Edmonde retrouve sa libido 2 - histoire érotique

Franck en pressant la main d'Edmonde sur sa bite commence une masturbation. Elle défaille, s'agite, se cabre sur sa chaise. Pendant que les mains douces d'Alice lui pressent sans brutalité les seins, roulent entre ses doigts les mamelons qui rapidement durcissent. Edmonde ne cesse de trembler, elle en semble tétanisée, elle n'a pas la force de fuir.


Alice, doucement, étire les mamelons à la limite de la douleur, Edmonde, grimace mollement, elle attrape des sueurs. La femme, très habile, lui ouvre le corsage, et reprend les mamelons entre ses doigts, les presse doucement. Le torse d'Edmonde est moite. Les bouts sensibles sont devenus très larges et épais, Alice sait comment les faire dresser davantage.
Edmonde grimace, les bouts sont devenus hyper sensibles, voire douloureux. Alice est contrainte de les délaisser.

Sans faiblir, Franck augmente la vitesse de branlage. Les doigts d'Edmonde serrent automatiquement la verge gorgée de sang. Doucement, il libère la main d'Edmonde, qui, comme un automate, continue de branler la bite. Elle sent battre le sang, dans les grosses veines apparentes de la hampe qui est bien épaisse.

Elle tourne la tête vers son mari, ses yeux l'implorent, ils sont pleins de larmes. Soudain, elle sursaute, plusieurs giclées puissantes de sperme sont éjectées de la verge, elles retombent sur les doigts d'Edmonde, pour elle, c'est comme si elle avait vu le diable, elle relâche subitement la bite visqueuse. Horrifiée, elle regarde ses doigts souillés et tourne la tête vers son mari, espérant une intervention de sa part.

Mais l'aide escomptée, n'arrive pas, Charles la regarde en souriant, il en espère plus. Edmonde voudrait mourir, pour elle, ce qu'elle subit, c'est de l'humiliation. Franck lui replace sa main sur sa bite poisseuse, Edmonde se sent contrainte de reprendre le branlage. Timidement, elle agite l'engin gluant, qui laisse échapper encore quelques perles de sperme. Elle regarde le gland qu'elle découvre à chaque descente de son poignet.

Sa main tremble moins, instinctivement, elle augmente la vitesse du branlage. Ses yeux ne quittent pas la verge qu'elle serre encore plus fortement dans sa main. Franck grimace, la pression monte d'un cran. Une nouvelle jouissance le fait grogner. Sa semence retrouve les doigts d'Edmonde, mais qui cette fois ne lâche pas l'engin, au contraire, elle le branle encore plus férocement.


Edmonde ralentit, le branlage devient doux. Elle observe attentivement le gland qu'elle a pris soin de bien décalotter. Charles est aux anges, il se demande jusqu'où ira sa femme chérie, il espère que tous ses tabous se sont envolés, et qu'elle accepte de se faire défoncer par Franck. Mais on n'en est pas encore là. Elle sursaute, la bouche d'Alice vient de se poser sur ses seins, la vorace actrice les embrasse en les pressant dans ses mains. Comme pour faire pointer encore plus les mamelons. L'experte du sexe les gobe à tour de rôle, elle les suce, les tète comme pour en extraire du lait.

Edmonde gémit, elle ne crispe moins. Elle lâche la verge de Franck et en serrant les poings, elle dit, mais sans conviction :

-Charles, viens à mon secours, oh mon Dieu, j'ai honte de moi. Ils me rendent folle, aide-moi, Charles, Charles, aide-moi !

Le bougre ne répond pas, il observe sa femme qui pousse un petit gémissement à chaque aspiration sur ses mamelons. Franck lui retrousse la jupe, sous la chaise une petite flaque de cyprine s'étend. Edmonde mouille atrocement, son clito est très gonflé sans qu'il le touche. Il pense que cette femme doit avoir un sacré potentiel sexuel, enfouit au fond de son corps. Il se dit qu'il faut la libérer se tous ses préjugés qui la bloquent, et qu'elle devienne enfin une femme capable de se livrer à toutes les perversités sexuelles les plus hardes.

Il avance sa main entre les cuisses qu'Edmonde a inconsciemment ouvertes, il caresse la fente humide de haut en bas plusieurs fois, la vulve ne cesse de suinter. Avec douceur, il saisit la boule de chair et avant de la branler, la presse plusieurs fois, mais de plus en plus fort. Edmonde se cabre, elle grogne comme un fauve en cage. Mais dès que le branlage commence, ses gémissements deviennent moins rauques. Les doigts de Franck agitent la boule de chair, mais dès qu'Edmonde commence à geindre plus fort, il cesse. Il attend quelques secondes pour que la tension retombe, avant de reprendre le branlage. Ce travailleur du sexe connait son métier.

Charles bande comme un poney, il sort de son pantalon sa queue et la caresse en la branlant très doucement, il veut profiter le plus longtemps possible du spectacle. Edmonde agite doucement son bassin, elle gémit en se cramponnant à la chaise. Franck augmente la vitesse du branlage, la soumise s'agite de plus en plus vite. Soudain, elle pousse un cri, qu'elle tente d'étouffer en se mordant la main. Son corps reçoit comme une décharge électrique, il se cabre dans formidable jouissance. Charles n'en revient pas, sa femme si prude se fait branler par un inconnu, et elle arrive à jouir, c'est merveilleux.

Pour que la jouissance soit complète, Franck lui écrase le clito. L'effet est immédiat, une seconde jouissance fait hurler Edmonde. Alice repousse son complice, et s'agenouille entre les cuisses de la jouisseuse. Elle plaque sa bouche sur la chatte noyée, elle aspire tout le jus qu'elle peut avant d'enfoncer sa langue au plus profond du vagin. Elle le fouille, longuement, Edmonde se libère, elle ne retient plus ses gémissements. Elle appuie sur la tête de la femme, au moment où celle-ci lui gobe le clito.

Pour Edmonde, c'est le délire, une nouveauté. Jamais elle n'aurait voulu qu'une femme lui fasse subir des trucs pareils, rien que d'y penser c'était l'horreur, voire le déshonneur. Presque dans les vapes, avec un sursaut de regrets, elle dit entre deux gémissements :

-Charles, je fais l'amour avec d'autres personnes, je suis une chienne, sors-moi de cet enfer, je suis damnée, c'est indigne de moi, je suis une salope. Alice, non, non assez, j'ai honte mon Dieu, je vais jouir encore !

Elle se cabre, la bouche d'Alice est très efficace, une jouissance terrible fait hurler encore une fois la soumise. La vorace Alice lui mord le clito, dans un hurlement inhumain, Edmonde réjouit. Ses deux amants s'écartent pour qu'elle récupère. Les bras ballants sur sa chaise, Edmonde halète fortement, ses yeux son vitreux, elle regarde vers son mari qui lui dit :

-Oh ma chérie, comme je t'aime, oui, donne-toi, jouis comme une dingue, deviens la femme que je veux que tu sois !

Charles se caresse doucement, sa queue est tendue comme un arc. Franck veut battre le fer pendant qu'il est chaud, il avance sa bite vers la bouche d'Edmonde, qui regarde l'engin en se pinçant fortement les lèvres. Charles intervient :

-Ma chérie, suce-le, dégorge-lui poireau, goutte à sa semence, ne refuse plus les plaisirs du sexe. Tu boiras aussi ma semence, aller fais-le, je te le demande ma chérie !

La main d'Edmonde tremble, elle saisit la bite et en soupirant fortement la décalotte avant de donner dessus quelques coups de langue. Charles l'encourage :

-Oui, oui, ma chérie, continue, vas-y gobe le gland et suce-le jusqu'à ce qu'il te remplisse la bouche de son sperme, tète ma chérie, tète !

Edmonde, en prenant une grande aspiration, gobe l'engin, elle le garde sas la bouche sans faire un mouvement. Puis, ayant savouré la douceur du gland, elle se met à le sucer. Franck geint de plaisir, la bouche d'Edmonde est efficace, la coquine apprend vite. Longuement, elle suce tète. Mais la récompense ne tarde pas à arriver. Une puissante giclée lui remplit la bouche, surprise par la puissance du jet, elle manque d'étouffer tellement c'est copieux, elle repousse Franck brusquement, pince les lèvres prête à recracher. Charles hurle :

-Avale, avale, c'est de la bonne semence, savoure là, ma chérie !

Edmonde déglutit et finit par tout avaler, elle ouvre la bouche et fièrement montre à son mari qu'elle a tout avalé. Le bougre et fière d'elle, il l'encourage :

-Tu es sur la bonne voie ma chérie, maintenant, il faut que tu passes à l'étape supérieure !