Education Chapitre 8 - Avec l'esthéticienne.

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Education Chapitre 8 - Avec l'esthéticienne. Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Education Chapitre 8 - Avec l'esthéticienne.
Après la correction de la veille je retrouve ce matin ma tante avec une certaine appréhension d'autant plus quand je la vois en petite robe, elle qui d'habitude se balade chez elle, au plus, en slip de bain, mais son enthousiasme me rassure

— Bonjour mon Chéri, comment vas-tu ? .
— Bien, merci.
— Pas trop contrarié après hier ?... Tu sais, j'étais vraiment fâchée quand tu m'a plantée à ton retour de la plage. Bon ! Mais oublions cela et la correction. Elle me prend dans ses bras et me fait un câlin puis elle continue d'une voix enjôleuse. J'ai constaté mon chéri que ton épilation n'était pas nette et que t'avais du poil aux pattes alors, je te propose un café, puis nous déjeunerons d'une salade niçoise et j'ai envie qu'on se fasse papouiller un peu, aussi ai-je pris rendez-vous cette après-midi pour nous deux chez l'esthéticienne, elle nous épilera. Elle m'a aussi parlé d'une asiatique qui travaille au cabinet et nous fera un massage.
— Quelle bonne idée ! Un peu de douceur, je ne dis pas non. Je ne connais ni les soins d'une esthéticienne, ni ceux d'une masseuse, je suis sûr qu'ils sont plus doux que ceux de l'éducation anglaise. Merci ma tata chérie !
— Quel couillon ce neveu ! je l'adore.

L'après-midi, on va à Montpellier chez l'esthéticienne. Visiblement, ma tante est une habituée du salon, la propriétaire la serre contre elle en l'embrassant sur les lèvres :

— Bonjour ma chérie, c'est toujours une joie de te voir... Dis-moi tu es en charmante compagnie !
— Mado, je te présente mon neveu John, c'est un amour, tu vas prendre soin de lui et lui faire une peau de bébé avant le massage.

L'esthéticienne vient vers moi et m'embrasse sur les joues trois fois, selon l'habitude régionale. C'est une brunette d'une quarantaine d'années qui passerait inaperçue sauf qu'elle a une bouche et un regard ravageurs :

— Bonjour jeune homme ! Le temps de m'observer de la tête au pieds, elle me prend par la chemise et me tire à elle. Les amours de Jade sont mes amours. Elle m'embrasse du bout des lèvres, ouvre ma chemisette, me caresse la poitrine et parle à mi-voix. Alors tu veux que je t'épile. Tu sais comment ça se passe ? Figé d'émotion je réponds d'un signe de tête de haut en bas. Je fais ça à la cire chaude, tu connais ?... Je reste sans voix. Tu verras c'est beaucoup mieux que la crème dépilatoire et plus efficace... L'épilation tu la veux ?... Intégrale ?...

— Le sexe et les jambes on avait dit ! Répond Jade face à mon mutisme. Mais tout le corps, John, qu'en penses-tu ?... Même si tu n'es pas très poilu, ça serait tellement mieux... face à mon silence elle éclate de rire. Oui ! Oui ! Mado, tu lui fais la peau !

— John, tu verras, ta tante a raison. Elle me tient toujours par la chemisette rabattue sur mes épaules. C'est vrai que tu n'es pas poilu mais tu verras une peau lisse est beaucoup plus agréable. Suan et Dong, mes masseurs préfèrent les corps imberbes. Allez, déshabille-toi dans ce cabinet et allonge-toi, il faut compter un peu plus d'une heure. Je vais chercher le matériel, quant à toi, Jade, Line t'attend dans la cabine d'à côté et vous vous retrouverez vers 16 heures.

Je me déshabille dans une petite pièce simplement aménagée d'un meuble médical, d'une table de massage et d'une chaise. Mado rentre, discrètement après avoir frappé à la porte, il me semble qu'elle a ouvert deux boutons du haut de sa blouse et autant en bas, je vois le haut des cuisses et une bonne partie des seins. Elle apporte un bol de cire chaude et trouve dans le placard des bandelettes, des spatules en bois et un flacon d'huile d'amande douce.

— Allonge-toi sur le ventre, je vais commencer par le dos pour te mettre en confiance.

En fait je sens ses mains fraîches, les pouces sur ma colonne, me caresser, passer des épaules aux reins, serrer la taille, s'attarder sur les fesses qu'involontairement je contracte et couvrir mes cuisses jusqu'au creux des genoux. En se raclant la gorge elle me chuchote à l'oreille « Mmmm !Tu as un fessier et des cuisses semblables à une femme ! » Du coup je suis prostré, cloué à la table alors qu'en étalant une grosse noix de cire à l'aide d'une spatule elle me demande si elle est à bonne température.

— Euh... Oui... C'est bien, que je bredouille tout bouleversé par son propos. Vous pouvez...
— Ohhh John, me coupe-t-elle. Entre nous, c'est tu, j'aime une certaine liberté verbale avec mes clients.
— D'accord Mad, que je balbutie tout ému. Alors tu peux... y aller !

Pour souder notre accord, elle m'embrasse dans le cou en murmurant « Tu es très mignon ! » puis elle étale la cire, épile avec les bandelettes, étale, épile du cou aux chevilles. Elle reste très professionnelle même sur le sillon inter-fessier et mon œillet. Au bout d'une demi-heure, l'opération est terminée. Tout au long du travail, elle masse la peau avec l'huile qui atténue l'échauffement et le picotement. Tout au long de son travail je prends conscience de mes formes androgynes, de mon côté féminin et en même temps ça m'excite

— Voilà à l'autre face, retourne-toi.

Sur le dos, je lui présente très gêné, mon torse, mais surtout ma queue raide comme un piquet.

— Ben dis donc, je ne sais pas qui profite d'un tel poignard, mais elle ou lui, est chanceux ! Bon, restons sérieux.

Dans ma petite tête, le ''elle ou lui'' fait tilt, bien sûr elle a vu ma pastille et se doute de mes relations, de plus son décolleté provocateur ne fait qu'accroître mon énervement. Comme si elle ne s'apercevait de rien, elle reprend son travail par les jambes et les cuisses puis les bras et les aisselles, continue avec les pectoraux et le ventre. Elle me demande de passer à nouveau les jambes sur les côtés de la table pour s'occuper de mon intimité, des testicules à la base du pénis. J'ai le feu au ventre comme elle semble l'avoir aux mains quand avec de l'huile elle me masse le pubis et finalement astique le membre avant de lui faire un suçon sur la pointe.

— Voilà John j'ai fini, pas trop douloureux ? Souffle-t-elle.
— Oh non ! Bien au contraire tes mains sont si douces !
— Tu n'auras pas à te plaindre de celles de Suan ! Passe ce peignoir mais essaye de retrouver ton calme, dit-elle en pouffant de rire face à ma queue qui se dresse entre les pans de tissus. Allez file et reviens quand tu voudras. Elle m'embrasse du bout des lèvres en ouvrant la porte du cabinet.

Je retrouve ma tante vêtue comme moi et passons dans le salon ''Fleur de lune'' à la porte duquel une femme asiatique nous attend.

Suan souriante, très typée, ayant probablement plus de 60 ans, nous accueille dans un espace cosy juste éclairé d'une lumière tamisée et une multitude de bougies. Une douce musique asiatique, un bruit de fontaine et l'odeur d'encens créent une atmosphère relaxante, enfin bananiers, philodendrons, fougères et orchidées ajoutent une touche luxuriante. Les seuls meubles que je vois en entrant sont deux lits futons au sol qui se font face et je distingue peu après une rangée de meubles noirs le long du mur. La chaleur est moite, mais la ventilation la rend agréable. C'est la première fois que je découvre un tel salon, une telle ambiance. Je me sens bien.

La femme nous demande de quitter nos peignoirs et de nous allonger. Les futons sont couverts de drap de bain, nous nous mettons sur le ventre en tête-à-tête, les mains sous les mentons, à nous regarder. Elle me demande « Ça te plaît ? » je lui réponds d'un sourire.

A ce moment, un homme semblable à la femme, mais plus âgé avec une barbichette, entre dans la pièce. Ils se parlent sans que nous les comprenions. Les deux sont habillés d'une tunique blanche qui descend jusqu'aux pieds et des manches trois-quarts. Ils sont petits et secs, les cheveux blancs et courts, la peau fripée, tannée comme un parchemin et d'une finesse propre à ces peuples-là.

Dong va vers Jade et lui demande de se mettre sur le dos, nous nous perdons de vue.

Suan vient vers moi, me demande de croiser les bras sous mon front et de fermer les yeux. Elle se met à genoux, à califourchon sur le haut de mes cuisses, je sens la soie de son vêtement sur les côtés et sa peau nue à la base de mes fesses. Ses mains sont petites et très fines, elle me badigeonne le cou, les épaules d' une crème fluide qui sent fort le santal. Avec beaucoup de douceur puis de fermeté elle me masse longuement pour détendre et allonger les muscles, elle reprend de l'onguent pour couvrir le dos en suivant la colonne vertébrale jusqu'au creux des reins pour remonter sur les côtés jusqu'aux épaules. Elle dessine mes dorsaux, suit le bosselé des lombaires, fait comme pour me dépouiller de ma peau. Sur mes fesses, son massage se fait en ronds concentriques avec pudeur. Je ressens une excitation folle et en même temps une insatisfaction, une envie de plus d'audace.

Elle se lève, vient à mes pieds et reprend son massage, jambe par jambe, des chevilles jusqu'à la jonction des cuisses et toujours en s'abstenant de quelque toucher déplacé. Je ressens une immense frustration, d'autant plus en voyant Dong s'occuper de ma tante. Son massage est beaucoup plus sensuel que le mien, Jade est couchée sur le dos, le corps arqué, sa respiration haletante, l'érection de ses tétons, l'ondulation du bassin signent son harmonie avec le vieillard et l'intensité de sa jouissance. Une main de Dong masse le pubis, l'autre a totalement disparu dans l'entrejambe. Ses gémissements sont à peine étouffés, sa tête va de droite à gauche en rythme avec les mouvements du bassin.

Suan me rappelle de fermer les yeux. Elle prend mes pieds, masse, un par un, mes orteils, puis fait pression sur des points bien précis de la plante des pieds. Je ressens alors des frissons dans le dos, comme si une électricité de faible voltage parcourait ma colonne jusqu'à mon coccyx, elle accentue la pression sur mes pieds, une chaleur m'envahit, des picotements me provoquent une violente érection. Ses pouces augmentent la pression , je m'agite comme dans l'acte sexuel. Elle écarte lentement mes genoux jusqu'au bord du futon, je sens sa respiration, sa main enduite d'onguent est entre mes fesses, sur mon anus, ses doigts me massent en rond l'œillet. Je ne peux contrôler mon bassin et mon désir d'être pénétré :

— Oui ! Oui !
— Monsieur bien ouvert ! Spécial massage pour monsieur ? demande-t-elle appuyant un doigt sur le petit trou.
— Euh ? Ouiiiii ! Que j'ânonne dans un soupir tout en relevant mon fessier vers elle.

Suan reste silencieuse, se lève, prend un pot de céramique et s'agenouille entre mes cuisses. Elle plonge une main dans le pot et sort les doigts trempés d'un baume à forte odeur d'eucalyptus.

Elle me demande à nouveau de fermer les yeux, d'une main elle appuie sur mes reins, me fait relever le fessier et de l'autre elle me badigeonne le petit trou. La finesse de ses doigts est exceptionnelle, elle masse lentement l'anus, le pénètre doucement, va et vient, le taraude en rond, l'élargit. Je gémis de plaisir et accompagne son massage du bassin. Trois doigts plongent dans mon fondement, caressent délicatement la prostate tandis que son pouce et son auriculaire prennent en ciseau mes testicules. Sa main me tient comme jamais je n'ai été pris. Mon excitation est telle que je voudrais qu'elle m'arrache le tout, mes fesses s'écartent d'elles-mêmes. Maintenant les doigts de Suan se réunissent, se mettent en pointe, c'est toute la main qui traverse mes chairs comme un pénis.

Toujours rivé au futon par sa main, je m'offre le mieux possible à celle qui me besogne, qui va et vient, qui creuse une caverne. La jointure des doigts par frottement ne cesse d'exciter la prostate. Ma respiration se fait de plus en plus haletante, de plus en plus bruyante. Oh putain ! Ça y est, je jouis, je sens mon sperme m'échapper, remplir le drap, mouiller le ventre, sans que ça la concerne, ses mains continuent à me bloquer au matelas et à me fouiller. Celle qui me fourrage occupe toute la cavité, touche le fond, elle cherche, trouve une issue, elle force le passage, je la sens, elle s'enfonce dans mes profondeurs, sous la pression, mes chairs s'élargissent. C'est la première fois que la porte de l'insondable est franchie, la pointe glisse dans le fourreau, la progression continue avec quelques va-et-vient toujours plus profonds puis s'arrête. La femme me dit :

— Monsieur très mouillé, jouit beaucoup ! Monsieur large, très profond ! Moi tout le bras dans Monsieur !

Je suis effrayé par ce qu'elle me dit, même petit, son bras est bien plus long que tout ce que j'ai pu recevoir. Lentement, avec précaution son bras s'anime je sens son coude sur mes couilles, j'ai l'impression que mes intestins se liquéfient, bouillonnent, se vident quand la main revient dans mon rectum. Le chuintement que j'entends, me fait honte, le poing me bourre encore un long moment avant de sortir fermé de mon cul dans un floc obscène et un flot de glaires qui s'écoule sur mon entrejambe.

— Monsieur sur le dos, moi revenir !

En me tournant, j'ai l'impression que mon ventre se vide sur la serviette. Maintenant, Jade est sur le ventre, Dong s'occupe de ses fesses, nos regards se croisent, ses yeux brillent de mille étoiles :

— Monsieur, bien joui ? Murmure-t-elle goguenarde
— Madame, bien doigtée ? Que je réponds avec malice

Peu après, Suan revient telle une prêtresse d'un pas glissant et les mains jointes. Elle m'essuie le ventre et l'entrecuisse avant de reprendre son massage. Elle s'applique sur le torse de la même façon que dans le dos, ses touchers du cou, à la poitrine, sur la ceinture et le pubis m'électrisent. A nouveau elle place mes pieds hors du futon et s'occupe du sexe avec patience et détermination jusqu'à lui faire relever la tête et le faire gicler une nouvelle fois. Elle ne s'arrête qu'après m'avoir vidé et me laisser sans vie. Je ne sais combien de temps je reste inanimé. Ce sont les lèvres de Jade qui me ramènent à la vie. Dong et Suan sont partis. Elle est habillée,

— Ça va John ?... Nous allons rentrer.
— Oui ça va !... Oui rentrons !

Les avis des lecteurs

La tata n'aurait-elle pas quelques idées derrière la tête en donnant l'habitude à son jeune neveu de s'épiler intégralement et de fréquenter les instituts de beauté ?

Histoire Erotique
Extra!

Merci @Olga. Effectivement John après avoir été initié par son cousin, est à présent éduqué par sa tante
Une éducation qui le trouble. Il apprend à aimer avec douceur, attention, tout comme une femme au point de se sentir parfois femme.

Bien encore
Merci j'essaierai de poursuivre dans cette veine

Très intéressant! Un texte qui invite à lire l'ensemble de la série.

Histoire Erotique
Bien, encore ..



Texte coquin : Education Chapitre 8 - Avec l'esthéticienne.
Histoire sexe : Une rose rouge
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