Edmonde retrouve sa libido - histoire érotique

Co-ecrit avec Valerian.e



Charles, riche industriel, est marié, à Edmonde. Bien que les deux ne soient plus très jeunes. Charles ne rechigne pas à honorer régulièrement sa femme, ce qui dans un couple d'un certain âge rare. Bien que pas très portée sur le sexe, Edmonde répond bien à ses avances, mais sans faire d'extra.


Mais de moins en moins, elle n'éprouve de désir, sa libido chute de plus en plus jusqu'à s'éteindre. Charles est désespéré, bien qu'il essaie de nouvelles techniques, rien n'y fait. Il consulte avec sa femme un ami sexologue qui lui conseille, pour qu'Edmonde retrouve peut-être, les plaisirs du sexe. C'est d'innover, inviter une autre personne à leurs ébats. Mais cette proposition indécente ne plait pas à Edmonde, elle si prude, ose à peine se mettre en maillot de bain à piscine de la villa.

Donc l'ami, en faisant une moue, leur suggère de se rendre dans un sexshop et dans une cabine privée, faire les voyeurs, cela peut réveiller la libido d'Edmonde. Bien que cela semble déplacé pour Edmonde, elle finit par accepter. Chausser de grosses lunettes de soleil, et d'un chapeau pour dissimuler le plus possible son visage, Edmonde et son mari, se rendent dans le sexshop que leur a conseillé leur ami.

Charles, gêné, chuchote à l'oreille du commerçant, qui lui fait un gros sourire et, moyennant une certaine sommes, lui donne la clé d'une cabine et les invite à aller au sous-sol. Une vitre sans tain permet de voir sans être vu. Sur un épais tapis, une femme nue, ondule comme un reptile, se caresse doucement les parties intimes, se tourne bien vers la vitre pour que les clients puissent voir ses mains taquiner ses orifices. D'une main, elle écarte ses grandes lèvres vaginales, et de l'autre, caresse son clito. Le bougre est fortement gonflé, surement à cause des précédentes présentations torrides, que la femme doit s'infliger plusieurs fois par jour pour exciter les voyeurs.

La femme le triture en gémissant doucement. Ses doigts agiles le pressent fortement, et commencent à le branler. La femme grimace agite son bassin, sa chatte bouillonnante laisse échapper un filet continue de cyprine. Edmonde ne quitte pas des yeux le clito, que a femme manie avec une dextérité remarquable. Ses yeux luisent, Charles la regarde et lui demande :

-Cela te plait ma chérie !

Edmonde ne répond pas, elle est comme sur un nuage. Charles pose sa main sur sa cuisse et la glisse sous sa robe. Il la caresse un instant avant de la plaquer sur l'entrejambe. Il dit en souriant :

-C'est merveilleux ma chérie, tu mouilles !

Soudain un partenaire de la femme fait son apparition, l'homme nu bande comme un cerf, le bougre doit surement prendre des produits pour avoir une bonne érection. Il s'agenouille et offre aux lèvres de la femme son mandrin qui laisse échapper quelques perles de rosée. La femme le saisit, le décalotte à fond, et reste un moment pour que les voyeurs admirent le gland violacé de l'homme.

Edmonde soupire profondément, lorsque la femme gobe le cèpe royal, la bouche experte de la femme œuvre sur le gland de son partenaire en le faisant gémir. La culotte d'Edmonde est trempée, la main de son mari voyage sur sa fente que seule le fin tissu protège. L'homme retire sa verge tendue de la bouche de la suceuse, et prend place entre ses cuisses.

Doucement, il enfonce son membre dans le puits d'amour et commence un pilonnage en règle. D'une cabine proche on entend une femme crier :

-Défonce-là bien cette pute, vas-y vas-y, oh, c'est trop bon !

Edmonde serre les poings, elle pousse un gémissement qu'elle étouffe en se mordant la main jusqu'au sang. La coquine vient de jouir. Charles est tout excité, sort sa bite, il la tire Edmonde sur le bord de la chaise, et en lui écartant la culotte humide, lui plante sa bite dans le ventre. Les deux ne quittent pas des yeux les deux acteurs, la femme pousse un hurlement de jouissance, elle a le devoir de crier sa jouissance. L'homme se retire et lui arrose le ventre avec sa semence, plusieurs jets giclent de sa verge, ses orgasmes sont violents.

La femme, pour conclure, étend avec sa main sur son corps le sperme visqueux si généreusement offert par son complice. Charles s'acharne sur sa femme qui jouit une seconde fois, mais sans retenir ses gémissements de plaisirs. Enfin, Charles déverse en elle sa semence épaisse. Plusieurs fois par semaine, les deux se rendent au sexshop, pour assister aux ébats et baiser dans la cabine pour avoir des jouissances atroces.

Charles propose de faire venir chez lui le couple d'acteurs, peu importe le prix. Il les veut le soir même chez lui.
Généreusement payé, les deux ne peuvent pas décliner l'offre, il propose même de faire un petit extra.

Edmonde stresse toute la journée, elle ne sait comment s'habiller. Comme toutes les femmes, malgré l'armoire pleine de vêtements, elle n'a rien à se mettre. Charles lui dit avec une pointe d'humour :


-Ma chérie, je te conseille de ne pas mettre de sous-vêtements, juste une jupe et un corsage, tu vas être tellement excitée que tu vas me sauter dessus comme une chienne !

Edmonde fronce les sourcils et répond très gênée :

-Mais Charles, tu n'y penses pas sérieusement, comment peux-tu penser que je me ruerai sur toi comme une dépravée !

En riant, réplique :

-Mais il faut un début à tout ma chérie !

Il l'enlace et l'embrasse fougueusement, et lui passe sa main entre les jambes et presse fortement la chatte en disant :

--Je suis sûr que tu mouilles ma chérie !


Edmonde réagit, elle repousse son mari et l'apostrophe :

-Mais tu es incorrigible Charles, depuis que nous allons au sexshop, tu deviens un obsédé !


Il la regarde et lui dit en se plaquant contre elle :

-Je suis sûr que tu y as déjà pensée être à la place de la femme et que tu as mouillé ta culotte !

Edmonde foudroie son mari du regard, hausse les épaules, retourne dans sa chambre, et se jette sur son lit. Charles pense l'avoir vexé, il le regrette, veut s'excuser, et monte la rejoindre. Il s'assied au bord du lit. Il regarde sa femme est allongée sur le ventre, la tête entre ses bras. Sa jupe est remontée en dévoilant une partie de ses lobes fessiers. Charles doucement la remonte encore plus. Il insère ses doigts dans la raie et suis le large sillon vers l'anneau ridé.


Il le titille doucement, Edmonde ne semble pas réagir. Les doigts descendent, s'enfoncent dans la toison. Charles en souriant dit :

-J'en étais sûr, tu mouilles hein ma petite salope, et ce n'est pas pour ma queue, mais pour celle l'autre type !

Edmonde se retourne brusquement et en regardant son mari dit :

-Tu es un monstre, Charles, je te haïs !

Charles se colle contre elle est lui tendrement :

-Oh ma petite femme salope, mouille pour un étranger, mais il faut franchir le pas ma chérie, si tu savais comme cela m'excite, rien que d'y penser, j'en ai des fourmis dans la queue !

Les yeux d'Edmonde s'emplissent de larmes et en reniflant dit :

-Tu es un détraqué Charles, comment peux-tu penser que je peux faire l'amour avec un autre que toi, cela m'est déjà difficile de le faire avec toi !

Charles sort sa verge qui est déjà en semi-érection et réplique :

- Rien qu'en t'imaginant, NON, faire l'amour avec cet homme, mais te faire DÉFONCER par ce type, je bande !

Edmonde ravale sa salive et elle répond :


-Mon Dieu me faire défoncer, mais c'est impensable, Je rêve, il faut que je me réveille, Charles cesse de me tourmenter !

Avant de l'embrasser il lui dit :

- Je n'ai aucun doute pas ma chérie, bien que tu sois un peu coincée, tu es capables de surmonter ta pudeur et de te donner à fond !

Edmonde se pince les lèvres, elle tremble comme une feuille. Elle pose ses lèvres sur celles de son mari, les deux échangent un baiser langoureux pendant plusieurs minutes. Charles est un homme heureux, sa femme semble avoir retrouvée sa libido.

Une fois que les invités sont là, ils se présentent Lui se prénomme Franck, elle Alice. Pendant qu'Edmonde est encore dans sa chambre, Charles dit aux acteurs, ce qu'il attend d'eux. Une rallonge substantiel est prévue. les deux très professionnels, acceptent ce nouveau deal.

Enfin Edmonde arrive, elle salue le couple, et trinque avec eux pour ce mettre en confiance, car là il n'y a plus de vitre sans tain pour se cacher derrière.
Les deux commencent leur prestation. Charles et sa femme sont sur le canapé, en position voyeurs. Avec professionnalisme, les deux s'effeuillent. Sous les yeux des deux commanditaires. Une fois nue, la femme comme au sexshop, se caresse, se branle, s'enfonce les doigts dans les orifices, en les fouillant profondément.
Un jouissance la fait cabrer, c'est le signal pour son partenaire d'intervenir, il bande comme un cheval.


La base de sa verge est garnir d'un anneau, pour retarder l'éjaculation. La femme décalotte le gland et le suce voracement, l'homme gémit fortement. Les yeux d'Edmonde sont écarquillés, elle ne cesse de déglutir bruyamment. Franck repousse sa complice, et en lui ouvrant les cuisses plaque sa bouche sur la vulve. Il suce les grandes lèvres les lèche, puis aspire le clito qui est toujours hyper gonflé. Aloice se Cabre, une seconde jouissance lui électrise la chatte. L'homme se redresse et avance son pieu vers la chatte dégoulinante se cyprine.

Edmonde rouge comme une pivoine, pendant tout le spectacle, à les yeux rivés sur les deux amants. Elle serre les cuisses, sa chatte rejette en continu sa cyprine. Charles se penche sur elle et lui murmure :

-Tu mouilles ma chérie !

Edmonde en ravalant sa salive répond :

-C'est affreux mon chéri, c'est affreux, oh comme j'ai honte !

Le canapé est fortement souillé par l'abondante cyprine que la chatte d'Edmonde ne peut retenir.
L'homme enfonce sa bite dans la chatte de sa partenaire, qui pousse un long râle. Il la pilonne férocement, soudain il retire sa verge de la chatte et la plante dans le cul de sa complice qui pousse un gémissement terrible. L'enculage est violent, la femme s'accroche à son acolyte en donnant de grands coups de reins. Edmonde regarde avec intérêt la bite coulisser dans le rectum de l'actrice qui semble prend un pied terrible.


Un cri monstrueux prouve que la femme vient de jouir. L'homme donne encore quelques coups de bélier, avant de ce retirer du cul. Il retire l'anneau et replonge sa bite dans le rectum de la femme qui se cabre en poussant un oui de bonheur. Il commence un violent va-et-vient qui devient rapide, on l'entend grincer des dents. Il se bloque et remplit le cul de sa complice avec son abondante semence.

Edmonde défaille sa respiration s'accélère, sa chatte incontrôlable, laisse échapper un flot de jus, qui inonde le canapé. Charles fait un signe aux acteurs, puis se lève. L'homme prend Edmonde par la main pendant que la femme place une chaise au centre de la pièce. Elle le suit, pas rassurée, il la fait asseoir sur la chaise. la femme se place derrière elle, et pose ses mains sur ses épaules elle commence un doux massage, pendant que l'homme se masturbe doucement devant elle. Les yeux d'Edmonde sont rivés sur le membre encore gluant de Franck.

Il s'avance vers elle, lui saisit la main et la pose sur bite bien tendue. Edmonde retire brusquement sa main comme si elle venait de se brûler. L'homme en insistant, lui reprend la main, en la maintenant plaquée sur sa bite. Les yeux d'Edmonde s'exorbitent presque, elle est comme tétanisée. Alice a délicatement glissée ses mains dans son corsage et lui presse doucement seins. Charles très intéressé, voit sa femme trembler. Il se demande si elle va aller jusqu'au bout de ce qu'il souhaite, et ne pas fuir.