Drôle de voisinage, épisode quatre
Récit érotique écrit par Santiano [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Drôle de voisinage, épisode quatre
Thomas rentre dans la maison, il a le regard plein de haine et de mépris, dans ces conditions, là, difficile de ne pas avouer, le péché de l’adultère. Sa mère me traite de tous les noms pendant que son père reste en arrière de cette scène d’engueulade. Je tombe en sanglot et dans le même temps, je sens le sperme de Michel couler sur mes cuisses.
Je suis rouge de honte, même si je dois reconnaître que j’ai pris beaucoup de plaisir. Les cris de mon compagnon raisonnent dans la rue, il casse tout ce qu’il peut, tente de me frapper, mais Michel intercepte les coups tant bien que mal. Sa mère me colle une gifle monumentale qui me couche sur le sol.
Le sexagénaire me relève, et mes voisins les plus proches arrivent en renfort si je puis dire.
Robin tente de calmer Thomas, Florence fait de même avec la mère, et je demande à Michel de quitter la maison, ce qu’il fait tranquillement. L’électricité dans l’air est vraiment pesante, le couple me propose de rejoindre leur maison, puis discrètement, je les entends discuter, puis au bout d’une heure tout redevient calme.
Il est presque minuit, je suis morte de fatigue à la fois moralement et physiquement. Le couple vient de me rejoindre et nous entrons dans une discussion sur le pourquoi du comment, je bois un verre d’eau, et explique le déroulement de la fin de soirée. Un brin moralisateur, mais pas trop Robin me dit que j’aurais dû faire plus attention et être plus prudente, mais que ni lui, ni elle ne tiendrait compte de ce qui s’est passé, la vie sexuelle des gens ne les regardent pas.
Timidement, je leur demande si je peux prendre une douche, Florence m’accompagne, me donne du gel douche et une serviette. Elle m’aide à me déshabiller, et me fait une réflexion sur la sensualité que mon corps dégage, puis repart dans le salon avec son compagnon.
Au bout d’une demi-heure, je sors en serviette, je suis la jeune femme en direction de la chambre d’ami et prends une nuisette qu’elle me prête pour la nuit.
Le lendemain matin, je me réveille avec la tête de bois, je descends les marches de l’escalier, salue Florence qui fait le ménage et Robin qui joue sur l’ordinateur. Il me dit qu’il va aller voir Thomas, pour voir s’il s’est calmé ou pas puis revient au bout d’une demi-heure avec deux sacs-poubelles, et je comprends très vite qu’il s’agit de mes affaires.
Je ne sais plus comment et quoi faire, heureusement que je travaille ça me permettra de trouver un logement rapidement, mais en attendant que faire, mes parents habitent trop loin pour que je puisse trouver une solution de repli.
Le couple me propose la chambre d’ami. Je leur fais une accolade en guise de remerciement. Dans le même temps, Robin nous dit qu’il va faire quelques courses supplémentaires, maladroitement, je lui tends un billet de vingt euros et il me dit que ce n’est pas la peine et que l’on fera les courses tous les trois la prochaine fois. La chambre est plutôt agréable et spacieuse, Florence brûle un encens pour enlever les odeurs de vieux, fait de la place dans l’armoire pour y installer les vêtements, puis je place quelques photos sur le mur en guise de décoration.
Nous nous asseyons sur le lit, puis les évènements de la veille reviennent rapidement dans la discussion, je lui explique pourquoi et comment j’ai été attiré, le plaisir que j’ai pris. Elle me dit qu’elle comprend la situation, car elle a vécu plus ou moins la même chose lorsqu’elle avait mon âge juste avant de rencontrer Robin et de se stabiliser, elle me dit aussi que la vie est faite d’aventure et qu’à vingt ans, il ne faut pas s’en priver.
Et c’est en disant ces quelques mots qu’elle pose sa main sur ma cuisse et me caresse doucement.
J’en souris presque de nervosité, alors que Florence semble, quant à elle, experte en la matière.
Je sens un frisson me parcourir le corps. Elle se rapproche de moi, passe une main autour de ma nuque, me tourne la tête dans sa direction puis m’embrasse. Je suis complètement surprise, recule un peu, puis elle m’informe que Robin l’autorise quelques fois à prendre du plaisir avec d’autres femmes afin d’augmenter la libido du couple en cas de faiblesse, ça donne du piment comme elle dit.
C’est effectivement une jolie femme, avec des cheveux blonds vénitiens, une poitrine assez imposante et des petites fesses bombées. Après cette explication, Florence continue ses caresses qui deviennent beaucoup plus explicites. Elle glisse en dessous de ma nuisette, et ne portant pas de sous-vêtement touche à ma vulve. Je me couche sur le lit, écarte un peu les jambes, puis lui offre une vue imprenable.
Elle se met à genou, me lèche, me mordille le clitoris, puis remonte en direction de ma bouche.
S’en suit un baiser fougueux, elle descend mes bretelles, dévore mes tétons, et me déshabille complètement. Je fais de même avec elle, puis nous nous mettons dans la position du soixante-neuf.
Nous nous léchons le bouton magique, nous nous le mordillons, elle fait coulisser ses doigts sur mon clitoris et dans mon puits d’amour, ce qui a pour effet de m’électriser le corps. C’est la deuxième fois que je prends du plaisir avec un cunnilingus. Je fais de même avec elle, j’ose même quelques attouchements sur son petit trou.
Je prends l’initiative de mettre mon index et mon majeur en forme de fourchette pour lui faire une sorte de double pénétration. Je sens qu’elle monte très vite dans les tours et aime ce jeu sexuel. Plus le temps passe, et plus je sens le plaisir monter en moi, je me rallonge sur le dos, puis écarte les jambes, je me sens trembler, puis envois des jets de cyprine qu’elle s’empresse de boire.
Sa bouche gobe complètement mes lèvres, j’ai la tête en arrière et dans la légère ouverture de la porte, je sens et vois la présence de Robin. Ce qui me provoque un deuxième orgasme dans la foulée. Florence aussi jouit et je me délecte de son nectar que je trouve délicieux.
Nous sommes complètement épuisés et nous rions de bon cœur de cette situation. Nous descendons les marches de l’escalier pour rejoindre la salle de bains, et son compagnon nous fait un sourire énorme sans louper une seule fois la démarche de sa compagne.
Visiblement, il est amateur de ce genre de voyeurisme, et je dois avouer qu’il y a un côté assez excitant de se faire voir dans le feu de l’action.
Je suis rouge de honte, même si je dois reconnaître que j’ai pris beaucoup de plaisir. Les cris de mon compagnon raisonnent dans la rue, il casse tout ce qu’il peut, tente de me frapper, mais Michel intercepte les coups tant bien que mal. Sa mère me colle une gifle monumentale qui me couche sur le sol.
Le sexagénaire me relève, et mes voisins les plus proches arrivent en renfort si je puis dire.
Robin tente de calmer Thomas, Florence fait de même avec la mère, et je demande à Michel de quitter la maison, ce qu’il fait tranquillement. L’électricité dans l’air est vraiment pesante, le couple me propose de rejoindre leur maison, puis discrètement, je les entends discuter, puis au bout d’une heure tout redevient calme.
Il est presque minuit, je suis morte de fatigue à la fois moralement et physiquement. Le couple vient de me rejoindre et nous entrons dans une discussion sur le pourquoi du comment, je bois un verre d’eau, et explique le déroulement de la fin de soirée. Un brin moralisateur, mais pas trop Robin me dit que j’aurais dû faire plus attention et être plus prudente, mais que ni lui, ni elle ne tiendrait compte de ce qui s’est passé, la vie sexuelle des gens ne les regardent pas.
Timidement, je leur demande si je peux prendre une douche, Florence m’accompagne, me donne du gel douche et une serviette. Elle m’aide à me déshabiller, et me fait une réflexion sur la sensualité que mon corps dégage, puis repart dans le salon avec son compagnon.
Au bout d’une demi-heure, je sors en serviette, je suis la jeune femme en direction de la chambre d’ami et prends une nuisette qu’elle me prête pour la nuit.
Le lendemain matin, je me réveille avec la tête de bois, je descends les marches de l’escalier, salue Florence qui fait le ménage et Robin qui joue sur l’ordinateur. Il me dit qu’il va aller voir Thomas, pour voir s’il s’est calmé ou pas puis revient au bout d’une demi-heure avec deux sacs-poubelles, et je comprends très vite qu’il s’agit de mes affaires.
Je ne sais plus comment et quoi faire, heureusement que je travaille ça me permettra de trouver un logement rapidement, mais en attendant que faire, mes parents habitent trop loin pour que je puisse trouver une solution de repli.
Le couple me propose la chambre d’ami. Je leur fais une accolade en guise de remerciement. Dans le même temps, Robin nous dit qu’il va faire quelques courses supplémentaires, maladroitement, je lui tends un billet de vingt euros et il me dit que ce n’est pas la peine et que l’on fera les courses tous les trois la prochaine fois. La chambre est plutôt agréable et spacieuse, Florence brûle un encens pour enlever les odeurs de vieux, fait de la place dans l’armoire pour y installer les vêtements, puis je place quelques photos sur le mur en guise de décoration.
Nous nous asseyons sur le lit, puis les évènements de la veille reviennent rapidement dans la discussion, je lui explique pourquoi et comment j’ai été attiré, le plaisir que j’ai pris. Elle me dit qu’elle comprend la situation, car elle a vécu plus ou moins la même chose lorsqu’elle avait mon âge juste avant de rencontrer Robin et de se stabiliser, elle me dit aussi que la vie est faite d’aventure et qu’à vingt ans, il ne faut pas s’en priver.
Et c’est en disant ces quelques mots qu’elle pose sa main sur ma cuisse et me caresse doucement.
J’en souris presque de nervosité, alors que Florence semble, quant à elle, experte en la matière.
Je sens un frisson me parcourir le corps. Elle se rapproche de moi, passe une main autour de ma nuque, me tourne la tête dans sa direction puis m’embrasse. Je suis complètement surprise, recule un peu, puis elle m’informe que Robin l’autorise quelques fois à prendre du plaisir avec d’autres femmes afin d’augmenter la libido du couple en cas de faiblesse, ça donne du piment comme elle dit.
C’est effectivement une jolie femme, avec des cheveux blonds vénitiens, une poitrine assez imposante et des petites fesses bombées. Après cette explication, Florence continue ses caresses qui deviennent beaucoup plus explicites. Elle glisse en dessous de ma nuisette, et ne portant pas de sous-vêtement touche à ma vulve. Je me couche sur le lit, écarte un peu les jambes, puis lui offre une vue imprenable.
Elle se met à genou, me lèche, me mordille le clitoris, puis remonte en direction de ma bouche.
S’en suit un baiser fougueux, elle descend mes bretelles, dévore mes tétons, et me déshabille complètement. Je fais de même avec elle, puis nous nous mettons dans la position du soixante-neuf.
Nous nous léchons le bouton magique, nous nous le mordillons, elle fait coulisser ses doigts sur mon clitoris et dans mon puits d’amour, ce qui a pour effet de m’électriser le corps. C’est la deuxième fois que je prends du plaisir avec un cunnilingus. Je fais de même avec elle, j’ose même quelques attouchements sur son petit trou.
Je prends l’initiative de mettre mon index et mon majeur en forme de fourchette pour lui faire une sorte de double pénétration. Je sens qu’elle monte très vite dans les tours et aime ce jeu sexuel. Plus le temps passe, et plus je sens le plaisir monter en moi, je me rallonge sur le dos, puis écarte les jambes, je me sens trembler, puis envois des jets de cyprine qu’elle s’empresse de boire.
Sa bouche gobe complètement mes lèvres, j’ai la tête en arrière et dans la légère ouverture de la porte, je sens et vois la présence de Robin. Ce qui me provoque un deuxième orgasme dans la foulée. Florence aussi jouit et je me délecte de son nectar que je trouve délicieux.
Nous sommes complètement épuisés et nous rions de bon cœur de cette situation. Nous descendons les marches de l’escalier pour rejoindre la salle de bains, et son compagnon nous fait un sourire énorme sans louper une seule fois la démarche de sa compagne.
Visiblement, il est amateur de ce genre de voyeurisme, et je dois avouer qu’il y a un côté assez excitant de se faire voir dans le feu de l’action.
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