Education Chapitre 10 - Ma tante, mon éducatrice, mon amante
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Education Chapitre 10 - Ma tante, mon éducatrice, mon amante
Il fait nuit quand une légère brise me réveille au dessus des draps, avec les porte et fenêtre de la chambre grandes ouvertes. Je sens une présence dans mon dos, je réalise que je suis dans les bras de ma tante, un frôlement sur mon épaule, la respiration dans mon cou me disent que Jade est réveillée, j'y réponds d'un imperceptible mouvement des fesses sur son ventre.
— Tu ne dors pas ? Qu'elle murmure d'une voix sourde
— Non... et toi non plus d'ailleurs
— Il est quelle heure ? Qu'elle demande
— Cinq heures... Paris s'éveille.
— Mmmm, qu'elle soupire tout en s'étirant. C'est mon heure !
Je presse mon dos contre sa poitrine, elle répond en se frottant doucement de sorte que je sens ses tétons bandés, je me retourne pour me mettre face à elle, dépose un bisou sur ses lèvres et ajoute
— C'est ton heure ?... ton heure pour faire l'amour ? Que j'ajoute en étouffant mon rire
— Non !!! Pouffe-t-elle et après avoir dégluti elle ajoute à voix basse : Non... Quand je travaillais et qu'Alain était petit, je me levais à cette heure pour m'occuper de la maison !...
— Il n'y a plus d'enfants, que je réponds tout en la bécotant. Il n'y a plus de travail... C'est donc l'heure de s'aimer, et déjà je la presse contre moi
— Doucement chouchou... Fais pas de bruit. Théo dort à côté... tu entends comme il respire fort ?
Couché sur le côté, je ne distingue que la découpe de sa silhouette. Je ne la vois pas mais je la sens, je me noie dans son odeur. Ma main plonge dans la masse de ses cheveux, ils sont soyeux, tellement plus fins que ceux de Martine, je lui masse la nuque, remonte dans le cuir chevelu, glisse derrière le pavillon de l'oreille, descend sur la colonne vertébrale jusqu'au creux des reins, je la caresse autrement que d'habitude avec plus de douceur, précautionneusement, plus lentement si bien que je découvre deux fossettes au dessus de ses fesses, je m'y attarde, les caresse, je les creuse. Ma main remonte sur son dos, sa peau est veloutée, légèrement adipeuse, toute différente de celle de Martine soyeuse qui ne recouvre que des muscles. Je sens Jade se détendre, je l'entends respirer plus profondément, soupirer, miauler « Oh chouchou, que c'est bon... ». Elle se renverse sur le dos et me prend par les épaules.
Je suis à moitié couché sur elle, la tête dans sa chevelure, un genou entre ses cuisses, une main sur son sein. Je continue à la découvrir, autrement, tel un aveugle, son téton pointe au creux de ma paume, je palpe doucement le sein que je tiens pas dans ma main, il est ferme et moelleux à la fois, je le prends à sa base, le presse délicatement, le fais grossir. Ma menotte glisse sur le ventre légèrement rebondi. Elle relève un genou et écarte la cuisse, libérant l'accès à son sexe et m'invitant à être plus audacieux. Ma main se plaque sur son pubis.
Je quitte ses cheveux, relève son bras au dessus de sa tête, je rampe telle une couleuvre. pose mes lèvres sur son aisselle légèrement humide, son odeur acide, son goût salé me procurent des sensations, me donnent des envies nouvelles, je la lèche jusqu'à effacer toute trace de sueur. D'un saut je suis sur le sein que je couvrais de ma poitrine. Je suçote la pointe écrasée avant de la téter goulument.
En même temps ma main sur le pubis s'anime. Je farfouille les lèvres détrempées, les sépare, dégage la fente vaginale. Je retrouve l'élasticité des chairs matures rien à voir avec le fruit de Martine. Les lèvres se couchent de côté, le bouton se décalotte facilement. C'est Jade qui vient au devant de mes doigts, trois d'entre eux plongent dans le vagin et deux autres excitent le clito en le faisant rouler
Jade m'a appris à ne pas précipiter les choses mais aussi à ne pas faire languir.
Moi aussi j'en veux plus, j'ai soif de son sexe, d'un bond mes lèvres sont sur sa vulve. La lumière du jour commence à éclairer la couche. Je vois la fleur épanouie au centre des cuisses, ses larges pétales étalés, son cœur rosé tirant sur le rouge sang au milieu. Ma langue couvre d'un coup toute la fente du périnée à la pointe du clito, lèche le nectar qui déborde tout du long, elle découvre la pissette, au goût d'urine prononcé, elle s'affine comme un stylet pour mieux la titiller. Sans honte Jade relève le bassin pour mieux s'offrir, toute retenue entre elle et moi a disparu. J'ai l'impression que la coquine s'est masturbée en s'endormant tellement, je la sens moite, j'ai un mélange de forte odeur et de goût acide, rien de dégueulasse dans tout ça bien au contraire, ce n'est qu'aphrodisiaque. Je lèche jusqu'à faire disparaître toute saveur particulière.
Je la gougnotte depuis un moment, son bassin ne cesse de s'agiter, ses pieds joints ses genoux écartés ne cessent de battre comme des ailes de papillon. Mes caresses, mes baisers, ses fragrances, ses succulences m'ont donnés une trique d'enfer.
J'ai le feu au ventre, je veux la prendre, la pénétrer, la baiser, mais... Surtout la faire jouir. Alors je retarde le moment, je la prends au sexe et la branle comme elle l'a fait probablement avant de s'endormir avec deux doigts dans le vagin. Je la taquine jusqu'à ce qu'elle quémande « Oh viens chouchou... Prends-moi. »
Je repousse le moment, je lui fais sentir qu'elle est en mon pouvoir et tel un iguane je grimpe sur elle, j'avance, la "bisouille", je lèche ou mords tout ce que je trouve, j'arrive à l'aisselle au goût salé et enfin à ses lèvres. Ses bras, ses jambes m'enlacent, ses cuisses s'ouvrent largement. L'accouplement se fait naturellement, lentement jusqu'à la rencontre de nos pubis. Pour la première fois j'ai l'impression de la combler. Elle me reçoit alanguie, son vagin m'enserre. Je la couvre complètement, appuyé à sa poitrine, seul mon bassin ondule sur son ventre, entre fébrilité et calme. Je lui fais l'amour comme jamais avant, nos lèvres se joignent, elle n'a jamais eu une bouche si gourmande, des seins si fermes, un ventre si musclé, on se murmure des " Je t'aime. Oh oui. C'est bon. Continue ". Mes coups de reins s'amplifient, mes mains deviennent plus brutales, je mène le jeu, mon éducatrice devient mon amante
Je veux mieux la posséder, la dominer, être son mâle, alors assis sur mes talons, je passe ses jambes sur mes épaules, je me penche sur elle, la plie en deux. En appui sur mes coudes, je lui pétris les seins lui triture ses tétons. Je la pilonne à grands coups, nos lèvres s'écrasent, nos langues bataillent, on perd haleine, ses mains se crispent sur mes épaules, mon coït devient saccadé, ses suppliques changent de ton " Oh ouais, baise-moi, plus fort, défonce-moi."
Alors je me redresse, allonge une de ses jambes, la chevauche posant mes couilles sur sa cuisse et élève l'autre vers la tête de lit, lui faisant faire presque le grand écart... tout change. Je ne vois que notre accouplement baigné de crème mousseuse, mon pieu coulissant dans sa chatte béante, je n'entends que le flop, flop de sa mouille et son ahanement.
Toujours à la recherche de nouvelles sensations, je libère sa jambe de mon épaule, je pivote sur le dos, à deux mains sur les fesses la maintiens accouplée, elle se retrouve sur moi, ses deux jambes entre mes cuisses. A mon tour je l'enserre de mes bras, de mes jambes, on danse ensemble, sa tête au creux de mon épaule plongée dans l'oreiller. Elle ralentit le coït et grogne d'une voix rauque parfaitement audible :
— Encule-moi !... Défonce-moi le cul !
Elle s'écarte de moi et déjà se met à genoux. La lumière du jour me permet de bien la voir dans une pose parfaitement obscène. J'embrasse délicatement ses fesses, caresse tendrement les deux globes tout en les écartant, ma langue court dans le vallon, se fixe sur la rosace. Elle me tend autant que possible son popotin. Je la doigte d'une phalange puis de deux, elle se détend, gémit doucement
— Ça va ?
— Oui, oui Chouchou, tu fais ça très bien.
Mes doigts sont comme un foret tournant sur eux-mêmes pour élargir les chairs, un troisième doigt la pénètre, ma bouche revient régulièrement au point de forage pour le lubrifier. Toujours attentif à ses réactions, je profite d'un relâchement de l'anus pour y foutre un quatrième doigt mais la contraction de l'anus et un petit cri plaintif mettent fin à ma découverte.
— Je n'ai pas trop l'habitude chouchou, je ne suis pas comme Joyce qui se fait fister régulièrement. Mais viens maintenant, encule-moi !
A genoux à ses fesses, je vois son anus enfoncé comme un entonnoir... Je colle ma bouche à son cul et lui lèche la rosette, le bout de ma langue touche tout juste le petit-trou entrouvert. Je le titille et presque immédiatement il se referme, mon museau force la place, mon nez s'enfonce dans la raie, je suis gourmand de ces chairs secrètes et les couvre de salive. Jade exprime son impatience en relevant les fesses. Alors je la satisfait en pointant mon gland dans l'entonnoir, pousse un peu, l'anus gobe facilement ma queue bien moins épaisse que les trois doigts qui l'ont ouvert, lentement ma queue s'enfonce sans résistance jusqu'à ce que mon pubis se colle à ses fesses. Son rectum se contracte et m'enserre.
— Oh oui, chouchou, je te sens bien, c'est bon, tu me remplis bien, bouge doucement.
Lentement, je commence à usiner le fourreau. Il enserre sans pression mon membre qui telle une bielle va et vient sur la moitié de sa course... accélère ou ralentit... amplifie ou raccourcit son alésage... Je tiens le postérieur à deux mains, je me sens fier et heureux en voyant ma queue s'inscrire entre ces deux globes. C'est la première fois que je sodomise ma tante, que je sodomise tout simplement quelqu'un. Jamais je n'ai été actif dans mes relations homos mais je pense à tous ces hommes qui m'ont regardé comme je regarde ce popotin. Son sphincter est plus étroit, plus musclé que son vagin, la pression fait que j'ai tendance à me lâcher mais je ne veux pas la décevoir. Je ralentis ma course, je m'arrête, me couche sur son dos et lui prends les seins. Ils pendent légèrement, même en les comprimant je ne les tiens pas complètement, les pointes sont dures. Je caresse les mamelles, les pétris puis tiraille les tétons. J'entends sa respiration semblable à un souffle de forge. Doucement je reprends ma copulation. Jade ne cesse de gémir, me demande d'une voix à peine étouffée :
— Vas-y encule-moi bien !... Ouais comme ça !...
Je perds l'équilibre, je me retiens d'une main sur le matelas et l'autre passe de son sein à son ventre, à son sexe. D'un doigt je sépare les lèvres imbibées de mouille, je touche la fente trempée, la balaie et c'est elle-même qui m'avale. J'ai deux doigts dans sa chatte directement sur son point G et là mes doigts et mes reins se coordonnent. Je la bourre, la besogne, la défonce... et je la branle. Elle semble suffoquer... jouir du cul ou du con ? Ça va très vite, ses gémissements sourds deviennent feulements puis râles parfaitement audibles. Je tente de réfréner mes geignements bien inutilement quand un : "Ouiiiii..." sonore alerte probablement tout le monde, en même temps que j'inonde les entrailles.
Jade s'affale sur le matelas et "décule" sur le coup ; avec un temps de retard, je me couche sur elle. Mon sperme continue à s'échapper, à s'étaler entre nous deux. Ma main restée au creux de son ventre est couverte de cyprine... Nous restons poisseux l'un sur l'autre, il faudrait passer sous la douche mais on préfère rester dans notre fange, baigner dans notre odeur de stupre. Seules nos respirations troublent le silence. Jade se débat sous moi et murmure de manière à peine audible « Chouchou, tu m'écrases. »
On se retrouve couchés en cuiller, appuyés l'un à l'autre. Je retiens ma tante à deux mains sur son ventre et sa poitrine. Jade se pelotonne contre moi, elle s'amuse à bouger faisant sentir nos corps baignés de nos jouissances J'ai mon visage enfoui dans sa chevelure, je respire à plein poumons me délecte de son odeur. Instinctivement je lui masse un sein d'une main pleine de jute, On est bien, comblés, elle chuchote :
— C'était merveilleux mon Chéri. Tu es l'amant qui me correspond.
— Tu ne dors pas ? Qu'elle murmure d'une voix sourde
— Non... et toi non plus d'ailleurs
— Il est quelle heure ? Qu'elle demande
— Cinq heures... Paris s'éveille.
— Mmmm, qu'elle soupire tout en s'étirant. C'est mon heure !
Je presse mon dos contre sa poitrine, elle répond en se frottant doucement de sorte que je sens ses tétons bandés, je me retourne pour me mettre face à elle, dépose un bisou sur ses lèvres et ajoute
— C'est ton heure ?... ton heure pour faire l'amour ? Que j'ajoute en étouffant mon rire
— Non !!! Pouffe-t-elle et après avoir dégluti elle ajoute à voix basse : Non... Quand je travaillais et qu'Alain était petit, je me levais à cette heure pour m'occuper de la maison !...
— Il n'y a plus d'enfants, que je réponds tout en la bécotant. Il n'y a plus de travail... C'est donc l'heure de s'aimer, et déjà je la presse contre moi
— Doucement chouchou... Fais pas de bruit. Théo dort à côté... tu entends comme il respire fort ?
Couché sur le côté, je ne distingue que la découpe de sa silhouette. Je ne la vois pas mais je la sens, je me noie dans son odeur. Ma main plonge dans la masse de ses cheveux, ils sont soyeux, tellement plus fins que ceux de Martine, je lui masse la nuque, remonte dans le cuir chevelu, glisse derrière le pavillon de l'oreille, descend sur la colonne vertébrale jusqu'au creux des reins, je la caresse autrement que d'habitude avec plus de douceur, précautionneusement, plus lentement si bien que je découvre deux fossettes au dessus de ses fesses, je m'y attarde, les caresse, je les creuse. Ma main remonte sur son dos, sa peau est veloutée, légèrement adipeuse, toute différente de celle de Martine soyeuse qui ne recouvre que des muscles. Je sens Jade se détendre, je l'entends respirer plus profondément, soupirer, miauler « Oh chouchou, que c'est bon... ». Elle se renverse sur le dos et me prend par les épaules.
Je suis à moitié couché sur elle, la tête dans sa chevelure, un genou entre ses cuisses, une main sur son sein. Je continue à la découvrir, autrement, tel un aveugle, son téton pointe au creux de ma paume, je palpe doucement le sein que je tiens pas dans ma main, il est ferme et moelleux à la fois, je le prends à sa base, le presse délicatement, le fais grossir. Ma menotte glisse sur le ventre légèrement rebondi. Elle relève un genou et écarte la cuisse, libérant l'accès à son sexe et m'invitant à être plus audacieux. Ma main se plaque sur son pubis.
Je quitte ses cheveux, relève son bras au dessus de sa tête, je rampe telle une couleuvre. pose mes lèvres sur son aisselle légèrement humide, son odeur acide, son goût salé me procurent des sensations, me donnent des envies nouvelles, je la lèche jusqu'à effacer toute trace de sueur. D'un saut je suis sur le sein que je couvrais de ma poitrine. Je suçote la pointe écrasée avant de la téter goulument.
En même temps ma main sur le pubis s'anime. Je farfouille les lèvres détrempées, les sépare, dégage la fente vaginale. Je retrouve l'élasticité des chairs matures rien à voir avec le fruit de Martine. Les lèvres se couchent de côté, le bouton se décalotte facilement. C'est Jade qui vient au devant de mes doigts, trois d'entre eux plongent dans le vagin et deux autres excitent le clito en le faisant rouler
Jade m'a appris à ne pas précipiter les choses mais aussi à ne pas faire languir.
Moi aussi j'en veux plus, j'ai soif de son sexe, d'un bond mes lèvres sont sur sa vulve. La lumière du jour commence à éclairer la couche. Je vois la fleur épanouie au centre des cuisses, ses larges pétales étalés, son cœur rosé tirant sur le rouge sang au milieu. Ma langue couvre d'un coup toute la fente du périnée à la pointe du clito, lèche le nectar qui déborde tout du long, elle découvre la pissette, au goût d'urine prononcé, elle s'affine comme un stylet pour mieux la titiller. Sans honte Jade relève le bassin pour mieux s'offrir, toute retenue entre elle et moi a disparu. J'ai l'impression que la coquine s'est masturbée en s'endormant tellement, je la sens moite, j'ai un mélange de forte odeur et de goût acide, rien de dégueulasse dans tout ça bien au contraire, ce n'est qu'aphrodisiaque. Je lèche jusqu'à faire disparaître toute saveur particulière.
Je la gougnotte depuis un moment, son bassin ne cesse de s'agiter, ses pieds joints ses genoux écartés ne cessent de battre comme des ailes de papillon. Mes caresses, mes baisers, ses fragrances, ses succulences m'ont donnés une trique d'enfer.
J'ai le feu au ventre, je veux la prendre, la pénétrer, la baiser, mais... Surtout la faire jouir. Alors je retarde le moment, je la prends au sexe et la branle comme elle l'a fait probablement avant de s'endormir avec deux doigts dans le vagin. Je la taquine jusqu'à ce qu'elle quémande « Oh viens chouchou... Prends-moi. »
Je repousse le moment, je lui fais sentir qu'elle est en mon pouvoir et tel un iguane je grimpe sur elle, j'avance, la "bisouille", je lèche ou mords tout ce que je trouve, j'arrive à l'aisselle au goût salé et enfin à ses lèvres. Ses bras, ses jambes m'enlacent, ses cuisses s'ouvrent largement. L'accouplement se fait naturellement, lentement jusqu'à la rencontre de nos pubis. Pour la première fois j'ai l'impression de la combler. Elle me reçoit alanguie, son vagin m'enserre. Je la couvre complètement, appuyé à sa poitrine, seul mon bassin ondule sur son ventre, entre fébrilité et calme. Je lui fais l'amour comme jamais avant, nos lèvres se joignent, elle n'a jamais eu une bouche si gourmande, des seins si fermes, un ventre si musclé, on se murmure des " Je t'aime. Oh oui. C'est bon. Continue ". Mes coups de reins s'amplifient, mes mains deviennent plus brutales, je mène le jeu, mon éducatrice devient mon amante
Je veux mieux la posséder, la dominer, être son mâle, alors assis sur mes talons, je passe ses jambes sur mes épaules, je me penche sur elle, la plie en deux. En appui sur mes coudes, je lui pétris les seins lui triture ses tétons. Je la pilonne à grands coups, nos lèvres s'écrasent, nos langues bataillent, on perd haleine, ses mains se crispent sur mes épaules, mon coït devient saccadé, ses suppliques changent de ton " Oh ouais, baise-moi, plus fort, défonce-moi."
Alors je me redresse, allonge une de ses jambes, la chevauche posant mes couilles sur sa cuisse et élève l'autre vers la tête de lit, lui faisant faire presque le grand écart... tout change. Je ne vois que notre accouplement baigné de crème mousseuse, mon pieu coulissant dans sa chatte béante, je n'entends que le flop, flop de sa mouille et son ahanement.
Toujours à la recherche de nouvelles sensations, je libère sa jambe de mon épaule, je pivote sur le dos, à deux mains sur les fesses la maintiens accouplée, elle se retrouve sur moi, ses deux jambes entre mes cuisses. A mon tour je l'enserre de mes bras, de mes jambes, on danse ensemble, sa tête au creux de mon épaule plongée dans l'oreiller. Elle ralentit le coït et grogne d'une voix rauque parfaitement audible :
— Encule-moi !... Défonce-moi le cul !
Elle s'écarte de moi et déjà se met à genoux. La lumière du jour me permet de bien la voir dans une pose parfaitement obscène. J'embrasse délicatement ses fesses, caresse tendrement les deux globes tout en les écartant, ma langue court dans le vallon, se fixe sur la rosace. Elle me tend autant que possible son popotin. Je la doigte d'une phalange puis de deux, elle se détend, gémit doucement
— Ça va ?
— Oui, oui Chouchou, tu fais ça très bien.
Mes doigts sont comme un foret tournant sur eux-mêmes pour élargir les chairs, un troisième doigt la pénètre, ma bouche revient régulièrement au point de forage pour le lubrifier. Toujours attentif à ses réactions, je profite d'un relâchement de l'anus pour y foutre un quatrième doigt mais la contraction de l'anus et un petit cri plaintif mettent fin à ma découverte.
— Je n'ai pas trop l'habitude chouchou, je ne suis pas comme Joyce qui se fait fister régulièrement. Mais viens maintenant, encule-moi !
A genoux à ses fesses, je vois son anus enfoncé comme un entonnoir... Je colle ma bouche à son cul et lui lèche la rosette, le bout de ma langue touche tout juste le petit-trou entrouvert. Je le titille et presque immédiatement il se referme, mon museau force la place, mon nez s'enfonce dans la raie, je suis gourmand de ces chairs secrètes et les couvre de salive. Jade exprime son impatience en relevant les fesses. Alors je la satisfait en pointant mon gland dans l'entonnoir, pousse un peu, l'anus gobe facilement ma queue bien moins épaisse que les trois doigts qui l'ont ouvert, lentement ma queue s'enfonce sans résistance jusqu'à ce que mon pubis se colle à ses fesses. Son rectum se contracte et m'enserre.
— Oh oui, chouchou, je te sens bien, c'est bon, tu me remplis bien, bouge doucement.
Lentement, je commence à usiner le fourreau. Il enserre sans pression mon membre qui telle une bielle va et vient sur la moitié de sa course... accélère ou ralentit... amplifie ou raccourcit son alésage... Je tiens le postérieur à deux mains, je me sens fier et heureux en voyant ma queue s'inscrire entre ces deux globes. C'est la première fois que je sodomise ma tante, que je sodomise tout simplement quelqu'un. Jamais je n'ai été actif dans mes relations homos mais je pense à tous ces hommes qui m'ont regardé comme je regarde ce popotin. Son sphincter est plus étroit, plus musclé que son vagin, la pression fait que j'ai tendance à me lâcher mais je ne veux pas la décevoir. Je ralentis ma course, je m'arrête, me couche sur son dos et lui prends les seins. Ils pendent légèrement, même en les comprimant je ne les tiens pas complètement, les pointes sont dures. Je caresse les mamelles, les pétris puis tiraille les tétons. J'entends sa respiration semblable à un souffle de forge. Doucement je reprends ma copulation. Jade ne cesse de gémir, me demande d'une voix à peine étouffée :
— Vas-y encule-moi bien !... Ouais comme ça !...
Je perds l'équilibre, je me retiens d'une main sur le matelas et l'autre passe de son sein à son ventre, à son sexe. D'un doigt je sépare les lèvres imbibées de mouille, je touche la fente trempée, la balaie et c'est elle-même qui m'avale. J'ai deux doigts dans sa chatte directement sur son point G et là mes doigts et mes reins se coordonnent. Je la bourre, la besogne, la défonce... et je la branle. Elle semble suffoquer... jouir du cul ou du con ? Ça va très vite, ses gémissements sourds deviennent feulements puis râles parfaitement audibles. Je tente de réfréner mes geignements bien inutilement quand un : "Ouiiiii..." sonore alerte probablement tout le monde, en même temps que j'inonde les entrailles.
Jade s'affale sur le matelas et "décule" sur le coup ; avec un temps de retard, je me couche sur elle. Mon sperme continue à s'échapper, à s'étaler entre nous deux. Ma main restée au creux de son ventre est couverte de cyprine... Nous restons poisseux l'un sur l'autre, il faudrait passer sous la douche mais on préfère rester dans notre fange, baigner dans notre odeur de stupre. Seules nos respirations troublent le silence. Jade se débat sous moi et murmure de manière à peine audible « Chouchou, tu m'écrases. »
On se retrouve couchés en cuiller, appuyés l'un à l'autre. Je retiens ma tante à deux mains sur son ventre et sa poitrine. Jade se pelotonne contre moi, elle s'amuse à bouger faisant sentir nos corps baignés de nos jouissances J'ai mon visage enfoui dans sa chevelure, je respire à plein poumons me délecte de son odeur. Instinctivement je lui masse un sein d'une main pleine de jute, On est bien, comblés, elle chuchote :
— C'était merveilleux mon Chéri. Tu es l'amant qui me correspond.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Cyrille
Oui John est un élève appliqué... Mais il a encore beaucoup à apprendre et à découvrir !
On se retrouve bientôt.
Oui John est un élève appliqué... Mais il a encore beaucoup à apprendre et à découvrir !
On se retrouve bientôt.
Fantastique...
Mettre en pratique ce que l'on apprend....
Cyrille
Mettre en pratique ce que l'on apprend....
Cyrille