Education de mon soumis 10
Récit érotique écrit par Belle-Mère [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Education de mon soumis 10
A son retour de chez mon amie et son mari, Paul me raconta que tout s’était bien passé malgré son appréhension de se trouver en robe à faire le ménage sous le regard du couple.
- Ce qui m’a le plus gêné était qu’ils savaient que je portais une cage de chasteté dans ma petite culotte. Ils se sont un peu moqués de moi, ironisant sur ma soumission à toi. Ils m’ont demandé la durée de mes abstinences. C’était humiliant, mais à un moment, je me suis dit que c’est ce que je cherchais : être un soumis aimant à ton service. Donc si tu m’avais envoyé là, je devais l’accepter sans résistance. Alors, j’ai pris plaisir à jouer leur soubrette.
- C’est bien, je suis contente de toi. Je commence à vraiment aimer notre mode relationnel. Pour te remercier et comme je sais que tu aimes mon intimité, à un point qui me choque un peu mais bon, je dois accepter la réalité, je vais te faire une faveur.
J’entrainai Paul vers les toilettes et lui demandai d’attendre devant la porte fermée. Je baissais mon pantalon pour faire pipi, savourant par avance la scène suivante.
- Maintenant, enlève ta chemise et rentre. Bien. Allonge-toi la tête à coté de la cuvette. J’ai fini de faire pipi et je vais m’accroupir sur ton visage. Je veux que tu lapes ma chatte pour la rendre toute belle. Ca fera des économies de papier toilette. Lol.
- Merci Annette. J’y ai pensé mais je n’osais pas te le dire. Merci de me demander de nettoyer ta chatte avec ma bouche et gouter le reste de ton Champagne. J’espère avoir le privilège un jour de le boire à la divine source.
Je n’en revenais pas. Plus mes demandes allaient loin dans la perversité, plus mon gendre répondait positivement. Quand il eut léché les petites gouttes mouillant ma toison grise, je me levai, remontai ma culotte Sloggi et mon pantalon. Je lui demandai en riant de laisser sécher son visage sans se nettoyer, de se rhabiller et de m’emmener faire des courses, le minois ainsi parfumé...
Au retour des courses et après qu’il eut tout rangé, il me demanda les clés de sa cage de chasteté pour aller prendre une douche. Au moment où il tendait la main vers mon pendentif, et parce qu’il n’avait pas attendu ma réponse, je le giflai directement et puissamment de ma main droite. Estomaqué, il porta sa main à sa joue qui rougit dans l’instant.
- Voila ce que tu as mérité pour ne pas attendre ma permission et que je te donne les clés. Ce n’est pas toi qui décide, c’est moi. Je pourrais très bien te les refuser.
- Excuse-moi mon amour, je ferai attention la prochaine fois et demanderai poliment.
- Ce n’est pas suffisant. Désormais, tu te mettras à genoux devant ta Reine pour les demander, et pour me les rendre. Compris ?
- Oui ma Reine, je veux t’obéir et te respecte. Voici, je me mets à genoux pour solliciter les clés.
Repensant au contrat de soumission que Paul avait signé avant qu’il n’emménage chez moi, je pensais à ma fille et son divorce, et concluais que le contrôle de la chasteté de mon gendre par ma fille aurait peut-être permis au couple de durer. Mais leur mariage était maintenant dissout, et c’est moi qui profitais du nouveau Paul. Je le voyais désormais comme un compagnon aimant, un soumis obéissant et un amoureux permanent. Si cela marchait pour nous, pourquoi pas pour d’autres couples ? Selon de nombreux témoignages lus sur les sites spécialisés, la chasteté masculine contrôlée était efficace : Pas d’érection, pas de masturbation, pas d’éjaculation, sauf si la femme détenant les clés ne l’autorisait.
Les mâles sont des obsédés sexuels, esclaves de leurs queues. Si les femmes aiment aussi le sexe, elles ont des attentes complémentaires, c’est ainsi. Pourquoi ne pas rendre obligatoire pour tous les couples le contrôle physique et mental par la femme de la libido de leurs mâles ? et peut-être que tous les mâles dès la puberté devraient être mis sous contrôle sexuel par une femme qui leur serait désignée ? La cage de chasteté remboursée par la Sécurité Sociale serait une bonne réforme….Si les femmes géraient la libido des hommes, plus de dispute, plus de guerre peut-être….je rêvais….
Le même soir, je lui offris une carotte après le bâton (ma gifle). J’aimais de plus en plus jouer avec son désir frustré. Aussi allais-je passer un vieux legging noir satiné puis lui dis :
- Tiens, voici les clés. Tu peux te faite plaisir pendant 5’. Mais je t’interdis de me toucher et de jouir. C’est clair ?
- Oui ma Domina chérie. C’est super dur mais je suis heureux et te remercie de cette faveur insigne.
Tandis que je lui exposais mes fesses moulées dans mon legging, je le voyais se branler pathétiquement. Je remuais doucement mon cul et m’amusais de son excitation :
- Ca te plait, hein vicieux ? le cul de ta vieille belle-mère te fait bander ? Tu n’as pas honte, pervers ? Tu es vraiment un pauvre type.
- Oui ma chérie, je ne suis qu’un homme et tu es si belle. Tu es la femme parfaite pour moi. J’espère que tu es heureuse. Merci de me diriger.
Je me retournai pour soulever mon haut et lui montrer mes petits seins couverts d’un soutien gorge de coton blanc. Il branlait sa belle queue en grognant, comme une bête en rut.
- Ca suffit maintenant. Tiens, remets ta cage et prépare le diner.
- Ce qui m’a le plus gêné était qu’ils savaient que je portais une cage de chasteté dans ma petite culotte. Ils se sont un peu moqués de moi, ironisant sur ma soumission à toi. Ils m’ont demandé la durée de mes abstinences. C’était humiliant, mais à un moment, je me suis dit que c’est ce que je cherchais : être un soumis aimant à ton service. Donc si tu m’avais envoyé là, je devais l’accepter sans résistance. Alors, j’ai pris plaisir à jouer leur soubrette.
- C’est bien, je suis contente de toi. Je commence à vraiment aimer notre mode relationnel. Pour te remercier et comme je sais que tu aimes mon intimité, à un point qui me choque un peu mais bon, je dois accepter la réalité, je vais te faire une faveur.
J’entrainai Paul vers les toilettes et lui demandai d’attendre devant la porte fermée. Je baissais mon pantalon pour faire pipi, savourant par avance la scène suivante.
- Maintenant, enlève ta chemise et rentre. Bien. Allonge-toi la tête à coté de la cuvette. J’ai fini de faire pipi et je vais m’accroupir sur ton visage. Je veux que tu lapes ma chatte pour la rendre toute belle. Ca fera des économies de papier toilette. Lol.
- Merci Annette. J’y ai pensé mais je n’osais pas te le dire. Merci de me demander de nettoyer ta chatte avec ma bouche et gouter le reste de ton Champagne. J’espère avoir le privilège un jour de le boire à la divine source.
Je n’en revenais pas. Plus mes demandes allaient loin dans la perversité, plus mon gendre répondait positivement. Quand il eut léché les petites gouttes mouillant ma toison grise, je me levai, remontai ma culotte Sloggi et mon pantalon. Je lui demandai en riant de laisser sécher son visage sans se nettoyer, de se rhabiller et de m’emmener faire des courses, le minois ainsi parfumé...
Au retour des courses et après qu’il eut tout rangé, il me demanda les clés de sa cage de chasteté pour aller prendre une douche. Au moment où il tendait la main vers mon pendentif, et parce qu’il n’avait pas attendu ma réponse, je le giflai directement et puissamment de ma main droite. Estomaqué, il porta sa main à sa joue qui rougit dans l’instant.
- Voila ce que tu as mérité pour ne pas attendre ma permission et que je te donne les clés. Ce n’est pas toi qui décide, c’est moi. Je pourrais très bien te les refuser.
- Excuse-moi mon amour, je ferai attention la prochaine fois et demanderai poliment.
- Ce n’est pas suffisant. Désormais, tu te mettras à genoux devant ta Reine pour les demander, et pour me les rendre. Compris ?
- Oui ma Reine, je veux t’obéir et te respecte. Voici, je me mets à genoux pour solliciter les clés.
Repensant au contrat de soumission que Paul avait signé avant qu’il n’emménage chez moi, je pensais à ma fille et son divorce, et concluais que le contrôle de la chasteté de mon gendre par ma fille aurait peut-être permis au couple de durer. Mais leur mariage était maintenant dissout, et c’est moi qui profitais du nouveau Paul. Je le voyais désormais comme un compagnon aimant, un soumis obéissant et un amoureux permanent. Si cela marchait pour nous, pourquoi pas pour d’autres couples ? Selon de nombreux témoignages lus sur les sites spécialisés, la chasteté masculine contrôlée était efficace : Pas d’érection, pas de masturbation, pas d’éjaculation, sauf si la femme détenant les clés ne l’autorisait.
Les mâles sont des obsédés sexuels, esclaves de leurs queues. Si les femmes aiment aussi le sexe, elles ont des attentes complémentaires, c’est ainsi. Pourquoi ne pas rendre obligatoire pour tous les couples le contrôle physique et mental par la femme de la libido de leurs mâles ? et peut-être que tous les mâles dès la puberté devraient être mis sous contrôle sexuel par une femme qui leur serait désignée ? La cage de chasteté remboursée par la Sécurité Sociale serait une bonne réforme….Si les femmes géraient la libido des hommes, plus de dispute, plus de guerre peut-être….je rêvais….
Le même soir, je lui offris une carotte après le bâton (ma gifle). J’aimais de plus en plus jouer avec son désir frustré. Aussi allais-je passer un vieux legging noir satiné puis lui dis :
- Tiens, voici les clés. Tu peux te faite plaisir pendant 5’. Mais je t’interdis de me toucher et de jouir. C’est clair ?
- Oui ma Domina chérie. C’est super dur mais je suis heureux et te remercie de cette faveur insigne.
Tandis que je lui exposais mes fesses moulées dans mon legging, je le voyais se branler pathétiquement. Je remuais doucement mon cul et m’amusais de son excitation :
- Ca te plait, hein vicieux ? le cul de ta vieille belle-mère te fait bander ? Tu n’as pas honte, pervers ? Tu es vraiment un pauvre type.
- Oui ma chérie, je ne suis qu’un homme et tu es si belle. Tu es la femme parfaite pour moi. J’espère que tu es heureuse. Merci de me diriger.
Je me retournai pour soulever mon haut et lui montrer mes petits seins couverts d’un soutien gorge de coton blanc. Il branlait sa belle queue en grognant, comme une bête en rut.
- Ca suffit maintenant. Tiens, remets ta cage et prépare le diner.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Voilà une belle mère comme j'aimerais rencontrer
Très excitant. Votre perversité me plaît beaucoup, vous avez plus de plaisir à dominer qu’à être pénétrée
Très excitant. Votre perversité me plaît beaucoup, vous avez plus de plaisir à dominer qu’à être pénétrée
Sérieux il manque le 9.
Bonjour Madame,
J'aime toujours autant vous voir prendre la mesure de votre statut et lire l'évolution de votre couple
Merci
Thallium
J'aime toujours autant vous voir prendre la mesure de votre statut et lire l'évolution de votre couple
Merci
Thallium
Toujours aussi nul … aucune cohérence…
étant moi même de nature soumise je lis avec délectation cette histoire, bravo Madame
Il manque le récit 9.