Education Chapitre 2 - Tête à tête avec ma tante
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Education Chapitre 2 - Tête à tête avec ma tante
Le lendemain, je me réveille alors qu'il fait grand jour, la porte de ma chambre est fermée, je suis nu sur le ventre au dessus des draps, je me sens bien, reposé, même si je sens cette gêne dans les fesses qui réveille le souvenir de la veille, ce plug qu'hier soir Alain m'a planté... il est temps que j'aille aux toilettes et la douche.
Après quoi, juste habillé d'un boxer et d'un tee-shirt, avec beaucoup d'appréhension après ce qui s'est passé dans la nuit, je vais à la rencontre de Jade. Elle est debout de dos dans la cuisine, pieds nus, habillée d'une robe toute simple attachée à la taille. Visiblement elle ne porte qu'un string vu le rebond de ses fesses sous le tissus. Elle se trémousse d'un pied sur l'autre sur le rythme d'une musique imaginaire quand je la surprends en la prenant par la taille. Elle se retourne vivement en éclatant de rire et m'embrasse du bout des lèvres.
Sa robe est juste boutonnée au niveau de la taille par trois boutons qui découvre une grande partie des cuisses et la naissance des seins, sûr elle ne porte pas de soutien-gorge vu la liberté de mouvement de ceux-ci
— Bonjour mon chéri ! As-tu bien dormi ?
Contrairement à ce que je craignais, elle m'accueille chaleureusement. Elle m'entoure de son bras et m'embrasse sur les lèvres, baiser que je stoppe quand sa langue les caresse.
— Ohhh ! Johnny, Alain ne t'a pas appris à mieux embrasser ?... Je deviens rouge comme les coquelicots... Relaxe mon chéri !
Elle me tient plus serré contre elle. Timidement je pose mes mains sur ses hanches et ne me dérobe pas quand son ventre se cale au mien, quand sa bouche se soude à la mienne. Je réponds alors à son baiser, laisse sa langue venir puis la rejoins dans sa bouche, on se découvre. Ses lèvres sont plus charnues que celles d'Alain, son baiser plus savoureux, plus tendre. On s'embrasse longtemps, c'est mon vrai premier baiser avec une femme. Ses mains descendent de mes épaules à ma taille pour remonter vers les épaules sous mon tee-shirt. Je ne vois que le bleu de ses yeux, elle murmure.
— C'est beaucoup mieux ainsi, il fait déjà chaud, tu devrais enlever ce tee-shirt !
Je lève les bras et hop, à bas le tee-shirt. J'ai ma poitrine nue contre sa blouse et mon sexe s'appuie sur son ventre. Elle me fait un bisou du bout des lèvres et m'invite à déjeuner.
— Bon, , je vais te préparer ton petit-déjeuner ... Comme je t'ai dit, Théo est parti accompagner Alain à son agence, puis il va en Avignon dans sa famille, il ne rentrera que demain midi. Ainsi aujourd'hui, nous sommes tous les deux, on pourra tout se raconter depuis 5 ans, tu as beaucoup à me dire, je suppose. Demain, nous aurons la visite de Joyce, c'est une amie et la future belle-mère d'Alain, il m'a dit qu'il t'en avait parlé, elle passera la journée avec nous, tu verras elle est très sympa.
Pour l'instant, mange ! Après on fera bronzette dans le jardin, tu verras, on n'est pas gêné par le voisinage et si ça ne t'ennuie pas, je vais me mettre à l'aise comme toi.
Sans attendre ma réponse, elle déboutonne sa robe et la fait tomber par terre pour exhiber sa poitrine et me présenter son petit string blanc qui ne cache pas grand chose... je reste bouche bée, c'est la première fois que j'ai une femme nue en chair et en os devant moi.
— Ben mon chéri, ne fais pas des yeux comme ça ! C'est la première fois que tu vois une femme à poil ?... presque nue ,
— Ben oui ! mis à part les fois où je t'ai matée il y a cinq. Et j'ajoute d'un air moqueur, Alain ne te l'a pas dit ?
— Non ! On n'a pas eu le temps, il m'a juste parlé de votre rencontre avec cet inconnu en Bretagne, pour le reste... Je vous ai entendu hier soir (je pique mon phare, baisse les yeux, ne sais plus où me mettre). T'inquiète ! Avec nous, il n'y a pas de problème et je suis contente de votre liberté. J'espère simplement que tu auras la même liberté avec moi. Ça serait dommage de limiter tes plaisirs aux hommes, j'ai quinze jours devant moi pour t'éduquer... Bon, John on a le temps, mais tout de même, je vais me doucher et toi, termine ton petit-déjeuner je te dirai quand j'aurai fini.
.....Une demi-heure après.....
— John, mon chéri, j'ai fini ! Tu peux venir.
J'arrive dans la salle de bain et trouve ma tante enfilant un slip de maillot de bain, elle me laisse la place.
— Si tu veux pour une toilette intime, c'est toujours important, tu trouveras dans les toilettes une canule à lavement très agréable et efficace ...
— Merci Jade, je l'ai déjà utilisée ce matin ; tout en échangeant avec elle un petit sourire complice.
Je m'attarde sous la douche. Plus tard en maillot de bain je rejoins ma tante que je trouve allongée sur le ventre sur une chaise longue à l'ombre des pins .
— John, mon chéri, te voilà, viens près de moi, même à l'ombre, il faut se mettre de la crème solaire, je l'ai mise par terre, tu peux m'en mettre dans le dos s'il te plaît.
D'une simple application de crème dans le dos, je passe à une caresse puis un massage, je m'enhardis en déposant un baiser sur la nuque découverte, l'abondante chevelure ayant été regroupée en chignon.
— Hummm !... C'est délicieux... Si tu t'occupes de mon fils comme ça, je comprends que tu lui sois attaché. Il va falloir que je découvre rapidement tous tes talents, pour l'instant, tu pourrais les exercer sur mes jambes et même peut-être mes fesses.
En même temps elle retire son slip et le jette au sol. Sidéré, les yeux rivés sur son cul nu et bronzé, je commence à appliquer la crème sur les jambes puis remonte aux cuisses toujours en passant de la caresse au massage sans oser aller trop haut jusqu'au moment où je dépose sur chaque fesse une noisette de crème.
Chaque main se pose sur une fesse, les cercles qu'elles font, s'agrandissent jusqu'à ce qu'elles se rejoignent dans le vallon. Ses globes sont moins musclés et plus ronds que ceux d'Alain, la peau est plus douce et plus dorée. Jade qui depuis un moment écarte imperceptiblement les cuisses, d'un coup les sépare franchement en plaçant ses genoux en dehors de la chaise tout en creusant les reins. Je n'en reviens pas comme elle se montre impudique. Pour me donner bonne conscience, je reprends de la crème et l'applique méthodiquement sur la raie en survolant l'anus.
Le maintien de sa position m'encourage à mettre un doigt sur la rosace. Dès que j'y touche, l'anus se contracte avant de se développer et grossir... La coquine pousse comme me l'a appris Alain, le petit trou devient un gros bouton violacé, creusé en son centre. Toute pudeur, toute résistance s'estompent, je le masse délicatement, elle gémit, creuse encore plus les reins, elle l'attend, elle le veut... J'y introduis un doigt qui glisse doucement sans difficulté,
— Hummm... c'est bon !
Je sors et y retourne puis ressors pour lui caresser les fesses, remonte sur la ceinture et descends sur le gras des cuisses. Je reprends de la crème pour l'appliquer dans le creux et au bas des fesses, je termine en lui embrassant le derrière.
— Tu es un amour, tu as mis la barre haute pour que je le fasse aussi bien. A ton tour, allonge-toi et avant enlève-moi ce maillot... Pas de fausse pudeur !
Par décence, je lui tourne le dos pour l'enlever même si je sais qu'elle me verra plus tard. Avec beaucoup de douceur, elle m'enduit de crème en répétant mes gestes, en me flattant « Tu as une peau très douce... De jolies petites fesses », elle apprécie ma jeune musculature, elle me force un peu à ouvrir les cuisses « Ne sois pas timide mon chéri ! » Pour ne pas me brusquer, à mon exemple elle masse chaque fesse avant de rejoindre ses pouces dans le vallon jusqu'au bas, seulement à ce moment je m'offre à elle.
Elle se met à genoux dans l'herbe à mes pieds, reprend de la crème solaire et monte de mes mollets à mes cuisses pour finalement masser sans gêne mes fesses, suivre la raie et placer ses pouces sur mon anus, je suis paralysé, crispé au point qu'elle murmure « Détends-toi mon chéri » des paroles que j'ai déjà entendues mais dites avec tellement plus de délicatesse et ses deux pouces sur mon intimité comme ils sont doux même quand l'un traverse les chairs mais pas suffisamment pour atteindre mon point sensible. Elle ne dit rien mais a testé l'élasticité de mon anneau, alors ce sont deux doigts qui m'asticotent le passage avant de s'enfoncer jusqu'à mon point Q. La salope me met tout de suite le feu au ventre.
Je relève le bassin en m'appuyant sur les pieds à terre, je vais à la rencontre de la main qui me fouille, je la voudrais entièrement en moi, quelle folie, quelle indécence face à ma tante, la sœur ainée de ma mère. Elle me quitte et d'une petite tape me fait tomber de mon nuage.
— Tu es chaud comme les braises, mon chéri, il n'en faudrait pas beaucoup plus pour te faire atteindre le nirvana. Une fougue qu'il va falloir domestiquer. Pour l'instant, calmons-nous et parle-moi de ma sœur.
Allongés côte à côte sur le ventre, appuyé sur nos coudes, on se regarde, on se parle, on est très bien ainsi à l'ombre avec la petite bise sur nos fesses nues, la discussion porte sur le passé immédiat et lointain, de mon enfance, de son enfance.
— Tu sais, je n'étais pas et je ne suis pas comme ta maman, elle a toujours été très sage, discrète, pudique, tout le contraire de moi... Nos parents me disaient toujours : tu peux mettre une jupe sur ton cul, tu vas te faire violer au coin de la rue ! Ben non, jamais on ne m'a violée et j'ai beaucoup donné. Aujourd'hui, la nudité est mon mode de vivre et le sexe ma raison de vivre.... Après une demi-heure de discussion elle me dit en blaguant : Dis-moi Johnny, il faudrait retourner les steaks ça commence à brûler.
Elle se relève sans précaution pivote et découvre sa poitrine. Je la trouve plus volumineuse qu'entre-aperçue hier dans la pénombre, son sein s'étire légèrement et repose sur l'autre, son mamelon large comme une pièce de 5 francs me surprend. Elle s'amuse de ma fascination avant de s'allonger sur le dos m'offrant ses formes matures et son pubis épilé à la jonction de ses cuisses serrés. Dans un soupir de bien-être, elle ferme les yeux et relève les bras sous sa tête. Elle attend... et finalement demande
— Tu veux bien me mettre de la crème, tu le fais si bien.
Hyper mal à l'aise tellement je bande, je me décide enfin à poser prudemment mes mains sur ses seins. Pour la première fois je touche le corps d'une femme. Je caresse simultanément les deux globes de la paume, réveille les tétons qui bandent au creux de ma main. Admiratif, je prends les seins à leur base, les presse en les relevant, hypnotisé par leur pointe brun foncé. Émerveillé par l'élasticité du nichon et l'érection du mamelon, un raclement de gorge de ma tante me rappelle à plus de décence et à me disperser sur les aisselles, les épaules, le cou avant de contourner la poitrine pour aller sur le ventre.
— Tes caresses sont délicieuses Johnny ! Mais avec de la crème, elles me protégeraient mieux du soleil !
Je pique mon phare et finalement réponds à sa moue, d'un éclat de rire. Je m'empresse d 'écraser une noix de crème dans mes paumes que j'étale sur tout le haut de la poitrine et la base des seins, et à nouveau je palpe les seins, cette chair délicate, je les masse avec précaution, tandis que mes yeux fixent le bas ventre et le Y formé par les cuisses serrées. D'un peu de crème je couvre le ventre rebondi sans oser aller jusqu'à la jonction des jambes. Pour retrouver un peu de calme je m'attache aux pieds, je masse le mollet quand mes yeux se fixent sur l'entrejambe, regardent les cuisses s'entrouvrir sans découvrir le sexe. Chaque main remonte sur la cuisse, par trop haut, en massant délicatement l'intérieur, cette peau si fragile. Et là, les jambes pivotent sur le côté, les genoux s'écartent, les pieds se posent de chaque côté du transat. Je vois '' L'origine du monde '' cette crête de chair bien plus sombre que le pubis, sans un poil encore plus nu que le montre le tableau. Au creux du ventre bronzé se joignent les lèvres en un mince filet humide. Jade me provoque :
— Johnny, n'oublie pas de protéger le bas ventre !
Face à l'impossible, avec une certaine gêne, j'étale la crème sur la pointe du pubis et le haut des cuisses. Dans le plus grand trouble je masse l'entrejambe en faisant circuler la crête de chair dans la fourche de mes doigts, peu à peu je prends de l'assurance sans violer le fruit défendu. Jade un peu énervée par mon jeu se relève et me donne un bisou.
— Viens mon chéri que je te mette de la crème, tu auras bien d'autres occasions de mieux me découvrir. Allonge-toi !
Ainsi, rouge de confusion, je ferme les yeux par honte... alors que sans retenue j'offre mon corps nu et ma verge en érection. Elle s'amuse en me donnant un bisou sur la pointe puis commence à masser les épaules, la poitrine, palpe les abdos, peut-être pour ne pas me choquer elle oublie mon sexe en allant directement sur les jambes. Son massage est relaxant, divin, je garde les yeux fermés et inconsciemment mon corps se met à onduler. Il ne lui en faut pas plus pour qu'elle saisisse ma queue d'une main et l'embrasse pour de vrai.
Le cap est franchi, avec une bonne dose de crème, elle me masse le sexe. Ce n'est que caresses et douceurs, une virtuose de la branlette. Elle m'accorde un court répit et quand je sens ses lèvres sur mon bourgeon, j'entre en transe, je ne peux plus me retenir et elle perd le contrôle de ses mains. Rapidement elle me reçoit sans en perdre une goutte. Remise de sa surprise, elle se redresse en souriant :
— Tu es un coquin qui ne sait pas se retenir !... Je t'apprendrais, pour l'instant on va rester tranquillement à faire bronzette.
Après quoi, juste habillé d'un boxer et d'un tee-shirt, avec beaucoup d'appréhension après ce qui s'est passé dans la nuit, je vais à la rencontre de Jade. Elle est debout de dos dans la cuisine, pieds nus, habillée d'une robe toute simple attachée à la taille. Visiblement elle ne porte qu'un string vu le rebond de ses fesses sous le tissus. Elle se trémousse d'un pied sur l'autre sur le rythme d'une musique imaginaire quand je la surprends en la prenant par la taille. Elle se retourne vivement en éclatant de rire et m'embrasse du bout des lèvres.
Sa robe est juste boutonnée au niveau de la taille par trois boutons qui découvre une grande partie des cuisses et la naissance des seins, sûr elle ne porte pas de soutien-gorge vu la liberté de mouvement de ceux-ci
— Bonjour mon chéri ! As-tu bien dormi ?
Contrairement à ce que je craignais, elle m'accueille chaleureusement. Elle m'entoure de son bras et m'embrasse sur les lèvres, baiser que je stoppe quand sa langue les caresse.
— Ohhh ! Johnny, Alain ne t'a pas appris à mieux embrasser ?... Je deviens rouge comme les coquelicots... Relaxe mon chéri !
Elle me tient plus serré contre elle. Timidement je pose mes mains sur ses hanches et ne me dérobe pas quand son ventre se cale au mien, quand sa bouche se soude à la mienne. Je réponds alors à son baiser, laisse sa langue venir puis la rejoins dans sa bouche, on se découvre. Ses lèvres sont plus charnues que celles d'Alain, son baiser plus savoureux, plus tendre. On s'embrasse longtemps, c'est mon vrai premier baiser avec une femme. Ses mains descendent de mes épaules à ma taille pour remonter vers les épaules sous mon tee-shirt. Je ne vois que le bleu de ses yeux, elle murmure.
— C'est beaucoup mieux ainsi, il fait déjà chaud, tu devrais enlever ce tee-shirt !
Je lève les bras et hop, à bas le tee-shirt. J'ai ma poitrine nue contre sa blouse et mon sexe s'appuie sur son ventre. Elle me fait un bisou du bout des lèvres et m'invite à déjeuner.
— Bon, , je vais te préparer ton petit-déjeuner ... Comme je t'ai dit, Théo est parti accompagner Alain à son agence, puis il va en Avignon dans sa famille, il ne rentrera que demain midi. Ainsi aujourd'hui, nous sommes tous les deux, on pourra tout se raconter depuis 5 ans, tu as beaucoup à me dire, je suppose. Demain, nous aurons la visite de Joyce, c'est une amie et la future belle-mère d'Alain, il m'a dit qu'il t'en avait parlé, elle passera la journée avec nous, tu verras elle est très sympa.
Pour l'instant, mange ! Après on fera bronzette dans le jardin, tu verras, on n'est pas gêné par le voisinage et si ça ne t'ennuie pas, je vais me mettre à l'aise comme toi.
Sans attendre ma réponse, elle déboutonne sa robe et la fait tomber par terre pour exhiber sa poitrine et me présenter son petit string blanc qui ne cache pas grand chose... je reste bouche bée, c'est la première fois que j'ai une femme nue en chair et en os devant moi.
— Ben mon chéri, ne fais pas des yeux comme ça ! C'est la première fois que tu vois une femme à poil ?... presque nue ,
— Ben oui ! mis à part les fois où je t'ai matée il y a cinq. Et j'ajoute d'un air moqueur, Alain ne te l'a pas dit ?
— Non ! On n'a pas eu le temps, il m'a juste parlé de votre rencontre avec cet inconnu en Bretagne, pour le reste... Je vous ai entendu hier soir (je pique mon phare, baisse les yeux, ne sais plus où me mettre). T'inquiète ! Avec nous, il n'y a pas de problème et je suis contente de votre liberté. J'espère simplement que tu auras la même liberté avec moi. Ça serait dommage de limiter tes plaisirs aux hommes, j'ai quinze jours devant moi pour t'éduquer... Bon, John on a le temps, mais tout de même, je vais me doucher et toi, termine ton petit-déjeuner je te dirai quand j'aurai fini.
.....Une demi-heure après.....
— John, mon chéri, j'ai fini ! Tu peux venir.
J'arrive dans la salle de bain et trouve ma tante enfilant un slip de maillot de bain, elle me laisse la place.
— Si tu veux pour une toilette intime, c'est toujours important, tu trouveras dans les toilettes une canule à lavement très agréable et efficace ...
— Merci Jade, je l'ai déjà utilisée ce matin ; tout en échangeant avec elle un petit sourire complice.
Je m'attarde sous la douche. Plus tard en maillot de bain je rejoins ma tante que je trouve allongée sur le ventre sur une chaise longue à l'ombre des pins .
— John, mon chéri, te voilà, viens près de moi, même à l'ombre, il faut se mettre de la crème solaire, je l'ai mise par terre, tu peux m'en mettre dans le dos s'il te plaît.
D'une simple application de crème dans le dos, je passe à une caresse puis un massage, je m'enhardis en déposant un baiser sur la nuque découverte, l'abondante chevelure ayant été regroupée en chignon.
— Hummm !... C'est délicieux... Si tu t'occupes de mon fils comme ça, je comprends que tu lui sois attaché. Il va falloir que je découvre rapidement tous tes talents, pour l'instant, tu pourrais les exercer sur mes jambes et même peut-être mes fesses.
En même temps elle retire son slip et le jette au sol. Sidéré, les yeux rivés sur son cul nu et bronzé, je commence à appliquer la crème sur les jambes puis remonte aux cuisses toujours en passant de la caresse au massage sans oser aller trop haut jusqu'au moment où je dépose sur chaque fesse une noisette de crème.
Chaque main se pose sur une fesse, les cercles qu'elles font, s'agrandissent jusqu'à ce qu'elles se rejoignent dans le vallon. Ses globes sont moins musclés et plus ronds que ceux d'Alain, la peau est plus douce et plus dorée. Jade qui depuis un moment écarte imperceptiblement les cuisses, d'un coup les sépare franchement en plaçant ses genoux en dehors de la chaise tout en creusant les reins. Je n'en reviens pas comme elle se montre impudique. Pour me donner bonne conscience, je reprends de la crème et l'applique méthodiquement sur la raie en survolant l'anus.
Le maintien de sa position m'encourage à mettre un doigt sur la rosace. Dès que j'y touche, l'anus se contracte avant de se développer et grossir... La coquine pousse comme me l'a appris Alain, le petit trou devient un gros bouton violacé, creusé en son centre. Toute pudeur, toute résistance s'estompent, je le masse délicatement, elle gémit, creuse encore plus les reins, elle l'attend, elle le veut... J'y introduis un doigt qui glisse doucement sans difficulté,
— Hummm... c'est bon !
Je sors et y retourne puis ressors pour lui caresser les fesses, remonte sur la ceinture et descends sur le gras des cuisses. Je reprends de la crème pour l'appliquer dans le creux et au bas des fesses, je termine en lui embrassant le derrière.
— Tu es un amour, tu as mis la barre haute pour que je le fasse aussi bien. A ton tour, allonge-toi et avant enlève-moi ce maillot... Pas de fausse pudeur !
Par décence, je lui tourne le dos pour l'enlever même si je sais qu'elle me verra plus tard. Avec beaucoup de douceur, elle m'enduit de crème en répétant mes gestes, en me flattant « Tu as une peau très douce... De jolies petites fesses », elle apprécie ma jeune musculature, elle me force un peu à ouvrir les cuisses « Ne sois pas timide mon chéri ! » Pour ne pas me brusquer, à mon exemple elle masse chaque fesse avant de rejoindre ses pouces dans le vallon jusqu'au bas, seulement à ce moment je m'offre à elle.
Elle se met à genoux dans l'herbe à mes pieds, reprend de la crème solaire et monte de mes mollets à mes cuisses pour finalement masser sans gêne mes fesses, suivre la raie et placer ses pouces sur mon anus, je suis paralysé, crispé au point qu'elle murmure « Détends-toi mon chéri » des paroles que j'ai déjà entendues mais dites avec tellement plus de délicatesse et ses deux pouces sur mon intimité comme ils sont doux même quand l'un traverse les chairs mais pas suffisamment pour atteindre mon point sensible. Elle ne dit rien mais a testé l'élasticité de mon anneau, alors ce sont deux doigts qui m'asticotent le passage avant de s'enfoncer jusqu'à mon point Q. La salope me met tout de suite le feu au ventre.
Je relève le bassin en m'appuyant sur les pieds à terre, je vais à la rencontre de la main qui me fouille, je la voudrais entièrement en moi, quelle folie, quelle indécence face à ma tante, la sœur ainée de ma mère. Elle me quitte et d'une petite tape me fait tomber de mon nuage.
— Tu es chaud comme les braises, mon chéri, il n'en faudrait pas beaucoup plus pour te faire atteindre le nirvana. Une fougue qu'il va falloir domestiquer. Pour l'instant, calmons-nous et parle-moi de ma sœur.
Allongés côte à côte sur le ventre, appuyé sur nos coudes, on se regarde, on se parle, on est très bien ainsi à l'ombre avec la petite bise sur nos fesses nues, la discussion porte sur le passé immédiat et lointain, de mon enfance, de son enfance.
— Tu sais, je n'étais pas et je ne suis pas comme ta maman, elle a toujours été très sage, discrète, pudique, tout le contraire de moi... Nos parents me disaient toujours : tu peux mettre une jupe sur ton cul, tu vas te faire violer au coin de la rue ! Ben non, jamais on ne m'a violée et j'ai beaucoup donné. Aujourd'hui, la nudité est mon mode de vivre et le sexe ma raison de vivre.... Après une demi-heure de discussion elle me dit en blaguant : Dis-moi Johnny, il faudrait retourner les steaks ça commence à brûler.
Elle se relève sans précaution pivote et découvre sa poitrine. Je la trouve plus volumineuse qu'entre-aperçue hier dans la pénombre, son sein s'étire légèrement et repose sur l'autre, son mamelon large comme une pièce de 5 francs me surprend. Elle s'amuse de ma fascination avant de s'allonger sur le dos m'offrant ses formes matures et son pubis épilé à la jonction de ses cuisses serrés. Dans un soupir de bien-être, elle ferme les yeux et relève les bras sous sa tête. Elle attend... et finalement demande
— Tu veux bien me mettre de la crème, tu le fais si bien.
Hyper mal à l'aise tellement je bande, je me décide enfin à poser prudemment mes mains sur ses seins. Pour la première fois je touche le corps d'une femme. Je caresse simultanément les deux globes de la paume, réveille les tétons qui bandent au creux de ma main. Admiratif, je prends les seins à leur base, les presse en les relevant, hypnotisé par leur pointe brun foncé. Émerveillé par l'élasticité du nichon et l'érection du mamelon, un raclement de gorge de ma tante me rappelle à plus de décence et à me disperser sur les aisselles, les épaules, le cou avant de contourner la poitrine pour aller sur le ventre.
— Tes caresses sont délicieuses Johnny ! Mais avec de la crème, elles me protégeraient mieux du soleil !
Je pique mon phare et finalement réponds à sa moue, d'un éclat de rire. Je m'empresse d 'écraser une noix de crème dans mes paumes que j'étale sur tout le haut de la poitrine et la base des seins, et à nouveau je palpe les seins, cette chair délicate, je les masse avec précaution, tandis que mes yeux fixent le bas ventre et le Y formé par les cuisses serrées. D'un peu de crème je couvre le ventre rebondi sans oser aller jusqu'à la jonction des jambes. Pour retrouver un peu de calme je m'attache aux pieds, je masse le mollet quand mes yeux se fixent sur l'entrejambe, regardent les cuisses s'entrouvrir sans découvrir le sexe. Chaque main remonte sur la cuisse, par trop haut, en massant délicatement l'intérieur, cette peau si fragile. Et là, les jambes pivotent sur le côté, les genoux s'écartent, les pieds se posent de chaque côté du transat. Je vois '' L'origine du monde '' cette crête de chair bien plus sombre que le pubis, sans un poil encore plus nu que le montre le tableau. Au creux du ventre bronzé se joignent les lèvres en un mince filet humide. Jade me provoque :
— Johnny, n'oublie pas de protéger le bas ventre !
Face à l'impossible, avec une certaine gêne, j'étale la crème sur la pointe du pubis et le haut des cuisses. Dans le plus grand trouble je masse l'entrejambe en faisant circuler la crête de chair dans la fourche de mes doigts, peu à peu je prends de l'assurance sans violer le fruit défendu. Jade un peu énervée par mon jeu se relève et me donne un bisou.
— Viens mon chéri que je te mette de la crème, tu auras bien d'autres occasions de mieux me découvrir. Allonge-toi !
Ainsi, rouge de confusion, je ferme les yeux par honte... alors que sans retenue j'offre mon corps nu et ma verge en érection. Elle s'amuse en me donnant un bisou sur la pointe puis commence à masser les épaules, la poitrine, palpe les abdos, peut-être pour ne pas me choquer elle oublie mon sexe en allant directement sur les jambes. Son massage est relaxant, divin, je garde les yeux fermés et inconsciemment mon corps se met à onduler. Il ne lui en faut pas plus pour qu'elle saisisse ma queue d'une main et l'embrasse pour de vrai.
Le cap est franchi, avec une bonne dose de crème, elle me masse le sexe. Ce n'est que caresses et douceurs, une virtuose de la branlette. Elle m'accorde un court répit et quand je sens ses lèvres sur mon bourgeon, j'entre en transe, je ne peux plus me retenir et elle perd le contrôle de ses mains. Rapidement elle me reçoit sans en perdre une goutte. Remise de sa surprise, elle se redresse en souriant :
— Tu es un coquin qui ne sait pas se retenir !... Je t'apprendrais, pour l'instant on va rester tranquillement à faire bronzette.
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