Education 1
Récit érotique écrit par Alex1 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2005 dans la catégorie Dominants et dominés
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Education 1
Au détour de surf et de liens sur le Web que je découvre votre site. C’est à peu de chose prés ce que je cherchais, d’une part pour raconter mon histoire et d’autre part, pour lire celles des autres, et voir que je n’étais pas si « original » que cela. Et peut-être pour revivre ce que je vais essayer de raconter.
Amélie (je change le prénom, excusez-moi) et moi avions le même age (la trentaine), et une attirance physique l’un pour l’autre qui a fini par se concrétiser. Blonde, taille moyenne voir menue, un physique assez juvénile et uns style vestimentaire faisait qu’elle m’attirait énormément : jupes et robes simples, chaussures plates, parfois peu sexy au sens « commun » du terme mais qui moi, m’attirait beaucoup. J’ai toujours aimé les longues robes, très ajustées en haut mais très évasées en bas.
Alors que nous nous étions plus ou moins perdu de vue, la vie a fait que nous nous sommes à nouveau croisés, et avons rapidement fini par sortir ensemble, malgré sa situation conjugale (relation assez ancienne). Notre complicité intellectuelle se compléta rapidement par la partie physique, même si nous avons mis du temps à consommer.
Tout commença par un WE qu’elle vint passer chez moi. Perturbée malgré tout par cet adultère auquel elle ne pouvait résister, nous nous sommes contentés de caresses le premier soir, mais au matin, alors que nous nous embrassions, elle me demanda de quoi j’avais envie, et, sans lui répondre, je dirigeas sa tête vers son ventre. Nue, elle me caressa longuement avec sa bouche. Maladroitement, au moment de jouir, je me retirais de sa bouche. En souriant gentiment, elle me demanda pourquoi j’avais fait cela, que je n’avais pas voulu jouir dans sa bouche, car elle en avait très envie.
La journée, nous nous sommes baladés et au détour d’une halte, je glissai ma main dans son pantacourt et sa culotte et la caressai longuement, avec d’autres promeneurs qui passaient pas loin. Dans la voiture, au retour, elle me rendit mes caresses avec sa bouche. Une fois arrivé chez moi, elle s’agenouilla et baissa mon pantalon et mon caleçon, pour terminer ce qu’elle avait commencé dans la voiture. Cette fois-ci j’ai jouis dans sa bouche, prés avoir avalé ma semence, procéda avec sa langue a un nettoyage de mon sexe. C’est ce soir là qu’après m’avoir rejoint dans mon lit, qu’elle m’avoua vouloir être à moi complètement, sans retenue et, je cite « être mon esclave ». Ce qui m’excita aussitôt.
- Qu’est-ce que pour toi être mon esclave ?
- Je veux être à toi, à chaque instant, je veux que tu m’utilises quand tu veux et que tu fasses ce que tu veux de moi. ». Elle me caressait en même temps qu’elle me déclarait ses vœux de soumission. Ses mots faisaient mouche.
- Alors pour commencer, ne te présente plus devant moi autrement qu’en robe. Je veux te prendre dans chacune de tes robes. Tu ne t’habilleras plus que comme je te le dirais. Et un jour, je t’attacherais.
Entre tant, je l’avais retourné et mis à 4 pattes. Devançant mes envies, elle m’avait saisit le sexe pour le placer à l’entrée de son ventre. Je m’y engouffrais facilement. Tout en faisans l’amour, nous parlions de ce que nous avions envie de faire de l’autre, ou de subir.
Tout s’enchaîna après assez vite. Notre relation était tout sauf vulgaire, mais très forte. La soumission d’Amélie était tant physique qu’intellectuelle et ce qui me fascinait et m’excitait le plus était le plaisir qu’elle prenait à se soumettre à mes moindres désirs.
Comme je lui en avais intimé l’ordre, elle ne portait plus que des robes ou des jupes. Puis rapidement, elle ne fut plus autorisé à porter de dessous (on était en été). La première fois que je lui ordonnai d’être nue sous sa robe, elle en fut très gênée, surtout que nous nous sommes promenée au milieu d’autres gens assez longtemps, et que je prenais un malin plaisir à caresser ses fesse par-dessus sa robe, pour lui rappeler sa nudité. Le soir, en rentrant en voiture, je me délectais de passer ma main sous cette longue robe et de ne trouver qu’un ventre nu qui s’ouvrait sous mes caresses. En arrivant, je lui fis l’amour dans sa robe et nous avons pris énormément de plaisir.
A chaque nouvelle entrevue, elle portait une nouvelle robe et elle avait pris le pli de rien porter en dessous, ce qui me ravissait. Un matin, elle travaillait et moi pas. Juste avant de partir, elle vint m’embrasser mais je me levais du lit, m’agenouilla nu devant elle, lui demandai de retrousser sa jolie robe vert d’eau assez courte et lui retirai sa culotte de dentelle blanche en lui disant qu’elle n’en porterait plus aussi au travail. Puis je me le relevai et lui signifiait du regard ce qu’elle avait à faire. Sans rien dire, elle s’agenouilla puis me donna du plaisir avec sa bouche et partit, le ventre nue sous ses habits (j’avais toléré le soutien gorge). Elle revint le midi et me confia sa gêne d’évoluer nue sous sa robe au milieu de ses collègues, qu’elle avait l’impression que tout le monde s’en rendait compte et la regardait, amis que quelque part ça l’excitait. A la fin du repas, je lui demandai de venir à côté de moi et tout en la caressant entre les cuisses, je lui demandai :
- c’est ce que tu voulais comme relation ?
- Oui, j’adore ça » Son souffle tournait court
- Tu veux aller jusqu’où ?
- Jusqu’à ne plus exister, jusqu’à ne plus compter que par le plaisir que je pourrais te donner.
- Tu feras tout ce que je veux ?
- Tout ce que tu veux.
- Tu t’habilleras comme je te le dirais ?
- Je serais tout le temps en robe et sans culotte, disponible et prête à être utilisée, pour te donner du plaisir.
Elle savait trouver les mots qui me rendaient fou. Je découvrais également en même temps les plaisirs de ce genre de relation. Ce jour là, avant qu’elle ne reparte, je la couchais sur la grande table en bois de son salon puis lui écarta les jambes et la pris debout, sans ménagement. Ses cris reflétaient le plaisir qu’elle prenait également.
Puis la belle saison se termina. Alors sans rien lui ordonner, je lui confiais que j’aimais beaucoup les portes jarretelles mais je n’osais pas lui demander d’en porter (elle était plutôt du genre « naturelle » comme style). Je restais encore très timoré dans mes ordres. Jusqu’à un soir où on s’est retrouvé chez des amis pour le WEet en caressant machinalement sa cuisse en prenant l’apéro, je compris qu’elle ne portait pas ce jour là de dim up (les collants étaient aussi interdits) mais bien des jarretelles. Cela mit le feu à mon ventre et avant la fin de l’apéro, j’ai prétexté n’importe quoi pour qu’on aille dans notre chambre. Elle souriait car elle était arrivé à ses fins, c'est-à-dire me rendre fou.
- Enlève ta robe.
- Tout de suite » Elle fit glisser la fermeture éclair dans le dos de sa petite robe marron, dégagea ses épaules et fit glisser la robe à ses pieds. J’en avais la chair de poule. Elle portait des petites chaussures assorties à sa robe, avec des talons moyens, un porte-jarretelles saumon, une culotte en dentelle assortie et une combinaison qui faisait office de soutien gorge par-dessus. Et des bas fixés assez haut, beiges, légèrement brillants. En me regardant et en me souriant, elle enleva sa culotte sans que je lui demande (qui était passée par dessus les jarretelles, elle savait parfaitement comment la situation allait tourner) et recula pour s’appuyer contre le mur, en relevant sa combinaison qui ne dissimulait pas grand chose de son ventre et ses seins. Elle écarta légèrement les cuisses, s’offrant sans retenue. Je m’approchais d’elle, elle me déboutonna le pantalon et sortit mon sexe qui n’en pouvait plus et la pris debout contre le mur, avec encore moins de ménagement. Je me vidais rapidement au fond d’elle, l’embrassa dans le cou en la remerciant. « Ajuste-toi maintenant, nous allons rejoindre les autres. Je suis fier de toi, tu es habillée très convenablement. Mais ne remets pas ta culotte. Et quand tu vas t’asseoir, croise tes jambes assez haut ». J’avais envie qu’elle s’exhibe, qu’on voit que ma petite amie portait des bas et des porte-jarretelles. Pendant le reste de la soirée, je jouais avec les agrafes sous robe remontée à mi cuisse ou passait ma min sur ses fesses, sentant les jarretelles glissées sur ses fesses nues.
Une fois la soirée terminée, et rentrée dans la chambre, elle me prit à genoux dans sa bouche sans sa robe, puis je la mit à 4 pattes et comme d’habitude, ce fut elle qui me guida vers l’entrée très humide de son ventre. On fit l’amour une partie de la nuit et je lui ordonnait de garder ces dessous pendant la nuit.
Le lendemain, on en rediscutait et elle me confiait qu’elle portait ce genre de dessous pour la première fois, pour moi, et peu importe si ce n’était pas confortable, tant qu’elle me plaisait, ça lui plaisait. Et c’est ça qui m’excitait réellement.
Notre complicité s’accentuait de semaine en semaine. Un jour, je la retrouvais en guêpière et bas blancs sous une nouvelle robe très sage. Ce sont certainement les dessous qui me plaisaient le plus. Je lui interdisais ce jour là de porter des dim ups et d’être toujours en guêpière ou porte-jarretelles, ventre nu. Ce soir là, elle du me préparer et me servir mon repas dans cette guêpière et sans culotte, et dernière lubie de ma part, sans lever les yeux vers moi. Je l’utilisais ce soir là contre l’évier, alors qu’elle faisait la vaisselle et me fis nettoyer le sexe par sa langue et sa bouche. Elle me confia qu’elle était comblée, de s’exhiber et de s’offrir comme ça, alors que c’est quelqu’un de très pudique.
Puis je jugeais qui lui manquait une guêpière noire. Un matin, je lui ai demandé de se préparer, en s’habillant comme une jeune fille, jupe plissée au genou et des bas blancs, avec des petites ballerines noires, t-shirt blanc sans soutien gorge et un gilet par-dessus (vieux fantasme). Je voyais ses seins pointer sous le t-shirt. Et comme d’habitude, pas de culotte. Comme depuis quelque temps, elle s’épilait le ventre (à ma demande) ça allait bien avec sa tenue.
Habillée comme une jeune fille modèle, on s’amusait du regard des gens dans les magasins de lingerie. On trouvait (enfin, surtout moi, qui décidait) tout un peu trop vulgaire puis nous sommes tombé sur un modèle en satin, assez strict et surtout avec un laçage à l’arrière, tel un corset. J’exigeais d’Amélie qu’elle l’essaye immédiatement, ce qu’elle fit sans hésiter.
- Passe dans une cabine et essaye la en gardant tes bas et tes chaussures. Puis tu demanderas à la vendeuse que je vais t’envoyer des renseignements sur la taille, le corsetage, la manière de lacer…
- Mais je n’ai pas de culotte ?
- Justement ! Allez, obéis »
Sans hésiter, elle pris un modèle en théorie à sa taille et s’éloigna vers la cabine la plus proche, sous l’œil de clientes très bourgeoise interpellée par cette jeune fille qui allait essayer des dessous si sophistiqués, réservé normalement à des femmes plus âgées.
Elle m’appela et le spectacle qui m’apparut dans la cabine me ravit. Debout dans ses ballerines avec ses bas blancs, la guêpière moulait sa taille et sa poitrine et la naissance des jarretelles descendait très bas sur le haut des cuisses. Je lui demandai d’approcher et passait machinalement la main entre ses cuisses. Son ventre était trempé. C’était très important pour moi, qu’elle profite de la situation comme moi. Je lui demandai de se tourner et vue qu’il y avait pas mal de mou dans le laçage, lui dit :
- Tu dois porter ce genre de dessous très serré. Je veux que tu sois contrainte, qu’à chaque instant la gêne que te procure tes habits te rappelle ta condition ». Elle me sauta au cou et me dit que oui, elle aurait la taille réduite et qu’elle m’aimait plus que tout.
J’interpellais une vendeuse qui s’approcha de la cabine et découvris mon objet dans cette tenue singulière, la jupe plissée accrochée au portemanteau. Elle lui expliqua qu’un corset se resserrait progressivement et qu’il fallait faire plusieurs essais avant, mais avec quelqu’un. Elle lui répondit que « son propriétaire ferait les choses comme il faut les faire ». La vendeuse ne répondit pas mais laça plus serré le corset, feignant de ne pas voir la demi nudité de mon Amélie. Elle était aux anges, comme moi. Elle m’appela pour me montrer et m’embrassa devant la vendeuse, le rideau de la cabine entrouvert, permettant à pas mal de clientes de regarder ce qui se passait, de voir cette pseudo adolescente embrasser à moitié nu un homme a priori plus âgé qu’elle. J’avais gagné, elle était complètement à moi. Pendant qu’elle se rhabillai en jeune fille, la vendeuse emballait la guêpière, une culotte (vue la fréquence où Amélie dorénavant en portait, pas besoin de plus) et plusieurs paires de bas noirs, voile, foncés, opaques…
En rentrant, je la pris dans l’escalier de mon immeuble, sans la déshabiller, puis une fois rentré, me fit administrer une fellation, dans ma position favorite, moi debout et elle à genou, dans sa tenue de collégienne. Que c’était pratique, ces robes ou jupes qui se retroussaient aussi facilement. Avant de jouir, je la prit par le bras et l’amena dans ma chambre. Je lui demandai de me déshabiller entièrement et en m’allongeant sur le lit, lui fit reprendre sa besogne à 4 pattes sur le lit, jupe relevée sur les fesses pendant que moi, je fouillais l’intérieur de son ventre. Nous nous sommes endormis pour une longue sieste après, béat.
Le soir, je décidais de l’emmener au cinéma, mais habillée d’une manière un peu particulière : devant moi, elle reçu les consignes (qu’elle exécuta sans mot dire) de vêtir sa nouvelle guêpière et d’enfiler des bas devant moi en les fixant très haut, puis de chausser ses escarpins à talons hauts. Après, elle du aller se maquiller puis je lui dit de mettre un foulard en soie autour de son cou en d’enfiler son long manteau d’hiver, car nous allions sortir.
Elle obtempéra sans broncher, ce qui m’excita une nouvelle fois (je crois que ce jour là est le jour où j’ai du avoir le plus de rapports sexuels). Je serrais un peu plus le laçage, rendant son ventre assez dur. « Je marquerais chaque fois que je lacerais ton corset, pour qu’il soit encore plus serrée la fois suivante ». Une fois habillée ( !), nous franchîmes la porte elle nue (ou presque) sous son manteau, et par ce samedi fin d’après-midi, nous traversâmes la ville, passablement excitée par la nudité insoupçonnée de mon Amélie. Elle était terriblement gênée, surtout quand les hommes se retournaient sur son passage. Alors que quelques heures avant, on ne lui donnait pas 15 ans.
J’achetais des billets pour un navet, pour pas qu’il n’y ait trop de monde et une fois les lumières de la salle étaient, exigea d’Amélie qu’elle enlève son manteau. Puis je lui demandais de joindre les poignets dans le dos pour les lui attacher. Elle hésita un moment puis accepta. Par manque d’habitude, je ne serrais pas trop fort les liens. Une fois ses poignets entravés, je déboutonnais mon pantalon et appuya sur la nuque d’Amélie pour lui montrer ce qu’elle avait à faire. Le film avait commencé depuis quelques minutes (impossible de me rappeler le titre). Puis au milieu de sa fellation qu’elle me faisait sans les mains, je l’ai faite mettre à genoux entre mes jambes, avec toujours les poignets attachés. Il n’y avait personne dans notre rangée et la voir me caresser avec sa bouche, entravée, le ventre à l’air (qui serait lisse le lendemain) était délicieux.
Malgré mon envie de prolonger ce moment, j’explosais au fond de sa bouche. Elle poursuivit malgré tout assez longtemps ses caresses (elle m’avait dit qu’elle adorait me « nettoyer »). Je me rajustais puis la fis revenir sur son siège. J’ai passé une bonne partie de la séance à la caresser, à l’embrasser, à jouer avec ses seins. Elle venait au devant de mes caresses, de manière maladroite, à cause de ses liens. Je lui dis alors à l’oreille :
- Tu as aimé ? Je n’ai pas été trop loin ?
- Non, et merci, c’est ce que je veux. J’ai le sentiment quand je suis comme ça, attachée, le sexe à l’air, de n’être vraiment qu’un objet. Et te sentir prendre autant de plaisir à m’humilier et à me rabaisser à l’état d’objet découple mon plaisir. J’espère que les cordes laisseront des traces.
- Pourquoi, tu veux des marques ?
- Oui, je veux voir tout le temps combien je t’appartiens ». On s’embrassa alors longuement, comme deux amoureux. Puis, le film se terminant, je la détacha et avant que les lumières en se rallument, elle renfila son manteau.
- La nuit est loin d’être fini lui dis-je… Et les perspectives qui s’offraient à nous étaient encore immenses.
Cette histoire est vraie, et s’est poursuivie pendant plusieurs semaines avec d’autres expériences, avant de finir brusquement. Je raconterais volontiers la suite mais j’aimerais que lire vos sentiments ou vos expériences sur la question, enfin surtout (même uniquement) les vôtres, mesdemoiselles et mesdames ! Car indépendamment du fétichisme évident qui m’habite, je suis autant excité par les situations que nous avons créées que par la manière dont elle a pu vivre cela. Et peut-être allez-vous être surpris, mais il était important pour moi que son plaisir soit équivalent au mien.
Je n’ai jamais réussi à recréer une telle « complicité ». Ce qui m’interroge, c’est de savoir si les JF comme Amélie sont rares ou bien si je ne sais pas le proposer.
En tout cas, j’espère que je reproduirais un jour cette complicité. N'hésitez pas à me contacer
Amélie (je change le prénom, excusez-moi) et moi avions le même age (la trentaine), et une attirance physique l’un pour l’autre qui a fini par se concrétiser. Blonde, taille moyenne voir menue, un physique assez juvénile et uns style vestimentaire faisait qu’elle m’attirait énormément : jupes et robes simples, chaussures plates, parfois peu sexy au sens « commun » du terme mais qui moi, m’attirait beaucoup. J’ai toujours aimé les longues robes, très ajustées en haut mais très évasées en bas.
Alors que nous nous étions plus ou moins perdu de vue, la vie a fait que nous nous sommes à nouveau croisés, et avons rapidement fini par sortir ensemble, malgré sa situation conjugale (relation assez ancienne). Notre complicité intellectuelle se compléta rapidement par la partie physique, même si nous avons mis du temps à consommer.
Tout commença par un WE qu’elle vint passer chez moi. Perturbée malgré tout par cet adultère auquel elle ne pouvait résister, nous nous sommes contentés de caresses le premier soir, mais au matin, alors que nous nous embrassions, elle me demanda de quoi j’avais envie, et, sans lui répondre, je dirigeas sa tête vers son ventre. Nue, elle me caressa longuement avec sa bouche. Maladroitement, au moment de jouir, je me retirais de sa bouche. En souriant gentiment, elle me demanda pourquoi j’avais fait cela, que je n’avais pas voulu jouir dans sa bouche, car elle en avait très envie.
La journée, nous nous sommes baladés et au détour d’une halte, je glissai ma main dans son pantacourt et sa culotte et la caressai longuement, avec d’autres promeneurs qui passaient pas loin. Dans la voiture, au retour, elle me rendit mes caresses avec sa bouche. Une fois arrivé chez moi, elle s’agenouilla et baissa mon pantalon et mon caleçon, pour terminer ce qu’elle avait commencé dans la voiture. Cette fois-ci j’ai jouis dans sa bouche, prés avoir avalé ma semence, procéda avec sa langue a un nettoyage de mon sexe. C’est ce soir là qu’après m’avoir rejoint dans mon lit, qu’elle m’avoua vouloir être à moi complètement, sans retenue et, je cite « être mon esclave ». Ce qui m’excita aussitôt.
- Qu’est-ce que pour toi être mon esclave ?
- Je veux être à toi, à chaque instant, je veux que tu m’utilises quand tu veux et que tu fasses ce que tu veux de moi. ». Elle me caressait en même temps qu’elle me déclarait ses vœux de soumission. Ses mots faisaient mouche.
- Alors pour commencer, ne te présente plus devant moi autrement qu’en robe. Je veux te prendre dans chacune de tes robes. Tu ne t’habilleras plus que comme je te le dirais. Et un jour, je t’attacherais.
Entre tant, je l’avais retourné et mis à 4 pattes. Devançant mes envies, elle m’avait saisit le sexe pour le placer à l’entrée de son ventre. Je m’y engouffrais facilement. Tout en faisans l’amour, nous parlions de ce que nous avions envie de faire de l’autre, ou de subir.
Tout s’enchaîna après assez vite. Notre relation était tout sauf vulgaire, mais très forte. La soumission d’Amélie était tant physique qu’intellectuelle et ce qui me fascinait et m’excitait le plus était le plaisir qu’elle prenait à se soumettre à mes moindres désirs.
Comme je lui en avais intimé l’ordre, elle ne portait plus que des robes ou des jupes. Puis rapidement, elle ne fut plus autorisé à porter de dessous (on était en été). La première fois que je lui ordonnai d’être nue sous sa robe, elle en fut très gênée, surtout que nous nous sommes promenée au milieu d’autres gens assez longtemps, et que je prenais un malin plaisir à caresser ses fesse par-dessus sa robe, pour lui rappeler sa nudité. Le soir, en rentrant en voiture, je me délectais de passer ma main sous cette longue robe et de ne trouver qu’un ventre nu qui s’ouvrait sous mes caresses. En arrivant, je lui fis l’amour dans sa robe et nous avons pris énormément de plaisir.
A chaque nouvelle entrevue, elle portait une nouvelle robe et elle avait pris le pli de rien porter en dessous, ce qui me ravissait. Un matin, elle travaillait et moi pas. Juste avant de partir, elle vint m’embrasser mais je me levais du lit, m’agenouilla nu devant elle, lui demandai de retrousser sa jolie robe vert d’eau assez courte et lui retirai sa culotte de dentelle blanche en lui disant qu’elle n’en porterait plus aussi au travail. Puis je me le relevai et lui signifiait du regard ce qu’elle avait à faire. Sans rien dire, elle s’agenouilla puis me donna du plaisir avec sa bouche et partit, le ventre nue sous ses habits (j’avais toléré le soutien gorge). Elle revint le midi et me confia sa gêne d’évoluer nue sous sa robe au milieu de ses collègues, qu’elle avait l’impression que tout le monde s’en rendait compte et la regardait, amis que quelque part ça l’excitait. A la fin du repas, je lui demandai de venir à côté de moi et tout en la caressant entre les cuisses, je lui demandai :
- c’est ce que tu voulais comme relation ?
- Oui, j’adore ça » Son souffle tournait court
- Tu veux aller jusqu’où ?
- Jusqu’à ne plus exister, jusqu’à ne plus compter que par le plaisir que je pourrais te donner.
- Tu feras tout ce que je veux ?
- Tout ce que tu veux.
- Tu t’habilleras comme je te le dirais ?
- Je serais tout le temps en robe et sans culotte, disponible et prête à être utilisée, pour te donner du plaisir.
Elle savait trouver les mots qui me rendaient fou. Je découvrais également en même temps les plaisirs de ce genre de relation. Ce jour là, avant qu’elle ne reparte, je la couchais sur la grande table en bois de son salon puis lui écarta les jambes et la pris debout, sans ménagement. Ses cris reflétaient le plaisir qu’elle prenait également.
Puis la belle saison se termina. Alors sans rien lui ordonner, je lui confiais que j’aimais beaucoup les portes jarretelles mais je n’osais pas lui demander d’en porter (elle était plutôt du genre « naturelle » comme style). Je restais encore très timoré dans mes ordres. Jusqu’à un soir où on s’est retrouvé chez des amis pour le WEet en caressant machinalement sa cuisse en prenant l’apéro, je compris qu’elle ne portait pas ce jour là de dim up (les collants étaient aussi interdits) mais bien des jarretelles. Cela mit le feu à mon ventre et avant la fin de l’apéro, j’ai prétexté n’importe quoi pour qu’on aille dans notre chambre. Elle souriait car elle était arrivé à ses fins, c'est-à-dire me rendre fou.
- Enlève ta robe.
- Tout de suite » Elle fit glisser la fermeture éclair dans le dos de sa petite robe marron, dégagea ses épaules et fit glisser la robe à ses pieds. J’en avais la chair de poule. Elle portait des petites chaussures assorties à sa robe, avec des talons moyens, un porte-jarretelles saumon, une culotte en dentelle assortie et une combinaison qui faisait office de soutien gorge par-dessus. Et des bas fixés assez haut, beiges, légèrement brillants. En me regardant et en me souriant, elle enleva sa culotte sans que je lui demande (qui était passée par dessus les jarretelles, elle savait parfaitement comment la situation allait tourner) et recula pour s’appuyer contre le mur, en relevant sa combinaison qui ne dissimulait pas grand chose de son ventre et ses seins. Elle écarta légèrement les cuisses, s’offrant sans retenue. Je m’approchais d’elle, elle me déboutonna le pantalon et sortit mon sexe qui n’en pouvait plus et la pris debout contre le mur, avec encore moins de ménagement. Je me vidais rapidement au fond d’elle, l’embrassa dans le cou en la remerciant. « Ajuste-toi maintenant, nous allons rejoindre les autres. Je suis fier de toi, tu es habillée très convenablement. Mais ne remets pas ta culotte. Et quand tu vas t’asseoir, croise tes jambes assez haut ». J’avais envie qu’elle s’exhibe, qu’on voit que ma petite amie portait des bas et des porte-jarretelles. Pendant le reste de la soirée, je jouais avec les agrafes sous robe remontée à mi cuisse ou passait ma min sur ses fesses, sentant les jarretelles glissées sur ses fesses nues.
Une fois la soirée terminée, et rentrée dans la chambre, elle me prit à genoux dans sa bouche sans sa robe, puis je la mit à 4 pattes et comme d’habitude, ce fut elle qui me guida vers l’entrée très humide de son ventre. On fit l’amour une partie de la nuit et je lui ordonnait de garder ces dessous pendant la nuit.
Le lendemain, on en rediscutait et elle me confiait qu’elle portait ce genre de dessous pour la première fois, pour moi, et peu importe si ce n’était pas confortable, tant qu’elle me plaisait, ça lui plaisait. Et c’est ça qui m’excitait réellement.
Notre complicité s’accentuait de semaine en semaine. Un jour, je la retrouvais en guêpière et bas blancs sous une nouvelle robe très sage. Ce sont certainement les dessous qui me plaisaient le plus. Je lui interdisais ce jour là de porter des dim ups et d’être toujours en guêpière ou porte-jarretelles, ventre nu. Ce soir là, elle du me préparer et me servir mon repas dans cette guêpière et sans culotte, et dernière lubie de ma part, sans lever les yeux vers moi. Je l’utilisais ce soir là contre l’évier, alors qu’elle faisait la vaisselle et me fis nettoyer le sexe par sa langue et sa bouche. Elle me confia qu’elle était comblée, de s’exhiber et de s’offrir comme ça, alors que c’est quelqu’un de très pudique.
Puis je jugeais qui lui manquait une guêpière noire. Un matin, je lui ai demandé de se préparer, en s’habillant comme une jeune fille, jupe plissée au genou et des bas blancs, avec des petites ballerines noires, t-shirt blanc sans soutien gorge et un gilet par-dessus (vieux fantasme). Je voyais ses seins pointer sous le t-shirt. Et comme d’habitude, pas de culotte. Comme depuis quelque temps, elle s’épilait le ventre (à ma demande) ça allait bien avec sa tenue.
Habillée comme une jeune fille modèle, on s’amusait du regard des gens dans les magasins de lingerie. On trouvait (enfin, surtout moi, qui décidait) tout un peu trop vulgaire puis nous sommes tombé sur un modèle en satin, assez strict et surtout avec un laçage à l’arrière, tel un corset. J’exigeais d’Amélie qu’elle l’essaye immédiatement, ce qu’elle fit sans hésiter.
- Passe dans une cabine et essaye la en gardant tes bas et tes chaussures. Puis tu demanderas à la vendeuse que je vais t’envoyer des renseignements sur la taille, le corsetage, la manière de lacer…
- Mais je n’ai pas de culotte ?
- Justement ! Allez, obéis »
Sans hésiter, elle pris un modèle en théorie à sa taille et s’éloigna vers la cabine la plus proche, sous l’œil de clientes très bourgeoise interpellée par cette jeune fille qui allait essayer des dessous si sophistiqués, réservé normalement à des femmes plus âgées.
Elle m’appela et le spectacle qui m’apparut dans la cabine me ravit. Debout dans ses ballerines avec ses bas blancs, la guêpière moulait sa taille et sa poitrine et la naissance des jarretelles descendait très bas sur le haut des cuisses. Je lui demandai d’approcher et passait machinalement la main entre ses cuisses. Son ventre était trempé. C’était très important pour moi, qu’elle profite de la situation comme moi. Je lui demandai de se tourner et vue qu’il y avait pas mal de mou dans le laçage, lui dit :
- Tu dois porter ce genre de dessous très serré. Je veux que tu sois contrainte, qu’à chaque instant la gêne que te procure tes habits te rappelle ta condition ». Elle me sauta au cou et me dit que oui, elle aurait la taille réduite et qu’elle m’aimait plus que tout.
J’interpellais une vendeuse qui s’approcha de la cabine et découvris mon objet dans cette tenue singulière, la jupe plissée accrochée au portemanteau. Elle lui expliqua qu’un corset se resserrait progressivement et qu’il fallait faire plusieurs essais avant, mais avec quelqu’un. Elle lui répondit que « son propriétaire ferait les choses comme il faut les faire ». La vendeuse ne répondit pas mais laça plus serré le corset, feignant de ne pas voir la demi nudité de mon Amélie. Elle était aux anges, comme moi. Elle m’appela pour me montrer et m’embrassa devant la vendeuse, le rideau de la cabine entrouvert, permettant à pas mal de clientes de regarder ce qui se passait, de voir cette pseudo adolescente embrasser à moitié nu un homme a priori plus âgé qu’elle. J’avais gagné, elle était complètement à moi. Pendant qu’elle se rhabillai en jeune fille, la vendeuse emballait la guêpière, une culotte (vue la fréquence où Amélie dorénavant en portait, pas besoin de plus) et plusieurs paires de bas noirs, voile, foncés, opaques…
En rentrant, je la pris dans l’escalier de mon immeuble, sans la déshabiller, puis une fois rentré, me fit administrer une fellation, dans ma position favorite, moi debout et elle à genou, dans sa tenue de collégienne. Que c’était pratique, ces robes ou jupes qui se retroussaient aussi facilement. Avant de jouir, je la prit par le bras et l’amena dans ma chambre. Je lui demandai de me déshabiller entièrement et en m’allongeant sur le lit, lui fit reprendre sa besogne à 4 pattes sur le lit, jupe relevée sur les fesses pendant que moi, je fouillais l’intérieur de son ventre. Nous nous sommes endormis pour une longue sieste après, béat.
Le soir, je décidais de l’emmener au cinéma, mais habillée d’une manière un peu particulière : devant moi, elle reçu les consignes (qu’elle exécuta sans mot dire) de vêtir sa nouvelle guêpière et d’enfiler des bas devant moi en les fixant très haut, puis de chausser ses escarpins à talons hauts. Après, elle du aller se maquiller puis je lui dit de mettre un foulard en soie autour de son cou en d’enfiler son long manteau d’hiver, car nous allions sortir.
Elle obtempéra sans broncher, ce qui m’excita une nouvelle fois (je crois que ce jour là est le jour où j’ai du avoir le plus de rapports sexuels). Je serrais un peu plus le laçage, rendant son ventre assez dur. « Je marquerais chaque fois que je lacerais ton corset, pour qu’il soit encore plus serrée la fois suivante ». Une fois habillée ( !), nous franchîmes la porte elle nue (ou presque) sous son manteau, et par ce samedi fin d’après-midi, nous traversâmes la ville, passablement excitée par la nudité insoupçonnée de mon Amélie. Elle était terriblement gênée, surtout quand les hommes se retournaient sur son passage. Alors que quelques heures avant, on ne lui donnait pas 15 ans.
J’achetais des billets pour un navet, pour pas qu’il n’y ait trop de monde et une fois les lumières de la salle étaient, exigea d’Amélie qu’elle enlève son manteau. Puis je lui demandais de joindre les poignets dans le dos pour les lui attacher. Elle hésita un moment puis accepta. Par manque d’habitude, je ne serrais pas trop fort les liens. Une fois ses poignets entravés, je déboutonnais mon pantalon et appuya sur la nuque d’Amélie pour lui montrer ce qu’elle avait à faire. Le film avait commencé depuis quelques minutes (impossible de me rappeler le titre). Puis au milieu de sa fellation qu’elle me faisait sans les mains, je l’ai faite mettre à genoux entre mes jambes, avec toujours les poignets attachés. Il n’y avait personne dans notre rangée et la voir me caresser avec sa bouche, entravée, le ventre à l’air (qui serait lisse le lendemain) était délicieux.
Malgré mon envie de prolonger ce moment, j’explosais au fond de sa bouche. Elle poursuivit malgré tout assez longtemps ses caresses (elle m’avait dit qu’elle adorait me « nettoyer »). Je me rajustais puis la fis revenir sur son siège. J’ai passé une bonne partie de la séance à la caresser, à l’embrasser, à jouer avec ses seins. Elle venait au devant de mes caresses, de manière maladroite, à cause de ses liens. Je lui dis alors à l’oreille :
- Tu as aimé ? Je n’ai pas été trop loin ?
- Non, et merci, c’est ce que je veux. J’ai le sentiment quand je suis comme ça, attachée, le sexe à l’air, de n’être vraiment qu’un objet. Et te sentir prendre autant de plaisir à m’humilier et à me rabaisser à l’état d’objet découple mon plaisir. J’espère que les cordes laisseront des traces.
- Pourquoi, tu veux des marques ?
- Oui, je veux voir tout le temps combien je t’appartiens ». On s’embrassa alors longuement, comme deux amoureux. Puis, le film se terminant, je la détacha et avant que les lumières en se rallument, elle renfila son manteau.
- La nuit est loin d’être fini lui dis-je… Et les perspectives qui s’offraient à nous étaient encore immenses.
Cette histoire est vraie, et s’est poursuivie pendant plusieurs semaines avec d’autres expériences, avant de finir brusquement. Je raconterais volontiers la suite mais j’aimerais que lire vos sentiments ou vos expériences sur la question, enfin surtout (même uniquement) les vôtres, mesdemoiselles et mesdames ! Car indépendamment du fétichisme évident qui m’habite, je suis autant excité par les situations que nous avons créées que par la manière dont elle a pu vivre cela. Et peut-être allez-vous être surpris, mais il était important pour moi que son plaisir soit équivalent au mien.
Je n’ai jamais réussi à recréer une telle « complicité ». Ce qui m’interroge, c’est de savoir si les JF comme Amélie sont rares ou bien si je ne sais pas le proposer.
En tout cas, j’espère que je reproduirais un jour cette complicité. N'hésitez pas à me contacer
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