Drogue et sexe : cocu

- Par l'auteur HDS Accent -
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Drogue et sexe : cocu Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Drogue et sexe : cocu
J'attends à la caisse de l'hypermarché. Ma voisine, surnommée la "tour de contrôle", une vieille fille curieuse, habituellement collée à sa fenêtre pour surveiller les faits et gestes du quartier, vient à moi et veut savoir si les travaux dans ma maison sont terminés. Elle ne me laisse pas le temps de répondre et m'annonce avec un petit air malicieux :

-Depuis un certain temps, un ouvrier se présente dans une fourgonnette devant la porte de votre garage, saisit une caisse à outils, se dirige vers la maison et voit le battant pour personnes s'ouvrir automatiquement. Il arrive généralement dans les cinq minutes qui suivent votre départ, entre comme par magie et ne ressort que peu avant dix-sept heures, juste avant votre retour du travail. Je l'ai observé quatre ou cinq fois, toujours le vendredi après-midi. Bizarrement il travaille sans bruit.

Voilà une nouvelle bien étonnante et je sens poindre dans sa déclaration un soupçon de moquerie qui justifie la première idée qui me passe par la tête, une accusation larvée destinée à ouvrir les yeux d'un mari aveugle dont l'épouse recevrait un ami en l'absence de son conjoint. Cette petite lueur dans l'œil de la dame curieuse montre son petit bonheur de m'embarrasser. En même temps je ne pourrai pas dire qu'elle ne m'avait pas averti!

-Ah! Oui, c’est le plâtrier qui vient terminer les raccords dans les pièces du bas. Il vient quand sa semaine est finie, mais ne peut consacrer que peu d'heures à ce travail.

Angèle semble déçue. J'ai inventé rapidement une parade à ses insinuations. Maintenant je m'interroge car j'ignorais tout de cette visite d'un ouvrier chez moi, le vendredi. Ses heures d'arrivée et de départ indiquent son désir de ne pas me rencontrer. Caro, ma chérie, n'a pas jugé bon de m'en parler; aurait-elle quelque chose à me cacher, ou me préparerait-elle une surprise ? Je verrai dans deux jours.

Le vendredi, au cours du repas de midi, je cherche un indice et je trouve : Caro est allée chez sa coiffeuse ce matin, son tablier de cuisine ne cache vraiment ni la blouse blanche ajustée à la taille et qui moule ses seins ni la jupe très courte qui dévoile son mignon fessier lorsqu'elle se penche pour saisir une casserole dans le tiroir du bas de buffet. Mon excitation lui échappe car elle me tourne le dos. Je trouve cette recherche dans la tenue surprenante. Je ne prêtais pas attention à ce genre de détails avant la révélation de la bavarde Angèle, aujourd'hui je note une différence inhabituelle. Ce surplus de coquetterie annonce-t-il une nouvelle visite, c'est fort probable. En retournant au travail, j'embrasse Caro et je la complimente

-Ma chérie, je te remercie de faire des efforts pour me plaire. Veux-tu retirer ce tablier pour que je t'admire.

Caro rougit à peine, me sourit, m'embrasse et frotte ses cheveux laqués contre ma joue: cette façon lui permet de détourner son regard. Elle aurait préféré que je ne remarque pas le côté particulier de sa tenue un vendredi. Depuis la fenêtre de notre chambre Caro agite une main et guette le départ de ma voiture: ce détail mérite d'être relevé, cette exception est-elle liée au vendredi ? Dix minutes plus tard je repasse dans ma rue. Une fourgonnette blanche occupe ma place devant le garage. Je m'arrête à courte distance, la porte de garage ne s'ouvre pas seule pour moi, j'utilise ma clé, j'entre, je jette un œil à la maison voisine et vois bouger un rideau : Angèle veille. A terre au milieu du garage gît une caisse à outils. Assurément le visiteur inconnu ne les utilise pas. A-t-il peur qu'on les lui vole ? Je ne résiste pas à l'envie d'examiner le contenu de la boîte. J'avance de surprise en surprise : dans les casiers supérieurs et intermédiaires il n'y a pas de pinces, tournevis ou autres outils, mais des paquets de Malboro. Dessous des boîtes de section carrée en carton de thé Lipton "Yellow label tea". C'est de plus en plus bizarre! J'en ouvre une, étrangement elle contient des sachets transparents de poudre blanche et non les conventionnels sachets jaunes marqués. La seconde boîte est pleine de sachets brun-vert. Je prélève un sachet de chaque couleur. Je rejoins l'entrée de la maison et j'entends une voix grave :

-N'aie pas peur, aspire, remplis toi les poumons, conserve le plus longtemps possible puis laisse filer tout doucement. Tu vois ce n'est pas difficile...Allez, encore, aspire, retiens, expire lentement. Alors, tu sens quoi, un bien-être. Tu te détends, tu oublies tes soucis. N'est-ce pas formidable ?

Caro soupire et répond:

-C'est vrai, je suis sur un nuage. C'est comme la première fois, je suis en apesanteur, heureuse, calme. Oh ! Oui, Fernand, encore une bouffée.

-Attends, es-tu d'accord pour garder mes boîtes chez toi ? Mais attention, personne ne doit les voir. Je les entrepose chez toi et quand j'en ai besoin pour des clients je retire la quantité voulue. Chaque vendredi je livre. Personne ne te soupçonnera et les flics ne trouveront rien s'ils fouillent ma fourgonnette. En retour tu touches dix pour cent de mes ventes. Surtout tu ne touches pas aux sachets. Pour ta consommation personnelle je t'en vendrai à prix d'ami. Mais n'exagère pas. Ca va, tu ne tousses plus? Viens là, installe-toi sur mes genoux. Tu pourrais me remercier, comme la première fois.

-Fernand, ce n'st pas bien, je suis mariée. Je ne devrais pas t'embrasser comme ça. Humm! Oh ! Fernand, non, pas toucher là. Oh ! Non, tu avais promis de ne plus recommencer. Fernand, laisse-moi ma culotte. Oh! Non! Fernand, oh!

-Ce n'est pas bon? Mais si, tu as aimé et tu aimeras encore. Le pétard donne envie, hein?

-Oui, mais je ne devrais pas! Tu abuses, mais, mais ton doigt dans ma chatte, Oh! Fernand, oui, encore. Mon bouton va éclater. Oui frotte, frotte.

-Alors, je te l'avais dit. Ce machin te rend dingue de moi, ne mords pas mes lèvres, folle. On y va.

-Où ? Ah, sur le canapé, comme l'autre jour ? Tu veux me baiser? Hihihi, Fernand. Attends, tu vas salir ma blouse. Le soutien-gorge aussi, tu veux que je l'enlève?

-A poil, ma nana, à poil tous les deux. Et si tu ne t'envoles pas, je nous ferai une ligne de blanche. Là tu découvriras le paradis, tu ne voudras plus te séparer de moi

- Je me mets comment?

-Attends, j'oubliais, où as-tu caché la première livraison. As-tu encore de la place ? J'ai quelques paquets dans ma caisse.

-Viens, je te montre. C'est dans ma table de nuit.

-Non! Ton Jules va mettre la main dessus.

-Tu ne le connais pas, il ne fouille jamais dans mes affaires, c'est un type bien mon Jules. Eh, il s'appelle Michel et je l'aime.

-Bon. Tu as raison, aime-le et baise-moi. Couche-toi sur le lit et écarte, je veux te bouffer la raie. Pattes en l'air. Que c'est mignon une cramouille. Hum, cette odeur.

-Ce n'est pas bien, je ne devrais pas. Que dira Robert?

-Rien, il ne sait pas. Deux doigts, à toute vitesse, tu sens ?

-Ah, vache que c'est chouette, vas-y, à fond, Fernand, encore, prends-moi.

-Va pour un premier coup. Après je monterai la camelote, je te ferai une ligne et on remettra l'affaire. Viens là que je te plante mon engin. Doucement, le con de madame est serré!


J'en ai assez entendu, je sors et j'appelle le commissariat. Pour avoir un officier, il faut se lever tôt, mais le mot drogue fait des miracles. Une prise immédiate et ce sera la gloire!
Ils arrivent dans cinq minutes

-Ne mettez pas les avertisseurs sonores, entrez par le garage, je vous guiderai.

Je retourne à mon poste d'observation. Caro fait des heu, des ha, des ho, Fernand en écho lâche des hon. Je peux approcher. Comme une poupée désarticulée Caro danse sur le ventre du livreur de sachets euphorisants. Ses mains sont en appui sur les épaules d'un gaillard costaud. D'un coup de reins il la fait décoller, elle retombe, rit et repart au trot. C'est ma femme, je la reconnais à peine, tant elle s'applique à garder le rythme. L'odeur de sa fumette flotte dans l'air. Fernand la renverse et l'écrase de tout son poids. Il prend les commandes, s'enfonce majestueusement, creuse son trou et arrache des lamentations incessantes à une Caro déchaînée.

Une voiture s'arrête. Les amants n'entendent rien, le plaisir monte, les submerge. Ils râlent leur jouissance. Fernand bourre à tout va, pompe, défonce. Trois hommes arrivent à ma hauteur.

-Quoi, c'est pour un adultère que vous nous dérangez ? Elle aime ça ! C'est votre femme?

Je tends les deux sachets au chef. Il me fixe. Je conseille :

- Sortez vos pinces, nous discuterons après. L'entrée des policiers statufie les deux corps imbriqués. Fernand est immobilisé, bras dans le dos, le sexe enflé encore fiché dans Caro. Elle me voit, ses yeux se dilatent:

-Oh ! Robert, tu es là ? Qu'est-ce qui se passe?

-Ca va, Caro, Fernand n'est pas trop lourd ?

-Non, je le supporte. Mais, c'est lui qui a voulu. Ce n'est pas moi. Hihihi! Tu me crois.

Il faut deux hommes pour extraire Fernand du vagin de Caro. Elle reste cuisses ouvertes, vulve béante, et sourit béatement. Je lui lance une chemise de nuit pour cacher sa nudité et demande aux policiers de nous attendre au salon avec le trafiquant de drogue. Puisque Caro est encore sous l'effet de son joint, je joue au mari compréhensif devant l'officier revenu dans notre chambre :

-Dis-moi, ma chérie, Fernand t'a forcée à coucher?

-Tu sais bien qu'autrement je ne l'aurais pas fait ? Il m'a droguée.

C'est la première fois?

-Non, c'est la troisième fois.

-Où caches-tu ses paquets?

-Je ne dois pas le dire. Chut, c'est un secret. Personne ne doit les voir. Je ne suis pas une... balance.

-Tu as raison, ma chérie. C'est là, dans ta table de nuit?

-Il ne faut pas le dire. Monsieur l'agent, ces paquets ne sont pas à moi. Vous ne devez pas les emporter, ils appartiennent à Fernand.

Elle, lui, la voiture et la caisse à outils partent pour le commissariat. Partageront-ils la même cellule et s'accoupleront-ils pour la joie des gardiens ? Angèle est venue :

- Heureusement que je vous ai prévenu, ce type me paraissait louche. Et quand je les voyais s'embrasser devant la fenêtre ouverte, j'avais mal au cœur pour vous, Robert. Il faut divorcer.

Je n’aime pas les cornes. Je refuserai de témoigner en faveur de ma femme accusée de recel. Quelques jours, semaines, mois ou années à l'ombre lui permettront de réfléchir et de comprendre pourquoi je demande le divorce. Elle a goûté au fruit défendu, qu’elle assume. Elle vivra ensuite dans la crainte de la libération de Fernand ou dans l’espoir de renouer avec lui.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle morale cet article fait cruellement defaut en ce moment on ne trouve pus que des faux cul et pervers en tous genres dans nos super marchés.



Texte coquin : Drogue et sexe : cocu
Histoire sexe : Une rose rouge
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