Education Chapitre 7 - Education anglaise

- Par l'auteur HDS John62 -
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Education Chapitre 7 - Education anglaise Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Education Chapitre 7 - Education anglaise
Au lendemain d'une journée de folie sur une plage avec mon oncle, je me réveille heureux et reposé par le chant des cigales. Nu couché sur le ventre je sens l'air me caresser l'échine, que c'est bon, instinctivement je creuse les reins, écarte les jambes pour mieux en profiter. Enfin je me décide à me lever, passer par la douche et enfiler boxer et tee-shirt.

— Bonjour Jade ! que je crie tout guilleret en sortant de la maison.
Je retrouve ma tante sur la terrasse mais contrairement à son habitude où elle est en petit slip, je la trouve habillée d'une blouse de coton noir complètement boutonnée avec un col en V et au moment de l'embrasser, elle tourne la tête de sorte que mes lèvres se pose sur sa joue en recevant un « Bonjour John ! » glacial.

Au lieu du confortable petit déjeuner habituel, un bol de café froid et deux tranches de pain sec m'attendent. Je plaisante, j'essaie en vain d'égayer l'ambiance et au moment de m'asseoir, je me fais sévèrement tancer :

— Une sale lopette prend son déjeuner debout !

Ça y est, la raison de l'ambiance est dévoilée, j'essaie d'apporter des explications à ce qui s'est passé hier mais c'est immédiatement des cris

— SILENCE ! Et corrige ta position, bien droit, talons serrés et tête baissée.

Je suis en plein soleil, ébloui contre le mur blanc, il fait chaud, je ne suis pas bien et sans un mot je commence à tremper ma tartine dans le café froid. Je mange lentement en faisant acte de contrition, seul le chant des cigales anime la scène. A la fin de mon repas, ma tante vient me prendre mon bol. A ce moment seulement, je me rends compte qu'elle est montée sur des échasses, des talons aiguilles qui la grandissent de 10 centimètres. Je lève la tête pour la remercier quand elle me gifle

— John ! Ta position. Ne me regarde pas ! Baisse la tête !

Elle est si près de moi que son menton touche mon crâne, que mes yeux plongent dans son sage décolleté et son parfum m'enivre.

— Ton oncle m'a tout dit d'hier, m'a dit comment tu t'es laissé faire traiter de fiotte, de pute, de sac à foutre, comment quatre types ont joui en toi. Non content de sucer, tu as même fait une gorge profonde à un p'tit jeune, il m'a dit aussi avec quel plaisir tu avais reçu la fessée.
— Mais Jade...
— SILENCE ! Tu vas voir comme je sais m'occuper des sales momes de ton espèce !

Et là elle me prend par le lobe de l'oreille et me tire jusqu'à sa chaise. Malgré le tiraillement de mon oreille, je ressens tout de suite le plaisir de la fraîcheur de l'ombre du store, un bonheur vite perdu quand ma tante me couche sur ses cuisses en baissant mon boxer à mes genoux et relevant mon maillot au creux des reins. Elle me balance cinq, six claques d'affilée, bien ajustées.

— Voilà mon p'tit John, celles que je voulais te donner depuis hier, quand tu m'as abandonnée ! Et tandis qu'elle me caresse gentiment les fesses qui irradient des coups reçus elle ajoute, maintenant je vais te faire voir comment on traite les fiottes en manque.

Elle me tient les épaules m'obligeant à baisser la tête. Avec tendresse elle me caresse en rond alternativement chaque fesse. Je me laisse aller à la douceur de la main quand à ma plus grande surprise elle m'assène une nouvelle claque bien plus violente que les précédentes. Je ne peux m'empêcher de crier « Aïïïïe » tout en fermant les yeux.

Elle enchaîne en alternant caresses et claques de part et d'autre de mes fesses en variant la frappe à plat, sur le rebond, le côté ou le bas des fesses, lorsque qu'une avalanche de claques de plus en plus fortes me tombent dessus. D'une main elle me fesse sans prêter attention à mes cris, à mes supplications, de l'autre elle me plaque à sa cuisse. Mes fesses me brûlent, peut-être que sa main lui fait mal aussi. Elle s'arrête et me caresse à nouveau, me masse avec douceur un moment, un moment de répit.

Elle m'écarte une jambe qui tombe de ses genoux. D'une main elle maintient mes épaules contre sa cuisse, de l'autre elle souligne la raie de mes fesses jusqu'à ce qu'un doigt se fixe sur mon anus

— Alors voilà le siège de ton plaisir... Quand elle me plante deux doigts dans le cul jusqu'à toucher ma prostate, elle continue, Ah ! Oui, tu es disponible... Et une lopette aime bien qu'on la touche là... Hein, c'est ça ?... RÉPONDS !
— Oui... C'est là ! que je réponds en pleurnichant.

Et en contradiction elle recommence à me fesser mais par frottements cette fois, en faisant des frittes qui brûlent d'autant plus, ça part de bas en haut à toute vitesse. A ce moment j'entends une voiture qui roule sur le gravier de la cour tandis que je suis immobilisé sur ses genoux, c'est la honte. Je reconnais juste la petite voiture rouge de la petite copine sans voir Joyce débarquer. Alors qu'elle nous crie «  Bonjour ! », ma tante reprend ses caresses et quand la copine arrive sur la terrasse elle me fout une volée.

— Qu'est-ce qui t'arrive ma chérie ?... Mais c'est John ! Minaude la copine
— Ce qui m'arrive ! Ce gosse est une fiotte qui se fait saillir par tous les types de la plage
— Putain Jade tu lui as foutu le feu au cul, regarde-moi comme il est rouge. Je sens alors une autre main, bien plus fraîche, me caresser et s'attarder sur ma rondelle. Ah ! Oui, c'est sûr qu'il n'est plus vierge, regarde comme sa pastille est enfoncée... Elle est même très souple... Dis-donc, si on jouait avec Mamadou ?
— Ah ouais ! Et lui apprendre à nous sucer... Viens ma chérie, allons dans la chambre.

Jade affirme son autorité en me tirant par les cheveux pour me relever. Dans une tenue ridicule, le boxer aux genoux, le sexe en berne, les yeux larmoyants, tenu à l'oreille par une maîtresse d'école qui me domine d'une demi-tête, je retrouve Joyce en petite robe d'été ajustée à la taille qui ne cache rien de ses rondeurs, elle s'amuse de la situation en embrassant la copine.

— Tu as raison ma Chérie, il faut l'éduquer ce p'tit jeune et rien ne vaut l'éducation anglaise.

En passant directement de la terrasse à la chambre, Joyce ayant bien l'intention de participer à mon éducation quitte son vêtement et nous montre ses gros nichons à peine avachis, son bidon grassouillet et ses fesses rebondies dans lesquelles s'insère son string noir.

Le lit est encore ouvert de la nuit et Jade en abandonnant ses escarpins s'assied en s'appuyant à la tête du lit. Elle déboutonne le bas de sa blouse jusqu'à la ceinture, écarte les pans en relevant ses genoux et ouvrant ses cuisses, elle a le ventre nu. Elle me fusille du regard et le doigt pointé sur son pubis hurle « SUCE !!! ».

Tout de suite ma langue bataille avec ses doigts, tantôt de la pointe, tantôt de la face, je titille, je lape, les doigts me disent comment faire où toucher, ouvrent la vulve. Après avoir nettoyé le sexe des vestiges de la nuit volontairement oubliés, après avoir goûté l’âcreté de son urine , je suçote, j'embrasse, je mordille, je m'abreuve du nectar qui sourd de son intimité.

Joyce entre dans le jeu de sa copine. En montant à quatre pattes sur le lit et en avançant dans la fourche de mes jambes, elle me saisit le paquet encore flasque le tire durement en arrière et le tord sur lui-même. Dès qu'on me touche, ma jeunesse répond et c'est une queue bien dure qu'elle commence à astiquer par l'arrière comme pour traire une chèvre. Presque tout de suite elle me fouille l'anus avec deux doigts bien placés, visiblement connaissant tout de la jouissance masculine et sans oublier son jeu d'éducatrice anglaise :

— J't'interdis de juter, où je te frappe avec la ceinture ! J'ai beau gémir, les deux femmes me font perdre la tête et je me laisse aller quand je reçois une violente claque sur les fesses tout en giclant dans un grand « Nooon ! J'te l'in... » Son cri est finalement étouffé en embouchant mon sexe pour ne pas en perdre une goutte.

J'ai toujours la tête plongée entre les cuisses de ma tante et le cul levé vers celle qui me promet les coups de ceinture. Dés qu'elle finit de me pomper, elle gueule « J't'aurai prévenu » en même temps que sa ceinture de cuir s'abat en diagonal sur mon derrière. La brûlure est violente et tout de suite suivie d'un massage avec une crème apaisante et de paroles réconfortantes

— Je t'avais prévenu chouchou ! dit-elle presque à regret... Bon, ça va ? ajoute-t-elle inquiète.
— Oh Joyce, pas de sentiment avec cette pédale ! T'as vu comme elle tortillait du cul quand tu la doigtais... En plus j'ai encore un compte à régler avec elle. A ce moment elle se dégage de moi, se lève et sort de sa table de nuit un gode ceinture impressionnant. Prend ma place ma Chérie ! Elle apprend vite, tu vas voir comme elle suce bien !

Abasourdi par le mépris de ma tante, je reste médusé et laisse la femme me prendre en ciseau entre ses cuisses bien pleines. J'étire légèrement la peau pour dégager le fruit qui m'apparaît tellement sensuel, plus gros, plus gourmand. Une crête de chair avachie et fripée, deux larges lèvres que j'étale sur les côtés, deux escalopes qui découvrent l'intimité rosée, une large crevasse rougeâtre surmontée d'une tige rose presque aussi grosse que mon auriculaire. Dès que j'y touche, la fente baille et libère un flot de cyprine, je lèche mais la source est intarissable. Deux de mes doigts disparaissent dans le vagin, suivi de deux autres, les mouvements du bassin, les « Ui ui » de Joyce en veulent plus « Allonge bien tes doigts... Ton pouce dans la paume » et c'est ma main entière qui plonge dans le puits d'amour, touche le fond, caresse le col de l'utérus semblable à un gland.

Entre temps Jade s'est équipée de la ceinture et le gode sort fièrement entre les pans de la blouse noire. Elle tient le machin noir, semblable à mon bras, d'une main tellement il semble lourd et le secoue en grognant

— Mon p'tit John, je pense que tu n'as jamais pris un truc pareil
— OH NOOON, Jade tu vas me déchirer

Alors que mon poing continue à défoncer le vagin de la copine et que je lui suçote le clito, je suis très inquiet de l'attitude de ma tante même si pour l'instant elle me masse doucement les fesses en les écartant, deux doigts puis deux autres pénètrent mon petit trou en l'étirant comme pour l'éclater. Alors elle envoie une bonne giclée de gel sur la raie, l'étale et me masse longuement en réveillant mes désirs, tout de suite je réagis et à ce moment c'est directement dans le cul qu'elle ajoute deux nouvelles giclées de lubrifiant avant de tarauder l'anneau à deux puis trois doigts je crois même à quatre. J'ai l'impression que mon anus reste béant quand elle me lâche pour pour y planter le gode. Alors C'est une balle de tennis entre les fesses, la pression sur la rondelle est forte, elle ne cesse d'augmenter, puis se relâche pour revenir encore plus puissante, Jade me badigeonne à nouveau le cul, revient avec le machin qui se plante violemment et arrache tout sur son passage me provoquant une douleur sans pareille et un cri horrible suivi d'un « Chuuuttt ! » d'apaisement. Tout de suite elle caresse l'anneau distendu, probablement déchiré.

— Ça va aller mon chéri ! C'est fini, tranquillise-toi. La douceur retrouvée de sa voix, m'apporte le meilleur réconfort et me détend. J'oublie la douleur et m'offre au jeu d'autant mieux quand je sens ses lèvres sur mon dos et peu après quand elle m'enserre dans ses bras, sa poitrine nue .

Un cambrement de reins de ma part lui suffit pour la rassurer. Elle couvre le gode de gel, le masse comme un phallus et le fait aller lentement entre mes reins par à-coups. Le tronc lubrifié s'enfonce progressivement jusqu'à occuper toute l'ampoule rectale. C'est moi qui prends le relais et coulisse sur l'olisbos, Jade accompagne mon coït, couchée sur mon dos, une main sur ma poitrine et l'autre sur mon ventre où elle trouve ma bistouquette mollassonne. Elle me flatte les burnes, décalotte le gland, se moque gentiment de ma condition

— On croirait un petit garçon ! Je ne réagis pas à son propos, je suis dans mon monde, sur le point de jouir. Ou une lopette, dit-elle en plaisantant.

Et là tout s'accélère. Je ne ressens plus aucune déchirure, bien au contraire une jouissance à sentir mon cul si large, si comblé, à sentir l'engin taper au fond de mon ventre, un fond qui s'assouplit. C'est Jade qui comprend ce qui se passe qui me retient un moment

— Attend Chouchou, que je te prenne mieux.

Elle me tient fermement par les hanches et pousse lentement. Au plus profond de moi je sens le gode me pourfendre puis s'enfoncer encore sans vraiment de difficulté comme dans un puits sans fond jusqu'à ce que je sente le ventre de Jade contre mes fesses. Jamais je n'ai connu cette sensation. Elle reste contre moi et doucement débute un coït que peu à peu j'amplifie pour sentir le rectum s'ouvrir et se rétracter. Alors ça devient de la folie, c'est sur toute la longueur du membre, sur presque 30 centimètres que Jade va et vient. A chaque passage la prostate est massée et me fait perdre la raison. J'ai l'impression d'être incontinent et c'est mon sperme qui s'échappe, ma tante le récupère dans sa main et m'en barbouille le ventre.

Ma main toujours prisonnière dans le vagin de Joyce s'immobilise sous le regard amusé de la dame. Quand je récupère ma respiration, c'est elle qui met fin au jeu en se libérant en même temps que Jade se dégage de mon cul en braillant

— Chouchou ! Va te laver, ça dégueule
— Ben dis-donc ma Chérie qu'est-ce que tu lui as mis...

Les deux copines continuent de plaisanter alors que je file vers la salle de bain, la main entre mes fesses pour retenir le trop plein. Sous la douche c'est une avalanche de glaires qui s'échappent et je dirige le jet de la douchette pour me bien me rincer, j'ai l'impression que je pourrais me fourrer le pommeau dans le rectum tellement il est dilaté, en même temps je vois le résultat des sévices reçus, mes fesses encore rosées et le coup de ceinture en diagonale plus marqué.

Je retrouve les deux copines sur la terrasse entrain de bavarder dans le plus simple appareil et le plus naturellement du monde ma tante me demande :

— John ! Tu nous prépares un café s'il te plaît.
















Au lendemain d'une journée de folie sur une plage avec mon oncle, je me réveille heureux et reposé forme, par le chant des cigales. Nu couché sur le ventre je sens l'air me caresser l'échine, que c'est bon, instinctivement je me prélasse, je creuse les reins, écarte les jambes pour mieux en profiter. Enfin je me décide à me lever, passer par la douche et enfiler boxer et tee-shirt.

— Bonjour Jade !
Je retrouve ma tante sur la terrasse mais contrairement à son habitude où elle est en slip je la trouve habillée d'une blouse de coton noir complètement boutonnée avec un col en V et au moment de l'embrasser, elle tourne la tête et je pose mes lèvres sur la joue en recevant un « Bonjour John ! » glacial.

Au lieu du confortable petit déjeuner habituel, un bol de café froid et deux tranches de pain sec m'attendent. Je plaisante, j'essaie en vain d'égayer l'ambiance et au moment de m'asseoir, je me fais sévèrement tancer :

— Une sale lopette prend son déjeuner debout !

Ca y est, la raison de l'ambiance est dévoilée, j'essaie d'apporter des explications mais c'est immédiatement des cris

— SILENCE ! Et corrige ta position, bien droit, talons serrés et tête baissée.

Je suis en plein soleil, ébloui contre le mur blanc, il fait chaud, je ne suis pas bien et sans un mot je commence à tremper ma tartine dans le café froid. Je mange lentement en faisant acte de contrition, seul le chant des cigales anyme la situation. A la fin de mon repas, ma tante vient me prendre mon bol. A ce moment seulement, je me rends compte qu'elle est montée sur des échasses, des talons aiguilles qui la grandissent de 10 centimètres. Je lève la tête pour la remercier quand elle me giffle

— John ! Ta position, ne me regarde pas, baisse la tête.

Elle si près de moi que son menton touche mon crâne, que son odeur m'ennivre et mes yeux plongent dans son sage décolleté.

— Ton oncle m'a tout dit d'hier, m'a dit comment tu t'es laissé faire traiter de fiotte, de pute, de sac à foutre, comment quatre types ont joui en toi. Non content de sucer, tu as même offert une gorge profonde à un p'tit jeune, il m'a dit aussi avec quel plaisir tu avais reçu la fessée.
— Mais Jade...
— SILENCE ! Tu vas voir comme je sais m'occuper des lopettes de ton espèce !

Et là elle me prend par le lobe de l'oreille et me tire jusqu'à sa chaise. Malgré le tiraillement de mon oreille, je ressens tout de suite le plaisir de la fraîcheur de l'ombre du store, un bonheur vite perdu quand ma tante me couche sur ses cuisses en baissant mon boxer à mes genoux et relevant mon maillot au creux des reins. Elle me balance cinq, six claques d'affilée, bien ajustées.

— Voilà mon p'tit John, celles que je voulais te donner depuis hier, quand tu m'as abandonnée ! Et tandis qu'elle me caresse gentiment les fesses qui irradient des coups reçus elle ajoute, maintenant je vais te faire voir comment on traite les fiottes en manque.

Elle me tient les épaules m'invitant à baisser la tête. Avec tendresse elle me caresse en rond alternativement chaque fesse. Je me laisse aller à la douceur de la main quand à ma plus grande surprise elle m'assène une nouvelle claque plus violente que les précédentes. Je ne peux m'empêcher de crier « Aïïïïe » tout en fermant les yeux.

Elle enchaîne en alternant caresses et claques de part et d'autre de mes fesses en variant la frappe, à plat, sur le côté, sur le bas des fesses, lorsque qu'une avalanche de claques de plus en plus fortes me tombe dessus. D'une main elle me fesse sans prêter attention à mes cris, à mes supplications, de l'autre elle plaque mes épaules à sa cuisse. Mes fesses me brûlent, peut-être que sa main lui fait mal aussi. Elle s'arrête et me caresse à nouveau, me masse avec douceur un moment, un moment de répit.

Elle m'écarte une jambe qui tombe de ses genoux. D'une main elle maintient mes épaules contre sa cuisse, de l'autre elle souligne la raie de mes fesses jusqu'à ce qu'un doigt se fixe sur mon anus

— Alors voilà le siège de ton plaisir... Quand elle me plante deux doigts dans le cul jusqu'à toucher ma prostate, elle continue, Ah ! Oui, tu es disponible... Et une lopette aime bien qu'on la touche là... Hein, c'est ça ?... REPONDS !
— Oui... C'est bon

Et en contradiction elle recommence à me fesser mais par frottements, en faisant des frittes qui brûlent d'autant plus, ça part de bas en haut à toute vitesse. A ce moment j'entends une voiture qui roule sur le gravier de la cour tandis que je suis immobilisé sur ses genoux, c'est la honte. Je reconnais juste la petite voiture rouge sans voir sa copine, Joyce, débarquer. Alors qu'elle nous crie «  Bonjour ! », ma tante reprend ses caresses et quand la copine arrive sur la terrasse elle me fout une volée.

— Qu'est-ce qui t'arrive ma chérie ? Mais c'est John ! Minaude la copine
— Ce qui m'arrrive ! Ce gosse est une fiotte qui se fait saillir par tous les types de la plage
— Putain Jade tu lui as foutu le feu au cul, regarde-moi comme il est rouge. Je sens alors une autre main, bien plus fraîche, me caresser et s'attarder sur ma rondelle. Ah ! Oui, c'est sûr qu'il n'est plus vierge... Il est même très souple... Regarde comme sa pastille est enfoncée.Dis-donc, si on jouait avec Mamadou ?
— Oh ouais ! Et lui apprendre à nous sucer... Viens ma chérie, allons dans la chambre.

Jade affirme son autorité en me tirant par les cheveux pour me relever. Dans une tenue ridicule, le boxer aux genoux, le sexe en berne, les yeux larmoyants, tenu par l'oreille par une maîtresse d'école qui me domine d'une demi-tête, je découvre Joyce en petite robe d'été ajustée à la taille qui ne cache rien de ses rondeurs, elle s'amuse de la situation en embrassant la copine.

— Tu as raison ma Chérie, il faut l'éduquer ce p'tit jeune et rien ne vaut l'éducation anglaise.

En passant directement de la terrasse à la chambre, Joyce ayant bien l'intention de participer à mon éducation quitte son vêtement et nous fait voir ses gros nichons à peine avachis, son bidon grassouillet et ses fesses rebondies dans lesquelles s'insère son string noir.

Le lit est encore ouvert de la nuit et Jade en abandonnant ses escarpins s'assied à la tête du lit. Elle déboutonne le bas de sa blouse jusqu'à la ceinture, écarte les pans en relevant ses genoux et ouvrant ses cuisses, elle a le ventre nu. Elle me fusille du regard et le doigt pointé sur son pubis hurle « Suce ! ».

Tout de suite ma langue bataille avec les doigts de Jade, tantôt de la pointe, tantôt de la face, je titille, je lape, les doigts me disent comment faire où toucher, ouvrent la vulve. Après avoir nettoyé le sexe des vestiges de la nuit volontairement oubliés, après avoir goûté l'acreté de son urine , je suçotte, j'embrasse, je mordille, je m'abreuve du nectar qui sourd de son intimité

Joyce entre dans le jeu de sa copine. En montant à quatre pattes sur le lit et en 'avançant dans la fourche de mes jambes elle me saisit le paquet encore flasque et le tord sur lui-même. Dès qu'on me touche, ma jeunesse répond et c'est une queue bien dure qu'elle commence à astiquer par l'arrière comme pour traire une chèvre. Presque tout de suite elle me fouille l'anus avec deux doigts bien placés, visiblement connaissant tout de la jouissance masculine et sans oublier son jeu d'éducatrice anglaise :

— Je t'interdis de juter, où je te frappe avec la ceinture ! J'ai beau gémir, les deux femmes me font perdre la tête et je me laisse aller quand je reçois une violente claque sur les fesses tout en giclant dans un grand « Nooon ! J'te l'in... » Son cri est finalement étouffé en embouchant mon sexe.

J'ai toujours la tête plongée entre les cuisses de ma tante et le cul levé vers celle qui me promet les coups de ceinture. Dés qu'elle finit de me pomper, elle gueule « J't'aurai prévenu » en même temps que sa ceinture de cuir me cingle en diagonal le derrière. La brûlure est violente et tout de suite suivie d'un massage avec une crème appaisante et de paroles réconfortantes

— Je t'avais prévenu chouchou !... Bon, ça va ? Maugrée la copine inquiète du coup porté.
— Oh Joyce, pas de sentiment avec cette pédale ! T'as vu comme elle tortillais du cul quand tu la doigtais... En plus j'ai encore un compte à régler avec elle. A ce moment elle se dégage de moi, se lève et sort de sa table de nuit un gode ceinture impressionnant. Prend ma place ma Chérie ! Elle apprend vite, tu vas voir comme elle suce bien !

Abasourdi par le mépris de ma tante, je reste médusé et laisse la femme me prendre en ciseau entre ses cuisses bien pleines. J'étire légèrement la peau pour dégager le fruit qui m'apparaît tellement sensuel, plus gros, plus gourmand. Une crête de chair frippée, deux larges lèvres que j'étale sur les côtés, deux escaloppes qui libèrent l'intimité rosée, une large crevasse surmontée d'une tige presque aussi grosse que mon oriculaire, dès que j'y touche la fente baille et libère une cyprine abondante, je lèche et le jus réapparaît sans fin. Deux doigts disparaissent dans le vagin, suivi de deux autres, les mouvements du bassin, les « Ui ui » de Joyce en appellent plus et c'est ma main entière qui plonge dans le puits d'amour pour caresser le col de l'utérus semblable à un gland.

Entre temps Jade s'est équipée de la ceinture et le gode sort fièrement entre les pans de la blouse noire. Elle tient le machin noir s'emblable à mon bras, tellement il semble lourd et le secoue en grognant

— Mon p'tit John, je pense que tu n'as jamais pris un truc pareil
— Oh nooon, Jade tu vas me déchirer

Alors que mon poing continue à défoncer le vagin de la copine et que je lui suçotte le clito, je suis très inquiet de l'attitude de ma tante même si pour l'instant elle me masse doucement les fesses en les écartant, deux doigts puis deux autres pénètrent mon petit trou en l'étirant comme pour l'éclater. Alors elle envoie une bonne giclée de gel sur la raie, l'étale et me masse longuement la rondelle en réveillant mes désirs, tout de suite je réagis et à ce moment c'est directement dans le cul qu'elle ajoute deux nouvelles giclées de lubrifiant avant de tarauder l'anneau à deux puis trois doigts je crois même à quatre. J'ai l'impression que mon anus reste béant quand elle me lâche pour pour y planter le gode. Alors j'ai l'impression d'avoir une balle de tennis entre les fesses, la pression est forte, elle ne cesse d'augmenter, puis se relâche pour revenir encore plus puissante, Jade me badigeonne à nouveau le cul, revient avec le machin qui se plante violemment et arrache tout sur son passage me provoquant une douleur sans pareille et un cri horrible qu'elle accompagne d'un « Chuuuttt ! » d'appaisement. Tout de suite d'un doigt, elle caresse l'anneau distendu, peut-être déchiré.
— Ca va aller mon chéri ! C'est fini, tranquillise-toi. La douceur de la voix, m'apporte le meilleur réconfort et me détend. J'oublie la douleur et m'offre au jeu d'autant mieux quand je sens ses lèvres sur mon dos et peu après sa poitrine nue quand elle m'enserre dans ses bras.

Un cambrement de reins de ma part lui suffit pour la tranquilliser. Elle couvre le gode de gel, le masse comme un phalus et le fait aller lentement par à-coups. Le tronc lubrifié s'enfonce progressisvement dans mes fesses jusqu'à occuper toute l'ampoule rectale. C'est moi qui prends le relais et coulisse sur l'olisbos, Jade accompagne mon coït, couchée sur moi, une main sur ma poitrine et l'autre sur mon ventre où elle trouve ma bistouquette molassonne. Elle me flatte les burnes, décalotte le gland, se moque gentiment de ma condition

— On croirait un petit garçon !Mais je ne réagis pas, je suis dans mon monde, sur le point de jouir, ou, dit-elle en plaisantant, une lopette.

Et là tout s'accélère. Je ne ressens plus aucune déchirure, bien au contraire une jouissance à sentir mon cul si large, si comblé, à sentir l'engin taper au fond de mon ventre, un fond qui s'asssouplit. C'est Jade qui comprend ce qui se passe qui me retient un moment

— Attend Chouchou, que je te prenne mieux

Elle me tient fermement par les hanches et pousse lentement. Au plus profond de moi je sens le gode me pourfendre puis s'enfoncer encore sans vraiment de difficulté comme dans un puits sans fond jusqu'à ce que je sente le ventre de Jade contre mes fesses. Jamais je n'ai connu cette sensation. Doucement Jade débute un coït que peu à peu j'amplifie pour sentir le rectum s'ouvrir et se rétracter. Alors ça devient de la folie, c'est sur toute la longueur du membre, sur presque 30 centimètres que Jade va et vient. A chaque passage le point P est massé et me fait perdre la raison, j'ai l'impression d'être incontinent et c'est mon sperme qui s'échappe, ma tante le récupère dans sa main et m'en barbouille le ventre.

Ma main toujours prisonnière dans le vagin de Joyce s'immobilise sous le regard amusé de la dame. C'est elle qui met fin au jeu en se libérant en même temps que Jade se dégage de mon cul en braillant

— Salope ! Va te laver, ça dégueule
— Ben dis-donc ma Chérie qu'est-ce que tu lui as mis...

Les deux copines continuent de plaisanter alors que je file vers la salle de bain, la main entre mes fesses pour retenir le trop plein. Sous la douche c'est une avalanche de glaires qui s'échappent et je dirige le jet de la douchette pour me bien me rincer, j'ai l'impression que je pourrais me fourer le pommeau dans le rectum tellement il est dilaté, en même temps je vois le résultat des sévices reçus, mes fesses encore rosées et le coup de ceinture en diagonale plus marqué.

Je retrouve les deux copines sur la terrasse entrain de bavarder dans le plus simple appareil.

— John ! Tu nous prépares un café s'il te plaît, me demande ma tante le plus naturellement du monde.




Au lendemain d'une journée de folie sur une plage avec mon oncle, je me réveille heureux et reposé forme, par le chant des cigales. Nu couché sur le ventre je sens l'air me caresser l'échine, que c'est bon, instinctivement je me prélasse, je creuse les reins, écarte les jambes pour mieux en profiter. Enfin je me décide à me lever, passer par la douche et enfiler boxer et tee-shirt.

— Bonjour Jade !
Je retrouve ma tante sur la terrasse mais contrairement à son habitude où elle est en slip je la trouve habillée d'une blouse de coton noir complètement boutonnée avec un col en V et au moment de l'embrasser, elle tourne la tête et je pose mes lèvres sur la joue en recevant un « Bonjour John ! » glacial.

Au lieu du confortable petit déjeuner habituel, un bol de café froid et deux tranches de pain sec m'attendent. Je plaisante, j'essaie en vain d'égayer l'ambiance et au moment de m'asseoir, je me fais sévèrement tancer :

— Une sale lopette prend son déjeuner debout !

Ca y est, la raison de l'ambiance est dévoilée, j'essaie d'apporter des explications mais c'est immédiatement des cris

— SILENCE ! Et corrige ta position, bien droit, talons serrés et tête baissée.

Je suis en plein soleil, ébloui contre le mur blanc, il fait chaud, je ne suis pas bien et sans un mot je commence à tremper ma tartine dans le café froid. Je mange lentement en faisant acte de contrition, seul le chant des cigales anyme la situation. A la fin de mon repas, ma tante vient me prendre mon bol. A ce moment seulement, je me rends compte qu'elle est montée sur des échasses, des talons aiguilles qui la grandissent de 10 centimètres. Je lève la tête pour la remercier quand elle me giffle

— John ! Ta position, ne me regarde pas, baisse la tête.

Elle si près de moi que son menton touche mon crâne, que son odeur m'ennivre et mes yeux plongent dans son sage décolleté.

— Ton oncle m'a tout dit d'hier, m'a dit comment tu t'es laissé faire traiter de fiotte, de pute, de sac à foutre, comment quatre types ont joui en toi. Non content de sucer, tu as même offert une gorge profonde à un p'tit jeune, il m'a dit aussi avec quel plaisir tu avais reçu la fessée.
— Mais Jade...
— SILENCE ! Tu vas voir comme je sais m'occuper des lopettes de ton espèce !

Et là elle me prend par le lobe de l'oreille et me tire jusqu'à sa chaise. Malgré le tiraillement de mon oreille, je ressens tout de suite le plaisir de la fraîcheur de l'ombre du store, un bonheur vite perdu quand ma tante me couche sur ses cuisses en baissant mon boxer à mes genoux et relevant mon maillot au creux des reins. Elle me balance cinq, six claques d'affilée, bien ajustées.

— Voilà mon p'tit John, celles que je voulais te donner depuis hier, quand tu m'as abandonnée ! Et tandis qu'elle me caresse gentiment les fesses qui irradient des coups reçus elle ajoute, maintenant je vais te faire voir comment on traite les fiottes en manque.

Elle me tient les épaules m'invitant à baisser la tête. Avec tendresse elle me caresse en rond alternativement chaque fesse. Je me laisse aller à la douceur de la main quand à ma plus grande surprise elle m'assène une nouvelle claque plus violente que les précédentes. Je ne peux m'empêcher de crier « Aïïïïe » tout en fermant les yeux.

Elle enchaîne en alternant caresses et claques de part et d'autre de mes fesses en variant la frappe, à plat, sur le côté, sur le bas des fesses, lorsque qu'une avalanche de claques de plus en plus fortes me tombe dessus. D'une main elle me fesse sans prêter attention à mes cris, à mes supplications, de l'autre elle plaque mes épaules à sa cuisse. Mes fesses me brûlent, peut-être que sa main lui fait mal aussi. Elle s'arrête et me caresse à nouveau, me masse avec douceur un moment, un moment de répit.

Elle m'écarte une jambe qui tombe de ses genoux. D'une main elle maintient mes épaules contre sa cuisse, de l'autre elle souligne la raie de mes fesses jusqu'à ce qu'un doigt se fixe sur mon anus

— Alors voilà le siège de ton plaisir... Quand elle me plante deux doigts dans le cul jusqu'à toucher ma prostate, elle continue, Ah ! Oui, tu es disponible... Et une lopette aime bien qu'on la touche là... Hein, c'est ça ?... REPONDS !
— Oui... C'est bon

Et en contradiction elle recommence à me fesser mais par frottements, en faisant des frittes qui brûlent d'autant plus, ça part de bas en haut à toute vitesse. A ce moment j'entends une voiture qui roule sur le gravier de la cour tandis que je suis immobilisé sur ses genoux, c'est la honte. Je reconnais juste la petite voiture rouge sans voir sa copine, Joyce, débarquer. Alors qu'elle nous crie «  Bonjour ! », ma tante reprend ses caresses et quand la copine arrive sur la terrasse elle me fout une volée.

— Qu'est-ce qui t'arrive ma chérie ? Mais c'est John ! Minaude la copine
— Ce qui m'arrrive ! Ce gosse est une fiotte qui se fait saillir par tous les types de la plage
— Putain Jade tu lui as foutu le feu au cul, regarde-moi comme il est rouge. Je sens alors une autre main, bien plus fraîche, me caresser et s'attarder sur ma rondelle. Ah ! Oui, c'est sûr qu'il n'est plus vierge... Il est même très souple... Regarde comme sa pastille est enfoncée.Dis-donc, si on jouait avec Mamadou ?
— Oh ouais ! Et lui apprendre à nous sucer... Viens ma chérie, allons dans la chambre.

Jade affirme son autorité en me tirant par les cheveux pour me relever. Dans une tenue ridicule, le boxer aux genoux, le sexe en berne, les yeux larmoyants, tenu par l'oreille par une maîtresse d'école qui me domine d'une demi-tête, je découvre Joyce en petite robe d'été ajustée à la taille qui ne cache rien de ses rondeurs, elle s'amuse de la situation en embrassant la copine.

— Tu as raison ma Chérie, il faut l'éduquer ce p'tit jeune et rien ne vaut l'éducation anglaise.

En passant directement de la terrasse à la chambre, Joyce ayant bien l'intention de participer à mon éducation quitte son vêtement et nous fait voir ses gros nichons à peine avachis, son bidon grassouillet et ses fesses rebondies dans lesquelles s'insère son string noir.

Le lit est encore ouvert de la nuit et Jade en abandonnant ses escarpins s'assied à la tête du lit. Elle déboutonne le bas de sa blouse jusqu'à la ceinture, écarte les pans en relevant ses genoux et ouvrant ses cuisses, elle a le ventre nu. Elle me fusille du regard et le doigt pointé sur son pubis hurle « Suce ! ».

Tout de suite ma langue bataille avec les doigts de Jade, tantôt de la pointe, tantôt de la face, je titille, je lape, les doigts me disent comment faire où toucher, ouvrent la vulve. Après avoir nettoyé le sexe des vestiges de la nuit volontairement oubliés, après avoir goûté l'acreté de son urine , je suçotte, j'embrasse, je mordille, je m'abreuve du nectar qui sourd de son intimité

Joyce entre dans le jeu de sa copine. En montant à quatre pattes sur le lit et en 'avançant dans la fourche de mes jambes elle me saisit le paquet encore flasque et le tord sur lui-même. Dès qu'on me touche, ma jeunesse répond et c'est une queue bien dure qu'elle commence à astiquer par l'arrière comme pour traire une chèvre. Presque tout de suite elle me fouille l'anus avec deux doigts bien placés, visiblement connaissant tout de la jouissance masculine et sans oublier son jeu d'éducatrice anglaise :

— Je t'interdis de juter, où je te frappe avec la ceinture ! J'ai beau gémir, les deux femmes me font perdre la tête et je me laisse aller quand je reçois une violente claque sur les fesses tout en giclant dans un grand « Nooon ! J'te l'in... » Son cri est finalement étouffé en embouchant mon sexe.

J'ai toujours la tête plongée entre les cuisses de ma tante et le cul levé vers celle qui me promet les coups de ceinture. Dés qu'elle finit de me pomper, elle gueule « J't'aurai prévenu » en même temps que sa ceinture de cuir me cingle en diagonal le derrière. La brûlure est violente et tout de suite suivie d'un massage avec une crème appaisante et de paroles réconfortantes

— Je t'avais prévenu chouchou !... Bon, ça va ? Maugrée la copine inquiète du coup porté.
— Oh Joyce, pas de sentiment avec cette pédale ! T'as vu comme elle tortillais du cul quand tu la doigtais... En plus j'ai encore un compte à régler avec elle. A ce moment elle se dégage de moi, se lève et sort de sa table de nuit un gode ceinture impressionnant. Prend ma place ma Chérie ! Elle apprend vite, tu vas voir comme elle suce bien !

Abasourdi par le mépris de ma tante, je reste médusé et laisse la femme me prendre en ciseau entre ses cuisses bien pleines. J'étire légèrement la peau pour dégager le fruit qui m'apparaît tellement sensuel, plus gros, plus gourmand. Une crête de chair frippée, deux larges lèvres que j'étale sur les côtés, deux escaloppes qui libèrent l'intimité rosée, une large crevasse surmontée d'une tige presque aussi grosse que mon oriculaire, dès que j'y touche la fente baille et libère une cyprine abondante, je lèche et le jus réapparaît sans fin. Deux doigts disparaissent dans le vagin, suivi de deux autres, les mouvements du bassin, les « Ui ui » de Joyce en appellent plus et c'est ma main entière qui plonge dans le puits d'amour pour caresser le col de l'utérus semblable à un gland.

Entre temps Jade s'est équipée de la ceinture et le gode sort fièrement entre les pans de la blouse noire. Elle tient le machin noir s'emblable à mon bras, tellement il semble lourd et le secoue en grognant

— Mon p'tit John, je pense que tu n'as jamais pris un truc pareil
— Oh nooon, Jade tu vas me déchirer

Alors que mon poing continue à défoncer le vagin de la copine et que je lui suçotte le clito, je suis très inquiet de l'attitude de ma tante même si pour l'instant elle me masse doucement les fesses en les écartant, deux doigts puis deux autres pénètrent mon petit trou en l'étirant comme pour l'éclater. Alors elle envoie une bonne giclée de gel sur la raie, l'étale et me masse longuement la rondelle en réveillant mes désirs, tout de suite je réagis et à ce moment c'est directement dans le cul qu'elle ajoute deux nouvelles giclées de lubrifiant avant de tarauder l'anneau à deux puis trois doigts je crois même à quatre. J'ai l'impression que mon anus reste béant quand elle me lâche pour pour y planter le gode. Alors j'ai l'impression d'avoir une balle de tennis entre les fesses, la pression est forte, elle ne cesse d'augmenter, puis se relâche pour revenir encore plus puissante, Jade me badigeonne à nouveau le cul, revient avec le machin qui se plante violemment et arrache tout sur son passage me provoquant une douleur sans pareille et un cri horrible qu'elle accompagne d'un « Chuuuttt ! » d'appaisement. Tout de suite d'un doigt, elle caresse l'anneau distendu, peut-être déchiré.
— Ca va aller mon chéri ! C'est fini, tranquillise-toi. La douceur de la voix, m'apporte le meilleur réconfort et me détend. J'oublie la douleur et m'offre au jeu d'autant mieux quand je sens ses lèvres sur mon dos et peu après sa poitrine nue quand elle m'enserre dans ses bras.

Un cambrement de reins de ma part lui suffit pour la tranquilliser. Elle couvre le gode de gel, le masse comme un phalus et le fait aller lentement par à-coups. Le tronc lubrifié s'enfonce progressisvement dans mes fesses jusqu'à occuper toute l'ampoule rectale. C'est moi qui prends le relais et coulisse sur l'olisbos, Jade accompagne mon coït, couchée sur moi, une main sur ma poitrine et l'autre sur mon ventre où elle trouve ma bistouquette molassonne. Elle me flatte les burnes, décalotte le gland, se moque gentiment de ma condition

— On croirait un petit garçon !Mais je ne réagis pas, je suis dans mon monde, sur le point de jouir, ou, dit-elle en plaisantant, une lopette.

Et là tout s'accélère. Je ne ressens plus aucune déchirure, bien au contraire une jouissance à sentir mon cul si large, si comblé, à sentir l'engin taper au fond de mon ventre, un fond qui s'asssouplit. C'est Jade qui comprend ce qui se passe qui me retient un moment

— Attend Chouchou, que je te prenne mieux

Elle me tient fermement par les hanches et pousse lentement. Au plus profond de moi je sens le gode me pourfendre puis s'enfoncer encore sans vraiment de difficulté comme dans un puits sans fond jusqu'à ce que je sente le ventre de Jade contre mes fesses. Jamais je n'ai connu cette sensation. Doucement Jade débute un coït que peu à peu j'amplifie pour sentir le rectum s'ouvrir et se rétracter. Alors ça devient de la folie, c'est sur toute la longueur du membre, sur presque 30 centimètres que Jade va et vient. A chaque passage le point P est massé et me fait perdre la raison, j'ai l'impression d'être incontinent et c'est mon sperme qui s'échappe, ma tante le récupère dans sa main et m'en barbouille le ventre.

Ma main toujours prisonnière dans le vagin de Joyce s'immobilise sous le regard amusé de la dame. C'est elle qui met fin au jeu en se libérant en même temps que Jade se dégage de mon cul en braillant

— Salope ! Va te laver, ça dégueule
— Ben dis-donc ma Chérie qu'est-ce que tu lui as mis...

Les deux copines continuent de plaisanter alors que je file vers la salle de bain, la main entre mes fesses pour retenir le trop plein. Sous la douche c'est une avalanche de glaires qui s'échappent et je dirige le jet de la douchette pour me bien me rincer, j'ai l'impression que je pourrais me fourer le pommeau dans le rectum tellement il est dilaté, en même temps je vois le résultat des sévices reçus, mes fesses encore rosées et le coup de ceinture en diagonale plus marqué.

Je retrouve les deux copines sur la terrasse entrain de bavarder dans le plus simple appareil.

— John ! Tu nous prépares un café s'il te plaît, me demande ma tante le plus naturellement du monde.

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