Eau de rose sur fleur en âge, le grand jour 2.3 - histoire érotique

Après m’avoir entraîné dans la salle à mangé en robe de chambre, Léopold m’a fait le petit déjeuner. Moi qui avais envie de le séduire par ma cuisine, c’est Léopold qui m’a épatée avec l’orchidée blanche qu’il a déposé dans mon assiette. Amoureux de nature, je me laissais séduire facilement.

Après avoir manger les petits pains dorés qu’il avait cuisiné, j’ai débarrassé la table pour m’occuper de la vaisselle. Pendant que Léopold me faisait la conversation, nous avons réalisés que nous avions plus d’une chose en commun malgré l’énorme différence d’âge que nous avions.

La joie envahissant nos cœurs, Léopold réalisait par le fait même qu’il n’avait pas eut le temps de me faire visiter sa maison. Après avoir rangé la dernière assiette, nous sommes retourné à l’étage pour débuter cette visite.

La chambre des maîtres étant l’endroit où nous avions passé la nuit, nous avons débuté cette visite par la chambre d’invité où j’ai remarqué qu’il y avait deux petit lits distant l’un de l’autre. Affirmant qu’il serait plaisant de les coller afin d’avoir plus d’espace pour se courir après durant la nuit, Léopold ma caressé une fesse en disant que je ne manquais pas d’ambition.

Me tenant par la taille, il m’a reconduit vers la troisième pièce de l’étage. Consacré à son bureau, il l’avait fait réduire pour agrandir la salle de bain. Affirmant qu’il ne rajeunissait pas, il avait fait construire une grande douche en céramique avec des poutres de soutiens. Suffisamment grande pour si doucher à cinq personnes, elle offrait également la possibilité de s’y doucher sur un chaise thérapeutique prévu pour l’occasion.

Croyant que ces poutres de soutient refroidirait mes ardeurs, je l’incitais à si accrocher nu tout en y écartelant les jambes. Heureux de voir que ma libido ne chômait pas, Léopold m’a embrassé en disant qu’il rêvait de s’y doucher avec moi.

Le soutenant par la taille, je me suis collé amoureusement en affirmant être fière quand il se donnait entièrement. Descendant d’un étage je le sentais plus près de moi que jamais. Ainsi, nous avons passer en revue la cuisine, la salle à manger et le salon qui communiquaient ensemble.

Ce retrouvant au sous sol, ma libido plafonnait à son meilleur en découvrant un somptueux bain turque que Léopold avait faire construire sur mesure. Affirmant que ça faisait une trentaine d’année qui le possédait, je le trouvait impeccable pour le bout de chemin qu’il avait fait. Lui donnant un air rustique, ancien, j’étais fringuant à l’idée de mit baigner nu alors que mes fantasmes abordaient mon dépucelage.

Me prenant aux mots, Léopold disait que s’était un des endroits préféré à Lionel où il aimait lui faire l’amour. Ce bain turque me fascinant offrait cette impression de pureté où le romantisme s’installait facilement.

Ainsi, je nous imaginais sortir de ce bain tout ratatiné après avoir abusé de son côté thérapeutique. Rigolant avec moi, Léopold affirmait qu’il était facile d’y purger l’eau grâce à un système de réservoir ce qui facilitait son utilisation pour s’y laver ou y partouzé sans se soucier du savon et des éjaculations qui souilleraient l’eau.

Ce souvenant d’un temps où il y avait partouzé avec des amis, je lui ait demandé s’il aurait été fière de me faire l’amour passionnément devant eux. Affirmant que c’est ce qui était de plus beau lorsqu’ont s’exhibaient en faisant l’amour en groupe, l’idée d’y partouzé m’excitait énormément hors Léopold n’écartait pas la possibilité de répéter l’expérience.

Détaillant la conception de ce bain, les trois premières marches qui nous conduisait sur un pallier où 3 personnes pouvaient s’asseoir sur un banc pour y faire trempette offrait tous l’espace nécessaire pour partouzé. Descendant trois autres marches, on atteignait une profondeur aussi creux qu’un Mikvé capable d’accueillir 5 autres personnes alors que d’autres personnes pouvaient s’asseoir sur le rebord du bain pour regarder les autres si baigner.

Lui disant que dans le groupe d’âge que je recherchais les hommes se faisait plus discret, Léopold affirmait que Lionel avait des amis de son âge qui se plaignait de ne plus être capable de trouver preneur. Me blottissant sur Léopold, je lui ait dit; je te marierais si tu aurais envie de me faire découvrir tous ces sentiers inexplorés.

Tout souriant, Léopold m’a demandé du fait qu’il était très âgé si je n’aurais pas peur de m’accrocher à son bras. Affirmant qu’il deviendrait rapidement ma fierté, Léopold m’a embrassé.

Affirmant que nous avions tout le temps pour se découvrir, Léopold m’a fait visiter sa cour arrière d’où il cultivait un potager. Se penchant, il m’a cueillit une fleur pendant que je détaillais les formes de ses fesses au travers de son pantalon.

Séduit par son geste, je respirais l’odeur de cette fleur en me laissant conduire par le charme que Léopold dégageait. Me souriant, Léopold me rendait encore plus amoureux hors je me suis accroché à son cou pour le remercier avant de l’embrasser. M’invitant à rester aussi amoureux, Léopold n’écartait pas la possibilité que l’ont puisse se marier un jour.

L’imaginant prendre de l’âge à mes côtés, j’étais toutes OUI!!! Ainsi, j’ouvrais la porte du triolisme afin de subvenir à nos jouissances anales. Léopold n’étant pas froid à l’idée d’avoir une grande famille ce montrait ouvert. Affirmant que j’avais envie de lui faire l’amour dans l’herbe de sa court, Léopold vantait la pureté de l’eau d’un petit ruisseau qui passait tout près de chez lui pour aller se courtiser.

Craignant l’achalandage, Léopold disait qu’il allait souvent si baigner nu sans se faire déranger. Le serrant dans mes bras, après l’avoir embrassé nous sommes retourné à la maison pour prendre quelques affaires avant de partir en foret.

Se tenant par la taille comme de jeune tourtereaux, j’appréciais doublement la beauté de cette campagne isolé où Léopold disait que nous pourrions s’aimer facilement.

Franchissant le seuil d’entrer, le répondeur émettait un signal sonore indiquant que quelqu’un avait laissé un message. Écoutant le message, Léopold fut surpris de voir que Lionel avait déjà appelé. Disant qu’en lui parlant de ma venue, Lionel était suspicieux à l’effet qu’un gars de mon âge puisse avoir envie de baisé un homme de 80 ans. Étant fière d’avoir faite cette découverte avec moi, Léopold m’a fait réécouter le message de Lionel pour que je puisse entendre sa voix et avoir une meilleur opignon.

Le doux murmure de sa voix m’enchantant, Léopold m’a montré quelques photos de leurs dernier voyage de pêche. Confirmant que Lionel était un beau ‘’petit vieux'’, Léopold m’a demandé si je voulais reporter notre balade en foret histoire d’avoir la chance de le rencontrer.

Affirmant que rien ne me ferait plus plaisir, j’étais curieux de connaître la pureté des intentions de Lionel. Se montrant rassurant, Léopold disait que Lionel était un homme de parole en plus d’être convaincu que nous développerions rapidement une belle complicité.

Conscient qu’il ne pouvait pas combler mes besoins anales, Léopold faisait confiance à Lionel pour ce faire. Lui donnant mon accord, Léopold fut fort excité à l’idée de pouvoir partager ce moment avec nous. Ainsi Léopold à prit le combiné du téléphone et a téléphoné à Lionel.

S’embrassant, Lionel a dut entendre nos lèvres se bécoter lorsqu’il à répondu au téléphone. Observant le bon déroulement de notre rencontre, Lionel ne s’est pas gêné pour lui demander si j’étais intense au lit. Affirmant qu’il était tombé en amour, Léopold lui faisait part de cette passion qui m’habitait pour les rides et les cheveux blanc.

Enviant Léopold en disant qu’il était tombé sur le bon, celui-ci est entré plus intimement dans les détails de notre relation où il a réussi par me faire rougir. Ainsi je me suis collé sur lui afin de me faire rassuré de ne pas être qu’un trophée. Passant son bras autour de mon cou, mon cœur battait au rythme des qualificatifs qui déferlait a mon égard. La confiance s’établissant, j’étais heureux de voir que Lionel qui était son confident avait envie de moi.

Demandant à Lionel s’il avait envie de devancer sa visite du week-end pour avoir la chance de me rencontrer, Lionel ne s’est pas fait prier pour nous confirmer son arrivé.

Affirmant qu’il était prêt à partir, Léopold l’a invité à dîner avec nous. Comme Léopold avait besoin de faire quelques emplettes, Léopold lui a dit prendre la clef au même endroit que d’habitude pour entrer.

Le fait que Lionel avait la clef qui donnait accès à sa maison me rendait encore plus confiant sur leurs liens étroits. Hors en raccrochant le combiné de téléphone, Léopold est venu m’embrassé en me disant que Lionel était très excité à l’idée de me rencontrer.

Le fait que j’avais rien de moins que ma virginité à offrir, je lui posais plus de questions sur la complicité qu’ils partageaient avec Lionel. Léopold disait connaître parfaitement Lionel pour savoir qu’il se montrait à la hauteur de mes attentes. Me rassurant sur la stabilité que je recherchais, je bandais à l’avance.

S’embrassant passionnément, Léopold disait qu’il voulait mon bonheur et moi je réitérais vouloir le sien. Ainsi nous sommes partis en direction de l’épicerie où Léopold m’a laissé conduire sa camionnette. Heureux de le conduire, ma joie de vivre se laissait sentir. Affirmant avoir souvent donné son anus à Lionel, Léopold tentait de me détendre à l’approche de Lionel en disant qu’il était vraiment exceptionnelle.

Affirmant que j’avais beaucoup à donner, j’affirmais avoir besoin beaucoup d’amour, de proximité et de passion pour pour vivre intensément ce moment. Partageant mes sentiments, Léopold nous donnait le temps de nous apprivoisé pour arriver à bon port. Ainsi il croyait que ça prenait ma venu pour que Lionel est envie de ce rapproché encore plus de lui. Me donnant envie de lui plus que jamais, j’ai caressé sa cuisse en disant que ce serait plaisant de les voir unis.

Rendu à l’épicerie, j’étais fière de pouvoir lui ouvrir la portière comme de lui prêter main forte. Ayant l’air de son petit fils, j’étais heureux que les apparences dissimule nos rapprochements. Faisant une réserve de provision pour le week-end, Léopold a refusé que je paie la commande. Déçu, je voulais lui démontrer que je ne cherchais pas un suggar daddy mais un homme mûr sur mesure.

Revenant à la maison, mon cœur à commencer à s’emballer lorsqu’il a vu le vieux Buick Regal de Lionel. Sa voiture datant d’un temps éloigné était extrêmement propre et en ordre pour l’année de sa conception. Lui donnant un air de vieux garçon, je m’empressais de le découvrir d’avantage.

Franchissant le seuil de la porte, nous avons été accueillient à bras ouvert où j’ai pu délecter deux baisés picotant que la barbe blanche de Lionel m’a offerts en effleurant mes joues. Sourire chaleureux tout inclut, Lionel ne s’est pas caché pour dire à Léopold qu’il s’était trouvé un beau ‘’garçon'’! Les compliments se multipliant, je rougissais au grand plaisir de me faire dire que j’étais encore plus beau ainsi.

En passant à la cuisine, Lionel à soutenue ma chaise pour m’aider à m’asseoir. Éblouit par sa gentillesse, je me laissais désiré en le couvrant de compliments. Voyant que ces petites attentions me séduisait, il m’a caresser la nuque fièrement. Affirmant qu’habituellement c’était la jeunesse qui devait prendre soin de la vieillesse, Lionel resplendissait de joie en disant à Léopold que j’étais tout à fait charmant.

Me palpant l’épaule, Lionel disait qu’en compagnie d’un aussi beau ‘’garçon'’, ont devaient lui prêter attention. Ainsi, j’ai embrassé sa main en le remerciant pour sa gentillesse. Lionel s’est penché sur moi où nous avons laisser nos langues se rejoindre. Délectant à sa salive, je palpais sa longue barbe blanche qui atteignait sa verge en tentant de déceler son emmanchure. Souriant au avance que ma main lui faisait, Léopold disait qu’il était heureux de voir que nous étions en train de faire plus ample connaissance. Détaillant sa queue qui n’avait pas atteint encore sa pleine capacité, je souriais au grand plaisir qu’il se laisse tripoté.

Le repas étant prêt, j’ai servis les assiettes alors que Lionel disait à Léopold qu’il avait eut raison lorsqu’il lui avait dit que j’embrassais bien. Durant le repas, Lionel glorifiait l’amitié qui les soudaient ensemble depuis plusieurs années. Affirmant que la force de l’âge ne les avaient jamais refroidis, ils disaient avoir toujours du temps de qualité quand il se faisait l’amour. Affirmant qu’ils étaient beaux a voir tous les deux, Lionel m’a caressé la cuisse tout en me souriant.

Me demandant d’où me provenait cette attirance pour les plus âgés. J’admettais être fasciner par ces corps maturés. Souriant, Lionel disait comprendre pourquoi j’étais encore vierge.

Affirmant que ce n’était pas qu’une question de maturité mais qu’il y avait également une question de stabilité et de pureté, Lionel disait être le plus qualifiés pour me faire goûter à ce plaisir. Affirmant que je ne le regratterait pas, Léopold appuyait Lionel dans ses dires. Ainsi Lionel a dit qu’il avait une verge dans les normes qui aimait travailler la partie anale de l’homme tout en m’aguichant avec les poils blanc au pied de sa verge. Voyant l’intensité de son désir, je laissais Lionel s’aventurer sur ce terrain.

Découvrant mes inquiétudes associés à la première relation anale, Lionel tentait de me rassuré en parlant des rapports rapprochés qu’il maintenait avec Léopold. Ainsi il disait que Léopold était le seul homme avec qui il pratiquait la pénétration.

Accordant beaucoup d’importance sur le fait que je puisse retrouver mon homme au petit matin de mon dépucelage, Léopold a même invité Lionel à passer le week-end avec nous histoire de me rassurer.

Attestant que ça faisait longtemps qu’il n’avait pas passé une nuit entière avec Léopold, Lionel affirmait être enchanté de pouvoir le faire en m’a compagnie. Affirmant que je serais bandé au petit matin, Lionel affirmait avoir besoin de mettre du piment dans sa vie.

Ainsi nous avons envisagé rapidement de dormir dans le même lit puisque dans la chambre d’invité offrait la possibilité de collé les deux petits lits simple pour faire un très grand.

Fière de pouvoir dormir nu au centre d’un lit conjugal aussi grand, je laissais une question de temps avant d’acheter un lit format géant pour bâtir notre relation. Empruntant les voies de l’accouplement, l’espoir de bâtir un couple sous la bannière du triolisme fut rendu possible plus que jamais.

Terminant notre repas, Lionel disait que ce serait un grand honneur que de pouvoir me dépuceler à son âge. Rigolant en disant que nous avions presque le même fantasme, Lionel affirmait avoir 77 ans bien sonné et un cinq pousse de queue circoncis.

Caressant ma cuisse, j’ai déposé ma main sur sa main en le regardant droit dans les yeux en disant qu’il m’en donnait l’envie. L’étincelle dans ces yeux ma fait craqué à ce moment hors en glissant ma main sur sa cuisse j’ai atteints sa verge. Tâtonnant son pantalon, j’ai constaté qu’il était fortement bandé. Caressant mon érection pendant que je décorais son beau 5 pouces d’honneur, j’étais fière qu’il ne soit pas trop équipé. M’invitant à m’asseoir sur sa cuisse pour me rapprocher, je me suis empressé de le faire.

Fouinant dans mon pantalon, Léopold nous a invité à passer au sous sol affirmant que nous serions plus à l’aise dans le bain turque pour lequel nous affectionnions tous les deux une attention particulière. Disant à Léopold qu’il avait eut une bonne idée, Lionel m’a embrassé en disant qu’il me suivait. Me levant debout, j’ai prit sa main pour l’aider à se lever.

Après avoir allumé quelques bougies autour du bain turque, ont s’est dénudé pour mieux se contempler. J’étais stupéfait de voir la qualité de l’érection Lionel. Scrutant à la loupe sa peau blême et sa barbe blanche qui atteignait son nombril, je fut fort excité en regardant sa verge qui se balançait droitement au rythme de ses pas.

Les poils blanc au pied de sa verge n’ayant rien pour refroidir mes ardeur, je me suis rapproché de lui pour mieux l’embrasser. Prenant ma main, nous laissions balancer nos queues droitement en descendant les marches du bain. Léopold affirmait que nous étions de toute beauté à regarder. Soulignant qu’il avait envie de moi, Lionel se glissait derrière moi pour me faire sentir son érection. Décelant la fermeté de ma rondelle, Lionel m’invitait à me détendre alors que Léopold m’embrassait fièrement. Roulant des pelles avec Léopold, Lionel venait placarder sa verge à l’embouchure de ma rondelle pour stimuler son entré.

Affirmant que mon anus était vraiment serré, Lionel était fébrile à l’idée de me pénétrer. Ainsi il a apprivoisé mon anus en le chatoyant. Embrassade, accolades et caresses venant nourrir mon besoin d’être possédé, j’ai demandé à Lionel de me pénétrer.

M’invitant à monter sur le pallier pour que mes fesses soit à l’extérieur de l’eau, Léopold venait s’étendre sur le rebord du bain pour mettre sa verge devant mes lèvres pendant que Lionel détaillait mes fesses. Apportant une attention particulière à la verge de Léopold, Lionel raffolait du spectacle qu’ont lui offrait tout en se masturbant.

Ressentant la queue de Lionel qui sautillait sur ma fesse, je bandais durement en suçant porcinement Léopold. Léopold m’enivrant dans un élan de passion ouvrit grandement ces jambes. Délectant cette verge complètement maturé, j’abandonnais mon arrière train à Lionel. Appuyant droitement sa queue sur ma fesse, Lionel a déposé l’un de ses doigts au rebord de mon anus ce qui m’a fit jouir automatiquement.

Doucement, Lionel a commencé a dilaté mon anus avec l’aide d’un lubrifiant. Délectant son gros doigts replet en ronronnant, ça n’a pas prit beaucoup de temps avant qu’il glisse un deuxième doigt à l’intérieur de mon anus en me demandant si j’aimais ça. Lui disant que je n’avais jamais désiré un homme autant qu’a ce moment, Lionel a déposé sa queue sur le bord de ma rondelle pour la faire tournoyer tendrement.

Me demandant de prendre une grande respiration, Lionel s’est enfoncé en moi pendant que je m’occupais de la verge de Léopold. Le sentant me déchiré, il m’a demandé si tout allait bien hors je lui ait demandé de s’enfoncer plus rapidement afin de s’installé bien confortablement au fond de moi.

Compensant pour la douleur de cette zone nouvellement défloré, je me réjouissait d’avoir toute sa maturité dans mes entrailles alors que je me régalait de la verge que j’avais en bouche. Partageant ce plaisir, Lionel à fait glissé sa longue barbe blanche sur mon dos incitant mes fesses à s’enfoncer plus profondément dans ses poils pubiens blanc.

Voyant mes fesses se trémousser sur son bâton, Lionel à débuté un mouvement de va et vient. Me régalant à chaque fois que mes fesses frôlaient ses poils blanc, Lionel y mettait tout sa tendresse.

Me redemandant si je n’avais pas trop mal, je lui ait dit que j’étais heureux de pouvoir le sentir en moi. C’est ainsi qu’il s’est donné entièrement avant de me demander s’il pouvait jouir en moi. Me penchant encore plus, je lui offrait mes fesses en disant que ce serait un honneur s’il le ferait avec amour.

Notre conversation stimulant encore plus Léopold le fit éjaculer dans ma bouche. Me goinfrant gloutonnement de sa liqueur divine, j’ai fini par éjaculer dans les eaux du bain à la première gicler de sperme que Lionel déferlait dans mes entrailles. Appréciant sa verge et son sperme, je lui ait dit; je t’adore!

Lionel m’a répondu; merci, je t’aime aussi! hors que Léopold nous à dit; je vous aimes moi aussi! alors j’ai dit à Léopold; Merci, c’est grâce à toi si j’ai rencontré Lionel, je t’adore!!. ...et j’ai demandé à Lionel s’il pouvait rester en moi un peu plus longtemps.

Lionel s’est penché sur moi et m’a embrassé le dos à quelques reprises. Restant ancrer en moi, je savourais les derniers spasme que sa verge émettait par pure plaisir. Étirant notre plaisir, Lionel m’a laver le dos avec l’aide de sa barbe.

Délectant ces petites attention, je me suis redressi lorsque Lionel à débandé pour me coller sur lui afin de savourer un baisé. Me serrant dans ses bras, j’appréciais l’affection qu’il me portait après avoir jouit en moi. Ainsi nous nous sommes embrasser longuement.

Tapotant mes fesses, j’étais fière de sentir son sperme ressortir de mon anus. Cherchant à nettoyer mon anus, Lionel a constaté que j’avais saigné légèrement. Affirmant que j’avais demandé de s’enfoncer rapidement, je l’ai embrassé en lui disant que j’étais fière de lui. Ainsi il a étiré ce baisé tout en prêtant attention à mes fesses.

Lionel n’en revenait pas qu’il venait de déviergé un gars de mon âge. Lui disant que je serais fière qu’il veulent prendre soin de mon anus, Lionel m’a embrassé en confirmant qu’il ne manquerait pas de le faire.

Me demandant si je n’avais pas trop mal, je lui ait dit que j’étais fière de pouvoir le sentir encore en moi. Me laissant délecter ce moment, Léopold est venu m’embrasser partageant ma joie.

Ainsi depuis ce temps nous nous sommes plus jamais quitter. Plus que les semaines défilais plus que nous nous rapprochions pour finalement emménager tous ensemble dans la maison de Léopold. Notre épanouissement fut construit sur des jouissances qui s’adonnait par des rapports sexuelle non protégé maintenue entre nous où les jouissance les plus pures étaient les plus complémentaires.