Educations libertines 1

- Par l'auteur HDS Verdon -
Récit érotique écrit par Verdon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Educations libertines  1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2016 dans la catégorie Pour la première fois
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Educations libertines 1
En ces années 50 les mœurs n’étaient pas celles que nous connaissons aujourd’hui ; pourtant entre gens de bonne famille il s’en passait des choses qui n’avaient rien à envier à ce qui se fait maintenant. Il se trouve, justement qu’à cette époque j’ai vécu de fort belles aventures qui m’ont marqué pour la vie et de façon très agréable.
Et j’ai plaisir de raconter maintenant ces histoires qui se sont réellement passées, même si les noms ont été changés et si j’y ai ajouté quelques modifications, histoire d’émoustiller un peu plus et de tenir en haleine plus longtemps mes lecteurs ou lectrices que j’espère nombreux (uses) et intéressés (ées).
Sans aucun doute, ma vie sexuelle et libertine a commencé à cette époque, où j’ai découvert combien il était important de profiter des bienfaits que la nature nous avait donnés.
Dans notre adolescence, notre éducation avait été assez sévère et n’avons pas vraiment vécu jusque-là des aventures très polissonnes. Si ce n’est quelques épisodes coquins, voire sentimentaux et plutôt enfantins, comme tous les enfants à cet âge-là, du genre à se tripoter le zizi et les fesses entre gamins ou à fleureter avec les filles. Rien de méchant, car de toute façon, toujours surveillés par le père ou le grand frère, très circonspects sur les fréquentations de leurs sœurs ou de leurs gamines.
Chaque été je passais les vacances à la campagne, chez un oncle et une tante. Ils étaient très rigoristes, catho et pratiquants comme des curés. Surtout mon oncle à vrai dire car je me suis vite aperçu, dès que le poil a commencé à me pousser aux fesses, que la tante Ginette, sous son vernis de bonne bourgeoise mondaine, n’avait pas du tout froid aux siennes surtout quand le tonton n’était pas là.
Il faut dire que la pauvre femme ne devait pas avoir une vie amoureuse très marrante avec ce bonhomme plus occupé à pratiquer sa religion qu’à louer la beauté de la nature et celle de sa femme en particulier.
Elle avait la quarantaine avancée, quand ces choses se sont passées.

Avec nous c’était tous les jours des leçons de morale et la prière du soir.
Quand je dis « nous », c’est parce que, justement, nous nous retrouvions, Betty et Coralie, deux cousines (mais pas frangines) et moi-même leur cousin, aux bons soins de la chère tante pour la durée de l’été.
Elles étaient très espiègles bien qu’assez réservées au départ, et nous chahutions souvent au grand dam de notre oncle mais avec la bonne complaisance de notre chère tante. Et nos plus grands fou-rire furent quand, à la prière du soir les filles à genoux soulevaient leur robe et me montraient leur cul tandis que le tonton baratinait jésus.
Betty, l’ainée avait 19 ans tandis que Coralie et moi-même avions fêté nos 18 ans quelques mois auparavant quand nous nous sommes retrouvés une fois de plus, à passer les vacances ensembles avec le grand plaisir de retrouver Tati, d’autant que le tonton était souvent absent.
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Seuls, tous les quatre justement, par une chaude journée de juillet, Ginette nous engage, un après-midi, à nous vêtir plus légèrement afin d’échapper à la chaleur étouffante ; elle a enfilé une simple nuisette de tulle blanche recouvrant à peine ses genoux et laissant deviner ses seins lourds et les jolies formes de son imposant postérieur apparemment aussi lisse et nu que le crâne chauve de son mari.
Betty, l’ainée a enfilé un jupon de coton qui cache pudiquement sa nudité, tandis que Coralie plus jeune mais bien moins prude, se retrouve en petite culotte transparente et chemisette largement ouverte dévoilant presque entièrement et avec fierté, sa volumineuse et juvénile poitrine.
Je me sens un peu gêné dans mon simple caleçon kangourou très enveloppant, qui malgré tout, laisse soupçonner mes belles dispositions, tant je suis aguiché par la présence de ces nanas en petites tenues.
« Eh bien jeune homme ! » s’écrie ma tante, avec un sourire malicieux, en apercevant mon bel encombrement, » voilà un beau monsieur qui ne sait pas se tenir devant des demoiselles ! »… la plus jeune des filles pouffe de rire en suivant le regard de ma tante, tandis que sa cousine devient rouge comme une pivoine en se maintenant un peu à l’écart mais non sans garder un œil plus curieux que choqué sur mes débordantes dispositions.
« Allons voir de quoi il retourne », continue Ginette en s’approchant de moi, et sans que je puisse réagir elle fait glisser l’unique rempart de ma virilité, libérant du même coup un irrévérencieux mais fort sympathique boute-joie qui se dresse comme un ressort sous les regards interloqués mais très intéressés de mes deux cousines.
Prenant Betty par la main, elle veut lui faire toucher l’impudent objet, mais celle-ci impressionnée par la taille et la vigueur d’un tel engin qu’elle voit pour la première fois, se rétracte, ébahie, la main devant la bouche mais pourtant avec un petit regard émoustillé ; elle laisse la place à sa cousine qui sans le moins d’état d’âme s’empare de mon sexe avec sa main gauche et se met à le tripoter avec la droite ; elle va même jusqu’à en découvrir le bout, et avec ses doigts délicats elle en fait baisser et rehausser le prépuce ; ça l’amuse, elle tire dessus, le soulève, le baisse, elle est terrible la coquine elle m’excite et je bande de plus en plus ! On dirait une poule qui a trouvé un couteau…En fait, je la soupçonne d’avoir déjà été mise en contact avec un outil de ce genre…
Ensuite elle le caresse tout doucement comme on caresse un petit chat.
À ce jeu, une crise est bientôt inévitable.
Mon vié ne se met pas à miauler mais il se rengorge, grossit, et se dresse presque à la verticale et non sans fierté. Et tout à coup, au bout de quelques câlins délicieux lui crache, comme un lama, un fulgurant et puissant jet de crème blanche entre ses seins rebondis et sur sa chemisette.
Offusquée et sous les yeux ébahis de son ainée, elle lâche mon garnement avec une mine mi- dégoûtée et mi- stupéfaite, pour retirer précipitamment son vêtement livrant à nos yeux, deux superbes mamelons impudiques et fringants qu’elle essuie, toute embarrassée.
Sans doute n’était-elle jamais allée jusques là, dans ses premières découvertes.
Elle se réfugie dans les bras de la tante qui s’empresse de la rassurer en lui essuyant voluptueusement les seins avec sa chemise pour les sécher et en lui expliquant ce qui est arrivé au vilain petit lutin bien impoli et trop pressé.
Moi-même surpris et décontenancé de ne pas avoir senti venir l’orage, j’ai honte d’avoir ainsi contrarié les bonnes attentions de ma cousine.
Cependant devant les explications de la tante, je vois que la coquine n’a pas pris ombrage de l’incident qui a aiguisé sa curiosité et l’a finalement beaucoup plus amusée que fâchée.
Toutes les deux, c’est donc la première fois qu’elles voient juter un garçon et elles en rient encore émoustillée par ce geste et ce lait poisseux qui est sorti par saccades, de l’extrémité de mon sexe. Toutes intriguées elles écoutent les explications de la tante qui les rassure sur la normalité de la chose.
« Eh oui ! C’est comme ça que ça fonctionne un homme, leur dit-elle en me flattant le guilleret ».
Je veux remettre en prison mes outils dans le caleçon, mais Ginette, au grand dam de ses nièces et à ma bonne surprise, s’écrie : « « Voyons, mes chéries, il ne faut surtout pas gâcher le bon suc que tout homme honnête et généreux est en mesure de distribuer à ses amantes ».
Ce faisant, elle s’agenouille devant moi et prend mon sexe dans la bouche pour y lécher les dernières larmes de plaisir qui s’y égouttent encore.

C’est merveilleux ! C’est la première fois qu’on me fait chose pareille. Quel bonheur de sentir sur ma pine la douceur de ses lèvres chaudes et humides ; l’insolence de son bout de langue qui chahute l’extrémité sensible de ma queue et qui entoure mon gland me fait de nouveau bander.
Elle insiste tellement qu’après ce bon petit traitement et toujours sous les yeux médusés des deux filles, en quelques deux ou trois soubresauts je vide entre ses dents une deuxième rasade de plaisir.
Etonné et fier en même temps de découvrir ce plaisir, je suis stupéfait de voir avec combien de joie et de complaisance ma tante avale mon sexe et son jus ; je comprends très vite que c’est une chose qui plait bien aux femmes et mes deux cousines stupéfaites ne sont pas prêtes d’oublier la bonne leçon. Et d’ailleurs, elle va jusqu’à faire goûter à Coralie, mais du bout du doigt, la semence consistance que j’avais déposé sur ses seins. Celle-ci accepte en faisant une grimace, puis avec un petit sourire, elle se pourlèche les lèvres…Mais c’est que ça n’a pas l’air de déplaire à la chipie !


Le lendemain, les cours particuliers continuent et de bonne grâce nous nous retrouvons tous les trois plus ou moins dénudés devant notre éducatrice bien-aimée.
Betty est un peu plus détendue et lorsque Coralie se précipite à nouveau sur mon sexe pour en déguster la saveur, je vois bien qu’elle se rapproche de nous. La cadette est plutôt du genre espiègle et affamée ; comme sa tante elle engloutit ma pine jusqu’aux couilles qu’elle caresse d’une façon sublime en malaxant mes bourses. Sentant le moment venir, je me retire pour éviter le même accident que la veille ; c’est alors que la tante me serre fortement le gland entre son pouce et l’index, à me faire crier de douleur, ce qui a pour effet de stopper immédiatement toute velléité de décharge intempestive.
La leçon reprend doucement, les caresses aussi et mon serin glisse de nouveau entre les lèvres accueillantes de Coralie, il ressort, pénètre à nouveau et le visage de ma suceuse ressemble en cet instant au museau d’un petit agneau en train de téter sa mère en donnant de grands coups de tête pour avaler à fond la bonne friandise. Elle se régale, elle bave et s’amuse à faire rouler mes roustons entre ses doigts, elle s’arrête quand je lui fais signe, me pince, et recommence en pouffant de rire ; elle a vite appris le métier ! Moi je suis en transe.
Au bout d’un bon moment, n’y tenant plus et sentant que je vais tout lâcher je me redresse, les mains dans ses cheveux je lui plaque le visage contre ma pine qui en jets saccadés et puissants lui remplit le palais. Je m’enfonce, sans me retirer et sans qu’elle cherche à le faire, elle déglutit, elle absorbe la chaude liqueur que je n’en finis pas de déverser dans sa bouche et dont on voit quelques gouttes argentées s’échapper à la commissure de ses lèvres. Elle a ses yeux tous blancs et un regard mélangé de stupeur et de délectation.
Je trouve la chose sublime et je suis émerveillé de voir mon sexe se faufiler entre les lèvres de ma délicieuse cousine. Ça a l’air de lui plaire. Elle pompe mon sexe avec le même appoint que si elle croquait un éclair au chocolat. Elle relève son bout du nez et me jette un regard tout blanc, en ayant l’air de me dire que c’est très bon ce machin-là. Moi ça me fait drôle de sentir mes couilles frapper son menton et plus elle me suce et plus j’ai envie de m’enfoncer dans sa bouche et de me vider dans son palais.
Puis quand je me retire, elle prend mon sexe baveux dans ses mains, en le cajolant, et en le retroussant elle lui fait de petites bises sur le bout du gland, puis le reprend à pleine bouche en faisant courir ses doigts le long de la hampe pour bien en soutirer le bon jus. Dans ses yeux renversés je peux deviner la joie et le plaisir qui la comble.
En quittant ses lèvres, mon gland fait encore jaillir deux petits jets sur son bout du nez de Coralie et Ginette se précipite pour la féliciter et l’embrasser à pleine bouche et lui lessiver les babines avec sa langue.
Carolie vient de découvrir quelque chose de merveilleux : ce pouvoir de faire jouir un homme et d’en accepter les épanchements.
Monsieur risquant d’arriver, Ginette décide d’arrêter la séance, non sans avoir encore une fois, pris en bouche mon sexe pour y grappiller frauduleusement quelques gouttes d’amour, bien maigres en vérité car Coralie a tout subtilisé.
Mais Betty, me semble-t-il, a un petit chagrin de ne pas avoir osé finalement tripoter mon vireton et en compensation elle se branle le clito un doigt dedans sa foufoune.
Un beau matin, c’est à Betty de se lancer, malgré ses appréhensions. Sur les conseils bien à propos de Ginette, je suis debout, jambes écartées, elle est agenouillée devant moi, soumise et décidée.
J’ai la trique évidemment et après bien des hésitations elle se saisit de ce membre qui lui fait tant peur et envie à la fois. Elle le regarde, le sent, le touche, le tâte, fait descendre le prépuce, roule mes couilles entre ses doigts, tâte sa consistance, puis après un regard effrayé et concupiscent à sa cousine, pose ses lèvres en cul de poule, sur l’extrémité rigide de mon gland.
Je frémis, je pousse, mais elle ne laisse pas pénétrer l’insolent.
Les dents serrées elle entrouvre les lèvres permettant à l’intrus d’avancer un peu plus, elle ne le refuse pas, elle l’apprécie, le goûte, l’aspire, ouvre la mâchoire, mais bon sang ce qu’il est gros ! Mon gland fait son passage tout doucement en lui frôlant les dents et elle resserre un peu sa mâchoire sur l’intrus qui prend sa place dans son palais.
Elle étouffe et le ressort aussitôt avec un haut le cœur, l’examine de nouveau, le cajole encore, je crois qu’elle y prend goût ! Et hop la voilà qui remet ça, la coquine…elle salive et l’engloutit, elle est adorable ! Ça lui fait une grosse bosse dans les joues.
C’est une bouche féminine et pourtant je la trouve différente que celle de sa frangine. Elle est plus onctueuse, plus serrée, peut-être même un peu plus chaude.
Je vois dans ses yeux une immense fierté : c’est le premier zizi qu’elle prend dans sa bouche, mais apparemment elle a très bien compris comment s’en servir. De nouveau elle le suce, le mordille, s’en amuse ainsi pendant un long moment, comme pour l’apprivoiser et ne plus le craindre.
Je suis bien à l’intérieur…Je la laisse faire.
Elle jette un œil de complicité aux deux femmes et semble me narguer.
« Bon sang ne sait trahir ! » Elles sont bien femelles ces chipies ! Elles ont ça dans la peau…Avec elles je crois que le mâle n’a qu’à bien se tenir pour leur donner du plaisir ; et elles ont bien raison.
Lorsqu’ elle sent par mes grimaces que je vais lâcher mes lévriers, elle hésite, Coralie veut lui reprendre ma pine, la gourmande ! Mais elle ne la lâche pas, la retire et se fait asperger la gorge nue avec un grand sourire et un air malicieux, en se mordant les lèvres la bouche en biais….Ouah !…
Moi je crache ma potion à gros flot contre ses seins que j’inonde. Cela fait des petites volutes d’argent sur sa peau qui frissonne et des perles qui s’égouttent tout au bout de ses tétons.
Quand j’ai tout juté sur ses gros nichons, elle présente de nouveau ma bite devant sa bouche et goûte quelques perles d’amour avec un petit frisson de bonheur et de satisfaction.
Bien sûr elle reçoit les félicitations de notre monitrice pour s’être si bien comportée. Complètement soulagée et heureuse elle rit et chahute avec Coralie, en se frottant, seins contre seins et en se serrant, les mains sur les hanches, elles se congratulent elles s’embrassent à bouche que veux-tu. Elles se lèchent les seins et Ginette n’est pas de reste.

Ce soir elles doivent se sentir un peu plus femmes. Elles ont appris à sucer un homme et ce n’est sûrement pas la dernière pine qu’elles viennent de se payer.
Je crois qu’avec Ginette, elles vont (nous allons), apprendre beaucoup de choses sur le plaisir. Elle est une éducatrice hors pair, nous ne le savons pas encore, mais le début est prometteur….
Aussi chers lecteurs et chères lectrices je suis prêt à vous raconter la suite…
…si ça vous plaît…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle écriture, un premier épisode prometteur, j'adore.

Belle écriture, histoire excitantes, rêves et souvenirs remontent à la surface...
Bravo

Histoire Erotique
Magnifique .... branlette obligée!!! Vite ... la suite!!

Histoire Erotique
Très joliment écrit, avec un parfum "vieille France" (avec jeunes jouvencelles) tout à fait délicieux. Hâte de lire la suite de cette éducation familiale.

Histoire Erotique
Bonjour,bravo pour ce beau récit très agréable à lire et terriblement érotique.merci

Histoire Erotique
j'adore, je suis deja excité en attendant la suite.....

Histoire Erotique
La suite avec impatience

Histoire Erotique
Histoire excitante, j'en bande encore.J'attends la suite. Excellent récit merci.



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