E-lettre intime : la réponse
Récit érotique écrit par MG8895 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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E-lettre intime : la réponse
Mon Chéri, Comme tu me manques aussi, après la lecture de cette missive, que je viens de recevoir, je pense encore plus fort à toi. Comme j’aimerais être à tes côtés. Je peux comprendre ton stress et ta fatigue, d’après les conditions de travail que tu me décris si bien. A la fin de la relecture de ton courriel, je suis en transe, la description de tes desseins est tellement réaliste, que je mouillais. J’ai dû avoir recours à mon gode préféré et vibrant. Je ne te cache pas que j’ai joui très vite en pensant très fort à toi. Je t’aime Mon Poussin.
En écrivant ce mail, je porte cette jolie robe rouge que tu évoques dans tes écrits. Tu me l’as offerte à ton retour de DUBAÏ. Je suis heureuse que tu me trouves jolie et qu’elle mette en valeur mes formes. Comme le temps passe vite. Tant d’amour reçu et donné au cours de ces années passées ensemble. Je n’ai aucun regret sauf, celui d’être seule ce soir dans ces draps froissés par mes pratiques solitaires et avec mes joujoux intimes. C’est amusant mais rien ne remplace nos étreintes torrides et débridées.
Ici, il fait froid, les fêtes de fin d’année approchent et j’espère que tu seras présent pour les réveillons. Nous avons beaucoup de temps à rattraper. Mon Amour, tu me manques tant. Les masturbations et les « dildos » ne peuvent se substituer à ton membre viril et chaud. Je me rappelle notre dernière nuit avant ton départ pour cette foutue plateforme. Nous avions pris un bon repas commandé chez le traiteur. Le vin de Bourgogne que tu avais décanté et chambré était un délice, il nous a enivrés. Nous avions pris un bain-thalasso, bien détendus, nous avions soupé en peignoir. J’avais mis quelques gouttes de mon eau parfum préférée. Nous étions calmes et excités à la fois. Cette musique « underground » nous envoutait.
J’aimerais tant que te souviennes de cette nuit particulièrement torride que nous avons passée. Je te disais que tu serais fatigué et toi tu t’en moquais, tu étais prêt surtout, tu avais mis tout en œuvre pour que cette soirée soit réussie. Oh mon homme, comme j’aimerais revivre cet instant si passionné. Rappelle-toi, souviens toi, tout à commencer à la fin de cette chanson de Mark KNOPFLER : « Drovers’ Road », tu es venu derrière moi, nous étions à la salle de bain. Tu m’as enlacée, tu as mis ta tête dans mon cou, je ressens encore ce souffle chaud et humide sur ma peau. Tu as déposé plusieurs petits baisers, sur ma nuque et tu as fais glisser mon peignoir.
Tu as quitté le tien, nous étions nus, l’un contre l’autre, ta chaleur m’enveloppait, tu as commencé par me câliner, avec tendresse et délicatesse. Tes baisers se faisaient plus tendres dans mon dos, tes mains parcouraient mon corps, avec lenteur et douceur. Je sentais mon désir monter et je n’ignorais pas le tien, j’adore ta façon de faire. Tu connais si bien mes points sensibles. Tu t’es plaqué de plus en plus fort contre moi, je sentais ton sexe durcir dans le creux de mes reins. Tu as commencé à me pétrir les seins, oh quand j’y repense, j’ai des fourmillements dans le bas du ventre.
Tu m’as pincé les tétons, ce qui a eu pour effet de les faire pointer et de contracter mon périnée. Je commençais à mouiller. Une de tes mains est passée sur ma raie, je raffole de ce moment où tu effleure mon anus, sans y pénétrer, oui, tu le sais, je n’aime pas la sodomie et tu respectes mon refus, c’est pour ça que j’aime faire l’amour avec toi. Tu m’as doigté et masturbé, très lentement.
Tu prenais ton temps. Comme j’aime sentir tes doigts me fouiller, me lisser le clito. Lorsque tu plonges tes deux doigts dans ma chatte et que tu agaces mon point « G », tu sais le trouver, où appuyer et y mettre la douceur ainsi que la fermeté idoines. Et ta queue, majestueuse, tu la glissais entre mes fesses huilées par ton précum. Ton gland fleuretait avec ma rosace, ça m’excitait au plus haut point. Oh bon sang, j’allais jouir, tu le savais, alors tu as resserré ton étreinte, j’étais bloquée contre toi. Tu voulais ressentir mes spasmes et mes secousses orgasmiques.
Tu te branlais entre mes cuisses que j’avais resserrées préalablement. Oh mon chéri, j’étais à deux doigts, c’est le cas de le dire, d’accepter la sodomie pour la première fois, avec toi, j’étais tellement stimulée. Laisse-moi le temps, tu aimerais tant me posséder par ce trou, cependant, j’ai eu trop de mauvais souvenirs dans ma jeunesse. Je te fais toujours confiance et lorsque je serai prête, je t’offrirai mon cul.
J’ai joui et toi aussi, tu as éjaculé sur mes pieds, nous avons beaucoup ri de cette situation cocasse.
Mais la soirée ne faisait que commencer. Tu te rappelles la discussion sur « le pegging », J’étais assez surprise dans un premier temps de ta volonté de te faire sodomiser. Tu avais fait l’achat d’un « fun factory soft ». Cette soirée était la tienne, je savais que tu partais pour plusieurs semaines et je souhaitais que tu emmènes un bon souvenir de notre dernière soirée, avant ton départ.
Mon poussin, je ne sais pas si tu te souviens, mais un petit passage à la douche et nous nous sommes retrouvés dans notre chambre. Tu avais prémédité cet acte, car le dildo en question reposait sur le lit, prêt à servir à côté du gel ad-hoc. Tu m’as d’abord pratiqué un excellent cunnilingus. Je kiffe ta bouche chaude et humide sur ma pêche ouverte, pleine de mon jus et de ta salive. Tu m’avais bien préparée, ensuite, tu as introduit la partie qui me revient dans ma fente, et plonger cet objet en silicone au fond de ma chatte. J’avais alors, une bite de seize centimètres entre les jambes. J’étais chauffée à blanc, l’idée de te posséder par le cul, m’excitait, j’en avais les jambes qui tremblaient, un mélange d’appréhension et d’exaltation, mais, le meilleur arrivait.
Je me suis placée entre tes jambes et je me suis adonnée à un anulingus. Je t’ai travaillé la rosace avec ma langue, lentement, tout en te branlant, tu étais bien tendu ensuite, j’ai enduit mes doigts de gel et je t’ai doigté pour te détendre le sphincter. Cette pratique m’as fait mouiller comme jamais, des lors, je savais que c’était le moment, tu étais prêt. J’ai mis du gel sur mon pseudo-chibre et je me suis approché de ton trou.
- Prends moi ma puce, baise moi le cul, je te veux en moi, voilà comment tu m’as invité à te baiser.
Je t’ai embrassé langoureusement, je me suis reculée puis tu as relevé tes jambes. J’ai positionné le bout de sextoy sur ta rosace et tu as poussé pour détendre le sphincter. Je suis venue en toi, doucement, progressivement, sans à-coup. Je suis allée au fond de toi. Tu as débandé et tu ne semblais pas apprécier mon introduction. La partie du jouet dans mon vagin, massait mon point « G » et mon clito interne. Personnellement j’appréciais, la partie du gode en moi m’emplissait, son ergonomie est vraiment adéquate. Je félicite le créateur. Tu soufflais fort, pour diminuer la sensation de brûlure occasionnée par cette pénétration.
Tu es pourtant habitué à ce que je te doigte et le masseur de la prostate que tu utilises fréquemment ne te pose aucun problème. Certes les tailles sont différentes.
Je n’immisçais que le bout de notre jouet, j’avais de bonnes sensations et je gémissais. Tes mains sur mes seins m’aidaient à prendre du plaisir, malgré ce bout de silicone qui nous séparait. J’ai compris que ton plaisir venait lorsque j’ai vu tes yeux d’abord papilloter et ensuite se fermer. Tu éructais des « humm » des « oho » des « ouuuuuooohhooooouuuuuu » des « oho oui ça vient » tu m’encourageais, « vaaaaa yyyyyy ma puce » « que c’est boooonnnnnn » « oooohhh ouiiiii » et tu as placé tes mains sur mes fesses et tu as appuyé pour m’attirer, écartant mes fesses, dévoilant et étirant mon trou. Je poussais davantage l’objet plus profondément en toi. La chaleur de ton corps, le fait d’être entre tes cuisses, tes jambes croisées sur mon dos pour mieux te donner et recevoir me grisaient.
Nos bouches se mariaient, nos langues s’emmêlaient, nos mains virevoltaient sur nos corps déchaînés. Je te défonçais le cul et tu aimais maintenant. J’ai pris ta bite et je t’ai branlé pour lui redonner vigueur, simultanément, tu as introduit un doigt dans mon anus et j’ai crié, non pas de douleur mais de plaisir. Tu m’as déclenché un long et bel orgasme. De fait, j’avais accélérer, sans m’en rendre compte, les coups de boutoir de va et vient avec mon gode, je te branlais frénétiquement. Tu convulsais, ton corps se cambrait, ce n’est pas une bêtise, ton sphincter s’est contracté, ton cul a pompé et ton jus s’est mis à sortir du méat, telle la lave d’un volcan. Sans saccade, ni jet. Une éjaculation continue, comme le lait d’une casserole sur le feu.
Nous avions joui tout les deux. Cette première expérience de pegging est, et restera pour longtemps, une de mes meilleures expériences sexuelles. Je t’aime, reviens moi vite, j’ai besoin de toi. Je te promets un retour de feu. Je m’y prépare mentalement. De plus, j’en ai assez de jouir avec mes doigts et mes objets de substitution.
A très vite mon homme, mon étalon, mon complice, je t’adore.
Ta bien Aimée.
En écrivant ce mail, je porte cette jolie robe rouge que tu évoques dans tes écrits. Tu me l’as offerte à ton retour de DUBAÏ. Je suis heureuse que tu me trouves jolie et qu’elle mette en valeur mes formes. Comme le temps passe vite. Tant d’amour reçu et donné au cours de ces années passées ensemble. Je n’ai aucun regret sauf, celui d’être seule ce soir dans ces draps froissés par mes pratiques solitaires et avec mes joujoux intimes. C’est amusant mais rien ne remplace nos étreintes torrides et débridées.
Ici, il fait froid, les fêtes de fin d’année approchent et j’espère que tu seras présent pour les réveillons. Nous avons beaucoup de temps à rattraper. Mon Amour, tu me manques tant. Les masturbations et les « dildos » ne peuvent se substituer à ton membre viril et chaud. Je me rappelle notre dernière nuit avant ton départ pour cette foutue plateforme. Nous avions pris un bon repas commandé chez le traiteur. Le vin de Bourgogne que tu avais décanté et chambré était un délice, il nous a enivrés. Nous avions pris un bain-thalasso, bien détendus, nous avions soupé en peignoir. J’avais mis quelques gouttes de mon eau parfum préférée. Nous étions calmes et excités à la fois. Cette musique « underground » nous envoutait.
J’aimerais tant que te souviennes de cette nuit particulièrement torride que nous avons passée. Je te disais que tu serais fatigué et toi tu t’en moquais, tu étais prêt surtout, tu avais mis tout en œuvre pour que cette soirée soit réussie. Oh mon homme, comme j’aimerais revivre cet instant si passionné. Rappelle-toi, souviens toi, tout à commencer à la fin de cette chanson de Mark KNOPFLER : « Drovers’ Road », tu es venu derrière moi, nous étions à la salle de bain. Tu m’as enlacée, tu as mis ta tête dans mon cou, je ressens encore ce souffle chaud et humide sur ma peau. Tu as déposé plusieurs petits baisers, sur ma nuque et tu as fais glisser mon peignoir.
Tu as quitté le tien, nous étions nus, l’un contre l’autre, ta chaleur m’enveloppait, tu as commencé par me câliner, avec tendresse et délicatesse. Tes baisers se faisaient plus tendres dans mon dos, tes mains parcouraient mon corps, avec lenteur et douceur. Je sentais mon désir monter et je n’ignorais pas le tien, j’adore ta façon de faire. Tu connais si bien mes points sensibles. Tu t’es plaqué de plus en plus fort contre moi, je sentais ton sexe durcir dans le creux de mes reins. Tu as commencé à me pétrir les seins, oh quand j’y repense, j’ai des fourmillements dans le bas du ventre.
Tu m’as pincé les tétons, ce qui a eu pour effet de les faire pointer et de contracter mon périnée. Je commençais à mouiller. Une de tes mains est passée sur ma raie, je raffole de ce moment où tu effleure mon anus, sans y pénétrer, oui, tu le sais, je n’aime pas la sodomie et tu respectes mon refus, c’est pour ça que j’aime faire l’amour avec toi. Tu m’as doigté et masturbé, très lentement.
Tu prenais ton temps. Comme j’aime sentir tes doigts me fouiller, me lisser le clito. Lorsque tu plonges tes deux doigts dans ma chatte et que tu agaces mon point « G », tu sais le trouver, où appuyer et y mettre la douceur ainsi que la fermeté idoines. Et ta queue, majestueuse, tu la glissais entre mes fesses huilées par ton précum. Ton gland fleuretait avec ma rosace, ça m’excitait au plus haut point. Oh bon sang, j’allais jouir, tu le savais, alors tu as resserré ton étreinte, j’étais bloquée contre toi. Tu voulais ressentir mes spasmes et mes secousses orgasmiques.
Tu te branlais entre mes cuisses que j’avais resserrées préalablement. Oh mon chéri, j’étais à deux doigts, c’est le cas de le dire, d’accepter la sodomie pour la première fois, avec toi, j’étais tellement stimulée. Laisse-moi le temps, tu aimerais tant me posséder par ce trou, cependant, j’ai eu trop de mauvais souvenirs dans ma jeunesse. Je te fais toujours confiance et lorsque je serai prête, je t’offrirai mon cul.
J’ai joui et toi aussi, tu as éjaculé sur mes pieds, nous avons beaucoup ri de cette situation cocasse.
Mais la soirée ne faisait que commencer. Tu te rappelles la discussion sur « le pegging », J’étais assez surprise dans un premier temps de ta volonté de te faire sodomiser. Tu avais fait l’achat d’un « fun factory soft ». Cette soirée était la tienne, je savais que tu partais pour plusieurs semaines et je souhaitais que tu emmènes un bon souvenir de notre dernière soirée, avant ton départ.
Mon poussin, je ne sais pas si tu te souviens, mais un petit passage à la douche et nous nous sommes retrouvés dans notre chambre. Tu avais prémédité cet acte, car le dildo en question reposait sur le lit, prêt à servir à côté du gel ad-hoc. Tu m’as d’abord pratiqué un excellent cunnilingus. Je kiffe ta bouche chaude et humide sur ma pêche ouverte, pleine de mon jus et de ta salive. Tu m’avais bien préparée, ensuite, tu as introduit la partie qui me revient dans ma fente, et plonger cet objet en silicone au fond de ma chatte. J’avais alors, une bite de seize centimètres entre les jambes. J’étais chauffée à blanc, l’idée de te posséder par le cul, m’excitait, j’en avais les jambes qui tremblaient, un mélange d’appréhension et d’exaltation, mais, le meilleur arrivait.
Je me suis placée entre tes jambes et je me suis adonnée à un anulingus. Je t’ai travaillé la rosace avec ma langue, lentement, tout en te branlant, tu étais bien tendu ensuite, j’ai enduit mes doigts de gel et je t’ai doigté pour te détendre le sphincter. Cette pratique m’as fait mouiller comme jamais, des lors, je savais que c’était le moment, tu étais prêt. J’ai mis du gel sur mon pseudo-chibre et je me suis approché de ton trou.
- Prends moi ma puce, baise moi le cul, je te veux en moi, voilà comment tu m’as invité à te baiser.
Je t’ai embrassé langoureusement, je me suis reculée puis tu as relevé tes jambes. J’ai positionné le bout de sextoy sur ta rosace et tu as poussé pour détendre le sphincter. Je suis venue en toi, doucement, progressivement, sans à-coup. Je suis allée au fond de toi. Tu as débandé et tu ne semblais pas apprécier mon introduction. La partie du jouet dans mon vagin, massait mon point « G » et mon clito interne. Personnellement j’appréciais, la partie du gode en moi m’emplissait, son ergonomie est vraiment adéquate. Je félicite le créateur. Tu soufflais fort, pour diminuer la sensation de brûlure occasionnée par cette pénétration.
Tu es pourtant habitué à ce que je te doigte et le masseur de la prostate que tu utilises fréquemment ne te pose aucun problème. Certes les tailles sont différentes.
Je n’immisçais que le bout de notre jouet, j’avais de bonnes sensations et je gémissais. Tes mains sur mes seins m’aidaient à prendre du plaisir, malgré ce bout de silicone qui nous séparait. J’ai compris que ton plaisir venait lorsque j’ai vu tes yeux d’abord papilloter et ensuite se fermer. Tu éructais des « humm » des « oho » des « ouuuuuooohhooooouuuuuu » des « oho oui ça vient » tu m’encourageais, « vaaaaa yyyyyy ma puce » « que c’est boooonnnnnn » « oooohhh ouiiiii » et tu as placé tes mains sur mes fesses et tu as appuyé pour m’attirer, écartant mes fesses, dévoilant et étirant mon trou. Je poussais davantage l’objet plus profondément en toi. La chaleur de ton corps, le fait d’être entre tes cuisses, tes jambes croisées sur mon dos pour mieux te donner et recevoir me grisaient.
Nos bouches se mariaient, nos langues s’emmêlaient, nos mains virevoltaient sur nos corps déchaînés. Je te défonçais le cul et tu aimais maintenant. J’ai pris ta bite et je t’ai branlé pour lui redonner vigueur, simultanément, tu as introduit un doigt dans mon anus et j’ai crié, non pas de douleur mais de plaisir. Tu m’as déclenché un long et bel orgasme. De fait, j’avais accélérer, sans m’en rendre compte, les coups de boutoir de va et vient avec mon gode, je te branlais frénétiquement. Tu convulsais, ton corps se cambrait, ce n’est pas une bêtise, ton sphincter s’est contracté, ton cul a pompé et ton jus s’est mis à sortir du méat, telle la lave d’un volcan. Sans saccade, ni jet. Une éjaculation continue, comme le lait d’une casserole sur le feu.
Nous avions joui tout les deux. Cette première expérience de pegging est, et restera pour longtemps, une de mes meilleures expériences sexuelles. Je t’aime, reviens moi vite, j’ai besoin de toi. Je te promets un retour de feu. Je m’y prépare mentalement. De plus, j’en ai assez de jouir avec mes doigts et mes objets de substitution.
A très vite mon homme, mon étalon, mon complice, je t’adore.
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