dressée pour jouir - nouvel an
Récit érotique écrit par Aznalune [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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dressée pour jouir - nouvel an
Décembre 199.
Jo est maintenant épanouie, sereine avec le sexe et ses envies, et elle voudrait se lancer elle-même dans le tourbillon du plaisir.
Sophie m’a donné l’adresse d’un club libertin dans le département voisin et quelques jours plus tard je reçois une invitation à une soirée « tout est permis » pour le réveillon du nouvel an, accompagnée de nos numéros d’invités 34 noir pour moi et rose pour Jo.
Jo est ravie et tout excitée quand je lui dis que j’ai réservé pour cette soirée très sexy, dîner, soirée surprise et hôtel sur place.
Le 31 vers 2oh, nous arrivons à l’hôtel particulier où nous nous installons ; Jo fini de se préparer, maquillage, coiffure etc …elle a mis pour l’occasion une splendide robe rouge sang, dos nu, largement fendue devant et derrière, ce qui donne une vue féerique de ses jambes gainées de bas noirs soutenus par un porte-jarretelles encadrant un string noir lui aussi, chaque fois qu’elle fait un pas sur ses hauts escarpins rouges pailletés on voit le haut de ses cuisses et plus. Une petite veste de velours noir protège ses épaules du froid nocturne.
A 21h, nous descendons dans la grande salle où cocktails et champagne coulent à profusion, nous trouvons nos places numérotées par des petits pavés et commençons la soirée comme tout le monde, en dansant. En fait, nous ne sommes qu’une trentaine de convives. Le succulent repas est servi vers 11h et l’alcool aidant, la soirée s’anime un peu. Je sens Jo décontractée, « souple » mais impatiente.
Pendant que nous dansons un slow anté-diluvien, je lui demande d’aller aux toilettes et de mettre son string à l’envers, la ficelle dans sa chatte. Elle est un peu réticente comme d’habitude mais cède à ma demande et reviens bientôt dans mes bras sous les regards de certains mâles et femelle, elle me regarde et son regard pétille quand elle met son string dans ma poche.
Au dessert, le maître d’hôtel distribue à chaque convive des loups brillants et annonce un premier jeu de société , les pavés numéros des places sont ramassés par l’animateur, puis ils sont remis au hasard devant chaque convive ; « Maintenant mesdames, messieurs vous allez vous placer à votre numéro d’invitation. »
Dans un tourbillon de rires agrémenté par la musique, chacun cherche son numéro. Le mien s’est décalé de quelques places sur la gauche, mais celui de Jo se retrouve en face, de l’autre côté de la salle. A ma gauche, une charmante blondinette, apeurée, qui m’explique que son mari est maintenant en face, à droite de la dame en rouge (c’est Jo) qui a un deuxième encadrant à sa gauche. Ma voisine a aussi un jeune homme à sa gauche, mais il l’intimide par sa carrure.
Tout le monde n’est pas logé à la même enseigne, le sort à fait aussi des paquets d’hommes et de femmes.
Les « groupes » font connaissance tant bien que mal, le champagne toujours servi à profusion, l’ambiance monte rapidement, les rires fusent de toutes parts.
Un animateur masqué reprend le micro et annonce « maintenant, place au quart-d’heure mystère, que la fête commence, « tout est permis, mais quand je dis stop, on arrête ! », et la salle se trouve plongée dans une pénombre rouge surréaliste. Ma voisine se penche soudain vers moi et me dit paniquée « mon voisin de droite, il vient de mettre sa main entre mes cuisses et essaie de toucher ma chatte » je lui prends le menton et lui tourne la tête vers son mari, qui embrasse Jo à pleine bouche, sa main plongée entre ses cuisses grandes ouvertes.
Elle se tourne alors vers moi et m’offre sa bouche, je la couche sur mes genoux, permettant a notre voisin de la trousser, lui enlever sa culotte, lui relever les genoux et plonger sa langue dans sa toison taillée bien court. Notre petite timide se laisse faire et commence à geindre doucement, je lui ai sorti ses petits seins tout durcis d’excitation. Elle se tourne bientôt pour sortir mon sexe et le sucer maladroitement de par sa position, mais me fait rapidement jouir dans sa bouche.
De mon côté, je ne perds rien de ce qui se passe en face, Jo a été mise sur la table, et le mari de ma petite suceuse est en train de la baiser sans retenue, faisant vibrer la table à chaque coup de rein.
Quand notre petite voisine voit son mari besogner ainsi Jo, elle se lève, repousse le costaud sur sa chaise, défait sa barguette et en sort un mandrin monstrueux qu’elle mouille avec sa bouche, puis se met a califourchon dessus et s’empale en hurlant à pleins poumons « tiens salaud, moi aussi je baise… » et elle se conduit elle-même à l’orgasme, bouche soudée à celle de sa monture.
Jo est maintenant à plat ventre sur la table, fesses à l’air, un homme bien monté s’approche pour la saillir, elle me regarde en souriant guidant son étalon vers sa chatte, mais l’animateur arrête tout le monde en rallumant la lumière, ce qui provoque certains cris de frustrations ou de colère devant certains spectacles.
« Stop, stop, regagnez vos places initiales svp, la soirée surprise continue, et le dessert est servi ! »
Notre petite voisine est descendue de son destrier, lequel a maintenant une belle auréole sur son pantalon qu’essuie avec application sa femme, détendue après s’être fait copieusement sucer par deux invitées. Le baiseur de Jo est en train d’embrasser sa femme enchâssée sur son pouce et qui jouit en gémissant « salaud, salaud encore… » ils semblent réconciliés.
Jo est blottie contre moi, langoureuse, elle me dit « je suis bien, je crois que ce soir je suis prête à faire tout ce que tu me diras de faire».
Je l’embrasse en lui caressant les seins gonflés « on verra mon cœur, on verra bien si tu es enfin libérée ; si c’est le cas, tu auras tout le plaisir que tu réclameras ».
Partout dans la salle, les mêmes scènes amoureuses ou orageuses pour les frustrés, tandis que du personnel installe au milieu des tables une petite estrade ronde avec deux poufs blancs et une chaise, le tout violemment éclairé. Au fond, derrière les convives, un écran géant fait son apparition.
L’animateur masqué s’avance dans la salle et comme monsieur Loyal tire un papier d’un chapeau haut de forme posé sur l’estrade et lance dans son micro « Et maintenant mesdames et messieurs, je vais demander à la femme porteuse du n°28 de se présenter à moi ».
Une grande blonde, visage quelconque mais avec un corps splendide, sur tous les domaines s’approche timidement. Elle doit faire pas loin du mètre quatre vingt, un bon 95B en seins et une croupe d’enfer. Elle porte un ensemble cuir de luxe, veste, robe et cuissardes lacées dans les tons bruns.
- Loyal : « Bonsoir, présentez-vous en quelques mots a cette joyeuse assemblée »
- N°28 : « Bonsoir à tous, je m’appelle Arya, j’ai 29 ans, je suis avocate à B….et je suis ici avec mon mari Patrick... avocat aussi à B…. »
- Loyal : « Arya, vous connaissez le thème de la soirée n’est-ce pas ? »
- Arya : « Oui, tout est permis… »
- Loyal : « Bien alors Arya, vous allez nous faire un effeuillage pendant que nous dégustons notre dessert ! »
Tonnerre d’applaudissement de la salle, la salle repasse dans la pénombre, seule l’estrade est bien éclairée. Une jeune femme munie d’une caméra s’approche et le visage d’Arya éclate sur l’écran géant, comme sous une loupe.
Une musique langoureuse sort des haut-parleurs et Arya commence sa prestation. Tous ses vêtements finissent à terre et elle est maintenant uniquement vêtue de son string. La caméra qui virevolte autour de la scène détaille avec soin son magnifique corps, quelques perles de sueur sont apparues sur son front et accrochent la lumière qui descend du plafond. Comme Arya ne bouge plus, on entend une voix s’élever du fond de la salle « Le string, le string… » et toute la salle répète.
Arya hésite un peu puis délicatement, en rythme avec la musique, elle se délaisse de son dernier atour. La caméra qui a tout suivi est maintenant braquée sur son intimité et le zoom rendu sur l’écran provoque des commentaires admiratifs. Une splendide chatte, très longue, surmontée d’un triangle blond très court occupe tout l’écran.
Je sens la main de Jo qui me serre brusquement le bras et lorsque je la regarde elle me dit « Je la veux ! » en m’indiquant Arya.
Monsieur Loyal a apporté un verre de champagne à Arya qui semble tout à fait à l’aise dans sa nudité, il met les deux poufs côte à côte et la fait s’assoir. « On continue ma chère ? » ; « Oui monsieur ».
- Loyal : « Maintenant je voudrais que quelqu’un ou quelqu’une vienne remercier Arya pour sa prestation ! »
Avant que quiconque ait eu le temps de réagir, Jo s’est levée est s’est précipitée vers l’estrade.
- Loyal : « Waouh, pas eu le temps de dire comment la remercier que vous êtes déjà là !, présentez-vous a nos amis »
- Jo : « Bonsoir, je m’appelle Jo j’ai 34 ans je suis commerçante et je suis avec mon mari ingénieur, nous avons deux enfants »
- Loyal : « Bien Jo, alors offrez-nous un spectacle aussi merveilleux qu’Arya tout à l’heure »
Puis il se penche à son oreille et lui explique ce qu’il attend d’elle.
Jo est radieuse lorsqu’elle se retourne vers moi, elle fait un petit signe à toute l’assemblée et monte sur la scène. Sur l’écran géant on voit Jo approcher et prendre délicatement le visage d’Arya dans ses deux mains, ses lèvres viennent d’abord butiner les joues et le cou puis se poser sur la bouche qui s’ouvre comme un gouffre ou deux langues tournoient l’une autour de l’autre.
Un silence tendu s’est fait dans la salle, ponctué seulement des soupirs et des gémissements de certaines convives impatientes que leurs cavaliers débarrassent de leurs culottes et entreprennent en même temps qu’ils regardent le spectacle.
Leurs bouches sont soudées dans un baiser profond et leurs mains partent à l’exploration du corps de l’autre. Jo caresses les seins d’Arya qu’on entend soupirer dans les haut-parleurs, elle masse, pince, étire ces deux splendides globes tandis qu’une des mains d’Arya est en train de remonter le long de sa jambe et s’approche de son sexe. les deux mains de Jo descendent maintenant vers le triangle blond, mais son buste reste au hauteur d’Arya, elle libère la bouche de son amie et lui donne à sucer ses deux tétons, fraises brunies par l’excitation.
La main d’Arya est posée comme une ventouse sur la chatte de Jo, elle la frotte doucement d’avant en arrière. La robe de Jo, bien que fendue assez haut ne permet pas au publique de savourer le spectacle et sur la demande des spectateurs, la caméra-woman écarte les deux pans faisant apparaître en pleine sa croupe cambrée. On entend « écarte tes jambes ! » venant de l’opératrice ou d’Arya et Jo ouvre son compas qu’on puisse mieux admirer la travail de la main qui lui ouvre les lèvres. La caméra est fixée sur le sexe de Jo, luisant de son excitation et de l’assaut d’avant dessert et on voit le pouce d’Arya essayer de prendre possession du vagin et son index attaquer l’anus rosé ; Jo donne un grand coup de reins et ses deux orifices se trouvent enfin remplis, elle reste arc-boutée sur ce bras qui la pilonne sans retenue, excitée par ces regards et la caméra qui enregistre sa prestation.
Bientôt le visage de Jo apparaît à l’écran, grimaçant de plaisir, les yeux mi-clos, puis elle jouit sans retenue en hurlant « Oh chérie ? oh chérie…. » ; puis elle se libère de la main si douce et se met entre les cuisses d’Arya qu’elle écarte au maximum, faisant s’ouvrir le superbe coquillage entrevu auparavant. Elle entreprend avec sa bouche une longue caresse des petites et grandes lèvres, les suces et le étire, les mords de plus en plus fort, déclenchant de gémissements de plus en plus fournis de sa partenaire. Arya de son côté serre ses seins dans ses mains et embrasse son mari venu l’encourager. Jo positionne les deux chevilles d’Arya au plus près de ses fesses, faisant apparaître l’entrée béante de son minou, un mince filet de mouille coule sur le pouf ; elle approche son visage, respire les douces odeurs et sa langue lèche consciencieusement ce jus d’amour qui coule. Les gros plans de la caméra sont saisissants de netteté et ne font qu’augmenter la tension de la salle, presque silencieuse, on dirait que chacun attend quelque chose de grand, de libérateur.
Patrick s’approche de Jo et lui souffle quelques mots à l’oreille tout en lui caressant les fesses, puis il regagne sa place.
Jo se met alors à genoux, assise sur ses talons et commence à ouvrir le beau fruit qu’elle a devant les yeux, elle le caresse avec ses doigts, y en met un, puis deux, puis trois, et le fruit s’ouvre toujours plus grand et les gémissements d’Arya montent crescendo dans la salle ; ses doigts tournent et s’écartent, distendant ces chairs luisantes puis sous l’œil toujours avide de la caméra c’est tous les doigts qui se réunissent en un coin et avancent inexorablement.
Les gémissements d’Arya se tranforment brusquement en une complainte sourde, un cri profond qui vient du fond du ventre, presqu’un appel de détresse qui se transforme bientôt en cri de délivrance quand tout le poing de Jo disparaît dans son vagin. Jo est maintenant immobile, amputée de sa main, elle semble déguster l’instant puis commence des petits mouvements rotatifs, puis son bras devient piston, sa main sort presque du vagin dilaté pour y replonger avec vigueur, et au bout de quelques minutes de ce régime, Arya part dans un grand spasme de jouissance en hurlant son bonheur, sa figure est illuminée par son orgasme, ses yeux exorbités et sa bouche grande ouverte. Sur l’écran la main de Jo est toujours en mouvement, mais plus doucement, la salle est comme figée.
Comme la caméra revient vers le visage d’Arya, et que son souffle est de nouveau audible ; l’assemblée reprend vie, les gémissements font de nouveau bruit de fond.
Jo a libéré sa victime heureuse et elles s’embrassent avec amour, langoureusement, se caressant le corps et en se faisant je ne sais quelles confidences.
Monsieur Loyal qui avait disparu de la scène réapparaît et annonce dans son micro : « chers amis, de telles prestations méritent et applaudissements et félicitations. Maintenant, la soirée est libre, tout est permis, je vous laisse finir cette année comme vous le souhaitez, dans les salons préparés à côté, et bonne nouvelle année ! ».
Je récupère Jo des bras de sa nouvelle copine et nous suivons les invités dans les salons annoncés par notre guide ; il y a en fait une dizaine d’alcôves, assez profondes et aux lumières tamisées en plus de deux salons meublés de vastes canapés, tous rouges foncé. Nous visitons ces alcôves garnies de tapis épais, de coussins de poufs et d’une multitude d’accessoires que Jo me montre avec envie.
Nous retournons dans l’un des salons et je m’assois dans un canapé. Jo reste debout, je la sens impatiente, excitée.
« qu’est-ce que tu veux que je fasse ? » me demande-t-elle, « je suis prête à tout »
« Tu es prête à tout, ou tu as envie de tout ? » lui répons-je. « J’ai envie de tout, je le sens bien, fais ce que tu veux, commande, j’obéirai, vite, je ne tiens plus ! ».
« Bien ma chérie, alors commence par enlever ta robe et tu vas faire le tour de toutes les alcôves, tu te fais voir, toucher, mais tu reviens de suite ici. »
Jo fait glisser sa robe à ses pieds et se dirige vers les alcôves d’où émergent des gémissements et des bruits excitants. Quelques minutes plus tard, elle est de retour, sa coiffure est un peu perturbée, ses joues roses et elle a perdu son soutien-gorge.
« bien ma chérie, maintenant tu es libre de faire ce que tu veux, mais essaie que j’en profite au maximum », elle m’embrasse langoureusement et sa tête descend sur ma queue qu’elle prend délicatement en bouche et suce avec application ; comme je ne veux pas jouir tout de suite, j’interrompt sa caresse et lui pose un bisou sur les lèvres « plus tard mon amour… ».
Elle me prend par la main et me conduit à proximité d’une alcôve où une jeunette, couverte de sperme est en train boire un verre de champagne ; quand elle voit Jo, elle lui sourit et lui tend la main. Je m’installe dans un coin où je ne perdrai rien de vue et j’attends la suite des évènements. Quand la jeunette, brune cheveux courts et petits seins a fini son verre, elle tend ses lèvres à Jo et les voilà parties à se sucer, lécher, pincer et me faire un splendide 69, ponctué de gémissements et bruits humides. Les deux femelles jouissent bientôt en couinant leur bonheur. La petite, qui semble avoir bien récupéré de son début de soirée demande à Jo si elle est partante pour une maxi. Comme Jo ne sait pas ce que c’est (moi non plus) elle dit oui. Là-dessus la petite se lève, disparaît pendant une dizaine de minutes et revient accompagnée de quatre hommes, dont trois noirs qui sont ravis de reconnaître Jo. Peu de préliminaires, les deux femmes sont assaillies par des bouches et des mains avides de découvrir tous leurs orifices, elles jouissent en continu. Les deux filles sont à genoux, en train de s’embrasser quand deux des noirs les prennent pas les hanches et les embrochent comme des pintades et les labourent en puissance, déclenchant orgasme sur orgasme. Jo me regarde, heureuse, son étalon toujours planté dans sa chatte et elle passe sa main sur son ventre et besogne son clito ; elle part bientôt en hurlant « pour toi, pour toi… » et s’écroule, les fesses striées de jet de sperme chaud.
Sa compagne, elle est empalée sur le blanc, elle monte et descend en rythme ; la bouche soudée sur une autre belle queue noire ; Jo vient lui caresser les fesses et lui rentre deux doigts dans l’anus qui se révèle très souple. Quand son sucé lui a rempli la bouche de sa semence, qu’elle avale, elle se tourne vers JO et lui demande « On fait la course ? ».
Comme Jo ne répond pas, elle se lève et fait coucher sur le dos les deux noirs les plus membrés, qui sont de nouveau en pleine forme, disparaît quelques minutes dans les salons, dit quelque chose à son cavalier de la soirée, et revient. Elle explique les règles à Jo qui sourit et s’approche d’un des noirs allongés.
De ma place, je vois Jo mouiller la grosse queue noire avec sa bouche, elle crache dessus et l’avale profondément, puis elle se tourne vers sa copine, qui a fait de même et attend ses instructions.
La copine prend alors « sa queue » en main et lentement s’enfile dessus, Jo fait de même, et quand elles sont toutes les deux bien emmanchées, elle crie « Maintenant ! » et elles se mettent à chevaucher, mains crispées sur les poitrines des chevauchés, qui eux tiennent leurs seins qu’ils serrent. Des gémissements et des cris de plaisirs montent bientôt des cavalières, elles coulent abondamment sur les cuisses des cavaliers, puis sur un signe de tête de la meneuse, deux autres étalons s’approchent, queues luisantes de gel et droites comme des pieux et se positionnent derrière les deux amazones qu’ils embrochent à leur tour, sans que la chevauchée ne s’arrête.
La facilité avec laquelle mon adorée accepte cette deuxième pénétration me conforte dans mon idée qu’elle ne me dit pas encore tout, elle va devoir repasser à confesse ; la pièces c’est remplie de nouveaux arrivants que veulent participer, chacune des deux femelles en chaleur se retrouve avec une bite en bouche et une dans chaque main, les deux cavaliers de l’arrière se libèrent dans un grand soupir et laissent la place, qui surprise est aussitôt réinvestie par de nouveaux arrivants, qui attendaient leur tour, et je me rends compte que ce n’est pas fini.
Pendant presque trente minutes les deux cavalières ont reçu pas moins de sept bites pour Jo et cinq pour la meneuse et je n’ai pas compté les branlés et ceux qui leur ont joui en bouche, et c’est en plein délire d’orgasmes successifs qu’elles libèrent enfin leurs montures, repues elles aussi.
Quand j’aide Jo à se relever, elle est flageolante, sa chatte reste béante et son anus à vif est lui aussi bien ouvert, du sperme coule le long de ses cuisses et de sa bouche. Elle s’accroche à mon cou et me dit « merci mon amour, maintenant je sais que je peux tout faire, je suis devenue ta salope, merci, ah comme j’ai joui, tu ne peux pas savoir… »
Dans la liesse de la course, nous avons loupé les douze coups de minuit, mais ma chérie me dit qu’elle a préféré ses sept coups de bites.
Sur cette constatation, nous récupérons nos vêtements et montons nous coucher, nous devrions avoir de la visite au petit déjeuner si mon intuition est bonne, et moi je suis encore en attente, mais j’aime…..
Toc toc , il est 11h du matin, et après une nuit agitée on vient nous réveiller…
« oui » ; « service du petit déjeuner » me répond une petite voix.
Je vais ouvrir la porte et surprise, un petit minois en robe de chambre que je reconnais, entre en poussant un chariot de victuailles matinales ; café, jus de fruits, charcuterie, viennoiseries etc… qui sont tellement appétissantes que nous nous jetons sur ce festin, affamés par cette nuit de débauche.
La petite s’est jointe à nous, assise sur le lit, lumineuse comme un rayon de soleil dans la pénombre de la chambre, ce qui nous stimule vu le temps dehors, elle s’appelle Amélie, son ami est parti.
« Tu as aimé notre soirée ? » demande Amélie à Jo, laquelle repue mais encore un peu embrumée câline son oreiller.
« Oui, c’était divin, j’ai encore des élancements dans la chatte et le cul tellement ils nous ont bourrées ! »
Amélie me regarde, quitte sa robe de chambre et avec un petit sourire se glisse dans les draps contre Jo.
Je n’hésite pas longtemps, je vais verrouiller la porte de la chambre et je rejoints mes deux femelles qui sont enlacées et s’embrassent à bouche que veux-tu, leurs mains parcourant tendrement leurs orifices sensibles.
Je les sépare et me glisse entre elles, faisant de mon mieux avec deux mains pour les caresser ; elles s’activent aussi de leur côté, j’ai deux mains sur la queue qui est serrée comme dans un étau.
Puis les deux filles se relèvent, Jo fait signe à Amélie de s’emboîter sur ma queue et elle s’assoit elle sur mon visage, la chatte sur ma bouche ; elles se prennent par les épaules et s’embrassent en tortillant du cul ; j’étouffe un peu avec le jus de Jo qui coule dans ma bouche, mais ma langue fait son travail ; de son côté je sens Amélie qui contracte son vagin et elle jouit avec Jo, leurs deux bouches scellées dans une promesse d’amour. Je ne tiens pas longtemps et je pars aussi sous les encouragements de mon amazone.
Cinq minutes plus tard, nous dormons, enlacés.
Quel début d’année prometteur.
Jo est maintenant épanouie, sereine avec le sexe et ses envies, et elle voudrait se lancer elle-même dans le tourbillon du plaisir.
Sophie m’a donné l’adresse d’un club libertin dans le département voisin et quelques jours plus tard je reçois une invitation à une soirée « tout est permis » pour le réveillon du nouvel an, accompagnée de nos numéros d’invités 34 noir pour moi et rose pour Jo.
Jo est ravie et tout excitée quand je lui dis que j’ai réservé pour cette soirée très sexy, dîner, soirée surprise et hôtel sur place.
Le 31 vers 2oh, nous arrivons à l’hôtel particulier où nous nous installons ; Jo fini de se préparer, maquillage, coiffure etc …elle a mis pour l’occasion une splendide robe rouge sang, dos nu, largement fendue devant et derrière, ce qui donne une vue féerique de ses jambes gainées de bas noirs soutenus par un porte-jarretelles encadrant un string noir lui aussi, chaque fois qu’elle fait un pas sur ses hauts escarpins rouges pailletés on voit le haut de ses cuisses et plus. Une petite veste de velours noir protège ses épaules du froid nocturne.
A 21h, nous descendons dans la grande salle où cocktails et champagne coulent à profusion, nous trouvons nos places numérotées par des petits pavés et commençons la soirée comme tout le monde, en dansant. En fait, nous ne sommes qu’une trentaine de convives. Le succulent repas est servi vers 11h et l’alcool aidant, la soirée s’anime un peu. Je sens Jo décontractée, « souple » mais impatiente.
Pendant que nous dansons un slow anté-diluvien, je lui demande d’aller aux toilettes et de mettre son string à l’envers, la ficelle dans sa chatte. Elle est un peu réticente comme d’habitude mais cède à ma demande et reviens bientôt dans mes bras sous les regards de certains mâles et femelle, elle me regarde et son regard pétille quand elle met son string dans ma poche.
Au dessert, le maître d’hôtel distribue à chaque convive des loups brillants et annonce un premier jeu de société , les pavés numéros des places sont ramassés par l’animateur, puis ils sont remis au hasard devant chaque convive ; « Maintenant mesdames, messieurs vous allez vous placer à votre numéro d’invitation. »
Dans un tourbillon de rires agrémenté par la musique, chacun cherche son numéro. Le mien s’est décalé de quelques places sur la gauche, mais celui de Jo se retrouve en face, de l’autre côté de la salle. A ma gauche, une charmante blondinette, apeurée, qui m’explique que son mari est maintenant en face, à droite de la dame en rouge (c’est Jo) qui a un deuxième encadrant à sa gauche. Ma voisine a aussi un jeune homme à sa gauche, mais il l’intimide par sa carrure.
Tout le monde n’est pas logé à la même enseigne, le sort à fait aussi des paquets d’hommes et de femmes.
Les « groupes » font connaissance tant bien que mal, le champagne toujours servi à profusion, l’ambiance monte rapidement, les rires fusent de toutes parts.
Un animateur masqué reprend le micro et annonce « maintenant, place au quart-d’heure mystère, que la fête commence, « tout est permis, mais quand je dis stop, on arrête ! », et la salle se trouve plongée dans une pénombre rouge surréaliste. Ma voisine se penche soudain vers moi et me dit paniquée « mon voisin de droite, il vient de mettre sa main entre mes cuisses et essaie de toucher ma chatte » je lui prends le menton et lui tourne la tête vers son mari, qui embrasse Jo à pleine bouche, sa main plongée entre ses cuisses grandes ouvertes.
Elle se tourne alors vers moi et m’offre sa bouche, je la couche sur mes genoux, permettant a notre voisin de la trousser, lui enlever sa culotte, lui relever les genoux et plonger sa langue dans sa toison taillée bien court. Notre petite timide se laisse faire et commence à geindre doucement, je lui ai sorti ses petits seins tout durcis d’excitation. Elle se tourne bientôt pour sortir mon sexe et le sucer maladroitement de par sa position, mais me fait rapidement jouir dans sa bouche.
De mon côté, je ne perds rien de ce qui se passe en face, Jo a été mise sur la table, et le mari de ma petite suceuse est en train de la baiser sans retenue, faisant vibrer la table à chaque coup de rein.
Quand notre petite voisine voit son mari besogner ainsi Jo, elle se lève, repousse le costaud sur sa chaise, défait sa barguette et en sort un mandrin monstrueux qu’elle mouille avec sa bouche, puis se met a califourchon dessus et s’empale en hurlant à pleins poumons « tiens salaud, moi aussi je baise… » et elle se conduit elle-même à l’orgasme, bouche soudée à celle de sa monture.
Jo est maintenant à plat ventre sur la table, fesses à l’air, un homme bien monté s’approche pour la saillir, elle me regarde en souriant guidant son étalon vers sa chatte, mais l’animateur arrête tout le monde en rallumant la lumière, ce qui provoque certains cris de frustrations ou de colère devant certains spectacles.
« Stop, stop, regagnez vos places initiales svp, la soirée surprise continue, et le dessert est servi ! »
Notre petite voisine est descendue de son destrier, lequel a maintenant une belle auréole sur son pantalon qu’essuie avec application sa femme, détendue après s’être fait copieusement sucer par deux invitées. Le baiseur de Jo est en train d’embrasser sa femme enchâssée sur son pouce et qui jouit en gémissant « salaud, salaud encore… » ils semblent réconciliés.
Jo est blottie contre moi, langoureuse, elle me dit « je suis bien, je crois que ce soir je suis prête à faire tout ce que tu me diras de faire».
Je l’embrasse en lui caressant les seins gonflés « on verra mon cœur, on verra bien si tu es enfin libérée ; si c’est le cas, tu auras tout le plaisir que tu réclameras ».
Partout dans la salle, les mêmes scènes amoureuses ou orageuses pour les frustrés, tandis que du personnel installe au milieu des tables une petite estrade ronde avec deux poufs blancs et une chaise, le tout violemment éclairé. Au fond, derrière les convives, un écran géant fait son apparition.
L’animateur masqué s’avance dans la salle et comme monsieur Loyal tire un papier d’un chapeau haut de forme posé sur l’estrade et lance dans son micro « Et maintenant mesdames et messieurs, je vais demander à la femme porteuse du n°28 de se présenter à moi ».
Une grande blonde, visage quelconque mais avec un corps splendide, sur tous les domaines s’approche timidement. Elle doit faire pas loin du mètre quatre vingt, un bon 95B en seins et une croupe d’enfer. Elle porte un ensemble cuir de luxe, veste, robe et cuissardes lacées dans les tons bruns.
- Loyal : « Bonsoir, présentez-vous en quelques mots a cette joyeuse assemblée »
- N°28 : « Bonsoir à tous, je m’appelle Arya, j’ai 29 ans, je suis avocate à B….et je suis ici avec mon mari Patrick... avocat aussi à B…. »
- Loyal : « Arya, vous connaissez le thème de la soirée n’est-ce pas ? »
- Arya : « Oui, tout est permis… »
- Loyal : « Bien alors Arya, vous allez nous faire un effeuillage pendant que nous dégustons notre dessert ! »
Tonnerre d’applaudissement de la salle, la salle repasse dans la pénombre, seule l’estrade est bien éclairée. Une jeune femme munie d’une caméra s’approche et le visage d’Arya éclate sur l’écran géant, comme sous une loupe.
Une musique langoureuse sort des haut-parleurs et Arya commence sa prestation. Tous ses vêtements finissent à terre et elle est maintenant uniquement vêtue de son string. La caméra qui virevolte autour de la scène détaille avec soin son magnifique corps, quelques perles de sueur sont apparues sur son front et accrochent la lumière qui descend du plafond. Comme Arya ne bouge plus, on entend une voix s’élever du fond de la salle « Le string, le string… » et toute la salle répète.
Arya hésite un peu puis délicatement, en rythme avec la musique, elle se délaisse de son dernier atour. La caméra qui a tout suivi est maintenant braquée sur son intimité et le zoom rendu sur l’écran provoque des commentaires admiratifs. Une splendide chatte, très longue, surmontée d’un triangle blond très court occupe tout l’écran.
Je sens la main de Jo qui me serre brusquement le bras et lorsque je la regarde elle me dit « Je la veux ! » en m’indiquant Arya.
Monsieur Loyal a apporté un verre de champagne à Arya qui semble tout à fait à l’aise dans sa nudité, il met les deux poufs côte à côte et la fait s’assoir. « On continue ma chère ? » ; « Oui monsieur ».
- Loyal : « Maintenant je voudrais que quelqu’un ou quelqu’une vienne remercier Arya pour sa prestation ! »
Avant que quiconque ait eu le temps de réagir, Jo s’est levée est s’est précipitée vers l’estrade.
- Loyal : « Waouh, pas eu le temps de dire comment la remercier que vous êtes déjà là !, présentez-vous a nos amis »
- Jo : « Bonsoir, je m’appelle Jo j’ai 34 ans je suis commerçante et je suis avec mon mari ingénieur, nous avons deux enfants »
- Loyal : « Bien Jo, alors offrez-nous un spectacle aussi merveilleux qu’Arya tout à l’heure »
Puis il se penche à son oreille et lui explique ce qu’il attend d’elle.
Jo est radieuse lorsqu’elle se retourne vers moi, elle fait un petit signe à toute l’assemblée et monte sur la scène. Sur l’écran géant on voit Jo approcher et prendre délicatement le visage d’Arya dans ses deux mains, ses lèvres viennent d’abord butiner les joues et le cou puis se poser sur la bouche qui s’ouvre comme un gouffre ou deux langues tournoient l’une autour de l’autre.
Un silence tendu s’est fait dans la salle, ponctué seulement des soupirs et des gémissements de certaines convives impatientes que leurs cavaliers débarrassent de leurs culottes et entreprennent en même temps qu’ils regardent le spectacle.
Leurs bouches sont soudées dans un baiser profond et leurs mains partent à l’exploration du corps de l’autre. Jo caresses les seins d’Arya qu’on entend soupirer dans les haut-parleurs, elle masse, pince, étire ces deux splendides globes tandis qu’une des mains d’Arya est en train de remonter le long de sa jambe et s’approche de son sexe. les deux mains de Jo descendent maintenant vers le triangle blond, mais son buste reste au hauteur d’Arya, elle libère la bouche de son amie et lui donne à sucer ses deux tétons, fraises brunies par l’excitation.
La main d’Arya est posée comme une ventouse sur la chatte de Jo, elle la frotte doucement d’avant en arrière. La robe de Jo, bien que fendue assez haut ne permet pas au publique de savourer le spectacle et sur la demande des spectateurs, la caméra-woman écarte les deux pans faisant apparaître en pleine sa croupe cambrée. On entend « écarte tes jambes ! » venant de l’opératrice ou d’Arya et Jo ouvre son compas qu’on puisse mieux admirer la travail de la main qui lui ouvre les lèvres. La caméra est fixée sur le sexe de Jo, luisant de son excitation et de l’assaut d’avant dessert et on voit le pouce d’Arya essayer de prendre possession du vagin et son index attaquer l’anus rosé ; Jo donne un grand coup de reins et ses deux orifices se trouvent enfin remplis, elle reste arc-boutée sur ce bras qui la pilonne sans retenue, excitée par ces regards et la caméra qui enregistre sa prestation.
Bientôt le visage de Jo apparaît à l’écran, grimaçant de plaisir, les yeux mi-clos, puis elle jouit sans retenue en hurlant « Oh chérie ? oh chérie…. » ; puis elle se libère de la main si douce et se met entre les cuisses d’Arya qu’elle écarte au maximum, faisant s’ouvrir le superbe coquillage entrevu auparavant. Elle entreprend avec sa bouche une longue caresse des petites et grandes lèvres, les suces et le étire, les mords de plus en plus fort, déclenchant de gémissements de plus en plus fournis de sa partenaire. Arya de son côté serre ses seins dans ses mains et embrasse son mari venu l’encourager. Jo positionne les deux chevilles d’Arya au plus près de ses fesses, faisant apparaître l’entrée béante de son minou, un mince filet de mouille coule sur le pouf ; elle approche son visage, respire les douces odeurs et sa langue lèche consciencieusement ce jus d’amour qui coule. Les gros plans de la caméra sont saisissants de netteté et ne font qu’augmenter la tension de la salle, presque silencieuse, on dirait que chacun attend quelque chose de grand, de libérateur.
Patrick s’approche de Jo et lui souffle quelques mots à l’oreille tout en lui caressant les fesses, puis il regagne sa place.
Jo se met alors à genoux, assise sur ses talons et commence à ouvrir le beau fruit qu’elle a devant les yeux, elle le caresse avec ses doigts, y en met un, puis deux, puis trois, et le fruit s’ouvre toujours plus grand et les gémissements d’Arya montent crescendo dans la salle ; ses doigts tournent et s’écartent, distendant ces chairs luisantes puis sous l’œil toujours avide de la caméra c’est tous les doigts qui se réunissent en un coin et avancent inexorablement.
Les gémissements d’Arya se tranforment brusquement en une complainte sourde, un cri profond qui vient du fond du ventre, presqu’un appel de détresse qui se transforme bientôt en cri de délivrance quand tout le poing de Jo disparaît dans son vagin. Jo est maintenant immobile, amputée de sa main, elle semble déguster l’instant puis commence des petits mouvements rotatifs, puis son bras devient piston, sa main sort presque du vagin dilaté pour y replonger avec vigueur, et au bout de quelques minutes de ce régime, Arya part dans un grand spasme de jouissance en hurlant son bonheur, sa figure est illuminée par son orgasme, ses yeux exorbités et sa bouche grande ouverte. Sur l’écran la main de Jo est toujours en mouvement, mais plus doucement, la salle est comme figée.
Comme la caméra revient vers le visage d’Arya, et que son souffle est de nouveau audible ; l’assemblée reprend vie, les gémissements font de nouveau bruit de fond.
Jo a libéré sa victime heureuse et elles s’embrassent avec amour, langoureusement, se caressant le corps et en se faisant je ne sais quelles confidences.
Monsieur Loyal qui avait disparu de la scène réapparaît et annonce dans son micro : « chers amis, de telles prestations méritent et applaudissements et félicitations. Maintenant, la soirée est libre, tout est permis, je vous laisse finir cette année comme vous le souhaitez, dans les salons préparés à côté, et bonne nouvelle année ! ».
Je récupère Jo des bras de sa nouvelle copine et nous suivons les invités dans les salons annoncés par notre guide ; il y a en fait une dizaine d’alcôves, assez profondes et aux lumières tamisées en plus de deux salons meublés de vastes canapés, tous rouges foncé. Nous visitons ces alcôves garnies de tapis épais, de coussins de poufs et d’une multitude d’accessoires que Jo me montre avec envie.
Nous retournons dans l’un des salons et je m’assois dans un canapé. Jo reste debout, je la sens impatiente, excitée.
« qu’est-ce que tu veux que je fasse ? » me demande-t-elle, « je suis prête à tout »
« Tu es prête à tout, ou tu as envie de tout ? » lui répons-je. « J’ai envie de tout, je le sens bien, fais ce que tu veux, commande, j’obéirai, vite, je ne tiens plus ! ».
« Bien ma chérie, alors commence par enlever ta robe et tu vas faire le tour de toutes les alcôves, tu te fais voir, toucher, mais tu reviens de suite ici. »
Jo fait glisser sa robe à ses pieds et se dirige vers les alcôves d’où émergent des gémissements et des bruits excitants. Quelques minutes plus tard, elle est de retour, sa coiffure est un peu perturbée, ses joues roses et elle a perdu son soutien-gorge.
« bien ma chérie, maintenant tu es libre de faire ce que tu veux, mais essaie que j’en profite au maximum », elle m’embrasse langoureusement et sa tête descend sur ma queue qu’elle prend délicatement en bouche et suce avec application ; comme je ne veux pas jouir tout de suite, j’interrompt sa caresse et lui pose un bisou sur les lèvres « plus tard mon amour… ».
Elle me prend par la main et me conduit à proximité d’une alcôve où une jeunette, couverte de sperme est en train boire un verre de champagne ; quand elle voit Jo, elle lui sourit et lui tend la main. Je m’installe dans un coin où je ne perdrai rien de vue et j’attends la suite des évènements. Quand la jeunette, brune cheveux courts et petits seins a fini son verre, elle tend ses lèvres à Jo et les voilà parties à se sucer, lécher, pincer et me faire un splendide 69, ponctué de gémissements et bruits humides. Les deux femelles jouissent bientôt en couinant leur bonheur. La petite, qui semble avoir bien récupéré de son début de soirée demande à Jo si elle est partante pour une maxi. Comme Jo ne sait pas ce que c’est (moi non plus) elle dit oui. Là-dessus la petite se lève, disparaît pendant une dizaine de minutes et revient accompagnée de quatre hommes, dont trois noirs qui sont ravis de reconnaître Jo. Peu de préliminaires, les deux femmes sont assaillies par des bouches et des mains avides de découvrir tous leurs orifices, elles jouissent en continu. Les deux filles sont à genoux, en train de s’embrasser quand deux des noirs les prennent pas les hanches et les embrochent comme des pintades et les labourent en puissance, déclenchant orgasme sur orgasme. Jo me regarde, heureuse, son étalon toujours planté dans sa chatte et elle passe sa main sur son ventre et besogne son clito ; elle part bientôt en hurlant « pour toi, pour toi… » et s’écroule, les fesses striées de jet de sperme chaud.
Sa compagne, elle est empalée sur le blanc, elle monte et descend en rythme ; la bouche soudée sur une autre belle queue noire ; Jo vient lui caresser les fesses et lui rentre deux doigts dans l’anus qui se révèle très souple. Quand son sucé lui a rempli la bouche de sa semence, qu’elle avale, elle se tourne vers JO et lui demande « On fait la course ? ».
Comme Jo ne répond pas, elle se lève et fait coucher sur le dos les deux noirs les plus membrés, qui sont de nouveau en pleine forme, disparaît quelques minutes dans les salons, dit quelque chose à son cavalier de la soirée, et revient. Elle explique les règles à Jo qui sourit et s’approche d’un des noirs allongés.
De ma place, je vois Jo mouiller la grosse queue noire avec sa bouche, elle crache dessus et l’avale profondément, puis elle se tourne vers sa copine, qui a fait de même et attend ses instructions.
La copine prend alors « sa queue » en main et lentement s’enfile dessus, Jo fait de même, et quand elles sont toutes les deux bien emmanchées, elle crie « Maintenant ! » et elles se mettent à chevaucher, mains crispées sur les poitrines des chevauchés, qui eux tiennent leurs seins qu’ils serrent. Des gémissements et des cris de plaisirs montent bientôt des cavalières, elles coulent abondamment sur les cuisses des cavaliers, puis sur un signe de tête de la meneuse, deux autres étalons s’approchent, queues luisantes de gel et droites comme des pieux et se positionnent derrière les deux amazones qu’ils embrochent à leur tour, sans que la chevauchée ne s’arrête.
La facilité avec laquelle mon adorée accepte cette deuxième pénétration me conforte dans mon idée qu’elle ne me dit pas encore tout, elle va devoir repasser à confesse ; la pièces c’est remplie de nouveaux arrivants que veulent participer, chacune des deux femelles en chaleur se retrouve avec une bite en bouche et une dans chaque main, les deux cavaliers de l’arrière se libèrent dans un grand soupir et laissent la place, qui surprise est aussitôt réinvestie par de nouveaux arrivants, qui attendaient leur tour, et je me rends compte que ce n’est pas fini.
Pendant presque trente minutes les deux cavalières ont reçu pas moins de sept bites pour Jo et cinq pour la meneuse et je n’ai pas compté les branlés et ceux qui leur ont joui en bouche, et c’est en plein délire d’orgasmes successifs qu’elles libèrent enfin leurs montures, repues elles aussi.
Quand j’aide Jo à se relever, elle est flageolante, sa chatte reste béante et son anus à vif est lui aussi bien ouvert, du sperme coule le long de ses cuisses et de sa bouche. Elle s’accroche à mon cou et me dit « merci mon amour, maintenant je sais que je peux tout faire, je suis devenue ta salope, merci, ah comme j’ai joui, tu ne peux pas savoir… »
Dans la liesse de la course, nous avons loupé les douze coups de minuit, mais ma chérie me dit qu’elle a préféré ses sept coups de bites.
Sur cette constatation, nous récupérons nos vêtements et montons nous coucher, nous devrions avoir de la visite au petit déjeuner si mon intuition est bonne, et moi je suis encore en attente, mais j’aime…..
Toc toc , il est 11h du matin, et après une nuit agitée on vient nous réveiller…
« oui » ; « service du petit déjeuner » me répond une petite voix.
Je vais ouvrir la porte et surprise, un petit minois en robe de chambre que je reconnais, entre en poussant un chariot de victuailles matinales ; café, jus de fruits, charcuterie, viennoiseries etc… qui sont tellement appétissantes que nous nous jetons sur ce festin, affamés par cette nuit de débauche.
La petite s’est jointe à nous, assise sur le lit, lumineuse comme un rayon de soleil dans la pénombre de la chambre, ce qui nous stimule vu le temps dehors, elle s’appelle Amélie, son ami est parti.
« Tu as aimé notre soirée ? » demande Amélie à Jo, laquelle repue mais encore un peu embrumée câline son oreiller.
« Oui, c’était divin, j’ai encore des élancements dans la chatte et le cul tellement ils nous ont bourrées ! »
Amélie me regarde, quitte sa robe de chambre et avec un petit sourire se glisse dans les draps contre Jo.
Je n’hésite pas longtemps, je vais verrouiller la porte de la chambre et je rejoints mes deux femelles qui sont enlacées et s’embrassent à bouche que veux-tu, leurs mains parcourant tendrement leurs orifices sensibles.
Je les sépare et me glisse entre elles, faisant de mon mieux avec deux mains pour les caresser ; elles s’activent aussi de leur côté, j’ai deux mains sur la queue qui est serrée comme dans un étau.
Puis les deux filles se relèvent, Jo fait signe à Amélie de s’emboîter sur ma queue et elle s’assoit elle sur mon visage, la chatte sur ma bouche ; elles se prennent par les épaules et s’embrassent en tortillant du cul ; j’étouffe un peu avec le jus de Jo qui coule dans ma bouche, mais ma langue fait son travail ; de son côté je sens Amélie qui contracte son vagin et elle jouit avec Jo, leurs deux bouches scellées dans une promesse d’amour. Je ne tiens pas longtemps et je pars aussi sous les encouragements de mon amazone.
Cinq minutes plus tard, nous dormons, enlacés.
Quel début d’année prometteur.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai adoré !!! J'attend la suite avec envie, ça correspond avec mes fantasmes, dommage que ma compagne ne soit pas aussi ouverte d'esprit que il. Sinon un peu plus de détails sur certaine scène que j'ai trouvé rapide et un peu de développement autour des personnages principales mais ceci est mon avis merci encore pour cette lecture !!! *souri à l'auteur et disparais*