— Merci pour ton aide avec l'appel.
— T'inquiète avec plaisir ...
Paul semblait mal à l'aise.
— On va boire un verre ?
— Heu ... Christelle m'attend et ...
— Je voudrais juste te parler d'un truc en fait ...
— Bah on peux faire ça ici ...
— Heu ... Ouais ok ... Çà fait longtemps ?
— De ?
Paul se penchait vers moi comme sur le ton de la confidence.
— Que tu te travestis ?
— Hein ?
Immédiatement je pensais à mon string et mes collants, il avait du voir quand je m'étais penché, il savait cet enfoiré et j'allais avoir difficile à lui faire oublier ça.
Sur le coup je jouais les innocents.
— De quoi tu parles ?
— J'ai vu ce que tu portes ... Et tu sais ... J'y ai souvent pensé ...
Ok, la c'était la meilleure : Paul ? Mon collègue pensait à se travestir ? Lui qui enchaînait les filles les unes après les autres ? Marié à Laetitia depuis un an et très amoureux ? Aucun risque, il essayait de me faire marcher c'était évident.
— Paul ... Je ne sais pas ce que tu crois avoir vu, mais ce que je porte est un string pour homme, Christelle me l'a acheté et demandé de l'essayer par curiosité, c'est tout ...
Paul avait l'air déçu.
— Ok ... Heu ... On peux oublier ce que j'ai dis ?
Un sourire sincère s'affichait sur mon visage.
— Évidemment, ne t'inquiète pas c'est déjà oublié ...
J'allais partir, mais Paul me rattrapait rapidement.
— Ca te dirait de venir manger à la maison un de ces quatre ? Laetitia aimerait connaître mes collègues de travail.
— Bien sûr, je viendrais avec Christelle ...
— Heu ... En fait, Laeti est timide, donc on pensait, toi tout seul ...
— Heu ... C'est ... Bizarre ... Je vais en parler à ma femme d'accord ?
Il avait l'air déçu, mais résigné.
Je quittais les lieux tranquillement, rentrant chez moi, me demandant si j'arriverai à finir la semaine sans que l'on me prenne pour une sissy façon Ellie.
— Chérie ? Je suis rentré !
Lançais-je à la cantonade, surpris de ne pas entendre ma femme me répondre, pire, le seul son que j'entendais étaient des gémissements.
Les souvenirs de cette horrible soirée de tromperie me revinrent en mémoire, l'avais-je énervée à ce point ? Je me précipitais dans le salon ... Rien, le son venait de la chambre, je pouvais rapidement distinguer Christelle qui se masturbait allégrement avec un gode.
Un sourire se dessinait sur mon visage.
— Wow, mon cœur, tu sais comment m'accueillir !
Mais Christelle ne me répondait pas, elle ne me regardait même pas, trop occupée, à saisir un dildo d'une main mal assurée qu'elle portait à sa bouche, devant un tel spectacle, je sentais mon pénis pulser contre la cage.
Le vibro de sa bouche s'enfonçait violemment dans sa gorge, elle commençait à étouffer, tousser et cracher, les yeux humides et les lèvres coulantes, elle ressortait le gode et crachait au sol, regardant vers le haut comme plantant ses yeux dans le regard d'un amant imaginaire dont le dildo aurait été son pénis.
— Oh Jeff, ta queue est tellement dure ...
Hein ?
Qui c'est Jeff ?
Ma queue se mettait à tambouriner de plus en plus violemment contre ma cage tandis que je me demandais si Christelle pensait à un autre homme alors même que je l'observais en train de se masturber.
Pendant ce temps Christelle se tourner vers l'autre gode.
— Vas-y Max, plus fort, défonce moi bien pendant que mon mari est absent !
Ma respiration s’accélérait, Christelle était en train de me rejouer le jeu du cuckolding.
Doucement, je retirais mes vêtements, prêt à la rejoindre, je m'apprêtais à retirer les bas, mais Christelle se tournait alors vers moi.
— Non !
Son regard ne laissait passer aucune équivoque.
— Ça, tu les garde !
— Oui Maîtresse ...
Répondais-je timidement en m'approchant à quatre pattes, tandis que Christelle faisait mine de sucer deux hommes à la fois avec ses godes, avant d'en présenter un devant mon visage.
— Suce !
Je m’exécutais, prenant le sexe en bouche, le suçant à mon aise, comme je le faisais d'habitude, mais un soupir de Christelle m'interrompait.
— Pardon Maîtresse, aurais-je échoué ?
Ma dominante me jetai un regard plein de mépris qui me rendait fou de désir. Elle attrapait ma tète et enfonçait le gode dans ma gorge, je sentais le gland en plastique qui butait contre ma glotte et me mit à tousser et saliver.
— Tu ne sais donc pas sucer une bite correctement ?
Elle plaçait le gode au niveau de son pubis.
— Suce moi, comme je l'ai fais avec Jeff ...
« Jeff » le fameux amant imaginaire ...
Je m’exécutais donc, à quatre pattes, la queue de plastique entre mes lèvres, je l’enfonçais au mieux et tentant de le garder un maximum puis le relâchais quand je n'en pouvais plus, ma gorge était en feu et je toussais de plus en plus, mon menton était souillé de bave et Christelle me regardait avec un mélange de fierté et de mépris.
— Maintenant tu peux sucer normalement et écoute bien ce que j'ai à te dire ...
Je m’exécutais donc, ne perdant pas une miette de son regard sur moi.
— Je vais prendre un amant !
Je relâchais immédiatement le dildo ...
— Quoi ? Christelle je ...
— TU TE TAIS !
J'étais coupé dans mon élan, abasourdi parce qu'elle était en train de me dire.
— Suce !
Pour je ne savais quelle raison, je me mettais à sucer à nouveau, tandis qu'elle continuait de parler, une part de moi espérait que ce n'était qu'un jeu de plus, mais elle avait l'air tellement sérieuse.
— Je vais prendre un amant et tu le préparera avec ta bouche comme une bonne salope.
A nouveau je relâchais le gode pour répliquer, mais elle avait du s'y attendre, puisqu'elle le renfonçait de plus belle.
— Et après ça il me baisera devant toi et je te regarderai dans les yeux pendant qu'il me prendra en levrette, je veux que tu vois le plaisir sur mon visage, je veux que tu saches à quel point un autre homme me comble.
Je continuais de sucer, de plus en plus profondément, j'avais envie que ce jeu s'arrête ...
Vraiment ?
Une part de moi ne pouvait nier être excité à cette idée et dans ma tète la situation prenait forme : moi à genoux dans des sous vêtements féminins, la queue d'un homme dans ma bouche avant qu'il ne jette un regard complice à Christelle et qu'ils rigolent de moi ensemble avant de s'embrasser, puis il la prendrait sauvagement, son regard posé sur moi qui ...
Etais-je en train de délirer ?
Tout à coup, un déclic se faisait entendre et la cage de chasteté tombait mollement sur le tapis, libérant mon pénis qui grossissait à vue d’œil. Christelle me retirait le gode de la bouche, posant son pied nu sur mon sexe tendu.
— Mais tu bande salope !
— Non je ...
— Tu bande à l'idée que je me fasse baiser par d'autres mecs !
— Jamais, Chris, je ...
— C'est « Maitresse » sale chien !
— Je ...
Elle s'emparait alors de mon sexe et le masturbais violemment, avant de s'interrompre
— Continue, branle toi !
Je m’exécutais sans trop comprendre ce qui était en train de se passer, Christelle avait-elle perdu la boule ? Et moi qui lui obéissait, qu'étais-je en train de faire ?
— Il va me prendre Alex, il va me baiser comme la pire des salope, il va me faire ce que toi, le prétendu dominant tu es incapable de faire, il va me faire sienne Alex et je serai sa pute !
Je me masturbais avec ferveur, sentant l'excitation monté, étais-je vraiment excité par cette situation ? Non cela ne pouvait pas ...
— Et toi aussi tu seras sa salope, il va te baiser le cul comme une chienne !
— Aaaaaahhhhh ...
Un jet de sperme chaud s'échappait de mon pénis et tombait à grosses gouttes sur son pied, couvrant le gros orteil jusqu’à la cheville. Je continuais mon va et viens, faisant couler le reste du sperme sur l'épiderme de ses petons, sans oser la regarder.
Son pied se dressait alors juste devant moi
— Nettoie !
Comme un robot, je ne protestais pas, léchant mon propre foutre sur les orteils et le bord du pied de ma dominante, j'étais encore trop sous le choc et -il faut le dire- trop excité pour dire quoi que ce soit.
Une fois fait, Christelle attrapait un rouleau de sopalin et m'essuyait la bouche, elle me nettoyait aussi le sexe et l'enfermait à nouveau dans la cage de chasteté, avant de me prendre dans ses bras.
— Chhhtt c'est fini, c'était très bien ... C'était mon défi Alex, je suis vraiment désolée, j'espère que ça ne t'a pas trop perturbé.
Ah si, ça je l'étais ...
— Dis quelque chose Alex s'il te plaît ...
— Je veux qu'on essaie ...
— Hein ?
Christelle semblait choquée, mais une part de moi était déterminée.
— Je veux te voir baiser avec un amant ...
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bonne histoire parfaitement racontée, il ne faut pas lâcher.
Pour les personnes dont ce n’est pas dans les idées, il faut juste s’abstenir de poster des commentaires et quitter la page
Pour les personnes dont ce n’est pas dans les idées, il faut juste s’abstenir de poster des commentaires et quitter la page
Superbe histlire, vivement la suite pour voir l'évolution
En attente de la suite, faut pas lâcher!
ou l’auteur cherche des idees aussi nulles ??? a sa place il devrait soit consulter ou se flageller !!!! alex H
Ta femme est nul une putd tire toi