Eddy Équipé Ep02
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 677 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Charly Chast ont reçu un total de 1 604 353 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 660 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Eddy Équipé Ep02
Équipé Ep02
Je le regardais dans les yeux, il y avait comme un petit éclair, un reflet brillant. Il me souriait, je lui rendais son sourire. Il était essoufflé et son cœur battait fort. Je l'avais senti vibrer, je l'avais senti jouir.
Au niveau de l'orgasme c'est un plaisir dont je n'ai pas à rendre de compte. Pour les autres plaisirs, on me les donnais ou on ne me les donnais pas. Je ne devais pas les provoquer.
– On peut continuer ? Demandais-je.
Il acquiesçait de la tête.
– Tu veux pas boire un verre ?
– D'habitude on commence par là.
Quand je revenais avec les boissons il s'était installé sur un fauteuil. Docile et soumis il ne s'était pas rhabillé. J'avais encore le goût de son sperme dans la bouche, il était détendu et souriant.
– Tu sais j'avais un peu peur avant de venir !
– Plus maintenant ?
– Non, maintenant ça va !
– On va passer à la suite ? Demandait-il.
– Tu connais la procédure ?
– Bein, en fait pas vraiment.
– C'est une première ? Demandais-je.
– Oui ! J'ai jamais essayé.
– Et tu te mets entre les mains de Simon ?
– En fait c'est mon copain qui m'a proposé, et il connaît Simon.
– Et la durée sera de ?
– Il n'y a pas de limite décidé !
Je faisais oui de la tête.
– Et tu as vu ce que ça donne ?
– J'ai vu des photos.
– Mais en vrai, tu as vu ?
– Non jamais, mais j'ai trouvé les photos excitantes, vraiment excitantes. Je crois que ça c'est pour moi.
– Oui je vois !
– Ça ne fait pas mal on m'a dit , c'est vrai ?
– Je confirme mais ça ne veut pas dire que tu ne le sens pas !
Tout en discutant je me levais, retirais mon T-shirt. Il me regardait en souriant. Puis j'ouvrais mon pantalon.
– Maintenant tu vas m'enculer ? Me demandait-il.
Là je le regardais en rigolant, et je continuais à me déshabiller.
Vous auriez vu la tête qu'il a fait quand il a vu mon dispositif de chasteté.
– Tu en portes un aussi ?
– Comme tu peux voir !
– Mais heu, combien de temps.
– Sans limite de temps, ça fait maintenant plus d'un an, non stop.
– Il tendait la main comme pour vérifier.
– Tu peux toucher, tripoter même si tu veux.
Là il ne s'en privait plus, il me caressait les couilles, il remuait mon dispositif. Il avait un large sourire en voyant mes couilles se balancer.
– Et ça ne fait pas mal ?
– Non ! Mais je le sens presque tout le temps. Enfin souvent. C'est selon ce que je fais, si je suis concentré ou si je suis … Comme en ce moment.
Jusqu'à ce moment je l'avais remarqué, il avait débandé. Mais là sa bite se réveillait. Elle se redressait, au repos elle n'était pas bien grosse mais en forme c'était tout à fait présentable. Je me demande même si elle n'était pas plus grosse que la mienne.
Enfin avant que je porte ce dispositif bien sûr, maintenant c'est moins sûr.
– Mais tu n'est pas un dominant alors ?
– Bingo ! Tu as tout compris.
– Tu es un esclave toi aussi ?
– NON ! Ça non, je ne suis pas un esclave, je suis passif, un brun soumis, mais juste un brun pas plus … Et je fais ce que je veux.
Il me regardait avec des yeux tout rond. Puis je rajoutais.
– Enfin quand je suis avec Simon, je fais ce qu'il me dit.
– Et quant il est là ?
– Pour l'instant, il n'est pas là !
Je ne suis pas sûr qu'à ce moment il comprenait tout ce qui se passait mais il avait l'air contant le petit gars.
Il bandait et il ne devait pas être habitué à se retrouver dans cette situation. D'habitude c'est lui qui était soumis, c'est lui qui suçait et là …
– Allez on se fait une petite douche ! Proposais-je.
Il se relevait, il avait presque l'air fier avec sa petite queue, elle se relevait avec légèreté. Surtout si on compare à celle de Simon. Lui il bande bien dur mais sa queue ne relève jamais à la verticale. Le petit Eddy, lui, si !
Il me suivait dans la salle de bain, je glissais sous la douche, il m'y rejoignait et là de nouveau on se prenait dans les bras. Là on se lâchait l'un comme l'autre on échangeait des câlins. C'était à celui qui en donnerait le plus à l'autre.
On se lavait l'un l'autre, on se savonnait, je sentais sa peau devenir encore plus douce. Il insistait longuement sur mes couilles. Au bout d'un moment j'en faisais de même.
– C'était quand la dernière fois que tu as enculé quelqu'un ? Demandais-je.
– J'ai jamais enculé un mec ! Me répondait-il.
Je ne relevais pas sa réponse et l'embrassais. Je glissais mon corps contre le sien, sa queue se relevait avec force et se faisait remarquer. Puis sans le prévenir et je retournais, j'écartais les jambes et me penchais en avant.
– Encule moi ! Lui demandais-je.
– Oui mais … Et puis mon copain et Simon ils ont dit que …
– Ils ne sont pas là ! Encule moi !
– Je ne sais pas si je peux.
– Tu m'as l'air en forme, donc tu peux ! Répondais-je. Et n'oublie pas, ici c'est moi qui commande.
Il était un peu hésitant, il me caressait les fesses, par moment la main débordait et se retrouvait sur mes couilles. Je lui caressais la main pour l'encourager puis je le sentais prendre position.
Avec les jambes bien écartées j'étais à la bonne auteur. Je sentais sa queue qui appuyait contre mon cul. Je retournais la tête en arrière, il penchait la sienne vers moi et m'embrassait.
Puis il a poussé, il a poussé fort, il m'avais bien lubrifié et sa queue entrait brusquement avec une certaine violence jusqu'à la garde, son ventre venait frapper contre mes fesses. Il criait, je hurlais.
– Oh pardon, j'y suis allé un peut fort. Disait-il un peu désappointé.
– Non ! Vas y défonce moi le cul.
– Je ne t'ai pas fait mal ?
– Non ! Vas y ne t'inquiète pas de ça !
Il a compris, on avait du le lui faire plus d'une fois, il se lâchait alors et me limait. Il était tout calme et là il s'est lâché. Avec une violence qui m'a surpris il s'enfonçait dans mon cul puis en ressortait. Il ne faisait pas semblant. Il donnait un coup violent et quand il arrivait au fond, son ventre claquait contre mes fesses, on l'entendait bien, puis il poussait encore un peu.
C'était bon.
C'était même très bon. Finalement une petite bite, enfin une bite moyenne ça peut faire du bien aussi. J'étais habitué à une queue géante, elle me donnait beaucoup de plaisir mais lui aussi il me donnait beaucoup de plaisir, plus peut être même.
Il avait joui peu avant, et là je sentais que ça ne venait pas. Je devinais que ça mettrait du temps, et je n'avais pas l'intention de m'en plaindre.
Il ressortait complètement, il me lubrifiait et revenait à la charge sans aucun ménagement.
Je vous jure que je le sentais passer. Finalement elle n'était pas si petite que ça sa bite. Seize centimètre sur plus de cinq, elle avait un bon diamètre et elle vous dilatait bien l'anus. Il ne parvenait pas à jouir et il me limait, me limait.
Le plaisir montait en moi, mon cul, puis le plaisir rayonnait dans mon ventre, dans tous mon ventre et continuait à rayonner dans mon corps. Je tremblais de plaisir, il refermait ses mains sur moi et me tripotait les couilles.
Brusquement en une seconde sans que j'ai rien vu arriver, je jouissais, j'éjaculais. Il s'en rendait compte, il s'énervait quelques instants encore sur mon cul et éjaculait à son tour.
Rapidement il débandait, on restait encore un long moment sous la douche. On finissait par en ressortir, on se séchait, puis on retournait dans le salon.
– On se rhabille ? Demandait Eddy.
– Tu n'est pas bien comme ça ? Lui demandais. La bite à l'air. Profite bien de ce moment tu en garderas un grand souvenir.
On s'installait confortablement puis on discutait. Maintenant il débandait vraiment, sa queue prenait moins de place. Là j'ai décidé d'intervenir. J'ouvrais un tiroir et en sortait une cage à bite complète.
– Tu connais ta taille.
– Bein non, j'ai jamais essayé.
– Je commençais par les plus grands anneaux.
– Il me semble un peu grand. M'expliquait Eddy,
on essayait un anneau plus petit. Il l'ajustait facilement. Me regardait.
– Et ensuite ? Demandait-il.
J'avais vu sa bite au repos et j'avais repéré la taille, la bonne taille, j'en était sûr. Je lui présentais la petite cage. Il la regardait avec une certaine curiosité.
– Tu ne bandes pas, quand on en est à ce point là, en général on bande. Moi je bandais comme un fou.
– Oui mais moi je me suis bien vidé les couilles pour le moment. Me répondait Eddy.
C'est vrai que quand j'avais mis ma cage à bite, moi je ne m'étais pas vidé les couilles et c'était sans doute pour ça que je bandais d'une manière incontrôlable. Prend donc note de ce conseil ami lecteur. Quand tu mets ta cage à bite n'oublie pas de vider les couilles.
Il ne traînait pas d'avantage, il sentais sans doute venir une nouvelle érection malgré le fait qu'il s'était bien vidé les couilles. Ou alors il commençait à comprendre que ce ne serait pas le lendemain qu'il pourrait recommencer.
Il glissait sa queue dans la cage, j'avais vu juste, c'était la bonne taille. Déjà sa queue commençait à bander mais c'est à peine si la cage semblait trop petite. Il était bien un peu à l'étroit, mais une cage à bite doit toujours être étroite. Là il grimaçait.
Il faisait vraiment une énorme grimace quand il enclenchait la cage sur l'anneau, ça faisait clic. Je devinais que sa queue prenait du volume, quelques instant de plus il était coincé,il n'aurait pas pu la mettre. Il avait brusquement l'air moins à son aise.
Je lui tendais la clé. C'est la tradition, comme je n'étais pas son maître je devais le laisser faire. Seul son maître ou celui qui le devenait pouvait refermer le dispositif. Il verrouillait puis ensuite, il tirait sur la peau doucement mais longuement, il tentait d'ajuster le dispositif.
C'était une première pour lui et je me doutais bien que cette période sous clé et chaste risquait de durer un long, un très long moment. C'est que je connaissais bien Simon.
Quelques instants plus tard, il bandait et se sentait à l'étroit dans sa cage. Je m'en amusais, je le voyais découvrir les joies de la chasteté.
On se rhabillait. Pendant qu'il trouvait la position la plus confortable dans son nouvel état. Je préparait le courrier de réponse à Simon. J'y glissais ma clé, je devais la retourner sans avoir ouvert son emballage plastique, je rajoutais les clés de Eddy. À partir de ce moment ça ne me concernait plus.
On portait à la poste cette lettre, puis on s'arrêtait prendre un verre. On discutait encore un moment tous les deux, puis je lui souhaitait tous mes vœux pour cette nouvelle vie.
Ça se passe comme ça. Simon m'envoie des gens qu'il connaît et que moi je ne connais pas, son courrier précise ' a équiper ' ou m'indique si le mec est là pour se vider les couilles. Je m'occupe de la suite ...
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Je le regardais dans les yeux, il y avait comme un petit éclair, un reflet brillant. Il me souriait, je lui rendais son sourire. Il était essoufflé et son cœur battait fort. Je l'avais senti vibrer, je l'avais senti jouir.
Au niveau de l'orgasme c'est un plaisir dont je n'ai pas à rendre de compte. Pour les autres plaisirs, on me les donnais ou on ne me les donnais pas. Je ne devais pas les provoquer.
– On peut continuer ? Demandais-je.
Il acquiesçait de la tête.
– Tu veux pas boire un verre ?
– D'habitude on commence par là.
Quand je revenais avec les boissons il s'était installé sur un fauteuil. Docile et soumis il ne s'était pas rhabillé. J'avais encore le goût de son sperme dans la bouche, il était détendu et souriant.
– Tu sais j'avais un peu peur avant de venir !
– Plus maintenant ?
– Non, maintenant ça va !
– On va passer à la suite ? Demandait-il.
– Tu connais la procédure ?
– Bein, en fait pas vraiment.
– C'est une première ? Demandais-je.
– Oui ! J'ai jamais essayé.
– Et tu te mets entre les mains de Simon ?
– En fait c'est mon copain qui m'a proposé, et il connaît Simon.
– Et la durée sera de ?
– Il n'y a pas de limite décidé !
Je faisais oui de la tête.
– Et tu as vu ce que ça donne ?
– J'ai vu des photos.
– Mais en vrai, tu as vu ?
– Non jamais, mais j'ai trouvé les photos excitantes, vraiment excitantes. Je crois que ça c'est pour moi.
– Oui je vois !
– Ça ne fait pas mal on m'a dit , c'est vrai ?
– Je confirme mais ça ne veut pas dire que tu ne le sens pas !
Tout en discutant je me levais, retirais mon T-shirt. Il me regardait en souriant. Puis j'ouvrais mon pantalon.
– Maintenant tu vas m'enculer ? Me demandait-il.
Là je le regardais en rigolant, et je continuais à me déshabiller.
Vous auriez vu la tête qu'il a fait quand il a vu mon dispositif de chasteté.
– Tu en portes un aussi ?
– Comme tu peux voir !
– Mais heu, combien de temps.
– Sans limite de temps, ça fait maintenant plus d'un an, non stop.
– Il tendait la main comme pour vérifier.
– Tu peux toucher, tripoter même si tu veux.
Là il ne s'en privait plus, il me caressait les couilles, il remuait mon dispositif. Il avait un large sourire en voyant mes couilles se balancer.
– Et ça ne fait pas mal ?
– Non ! Mais je le sens presque tout le temps. Enfin souvent. C'est selon ce que je fais, si je suis concentré ou si je suis … Comme en ce moment.
Jusqu'à ce moment je l'avais remarqué, il avait débandé. Mais là sa bite se réveillait. Elle se redressait, au repos elle n'était pas bien grosse mais en forme c'était tout à fait présentable. Je me demande même si elle n'était pas plus grosse que la mienne.
Enfin avant que je porte ce dispositif bien sûr, maintenant c'est moins sûr.
– Mais tu n'est pas un dominant alors ?
– Bingo ! Tu as tout compris.
– Tu es un esclave toi aussi ?
– NON ! Ça non, je ne suis pas un esclave, je suis passif, un brun soumis, mais juste un brun pas plus … Et je fais ce que je veux.
Il me regardait avec des yeux tout rond. Puis je rajoutais.
– Enfin quand je suis avec Simon, je fais ce qu'il me dit.
– Et quant il est là ?
– Pour l'instant, il n'est pas là !
Je ne suis pas sûr qu'à ce moment il comprenait tout ce qui se passait mais il avait l'air contant le petit gars.
Il bandait et il ne devait pas être habitué à se retrouver dans cette situation. D'habitude c'est lui qui était soumis, c'est lui qui suçait et là …
– Allez on se fait une petite douche ! Proposais-je.
Il se relevait, il avait presque l'air fier avec sa petite queue, elle se relevait avec légèreté. Surtout si on compare à celle de Simon. Lui il bande bien dur mais sa queue ne relève jamais à la verticale. Le petit Eddy, lui, si !
Il me suivait dans la salle de bain, je glissais sous la douche, il m'y rejoignait et là de nouveau on se prenait dans les bras. Là on se lâchait l'un comme l'autre on échangeait des câlins. C'était à celui qui en donnerait le plus à l'autre.
On se lavait l'un l'autre, on se savonnait, je sentais sa peau devenir encore plus douce. Il insistait longuement sur mes couilles. Au bout d'un moment j'en faisais de même.
– C'était quand la dernière fois que tu as enculé quelqu'un ? Demandais-je.
– J'ai jamais enculé un mec ! Me répondait-il.
Je ne relevais pas sa réponse et l'embrassais. Je glissais mon corps contre le sien, sa queue se relevait avec force et se faisait remarquer. Puis sans le prévenir et je retournais, j'écartais les jambes et me penchais en avant.
– Encule moi ! Lui demandais-je.
– Oui mais … Et puis mon copain et Simon ils ont dit que …
– Ils ne sont pas là ! Encule moi !
– Je ne sais pas si je peux.
– Tu m'as l'air en forme, donc tu peux ! Répondais-je. Et n'oublie pas, ici c'est moi qui commande.
Il était un peu hésitant, il me caressait les fesses, par moment la main débordait et se retrouvait sur mes couilles. Je lui caressais la main pour l'encourager puis je le sentais prendre position.
Avec les jambes bien écartées j'étais à la bonne auteur. Je sentais sa queue qui appuyait contre mon cul. Je retournais la tête en arrière, il penchait la sienne vers moi et m'embrassait.
Puis il a poussé, il a poussé fort, il m'avais bien lubrifié et sa queue entrait brusquement avec une certaine violence jusqu'à la garde, son ventre venait frapper contre mes fesses. Il criait, je hurlais.
– Oh pardon, j'y suis allé un peut fort. Disait-il un peu désappointé.
– Non ! Vas y défonce moi le cul.
– Je ne t'ai pas fait mal ?
– Non ! Vas y ne t'inquiète pas de ça !
Il a compris, on avait du le lui faire plus d'une fois, il se lâchait alors et me limait. Il était tout calme et là il s'est lâché. Avec une violence qui m'a surpris il s'enfonçait dans mon cul puis en ressortait. Il ne faisait pas semblant. Il donnait un coup violent et quand il arrivait au fond, son ventre claquait contre mes fesses, on l'entendait bien, puis il poussait encore un peu.
C'était bon.
C'était même très bon. Finalement une petite bite, enfin une bite moyenne ça peut faire du bien aussi. J'étais habitué à une queue géante, elle me donnait beaucoup de plaisir mais lui aussi il me donnait beaucoup de plaisir, plus peut être même.
Il avait joui peu avant, et là je sentais que ça ne venait pas. Je devinais que ça mettrait du temps, et je n'avais pas l'intention de m'en plaindre.
Il ressortait complètement, il me lubrifiait et revenait à la charge sans aucun ménagement.
Je vous jure que je le sentais passer. Finalement elle n'était pas si petite que ça sa bite. Seize centimètre sur plus de cinq, elle avait un bon diamètre et elle vous dilatait bien l'anus. Il ne parvenait pas à jouir et il me limait, me limait.
Le plaisir montait en moi, mon cul, puis le plaisir rayonnait dans mon ventre, dans tous mon ventre et continuait à rayonner dans mon corps. Je tremblais de plaisir, il refermait ses mains sur moi et me tripotait les couilles.
Brusquement en une seconde sans que j'ai rien vu arriver, je jouissais, j'éjaculais. Il s'en rendait compte, il s'énervait quelques instants encore sur mon cul et éjaculait à son tour.
Rapidement il débandait, on restait encore un long moment sous la douche. On finissait par en ressortir, on se séchait, puis on retournait dans le salon.
– On se rhabille ? Demandait Eddy.
– Tu n'est pas bien comme ça ? Lui demandais. La bite à l'air. Profite bien de ce moment tu en garderas un grand souvenir.
On s'installait confortablement puis on discutait. Maintenant il débandait vraiment, sa queue prenait moins de place. Là j'ai décidé d'intervenir. J'ouvrais un tiroir et en sortait une cage à bite complète.
– Tu connais ta taille.
– Bein non, j'ai jamais essayé.
– Je commençais par les plus grands anneaux.
– Il me semble un peu grand. M'expliquait Eddy,
on essayait un anneau plus petit. Il l'ajustait facilement. Me regardait.
– Et ensuite ? Demandait-il.
J'avais vu sa bite au repos et j'avais repéré la taille, la bonne taille, j'en était sûr. Je lui présentais la petite cage. Il la regardait avec une certaine curiosité.
– Tu ne bandes pas, quand on en est à ce point là, en général on bande. Moi je bandais comme un fou.
– Oui mais moi je me suis bien vidé les couilles pour le moment. Me répondait Eddy.
C'est vrai que quand j'avais mis ma cage à bite, moi je ne m'étais pas vidé les couilles et c'était sans doute pour ça que je bandais d'une manière incontrôlable. Prend donc note de ce conseil ami lecteur. Quand tu mets ta cage à bite n'oublie pas de vider les couilles.
Il ne traînait pas d'avantage, il sentais sans doute venir une nouvelle érection malgré le fait qu'il s'était bien vidé les couilles. Ou alors il commençait à comprendre que ce ne serait pas le lendemain qu'il pourrait recommencer.
Il glissait sa queue dans la cage, j'avais vu juste, c'était la bonne taille. Déjà sa queue commençait à bander mais c'est à peine si la cage semblait trop petite. Il était bien un peu à l'étroit, mais une cage à bite doit toujours être étroite. Là il grimaçait.
Il faisait vraiment une énorme grimace quand il enclenchait la cage sur l'anneau, ça faisait clic. Je devinais que sa queue prenait du volume, quelques instant de plus il était coincé,il n'aurait pas pu la mettre. Il avait brusquement l'air moins à son aise.
Je lui tendais la clé. C'est la tradition, comme je n'étais pas son maître je devais le laisser faire. Seul son maître ou celui qui le devenait pouvait refermer le dispositif. Il verrouillait puis ensuite, il tirait sur la peau doucement mais longuement, il tentait d'ajuster le dispositif.
C'était une première pour lui et je me doutais bien que cette période sous clé et chaste risquait de durer un long, un très long moment. C'est que je connaissais bien Simon.
Quelques instants plus tard, il bandait et se sentait à l'étroit dans sa cage. Je m'en amusais, je le voyais découvrir les joies de la chasteté.
On se rhabillait. Pendant qu'il trouvait la position la plus confortable dans son nouvel état. Je préparait le courrier de réponse à Simon. J'y glissais ma clé, je devais la retourner sans avoir ouvert son emballage plastique, je rajoutais les clés de Eddy. À partir de ce moment ça ne me concernait plus.
On portait à la poste cette lettre, puis on s'arrêtait prendre un verre. On discutait encore un moment tous les deux, puis je lui souhaitait tous mes vœux pour cette nouvelle vie.
Ça se passe comme ça. Simon m'envoie des gens qu'il connaît et que moi je ne connais pas, son courrier précise ' a équiper ' ou m'indique si le mec est là pour se vider les couilles. Je m'occupe de la suite ...
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Charly Chast
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Intéressant et excitant. Tout le plaisir de la cage de chasteté. J’en suis adepte à l’occasion.