Education Chapitre 1 - Retour chez ma tante

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Education Chapitre 1 - Retour chez ma tante Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Education Chapitre 1 - Retour chez ma tante
Me voici dans le train avec mon cousin Alain, l'homme de 10 ans mon aîné qui m'a initié et dépucelé. Nous allons à Montpellier retrouver sa mère, ma tante Jade. Je ne l'ai pas vue depuis plus de cinq ans et mes souvenirs sont un mélange d'une seconde mère plutôt sympa et d'une maîtresse d'école qui me faisait réviser les problèmes de baignoires qui se vident les règles de grammaire, ma tante est maîtresse d'école. Aujourd'hui à la veille de la rentrée universitaire je suis impatient de retrouver cette femme après ce que m'en a dit Alain.

Pour l'instant nous profitons du calme de notre compartiment et de ce voyage de huit heures (nous sommes bien avant l'époque du TGV) pour parler tranquillement du passé

— Alors mon p'tit John, heureux de revoir Tata ?
— Ouais, très content. Mais va-t-elle me reconnaître ? Tu te rends compte, ça fait cinq ans, j'étais un gamin... Comment vais-je la revoir aujourd'hui ?
— Effectivement, tu vas découvrir une femme autre que la maman ou la maîtresse d'école que tu as connu et elle va rencontrer un homme avec qui elle souhaitera réviser d'autres règles que grammaticales.

On parle encore longtemps du passé, des petits copains, des châteaux de sable que je faisais alors qu'il me rappelait son intimité avec sa mère. Puis nous en sommes arriver à nos relations, à nos vacances bretonnes, le coquin bloqué dans un coin du compartiment contre la fenêtre me tient contre lui une main sous mon tee-shirt à me peloter la poitrine, l'autre bras passé dans mon dos et sans gêne sa main s'est glissée dans mon pantalon et mon boxer, elle me pelote librement son majeur sur ma raie du cul en tentant de toucher mon petit trou sans vraiment l'atteindre.

— J'aime comme tes tétons pointent. Il me bloque contre lui, me fait un bisou dans le cou et me murmure à l'oreille : A ce sujet, nous n'avons pas encore parlé de ton expérience naturiste. Que penses-tu de ce moment avec l'inconnu, ce moment à trois ? Il sent comme je deviens tout chose, comme je creuse les reins pour qu'enfin son doigt me touche le cul. T'as aimé mon petit cochon ?
— Te dire oui simplement serait oublier ma gêne de l'instant... serait oublier comme tu as abusé de moi. Sur le chemin du retour, je t'en voulais beaucoup, le lendemain, je t'en voulais moins, aujourd'hui... je ne t'en veux plus ! Que je chuchote en fermant les yeux et en repensant à ce moment. Oui j'ai aimé comme il m'a forcé, comme il m'a baisé sur la plage, comme il m'a offert à cet homme.
— Je suis content mon chéri que tu te sois libéré ainsi. Tu vas pouvoir profiter de tes vacances avec mes parents, et puis nous aurons l'occasion de nous revoir, je te présenterai Martine, ma femme, tu verras comme elle est mignonne. Bon nous arrivons en gare, préparons-nous.

Une femme blonde pas très grande attend sur le quai, elle nous fait signe de la main. Je la reconnais tout de suite, Jade. Elle est joliment bronzée, en jean élimé un peu étroit et espadrilles à semelle compensée qui la grandissent de plus de cinq centimètres, Son maillot blanc type marcel lui découvre le nombril et enveloppe la poitrine sans rien cacher de sa rondeur un peu lourde qui fripe en étirant les côtés. Elle est beaucoup plus jeune que je ne m'en souvenais, elle est même canon avec ses seins de beau volume, sa taille fine et ses hanches rondes. Elle n'a rien de semblable avec la tante de mes souvenirs avec ses yeux bleus à peine maquillés, ses lèvres pulpeuses rouge cerise.

— Johnny !, crie-t-elle en me tendant les bras. Comme t'as changé, quel bel homme que tu es devenu ! Où est le petit garçon timide d'il y a cinq ans ?

Elle m'étreint contre ses seins, son premier baiser au coin des lèvres me pétrifie, je balbutie :

— Bonjour... puis hésitant j'ajoute: Jade ! Alors que je lui disais tata. Elle me donne confiance en souriant. C'est vrai ça fait longtemps ! Moi aussi, je suis très content de te revoir, et après un moment, les yeux plein d'étoiles j'ajoute : Tu es magnifique !.
— Oh merci mon chéri ! Quel compliment de la part d'un jeune homme, j'essaie de me conserver. Et toi mon garçon, se tournant vers son fils, ce séjour en Bretagne t'a fait du bien j'ai l'impression !... Elle lui fait un bisou du bout des lèvres et lui prend la main. Rentrons vite à la maison en ville il fait trop chaud.
— Euh ! Maman, je vais vous quitter, je rentre chez moi, j'ai beaucoup à faire.
— Ah Non ! Non ! Crie-t-elle. Tu viens avec nous, tu appelleras ta femme, ton boulot, qui tu veux, mais ce soir, tu viens à la maison ! Tu dors dans la chambre des invités, j'ai préparé ta chambre pour John ! Allez mes chéris on y va. Elle ne laisse pas le choix à mon cousin et nous entraîne hors de la gare en nous prenant par le bras. Avez-vous fait bon voyage ?... Vous me raconterez tout ça dans la voiture.

Le temps de parler de la Bretagne, nous arrivons à Maguelone dans un village voisin de Montpellier. Au fond d'un joli jardin bien protégé se trouve la maison, elle n'a pas beaucoup changé, typiquement provençale, de plain pied avec ses tuiles romaines et son crépi blanc. On entre dans un grand séjour avec canapés et fauteuils pour une dizaine de personnes et trois chambres, toutes avec un grand lit, la mienne à côté de la douche et en face de celle de ma tante et celle des invités occupée par Alain un peu à l'écart. Je retrouve mon oncle Théo en short, lui n'a pas changé, toujours bronzé, juste en short et nu pied et pas un poil sur le caillou. Ceci étant je le vois d'une autre manière, c'est un homme bien foutu, aux pectoraux bien saillants, aux abdos bien visibles et au crâne rasé, seuls ses sourcils grisonnants lui donnent un âge

La soirée est gaie, on parle beaucoup, Après tant d'années il y a beaucoup à dire, de Monique, ma maman, des vacances, du présent, du passé, de Martine, des fiançailles. On boit un peu, on rit beaucoup. Depuis longtemps il fait nuit noire, et le croassement des grenouilles réveillent mes souvenirs d'enfance.

— Bon mes chéris, il se fait tard, vous devez être fatigués, toi Alain demain, tu dois travailler, John tu pourras dormir tout ton soûl, Théo doit aller en ville, nous serons tous les deux pour la journée, ça nous permettra de nous retrouver.

On se lève, débarrasse et au moment de se séparer, Alain embrasse son père sur les joues et sa mère du bout des lèvres, elle le retient par la taille et l'embrasse en appuyant ses lèvres « Bonne nuit mon chéri... tu m'as manqué ». Elle m'attire de la même manière, me plaque contre sa cuisse et sa poitrine en m'embrassant longuement à la commissure des lèvres


— Bonne nuit mon p'tit John, fais de beaux rêves. Elle me regarde d'un air amusé en sentant mon érection contre sa hanche. C'est vrai que tu es devenu un bel homme ! La nuit, il fait chaud, nous avons l'habitude de laisser toutes les portes ouvertes pour le courant d'air, si ça ne te dérange pas.
— Non bien sûr. Bonne nuit Jade, à demain

Dans ma chambre, je me déshabille rapidement, éteins la lumière et me couche. La lumière de leur chambre éclaire le couloir qui me sépare d'eux. Presque tout de suite je vois Théo nu, aller le plus naturellement du monde à la salle de bain puis le temps de revenir, Jade sort à son tour de la chambre, également nue, elle me jette un coup d'œil, elle me souffle un baiser de la main et murmure «  Bonne nuit Johnny ! »

L'image est fugace mais bien réelle, magnifique, son corps bronzé de partout. Comme j'étais, couché sur le ventre, je n'ai vu que ses jambes fuselées, son ventre lisse. Putain je l'ai vue à poil, je bande outrageusement... elle revient déjà de la douche, elle me regarde appuyée au chambranle de la porte, je vois alors nettement au bas de son ventre sa vulve aux lèvres ourlées, elle chuchote juste « A demain mon chéri, fais de beaux rêves » et elle disparaît, mais son image reste présente. Elle éteint la lumière, tout est calme, tout est sombre, je commence à m'endormir quand j'entends des pas près de moi, une main se pose au creux de mes reins, c'est Alain qui accroupi me parle tout bas :

— Bonsoir... Tu me fais une place !
— T'es fou ! Que je réponds d'une voix étouffée. Y a tes parents juste à côté avec la porte ouverte, ils vont nous entendre.
— T'inquiète, ils sont occupés, écoute... En prêtant l'oreille, je perçois des murmures, des gémissements et d'autres bruits caractéristiques. T'entends ?… Laisse-moi venir, t'inquiète pas, ma mère ne s'offusque pas plus des tâches de sperme sur les draps que de vin sur la nappe. T'as ton plug ? (pour toute réponse, je me lève et vais le chercher dans ma valise). C'est bien ! Comme ça, je te boucherai le cul avec et tu garderas ma semence en toi...
— Tu veux baiser ????
— Ouais ! J'te dis, t'inquiète pas, Regarde comme celle-là ne s'inquiète pas, il frappe ma joue de sa queue raide comme un bout de bois.

De toute manière je n'ai rien à dire, il est déjà dans mon lit, une jambe entre mes cuisses, couché à moitié sur moi. Il m'écrase un peu, je sens sa virilité sur ma hanche, il me caresse tendrement, m'embrasse dans le cou, son autre main se fait une place sous ma poitrine. On reste un moment à se câliner.

Les gémissements de nos voisins plus sonores me libèrent de toute retenue. Sa patte passe de mon épaule au creux de mes reins et glisse sur mes fesses. J'ouvre le compas de mes cuisses et m'offre à la main inquisitrice. L'homme se relève sans me quitter. C'est maintenant son museau qui est sur mon arrière train, ses pognes séparent mes globes, son nez en fouille le milieu et ses lèvres sucent mon œillet, c'est une suite de bisous, de léchouilles et de chatouilles. Mes répulsions d'hier sont mes désirs d'aujourd'hui, en miaulant je tends mes fesses à cette langue qui m'asticote. En réponse ce sont deux doigts qui se plantent bien profond, qui se font leur place, qui allument mon feu intérieur. Je n'en peux plus, je le veux maintenant et me surprends moi-même en chuchotant :

— Alain, viens, prends-moi !

Un simple recul de sa part, sa main sur ma hanche et me voilà à quatre pattes, les reins creusés, la tête posée sur mes deux bras. Ce soir il ne s'attarde pas, juste deux, trois caresses pour me flatter, me dire ''Ouvre-toi''. J'imagine la salive sur sa queue et déjà je sens son gland. L'homme est sur le point de me sodomiser quand il se couche sur mon dos et murmure à l'oreille « Écoute ! » là encore je saisis quelques ''Oui ! Oui !'' suivis d'un râle grave. C'est en entendant le couple rendre les armes qu'Alain me pourfend d'un coup puissant entre un soupir de bien-être et un petit cri aigu. Mon anus se contracte immédiatement après avoir cédé à la pression.

Mon amant me serre contre lui, les bras croisés sur ma poitrine, pour me tranquilliser sa langue dessine des arabesques sur ma nuque. Quand il sent la pression de mon anus faiblir, il pousse lentement son mandrin dans mes entrailles jusqu'à ce que son ventre se colle à mes fesses.

Il s'immobilise au plus profond de mon ventre, puis commence à bouger, mes muscles se contractent au rythme de sa danse, progressivement ses mouvements s'amplifient, s'accélèrent dans un gazouillis de plaisir et le roulement du choc de nos corps.

Mon cousin toujours à le recherche de sensations fortes, prend mes jambes entre ses cuises, me genoux accouplés, mon sphincter se resserre et le masse d'autant mieux, puis il se redresse en m'entraînant avec lui. Je me tiens debout sur mes genoux, fiché sur son glaive. Il me fait l'amour lentement, ses coups de reins sont puissants et réguliers, ses mains enflamment ma poitrine. Il ne m'a jamais pris de la sorte, je ne l'ai jamais senti si fort, je ne me suis jamais senti si ''femelle''. Sous le tiraillement de mes tétons, je jette mes bras en arrière pour le saisir par la nuque et mieux arquer mon dos. Je me fais lourd, tellement que nous partons tous les deux à la renverse en pouffant de rire, moi couché à genoux sur son ventre. Dans la chute son sexe jaillit de mon ventre et pointe comme une colonne entre mes cuisses.

On a du mal à retenir nos rires jusqu'à ce qu'Alain se dégage et revienne sur moi. Il me prend en missionnaire mes jambes relevées sur ses épaules, me pliant en deux. L'homme reprend sa besogne, penché sur moi, je n'ai plus de force, mon ventre ne réagit plus sous les coups de boutoir, je m'abandonne. Je n'entends que nos respirations, un chuintement obscène, le choc de nos corps. Les yeux dans le vague je ne distingue plus rien, Depuis un moment une main sur mes lèvres assourdit mes gémissements tandis qu'un simple ''Ah'' plaintif met fin à nos ébats.

Alain essoufflé lâche mes jambes qui retrouvent leur place et s'affale sur moi, la tête plongée dans l'oreiller, il grogne de plaisir entre deux grandes inspirations, son sexe se dissout peu à peu en moi, avant que son corps ne se fasse trop pesant.

Je le repousse aux épaules, il redresse la tête, me sourit puis s'écarte en gloussant « Je suis lourd ! ». Il me fait un bisou et s'allonge à mon côté.
Je sens mes entrailles liquéfiées, j'ai beau serrer les fesses, je suis plein de mouille. Un miaulement « Ça coule » et il prend le plug sur la table de chevet :
— Attend que je bouche la bouteille (il rigole) et tu dormiras avec ma semence en toi !

Alain me fout le truc comme on lange bébé. L'engin s'enfonce tout seul et il faut que je serre les fesses pour le retenir. Mes fesses relevées il grogne 'T'es une grosse cochonne, t'en as plein partout'', il m'essuie la raie du cul avant de me lécher le périnée, les couilles. Je ne bande pas vraiment, du bout des doigts il m'astique la bistouquette qui s'éveille suffisamment pour qu'il la prenne en bouche tout en me tripotant les glaouis. C'est un gourmand, il avale mes 15 centimètres sans difficulté et c'est un festival qui commence. Il suce le morceau, l'aspire, le pompe. Il masse les couilles, les bouffe tout en me branlant, puis revient téter le gland qu'il suçote comme un bonbon tant et si bien que je lui balance tout sans qu'il en perde une goutte. Il revient à mon côté, m'embrasse sur la bouche pour partager ma sauce :

— Ça va mon chéri ?
— Ouais !... c'était bon !
— Tu jutes de plus en plus et jouis du cul de mieux en mieux !... On va dormir maintenant, il faut que je me lève tôt demain.
— OK, bonne nuit !... et après un moment je demande : Tu restes avec moi ? Tes parents vont nous voir ensemble !
— Tu ne crois pas qu'ils nous ont entendus baiser ?

Pour toute réponse, je m'emboîte contre lui « Bonne nuit ! »

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