Drôle de dame.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Drôle de dame.
Comme prévu quelques jours plus tôt, je dépose la voiture au garage pour une révision à l’heure dite. Mais alors que je m’apprête de me retirer la patronne m’interpelle.
-Excusez Monsieur, je me permets de vous demandez si quelqu’un vous ramène ?
-Non, comme prévu, je vais récupérer ma voiture chez moi.
-Vous habitez loin ?
-Après le pont…
-Ce n’est pas tout près. Vous désirez peut-être que je vous dépose.
-Je ne voudrais pas que cela vous importune ?
-Nullement, c’est bien pour cela que je vous propose. Je dois passer devant.
Elle me guide jusqu’à la voiture, garée sur le parking du garage. Je m’installe sur le siège passager et me laisse emporter. Mais au lieu de tourner du côté du pont comme elle aurait dû le faire, elle fait un tout droit.
-Je pense Madame, que vous n’avez pas pris la bonne direction.
-Ah oui ! je me suis trompé ?
-Il fallait prendre le pont.
-Oh ! Je suis confuse… cela vous ennui si je fais ma course.
Elle porte une robe sous son imperméable ouvert, qui la moule comme une seconde peau. Sans gêne, je laisse mes yeux vagabonder dans son décolleté. Qui laisse apparaître juste ce qu’il faut, pour faire monter une libido sensible comme la mienne. Une courbe, un arrondi, une plage de chaire claire que laisse entrevoir la transparence d’un sous-vêtement.
Un début d’érection me prend au dépourvu.
-Dis-donc, je ne rêve pas, vous matez quoi ?
-J’ai un faible pour tout ce qui est beau à voir.
-De vous à moi, cela n’est pas pour me déplaire, surtout quand le mec est beau !
-Vous m’en voyez ravi !
-Dommage que j’aime mon mari ! Mais vous pouvez toujours regarder, mais bien sûr sans toucher !
-Cela va de soit ! Cela ne m’empêchera pas de fantasmer sur vous.
Elle jette un regard sur moi. Je lui fais un clin d’œil. Petite hésitation, avant qu’elle me lâche.
-Fantasmer sur moi ? A votre âge ?
-L’un n’empêche pas l’autre.
-Vous me charriez, là ?
-Pas du tout.
Elle pose un rapide regard sur moi, nonchalante, un rien aguicheuse.
-Eh bien, si je m’attendais à cela on vous proposant de vous ramener. Son sourire trahit sa satisfaction.
-Vous savez que j’ai une érection, là !
-Comme je mouille pour ma part ma culotte en ce moment à vous écoutez me draguer.
-De quelle couleur la culotte ?
-Voyons ! Un peu de tenu…
-Il n’y a pas de mal de dévoilé la couleur de sa culotte…
-Oh… mais ça ne va pas !
-Déposez-moi là… S’il vous plait…
Elle fait comme si elle n’avait pas entendu. Continuant sa route.
-Blanche… ma culotte est de couleur blanche ! Voilà cela vous va ?
-Oh là ! C’est vraiment tentant tout ça ! Je veux votre culotte…
-Pas question…
-Alors déposez-moi là…
Après un moment de réflexion elle laisse tomber :
-Bon… bon c’est d’accord…
-Arrêtez-vous là et donner la moi…
-Un peu de patience…
Nous parcourons encore quelques kilomètres avant qu’elle stoppe, et gare son véhicule dans un sentier. Je déserte ma place et fais le tour de la voiture pour la rejoindre. Elle ouvre sa portière. Je ne me fais pas prier pour honorer le pied après l’avoir déchausser, de mes caresses humides. Je m’applique sur le talon. Je sens ses mains me prendre délicatement la tête et m’attirer vers elle. Ma langue remonte vers le mollet, laissant une trace luisante et humide sur le nylon de sa cuisse et arrive aux frontières de la plus secrète de son intimité.
Plus fermement, elle guide ma tête vers le velours de son pubis et se renverse légèrement en arrière. Elle respire profondément. J’ai la profonde intuition qui ne faut pas qu’elle sorte de son voyage érotique si je veux avoir une chance de la conquérir complètement.
Je pose la paume de mes mains sur l’intérieur des cuisses, lesquelles s’ouvrent lentement libérant entièrement le passage vers la fourche à travers le collant et la culotte de coton blanche. Je donne de petits coups de langue répétés, comme pour demander l’autorisation d’aller plus loin. Le sang bat aux tempes, tandis que ma verge se tend à tout rompre, et bosselant insolemment mon jean. Je suis surpris de découvrir qu’elle apprécie cet assaut.
Le corps tendu, elle soulève son bassin. Le fait dansé au-dessus du siège. Elle pousse une série de râles d’extase, se décontracte en reprenant progressivement son souffle. Elle commence à être prise de spasmes et émet par instant un petit râle. Elle se tortille lascivement. Encouragé par sa passivité, je porte l’estocade en plongeant ma main dans sa culotte. Ce geste lui tire un cri, et très vite repousse ma main.
-Mais…mais ça ne va pas ! Me fait-elle, j’aime mon mari… je n’aurais pas dû. C’est de votre faute…
Les yeux brillant, elle détaille mon bas-ventre. Elle baisse la voix pour me dire.
-Mais… mais, vous bandez ?
-Oui, je vous l’ai dit ?
-Vous aimerez que je m’en occupe ?
Sans attendre ma réponse elle écarte tout ce qui la gêne pour atteindre ma queue bandée.
Oh la merveilleuse sensation que ces doigts de femme me palpant la verge ! Délicatement, elle tire sur la peau de mon prépuce et la chair laisse passer le bout de ma queue. Elle rabat la peau en arrière et découvre mon gland. Elle chuchote en me caressant l’extrémité de la verge.
La voilà qu’elle me tripote sous toutes les coutures, soupesant mes couilles, faisant coulisser ma queue sur sa main.
-Elle est belle…
Elle me touche des deux mains, insistant sur mon gland, le massant entre deux doigts, le griffant doucement avec ses ongles vernis de rouge vif. Elle m’écrase entre le pouce et l’index et le méat s’ouvre, lissant passer une grosse goutte claire. Elle l’étale sur la muqueuse qui semble sur le point d’éclater.
Peu à peu elle m’amène au bord du plaisir, puis s’arrête et, quand la pression est retombée, elle reprend ses attouchements vicieux. Avec un long frémissement de plaisir, je creuse les reins pour mieux lui donner mon bas-ventre.
-Vous avez l’air d’aimer ça qu’on tripote votre bite ! Regardez comme elle est rouge et tendue !
Du coin de l’œil, je lorgne une fois encore dans son décolleté, alors qu’elle me branle. Sa poitrine remue dans son décolleté. Elle me masturbe jusqu’à ce que je décharge. Ma semence gicle en longs guirlandes, souillant ses doigts.
-Encore Madame !
-Ça ne va pas !
-Soyer gentil, encore…
-Et qu’est-ce que vous me donnez en échange ?
-Tout ce que vous voulez…
-Vraiment tout ?
-Je dis bien tout !
-Bon !
Et de nouveau, elle me masturbe. Elle fixe ma verge toute humide de semence. Et comme elle trouve que c’est long, la voilà qu’elle relève l’ourlet de sa robe et descend en duo son collant et culotte blanche, enroulant ses chevilles.
-Montre-moi comment vous vous branlez ! Me fait-elle, alors qu’elle fouille de ses doigts sa grosse touffe de poils en poussant de légères plaintes.
Tout en fixant ma main en activité sur ma queue, elle fait disparaître ses doigts à l’intérieur de son ventre. Tout à coup elle soupir plus fort en se mordant la lèvre. Je profite de sa détresse pour plaquer mon visage contre son pubis. J’hume l’odeur que dégorge son intimité. Elle relève bien haut les genoux pour s’offrir.
Je presse ma figure contre son pubis. Les poils de sa toison me chatouillent le nez et une odeur de vie m’envahit les narines. Je faufile ma langue dans sa touffe, fouillant cette végétation odorante. Mes lèvres rencontrent la chair brûlante et humide que je me mets à lécher à grands coups de langue.
Mais, je n’ai pas le loisir de m’attarder sur son goût, que déjà elle me repousse en me donnant des coups de pieds.
-Mais arrêtez… ça ne va pas… vous profitez de ma faiblesse… me lâche-t-elle en remettant de l’ordre sur elle.
-Je vous dépose ?
-Non merci !
Et je regarde la voiture s’éloignée. Le soir j’ai demandé à ma femme de récupérer la voiture, moi l’attendant dans la mienne. Une manière comme une autre d’éviter de revoir de nouveau cette drôle de dame.
-Excusez Monsieur, je me permets de vous demandez si quelqu’un vous ramène ?
-Non, comme prévu, je vais récupérer ma voiture chez moi.
-Vous habitez loin ?
-Après le pont…
-Ce n’est pas tout près. Vous désirez peut-être que je vous dépose.
-Je ne voudrais pas que cela vous importune ?
-Nullement, c’est bien pour cela que je vous propose. Je dois passer devant.
Elle me guide jusqu’à la voiture, garée sur le parking du garage. Je m’installe sur le siège passager et me laisse emporter. Mais au lieu de tourner du côté du pont comme elle aurait dû le faire, elle fait un tout droit.
-Je pense Madame, que vous n’avez pas pris la bonne direction.
-Ah oui ! je me suis trompé ?
-Il fallait prendre le pont.
-Oh ! Je suis confuse… cela vous ennui si je fais ma course.
Elle porte une robe sous son imperméable ouvert, qui la moule comme une seconde peau. Sans gêne, je laisse mes yeux vagabonder dans son décolleté. Qui laisse apparaître juste ce qu’il faut, pour faire monter une libido sensible comme la mienne. Une courbe, un arrondi, une plage de chaire claire que laisse entrevoir la transparence d’un sous-vêtement.
Un début d’érection me prend au dépourvu.
-Dis-donc, je ne rêve pas, vous matez quoi ?
-J’ai un faible pour tout ce qui est beau à voir.
-De vous à moi, cela n’est pas pour me déplaire, surtout quand le mec est beau !
-Vous m’en voyez ravi !
-Dommage que j’aime mon mari ! Mais vous pouvez toujours regarder, mais bien sûr sans toucher !
-Cela va de soit ! Cela ne m’empêchera pas de fantasmer sur vous.
Elle jette un regard sur moi. Je lui fais un clin d’œil. Petite hésitation, avant qu’elle me lâche.
-Fantasmer sur moi ? A votre âge ?
-L’un n’empêche pas l’autre.
-Vous me charriez, là ?
-Pas du tout.
Elle pose un rapide regard sur moi, nonchalante, un rien aguicheuse.
-Eh bien, si je m’attendais à cela on vous proposant de vous ramener. Son sourire trahit sa satisfaction.
-Vous savez que j’ai une érection, là !
-Comme je mouille pour ma part ma culotte en ce moment à vous écoutez me draguer.
-De quelle couleur la culotte ?
-Voyons ! Un peu de tenu…
-Il n’y a pas de mal de dévoilé la couleur de sa culotte…
-Oh… mais ça ne va pas !
-Déposez-moi là… S’il vous plait…
Elle fait comme si elle n’avait pas entendu. Continuant sa route.
-Blanche… ma culotte est de couleur blanche ! Voilà cela vous va ?
-Oh là ! C’est vraiment tentant tout ça ! Je veux votre culotte…
-Pas question…
-Alors déposez-moi là…
Après un moment de réflexion elle laisse tomber :
-Bon… bon c’est d’accord…
-Arrêtez-vous là et donner la moi…
-Un peu de patience…
Nous parcourons encore quelques kilomètres avant qu’elle stoppe, et gare son véhicule dans un sentier. Je déserte ma place et fais le tour de la voiture pour la rejoindre. Elle ouvre sa portière. Je ne me fais pas prier pour honorer le pied après l’avoir déchausser, de mes caresses humides. Je m’applique sur le talon. Je sens ses mains me prendre délicatement la tête et m’attirer vers elle. Ma langue remonte vers le mollet, laissant une trace luisante et humide sur le nylon de sa cuisse et arrive aux frontières de la plus secrète de son intimité.
Plus fermement, elle guide ma tête vers le velours de son pubis et se renverse légèrement en arrière. Elle respire profondément. J’ai la profonde intuition qui ne faut pas qu’elle sorte de son voyage érotique si je veux avoir une chance de la conquérir complètement.
Je pose la paume de mes mains sur l’intérieur des cuisses, lesquelles s’ouvrent lentement libérant entièrement le passage vers la fourche à travers le collant et la culotte de coton blanche. Je donne de petits coups de langue répétés, comme pour demander l’autorisation d’aller plus loin. Le sang bat aux tempes, tandis que ma verge se tend à tout rompre, et bosselant insolemment mon jean. Je suis surpris de découvrir qu’elle apprécie cet assaut.
Le corps tendu, elle soulève son bassin. Le fait dansé au-dessus du siège. Elle pousse une série de râles d’extase, se décontracte en reprenant progressivement son souffle. Elle commence à être prise de spasmes et émet par instant un petit râle. Elle se tortille lascivement. Encouragé par sa passivité, je porte l’estocade en plongeant ma main dans sa culotte. Ce geste lui tire un cri, et très vite repousse ma main.
-Mais…mais ça ne va pas ! Me fait-elle, j’aime mon mari… je n’aurais pas dû. C’est de votre faute…
Les yeux brillant, elle détaille mon bas-ventre. Elle baisse la voix pour me dire.
-Mais… mais, vous bandez ?
-Oui, je vous l’ai dit ?
-Vous aimerez que je m’en occupe ?
Sans attendre ma réponse elle écarte tout ce qui la gêne pour atteindre ma queue bandée.
Oh la merveilleuse sensation que ces doigts de femme me palpant la verge ! Délicatement, elle tire sur la peau de mon prépuce et la chair laisse passer le bout de ma queue. Elle rabat la peau en arrière et découvre mon gland. Elle chuchote en me caressant l’extrémité de la verge.
La voilà qu’elle me tripote sous toutes les coutures, soupesant mes couilles, faisant coulisser ma queue sur sa main.
-Elle est belle…
Elle me touche des deux mains, insistant sur mon gland, le massant entre deux doigts, le griffant doucement avec ses ongles vernis de rouge vif. Elle m’écrase entre le pouce et l’index et le méat s’ouvre, lissant passer une grosse goutte claire. Elle l’étale sur la muqueuse qui semble sur le point d’éclater.
Peu à peu elle m’amène au bord du plaisir, puis s’arrête et, quand la pression est retombée, elle reprend ses attouchements vicieux. Avec un long frémissement de plaisir, je creuse les reins pour mieux lui donner mon bas-ventre.
-Vous avez l’air d’aimer ça qu’on tripote votre bite ! Regardez comme elle est rouge et tendue !
Du coin de l’œil, je lorgne une fois encore dans son décolleté, alors qu’elle me branle. Sa poitrine remue dans son décolleté. Elle me masturbe jusqu’à ce que je décharge. Ma semence gicle en longs guirlandes, souillant ses doigts.
-Encore Madame !
-Ça ne va pas !
-Soyer gentil, encore…
-Et qu’est-ce que vous me donnez en échange ?
-Tout ce que vous voulez…
-Vraiment tout ?
-Je dis bien tout !
-Bon !
Et de nouveau, elle me masturbe. Elle fixe ma verge toute humide de semence. Et comme elle trouve que c’est long, la voilà qu’elle relève l’ourlet de sa robe et descend en duo son collant et culotte blanche, enroulant ses chevilles.
-Montre-moi comment vous vous branlez ! Me fait-elle, alors qu’elle fouille de ses doigts sa grosse touffe de poils en poussant de légères plaintes.
Tout en fixant ma main en activité sur ma queue, elle fait disparaître ses doigts à l’intérieur de son ventre. Tout à coup elle soupir plus fort en se mordant la lèvre. Je profite de sa détresse pour plaquer mon visage contre son pubis. J’hume l’odeur que dégorge son intimité. Elle relève bien haut les genoux pour s’offrir.
Je presse ma figure contre son pubis. Les poils de sa toison me chatouillent le nez et une odeur de vie m’envahit les narines. Je faufile ma langue dans sa touffe, fouillant cette végétation odorante. Mes lèvres rencontrent la chair brûlante et humide que je me mets à lécher à grands coups de langue.
Mais, je n’ai pas le loisir de m’attarder sur son goût, que déjà elle me repousse en me donnant des coups de pieds.
-Mais arrêtez… ça ne va pas… vous profitez de ma faiblesse… me lâche-t-elle en remettant de l’ordre sur elle.
-Je vous dépose ?
-Non merci !
Et je regarde la voiture s’éloignée. Le soir j’ai demandé à ma femme de récupérer la voiture, moi l’attendant dans la mienne. Une manière comme une autre d’éviter de revoir de nouveau cette drôle de dame.
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