Education Chapitre 9 - Avec mon cousin et sa femme

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Education Chapitre 9 - Avec mon cousin et sa femme Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Education Chapitre 9 - Avec mon cousin et sa femme
En cette fin de semaine je retrouve chez mon oncle et ma tante, leur fils Alain. Il est mon aîné de 10 ans, il est bien plus que mon cousin.
Alain, c'est le garçon qui m'a appris, enfant, que les bébés ne naissaient pas dans les choux, qui tout jeune m'a montré des photos de femmes nues bien avant que ma petite copine me fasse voir son abricot fendu.
Alain, c'est l'homme qui m'a invité dans son lit, qui m'a caressé et s'est frotté contre moi, qui s'est imposé dans ma bouche, m'a nourri de sa semence. C'est l'homme qui m'a dépucelé et m'a offert sur une plage à un inconnu.
C'est un homme ignoble pensez-vous ? Pour moi, c'est l'homme qui m'a déniaisé et je ne lui en veux pas.

Le soleil a déjà disparu derrière la maison quand il arrive en BMW sport, accompagné d'une jeune femme aux cheveux noirs au vent. Je la découvre quand elle descend de la voiture, elle est belle, élancée, bronzée, en mini short et débardeur noir très près du corps. J'ai toujours envié cet homme, beau gosse, cheveux frisés qui a réussi et en plus qui a une superbe femme alors que je suis gringalet, cheveux en bataille, sans copine et que je galère dans mes études. Il est très à l'aise, super décontracte tout en blanc, bermuda et chemisette. Il court vers moi, tout joyeux de me retrouver.

— John, mon chéri, me dit-il en m'embrassant du bout des lèvres, que je suis content. Viens que je te présente Martine. Je suis admiratif, elle a peut-être 25 ans et chaussée d'escarpins, elle est plus grande que moi.

— John ! Que je suis contente... Elle est encore plus belle près de moi, putain ces "nénoches" qui pointent au travers de son pull, elle me prend par les épaules, se rapproche jusqu'à être contre moi, elle m'embrasse tendrement sur les joues en chuchotant d'un air espiègle. Alain m'a tellement parlé de toi


— Je suis très heureux de v...te rencontrer, que je balbutie tellement je suis impressionné.

Elle me tient serré, je ne vois que ses yeux bleus et ses lèvres pulpeuses, son parfum sucré me fait tourner la tête. Elle me sourit et me fait un bisou du bout des lèvres en murmurant « Tu es trop mignon ». Elle met fin à notre aparté et se retourne guillerette vers Jade qu'elle embrasse sur les lèvres et Théo sur les joues.

Nous nous installons dans le jardin. Alain trop content de me retrouver, me prend à son côté sur la balancelle face à sa femme et ma tante assises chacune dans un fauteuil. Mon oncle fait le service du champagne. La conversation est très gaie et détendue, on parle de ma première semaine de vacances sans trop de détail, du boulot, tout et de rien jusqu'à ce que je reste seul avec mon cousin, les autres étant rentrés dans la maison pour préparer le dîner. Alain me presse alors de lui dire comment s'est passée cette semaine. et je suis obligé de lui confesser l'éducation reçue de ma tante, la rencontre de sa belle-mère, puis l'après-midi à la plage avec mon oncle et enfin la correction qui s'en est suivie

— Je savais bien que ma mère allait s'occuper de toi, par contre que tu aies eu à faire avec Joyce... C'est vrai qu'elle est autoritaire... C'est très bien tout ça, Johnny... Il me caresse le genou, remonte sur ma cuisse autant que mon short le permet... Dis-donc, tu n'as plus de poil au pattes !

Il me fixe du regard, je n'ai pas besoin de lui répondre. Il me prend par les épaules, son autre main s'affole sur ma poitrine, il grogne « Mmmm, tu es lisse comme une fille, j'adore ! » avant de glisser dans mon short. Je le laisse faire mais mon oncle met fin à nos débats en nous appelant pour l'aider au barbecue. Alain reste avec son père tandis que je mets la table et vaque de la terrasse à la cuisine où je retrouve Jade avec Martine qui se font des confidences... Les regards que me jettent la jeune femme me laissent penser que je suis au centre de leur conversation.

La soirée est des plus agréables, on parle, on rigole, on se régale de la soupe de poissons qu'a préparée ma tante et comme pour tout ce qui est agréable le temps passe trop vite. Il est très tard, on a beaucoup bu et quand on doit se quitter et le jeune couple ne refuse pas l'invitation à rester dormir.

Après que ma tante et mon oncle se soient retirés se coucher, on reste encore tous les trois à profiter de la fraîcheur de la nuit. Avec Martine je débarrasse la table et nous retrouvons Alain dans le jardin assis sur la balancelle, il me fait signe de venir à son côté et elle me pousse vers lui.

— Viens Johnny, on a été interrompu avant le dîner.

Mon Initiateur s'impose sans fausse pudeur face à sa femme assise dans un fauteuil, il défait sa ceinture, ouvre son pantalon et nous montre son boxer blanc. Un regard, un mot « John ! » suffisent à me faire abandonner toute résistance et perdre toute décence. Je m'agenouille dans le gazon entre ses genoux, j'abaisse l'élastique et découvre sa verge molle qui repose sur les couilles. Retenant son slip à deux mains, seule ma bouche entre en action, je relève la pointe de ma langue et gobe le morceau. En aspirant, mes lèvres décalottent le gland que tout de suite je suce en va-et-vient avant d'entamer une fellation vorace. Rapidement Alain bande dur, et accompagne mes mouvements de son bassin. Je ne peux retenir des bruits de gorge quand il me bloque la tête et m'enfonce son pieux jusqu'à la luette.

— Oh ouiiii... Comme ça c'est bon... Continue....
— Dites donc les pédés, s'indigne la jeune femme, vous n'allez pas me laisser tomber !
— Oh ça va ! Grogne mon cousin.Tu vas voir comme les pédés savent gouiner les salopes
— Allez les garçons, entrons ! Nous serons mieux pour discuter... Alain me pousse jusqu'à leur chambre et en rentrant Martine ajoute : Couchez-vous ! Je vais vous faire un p'tit strip.


Debout face à nous, la fille, se trémousse, ondule des épaules, du bassin, se caresse la poitrine, remonte son maillot de manière affriolante sous les seins et découvre un joli petit bidon, le nombril oscille de droite à gauche, forme des huit et d'un coup elle jette par dessus tête le tee-shirt en pivotant si vite qu'elle ne nous montre rien de sa poitrine. En même temps mon cousin me taquinait et d'un coup il libère ma queue de mon caleçon en grognant entre ses dents « Elle te fait bander, mon salaud ! » J'ai effectivement une trique d'enfer en voyant le postérieur étriqué dans le short noir d'autant plus quand en cambrant les reins, elle le fait ressortir, le tissus se tend à craquer, la coquine se dandine d'une fesse à l'autre, les pouces dans la ceinture. Elle nous jette un coup d’œil de côté, nous fait un sourire moqueur et en un éclair abaisse son vêtement aux cheville qu'elle éloigne d'un coup de pied nous montrant ses fesses bronzées sans la moindre trace de bikini. Tout en se retournant elle se jette sur nous, embrasse son mari du coin des lèvres et se tourne résolument sur moi en appui sur un coude, son sein sur ma poitrine. Je ne vois que son front, ses yeux bleus, elle m'embrasse du bout des lèvres.

— Ma petite danse t'a-t-elle plu ?
— Terriblement excitante mais la plupart de tes charmes me sont restés cachés
— Petit coquin... t'as pas vu!... La vue, il n'y a pas que ça dans le sexe. Tous tes sens doivent être éveillés quand tu fais l'amour, tous doivent participer : l'odorat chaque sueur est différente, chaque entrejambe offre une fragrance particulière ; l'ouïe, quel érotisme derrière le floc-floc d'une chatte que tu branles, le clap-clap d'une copulation ; le goût, tu découvriras que toutes les jutes ont des saveurs différentes... Ferme tes yeux et découvrons-nous ! Sa main parcourt mon corps quand elle susurre : J'aime ta peau lisse, tes tétons sensibles comme ceux d'une fille, ton ventre ferme sans être musclé. Du bout des doigts elle joue avec mon sexe en glosant : Ta queue est pleine de promesses, (en sous-entendant probablement "Qu'elle est petite !"). Le bourgeon est comme une fraise et tes couilles semblables à deux grosses olives.

Je me sens un petit garçon sous ses commentaires, ce qui ne m'empêche pas de la peloter comme un petit vicieux, de la nuque au coccyx. Alain s'est placé derrière elle et quand je flatte le dos de l'une, je caresse du dos de la main la poitrine, le ventre de l'autre, de mon amant. Arrivé aux fesses ma main forme un bouclier entre le sexe et le cul. Les contractions et les mouvements de bassin de Martine m'invitent justement à m'attarder sur l'anus qui grossit comme un bouton jusqu'à ce que je le transperce d'une phalange, ce qui la fait bondir :

— Waouuuh !!! Jade m'a parlé "D'un amant qui se prête à tout !"... Je dirais surtout qui se libère de tout !. Elle ne cesse de me bécoter en me branlant maintenant à pleine main : Elle m'a parlé aussi "D'un gentil jeune homme"... Je dirais plutôt coquin.

Sa jambe passe au dessus des miennes, son ventre se colle à ma main contre ma hanche. Je sens tout de suite la moiteur de sa fente qui s'agite sur mes doigts, sa vulve serrée, au cœur fondant débordant de mouille

— Jade m'a dit aussi que tu étais "un amant très doux"... Alors aime-moi !

Elle se couche sur moi, on s'enlace, on s'embrasse, nos langues passent d'une bouche à l'autre, ses seins se pressent contre moi sans vraiment s'écraser, son bassin reprend sa danse lascive d'avant. Mes mains effleurent son dos, glissent sur les fesses, reviennent sur la nuque en grattant la peau de sa colonne, elle ne tarde pas à cambrer sa poitrine, à tressaillir, je la laisse venir, son ventre se fait lourd et en réponse mes doigts glissent entre ses fesses ; les reins se creusent, le bassin se relève, je touche l'anus, le caresse sans précaution et deux doigt le pénètrent bien à fond en provoquant un petit couinement.

Dans une danse partagée, on se cherche, on se trouve, elle est tellement humide, je suis tellement excité qu'on s'accouple. Je la sens si différente de Jade ou de Joyce, elle est plus filiforme, plus musclée, plus étroite, sa peau est plus soyeuse, moins de velours, elle est aussi moins coquine dans sa manière d'aimer... Jusqu'à ce qu'elle renverse la situation, elle vire au centre du lit et m'entraîne sur elle. Alain a disparu, il n'est plus à côté de nous, je le sens me caresser les mollets, Martine me couvre de caresses, me pelote les fesses, joue avec, les écarte son doigt découvre mon intimité. Mon coït s'emballe d'autant plus quand je sens Alain entre nos jambes

— Jade m'a dit que tu étais "Un amant fougueux et vigoureux"... Alors on se calme ! On a la nuit pour nous et j'ai bien l'intention de t'assécher.
— Et moi, s'exclame Alain tout en me fessant : J'ai bien l'intention de corriger cette salope... qui baise ma femme !.

Tout de suite je le sens entre mes cuisses et sa queue balayer ma raie. Il m'éclate le cul à deux mains, me crache dessus, je sens sa verge et déjà d'un coup puissant il m'encule, entre son grognement sourd et mon "Ouff" étouffé. Il me laisse respirer avant de s'enfiler jusqu'à la garde.

— Dis-donc mon coquin, on a entretenu la place durant mon absence, il n'y a pas que ta tante qui t'a éduqué.

Là tout s'enchaîne je suis pris entre les deux, je perds tout contrôle, je ne peux rien faire, je suis irrésistiblement pris par le mouvement et je jouis en même temps qu'on me sodomise sans que Martine s'en aperçoive jusqu'à ce que je perde toute vigueur dans son ventre, alors rageuse, elle me rejette quand l'homme me tire à lui. Je deviens un vide-couilles en me retrouvant ballotter au dessus de Martine qui me repousse par les épaules, ma bistouquette se balance sous les coups de boutoir que je reçois. Alain continue à me labourer, je me sens honteux face à la femme "mal baisée" . Heureusement l'homme ne tarde pas à me donner l'estocade finale en rugissant.

Le trio s'écroule, je me retrouve anéanti entre les deux, les yeux tournés au plafond. Je me sens avili, avili d'avoir été ainsi traité par mon cousin, avili de mettre abandonné dans le ventre de Martine sans la faire jouir. Le mètre quarante du lit fait que nous sommes à l'étroit, mes mains posées sur leurs cuisses à ne pas bouger. C'est Martine qui me sort de ma torpeur, en bougonnant,

— Jade m'avait prévenue que "Tu étais un rapide" ! Mais que tu savais merveilleusement sucer... Alors, nettoie tes cochonneries !

Elle bouscule tout le monde en se couchant au travers du lit, la tête presque en dehors du matelas.
Je suis à quatre pattes sur elle, juste bon à servir de lavette. Je me sens humilié, j'ai honte de mon asticot quand je vois le gourdin d' Alain dans le miroir de modiste posé dans le coin de la chambre. Il est là, debout en train de se faire sucer par sa femme
Ma tête prise entre ses genoux, j'ai son ventre et son sexe maculés de sperme. D'un coup de langue j'efface, du nombril à la vulve, le chemin de gouttelettes de jute qui m'échappaient quand Alain me sodomisait. Les cuisses s'ouvrent en grand faisant éclater l'abricot à la peau doré et dévoilant les lèvres rougeaudes desquelles s'échappe un filet de sperme, Je découvre un sexe si différent de ceux de Jade ou Joyce, une crête de chair rosée à peine froissée au lieu de lèvres flasques, un clito à peine découvert au lieu d'un bouton décapuchonné. J'aspire cette moue offerte, goûte la mouille légèrement acre, la suce jusqu'à la faire disparaître. Avec gourmandise, sans décoller mes lèvres, ma langue glisse dans la fente, y retrouve mon sperme. Le ventre s'élève comme pour mieux se faire sucer

— OH OUI ! bouffe-moi, lèche-moi bien, miaule Martine

A deux mains j'élargis le sexe, plonge encore plus ma lange dans le vagin, du nez au menton je suis plein de bave, toutes traces de mouille disparaissent, je continue de fouiller, de lustrer le bouton. En même temps depuis un moment Alain me caresse le postérieur et maintenant me touche sans pudeur :

— Dis-donc Johnny ! T'as un cul de jeune fille et une pastille toute défoncée. Un vrai trou à bites et tu sens comme il reste ouvert . Tu sens comme mon doigt circule librement... Et avec deux doigts c'est meilleur ? Et là tu aimes ? Tu aimes comme j'te caresse. Je ne peux m'empêcher de miauler tout en relevant les fesses et c'est le comble quand Martine me prend en bouche. Tout de suite mon kiki s'allonge et devient dur, sous l’exclamation de Martine :

— OH les garçons ! Vous n'allez pas recommencer vos cochonneries ! Si vous avez les couilles pleines, laissez-moi faire !

Elle me renverse sur le dos. On se retrouve en diagonal sur le lit et elle empalée sur mon sexe, Elle m'observe sans bouger, appuyée sur mon torse. Elle bombe fièrement la poitrine et fait jaillir ses deux obus. Elle bouge un peu sans décoller les fesses de mon ventre. Je réponds à son sourire les mains posées sur ses cuisses. Elle me regarde intensément tout en me caressant

— J'aime ta retenue toute féminine, j'aime ta peau lisse, ta douceur qui accentuent ta nature androgyne, J'aime te sentir si réactif sous mes doigts, j'aime te sentir si viril en moi.

Son ventre est étroit et musclé comme nul autre, ses doigts roulent et allongent mes tétons. Je me sens fragile, à sa merci et c'est elle maintenant qui me fait l'amour. Lentement, son bassin recule, bascule et revient, son ventre se contracte et se détend, ses seins vont et viennent sur ma poitrine, ses tétons m'excitent. Je vois Alain à genoux derrière elle, la tête posée au creux de son épaule, les mains croisées sur sa poitrine, il me regarde, me fait une moue comme pour m'embrasser, il lui murmure des mots incompréhensibles. Elle sourit d'approbation, se penche, se couche presque sur moi, lui tend les fesses, s'immobilise.
Je sens le sexe impérieux s'appuyer sur le mien. Il butte sur le périnée, remonte, se bloque sur l'arrière et d'un coup je sens une pression sur ma verge, j'entends à la fois des soupirs de soulagement et de plaisir. Elle est doublement prise, je sens l'autre bite juste séparée de ma queue d'une fine membrane et l'autre paire de couilles contre les miennes. Martine m'écrase et chuchote « Laisse-le faire ! ». De toutes manières, telle qu'elle est, je ne pourrais bouger.
C'est incroyable comme Martine remue imperceptiblement sur moi et comme je sens Alain la pistonner, tout en me massant. Les deux me font l'amour. Nous sommes tous les trois réunis dans la même danse, dans la même course vers l'orgasme... Je me retiens, c'est bon, je me sens fort, je m'anime, maintenant elle est prise des deux côtés. Tous les trois nous sommes sur la même vague, pris par le même orgasme et c'est ensemble que nous jouissons en haletant, gémissant, râlant.

Mon cœur bat la chamade, je suis en nage, tout comme Martine qui ne cesse de gémir « Putain, que c'était bon ! ». Les corps se séparent, le calme revient, les respirations deviennent régulières, Martine se pelotonne dans les bras d'Alain, le lit est trop petit pour nous trois, on s'embrasse et je passe sans faire de bruit par les toilettes et retourne dans ma chambre.
Quelle n'est pas ma surprise de découvrir dans mon lit ma tante à moitié endormie

— Bonsoir mon chéri, j'ai squatter ta chambre, tu permets ? C'est insupportable comme Théo ronfle.

Pour toute réponse, je me glisse sous les draps et me cale le dos contre son ventre, le ronron lointain de Théo me berce, je suis bien.

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