Education Chapitre 6 - Avec mon oncle à la plage

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Education Chapitre 6 - Avec mon oncle à la plage Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Education Chapitre 6 - Avec mon oncle à la plage
Aujourd'hui ma tante sort avec ses copines et me laisse avec mon oncle.
Douche, petit-déjeuner, Théo prend de quoi passer la journée à la plage, crème solaire, boissons et nous voilà sur les vélos en direction de la mer.
Arrivés sur place, nous prenons le bord de l'eau et continuons à rouler sur plus de deux kilomètres jusqu'au moment où on a l'impression d'être seuls au monde, le site est magnifique, la plage est bordée à l'arrière de buissons, de chardons et d'un étang avec une multitude de flamants et de mouettes
Loin des baigneurs nus ou habillés, Théo repère à un endroit tranquille à l'ombre dans les bosquets. L'inconvénient de l'éloignement de la mer est compensé par l'avantage de la solitude.

Mon oncle se déshabille, habitué au naturisme depuis mes vacances en Bretagne je quitte sans problème le maillot. Il installe les serviettes et s'allonge sur le dos.

Même si j'ai eu l'occasion de découvrir hier son bazar, je reste impressionné. Il est très épais et paraît d'autant moins long en reposant sur ses couilles glabres grosses comme une balle de tennis. D'un sourire en coin, il se rend compte de mon admiration et couche l'engin sur son ventre.

— Ici John, on est tranquille, les seuls visiteurs qui peuvent passer, viennent pour voir les oiseaux sur l'étang ou gentiment converser... Tu me mets de la crème s'il te plaît ?

A genoux, assis sur mes talons à la hauteur de sa poitrine je commence à l'enduire d'ambre solaire. Il m'encourage à être plus à l'aise en le chevauchant et je me retrouve assis sur son ventre. Je prends un vrai plaisir à le masser et à sentir sa queue grossir sous moi. Je couvre bien les épaules, je m'attarde sur les pectoraux aux tétons saillants qu'il contracte à plaisir. Ses yeux fermés dans un grand soupir, il murmure :

— Mmmm ! Tu as des mains douces, tu le fais aussi bien qu'une masseuse. Que c'est bon... continue !

Je m'amuse à sentir son gros boudin entre mes fesses et j'accentue mon balancement pour appliquer la crème sur son corps.

— Dis donc tonton, t'es sacrément bien foutu... Tu dois avoir du succès auprès de ces dames !
— Et pas qu'avec elles... Mon petit Johnny !

En même temps, sa bite se presse contre moi. En ayant fini avec le haut, je me lève pour m'occuper des jambes. D'un coup, la verge grosse comme mon poignet se dresse, je lui donne une petite tape en grognant :

— Toi ! Ça sera plus tard !
— John, t'es un coquin, t'as pas honte de m'exciter comme ça !

Je m'assieds à ses pieds, je reprends mon massage sur les mollets, remonte par le dessus des cuisses puis plonge à l'intérieur de l'entrejambe. Il ouvre le compas pour dégager le paquet alors que sa trique bat la mesure. J'applique une grosse noix de crème sur le pubis, l'étends à l'aine et l'entrejambe, enfin je lui prends les couilles d'une main et la verge aux veines saillantes de l'autre. La crème s'étale, nourrit la peau, je tire au max le prépuce et sans détour je suce le gland rouge carmin, avant de l'enduire de crème.

— Voilà monsieur ! Satisfait de ma prestation ?
— J'espère que ce n'est qu'une mise en bouche j'espère ! Allez allonge-toi que je m'occupe de toi.

Théo ne perd pas de temps, à deux mains il me couvre le corps de protection, s'attarde sur l'asticot juste pour obtenir un truc de presque 18 centimètres et pas plus épais que trois doigts. Rapidement mon excitation monte et j'accompagne du bassin sa branlette, mais Théo s'arrête et s'allonge près de moi en ricanant :

— On se calme bonhomme !... Puis après un moment, il ajoute : Alors tu es devenu le p'tit "Chéri" d'Alain ? Vous avez beaucoup baisé ensemble ?.... Tu me racontes un peu ?

A l'ombre d'un bosquet, durant presque une heure, je lui raconte sans interruption notre relation du jour de mon anniversaire à la rencontre avec l'inconnu en Bretagne. Je lui parle calmement, les mains croisées sous ma tête, les jambes légèrement écartées, tandis qu'il me caresse, parfois sagement, parfois beaucoup moins, comme pour avoir plus de détails sur le moment conté. Je le laisse faire les yeux fermés jusqu'à ce que le soleil brûlant nous sorte de l'ombre bienfaisante.

— Viens Johnny, on va brûler, viens te baigner.

Après avoir remis nos serviettes à l'ombre, nous traversons main dans la main les 50 mètres de sable pour arriver à la mer. A peine dans l'eau que Théo m'éclabousse en éclatant de rire, les gouttelettes d'eau me saisissent et me font rebrousser chemin. Il court, saute à travers les vagues et nage vers le large. Je le suis en faisant la brasse, retrouvant le plaisir de me baigner nu. Loin du rivage, il plonge au moins de 10 mètres, l'eau est d'une transparence exceptionnelle, on voit quelques beaux poissons tout brillants, le fond de sable ondulé reflète la lumière du soleil. Il remonte en chandelle, quand j'arrive à sa hauteur il me tend un coquillage

— Tiens, pour te couvrir comme Vénus, mais le coquillage retombe tout de suite en virevoltant, dommage tu devras rester nu.

Il me tire à lui, il m'entoure les épaules d'un bras et me fout direct la main au paquet, il trouve un truc ratatiné par la fraîcheur de l'eau. Sa main part entre mes cuisses jusqu'à toucher mon petit trou qui se contracte instinctivement, il me soulève facilement hors de l'eau et ce sont deux doigts qui s'enfoncent en moi. Je bascule sur lui et le tiens au cou.

— Dis-donc, Alain t'a bien assoupli. Je lui souris en remontant mes genoux à sa taille, alors il me doigte sans précaution... Ça te manquait tellement mon p'tit cochon ?

Pour toute réponse, je me redresse et colle ma poitrine à ses lèvres, il m'embrasse et aspire le téton que finalement il mord. Le bain se poursuit ainsi à se cajoler, à se taquiner jusqu'à ce qu'il me foute son sexe aux fesses, je suis tellement excité que je me laisse aller mais des deux mains il me soulève presque complètement hors de l'eau et me jette loin de lui. En retombant je coule dans un nuage de bulles, le temps de retrouver un peu de transparence et je le vois battre des pieds pour filer vers la plage. J'ai beau faire je ne le retrouve qu'arrivé à nos serviette à l'abri des regards et du soleil. Il m'attend essoufflé, à moitié allongé quand je m'affale sur le ventre.

— Ben, le vieux peut encore t-en faire voir bonhomme... Pour l'instant laisse-moi t'essuyer et te mettre de la crème, même à l'ombre tu peux te prendre des sacrés coups de soleil.

Il m'essuie et se met tout de suite à me masser le dos. Il réveille mes souvenirs avec Alain. Lorsqu'il est sur mes fesses je m'offre à lui, creuse les reins, écarte les cuisses. Il me caresse plus qu'il n'étale de la crème. Sa bouche remplace sa main, sa langue suit la raie de mes fesses et se fixe sur mon petit trou.

Rapidement mon cul se couvre de salive, un doigt puis deux ouvrent la place, un troisième l'occupe sans trop de difficultés, les trois usinent l'anus. Puis il s'appuie sur moi, en séparant mes deux globes, son gland est sur ma rosace, putain qu'il me semble gros, sa forme arrondie, ma position couchée ne facilitent pas la pénétration. Il pousse irrésistiblement, je me tends vers lui sans résultat... Alors il me tire à lui et je me retrouve à genoux. Dans le mouvement, ma poussée conjuguée à la sienne ont raison de la nature. Le gland me pénètre brutalement, mon anus se contracte le retenant prisonnier, j'ai l'impression d'être déchiré comme la fois où Alain m'a dépucelé. Je gémis « Tu me fais mal » au milieu de mes sanglots

Théo m'embrasse dans le dos, murmure "C'est fini, ç'est fini... Calme-toi" tout en me tient fermement par les hanches en m'interdisant de bouger. Peu à peu, je me détends, retrouve une respiration normale, mon corps se détend. Il ressent l'assouplissement de mes chairs et doucement il me tire à nouveau à lui ou de moi-même je m'enfonce sur son membre. Il est plus gros mais moins long que celui de son fils. Il m'enfonce les derniers centimètres d'un coup. J'ai son ventre contre mon derrière, il grogne entre ses dents « Tu me sens bien, c'est comme ça que tu la voulais bien à fond ».

Un moment s'écoule avant qu'il ne bouge imperceptiblement, il se fait sa place en quelques aller-retours, je le reçois sans difficultés alors ses coups sont plus amples, plus violents pendant deux, trois minutes quand, à ma surprise, subitement il se bloque au fond de moi, reste sans bouger, sans jouir. Alors je vois quatre pieds à ma tête. Ce sont deux types, un grand costaud de 30/40 ans et un plus jeune. Je voudrais disparaître dans le sable mais Théo imperturbable me retient et me tranquillise :

— T'inquiète pas ! ils nous observent depuis un moment.
— Ouais, salut garçon ! On te regardait avec ton vieux et on a l'impression que t'aime ça, la bite. Le plus baraqué s'accroupit devant moi en susurrant, elle te plaît celle-là ? Tu suces ? sans que ce soit une question puisque déjà le gland est sur mes lèvres.

Théo semble accepter la situation puisqu'il recommence à me fourrager doucement, une situation qui me rappelle la partie à trois en Bretagne avec mon cousin. Je suis accoudé dans le sable et l'homme assis dans le sable me tient la tête pour me baiser la bouche. C'est du lourd, un gros calibre, le gland est comme une petite poire à la peau brunâtre, je le prends tout juste en bouche.

Le plus jeune me pelote les couilles avec Théo qui termine sa petite affaire. Dès qu'il "décule" le type que je suce demande à son petit copain de le remplacer tandis qu'il prend la place de mon oncle.
Le nouveau venu n'a pas 30 ans, il est monté un peu comme moi et semble beaucoup plus gentil. Avec beaucoup de douceur il me baise la bouche quand le malabar s'enfile brutalement en moi dans un chuintement sourd. Je sens le trop plein de sperme s'écouler sur mes couilles et le long de mes cuisses. C'est un gros morceau qui me laboure en tapant tout au fond de mon ventre. Je m'adapte au rythme imposé par l'homme et joue de mes abdos comme Alain m'a appris. D'un air satisfait il me complimente :

— Outre que t'as bouche de geisha, tu baises comme une pro !

Mais rapidement tout change, ses coups de reins deviennent plus violents, il commence à me taper. Rapidement les chairs me brûlent et après un moment de crispation, de douleur, peu à peu je trouve un certain plaisir dans cette fessée, je m'offre mieux. Il maugrée de satisfaction :

— Regarde, comme elle me tend son cul, comme elle aime ça ! Putain comme elle mouille, son cul déborde de jute...

Il pèse tellement sur mon arrière train que je m'écroule. Il continue à me buriner à la vertical, il est tellement bien monté que j'ai l'impression qu'il me traverse jusqu'à l'os pubien. En m'écroulant je perds le contact de la queue du plus jeune qui corrige la situation en s'asseyant face à moi, jambes écartées. Lui aussi devient brutal, ses mains sur ma tête m'imposent un rythme rapide qu'il accentue de son bassin. Je reçois sa bite au fond de la gorge, son gland s'enfonce au point de me faire dégueuler sous ses quolibets

— Regarde-moi cette salope ! Elle me fait une gorge profonde !

Et le con recommence ! Deux, trois fois de suite dans un bruit de gorge sinistre avant que je le repousse des deux mains, les yeux embués de larmes, toussant, crachant et vomissant un flot de bave en criant

— Mais t'es dingue !
— Okay, pas de panique... Mais t'es qu'une gourmande qui s'ignore. Tiens en attendant prends ça ! Et le gars se paluche si rapidement qu'il me gicle sur le visage avant de m'enfoncer sa queue pour me gaver du trop plein de ses couilles. En même temps l'autre termine son pilonnage sans que je ne m'en rende compte tellement focalisé sur le jeune que je suce.

Oufff ! Les deux se relèvent en me laissant au tapis et me félicitent, l'un d'une claque sur les fesses, l'autre de sa queue sur la joue . Ils s'éloignent en nous saluant de la main visiblement très contents du moment passé. Je suis surpris d'entendre mon oncle les saluer, je reste un moment le visage caché, avachi avant de sentir mon oncle me caresser :

— Ben dis donc Johnny, me dit-il, tu t'es fait sacrément démonter. Bravo mec, t'as assuré !... Bon, allons nous baigner, t'en as plein les fesses.


Je ne lui réponds pas. Je suis fâché "tout ça c'est à cause de lui". En marchant lentement vers la mer, je porte ma main au cul, il est sensible, douloureux, légèrement ouvert et plein de mouille qui coule aussi sur mes jambes, j'en ai partout. Je traverse la plage la tête basse, je me sens souiller, quand il veut jouer, je crie « Laisse-moi tranquille ! ». Je nage seul, je me détends, le malaise, la rancune évoluent au cours du bain. Je me sens mieux en revenant vers nos serviettes, je suis lavé, je suis propre, rien ne laisse penser à l'orgie passée. Théo a la bonne idée de rester silencieux, de ne pas me toucher quand je m'allonge la tête dans mes bras tournée dans la serviette. Je me repose, je réfléchis longtemps, je revis les assauts subis. Oui j'ai assuré et j'en suis fier et même plus je me sens capable de le refaire...
Alors je tourne ma tête vers Théo, le regarde, lui souris

— Ça va ? Me demande-t-il inquiet
— Oui, que je réponds d'une petite moue d'approbation

Mon oncle commence à me parler, constate que je ne rechigne pas, devient intarissable avec ses histoires, nous bavardons longtemps avant qu'il ne me caresse les fesses, négligemment d'abord puis avec insistance jusqu'à me saisir un gigot avec deux doigts sur le petit trou. Rapidement mes envies se réveillent et je me prête à ses attouchements même quand je vois un type aux cheveux crépus, basané s'asseoir de l'autre côté du chemin qui conduit à l'étang. Il nous observe fixement tout en se touchant sans pudeur.
Il ne faut pas longtemps pour qu'il se décide à faire les 10 pas qui le sépare de nous. C'est un maghrébin d'une cinquantaine d'années qui s'accroupit en s'appuyant sur ma cheville. Il me fixe en marmonnant un vague « Bonjour » auquel notre silence vaut "Bienvenue" en tout cas c'est ce qu'il traduit en remontant la main sur ma jambe jusqu'à me prendre à pleine main l'autre fesse.

D'un coup je me sens gêné à être regardé ainsi, je sais que j'ai le cul enflammé, humide, depuis tout à l'heure des humeurs ont suinté. L'homme s'en rend compte tout de suite

— Dis donc mon coquin, tu t'es fait bien mettre, t'en as encore plein le fion !!!

Il repousse la main de mon oncle et m'éclate le cul. Il me crache dessus, me lèche la rondelle, m'enfonce un doigt. J'y réponds en me cambrant C'est alors une suite d'injures, "Salope, t'es une vraie fiotte, un sac à foutre", quand trois doigts s'activent en moi et me conduisent au bord de la jouissance :

— Allez, donne-moi tout sale pute. Je sais que t'aimes ça, te faire branler le cul.... Qu'est-ce que tu mouilles ! Combien de mecs t'ont baisée aujourd'hui ? ... Réponds salope !!! Combien ?
— Trois... que je souffle en râlant
— Ouais, t'es une vraie pute et... Rageur, il me renverse et me couche sur le dos en grognant, Comme ça, on t'a déjà prise ?

A deux mains il lève mes chevilles, se met à genoux dans la fourche de mes cuisses. Il me lèche la raie, me suce l'oignon dans de longs "slurps". Le goinfre non satisfait, relève encore mes chevilles jusqu'à remonter mes genoux à mes épaules tout en continuant de me bouffer le cul. Il me regarde comme un sauvage, la gueule pleine de bave. Trois doigts me branlent à nouveau, rapidement je suis pris de spasmes, putain je vais me lâcher. Arrivé à cette limite, il se met sur pied à califourchon au dessus de mon bassin et en s'accroupissant, le glaive à la main, il me transperce brutalement, si violemment qu'il me fait jouir sur le coup. Sans éjaculer mon sperme s'échappe, coule et me remplit le creux du sternum. L'inconnu trop heureux de me voir ainsi, m'usine trois, quatre fois en s'appuyant sur moi, avant de me couvrir et finalement de m'écraser.

Il est couché sur moi, appuyé sur ses coudes, ses mains autour de mon visage. J'ai sa trogne mal rasée tout contre la mienne, je sens son haleine de fumeur, il me fixe d'un regard noir, cherche dans mes yeux mes impressions. Il bouge juste le bassin mais il me comprime tellement que nos corps restent soudés et sa queue fait du sur place

— Alors t'aime être prise comme une gonzesse ?... A mes grimaces il comprend mon mal-être et grogne : J't'écrase ! Il se met à genoux, me sourit en me voyant plus détendu, mes cuisses s'ouvrant comme celles d'une grenouille. Voilà mignonne comme ça ! C'est bien mieux et c'est mieux pour te tringler ! Tout de suite son coït devient plus ample, je sens son braquemart aller et venir, ses couilles se balancer contre mes fesses. Il met ses mains sur ma poitrine. Dis donc t'as des tétons de fille, regarde comme ils s'allongent, comme ils grossissent ! Le con, comment en serait-il autrement de la manière dont il me tiraille. Ceci étant je retrouve l'impression ressentie avec mon cousin quand il me parlait au féminin. Je ne me sens pas à aimer les hommes mais à être aimé comme une femme.

J'oublie un moment l'environnement quand je sens près de moi Théo et l'autre qui marmonne « Vas-y papa, fous-lui sur la gueule ». Le salaud se rapproche de moi, il se paluche à grands coups quand je l'entends grogner, il me jute sur la figure, j'en ai dans les yeux, il pose son gland sur ma bouche, je le lèche tandis que le maghrébin maugrée « Tu vois comme elle aime ça ! » tout en s'activant dangereusement dans mon fondement, il va m'envoyer sa sauce... Ça y est, il se crispe, se bloque en moi, je ne sens pas grand chose mais son allure, sa respiration me disent qu'il jouit et déjà je sens sa virilité se dissoudre. Peu après il me quitte laissant un flot de sperme couler entre mes fesses. L'inconnu paraît satisfait, il me sourit, m'embrasse du bout de lèvres en grognant un vague « Merci, j't'assure t'es un bon coup, c'était vachement bon ! » et il s'en va content en courant vers la mer la queue se ballottant luisante de mouille.

— Toi aussi, Johnny, vas-te laver, tu en as jusque dans les cheveux, moi je range les affaires et on rentre.

C'est vrai j'en ai plein les lèvres, le ventre, ça coule le long de mes cuisses. L'inconnu a disparu quand je plonge dans la mer, sous les cris des goélands. Dès mon retour près de mon oncle nous enfourchons les bicyclette et je jette mes dernières forces pour rentrer au village.
En arrivant ma tante est superbe dans cette robe noire au profond décolleté, elle me fait un gros câlin mais je ne réagis pas. Mon oncle coupe court à toute effusion d'amour :

— Laisse le petit, il est cassé !

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