Education Chapitre 3 - Ma tante, mon éducatrice
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Education Chapitre 3 - Ma tante, mon éducatrice
L'après-midi, avec 40° au soleil, la sieste est sacrée. Ma tante m'invite à me reposer dans sa chambre, largement ouverte sur la terrasse
— Passe à la salle de bain pour te rafraîchir, tu verras comme on est bien après sous le ventilateur
A la sortie de la douche je retrouve Jade allongée sur un lit aussi large que long. Face à moi un mur d'armoires à glace renvoie l'image de la chambre avec le corps alangui aux formes pleines. Il est magnifique, rien à voir avec les deux œufs sur le plat ou le ventre des ados que j'ai pu rencontrer Plus âgée que ma mère, avec son fils de 10 ans mon aîné, elle est si belle, elle paraît si jeune. Les bras en croix et les jambes légèrement écartées, elle me sourit et me tend une main :
— Viens Johnny, viens dans mes bras !...
Elle m'enlace, se tourne, à moitié couchée sur moi, son sein s'écrase sur ma poitrine, son ventre s'appuie contre ma hanche, ma main se pose sur sa fesse. On s'embrasse tendrement. Sous ses ronronnements, sa langue me fait découvrir une chorégraphie dans laquelle le temps ne compte pas, bien différente de celle avec mon cousin. Intimidé je la laisse faire, sa main parcourt mon corps comme le ferait un aveugle pour le découvrir.
— J'aime beaucoup ta morphologie, tes courbes graciles, ta peau de bébé.
Je bande déjà comme un jeune loup, elle s'amuse à bouger jusqu'à encastrer mon sexe au creux de son aine. La tension monte rapidement, nos baisers sont plus fougueux, nos caresses plus appuyées. Jade se redresse en appui sur son coude, cambre sa poitrine, elle me regarde dans les yeux en murmurant « Caresse-moi ! ». Je lui prends directement le téton et le presse fort comme pour en faire sortir du lait.
— NON ! TU FAIS MAL! S'exclame-t-elle, puis continue plus calmement. Non John ! Pas comme ça. Je vais t'apprendre à aimer une femme. Sache que les préliminaires sont importants et définissent le résultat final. Il ne faut pas la brutaliser, il faut la magnifier, la chouchouter. Alors tu flattes le sein, tu le palpes doucement, le caresses, l'échauffes ; quand le téton pointe, tu le cajoles, le titilles, le tripotes jusqu'à l'agacer. Reste en accord avec ta partenaire, écoute-la, regarde-la, elle te donnera des signes pour la conduire jusqu'à l'orgasme... Écoute sa respiration s'accélérer, devenir haletante. A ce moment, en chuchotant, les yeux fermés, elle m'explique ce qu'elle ressent
— Oh ouiiii, comme ça, mon Chéri ! C'est bon, regarde comme mon téton durcit... Oui, pince le, tire-le, tord-le... Oh oui, comme ça, c'est bon, plus fort ! Alors elle se relève un peu plus et pose son sein sur mes lèvres. Embrasse-moi ! Tète-moi !
Son nichon est lourd, mes lèvres se collent au mamelon et j'aspire le téton, le suce, le mordille.
— Oh oui mon bébé avait faim ! c'est un glouton... Waouh ! Waouh !!! Doucement chouchou... Doucement
Plus calmement, je suçote le bout qui s'allonge comme une tétine. Pris d'une envie incontrôlable, je le mords à nouveau, Jade gémit et s'écroule sur mon visage. Délicatement elle dégage son sein de mes dents et se redresse me faisant voir son globe laiteux à la pointe rouge carmin, semblable à une grosse framboise trop mûre.
— Tu es un vorace... Tu vas voir !
Elle me regarde d'un air coquin, toujours en appui sur son coude, à son tour elle me prend le téton et tout de suite le pince très fort, le roule, le tire, le tourne. Elle m'observe, me sourit jusqu'au moment où je crispe les paupières dans une longue plainte. Je sens ses lèvres, ses dents me mordre et finalement un bisou, du style ''Tu vois que ça fait mal''. Fière d'elle-même, elle remonte jusqu'à mes lèvres.
Je profite du mouvement pour renverser la situation et la coucher sur le dos. Je continue à lui caresser un sein qui s'aplatit légèrement en s'étalant sur sa poitrine, quand je dessine des ronds concentriques vers la pointe du doigt, j'embrasse l'autre. Mes baisers couvrent la poitrine, descendent dans le vallon jusqu'au nombril, suit les contours de ma langue et glisse sur le pubis.
Mes mains suivent les rondeurs et les courbes puis écartent les cuisses qui n'opposent aucune résistance, bien au contraire en appui sur les pieds, les genoux remontés, les fesses se soulèvent, le mont de Vénus s'élève. Le fruit est mûr, reste à le cueillir.
J'ai sous les yeux, un sexe de femme, rien à voir avec l'abricot fendu des gamines. La faille est profonde, bordée de lèvres en forme de vagues. Mes doigts sont aux creux de l'aine comme pour protéger le fruit désiré, pour l'éclater. Je donne un coup de langue sur toute la longueur de la crevasse, puis avec minutie ma langue, tel un socle de charrue, fouille les lèvres, atteint la fente du vagin, découvre le goût de la femme, le goût acide de la femelle. Je butte sur le bourgeon que je suce avec gourmandise. Jade miaule de plaisir, son bassin se met en mouvement
— Oh mon chéri, si tu n'as jamais sucé une femme, t'as de vraies dispositions... Mais viens qu'on se fasse un 69.
Ainsi en levrette, elle commence à me lécher, étire le prépuce et titille le frein et le méat, en même temps elle me tripote les olives, puis me donne quelques coups de langues sur la tige, elle branle un peu le manche avant d'emboucher le gland. Ces taquineries m'énervent et en même temps je suis désireux de cette bouche, de ces manières différentes de celles de mon amant, moins brutales, moins gourmandes. Ma queue est aspirée jusqu'à sa base, la pointe touche le fond de sa gorge. Elle commence alors un va-et-vient en variant, rythme, pression des lèvres ou des dents.
Pendant ce temps, je continue à butiner son sexe, les lèvres écartées sur les côtés, le bourgeon décalotté. Je branle le clito, lape le fruit mis à nu, plonge dans la fente. Je vais au plus profond du coquillage, je l'embrasse à pleine bouche, je m'enivre de son jus, légèrement salé, acide, fluide, si différent du sperme.
— Viens mon chéri. Prends-moi !
Je me sens maladroit, je n'ai jamais fait l'amour, on m'a fait l'amour, oui Alain m'a baisé mais ne m'a jamais pris comme ça. Alors je me couche sur elle et la fais sourire, elle me repousse gentiment « Rester en appui sur tes genoux et tes coudes, ne m'écrase pas ! »... Elle se moque gentiment de moi « Tu es trop mignon, viens plus près ». et pointe ma queue dans son vagin. J'y plonge comme dans un paquet de ouate mouillé. Quelle merveilleuse sensation !
— Oui voilà comme ça, dit-elle en appliquant ses deux mains sur mes fesses. Je commence à la forniquer mécaniquement quand elle chuchote. Doucement mon chéri... Fais comme si tu étais sur un dromadaire... Oui comme ça, c'est mieux.
Elle passe ses jambes autour des miennes et m'enlace. Nous sommes soudés l'un à l'autre, seuls nos bassins s'écartent et reviennent et... Je m'oublie.
— Doucement ! Contrôle-toi !... Ne jouis pas tout de suite ou je te tape ! Dit-elle en rigolant.
J'écrase sa poitrine, on s'embrasse à pleine bouche. Ses mains sur mes fesses suivent mon balancement plus que ne le contrôlent, son coït est semblable à une danse du ventre. Son vagin se contracte, se relâche, comme Alain me l'a appris... Je m'emballe, je sens la jouissance monter, je veux ralentir mais trop tard, j'explose, je l'inonde, pas sûr qu'elle le sente sauf que je perds déjà de la vigueur. Ses mains se crispent, ses ongles se plantent dans mes fesses, ses jambes se crispent et me pressent plus fort, son bassin s'élève
— Attends, attends, gémit-elle. Laisse-moi faire mon Chéri.
Elle continue à bouger seule, elle monte seule au Nirvana, nos ventres restent soudés, elle contracte son vagin sur mon sexe ramolli. Elle ne m'embrasse plus, tout son corps se tend, vibre, sa respiration s'accélère et finalement se bloque en un long soupir AAAAAHHH !... Puis c'est le silence, son corps se relâche, sa respiration ralentit, elle me repousse, me fait basculer sur le côté. Elle semble dormir.
— Oh mon chéri !... Dommage que tu m'aies lâchée. Je t'apprendrai à te retenir. Tu sais l'amour au féminin est douceur, sensibilité, attention, écoute de l'autre tandis qu'au masculin c'est plutôt force, jouissance animale...
« Je te ferai découvrir toutes les positions. Chacune excite des zones différentes pour satisfaire ta partenaire. Moi je suis plutôt vaginale d'autres seront clitoridiennes.
« Tu découvriras comme les sexes féminins sont différents, de forme, de goût, de comportement. Tout est caché, tout est secret, à chaque fois tout est à découvrir contrairement au sexe de l'homme où tout visible, on sait plus ou moins à quoi s'attendre.
« Le tien est mignon, il a toutes les qualités de la jeunesse, la fougue et la récupération... Regarde comme tu bandes à nouveau ! En moi-même je pense ''Normal'', tu n'arrêtes pas de me toucher.
« Viens ! Que je m'en régale et toi nettoie ma chatte, goûte ton sperme mélangé à mon jus, Alain m'a dit que tu étais un assoiffé et j'adore qu'on me nettoie ainsi.
Le rappel de mes relations avec son fils me gêne un peu et je me retrouve en levrette sur Jade comme il y a quelques jours sur Alain à me faire sucer la queue et trifouiller la pastille. Elle m'exhibe son entrejambe moite et humide, avec des coulures suspectes, au milieu duquel s'ouvre un sexe aux lèvres chiffonnées, au vagin rougeaud et plein de mouille.
L'indécence, la vue, l'odeur font que je suis pris d'une violente envie de luxure, de stupre. Je plonge mon groin dans cette auge, ma bouche sur cette blessure, je lèche, je suce, je nettoie la gamelle à pleine bouche, je me régale du mélange que je trouve. En moins de deux, le plus gros est avalé, j'embrasse alors tendrement le ventre devenu presque propre. Je lèche le clito, le branle doucement, découvre le bouton que je suce comme un bonbon. J'avale les lèvres, les aspire, les nettoie soigneusement. Ma langue glisse entre elles, telle une lame elle passe dans le vagin, j'y retrouve le cocktail de nos amours. Les gémissements de ma tante m'indiquent que je fais bien.
— C'est délicieux mon Chéri comme tu fais. Maintenant, viens découvrir les secrets de ma caverne, là où ta langue ne peut aller, mais où la femme aime qu'on la caresse. Laisse-moi te guider ... Tu me mets deux doigts dans la chatte... Ouais comme ça. Découvre les parois, tu sens comme c'est moelleux et mouillé ... Oui doucement, tourne autour, reviens vers le haut, vers le clito, là ! Oui pose bien tes doigts... Un peu plus bas, doucement, tu sens comme c'est légèrement enflé, comme la peau est un peu moins douce. Oh oui ! Là! Là ! Caresse-moi, sois très doux. Oh ooui ! Comme ça, c'est bon ... Tu touches le point G, c'est hyper-sensible, je crois que c'est le point où tous les nerfs se réunissent pour former le clito ... OHHH, continue et maintenant change de rythme, un peu plus vite, surtout du bout des doigts. NON ! N'appuie pas trop fort, Toujours avec la pulpe de tes doigts, attention à tes ongles... Vas-y ! tu sais tout, je laisse faire ton imagination et fais-moi jouir, tu peux varier, quitter le point pour y revenir, me sucer, me caresser ...
« Oui c'est ça, prends-moi le clito avec tes dents maintenant il est excité, tu peux y aller plus fort sans faire mal ... Oui avec le bout de la langue, garde-le ainsi et remets tes doigts sur mon point G, les deux ensemble ... C'est fou, oui branle-moi la chatte, vite, fort, fort, oh n'arrête pas . Tu sens comme je mouille ... C'est bon ... AHHHH !!!
Sa respiration est rapide, bruyante, elle ne cesse de gémir. Sa chatte déborde de jouissance, je goûte sa mouille, elle est moins acide, plus douce que mon sperme. Ma langue, mes doigts se complètent dans leurs caresses sur et dans ce coquillage, ce calice, ce puits d'amour.
Jade se remet en mouvement et me dit :
— Viens je vais te faire l'amour, allonge-toi sur le dos et laisse-moi faire.
Je pivote sur le côté au milieu du lit offrant fièrement mon mât d'artimon. Elle chevauche mon ventre, et s'empale d'un coup. Couchée sur moi, elle m'embrasse, ne bouge pas, seul son vagin se contacte en séquence. Elle murmure « Ne jouis pas ! ».
Elle se relève, s'assied sur mon ventre, en appuie sur ma poitrine, elle me sourit, d'un rire coquin et prometteur. Elle commence à bouger lentement, accélère sa chevauchée... Elle passe du trop au galop, revient au pas. Elle me regarde fixement, je lui souris du style ''tout va bien'' et elle repart en une chevauchée effrénée. Ses seins se ballottent lourdement, je les soutiens à deux mains, les presse, les redresser. Ils bandent avec leurs aréoles contractées et leurs tétons granulés.
Elle m'observe, son allure se cale sur mes réactions, puis elle ferme les yeux, son visage se tend, la bouche grande ouverte, elle bascule en arrière, sa chevelure tombe sur mes cuisses, ses mains s'appuient sur mes genoux, ses seins jaillissent au sommet de son corps arqué. Je la tiens par les hanches, je vois son clito pointer, sa chatte coulisser sur ma queue. Le rythme s'accélère, elle grogne, je sens mon sperme bouillonner au fond de mon ventre, je ne peux plus rien faire, tout va très vite, je gicle, une, deux fois. Jade ne danse plus, elle émet un long feulement et tombe en arrière. Nos sexes se déboitent et dans l'instant, elle revient sur moi en les accouplant à nouveau, se couche et m'embrasse à pleine bouche.
— Oh mon chéri, que c'était bon de jouir ensemble !... Elle pèse de tout son poids, ses bras au dessus de ma tête, mes mains sur ses fesses. Regarde-nous dans le miroir... Elle est très belle, les cheveux en bataille, son seins écrasé sur ma poitrine, son cul rebondi et sa jambe encadrant la mienne. Tu es un amant délicieux, je vais t'apprendre plein de choses...
— Passe à la salle de bain pour te rafraîchir, tu verras comme on est bien après sous le ventilateur
A la sortie de la douche je retrouve Jade allongée sur un lit aussi large que long. Face à moi un mur d'armoires à glace renvoie l'image de la chambre avec le corps alangui aux formes pleines. Il est magnifique, rien à voir avec les deux œufs sur le plat ou le ventre des ados que j'ai pu rencontrer Plus âgée que ma mère, avec son fils de 10 ans mon aîné, elle est si belle, elle paraît si jeune. Les bras en croix et les jambes légèrement écartées, elle me sourit et me tend une main :
— Viens Johnny, viens dans mes bras !...
Elle m'enlace, se tourne, à moitié couchée sur moi, son sein s'écrase sur ma poitrine, son ventre s'appuie contre ma hanche, ma main se pose sur sa fesse. On s'embrasse tendrement. Sous ses ronronnements, sa langue me fait découvrir une chorégraphie dans laquelle le temps ne compte pas, bien différente de celle avec mon cousin. Intimidé je la laisse faire, sa main parcourt mon corps comme le ferait un aveugle pour le découvrir.
— J'aime beaucoup ta morphologie, tes courbes graciles, ta peau de bébé.
Je bande déjà comme un jeune loup, elle s'amuse à bouger jusqu'à encastrer mon sexe au creux de son aine. La tension monte rapidement, nos baisers sont plus fougueux, nos caresses plus appuyées. Jade se redresse en appui sur son coude, cambre sa poitrine, elle me regarde dans les yeux en murmurant « Caresse-moi ! ». Je lui prends directement le téton et le presse fort comme pour en faire sortir du lait.
— NON ! TU FAIS MAL! S'exclame-t-elle, puis continue plus calmement. Non John ! Pas comme ça. Je vais t'apprendre à aimer une femme. Sache que les préliminaires sont importants et définissent le résultat final. Il ne faut pas la brutaliser, il faut la magnifier, la chouchouter. Alors tu flattes le sein, tu le palpes doucement, le caresses, l'échauffes ; quand le téton pointe, tu le cajoles, le titilles, le tripotes jusqu'à l'agacer. Reste en accord avec ta partenaire, écoute-la, regarde-la, elle te donnera des signes pour la conduire jusqu'à l'orgasme... Écoute sa respiration s'accélérer, devenir haletante. A ce moment, en chuchotant, les yeux fermés, elle m'explique ce qu'elle ressent
— Oh ouiiii, comme ça, mon Chéri ! C'est bon, regarde comme mon téton durcit... Oui, pince le, tire-le, tord-le... Oh oui, comme ça, c'est bon, plus fort ! Alors elle se relève un peu plus et pose son sein sur mes lèvres. Embrasse-moi ! Tète-moi !
Son nichon est lourd, mes lèvres se collent au mamelon et j'aspire le téton, le suce, le mordille.
— Oh oui mon bébé avait faim ! c'est un glouton... Waouh ! Waouh !!! Doucement chouchou... Doucement
Plus calmement, je suçote le bout qui s'allonge comme une tétine. Pris d'une envie incontrôlable, je le mords à nouveau, Jade gémit et s'écroule sur mon visage. Délicatement elle dégage son sein de mes dents et se redresse me faisant voir son globe laiteux à la pointe rouge carmin, semblable à une grosse framboise trop mûre.
— Tu es un vorace... Tu vas voir !
Elle me regarde d'un air coquin, toujours en appui sur son coude, à son tour elle me prend le téton et tout de suite le pince très fort, le roule, le tire, le tourne. Elle m'observe, me sourit jusqu'au moment où je crispe les paupières dans une longue plainte. Je sens ses lèvres, ses dents me mordre et finalement un bisou, du style ''Tu vois que ça fait mal''. Fière d'elle-même, elle remonte jusqu'à mes lèvres.
Je profite du mouvement pour renverser la situation et la coucher sur le dos. Je continue à lui caresser un sein qui s'aplatit légèrement en s'étalant sur sa poitrine, quand je dessine des ronds concentriques vers la pointe du doigt, j'embrasse l'autre. Mes baisers couvrent la poitrine, descendent dans le vallon jusqu'au nombril, suit les contours de ma langue et glisse sur le pubis.
Mes mains suivent les rondeurs et les courbes puis écartent les cuisses qui n'opposent aucune résistance, bien au contraire en appui sur les pieds, les genoux remontés, les fesses se soulèvent, le mont de Vénus s'élève. Le fruit est mûr, reste à le cueillir.
J'ai sous les yeux, un sexe de femme, rien à voir avec l'abricot fendu des gamines. La faille est profonde, bordée de lèvres en forme de vagues. Mes doigts sont aux creux de l'aine comme pour protéger le fruit désiré, pour l'éclater. Je donne un coup de langue sur toute la longueur de la crevasse, puis avec minutie ma langue, tel un socle de charrue, fouille les lèvres, atteint la fente du vagin, découvre le goût de la femme, le goût acide de la femelle. Je butte sur le bourgeon que je suce avec gourmandise. Jade miaule de plaisir, son bassin se met en mouvement
— Oh mon chéri, si tu n'as jamais sucé une femme, t'as de vraies dispositions... Mais viens qu'on se fasse un 69.
Ainsi en levrette, elle commence à me lécher, étire le prépuce et titille le frein et le méat, en même temps elle me tripote les olives, puis me donne quelques coups de langues sur la tige, elle branle un peu le manche avant d'emboucher le gland. Ces taquineries m'énervent et en même temps je suis désireux de cette bouche, de ces manières différentes de celles de mon amant, moins brutales, moins gourmandes. Ma queue est aspirée jusqu'à sa base, la pointe touche le fond de sa gorge. Elle commence alors un va-et-vient en variant, rythme, pression des lèvres ou des dents.
Pendant ce temps, je continue à butiner son sexe, les lèvres écartées sur les côtés, le bourgeon décalotté. Je branle le clito, lape le fruit mis à nu, plonge dans la fente. Je vais au plus profond du coquillage, je l'embrasse à pleine bouche, je m'enivre de son jus, légèrement salé, acide, fluide, si différent du sperme.
— Viens mon chéri. Prends-moi !
Je me sens maladroit, je n'ai jamais fait l'amour, on m'a fait l'amour, oui Alain m'a baisé mais ne m'a jamais pris comme ça. Alors je me couche sur elle et la fais sourire, elle me repousse gentiment « Rester en appui sur tes genoux et tes coudes, ne m'écrase pas ! »... Elle se moque gentiment de moi « Tu es trop mignon, viens plus près ». et pointe ma queue dans son vagin. J'y plonge comme dans un paquet de ouate mouillé. Quelle merveilleuse sensation !
— Oui voilà comme ça, dit-elle en appliquant ses deux mains sur mes fesses. Je commence à la forniquer mécaniquement quand elle chuchote. Doucement mon chéri... Fais comme si tu étais sur un dromadaire... Oui comme ça, c'est mieux.
Elle passe ses jambes autour des miennes et m'enlace. Nous sommes soudés l'un à l'autre, seuls nos bassins s'écartent et reviennent et... Je m'oublie.
— Doucement ! Contrôle-toi !... Ne jouis pas tout de suite ou je te tape ! Dit-elle en rigolant.
J'écrase sa poitrine, on s'embrasse à pleine bouche. Ses mains sur mes fesses suivent mon balancement plus que ne le contrôlent, son coït est semblable à une danse du ventre. Son vagin se contracte, se relâche, comme Alain me l'a appris... Je m'emballe, je sens la jouissance monter, je veux ralentir mais trop tard, j'explose, je l'inonde, pas sûr qu'elle le sente sauf que je perds déjà de la vigueur. Ses mains se crispent, ses ongles se plantent dans mes fesses, ses jambes se crispent et me pressent plus fort, son bassin s'élève
— Attends, attends, gémit-elle. Laisse-moi faire mon Chéri.
Elle continue à bouger seule, elle monte seule au Nirvana, nos ventres restent soudés, elle contracte son vagin sur mon sexe ramolli. Elle ne m'embrasse plus, tout son corps se tend, vibre, sa respiration s'accélère et finalement se bloque en un long soupir AAAAAHHH !... Puis c'est le silence, son corps se relâche, sa respiration ralentit, elle me repousse, me fait basculer sur le côté. Elle semble dormir.
— Oh mon chéri !... Dommage que tu m'aies lâchée. Je t'apprendrai à te retenir. Tu sais l'amour au féminin est douceur, sensibilité, attention, écoute de l'autre tandis qu'au masculin c'est plutôt force, jouissance animale...
« Je te ferai découvrir toutes les positions. Chacune excite des zones différentes pour satisfaire ta partenaire. Moi je suis plutôt vaginale d'autres seront clitoridiennes.
« Tu découvriras comme les sexes féminins sont différents, de forme, de goût, de comportement. Tout est caché, tout est secret, à chaque fois tout est à découvrir contrairement au sexe de l'homme où tout visible, on sait plus ou moins à quoi s'attendre.
« Le tien est mignon, il a toutes les qualités de la jeunesse, la fougue et la récupération... Regarde comme tu bandes à nouveau ! En moi-même je pense ''Normal'', tu n'arrêtes pas de me toucher.
« Viens ! Que je m'en régale et toi nettoie ma chatte, goûte ton sperme mélangé à mon jus, Alain m'a dit que tu étais un assoiffé et j'adore qu'on me nettoie ainsi.
Le rappel de mes relations avec son fils me gêne un peu et je me retrouve en levrette sur Jade comme il y a quelques jours sur Alain à me faire sucer la queue et trifouiller la pastille. Elle m'exhibe son entrejambe moite et humide, avec des coulures suspectes, au milieu duquel s'ouvre un sexe aux lèvres chiffonnées, au vagin rougeaud et plein de mouille.
L'indécence, la vue, l'odeur font que je suis pris d'une violente envie de luxure, de stupre. Je plonge mon groin dans cette auge, ma bouche sur cette blessure, je lèche, je suce, je nettoie la gamelle à pleine bouche, je me régale du mélange que je trouve. En moins de deux, le plus gros est avalé, j'embrasse alors tendrement le ventre devenu presque propre. Je lèche le clito, le branle doucement, découvre le bouton que je suce comme un bonbon. J'avale les lèvres, les aspire, les nettoie soigneusement. Ma langue glisse entre elles, telle une lame elle passe dans le vagin, j'y retrouve le cocktail de nos amours. Les gémissements de ma tante m'indiquent que je fais bien.
— C'est délicieux mon Chéri comme tu fais. Maintenant, viens découvrir les secrets de ma caverne, là où ta langue ne peut aller, mais où la femme aime qu'on la caresse. Laisse-moi te guider ... Tu me mets deux doigts dans la chatte... Ouais comme ça. Découvre les parois, tu sens comme c'est moelleux et mouillé ... Oui doucement, tourne autour, reviens vers le haut, vers le clito, là ! Oui pose bien tes doigts... Un peu plus bas, doucement, tu sens comme c'est légèrement enflé, comme la peau est un peu moins douce. Oh oui ! Là! Là ! Caresse-moi, sois très doux. Oh ooui ! Comme ça, c'est bon ... Tu touches le point G, c'est hyper-sensible, je crois que c'est le point où tous les nerfs se réunissent pour former le clito ... OHHH, continue et maintenant change de rythme, un peu plus vite, surtout du bout des doigts. NON ! N'appuie pas trop fort, Toujours avec la pulpe de tes doigts, attention à tes ongles... Vas-y ! tu sais tout, je laisse faire ton imagination et fais-moi jouir, tu peux varier, quitter le point pour y revenir, me sucer, me caresser ...
« Oui c'est ça, prends-moi le clito avec tes dents maintenant il est excité, tu peux y aller plus fort sans faire mal ... Oui avec le bout de la langue, garde-le ainsi et remets tes doigts sur mon point G, les deux ensemble ... C'est fou, oui branle-moi la chatte, vite, fort, fort, oh n'arrête pas . Tu sens comme je mouille ... C'est bon ... AHHHH !!!
Sa respiration est rapide, bruyante, elle ne cesse de gémir. Sa chatte déborde de jouissance, je goûte sa mouille, elle est moins acide, plus douce que mon sperme. Ma langue, mes doigts se complètent dans leurs caresses sur et dans ce coquillage, ce calice, ce puits d'amour.
Jade se remet en mouvement et me dit :
— Viens je vais te faire l'amour, allonge-toi sur le dos et laisse-moi faire.
Je pivote sur le côté au milieu du lit offrant fièrement mon mât d'artimon. Elle chevauche mon ventre, et s'empale d'un coup. Couchée sur moi, elle m'embrasse, ne bouge pas, seul son vagin se contacte en séquence. Elle murmure « Ne jouis pas ! ».
Elle se relève, s'assied sur mon ventre, en appuie sur ma poitrine, elle me sourit, d'un rire coquin et prometteur. Elle commence à bouger lentement, accélère sa chevauchée... Elle passe du trop au galop, revient au pas. Elle me regarde fixement, je lui souris du style ''tout va bien'' et elle repart en une chevauchée effrénée. Ses seins se ballottent lourdement, je les soutiens à deux mains, les presse, les redresser. Ils bandent avec leurs aréoles contractées et leurs tétons granulés.
Elle m'observe, son allure se cale sur mes réactions, puis elle ferme les yeux, son visage se tend, la bouche grande ouverte, elle bascule en arrière, sa chevelure tombe sur mes cuisses, ses mains s'appuient sur mes genoux, ses seins jaillissent au sommet de son corps arqué. Je la tiens par les hanches, je vois son clito pointer, sa chatte coulisser sur ma queue. Le rythme s'accélère, elle grogne, je sens mon sperme bouillonner au fond de mon ventre, je ne peux plus rien faire, tout va très vite, je gicle, une, deux fois. Jade ne danse plus, elle émet un long feulement et tombe en arrière. Nos sexes se déboitent et dans l'instant, elle revient sur moi en les accouplant à nouveau, se couche et m'embrasse à pleine bouche.
— Oh mon chéri, que c'était bon de jouir ensemble !... Elle pèse de tout son poids, ses bras au dessus de ma tête, mes mains sur ses fesses. Regarde-nous dans le miroir... Elle est très belle, les cheveux en bataille, son seins écrasé sur ma poitrine, son cul rebondi et sa jambe encadrant la mienne. Tu es un amant délicieux, je vais t'apprendre plein de choses...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Cyrille
Facile a écrire quand on vit intensément son histoire
Facile a écrire quand on vit intensément son histoire
Wouawwww
Quelle écriture fine, quelle histoire excitante, j'adore
Cyrille
Quelle écriture fine, quelle histoire excitante, j'adore
Cyrille