dressage
Récit érotique écrit par c-levis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
dressage
Dressage I
Chère amie. Comme vous me l’avez demandé, voici un premier scénario de dressage que je pourrais imposer à ton mari afin de lui éviter un divorce qui lui ferait perdre toute la fortune de ton père.
Crois moi, il n’aura pas le choix et devra obligatoirement se soumettre à chacune de mes volontés, puis bientôt des tiennes. Car, bien sûr l’objectif est que très rapidement ce soit toi qui le mène à la baguette et lui fasse définitivement passer l’envie d’aller voir ailleurs.
Voici ce qu’il subira lors de sa première séance :
« -Entrez, hurlai-je sèchement lorsqu’il sonna à la porte.
Il hésita une seconde devant la porte. Il pouvait encore faire demi-tour. Rien ni personne ne pouvait le forcer à entrer dans l’appartement de cette inconnue dont il savait simplement que c’était une dominatrice renommée. Lui, un homme, un vrai, un macho aimant particulièrement dominer de faibles femmes, comme la sienne se retrouvait dans une situation ambiguë et détestable. Cette femme s’était procuré, on ne sait comment, des photos très compromettantes pour lui. On le voyait faire l’amour avec une femme qui n’était pas la sienne. Dans son courrier, celle-ci précisait que les originales de ces photos seraient immédiatement envoyées à son beau père s’il ne venait pas au rendez-vous et ne se pliait pas à toutes les exigences de sa nouvelle maîtresse.
« -Bonjour, murmura-t-il »
« -Bonjour, Maîtresse, hurlai-je. Nous allons jouer à un petit jeu très drôle…Enfin, peut-être pas pour toi. Tu vas être mon petit chien. Or un chien n’a pas d’habits, alors A POIL !… »
Il bredouilla deux, trois mots, mais je lui fis rapidement remarquer qu’il n’avait rien à dire sauf s’il préférait que les photos arrivent entre de mauvaises mains. Il se mit rapidement à exécution.
Lorsqu’il fut entièrement nu, après m’être moqué de la petitesse de son sexe, je le fis mettre à quatre pattes et lui demandais d’aboyer comme un bon petit chien.
« -Tu vas m’emmener en promenade. »
Je montais sur son dos en prenant soin d’écarter ma jupe pour bien faire entrer en contact le fonds de ma culotte (très sale et mouillée, bien sur) sur son dos nu. Avec une petite baguette, je lui tapais sur les fesses pour le faire avancer tout autour de la pièce tout en l’insultant régulièrement.
Je descendis ensuite de son dos et vins m’accroupir devant lui en prenant soin que sa vue soit inévitablement attirée par mon entrejambe ouvert.
« -Donne ta patte, fais le beau, assis, debout, etc… » je lui donne toutes sortes d’ordres auxquels il n’a d’autre choix que d’obéir.
Au bout d’un moment :
« -Mais qu’est-ce que tu regardes ? »
Je répèterais cette question plusieurs fois en lui tirant les cheveux.
« -Rien, Maîtresse, je vous jure, rien. »
« -Tu regardes ma culotte, sale chien et en plus tu me mens. Tu as mérité une grosse punition. Elle te plait ma culotte, tu veux la voir de très près ?»
« -Non, Maîtresse, je vous jure, je regardais pas. »
« -Je ne veux plus t’entendre. Je vais te mettre une muselière. »
Je me mets debout devant lui.
« -Allez, viens m’enlever ma culotte. Avec tes dents, sans les mains. »
Et de plus en plus ridicule, ton mari glissera sa tête sous ma jupe et attrapera ma culotte maladroitement avec ses dents et tout doucettement en s’y reprenant à plusieurs reprises, il fait glisser le doux tissu le long de mes jambes, sous mes insultes répétées.
« -Attrape le fonds, maintenant, idiot. »
Je soulevais chacun de mes pieds pour lui permettre enfin de sortir l’étoffe blanche. Il la tenait maintenant ridiculement au bout de ses dents. Je lui repris et la plaçais doucement sur sa tête en lui coinçant le passage des jambes derrière les oreilles et en lui plaçant exactement le fonds, l’endroit le plus sale, le plus humide sur le nez et la bouche.
« -Ah,, Ah, Ah. Je ne pouvais pas retenir la crise de rire qu’il m’inspirait dans cette tenue stupide. »
Je remontais sur son dos en prenant soin de bien mettre en contact ma vulve nue et désormais détrempée sur son dos nu et je lui fis de nouveau faire le tour de la pièce. Je me penchais en avant et lui enfonçait profondément la culotte sale au fonds de la bouche :
« -Vas-y mon toutou, lèche bien. C’est bon, hein ? Réponds ! »
« -Uhm, Uhm, marmonna-t-il. » me provocant une nouvelle crise de rire.
« -Tout cela a du te donner soif ? Tu as soif ? Tu veux boire ? »
« -Oui, Maîtresse. »
« -Et bien, on va te donner à boire. Mais avant, tu vas m’aider à faire mon pipi. J’ai trop envie. »
A-t-il senti le piège ? Même pas sûr.
Je m’installais à cheval sur deux chaises et lui demandais de tenir juste sous moi la bassine que j’allais essayer de remplir au maximum.
« -Regarde bien mon petit jet mon chéri. Tu vois comme c’est beau quand ta Maîtresse fait son pipi pour toi, rien que pour toi. »
Je fis durer le plaisir par de petits jets de pisse qu’il regardait avidement. Lorsque j’eus fini, je lui fis poser la bassine par terre et me relevais.
« -Allez, à quatre pattes, sale chien. Tu as toujours soif ? Alors lape. Vas-y lape. »
Sous mes menaces, il dut s’exécuter et doucement lapa dans le fonds de la bassine le chaud liquide jaunâtre.
« - Encore, hurlai-je. Tu ne dois rien laisser. »
Puis, quand il eut tout avalé, je me remis à quatre pattes sur les deux chaises en tendant mon cul au maximum.
« -Viens me lécher maudit clébard, tous les chiens adorent le cul de leur femelle. »
Il dut venir derrière moi et me lécher la vulve que je lui ouvrais largement. Puis ce fut le tour de l’anus qu’il dut nettoyer de fonds en comble alors qu’il était d’une saleté redoutable.
Enfin, il fut autorisé à me pénétrer, mais surtout pour mon plaisir à moi. Durant tout le temps du coït, il garda dans sa bouche le beau tissu blanc…
Chère amie. Comme vous me l’avez demandé, voici un premier scénario de dressage que je pourrais imposer à ton mari afin de lui éviter un divorce qui lui ferait perdre toute la fortune de ton père.
Crois moi, il n’aura pas le choix et devra obligatoirement se soumettre à chacune de mes volontés, puis bientôt des tiennes. Car, bien sûr l’objectif est que très rapidement ce soit toi qui le mène à la baguette et lui fasse définitivement passer l’envie d’aller voir ailleurs.
Voici ce qu’il subira lors de sa première séance :
« -Entrez, hurlai-je sèchement lorsqu’il sonna à la porte.
Il hésita une seconde devant la porte. Il pouvait encore faire demi-tour. Rien ni personne ne pouvait le forcer à entrer dans l’appartement de cette inconnue dont il savait simplement que c’était une dominatrice renommée. Lui, un homme, un vrai, un macho aimant particulièrement dominer de faibles femmes, comme la sienne se retrouvait dans une situation ambiguë et détestable. Cette femme s’était procuré, on ne sait comment, des photos très compromettantes pour lui. On le voyait faire l’amour avec une femme qui n’était pas la sienne. Dans son courrier, celle-ci précisait que les originales de ces photos seraient immédiatement envoyées à son beau père s’il ne venait pas au rendez-vous et ne se pliait pas à toutes les exigences de sa nouvelle maîtresse.
« -Bonjour, murmura-t-il »
« -Bonjour, Maîtresse, hurlai-je. Nous allons jouer à un petit jeu très drôle…Enfin, peut-être pas pour toi. Tu vas être mon petit chien. Or un chien n’a pas d’habits, alors A POIL !… »
Il bredouilla deux, trois mots, mais je lui fis rapidement remarquer qu’il n’avait rien à dire sauf s’il préférait que les photos arrivent entre de mauvaises mains. Il se mit rapidement à exécution.
Lorsqu’il fut entièrement nu, après m’être moqué de la petitesse de son sexe, je le fis mettre à quatre pattes et lui demandais d’aboyer comme un bon petit chien.
« -Tu vas m’emmener en promenade. »
Je montais sur son dos en prenant soin d’écarter ma jupe pour bien faire entrer en contact le fonds de ma culotte (très sale et mouillée, bien sur) sur son dos nu. Avec une petite baguette, je lui tapais sur les fesses pour le faire avancer tout autour de la pièce tout en l’insultant régulièrement.
Je descendis ensuite de son dos et vins m’accroupir devant lui en prenant soin que sa vue soit inévitablement attirée par mon entrejambe ouvert.
« -Donne ta patte, fais le beau, assis, debout, etc… » je lui donne toutes sortes d’ordres auxquels il n’a d’autre choix que d’obéir.
Au bout d’un moment :
« -Mais qu’est-ce que tu regardes ? »
Je répèterais cette question plusieurs fois en lui tirant les cheveux.
« -Rien, Maîtresse, je vous jure, rien. »
« -Tu regardes ma culotte, sale chien et en plus tu me mens. Tu as mérité une grosse punition. Elle te plait ma culotte, tu veux la voir de très près ?»
« -Non, Maîtresse, je vous jure, je regardais pas. »
« -Je ne veux plus t’entendre. Je vais te mettre une muselière. »
Je me mets debout devant lui.
« -Allez, viens m’enlever ma culotte. Avec tes dents, sans les mains. »
Et de plus en plus ridicule, ton mari glissera sa tête sous ma jupe et attrapera ma culotte maladroitement avec ses dents et tout doucettement en s’y reprenant à plusieurs reprises, il fait glisser le doux tissu le long de mes jambes, sous mes insultes répétées.
« -Attrape le fonds, maintenant, idiot. »
Je soulevais chacun de mes pieds pour lui permettre enfin de sortir l’étoffe blanche. Il la tenait maintenant ridiculement au bout de ses dents. Je lui repris et la plaçais doucement sur sa tête en lui coinçant le passage des jambes derrière les oreilles et en lui plaçant exactement le fonds, l’endroit le plus sale, le plus humide sur le nez et la bouche.
« -Ah,, Ah, Ah. Je ne pouvais pas retenir la crise de rire qu’il m’inspirait dans cette tenue stupide. »
Je remontais sur son dos en prenant soin de bien mettre en contact ma vulve nue et désormais détrempée sur son dos nu et je lui fis de nouveau faire le tour de la pièce. Je me penchais en avant et lui enfonçait profondément la culotte sale au fonds de la bouche :
« -Vas-y mon toutou, lèche bien. C’est bon, hein ? Réponds ! »
« -Uhm, Uhm, marmonna-t-il. » me provocant une nouvelle crise de rire.
« -Tout cela a du te donner soif ? Tu as soif ? Tu veux boire ? »
« -Oui, Maîtresse. »
« -Et bien, on va te donner à boire. Mais avant, tu vas m’aider à faire mon pipi. J’ai trop envie. »
A-t-il senti le piège ? Même pas sûr.
Je m’installais à cheval sur deux chaises et lui demandais de tenir juste sous moi la bassine que j’allais essayer de remplir au maximum.
« -Regarde bien mon petit jet mon chéri. Tu vois comme c’est beau quand ta Maîtresse fait son pipi pour toi, rien que pour toi. »
Je fis durer le plaisir par de petits jets de pisse qu’il regardait avidement. Lorsque j’eus fini, je lui fis poser la bassine par terre et me relevais.
« -Allez, à quatre pattes, sale chien. Tu as toujours soif ? Alors lape. Vas-y lape. »
Sous mes menaces, il dut s’exécuter et doucement lapa dans le fonds de la bassine le chaud liquide jaunâtre.
« - Encore, hurlai-je. Tu ne dois rien laisser. »
Puis, quand il eut tout avalé, je me remis à quatre pattes sur les deux chaises en tendant mon cul au maximum.
« -Viens me lécher maudit clébard, tous les chiens adorent le cul de leur femelle. »
Il dut venir derrière moi et me lécher la vulve que je lui ouvrais largement. Puis ce fut le tour de l’anus qu’il dut nettoyer de fonds en comble alors qu’il était d’une saleté redoutable.
Enfin, il fut autorisé à me pénétrer, mais surtout pour mon plaisir à moi. Durant tout le temps du coït, il garda dans sa bouche le beau tissu blanc…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour, Votre histoire m'a bousculé car elle mélange des choses que j'ai vécues (voir les textes que j'ai moi-même publiés sur ce site) et d'autres que j'ai envie de vivre...
Humm ça donne soif!!!…
C’est limite de la maltraitante non comme si là mec avec 1 petite bite pourrait niquer tout le quartier !!!
Le plus simple c’est de divorcer plutôt que de traiter le mec comme ça.
Enfin c’est de l’hypocrisie quoi.
Le plus simple c’est de divorcer plutôt que de traiter le mec comme ça.
Enfin c’est de l’hypocrisie quoi.