Douze coups pour la st Sylvestre - histoire érotique

Cette année mon copain Gaël et moi Sophie, somment invités pour le réveillon de la saint sylvestre avec son frère ainé et sa femme, un couple de copains a eux et son oncle veuf puisque ça se passera chez lui étant donné qu’il possède une grande maison en dehors de l’agglomération où nous pourrons faire autant de bruit que nous désirons , une autre clause est ajoutée , nous devons remettre nos clés de voiture et ne repartir que le lendemain
Je suis timide de nature et me retrouver avec des gens plus âgés me gêne un peu

- Tu vas vite te retrouver en confiance se sont tous des personnes habitués à faire la fête certaines fois sans limite !
- Sans limites ? ça veut dire quoi ?
- Oui, enfin ils s’amusent entre eux quoi
- Comment devrais-je m’habiller ?
- Viens en jeans, tu te changeras sur place, ce sera une soirée à thème, et cette année c’est Tahiti
- Tahiti ? je vais me retrouver avec une jupe en raphia ?
- Ça se peut bien soit rassurée ce sera bien chauffé et l’alcool fera le reste
- Et toi ? en jupe aussi ? !
- Je serais sans doute en pagne
- Nous gardons nos sous-vêtements j’espère ?
- Ça, je ne sais pas ! qui sait, ce sera toi qui décideras de les garder ou non ! car j’espère bien te coincer au cours de la nuit ma puce !
- Tu me feras les douze coups de minuit Gaël ? !!
- Je n’ai hélas pas cette prétention, mais je ne serais pas le seul mâle !
- Dit donc, tu veux me donner en pâture ?
- Mais non … nous ne restons pas assis, il y aura une table pour la bouffe et une autre pour la boisson, a volonté puisque nous ne conduisons pas
- Je tiens à rester lucide, en cas de fatigue il y a de quoi s’allonger ?
- Bien sûr et pas seulement pour dormir…
- Arrête avec ça !

J’étais tenaillée entre deux solutions celui de rester prude a tout prix et passer pour une ‘coincée’ mais il y l’autre, cette petite lumière intérieure qui me persuade de laisser voir et peut être effleurer certaines parties de mon corps, que je trouve parfaites, a des hommes plus âgés blasés de leur épouse, je me vois déjà dansant un tamouré endiablé faisant bouger harmonieusement mes fesses et mes seins en tous sens ! a dix huit ans c’est normal de vouloir commencer a s’exhiber !
J’ai donc apporté un soin particulier a tailler ma toison blonde ne serais-ce que pour mon chéri qui je l’espère me fera l’amour sachant que des gens peuvent nous entendre
C’est donc en jean et polo que je me suis rendue au rendez vous fixé par Gaël, nous avons retrouvés son frère et les autres chez ce monsieur plus âgé que mon père mais très gentil et prévenant qui possède une grande et belle demeure ancienne, deux salles ont étés aménagées pour l’occasion, celle du réveillon et l’autre garnie de matelas a même le sol où je vais donc me changer en compagnie des deux femmes qui me montre l’exemple et se dénudent sans complexes

- Tu va faire baver nos mecs avec un corps pareil Sophie !
- Mais ce soir tout est permis, elle nous en laissera tout de même un peu n’est-ce pas Sophie ?
- Mais je ne veux pas semer la zizanie dans vos couples !
- Qui vivra verras aller, habille toi bien qu’habiller soit un grand mot, tu garde ton slip Isa ?
- Il faut toujours garder un coin secret !
- Tu as raison, ils seront ravis de nous l’ôter
- Les hommes vont vous …
- Baiser ? c’est bien possible ! et n’importe laquelle d’entre nous !
- Sûrement pas moi, Gaël serait trop jaloux !
- Huuuuum-huuummm !! ne soit pas si affirmative !

Où ais- je mis les pieds ? Lorsque je rejoins les hommes qui se sont changés dans la salle je pouffe de rire, mon gaël en pagne, pieds nus, comme les autres, finalement ça leurs va bien cet accoutrement, c’est très … sexe, ils me regardent comme si j’étais la sainte vierge, mes seins comprimés dans une sorte de bol et mes hanches étroites où est accroché ce raphia qui tient comme par miracle et cache tout juste le string que j’ai mis ce soir je n’avais pas remarqué le patriarche revêtu d’une couronne sur la tête et une grande cape bien fermée sur le devant, serait-il nu dessous ? je m’attend a tout a cette soirée ! solennellement il prend la parole

- Mes chers enfants je déclare la soirée de la saint sylvestre ouverte, que la fête commence et ne se termine qu’au petit matin !
- Houurra ! tous a la buvette !

Et c’est a partir de là que tout a commencé … Gaël s’est servi un grand verre de punch et a allumé un joint fatalement ce qui devait arriver arriva, il est tombé comme une masse avant même de participer aux festivités, après avoir aidé à le coucher je me suis déchainée au rythme d’un tamouré cernée de prés... bien trop prés… par les deux hommes en pagnes sous l’œil égrillard du doyen, qu’importe, je frotte mon cul sur le pagne bien gonflé de celui qui me tient par les hanches tandis que celui qui me fait face est en contact direct avec mon bassin, leurs épouses se marrent sans être inquiétées de leurs comportements de plus en plus inquisiteur
Sans prévenir le danseur dans mon dos défait d’un coup sec la ficelle du pseudo soutien-gorge, mes seins libres font des bonds tantôt en rond tantôt de haut en bas, mes tétons érigés sont en correspondance directe avec ma chatte qui libère immédiatement sa mouille
Heureusement la fin du ‘cd’ me sauve d’une catastrophe inévitable, essoufflée je vais me rafraichir au bar suivie par les convives, mais le punch soule plus qu’il ne rafraichit, je suis bien dans ma tête et prête a tout

- Super la petite nouvelle, mesdames faites comme elle, balancez-moi ces soustings ridicules
- Voilà qui est fait et je rajoute mon slip !
- Moi aussi ! Sophie ? tu nous suis
- Permettez moi de le conserver jusqu’au réveil de mon amoureux
- Ok, mais j’ai bien peur ton amoureux soit cuit pour la nuit ! Hooooooooooonnnnnooooonnnnnnn !
- Rassure toi nous somment là !
- Ho les mecs laissez la respirer
- Elle nous a fait bander !
- Et alors ? branle-toi ! allez ont y retourne avant les douze coups de minuit
- Vous n’avez pas quelque chose de plus lent que le tamouré ?
- Un slow ! un slow pour Sophie !
- Qui va danser avec elle ?
- Moi ! je suis le seul célibataire ici !
- Échangeons nos maris

La lumière s’est tamisée je me suis retrouvée blottie entre les bras puissants du doyen à la cape
Ses mains électrisent mon dos et bien plus bas, il me colle sur un truc que j’ai fini par deviner, c’est simplement sa queue qui pousse entre les pans de la cape, il est donc bien a poil, énervée par le comportement de mon copain je ne cherche pas à éviter le contact je favorise même sa progression en jouant du bassin, mon cavalier prenant cela pour acquit me pelote carrément les fesses en me pressant sur son manche, ma vulve dégouline dans mon string, pour me faire une opinion du reste du groupe je risque un œil… c’est les lèvres collées a celle de leur cavalières que les danseurs fourragent parmi les raphia, alors je ne refuse pas les doigts qui virent mon string sur le coté, personnes ne respecte la musique, tout le monde est a l’arrêt pour se faire du bien , enveloppée par la cape c’est ce que je fais en frottant mes seins sur son torse velu, une barre s’introduit entre mes cuisses, je suis comme une sorcière assise sur son manche a balais, le nœud bandé pousse toujours plus loin l’étoffe de ma petite culotte dans ma chatte
Je vais l’aider à m’enfiler quand quelqu’un hurle que le décompte des douze coups vont bientôt débuter, cela me fais revenir a la réalité je dois rejoindre Gaël pour lui souhaiter une bonne année, a regret je me dégage de l’étreinte du tonton et file dans l’autre salle

- Où vas-tu petite sotte ? j’allais t’en mettre douze coups

Sans répondre je vais m’agenouiller prés de mon chéri qui râle encore sous l’emprise du cannabis et de l’alcool

- Chéri ! réveille toi il est minuit
- Rrrrraaaaaaaaaahhhmmmerrrrrdeeeee
- T’es un con !

Soudain quelqu'un dénude mes reins et baisse prestement ma culotte, aussitôt un dard s’immisce entre mes fesses

- Ne bouge plus petite sotte, écoute le décompte, je vais t’enfiler et décharger au douzième coup

Je ne peux que tendre la croupe a mon baiseur, tant pis pour Gaël, il est au premier rang ! le premier coup de bitte résonne en moi comme une séisme

- Un ! Deux ! trois ! … etc. etc. … et …DOUZE !! RRRRhhhhaaaaaaaaaaaaa bonne année Sophie !
- Hhhoooouuuuuuuaaaaaah je jooouuiiiiiiiiss !
- Hein ? que dis-tu chérie ?
- Tient, tu te réveille enfin ?
- Ben oui, que disait-tu ? si je n’étais pas bourré j’aurais juré que tu te faisais baiser !
- Tu as dut rêver
- Que fais le tonton derrière toi ?
- Il vient te souhaiter une bonne année
- Laisse-moi toucher ta cramouille
- Top-là, pas question, va prendre une douche tu t’es vomis dessus

Les deux couples, tous nus, font irruption dans la salle en braillant

- Vous nous laissez tomber ? Sophie, vient nous voir

Lorsque je me relève ma chatte laisse couler le trop plein du tonton le long de mes cuisses, je laisse la jupe en ficelles devenue superflue sur place et obéis aux femmes qui m’enlacent en cherchant ma bouche

- Tu sens le foutre, l’oncle avait du liquide à revendre ?
- Vous ne sentez pas la rose non plus !
- Nos hommes nous ont ramonée la cheminée pour la première fois de l’année, d’ailleurs ils aimeraient visiter la tienne, venez honorer Sophie les mecs
- Bouffez lui la craquette pendant qu’elle nous sucera

A peine allongée sur un matelas que deux bites se présentent au dessus de mon visage tandis qu’une bouche se ventouse a ma minette gluante, un dard dans chaque main je suce a tour de rôle les glands au goût et a l’odeur douteuse, celle qui attend sont tour pour me lécher la craquette se fait monter par l’oncle qui n’est pas là pour enfiler des perles !

- Continue à te faire pomper, moi j’ai envie de la baiser avant que Gaël ne revienne, pousse-toi de là chérie
- Alors je vais me faire sauter par ton oncle
- J’m’en fous ! a quatre pattes Sophie, tu as l’air d’apprécier la levrette, reprend l’autre verge en bouche

Prise au ‘tourne broche’ je reçois des bons coups de queues dans la moule qui me font avaler plus je ne le souhaite la bite prête à cracher son venin, j’entrevois la femme de mon amant s’empaler sur son beau frère allongé a mon coté tandis que l’oncle se prépare à la sodomiser, seuls le parfum de baise et les cris planent dans la salle devenue baisodrome, c’est a ce moment là que Gaël revient de la douche apparemment remit sur pieds

- Hébé les copains ? ont ne se fait pas chier ! ont profite de mon malaise pour baiser ma copine en douce ?
- Fallait pas te chouter mon vieux, tu passeras sur elle le dernier tu verras comme sa chatte est distendue après le passage de tonton !
- Vient baiser ta petite belle sœur Gaël, mon vagin n’attend plus que toi !
- Je préfère te sodomiser, j’en rêve depuis longtemps

Cette nuit là j’ai été prise douze fois, douze bonnes rasades de sperme au hasard de mes orifices, j’ai fais promettre a Gaël que nous rendions fréquemment visite a son oncle

Chers lecteurs, soyez indulgents j'ai écrit ce récit en catastrophe pour fêter la nouvelle année , meilleurs vœux a tous et merci de votre fidelité