Dream a Little Dream
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 123 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Arnaud Desens ont reçu un total de 756 472 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 990 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Dream a Little Dream
Comme souvent le vendredi après-midi, j'étais presque seule dans la salle de la bibliothèque. Installée à ma place préférée, dos à la grande baie vitrée donnant sur le campus, écouteur aux oreilles, j'écoutais les cours du matin et complétais mes notes peu fournies.
Elle n'était pas derrière son comptoir. J'en fus un peu déçue, mais surtout soulagé ne sachant pas ce que j'aurais pu lui dire. J'avais essayé de répéter un petit speech sur le trajet, mais tous mes mots semblaient creux, sonnaient faux. Je m'étais dit qu'une fois sur place je trouverais les mots justes. Elle n'était pas là. À sa place, un grand type à lunettes plié en deux devant l'écran de son portable.
Les mots sortaient de mes écouteurs, glissaient dans mes oreilles sans imprégner mon cerveau. Mon esprit était trop occupé à vagabonder du côté des histoires érotiques de Camille. En lieu et place des concepts qu'énonçaient les voix enregistrées, mon esprit se remplissait des images des aventures sexuelles de mon amie. Je la voyais en train de se faire prendre par ses jumeaux. Son corps dégoulinant de sueur sous les assauts conjoints de deux grands types qui dans mon esprit avaient les traits de Jude Law. Je l'imaginais les suçant tour à tour avec la lueur coquine que je lui avais vue plus tôt quand elle m'avait raconté son histoire.
Puis, subtilement, d'autres images prirent la place du trio. Camille restait seule. Toujours nue. Bronzant sur la terrasse de son grand appartement que ses parents lui avaient payé.
Je l'avais déjà vue alanguie sur un transat, offrant son corps nu aux rayons encore chauds du soleil de septembre. J'avais dormi chez elle après une soirée trop arrosée. Au réveil, avançant au radar, je l'avais découverte sur sa terrasse. Elle ne s'en était pas offusquée, n'avait pas cherché a se couvrir et toujours nue, m'avait accompagnée dans la cuisine pour me préparer un casse-croute.
Je l'imaginais venant m'ouvrir nue. Répondant à l'invitation qu'elle m'avait lancée un peu plus tôt, et qui ne laissait planer aucun doute sur ses intentions. Alors, dans mon fantasme, une fois la porte ouverte, je me jetais sur elle, la plaquais contre le mur et l'embrassais à pleine bouche. Sa langue aurait le gout d'un soda, ou d'un jus de fruit. La chaleur de son corps traverserait mon tee-shirt. Je l'ôterais pour mieux la sentir, mieux en profiter, et pleinement sentir aussi ses seins venir s'écraser sur les miens. Elle rirait en s'écartant. Un rire complice. Un rire en cascade. Un rire pour dire qu'elle m'attendait sans trop y croire et que maintenant elle ne me laisserait pas partir comme ça. Alors je la suivrais jusque dans sa chambre, la laisserais m'asseoir sur son lit, me retirer mon jean, et ma culotte trempée de désir. Ses doigts glisseraient sur mes cuisses, remonteraient jusqu'à mon sexe, s'y introduiraient doucement. Je me renverserais sur son lit, écarterais un peu plus les cuisses pour m'offrir à sa bouche, sa langue. Je l'accueillerais d'un cri étouffé, et d'un rire de plaisir. Puis...
Une main posée sur mon épaule mit fin à mon fantasme. Je poussais un cri de surprise. Me tournais vers pour la découvrir. Elle.
Ma bibliothécaire.
Elle n'était pas derrière son comptoir. J'en fus un peu déçue, mais surtout soulagé ne sachant pas ce que j'aurais pu lui dire. J'avais essayé de répéter un petit speech sur le trajet, mais tous mes mots semblaient creux, sonnaient faux. Je m'étais dit qu'une fois sur place je trouverais les mots justes. Elle n'était pas là. À sa place, un grand type à lunettes plié en deux devant l'écran de son portable.
Les mots sortaient de mes écouteurs, glissaient dans mes oreilles sans imprégner mon cerveau. Mon esprit était trop occupé à vagabonder du côté des histoires érotiques de Camille. En lieu et place des concepts qu'énonçaient les voix enregistrées, mon esprit se remplissait des images des aventures sexuelles de mon amie. Je la voyais en train de se faire prendre par ses jumeaux. Son corps dégoulinant de sueur sous les assauts conjoints de deux grands types qui dans mon esprit avaient les traits de Jude Law. Je l'imaginais les suçant tour à tour avec la lueur coquine que je lui avais vue plus tôt quand elle m'avait raconté son histoire.
Puis, subtilement, d'autres images prirent la place du trio. Camille restait seule. Toujours nue. Bronzant sur la terrasse de son grand appartement que ses parents lui avaient payé.
Je l'avais déjà vue alanguie sur un transat, offrant son corps nu aux rayons encore chauds du soleil de septembre. J'avais dormi chez elle après une soirée trop arrosée. Au réveil, avançant au radar, je l'avais découverte sur sa terrasse. Elle ne s'en était pas offusquée, n'avait pas cherché a se couvrir et toujours nue, m'avait accompagnée dans la cuisine pour me préparer un casse-croute.
Je l'imaginais venant m'ouvrir nue. Répondant à l'invitation qu'elle m'avait lancée un peu plus tôt, et qui ne laissait planer aucun doute sur ses intentions. Alors, dans mon fantasme, une fois la porte ouverte, je me jetais sur elle, la plaquais contre le mur et l'embrassais à pleine bouche. Sa langue aurait le gout d'un soda, ou d'un jus de fruit. La chaleur de son corps traverserait mon tee-shirt. Je l'ôterais pour mieux la sentir, mieux en profiter, et pleinement sentir aussi ses seins venir s'écraser sur les miens. Elle rirait en s'écartant. Un rire complice. Un rire en cascade. Un rire pour dire qu'elle m'attendait sans trop y croire et que maintenant elle ne me laisserait pas partir comme ça. Alors je la suivrais jusque dans sa chambre, la laisserais m'asseoir sur son lit, me retirer mon jean, et ma culotte trempée de désir. Ses doigts glisseraient sur mes cuisses, remonteraient jusqu'à mon sexe, s'y introduiraient doucement. Je me renverserais sur son lit, écarterais un peu plus les cuisses pour m'offrir à sa bouche, sa langue. Je l'accueillerais d'un cri étouffé, et d'un rire de plaisir. Puis...
Une main posée sur mon épaule mit fin à mon fantasme. Je poussais un cri de surprise. Me tournais vers pour la découvrir. Elle.
Ma bibliothécaire.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Arnaud Desens
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours aussib bien vos récits, dommage qu'il soit court celui là car je les attends avec impatience !