Education libertine 3....Ou quand Ginette s’envoie en l’air ! - histoire érotique

Nu, attaché sur une chaise par une Tante vicieuse, je suis à la merci de mes deux jeunes cousines déchainées et de leurs douces vicissitudes. Ginette, notre Tante nous a guidés jusque-là. Mais n’a-t-elle pas envie de profiter aussi de toutes ces bonnes gâteries ?
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En cette chaude après-midi de fin août et comme le mari n’est pas là, (il est chouette ce mec : toujours absent !), Ginette nous reçoit dans sa chambre et j’ai encore cette fois-ci, droit à me retrouver nu et ligoté sur la chaise fatidique.
Les choses vont bon train, des lèvres bien baveuses font des prouesses sur mon membre congestionné et se régalent de mes jets brûlants que j’ai beaucoup de mal à retenir. Entre gloutonnes et fines bouches je suis aux anges d’autant que mes maîtresses savent avec adresse manier l’impétueux sujet et que leurs coups de langue valent bien tous les plaisirs du monde. Elles ont les lèvres épaisses et les dents acérées qui grignotent mon frein comme un petit lapin grignote la salade.
Je sens ce jour-là, chez ma tante, une excitation grandissante car elle s’occupe de mon sexe avec plus d’entrain que d’habitude ; je remarque aussi que de sa main gauche fourrage au de-là de son jardin de bruyères. Elle se titille la rondelle, chose qu’elle n’avait jamais faite jusqu’ici.
Ainsi, après avoir biberonné mon phallus et s’être à son tour délectée des meilleures gouttes de son élixir, Ginette très excitée se met en demeure de s’assoir sur mon boutefeu. En me tournant le dos, elle ouvre grand ses cuisses afin de me chevaucher pour prendre en otage ma pine verticale dans son minou brûlant.
Je crois qu’elle est folle de mon gros bâton et qu’enfin elle se décide à profiter de sa bonne vigueur tout en montrant aux filles comment s’en servir et se faire plaisir.
(Elle a envie de se payer un jeune homme, la coquine ! C’est bien normal ! N’est-ce pas le rêve de toute bonne ménagère !)
Ce faisant elle m’offre le plus joli spectacle que je n’ai jamais vu d’aussi près jusqu’ici : entre ses fesses écartelées, je découvre tout au fond de sa raie ce fameux secret qui m’attirait tant. Un anus magnifique, noir et strié comme un canon de fusil.
(Ciselé de rose et de bleu il est aussi fripon que l’œil d’un petit garçon qui a fait une bonne blague !).
Je remarque que ce petit trou n’est pas tout rond comme celui des cousines, mais légèrement fendu comme une toute petite chatte. Je ne le sais pas encore mais j’apprendrai plus tard que c’est là une marque de noblesse.
En effet cela prouve que la Dame a su recevoir en cet endroit de vigoureux compliments de la part de braves Gentlemans chargés de la faire femme à part entière.
Au-dessous et dans l’épaisseur sombre du repli de ses fesses le nid de broussailles épaisses me camoufle l’ouverture odorante de son con dans laquelle s’engouffre ma verge.
Je bande à en avoir mal mais je trouve de suite la chose exquise ; la chatte chaude et onctueuse descend et remonte doucement le long de mon membre. J’aurais joui immédiatement si se laissant aller Ginette ne m’avait pas écrasé brutalement le ventre et les testicules.
L’affaire va grand train, Coralie et Betty en prennent plein les yeux et suivent attentivement le progrès de l’action et pour donner plus de vivacité à ce divertissement, d’un index coquin, chacune à son tour glisse son index dans le petit trou voisin.
Stimulée Ginette pousse des cris et remue encore plus son fessier. Elle mouille abondamment en sentant les deux petites garces lui torturer le trou du cul. Elles font aller et venir leur doigt crochu, planté dans le bouton marbré qui semble aspirer l’intrus comme un doigt qu’on met dans la bouche.
En danseuse sur ses cuisses Ginette se met alors à monter et descendre sur mon priape sans me laisser le temps de reprendre souffle ni de calmer les douleurs provoquées par son poids sur mes couilles et sur mon bassin.
Elle pousse des han ! Des Ha ! Des gémissements de plus en plus forts et rapides…
La danse se poursuit pendant de bonnes minutes. Elle s’agrippe au cou de ses nièces qui se sont placées de chaque côté, serrées contre sa généreuse poitrine et je me régale à voir mon vireton batifoler dans sa grasse foufoune.
Il est gros, gras, vaillant comme l’outil d’un bucheron qui scie du bois à grands coups de va et vient. Que c’est beau cette vulve pulpeuse qui s’ouvre pour l’accaparer et qui referme ses plis autour de lui comme des lèvres qui le sucent.
Elle prend soin tout de même de s’arrêter par moments pour m’aider à retenir mon éjaculation et me maintenir une forte bandaison.
A pleine bouche elle bécote les filles qui lui pincent les tétons et sont émerveillées de voir la jouissance de cette femme qui bat sa foufoune accroupie sur ma pine entre mes cuisses.
Pour moi le moment arrive aussi. Elle a compris et maintenant en se soulevant légèrement elle continue ses va et viens sans s’appuyer sur mon pubis.
Elle est chaude, humide, ma pine glisse allègrement dans son vagin qu’elle resserre amoureusement…Ma tension grimpe au maximum et soudain je me lâche brutalement en remplissant à fond sa moule…à grands coups de boutoir contre son cul.
Elle griffe, elle mord, elle crie, » Boudi ! Boudi ! Boudi ! Boudi ! »…je ne sais pas ce que cela veut dire mais je comprends vite que cela signifie qu’elle est à bout, qu’elle se lâche…Elle saute sur ma pine comme une cabrette. Elle hennie comme une pouliche….Elle explose, nos jus mêlés jaillissent entre nos cuisses et ça fait des « flocs » disgracieux mais terriblement excitants.
Elle râle, frissonne de bonheur et sa chatte pleure de joie en inondant de mouille et de mes humeurs, mon pubis et mes jambes. Elle s’affale finalement dans un grand frisson, épuisée lorsque le moment sublime est terminé.
Elle se courbe sur ses genoux. Les filles médusées mouillent autant qu’elle et la congratulent gentiment en lui massant le dos depuis le creux des fesses jusqu’à la nuque.
Elle reste ainsi un bon moment pour récupérer et reprendre son souffle. J’aperçois de nouveau le sublime paysage de son p’tit trou friponnant et gai comme un luron qui dans le fond de sa raie s’ouvre et se referme comme si lui aussi recherchait sa respiration. On dirait qu’il rigole ou qu’il parle ! Le coquin !
Boursoufflé et luisant de sueur il est terriblement aguicheur. Je trouve que tantine a un très beau médaillon.
Je viens de passer un merveilleux moment. Je viens de baiser ma Tante adorée, ou plutôt c’est elle qui vient de me baiser. Cela a été une véritable explosion pour nous deux et la finalisation d’un magnifique geste que nous attendions depuis fort longtemps.
Elle me chérissait et attendait vivement, comme moi, le bon moment.
Voilà qu’on y est arrivé avec en plus l’entourage de ses deux petites nièces espiègles et enjouées. Elles sont comme des demoiselles d’honneur qui outrepassant leur prérogatives auraient rejoint le lit nuptial pour fleureter avec les jeunes mariés.
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Mais jusqu'où Ginette va-t-elle nous entrainer ?

Je parie que vous l'avez déjà deviné !

Alors encore un peu de patience....