Du gîte aux gorges profondes…

- Par l'auteur HDS Alone -
Récit érotique écrit par Alone [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Du gîte aux gorges profondes… Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(7.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Du gîte aux gorges profondes…
En vacances en gîte, belle bâtisse en pierre, j’étais installé au rez-de-chaussée dans un deux pièces. Une pièce principale, un couloir avec 2 portes à droite desservant la salle de bain et les toilettes, une porte en face de la pièce principale donnant sur la chambre. Cette dernière donnait sur la terrasse en L. Au dessus de moi s’était installé un couple proche de la cinquantaine. Un vieux bougon féru de pêche et une ménagère toute dévouée à son mari. Elle me saluait à chaque fois que nous nous croisions et je sentais son regard appuyé sur moi. Son mari la précédait toujours et il ne semblait nullement attentionné avec sa femme. C’est elle qui faisait les courses s’occupait du linge… Durant la première semaine, nos regards et les sourires échangés étaient de plus en plus longs. Nous échangions quelques mots sur la météo exceptionnelle et sur cette chaleur tout en ventant l’isolation de cette vieille demeure. Tout dérapa la deuxième semaine. Un matin, je sortais d’une douche fraîche après mon jogging. J’avais oublié de refermer la porte fenêtre. J’étais dans le plus simple appareil quand je sentis un regard sur moi. C’était la femme qui me matait. Elle rentrait de faire ses courses. Elle posa son sac et fit un signe comme quoi mon sexe était petit. Après une douche froide on n’est pas à son avantage. Je ne fus pas désarçonné plus que ça. Je la montrais du doigt, simulais un lever de haut de vêtement et lui indiquais que mon sexe se lèverait instantanément. Elle s’approcha un peu posa ses deux sacs regarda à droite et à gauche puis elle souleva son caraco en attrapant son soutien gorge au passage libérant ses deux seins lourds légèrement pendant avec de belles aréoles brunes. Mon sexe se raidit immédiatement. Elle mit son pousse en l’air. Je ne suis pas un monstre mais mon sexe est très raide et légèrement arqué vers le haut. Elle remit son haut prit ses courses et disparue. Le lendemain matin, mes volets étaient mi-clos laissant la place pour mon sexe de passer entre les deux battants. J’attendais le retour de madame. Lorsqu’elle arriva je sentis dans son regard un peu de déception quand elle vit les volets fermés. Quand elle fut proche de ma terrasse, je tapais avec mon doigt sur le volet et je fis apparaitre ma bite entre ces derniers. Elle marqua un temps d’arrêt puis elle vit mon sexe. Un léger rictus apparut sur son visage ; Elle s’approcha. Me branla légèrement, regarda aux alentours, s’accroupit et avala mon sexe dans un bruit de succion qui me sembla faire trembler les murs. Un vrai Dyson. Une experte de la fellation. Elle se releva après m’avoir embrassé le sexe et me dit à bientôt. Je restais stoïque derrière les volets.
Il était 15 heures quand je vis passer le mari avec sa canne à pêche. A peine avait-il disparu du paysage qu’elle passa la porte fenêtre, posa son panier à linge ferma les volets et retira sa robe. Une fois de plus j’étais bluffé par son sans froid. Elle avait le teint hâlé. Elle avait dû avoir des seins magnifiques dans sa jeunesse. Sa taille était encore marquée et ses hanches un peu larges. Elle se retourna, s’appuya sur les barreaux du lit et sortit cette phrase que beaucoup d’hommes aimeraient entendre « prends-moi ». J’étais scotché par sa proposition sans ambages et je regardais ses fesses généreuses. Je m’avançai vers elle en quittant mes vêtements me plaçai derrière elle et trouvai son orifice plein de cyprine. Je m’enfonçai jusqu’à la garde. Elle laissa échapper un léger cri. Je continuais mes va et vient avec douceur. Parfois à fond et parfois je laissais rentrer que le bout du sexe. J’arrêtais je laissais mon sexe à l’entrée de sa vulve pour voir sa réaction. Elle se retourna et avec un mouvement de hanche elle s’enfonça au plus profond de son corps. Elle allait et venait sur mon sexe. Je me cambrais en légèrement en avant pour qu’elle puisse s’empaler sur mon membre. Elle s’appuyait sur des barreaux du pied de lit pour sentir ma queue au plus profond de ses entrailles.
Elle regarda et me dit : « Remplit moi la chatte je viens »Je repris mes ondulations avec plus de rythme en saisissant ma voisine par les hanches. Nous ne tardions pas à jouir ensemble. Elle se mordait les lèvres pour ne pas laisser échapper de cris. Au premier jet chaud dans sa chatte elle se cambra au maximum et me regarda avec un regard et un sourire de satisfaction. Je continuais mes coups de bite jusqu’au bout. Mes cuisses brulaient et je commençais à tétaniser mais c’était tellement bon.
On entendit à l’étage du bruit puis son mari l’appeler par son prénom. Celle qui était au bout de ma bite s’appelait donc Christelle … Je commençais à paniquer légèrement. Elle, pas du tout. Une fois de plus avec sang froid, elle remit sa robe, prit son panier à linge, quitta ma chambre par où elle était venue. En arrivant chez je l’entendis dire à son mari qu’il n’était pas obligé de meugler et que le linge ne s’étendait pas tout seul. Je me préparai pour aller me baigner dans les gorges de l’Ardèche. Nous nous croisâmes en sortant, nous nous saluions comme si de rien n’était. Son mari étant devant elle, elle me fit un petit signe pour me faire comprendre qu’elle était toujours remplie par ma semence.
Tard dans la nuit, de retour d’un bar du village d’à côté où j’avais passé la soirée, je tentais d’ouvrir ma porte. J’entendis des « psitt » venant d’au-dessus de moi. Je levai les yeux et vis ma voisine en nuisette transparente éclairée par la lune. Elle descendit les escaliers en pierre. Je montai aussi à sa rencontre. Et nous voilà en train de nous rouler des patins, moi en lui caressant les seins et elle m’ouvrant le bouton du pantalon et me saisissant la bite. Je lui soulevai rapidement la nuisette et lui bouffai les tétons. Elle me malaxant les boules et me branlant le sexe. Elle s’assit sur les marches je baissai mon pantalon et mis ma bite entre ses seins. Ma bite disparaissait entre eux, c’était merveilleux. Ensuite elle se releva et se fut moi qui lui bouffa le minou en lui attrapant les fesses refroidies par la pierre pour m’enfoncer au plus profond d’elle avec ma langue. J’en profitai pour lui aspirait son clitoris. Elle semblait apprécier car elle me caressait les cheveux et son souffle s’accélérait. Sa cyprine coulait, elle était humide et j’adorai. Puis n’en pouvant plus je la retournai, me mis juste à la marche du dessous. Je trouvai rapidement son orifice et m’enfonçai à fond en elle, elle était trempée. Je me tenais aux rampes situées de part et d’autre pour l’équilibre mais aussi pour lui donner de bons coups de reins. Elle les mains sur les marches, penchait ses fesses en arrière pour accueillir ma bite au plus profond des ses entrailles. Heureusement que sa chambre donnait de l’autre côté car nos corps claquaient l’un sur l’autre et nous laissions échappés quelques râles et cris étouffés. Les cuisses commençaient à me bruler et je ne pouvais pas profiter de ses seins. Je m’assis sur les marches fraiches et elle vint s’asseoir dos à moi. Pendant qu’elle s’empalait sur mon sexe je lui pétrissais les seins. Fatiguant aussi, elle s’enfonça au plus profond de ma bite et commença à onduler son corps. Je laissai un de ses seins pour m’occuper de son clito. Elle mit sa tête contre mon épaule. Me léchant le lobe de l’oreille elle fut prise de spasmes et me dit : « continue comme ça je jouis comme j’ai rarement joui ». Au bout de quelques minutes, son corps se fit plus lourd. Elle était rassasiée. Je n’étais pas loin du point de non retour mais une énorme envie de lui gicler sur les seins me faisait patienter. Je lui demandai si elle pouvait me finir avec la bouche et que je lui gicle sur sa poitrine. Je lui fis part de mon phantasme. Elle descendit quelques marches et commença à me pomper mon gland. Il était déjà très sensible et je ne mis pas longtemps à sentir la sève montée. Je me reculai un peu pour lui viser la poitrine mais le premier fut trop puissant et finit sur son front, son nez et sa bouche. Les suivants ne manquèrent par leur cible.
- « Merci à toi pour ce pied extraordinaire » me dit-elle.
- « Merci à toi d’avoir réalisé mon phantasme ».
- « Par contre je ne peux pas rentrer souillée comme ça ».
Alors, elle commença par se lécher les seins puis elle se nettoya le visage en se délectant apparemment de mon nectar. Elle me regarda puis saisit mon sexe mou et le nettoya également. Je restai bouche bée. C’est si bon de se faire lécher et sucer le gland quand on vient de jouir. Elle se releva m’embrassa et nos langues se mélangèrent. Un mélange de foutre et de cyprine dans la bouche je regagnais mon appart. Elle ne manqua pas de me dire à très bientôt.
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