dressage d'une salope
Récit érotique écrit par ALLOPOUA [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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dressage d'une salope
Il y a deux ans de cela lors d’un séjour à Strasbourg pour un séminaire, j’ai vécu une expérience inoubliable avec une jeune fille de la région. Tout a commencé lors d’une soirée en l’honneur des séminaristes organisée dans une discothèque.
Il y avait du beau monde. C’était une boîte très fréquentée par la gente féminine. Inutile de dire qu’elles y étaient en nombre incalculable !
La soirée battait son plein, la boisson coulait à flot et les sens se libérés petit à petit. On se laissait aller un peu sous l’effet de l’alcool à certains attouchements entre adultes.
Assis dans mon coin sirotant un verre de cognac, j’appréciai les filles qui se trémoussaient au son de la musique sur la piste de danse. Parmi elles, une jeune fille brune d’une vingtaine, habillée de manière très sexy attira mon attention.
Elle portait une mini robe rouge moulante à ras les fesses et était perchée sur des hauts talons. Elle avait de belles et longues jambes. Un sourire radieux éclairait son visage d’ange et d’innocence. Sans se soucier des regards au demeurant vicieux qui se portaient sa silhouette frêle, elle dansait à son aise et me lançait de temps à temps un sourire coquin quand nos regards se croisaient. Cela dura presque tout le temps qu’elle dansait. J’eus une forte envie de la rejoindre pour danser avec elle, mais j’étais hésitant…
Et comme si l’animateur devinait mes pensées, il mit une musique zouk. Je me dis qu’il fallait tenter ma chance. Alors courageusement je me levai de mon siège et me suis dirigé vers elle lui proposant d’être son cavalier.
« Ah il était temps ! » me dit-elle. Cette phrase m’encouragea et nous dansâmes langoureusement serré l’un contre l’autre sans mot dire.
Puis après quelques minutes je lui proposai de s’asseoir pour boire un verre et faire mieux connaissance. Ce qu’elle accepta avec empressement.
Nous nous installâmes confortablement dans un canapé et tout en buvant une petite liqueur nous parlions de tout et de rien.
A son troisième verre, elle m’avoua que depuis quelques temps elle fantasmait de faire l’amour avec un black, car disait-elle : « il paraît qu’ils sont bine membrés ! »
Flatté par cette remarque, je saisi la balla au bond et lui dit qu’elle ne regrettera de faire l’amour avec moi. Elle me glissa à l’oreille qu’elle aimerait bien voir ça. Il faut être bête pour refuser une offre pareille ! Aussitôt je lui proposai de regagner ma chambre d’hôtel pour lui monter de quoi les black son capables.
Nous sortîmes donc de la boîte après qu’elle ait récupéré un sac dans les vestiaires. Voulant jouer les hommes galants, j’accrochai le sac à mon épaule. Il était un peu lourd. Elle me dit qu’il contenait ses accessoires de baise !
Une fois à l’intérieur de ma chambre, je me précipitai pour renverser le contenu de ce fameux sac sur mon lit. Ma surprise fut agréable : le sac contenait une laisse, des vibro-masseurs de toutes sortes, des gadgets anaux, des menottes un fouet et plusieurs autres accessoires pour atteindre en l’espace de 5 minutes le 7è ciel !
Sans ce gêner, Carolina (c’est ainsi qu’elle s’appelle) me fit la confidence, qu’elle se trouvait à cette discothèque dans le but de dégoter un bon black qui la prendrait bien en mains, car elle est une petite salope vicieuse et insolente à la recherche d’un maître très dominateur pour la dresser!
Il ne fallut pas longtemps pour que ma queue se dresse automatiquement et que mes instincts de dominateur se mettent en place ! « Une petite salope qui veut être bien dressée ? Et bien elle en aura pour son compte » me suis-je dis.
Les dés étaient jetés il fallait passer à l’acte. Investi dans mes nouvelles fonctions de dominateur que dis-je de dresseur de salope insolente, je ne tardai pas à lui montrer de quel bois je me chauffe.
Je l’ai saisie par taille et nous nous embrassâmes vigoureusement, passionnément pendant une dizaine de minutes.
Puis je lui ai intimai l’ordre de se mettre à quatre pattes telle une chienne et de bien mettre en évidence son cul ! Fidèle à son caractère de salope insolente, elle refusa de s’exécuter. Je lui envoyai une claque sur les fesses, et la força à se mettre à quatre pattes en enfonçant mes doigts dans sa chatte. Quand elle fut dans cette position, je déchirai avec force sa culotte toute mouillée et l’enfonça dans sa bouche. Elle prenait un grand plaisir à tel traitement.
Je pris rapidement un pug que j’enfonçai dans son anus d’une main tandis que de l’autre main, je continuais la fouille de sa chatte. Ce manège dura quelques instants jusqu’à ce qu’elle eut un premier orgasme. Elle criait, me suppliant de la baiser, de la défoncer avec ma grosse queue.
Mais j’avais un autre programme pour elle. Je lui mis la laisse au cou et la fis promener dans la chambre à quatre pattes telle une chienne docile, le cul bien cambré.
Elle semblait se plaire dans son état de chienne. Je lui ordonnai de me faire une pipe elle s’appliqua à le faire, jusqu’à me lécher l’anus.
Cette fille était bonne, n’en pouvant plus, j’écartai ses fesses et d’un coup sec je m’introduisis au plus profond de son anus. Je la défonçais dans toutes les positions, la traitant de trainée. Elle adorait ça et m’encourageait à abuser d’elle. Au bout d’une vingtaine de minutes je me sentis venir je me retirai aussitôt et lui ordonna d’ouvrir sa gueule. Je n’eus pas le temps d’y éjaculer. Tout mon liquide se retrouva par terre. J’attrapai ses cheveux et la forçai à laper le sol pour nettoyer de sa langue le sperme. Elle le fit avec joie et empressement. Elle demanda encore. Toute la nuit nous baisâmes comme des animaux.
Elle devint ainsi ma salope soumise. Il ya plusieurs aventures que nous avons vécu que je vous raconterai au moment opportun.
Il y avait du beau monde. C’était une boîte très fréquentée par la gente féminine. Inutile de dire qu’elles y étaient en nombre incalculable !
La soirée battait son plein, la boisson coulait à flot et les sens se libérés petit à petit. On se laissait aller un peu sous l’effet de l’alcool à certains attouchements entre adultes.
Assis dans mon coin sirotant un verre de cognac, j’appréciai les filles qui se trémoussaient au son de la musique sur la piste de danse. Parmi elles, une jeune fille brune d’une vingtaine, habillée de manière très sexy attira mon attention.
Elle portait une mini robe rouge moulante à ras les fesses et était perchée sur des hauts talons. Elle avait de belles et longues jambes. Un sourire radieux éclairait son visage d’ange et d’innocence. Sans se soucier des regards au demeurant vicieux qui se portaient sa silhouette frêle, elle dansait à son aise et me lançait de temps à temps un sourire coquin quand nos regards se croisaient. Cela dura presque tout le temps qu’elle dansait. J’eus une forte envie de la rejoindre pour danser avec elle, mais j’étais hésitant…
Et comme si l’animateur devinait mes pensées, il mit une musique zouk. Je me dis qu’il fallait tenter ma chance. Alors courageusement je me levai de mon siège et me suis dirigé vers elle lui proposant d’être son cavalier.
« Ah il était temps ! » me dit-elle. Cette phrase m’encouragea et nous dansâmes langoureusement serré l’un contre l’autre sans mot dire.
Puis après quelques minutes je lui proposai de s’asseoir pour boire un verre et faire mieux connaissance. Ce qu’elle accepta avec empressement.
Nous nous installâmes confortablement dans un canapé et tout en buvant une petite liqueur nous parlions de tout et de rien.
A son troisième verre, elle m’avoua que depuis quelques temps elle fantasmait de faire l’amour avec un black, car disait-elle : « il paraît qu’ils sont bine membrés ! »
Flatté par cette remarque, je saisi la balla au bond et lui dit qu’elle ne regrettera de faire l’amour avec moi. Elle me glissa à l’oreille qu’elle aimerait bien voir ça. Il faut être bête pour refuser une offre pareille ! Aussitôt je lui proposai de regagner ma chambre d’hôtel pour lui monter de quoi les black son capables.
Nous sortîmes donc de la boîte après qu’elle ait récupéré un sac dans les vestiaires. Voulant jouer les hommes galants, j’accrochai le sac à mon épaule. Il était un peu lourd. Elle me dit qu’il contenait ses accessoires de baise !
Une fois à l’intérieur de ma chambre, je me précipitai pour renverser le contenu de ce fameux sac sur mon lit. Ma surprise fut agréable : le sac contenait une laisse, des vibro-masseurs de toutes sortes, des gadgets anaux, des menottes un fouet et plusieurs autres accessoires pour atteindre en l’espace de 5 minutes le 7è ciel !
Sans ce gêner, Carolina (c’est ainsi qu’elle s’appelle) me fit la confidence, qu’elle se trouvait à cette discothèque dans le but de dégoter un bon black qui la prendrait bien en mains, car elle est une petite salope vicieuse et insolente à la recherche d’un maître très dominateur pour la dresser!
Il ne fallut pas longtemps pour que ma queue se dresse automatiquement et que mes instincts de dominateur se mettent en place ! « Une petite salope qui veut être bien dressée ? Et bien elle en aura pour son compte » me suis-je dis.
Les dés étaient jetés il fallait passer à l’acte. Investi dans mes nouvelles fonctions de dominateur que dis-je de dresseur de salope insolente, je ne tardai pas à lui montrer de quel bois je me chauffe.
Je l’ai saisie par taille et nous nous embrassâmes vigoureusement, passionnément pendant une dizaine de minutes.
Puis je lui ai intimai l’ordre de se mettre à quatre pattes telle une chienne et de bien mettre en évidence son cul ! Fidèle à son caractère de salope insolente, elle refusa de s’exécuter. Je lui envoyai une claque sur les fesses, et la força à se mettre à quatre pattes en enfonçant mes doigts dans sa chatte. Quand elle fut dans cette position, je déchirai avec force sa culotte toute mouillée et l’enfonça dans sa bouche. Elle prenait un grand plaisir à tel traitement.
Je pris rapidement un pug que j’enfonçai dans son anus d’une main tandis que de l’autre main, je continuais la fouille de sa chatte. Ce manège dura quelques instants jusqu’à ce qu’elle eut un premier orgasme. Elle criait, me suppliant de la baiser, de la défoncer avec ma grosse queue.
Mais j’avais un autre programme pour elle. Je lui mis la laisse au cou et la fis promener dans la chambre à quatre pattes telle une chienne docile, le cul bien cambré.
Elle semblait se plaire dans son état de chienne. Je lui ordonnai de me faire une pipe elle s’appliqua à le faire, jusqu’à me lécher l’anus.
Cette fille était bonne, n’en pouvant plus, j’écartai ses fesses et d’un coup sec je m’introduisis au plus profond de son anus. Je la défonçais dans toutes les positions, la traitant de trainée. Elle adorait ça et m’encourageait à abuser d’elle. Au bout d’une vingtaine de minutes je me sentis venir je me retirai aussitôt et lui ordonna d’ouvrir sa gueule. Je n’eus pas le temps d’y éjaculer. Tout mon liquide se retrouva par terre. J’attrapai ses cheveux et la forçai à laper le sol pour nettoyer de sa langue le sperme. Elle le fit avec joie et empressement. Elle demanda encore. Toute la nuit nous baisâmes comme des animaux.
Elle devint ainsi ma salope soumise. Il ya plusieurs aventures que nous avons vécu que je vous raconterai au moment opportun.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Voilà un beau début qui me met l'eau à la bouche ! À quand la suite ,
Pas assez excitant !
bof