Drôle de double
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2012 dans la catégorie Plus on est
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Drôle de double
Je ne crois pas être une nymphomane, même si j’aime baiser souvent. Trop diront mes ex. A force de me faire mettre un peu partout je devient difficile. J’ai acheté des godes sur internet. Quand je les ai reçu il a fallut que j’ouvre le paquet aussitôt. J’étais comblée de voir les engins. Rien de révolutionnaire pourtant : un gode vibrant dont finalement je me sert peu, un autre double que je destine à mes amusement avec une copine enfin un double bien agréable pour les doubles pénétrations que j’aime pratiquer.
Un après midi, nous baisions avec mon amie, elle maniait le double gode. Elle me l’avait mis dans le vagin, elle se le mettait également au même endroit. Je racontais des histoires totalement inventées comme j’aime faire en baisant, entre autre celle ou je me faisais mettre par deux bites dans le con. Après l’orgasme mon amie me dit que finalement ce que je proposais devait être dégueulasse, donc jouissif. Elle voulait essayer sur moi. Je proposais l’inverse. Dans l’espoir de jouir plus fort elle accepte de me donner tout son con.
J’ai les godes je vais les lui mettre au même endroit. Elle écarte ses jambes au possible comme si j’allais lui mettre un morceau de bite pas possible. En attendant que je sois prête elle se branle comme souvent, ses doigts plantés dans la chatte. J’aime bien la voir se donner ce plaisir que j’aime aussi. Pour faciliter l’introduction je ne dispose que de préservatifs bien enduits. Au moins ils glisseront bien entre eux. Je lui demande lequel elle veut le premier. Ca lui est totalement égal puisqu’elle doit les avoir tous les deux. J’entre le premier comme si c’était une vrai bite, lentement au début puis à fond Ensuite, je la baise comme j’aimerai qu’on me fasse. Elle aime quand je la baise ainsi. Je la fait jouir une fois rien que pour mon plaisir. J’aime voir les spasmes de l’orgasme sur son con. Je le laisse en place, je vais l’embrasser avant de continuer.
J’allais lui mettre l’autre dans le cul, elle aurait bien aimé que je la prenne ainsi. Je m’y reprends juste à temps. Je pose le bout juste à coté du premier, un peu dessous. J’enfonce vite ce second à fond. Ca lui fait mal. Je manie les deux en sens inverse : un sort et l’autre entre. Elle commence à crier : j’arrête tout. J’ai du lui faire mal. Elle râle parce que j’ai empêché son plaisir de progresser.
Je reprends mes pénétrations lentement. Elle crit son bonheur. Je vais plus vite pour la faire jouir. Elle le fait en cascade, ses orgasmes sont très rapprochés. Je n’arrête pas ce que je lui fais. Les yeux fermés, sa tête va de gauche à droite sans cesse.
Arrive le moment où enfin, pour mes bras, je demande d’arrêter. Quand je sors les deux gode, un flot de cyprine s’écoule de son con. C’est la première fois qu’elle fait ça. Je goute sa mouille qui est plus corsée. J’en garde dans la bouche pour la lui faire gouter. Elle aussi trouve que c’est bien meilleur.
Nous restons allongées longtemps pendant que je la caresse sur tout le corps, particulièrement les seins et les fesses. Elle voudrait bien me baiser avec les deux godes. Je n’ai pas le temps, même si j’en meurs d’envie.
Après elle, le soir mon mec vient chez moi dans l’intention non cachée de ma la mettre là où je veux. Il n’est jamais très fixé sur l’endroit où il me prend. Je la veux dans le con pour changer un peu, même s’il préfère m’enculer parce que c’est plus serré. Je divague encore.
- Peux-tu trouver un copain bien monté pour baiser ma copine, tu sais la lesbienne, avec toi dans le même trou. Et pour moi aussi, dans le con.
- Tu es folle, deux bites dans ton con, à la fois ?
- Alors en double pénétration.
- Une dans le cul et l’autre dans la chatte, là oui. Demain soir Vendredi.
Il finit de me baiser, j’en jouis comme à chaque fois grâce à sa queue vraiment bien venue.
Il me tarde qu’ils soient là, tous les deux, même si je ne connais pas le type qui doit venir avec sa queue. Je la veux grosse pour bien me remplir le con. Il me tarde que le soir arrive ; je suis obligée de me branler trois fois. J’utilise même le double gode pour me faire la double pénétration.
Je suis en levrette, j’entre un bout dans mon vagin pour le mouiller. Ensuite je n’ai qu’à le poser juste sur l’anus. Il entre presque seul. Je le tourne pour qu’il entre dans le vagin. Ciel que c’est bon !! Je tiens sans jouir être un quart d’heure. J’arrêtais souvent.
Enfin ils arrivent. Je me suis faite désirable avec mes bas noirs, les tétons marqués d’un peu de gloss, prête à servir. S ‘ils pensent venir pour me baiser et m’enculer, ils se trompent. Je suis leur proie, je les laisse faire ce qu’ils veulent, y compris une fessée un peu trop appliquée qui me donne encore plus envie de jouir. Toute ma fente est transformée en fontaine.
Je reste assise pendant qu’ils se mettent nus. Je regarde la bite inconnue. Elle me plait bien, en d’autres circonstances je l’aurais bien accepté dans le cul. Quand les deux bandent c’est plus excitant. Je prévois qu’ils vont me faire jouir plusieurs fois d’affilée.
Mon mec veut me baiser pour laisser mon cul libre à l’invité. Il va vite, trop vite en besogne. J’ai besoin d’un minimum de pelotage. Je reste entre les deux, sur le divan. J’ai leurs deux mandrins dans les mains. Je les branle ensemble. Je les branle uniquement pour les faire jouir avant qu’ils entrent dans mon corps. J’arrive à ce que je veux. Je les regarde jouir presque ensemble. Leurs jets sont puissants.
A mon tour de le faire rebander. Ca je connais depuis peu, je sais comment les faire durcir longuement. C’est-ce qu’il me faut.
Je passe un doigt sous chaque couille en appuyant un peu comme si je me branlais. Au bout d’un instant les bites sont bien vivantes. Mon mec se couche sur le dos. Je vais m’empaler sur sa queue bien dure. Il me fait déjà du bien Je le baise comme il aime avant de me presque coucher sur lui. Son copain est pressé. Je sens sa queue entre mes fesses.
J’ai ma tactique, je le prends dans ma main pour le branler encore un peu. Il ne se doute pas, sinon en entrant qu’il est dans mon con. J’ai un peu mal je l’avoue quand les deux bites sont ensemble au fond de mon con. Enfin mon copain commence ses aller et venue. L’autre bite fait les mouvements inverses.
A mon tour de crier mon bonheur. Je ne peux pas décrire ce que je ressens tellement c’est bon, meilleur que bon, le cran au dessus. Ils me liment pire que si j’étais une machine outil.
Ce n’est pas un orgasme, c’est une suite de jouissances interrompus. Je ne pensais jamais avoir autant plaisir. Malheureusement ils se retirent en jouissant. J’ai plein de sperme dans mon puits. Je sais que je vais couler presque toute la nuit. Dommage cette semence gaspillée. Je l’aurais bien dégusté, surtout celle du nouveau que je ne connais pas encore.
Nous devons remettre le couvert plus tard dans la nuit. Je dois attendre une bonne semaine pour qu’ile recommencent cette fois à leur demande.
Un après midi, nous baisions avec mon amie, elle maniait le double gode. Elle me l’avait mis dans le vagin, elle se le mettait également au même endroit. Je racontais des histoires totalement inventées comme j’aime faire en baisant, entre autre celle ou je me faisais mettre par deux bites dans le con. Après l’orgasme mon amie me dit que finalement ce que je proposais devait être dégueulasse, donc jouissif. Elle voulait essayer sur moi. Je proposais l’inverse. Dans l’espoir de jouir plus fort elle accepte de me donner tout son con.
J’ai les godes je vais les lui mettre au même endroit. Elle écarte ses jambes au possible comme si j’allais lui mettre un morceau de bite pas possible. En attendant que je sois prête elle se branle comme souvent, ses doigts plantés dans la chatte. J’aime bien la voir se donner ce plaisir que j’aime aussi. Pour faciliter l’introduction je ne dispose que de préservatifs bien enduits. Au moins ils glisseront bien entre eux. Je lui demande lequel elle veut le premier. Ca lui est totalement égal puisqu’elle doit les avoir tous les deux. J’entre le premier comme si c’était une vrai bite, lentement au début puis à fond Ensuite, je la baise comme j’aimerai qu’on me fasse. Elle aime quand je la baise ainsi. Je la fait jouir une fois rien que pour mon plaisir. J’aime voir les spasmes de l’orgasme sur son con. Je le laisse en place, je vais l’embrasser avant de continuer.
J’allais lui mettre l’autre dans le cul, elle aurait bien aimé que je la prenne ainsi. Je m’y reprends juste à temps. Je pose le bout juste à coté du premier, un peu dessous. J’enfonce vite ce second à fond. Ca lui fait mal. Je manie les deux en sens inverse : un sort et l’autre entre. Elle commence à crier : j’arrête tout. J’ai du lui faire mal. Elle râle parce que j’ai empêché son plaisir de progresser.
Je reprends mes pénétrations lentement. Elle crit son bonheur. Je vais plus vite pour la faire jouir. Elle le fait en cascade, ses orgasmes sont très rapprochés. Je n’arrête pas ce que je lui fais. Les yeux fermés, sa tête va de gauche à droite sans cesse.
Arrive le moment où enfin, pour mes bras, je demande d’arrêter. Quand je sors les deux gode, un flot de cyprine s’écoule de son con. C’est la première fois qu’elle fait ça. Je goute sa mouille qui est plus corsée. J’en garde dans la bouche pour la lui faire gouter. Elle aussi trouve que c’est bien meilleur.
Nous restons allongées longtemps pendant que je la caresse sur tout le corps, particulièrement les seins et les fesses. Elle voudrait bien me baiser avec les deux godes. Je n’ai pas le temps, même si j’en meurs d’envie.
Après elle, le soir mon mec vient chez moi dans l’intention non cachée de ma la mettre là où je veux. Il n’est jamais très fixé sur l’endroit où il me prend. Je la veux dans le con pour changer un peu, même s’il préfère m’enculer parce que c’est plus serré. Je divague encore.
- Peux-tu trouver un copain bien monté pour baiser ma copine, tu sais la lesbienne, avec toi dans le même trou. Et pour moi aussi, dans le con.
- Tu es folle, deux bites dans ton con, à la fois ?
- Alors en double pénétration.
- Une dans le cul et l’autre dans la chatte, là oui. Demain soir Vendredi.
Il finit de me baiser, j’en jouis comme à chaque fois grâce à sa queue vraiment bien venue.
Il me tarde qu’ils soient là, tous les deux, même si je ne connais pas le type qui doit venir avec sa queue. Je la veux grosse pour bien me remplir le con. Il me tarde que le soir arrive ; je suis obligée de me branler trois fois. J’utilise même le double gode pour me faire la double pénétration.
Je suis en levrette, j’entre un bout dans mon vagin pour le mouiller. Ensuite je n’ai qu’à le poser juste sur l’anus. Il entre presque seul. Je le tourne pour qu’il entre dans le vagin. Ciel que c’est bon !! Je tiens sans jouir être un quart d’heure. J’arrêtais souvent.
Enfin ils arrivent. Je me suis faite désirable avec mes bas noirs, les tétons marqués d’un peu de gloss, prête à servir. S ‘ils pensent venir pour me baiser et m’enculer, ils se trompent. Je suis leur proie, je les laisse faire ce qu’ils veulent, y compris une fessée un peu trop appliquée qui me donne encore plus envie de jouir. Toute ma fente est transformée en fontaine.
Je reste assise pendant qu’ils se mettent nus. Je regarde la bite inconnue. Elle me plait bien, en d’autres circonstances je l’aurais bien accepté dans le cul. Quand les deux bandent c’est plus excitant. Je prévois qu’ils vont me faire jouir plusieurs fois d’affilée.
Mon mec veut me baiser pour laisser mon cul libre à l’invité. Il va vite, trop vite en besogne. J’ai besoin d’un minimum de pelotage. Je reste entre les deux, sur le divan. J’ai leurs deux mandrins dans les mains. Je les branle ensemble. Je les branle uniquement pour les faire jouir avant qu’ils entrent dans mon corps. J’arrive à ce que je veux. Je les regarde jouir presque ensemble. Leurs jets sont puissants.
A mon tour de le faire rebander. Ca je connais depuis peu, je sais comment les faire durcir longuement. C’est-ce qu’il me faut.
Je passe un doigt sous chaque couille en appuyant un peu comme si je me branlais. Au bout d’un instant les bites sont bien vivantes. Mon mec se couche sur le dos. Je vais m’empaler sur sa queue bien dure. Il me fait déjà du bien Je le baise comme il aime avant de me presque coucher sur lui. Son copain est pressé. Je sens sa queue entre mes fesses.
J’ai ma tactique, je le prends dans ma main pour le branler encore un peu. Il ne se doute pas, sinon en entrant qu’il est dans mon con. J’ai un peu mal je l’avoue quand les deux bites sont ensemble au fond de mon con. Enfin mon copain commence ses aller et venue. L’autre bite fait les mouvements inverses.
A mon tour de crier mon bonheur. Je ne peux pas décrire ce que je ressens tellement c’est bon, meilleur que bon, le cran au dessus. Ils me liment pire que si j’étais une machine outil.
Ce n’est pas un orgasme, c’est une suite de jouissances interrompus. Je ne pensais jamais avoir autant plaisir. Malheureusement ils se retirent en jouissant. J’ai plein de sperme dans mon puits. Je sais que je vais couler presque toute la nuit. Dommage cette semence gaspillée. Je l’aurais bien dégusté, surtout celle du nouveau que je ne connais pas encore.
Nous devons remettre le couvert plus tard dans la nuit. Je dois attendre une bonne semaine pour qu’ile recommencent cette fois à leur demande.
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