Du lieu de travail au lit - histoire érotique

J'ai fait la connaissance de Bernadette, une quinqua proche de la retraite qui était collègue de bureau de Bruno (le partenaire bi de Pascal). Je continuais à être reçu par mes deux amis dans leur pavillon de Meudon.
J'étais reçu le dimanche midi pour un succulent repas comme à l'habitude. Notre couple était raffiné et savait entretenir notre relation. Ma jeune queue était leur cerise sur le gâteau des dimanches après-midi.
Mais n'étant pas gay, j'espaçais mes relations quand Bruno, qui était plus bisex que gay me proposais des virées dans des saunas échangistes de la capitale et en compagnie d'une relation pro et de son mari..
C'était mi mars et depuis octobre dernier,Hormis me faire sucer par mon petit couple gay, je n'avais eu qu'une relation sexuelle avec une femme de mon age et cela avait été vite fait... Bruno m'avait parlé de Bernadette et Victor et nous ne nous connaissions pas, juste un physique et une voix au téléphone.
Nos amis décident au dernier moment de ne pas se rendre au sauna et préfèrent une première dans un hôtel.
Une fois dans la chambre de l'hotel d'une chaine bien connue qui ne sert qu'à dormir ou à baiser, nous nous déshabillons et j'observe de suite la forte poitrine de Bernadette lourde dans son soutien gorge noire. C'est une femme chatain claire avec des mèches blondes, des lunettes noires aux vitres carrées et un rouge à lèvre marron fauve qui lui va très bien. Elle mesure environ 1m65 et est un peu ronde.
Elle tombe le reste et je m'imagine déjà la prendre et donner du plaisir à mes autres amis masculins dans cet chambre qui n'a rien de romantique mais qui va devenir le lieu ou nous allons baiser pendant les prochaines heures... Son mari Victor a 52 ans, il mesure 1m70, un peu moins peut être, les cheveux poivre et sel, petite moustache, lunettes carrées, mine joviale, un peu ventru et une belle queue, du moins au repos. Victor nous demande si nous avons des capotes en quantité suffisante. Bruno répond que c'est le cas et qu'il y en largement.
Les trois hommes étant nus et la queue à la main, nous regardons avec envie Bernadette qui nous lance "alors messieurs, qui sera le premier ?". Ma fougue et mon arrogance de jeune coq me font répondre un "moi" du tac au tac. Je m'agenouille sur le lit et me laisse prendre le chibre, puis l'avaler. De la main droite, je caresse sa grosse mamelle gauche qui a le téton dur. Bruno et Victor se masturbe et nous regardent. Bernadette me fait une pipe royale, je prends mon pied quand Victor vient la rejoindre et lui demande si elle veut bien partager le sucre d'orge. Elle sort ma
queue de la bouche et lui tend, sa moustache me passe sous le gland avant d'être avalé par monsieur puis Bruno qui demande sa part. Bruno prend l'initiative de me relever les jambes et Bernadette vient me titiller l'anus de petits coups de langue que je trouve délicieux. Je demande si je peux faire une pause, prétextant que je suis mal installé, tout cela pour me relever et venir embrasser Bernadette puis me rasseoir aussitôt afin de lui caresser et sucer le bout de ses mamelles.
A ce moment, j'ai envie de prendre Bernadette et de la baiser à fond, mes compagnons aiment s'occuper de moi, plus particulièrement Bruno mais je sens que Victor n'est pas en reste.
Je prends Bernadette par le cou et l'embrasse puis la fais basculer sur le dos et plonge la langue dans sa grosse chatte humide. Victor me masturbe et Bruno nous regarde lubriquement à côté.
Il me sort une capote et me la tend. Je lui demande de me le passer après m'avoir
sucer. Mon moustachu s'exécute et me suce le gland par bouchées goulues. Je lui dis qu'il faut m'habiller au plus vite car sa femme attend. Il me déroule sans difficulté le préservatif sur le chibre et je me redresse et dirige ma tige raide vers le minou suintant de Bernadette, je lui relève les jambes et m'engouffre dans son con sans difficultés. Je commence mes va et viens dans ce vagin ou je me sens si bien, je sens ses ongles sur les fesses me griffer et elle me demande de la baiser "comme il faut", je l'embrasse goulument, tient un sein dans la main gauche et une fesse dans l'autre. C'est bon et je lui dis dans l'excitation qu'elle me plait, je le répète à la suite
je ne sais combien de fois. Victor s'approche de nous et tend sa queue qui me donne envie en érection.
Je demande à Bernadette si je peux partager la queue de son homme et elle me répond de l'avaler et lui donner du plaisir. Bruno qui ne peux s'empêcher de me lécher la raie du cul et les couilles qui tapent sur la chatte de Bernadette.
Bernadette et moi suçons Victor jusqu'à ce qu'il nous gicle dessus. Son foutre est épais. Il est content et çà se ressent car il me caresse les cheveux et nous lance des "encore, encore, oui", je l'essore du mieux que je peux jusqu'à laisser ramollir sa queue dans la bouche.
Bruno me tend sa bite aussitôt et demande que l'on s'occupe de lui car il a apprécié la scène et s'est masturbé tout de long. Nous nous affairons de suite à la pomper et Bernadette demande à ce que je la prenne, l'avantage de mon age est que je rebande très vite et un fois la capote déroulée, je la pénètre aisément car elle mouille abondement. Elle a les jambes écartées allongée sur le dos et je vais et viens doucement pendant que nous embrassons goulument, Bruno vient nous tendre sa bite que nous titillons çà et là au rythme de la masturbation de monsieur. Victor vient à son tour, nous présenter son chibre. Bernadette et moi suçons les deux tiges qui sont maintenant bien dures. Bruno se dégage et part derrière moi. Aussi sec la main de Bruno me malaxe les bourses et quelques minutes après je sens une langue me titiller la rosette pendant que je continue à baiser Bernadette.
J'avoue que j'adore quand on me prodigue un anulingus. J'apprécie et Victor me dit qu'il va s'occuper également de mon fion. Je lui dis qu'il est à sa disposition. Etant entre gens de bonne compagnie, ils savent que je n'ai pas de tabou mais je ne sodomise ni ne me fait sodomiser. Tout de moi est à disposition. Mes amis de Meudon (Bruno et Pascal) savent que lorsque je viens chez eux, après un bon repas, ils ont leur dessert et sauf Bruno qui m'a déjà demandé si je ne voulais pas me faire sodomiser, ce à quoi j'ai répondu non. Il a essayé, c'est normal puisque c'est Pascal qui joue le rôle de "pris" et que leur couple fin quinqua/ début sexa,a ses habitudes avec moi. Leur dessert disais je est de m'accompagner jusqu'à leur chambre, me dénuder et me sucer, me lécher l'anus tant qu'ils peuvent et je mets un point d'honneur à leur procurer du foutre au maximum. Pascal aime sucer et Bruno aime se faire sucer. Nous trouvons notre compte tous les trois ainsi. Je laisse Bruno se
masturber et jouir entre mes fesses. C'est ce que nous avons décidé et même si il ne me sodomise pas il y trouve son compte ainsi...
Après cette parenthèse, revenons à notre affaire et Bruno s'est déchainé entre mes cuisses et je baise Bernadette avec fougue tout en lui disant que je ne vais pas tarder à jouir. Elle me dit d'accélérer et tout donner. Victor est raide et nous lui passons quelques coups de langues jusqu'à ce que je jouisse et entende Bruno jouir à son tour entre mes fesses et en me les serrant un peu trop fort.
Dans la jouissance partagée je dis à Victor d'aller se finir entre mes fesses également. Il s'y précipite et je sens sons chibre glisser aisément sur le foutre et la sueur que Bruno a laissé. De mon côté, je profite jusqu'au bout de ma jouissance en Bernadette qui me dit qu'elle est bien et que c'est bon de baiser ainsi. Nous nous embrassons langoureusement. Victor nous prévient qu'il va jouir à son tour et il bascule sur mon dos en hurlant de plaisir. J'avoue qu'il m'a cassé les oreilles. Il s'affale donc sur moi et je sens à nouveau du foutre ruisseler entre mes cuisse et sur mes couilles...
Nous avons baisé encore une fois cette journée mais je n'ai jamais revu ce couple avec qui j'aurais bien voulu aller plus loin...