Education Chapitre 4 - Avec ma tante et sa copine
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 19 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de John62 ont reçu un total de 70 418 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2024 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 3 690 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Education Chapitre 4 - Avec ma tante et sa copine
Un bavardage provenant de la terrasse me réveille. Au travers des volets le soleil illumine la chambre, celle de ma tante où je me suis endormi. Je reconnais la voix de Jade, elle discute probablement avec la copine dont elle m'a parlée. Je me sens bien ainsi nu au dessus des draps, je prélasse encore un moment sous le ventilo. Je souris à celui qui me fait face dans le miroir de l'armoire à glace... Je me revois dans les bras de celle qui m'append à aimer les femmes.
Après cet instant de rêverie, je me lève, me douche et enfile tee-shirt et maillot de bain. Je retrouve sur la terrasse Jade juste en slip en compagnie d'une femme en petite robe qui me tournent le dos.
— Bonjour ! dis-je d'une voix fluette en arrivant par derrière elles
— Bonjour Johnny !... S'exclame ma tante en se retournant la main tendue vers moi. Viens mon chéri que je te présente Joyce, la maman de Martine, la femme d'Alain.
L'invitée s'empresse de rabattre les pans de sa robe qui dévoilaient le gras de ses cuisses. C'est une jolie brune aux longs cheveux qui lui couvrent les épaules, bien en chair, grande, peut-être un peu plus âgée que Jade, mais qu'est-ce que ça veut dire ? Quand celle-ci à 50 ans n'en paraît pas 40 ! Elle a la peau mate, très bronzée, de grands yeux verts et une bouche pulpeuse.
— Joyce ! Voici John mon neveu dont je t'ai parlé, il est mignon à croquer et entre nous, pas de gêne !... Je vais pour embrasser poliment ma tante sur les joues quand elle tourne vivement la tête et me fait un bisou sur les lèvres en murmurant : Pas de gêne, j'ai dit !, puis elle ajoute à peine audible : Tu lui dis bonjour...
— Bonjour Joyce, très heureux de vous rencontrer, que je bafouille tout intimidé par cette femme qui ne cache pas grand chose de sa personne surtout pas l'opulence de sa poitrine...
— Bonjour John !...Elle sourit, me regarde d'un air intéressé, me prend la main et me tire à elle : Et à moi on ne fait pas la bise ? Là encore elle me saisit la nuque et m'embrasse du bout des lèvres.
S'amusant de la situation, ma tante pousse encore plus loin le bouchon, elle se lève en quittant son slip et s'exclamant
— Vive la vie au grand air ! Mettez-vous à l'aise et faites connaissance tous les deux. J'vais préparer le p'tit dèj, Joyce, j'te fais un café ?
Et déjà ma tante entre dans la maison, en chantonnant et se déhanchant. Joyce se lève pour s'asseoir sur la balancelle tout en quittant sa robe. D'un coup elle est nue et se montre intégralement bronzée et sacrément bien foutue, même si un peu grassouillette. Elle rentre son bidon, bombe le torse pour se faire voir sous ses plus belles formes.
— Tiens Johnny, tirons cette table jusqu'à la balancelle nous serons mieux à l'ombre
Une fois sous l'arbre, Joyce s'affale sur les coussins, cuisses ouvertes exposant au creux de son ventre rebondi son sexe épilé, une longue crête de chair. Ses seins plus gros que ceux de Jade s'étalent un peu et révèlent de larges aréoles bien plus sombres. Pour ne pas être en reste ou ne pas paraître pudibond, je quitte tee-shirt et maillot, un peu gêné par mon érection, ce qui ne la perturbe pas du tout de la manière dont elle me sourit
— Viens près de moi ! Mon p'tit homme, me dit-elle en tapant sur le coussin à son côté.
A peine assis qu'elle se rapproche de moi jusqu'à me coller, les yeux fixés sur mon ventre. Ma peau est blanche à côté de la sienne et ma cuisse maigrelette. Elle me prend par l'épaule, me presse contre son sein. Je me sens gêné, je tente de garder mes distances. Elle me regarde intensément, elle me caresse la joue, le cou, l'épaule, descend sur ma poitrine, sa main tombe au creux de ma cuisse. Je reste immobile. Son doigt devient coquin, suit le creux de l'aine, touche le sexe. Je suis pétrifié, malgré ma retenue nos nez se touchent, sa main retient ma tête, elle m'embrasse du bout des lèvres et murmure « C'est vrai que t'es mignon ! ». Quand sa bouche est sur la mienne, elle prend mon sexe et abaisse d'un coup le prépuce. A ce moment instinctivement j'écarte les cuisses et relève le bassin pour accentuer l'étirement du frein. Alors tout s'enflamme, nos baisers, nos caresses... C'est Jade qui nous rappelle à l'ordre :
— Eh bien ! Vous deux, il ne vous a pas fallu longtemps pour faire connaissance... Allez à table, le p'tit déjeuner est servi, vous ferez vos cochonneries plus tard !
Joyce moqueuse, tire à elle ma tante et l'amène à ses genoux en criant :
— Dis donc !... En cochonneries tu t'y entends !... T'es jalouse ? Tu ne partagerais pas ton neveu ? Je suis surpris comme elle s'impose à ma tante et encore plus comme celle-ci répond mielleuse
— Si ma chérie, bien sûr que je te le prêterai. Je pense qu'il saura nous combler toutes les deux mais... Et elle ajoute autoritairement : Pour l'instant à table !
Après ces simagrées, la conversation se poursuit avec franchise et sans tabous, sans mâcher ses mots. Ainsi à la fin du repas Joyce connaît tout de mes frasques avec mon cousin et de notre dernière nuit d'amour, tout comme je sais beaucoup de la copine, une vraie salope, accroc au sexe, à plusieurs de préférence. J'apprends aussi que les deux ont partagé pas mal de coucheries. J'écoute plus que ne parle. A la fin du déjeuner, Jade propose de prendre un dernier café dans le jardin et me demande de le préparer.
Le temps de débarrasser la table et de préparer le plateau avec les trois tasses, je retrouve les deux femmes enlacées sur le canapé à s'embrasser amoureusement. Dès qu'elles me voient elles redeviennent sages. Assis sur le fauteuil face à elles, nous prenons le café mais à peine la tasse déposée que Joyce reprend ma tante par l'épaule et lui roule un patin. Je suis spectateur de leurs amours.
Joyce paraît vraiment être la dominante dans leur relation. Elle la renverse sur le matelas, et ouvre ses cuisses, laissant un pied parterre et posant l'autre sur le siège. Elle, à moitié assise, se vautre entre les jambes largement ouvertes, avec sa tête entre les seins, elle recommence à la bécoter, à lui caresser la poitrine, lui titiller les tétons, les sucer, puis elle se redresse pour l'embrasser à pleine bouche. Je suis sidéré de voir Jade s'offrir ainsi à sa copine. Les deux femmes couchées l'une sur l'autre ne cessent de glousser, Jade pose ses mains sur les fesses de sa copine qui a mis son bras entre leurs corps. Je ne vois rien mais devine tout au balancement des bassins. Ça s'embrasse, ça se branle, ça se dit des mots incompréhensibles, ça rigole, ce sont des ''Ui ! Ui !''...
Joyce se relève d'un coup laissant ma tante inerte. Elle s'assoit sur le gazon et plonge sa tête dans l'entrejambe largement ouverte, sa chevelure noire s'étale sur les cuisses. C'est tout de suite très chaud, aux grognements étouffés répondent des gémissements aigus. Sous mes yeux ébahis, Jade aime cette relation, elle bombe le torse, d'une main elle plaque la tête de son amoureuse à son ventre, de l'autre elle se triture le sein, étire le téton.
Leur relation est brûlante. Joyce n'entend rien des suppliques de l'autre qui finalement s'abandonne dans un ''Aaaah'' strident suivi d'une longue lamentation. Jade demeure avachie sur le canapé, anéantie, un bras ballant, l'autre sur la poitrine, les jambes écartées offrant une vulve béante et luisante de salive. Joyce assise au sol me regarde souriante, ses cheveux en bataille, son visage congestionné, plein de bave de la pointe du nez au menton. Je la regarde stupéfait, elle me tend la main, je l'aide à se relever. Elle s'accroche à mon cou en s'appuyant contre moi et m'embrasse à pleine bouche
— Goûte comme elle est bonne ! C'est une vraie salope tu sais..
Elle me choque, peut-être volontairement et je pense c'est elle la salope ! Je la sens lourde dans mes bras, c'est la première fois que je tiens une femme replète comme elle. Pourtant elle est si sensuelle comme elle m'embrasse, comme elle écrase ses seins sur mon torse, comme elle presse son ventre sur mon sexe, comme elle bouge pour mieux me sentir et là, je me rebiffe
— Et toi, tu es une grosse cochonne ! Elle éclate de rire
A ce moment, Jade sort de son état de béatitude, elle se relève et murmure, « Venez à l'intérieur nous serons plus à l'aise ». Les deux femmes m'encadrent et nous entrons directement dans la chambre depuis la terrasse.
— Voilà le lit des amours incestueuses ! S'exclame Joyce en voyant la couche défaite et les deux oreillers marqués de l'empreinte de nos têtes.
Tandis que ma tante met en route le ventilo, Joyce me tire sur le lit en m'entraînant sur elle, ses bras et ses jambes m'enlacent telles de tentacules. Mon corps s'imprime dans le sien. Elle m'embrasse à nouveau à pleine bouche quand Jade nous rejoint et nous enlace tous les deux. Elle me prend par une épaule, son pied s'accroche à mon mollet, elle se colle à nous, je sens son ventre contre ma hanche. Telle une gourgandine, elle se mêle à notre baiser, mes lèvres passent sur les siennes et en fin de compte celles de Joyce s'imposent. Notre trio roule, je vire sur le dos et me retrouve allongé à côté de ma tante, Joyce est couchée sur nous, elle nous tient ensemble par les épaules. Au milieu des baisers j'entends « Tu veux jouer à trois ? » Un miaulement de Jade suffit pour que Joyce nous lâche et se mette tête-bêche.
La gourmande me chevauche et me suce. Sous son bidon rebondi, pendent deux escalopes grillées par le soleil, je les écarte, les ouvre comme un livre et découvre une chair rosée, humide, rouge sur la fente, les lèvres se rejoignent en une colonne épaisse couronnée d'un bouton décalotté semblable à une fraise des bois. L'image est fugitive, le sexe se colle à ma bouche, les cuisses et le ventre à mon visage. Mon nez s'enfonce dans la bedaine, son bourgeon est sur ma lèvre et ma bouche sur sa chair lisse pleine d'une mouille acre et forte en goût. Ma langue s'active dans la fente, je me régale de l'élixir qui coule, elle remonte sur la tige et là c'est la femme qui s'impose. Son clito telle une bite s'agite et se fait sucer quand sa vulve continue de couler sur mon menton, elle m'étouffe. C'est alors que Jade me bouscule, elle glisse sa main sur mes lèvres, éloigne le ventre qui m'écrase et grogne « Laisse-moi faire ! »
Alors que je suis fâché de cette irruption, les deux femmes se sont comprises. En un mouvement coordonné, Joyce s'écarte sur le côté et Jade s'allonge perpendiculairement à nous deux pour former un triangle, sa tête entre les cuisse de sa copine et la mienne dans la fourche de ses jambes. C'est mon premier pas dans le triolisme avec des femmes, me faire sucer par l'une et gougnotter l'autre.
Dans un 69 à deux il y a un échange, des réactions partagées, à trois c'est tout différent, on n'a pas la réponse à sa caresse, à sa morsure ou son baiser. Seuls les soupirs, les geignements sont les réponses et les miaulements se multiplient. Il ne faut pas longtemps pour que Joyce sente que je m'abandonne, que mon balancement s'accélère, elle me repousse brutalement et se redresse en grognant « Tu vas pas nous lâcher si tôt ! » Elle m'abandonne un peu mécontente et chevauche Jade à son tour.
Allongé au bord du lit, je me retrouve spectateur du fessier dodu de Joyce simulant la marche du chameau au dessus du visage de ma tante. En même temps je suis si près d'elle que je vois ses yeux fermés. Après un moment Jade sent ma présence, peut-être par ma respiration, elle ouvre les yeux, tout en continuant à lutiner sa copine. Elle a ses deux mains qui écartent le fessier, et montrent la large pastille sombre qui s'enfonce au milieu. Je comprends de suite l'intention.
A genoux à la tête du lit je touche l'anus et reçois immédiatement une supplique de Joyce « Oh ! Oui, viens ». Alors sous les yeux de ma tante qui continue à lui bouffer la chatte, je lui lèche la raie, lui trifouille le trou du cul, à plusieurs reprises le badigeonne de salive, je masse l'oignon en l'enfonçant avant de la doigter bien profond. La coquine me tend les fesses, elle est souple et habituée à la chose. Alors je me positionne mieux, je bande comme un âne et je l'encule sans difficulté sous un petit cri de plaisir. En deux coups je l'enfile jusqu'à la garde et tout de suite lui laboure le sphincter.
Nous sommes tous les trois en symbiose. C'est à ce moment que je sens la bouche de ma tante sur mes couilles. un ou deux doigts dans le vagin me toucher la bite au travers de la fine membrane qui nous sépare. On entend aussi Joyce jurer « Oh Ouais ! Baiser moi ensemble ». Je ne sais pas ce que fout Jade mais ce sont au moins trois doigts qui s'agitent dans la chatte. Et alors que je la sodomise elle grogne « Oh Ouais ! Chérie c'est bon comme tu me branles ! » Elle bouge un peu et grogne à nouveau « Baisez moi tous les deux ! ».
Jade tient sa copine au ventre et me pousse à me lever, Je me redresse sur mes pieds, accroupi, appuyé sur le fessier, sans "déculer". Le bras de ma tante se place entre mes cuisses et je vois quatre doigts puis la main entière plonger dans la vulve c'est tout le poing qui est avalé.
Le poignet façonne, assouplit la vulve qui l'enserre, les deux babines lèchent le bras qui commence un va-et-vient. Je suis ébahi par ce poignet qui se couvre de mouille, par ce regard malicieux, par ce trou du cul défoncé. L'image renvoyée par le miroir est troublante. Joyce est à quatre pattes sur Jade couchée sur le lit et je suis comme une grenouille à les chevaucher. La bougresse est emmanchée sur le bras de Jade et je la sodomise. Je sens le poing fermé de ma tante sur lequel je coulisse avant qu'il ne se mette à bouger telle une bielle
Notre trio fonctionne à la perfection. Je retombe à genoux, mes couilles sur le bras de ma tante. J'aime comme Joyce contracte son ventre, je me couche sur cette monture étrange, trouve ses mamelles qui se balancent sur le ventre de l'autre drôlesse. Je m'accroche à ses nichons, les malaxe comme le boulanger son pétrin, saisis les tétines qui pointent. Un vent de folie souffle sur notre trio.
J'encule cette salope quand ma tante la fiste. Quand je me retire, Jade lui enfonce le poing puis vice versa ... On s'ajuste pour lui bourrer en même temps ou simultanément le cul et le vagin, les va-et-vient, s'accélèrent s'amplifient ... Chacun trouve son espace dans sa caverne, le vagin s'est agrandi, le cul s'est élargi, Joyce se fait besogner des deux côtés... fort, très fort !!! Mon excitation monte, Joyce ne cesse de gémir :
— Oh oui ! Mes chéris, baisez-moi ensemble... Défonce-moi la chatte et toi ramone-moi bien fion... OH ! Vas-y, vas-y... OHHHH ouiiiiii je jouiiiiiiis !!!
Putain, je ne me contrôle plus, je ne me retiens plus, j'explose, donne un dernier coup de reins et me vide... Quelle femelle !
Peu après, épuisé je tombe sur le côté, Jade la libère de sa main et la repousse de l'autre côté. Chacun dans son monde reprend son souffle, se refait son film accompagné du ronron du ventilo et du chant des cigales. Joyce se retourne, vient entre nous deux, nous "bisouiller". Plus un mot, on profite chacun de son côté du moment partagé, on se repose... Après un moment Jade se lève :
— Je vais préparer le déjeuner, je vous appellerai. Théo nous retrouvera cette après-midi.
Après cet instant de rêverie, je me lève, me douche et enfile tee-shirt et maillot de bain. Je retrouve sur la terrasse Jade juste en slip en compagnie d'une femme en petite robe qui me tournent le dos.
— Bonjour ! dis-je d'une voix fluette en arrivant par derrière elles
— Bonjour Johnny !... S'exclame ma tante en se retournant la main tendue vers moi. Viens mon chéri que je te présente Joyce, la maman de Martine, la femme d'Alain.
L'invitée s'empresse de rabattre les pans de sa robe qui dévoilaient le gras de ses cuisses. C'est une jolie brune aux longs cheveux qui lui couvrent les épaules, bien en chair, grande, peut-être un peu plus âgée que Jade, mais qu'est-ce que ça veut dire ? Quand celle-ci à 50 ans n'en paraît pas 40 ! Elle a la peau mate, très bronzée, de grands yeux verts et une bouche pulpeuse.
— Joyce ! Voici John mon neveu dont je t'ai parlé, il est mignon à croquer et entre nous, pas de gêne !... Je vais pour embrasser poliment ma tante sur les joues quand elle tourne vivement la tête et me fait un bisou sur les lèvres en murmurant : Pas de gêne, j'ai dit !, puis elle ajoute à peine audible : Tu lui dis bonjour...
— Bonjour Joyce, très heureux de vous rencontrer, que je bafouille tout intimidé par cette femme qui ne cache pas grand chose de sa personne surtout pas l'opulence de sa poitrine...
— Bonjour John !...Elle sourit, me regarde d'un air intéressé, me prend la main et me tire à elle : Et à moi on ne fait pas la bise ? Là encore elle me saisit la nuque et m'embrasse du bout des lèvres.
S'amusant de la situation, ma tante pousse encore plus loin le bouchon, elle se lève en quittant son slip et s'exclamant
— Vive la vie au grand air ! Mettez-vous à l'aise et faites connaissance tous les deux. J'vais préparer le p'tit dèj, Joyce, j'te fais un café ?
Et déjà ma tante entre dans la maison, en chantonnant et se déhanchant. Joyce se lève pour s'asseoir sur la balancelle tout en quittant sa robe. D'un coup elle est nue et se montre intégralement bronzée et sacrément bien foutue, même si un peu grassouillette. Elle rentre son bidon, bombe le torse pour se faire voir sous ses plus belles formes.
— Tiens Johnny, tirons cette table jusqu'à la balancelle nous serons mieux à l'ombre
Une fois sous l'arbre, Joyce s'affale sur les coussins, cuisses ouvertes exposant au creux de son ventre rebondi son sexe épilé, une longue crête de chair. Ses seins plus gros que ceux de Jade s'étalent un peu et révèlent de larges aréoles bien plus sombres. Pour ne pas être en reste ou ne pas paraître pudibond, je quitte tee-shirt et maillot, un peu gêné par mon érection, ce qui ne la perturbe pas du tout de la manière dont elle me sourit
— Viens près de moi ! Mon p'tit homme, me dit-elle en tapant sur le coussin à son côté.
A peine assis qu'elle se rapproche de moi jusqu'à me coller, les yeux fixés sur mon ventre. Ma peau est blanche à côté de la sienne et ma cuisse maigrelette. Elle me prend par l'épaule, me presse contre son sein. Je me sens gêné, je tente de garder mes distances. Elle me regarde intensément, elle me caresse la joue, le cou, l'épaule, descend sur ma poitrine, sa main tombe au creux de ma cuisse. Je reste immobile. Son doigt devient coquin, suit le creux de l'aine, touche le sexe. Je suis pétrifié, malgré ma retenue nos nez se touchent, sa main retient ma tête, elle m'embrasse du bout des lèvres et murmure « C'est vrai que t'es mignon ! ». Quand sa bouche est sur la mienne, elle prend mon sexe et abaisse d'un coup le prépuce. A ce moment instinctivement j'écarte les cuisses et relève le bassin pour accentuer l'étirement du frein. Alors tout s'enflamme, nos baisers, nos caresses... C'est Jade qui nous rappelle à l'ordre :
— Eh bien ! Vous deux, il ne vous a pas fallu longtemps pour faire connaissance... Allez à table, le p'tit déjeuner est servi, vous ferez vos cochonneries plus tard !
Joyce moqueuse, tire à elle ma tante et l'amène à ses genoux en criant :
— Dis donc !... En cochonneries tu t'y entends !... T'es jalouse ? Tu ne partagerais pas ton neveu ? Je suis surpris comme elle s'impose à ma tante et encore plus comme celle-ci répond mielleuse
— Si ma chérie, bien sûr que je te le prêterai. Je pense qu'il saura nous combler toutes les deux mais... Et elle ajoute autoritairement : Pour l'instant à table !
Après ces simagrées, la conversation se poursuit avec franchise et sans tabous, sans mâcher ses mots. Ainsi à la fin du repas Joyce connaît tout de mes frasques avec mon cousin et de notre dernière nuit d'amour, tout comme je sais beaucoup de la copine, une vraie salope, accroc au sexe, à plusieurs de préférence. J'apprends aussi que les deux ont partagé pas mal de coucheries. J'écoute plus que ne parle. A la fin du déjeuner, Jade propose de prendre un dernier café dans le jardin et me demande de le préparer.
Le temps de débarrasser la table et de préparer le plateau avec les trois tasses, je retrouve les deux femmes enlacées sur le canapé à s'embrasser amoureusement. Dès qu'elles me voient elles redeviennent sages. Assis sur le fauteuil face à elles, nous prenons le café mais à peine la tasse déposée que Joyce reprend ma tante par l'épaule et lui roule un patin. Je suis spectateur de leurs amours.
Joyce paraît vraiment être la dominante dans leur relation. Elle la renverse sur le matelas, et ouvre ses cuisses, laissant un pied parterre et posant l'autre sur le siège. Elle, à moitié assise, se vautre entre les jambes largement ouvertes, avec sa tête entre les seins, elle recommence à la bécoter, à lui caresser la poitrine, lui titiller les tétons, les sucer, puis elle se redresse pour l'embrasser à pleine bouche. Je suis sidéré de voir Jade s'offrir ainsi à sa copine. Les deux femmes couchées l'une sur l'autre ne cessent de glousser, Jade pose ses mains sur les fesses de sa copine qui a mis son bras entre leurs corps. Je ne vois rien mais devine tout au balancement des bassins. Ça s'embrasse, ça se branle, ça se dit des mots incompréhensibles, ça rigole, ce sont des ''Ui ! Ui !''...
Joyce se relève d'un coup laissant ma tante inerte. Elle s'assoit sur le gazon et plonge sa tête dans l'entrejambe largement ouverte, sa chevelure noire s'étale sur les cuisses. C'est tout de suite très chaud, aux grognements étouffés répondent des gémissements aigus. Sous mes yeux ébahis, Jade aime cette relation, elle bombe le torse, d'une main elle plaque la tête de son amoureuse à son ventre, de l'autre elle se triture le sein, étire le téton.
Leur relation est brûlante. Joyce n'entend rien des suppliques de l'autre qui finalement s'abandonne dans un ''Aaaah'' strident suivi d'une longue lamentation. Jade demeure avachie sur le canapé, anéantie, un bras ballant, l'autre sur la poitrine, les jambes écartées offrant une vulve béante et luisante de salive. Joyce assise au sol me regarde souriante, ses cheveux en bataille, son visage congestionné, plein de bave de la pointe du nez au menton. Je la regarde stupéfait, elle me tend la main, je l'aide à se relever. Elle s'accroche à mon cou en s'appuyant contre moi et m'embrasse à pleine bouche
— Goûte comme elle est bonne ! C'est une vraie salope tu sais..
Elle me choque, peut-être volontairement et je pense c'est elle la salope ! Je la sens lourde dans mes bras, c'est la première fois que je tiens une femme replète comme elle. Pourtant elle est si sensuelle comme elle m'embrasse, comme elle écrase ses seins sur mon torse, comme elle presse son ventre sur mon sexe, comme elle bouge pour mieux me sentir et là, je me rebiffe
— Et toi, tu es une grosse cochonne ! Elle éclate de rire
A ce moment, Jade sort de son état de béatitude, elle se relève et murmure, « Venez à l'intérieur nous serons plus à l'aise ». Les deux femmes m'encadrent et nous entrons directement dans la chambre depuis la terrasse.
— Voilà le lit des amours incestueuses ! S'exclame Joyce en voyant la couche défaite et les deux oreillers marqués de l'empreinte de nos têtes.
Tandis que ma tante met en route le ventilo, Joyce me tire sur le lit en m'entraînant sur elle, ses bras et ses jambes m'enlacent telles de tentacules. Mon corps s'imprime dans le sien. Elle m'embrasse à nouveau à pleine bouche quand Jade nous rejoint et nous enlace tous les deux. Elle me prend par une épaule, son pied s'accroche à mon mollet, elle se colle à nous, je sens son ventre contre ma hanche. Telle une gourgandine, elle se mêle à notre baiser, mes lèvres passent sur les siennes et en fin de compte celles de Joyce s'imposent. Notre trio roule, je vire sur le dos et me retrouve allongé à côté de ma tante, Joyce est couchée sur nous, elle nous tient ensemble par les épaules. Au milieu des baisers j'entends « Tu veux jouer à trois ? » Un miaulement de Jade suffit pour que Joyce nous lâche et se mette tête-bêche.
La gourmande me chevauche et me suce. Sous son bidon rebondi, pendent deux escalopes grillées par le soleil, je les écarte, les ouvre comme un livre et découvre une chair rosée, humide, rouge sur la fente, les lèvres se rejoignent en une colonne épaisse couronnée d'un bouton décalotté semblable à une fraise des bois. L'image est fugitive, le sexe se colle à ma bouche, les cuisses et le ventre à mon visage. Mon nez s'enfonce dans la bedaine, son bourgeon est sur ma lèvre et ma bouche sur sa chair lisse pleine d'une mouille acre et forte en goût. Ma langue s'active dans la fente, je me régale de l'élixir qui coule, elle remonte sur la tige et là c'est la femme qui s'impose. Son clito telle une bite s'agite et se fait sucer quand sa vulve continue de couler sur mon menton, elle m'étouffe. C'est alors que Jade me bouscule, elle glisse sa main sur mes lèvres, éloigne le ventre qui m'écrase et grogne « Laisse-moi faire ! »
Alors que je suis fâché de cette irruption, les deux femmes se sont comprises. En un mouvement coordonné, Joyce s'écarte sur le côté et Jade s'allonge perpendiculairement à nous deux pour former un triangle, sa tête entre les cuisse de sa copine et la mienne dans la fourche de ses jambes. C'est mon premier pas dans le triolisme avec des femmes, me faire sucer par l'une et gougnotter l'autre.
Dans un 69 à deux il y a un échange, des réactions partagées, à trois c'est tout différent, on n'a pas la réponse à sa caresse, à sa morsure ou son baiser. Seuls les soupirs, les geignements sont les réponses et les miaulements se multiplient. Il ne faut pas longtemps pour que Joyce sente que je m'abandonne, que mon balancement s'accélère, elle me repousse brutalement et se redresse en grognant « Tu vas pas nous lâcher si tôt ! » Elle m'abandonne un peu mécontente et chevauche Jade à son tour.
Allongé au bord du lit, je me retrouve spectateur du fessier dodu de Joyce simulant la marche du chameau au dessus du visage de ma tante. En même temps je suis si près d'elle que je vois ses yeux fermés. Après un moment Jade sent ma présence, peut-être par ma respiration, elle ouvre les yeux, tout en continuant à lutiner sa copine. Elle a ses deux mains qui écartent le fessier, et montrent la large pastille sombre qui s'enfonce au milieu. Je comprends de suite l'intention.
A genoux à la tête du lit je touche l'anus et reçois immédiatement une supplique de Joyce « Oh ! Oui, viens ». Alors sous les yeux de ma tante qui continue à lui bouffer la chatte, je lui lèche la raie, lui trifouille le trou du cul, à plusieurs reprises le badigeonne de salive, je masse l'oignon en l'enfonçant avant de la doigter bien profond. La coquine me tend les fesses, elle est souple et habituée à la chose. Alors je me positionne mieux, je bande comme un âne et je l'encule sans difficulté sous un petit cri de plaisir. En deux coups je l'enfile jusqu'à la garde et tout de suite lui laboure le sphincter.
Nous sommes tous les trois en symbiose. C'est à ce moment que je sens la bouche de ma tante sur mes couilles. un ou deux doigts dans le vagin me toucher la bite au travers de la fine membrane qui nous sépare. On entend aussi Joyce jurer « Oh Ouais ! Baiser moi ensemble ». Je ne sais pas ce que fout Jade mais ce sont au moins trois doigts qui s'agitent dans la chatte. Et alors que je la sodomise elle grogne « Oh Ouais ! Chérie c'est bon comme tu me branles ! » Elle bouge un peu et grogne à nouveau « Baisez moi tous les deux ! ».
Jade tient sa copine au ventre et me pousse à me lever, Je me redresse sur mes pieds, accroupi, appuyé sur le fessier, sans "déculer". Le bras de ma tante se place entre mes cuisses et je vois quatre doigts puis la main entière plonger dans la vulve c'est tout le poing qui est avalé.
Le poignet façonne, assouplit la vulve qui l'enserre, les deux babines lèchent le bras qui commence un va-et-vient. Je suis ébahi par ce poignet qui se couvre de mouille, par ce regard malicieux, par ce trou du cul défoncé. L'image renvoyée par le miroir est troublante. Joyce est à quatre pattes sur Jade couchée sur le lit et je suis comme une grenouille à les chevaucher. La bougresse est emmanchée sur le bras de Jade et je la sodomise. Je sens le poing fermé de ma tante sur lequel je coulisse avant qu'il ne se mette à bouger telle une bielle
Notre trio fonctionne à la perfection. Je retombe à genoux, mes couilles sur le bras de ma tante. J'aime comme Joyce contracte son ventre, je me couche sur cette monture étrange, trouve ses mamelles qui se balancent sur le ventre de l'autre drôlesse. Je m'accroche à ses nichons, les malaxe comme le boulanger son pétrin, saisis les tétines qui pointent. Un vent de folie souffle sur notre trio.
J'encule cette salope quand ma tante la fiste. Quand je me retire, Jade lui enfonce le poing puis vice versa ... On s'ajuste pour lui bourrer en même temps ou simultanément le cul et le vagin, les va-et-vient, s'accélèrent s'amplifient ... Chacun trouve son espace dans sa caverne, le vagin s'est agrandi, le cul s'est élargi, Joyce se fait besogner des deux côtés... fort, très fort !!! Mon excitation monte, Joyce ne cesse de gémir :
— Oh oui ! Mes chéris, baisez-moi ensemble... Défonce-moi la chatte et toi ramone-moi bien fion... OH ! Vas-y, vas-y... OHHHH ouiiiiii je jouiiiiiiis !!!
Putain, je ne me contrôle plus, je ne me retiens plus, j'explose, donne un dernier coup de reins et me vide... Quelle femelle !
Peu après, épuisé je tombe sur le côté, Jade la libère de sa main et la repousse de l'autre côté. Chacun dans son monde reprend son souffle, se refait son film accompagné du ronron du ventilo et du chant des cigales. Joyce se retourne, vient entre nous deux, nous "bisouiller". Plus un mot, on profite chacun de son côté du moment partagé, on se repose... Après un moment Jade se lève :
— Je vais préparer le déjeuner, je vous appellerai. Théo nous retrouvera cette après-midi.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par John62
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Cyrille
Très heureux de t'apporter un peu de bonheuren espérant te retrouver sur un autre chapitre
Très heureux de t'apporter un peu de bonheuren espérant te retrouver sur un autre chapitre
Quel bonheur cette lecture
Cyrille
Cyrille