Effeuillage
Récit érotique écrit par Petitchimiste2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Effeuillage
Suite du récit "Variations autour du thème de la table".
Une fois arrivés chez nous, nous prîmes un copieux petit-déjeuner, puis nous couchâmes et dormîmes quelques heures. A notre réveil, avant de nous lever, nous fîmes le bilan de la nuit d'ébats, puis organisâmes les prochaines rencontres.
- Si tu rencontres d’ici jeudi des hommes à ton goût, fixe leur un rendez-vous vendredi prochain entre onze heures trente et minuit, square Alboni sous le viaduc du métro, lui précisai-je.
Notre nouveau lieu de rencontre se situait au bas des escaliers d’accès à la station de métro Passy dans le seizième arrondissement de Paris.
- Et toi, me répondit-elle, quand me feras-tu m'ébattre avec des hommes à mon goût ? Tu m’as proposé d’en rencontrer quelques-uns, mais pour l’instant, je n’ai rien vu venir !
- Sois encore un peu patiente, rétorquai-je ; tu ne seras pas déçue, j’en suis certain.
En fait, j’avais beau cherché des étalons, j’éprouvais des difficultés de recrutement ; tous ceux à qui j’avais proposé des relations sexuelles avec elle avaient refusé cette offre pourtant alléchante. J’allais devoir donc changer ma stratégie commerciale, pour la rendre plus convaincante. Bref, je devais mieux vendre la prestation qu’elle pouvait leur offrir.
Elle ajouta :
- C’est une bonne idée ce rendez-vous galant en plein Paris ; j’adore cette ville !
La suite du week-end se passa sans surprise particulière ; puis nous repartîmes travailler chacun de notre côté le lundi, et nous retrouvâmes en fin de journée dans notre logis. Elle m’annonça qu’elle avait trouvé deux quadragénaires particulièrement excitants :
- Après m'être ébattue avec des jeunes puceaux, expliqua-t-elle, je voudrais baiser avec des mâles expérimentés. Des hommes qui ont atteint la quarantaine devraient normalement convenir.
- A ton aise, répondis-je ; nous verrons bien vendredi.
Le vendredi soir arriva vite. Nous dînâmes vers vingt heures, puis elle prit la salle de bain pour se préparer. Elle précisa :
- Ce soir, je choisis ma toilette seule ; je veux vous faire une surprise, à toi et aux quadras !
Je l’attendais donc assis dans un canapé du salon ; elle me rejoignit vers vingt et une heures trente, elle portait une robe noire à fermeture éclair parcourant son dos du cou au bas des reins. Ses jambes étaient gainées de tulle blanc, et elle s’était chaussée d’escarpins noirs dont les talons mesuraient plus de dix centimètres ; je ne pouvais pas deviner les dessous qu’elle avait enfilés : bas ou collant ? Soutien-gorge, guêpière, body ? Culotte, string ? Porte-jarretelles ? J’avais hâte de participer à l’effeuillage.
Je pris à mon tour la salle de bain. J’étais habillé vers vingt-deux heures, nous quittâmes notre appartement quelques minutes plus tard, et nous dirigeâmes vers la gare. J’avais pris le sac qui contenait des boîtes de préservatifs et qui allait servir à ranger les habits que nous allions tous retirer petit à petit.
Nous descendîmes du métro vers vingt-trois heures à la station Passy ; la température était douce en ce premier vendredi de juin. Comme nous étions en avance, nous entrâmes dans un café pour consommer un triple express : la nuit allait probablement être longue, ces boissons nous permettaient de rester éveillés.
Nous arrivâmes au square Alboni sous le viaduc ferroviaire vers minuit moins le quart. Les deux quadragénaires nous attendaient. Alors que mon épouse embrassait langoureusement l’un d’eux, l’autre baissait la fermeture éclair de sa robe sur toute la hauteur. Puis elle embrassa longuement le second, le premier exigea :
- Lève tes bras !
Elle obtempéra ; il fit passer la robe par-dessus la tête de mon épouse ; nous constatâmes tous les trois qu’elle portait un body noir et un collant blanc qu'elle avait enfilé avant de fermer les pressions de l’entrejambe.
Lorsqu’elle eut fini d’embrasser les deux quadragénaires, elle s’approcha de moi et me tendit sa robe. Alors que je la rangeais dans le sac, je lui fis part de mon étonnement :
- Te rends-tu compte que tu es en dessous en pleine rue passante ?
- Ces deux hommes roulent des pelles comme des dieux, m’expliqua-t-elle. Je ne peux rien leur refuser !
Je ne lui connaissais pas encore ces penchants exhibitionnistes. Sa tenue restait toutefois décente : son body lui cachait son torse et son ventre ; engoncés dans leurs bonnets, ses seins étaient jointifs. Je lui indiquai le début du trajet :
- Prends les deux quadras par la taille, et dirigez-vous vers le pont de Bir Hakeim. Accompagne-les jusqu’au milieu du pont où vous prendrez l’allée aux Cygnes sur votre droite.
Ils marchèrent sur quelques mètres sous le viaduc du métro, puis empruntèrent la passerelle qui enjambait l’avenue du Président Kennedy. Cet ouvrage permettait de rejoindre le pont de Bir Hakeim, au niveau des chaussées destinées aux automobiles. Je suivais le trio.
Ce pont comporte encore de nos jours deux niveaux : un large tablier permet aux automobilistes de traverser la Seine. Il comprend deux chaussées parallèles séparées par une allée piétonnière puissamment éclairée que surplombe sur toute sa longueur le viaduc ferroviaire ; d’imposants piliers le soutiennent sur les côtés.
Nous atteignîmes un trottoir qui longeait une rue perpendiculaire à la passerelle, au-delà de laquelle débutait l’allée piétonnière. Le trio que formaient les deux quadragénaires et mon épouse s’arrêta au bord du parapet ; je m‘installai à leur hauteur.
Les deux hommes dégrafèrent lentement les bretelles du body. Ils le firent rouler ensuite le long des côtes puis des flancs, pour découvrir intégralement sa poitrine ; le body ne couvrait dorénavant plus que son ventre, du nombril au haut des cuisses. La tenue de mon épouse devenait vraiment indécente.
Ainsi libérés de leurs bonnets, les seins, dorénavant bien séparés, retrouvaient leurs positions naturelles. L’un des deux quadragénaires s’exclama :
- Tes nichons sont superbes !
C’était vrai ; chacun des seins avait le volume d’un pamplemousse. Malgré leur ptose, ils étaient bien ronds, et ne ressemblaient ni à des gourdes pesantes, ni à des gants de toilette aplatis. Les aréoles chocolat au lait, tels deux yeux atteints de strabisme légèrement divergent, scrutaient l’horizon. Au centre de chacune d’elles, pointait vers le ciel une noisette de belle taille. La base de chaque sein, placée sous l’aréole, épousait parfaitement une paume de main aux doigts serrés et légèrement pliés. Les mains des deux quadragénaires caressaient cette poitrine généreuse, palpant les seins offerts, faisant rouler les aréoles entre leurs doigts.
Nous traversâmes la rue et nous engageâmes dans l’allée sous le viaduc ferroviaire. Le trio marchait lentement vers la berge opposée, les quadragénaires malaxaient les seins nus, palpaient les fesses au travers du body et du collant.
Arrivés à mi-chemin entre les deux rives, nous obliquâmes vers la droite, traversâmes la chaussée carrossable, empruntâmes un escalier qui descendait vers l’Ile aux Cygnes. Elle est large d’environ dix mètres, et une allée piétonnière permet de relier le Pont de Bir Hakeim à celui de Grenelle, au-delà duquel s’érige la Statue de la Liberté. La circulation automobile y est impossible, il n’y a pas de chaussée carrossable.
Nous atteignîmes l’allée piétonnière, arborée, peu éclairée et longée de quelques bancs. Le trio s’arrêta devant le premier situé à sa droite. Les deux quadragénaires y firent grimper mon épouse face à l’allée ; l’un d’eux s’installa devant elle, l’autre se glissa derrière.
- Ecarte largement tes pieds, exigea celui qui lui faisait face.
Elle obéit. Un lampadaire placé au-dessus du banc diffusait une lumière peu intense. Les deux hommes dégrafèrent les pressions de l’entrejambe du body qu’ils relevèrent jusqu’au-dessus de la taille du collant. Nous constatâmes tous les trois qu’elle ne portait pas de culotte, et pûmes donc voir par transparence sa toison pubienne tondue. Les deux quadragénaires firent glisser les deux moitiés de l’entrejambe entre la peau et le body, qui ressemblait dorénavant à une étroite ceinture située juste sous les côtes de mon épouse.
L’homme situé derrière elle baissa lentement le collant à mi-cuisses, puis lui pétrit longuement les fesses de ses deux mains, alors que l’autre quadragénaire lui caressait les grandes lèvres.
- Elles sont râpeuses, s’étonna-t-il.
Il était vrai que je les avais rasées le week-end précédent, et que j’avais tondu à un demi-centimètre le reste de sa toison. En une semaine, les poils pubiens avaient poussé d’environ deux millimètres.
- C’est original, ajouta-t-il, mais j’aime bien.
Il caressa ensuite la toison ; les poils courts étaient raides et pointus, le quadragénaire devait ressentir de légers picotements au bout de ses doigts et dans sa paume, ce qu’il confirma :
- Ta chatte me brosse le creux de la main ! Cela me donne une idée.
Il remonta le collant jusqu’à la taille, puis malaxa délicatement le bas du ventre de mon épouse au travers du tissu transparent, de chaque côté de sa toison ; petit à petit, les poils pubiens passaient au travers des mailles du collant. Après dix bonnes minutes de ce traitement, une bonne partie de sa toison avait transpercé le fin tissu.
- Montrez-moi vos bites, nous demanda mon épouse.
Nous ne lui obéîmes pas ; nous l’aidâmes à descendre du banc, puis nous reprîmes notre marche en nous éloignant du Pont de Bir Hakeim, elle se tenait entre les deux quadragénaires qui reprirent le malaxage des seins et la palpation des fesses.
La densité du feuillage dru de cette fin de printemps isolait presque intégralement l’allée de la luminosité nocturne de Paris : entre deux lampadaires, nous déambulions dans une obscurité totale.
Nous parcourûmes quelques centaines de mètres ; des voies ferrées franchissaient l’allée sur le Pont Rouelle. Le trio se dirigea vers le pilier gauche de l’ouvrage, les deux quadragénaires firent monter mon épouse sur une petite marche devant une niche qu’un proche lampadaire éclairait faiblement. Elle nous fit face.
- Serre tes pieds, exigea l’un d’eux.
Ils saisirent le body, l’un à droite, l’autre à gauche, puis le firent descendre le long des jambes gainées de tulle blanc. Ils me tendirent le dessous que je rangeais dans le sac. L’un d’eux posa ses mains sur les épaules de mon épouse.
- Roule-moi une pelle, dit-il doucement.
Elle se pencha en avant pour embrasser son partenaire ; son torse se plaça en position horizontale, et ses seins furent soumis à la pesanteur. Ils ballottaient légèrement sous sa cage thoracique, tels deux grosses gouttes d’eau qui étaient sur le point de se détacher d’un plafond. Le baiser dura plusieurs minutes pendant lesquelles l’autre quadragénaire lui caressait délicatement sa poitrine, et que je lui pétrissais les fesses à travers le collant.
Elle se redressa ; comme la peau de son bas-ventre s’était éloignée du tissu en tulle alors qu’elle était penchée en avant, sa toison pubienne avait retrouvé sa place à l’intérieur du collant. Elle descendit du parapet, nous entrâmes sous le Pont Rouelle, nous en ressortîmes quelques secondes plus tard. Elle s’était à nouveau placée entre les deux quadragénaires, et avait roulé ses bras autour de leurs tailles.
- Ouvrez vos braguettes ; sortez vos bites et vos couilles, exigea-t-elle à la sortie du pont !
A partir de cet instant, les trois hommes que nous étions nous entendîmes pour rester intégralement vêtus et pour ne pas la pénétrer jusqu’à notre arrivée au pied de la Statue de la Liberté. Nous ne lui obéîmes donc pas. Nous parcourûmes encore quelques centaines de mètres, puis nous arrêtâmes dès que le dos de la statue apparut au travers des frondaisons épaisses. Je me présentai devant le trio, embrassai mon épouse, lui retirai le collant. Une fois nue de la tête aux chevilles (elle avait gardé ses escarpins à hauts talons), elle écarta les jambes, puis me demanda :
- Mets-moi une main au panier !
Je serrai mes doigts, puis glissai ma main droite sous son ventre ; je caressais quelques secondes ses petites lèvres sans les ouvrir, puis retirais prestement ma main : je voulais la faire languir. Lorsque nous reprîmes notre marche en avant, elle semblait frustrée, en manque de sensation sexuelle forte.
Lorsque nous aperçûmes le Pont de Grenelle, elle nous arrêta, puis nous interrogea :
- Vous voulez que je vous accompagne sous le tablier du pont complètement à poil, alors que l’éclairage y est intense ?
Non seulement l’île sous le pont était particulièrement éclairée, mais également ses alentours ; tout passant marchant sur le trottoir du tablier pouvait distinctement observer les évènements se déroulant en contrebas : d’où la réticence de mon épouse à qui je répondis :
- Nous allons continuer notre marche vers la statue ; il paraît que les femmes qui se font sauter en public et à poil ont des sensations particulières. Tu pourras confirmer ou infirmer en fin de nuit !
En fait, nous n’avions jusqu’à présent croisé personne depuis notre rencontre avec les deux quadragénaires. Le public allait très probablement être limité, voire inexistant. Cependant, si elle se faisait surprendre dans l’obscurité, il lui serait simple de se cacher ; alors qu’en pleine lumière …
Nous reprîmes notre marche, je suivais le trio de quelques mètres. Au fur et à mesure que l’éclairage s’intensifiait, je me rendais compte que mon épouse était particulièrement belle de dos ; son torse était droit, et ses flancs cintrés entre le bas de la cage thoracique et le haut des hanches lui donnaient une belle silhouette. Ses fesses rebondies n’étaient pas grasses, et surmontaient des jambes longues et fines.
Nous descendîmes un escalier puissamment éclairé qui permettait de joindre l’espace sous le tablier du pont. Nous nous arrêtâmes sur la quatrième ou cinquième marche, l’un des quadragénaires lui demanda :
- Ecarte fortement tes jambes.
Elle obtempéra ; l’angle de ses cuisses mesurait environ soixante degrés. Les deux quadragénaires et moi descendîmes trois marches supplémentaires, puis nous penchâmes pour observer son sexe par en dessous. Je réalisai qu’elle était également très belle de face : sous sa poitrine généreuse, son ventre était si plat que je voyais les détails de la cicatrice de naissance dans son nombril, sous lequel l’abdomen plongeait entre ses jambes. Sa toison tondue ressemblait à une pointe de flèche émoussée qui indiquait le chemin à suivre pour atteindre son puits de bonheur, véritable Graal que cherchaient les hommes qui lui faisaient la cour. Ses deux grossesses n'avaient pas altéré sa beauté, bien au contraire.
- Ecarte tes lèvres avec tes mains, montre-nous l’intérieur de ta chatte, ajouta le quadragénaire.
Elle dévoilait ainsi sa vulve. Le quadragénaire commença l’inventaire complet de son appareil génital :
- Joli clito, expliqua-t-il, mais il est vraiment petit.
Il le pressa de son index, mon épouse émit un long soupir de plaisir. Alors qu’il faisait tourner son doigt pour exciter le clitoris, elle nous supplia :
- Je vous en prie, laissez-moi tripoter vos zobs et vos burnes !
- Tu ne peux pas, lui répondis-je, tu as déjà les deux mains occupées.
Son besoin de jouer avec les sexes masculins avait évolué en quelques minutes : elle en avait d’abord fait une demande, qui était devenu une exigence, puis enfin une supplique.
Son clitoris avait légèrement grossi ; le quadragénaire continua l’inventaire des organes les plus intimes de sa vulve :
- Cherchons le petit trou qui te permet de pisser, s’exclama-t-il !
Il cessa d’exciter le clitoris pour chercher l’urètre. Elle proposa alors :
- J’ai un autre trou plus facile à trouver ; je vous en supplie, fouillez-le, puis enfilez-moi !
Les doigts qui cherchaient l’urètre firent alors plusieurs fois le tour de l'entrée du vagin, sans y pénétrer.
- C’est vrai que ce trou-là est plus facile à trouver, précisa-t-il.
L'excitation sexuelle accrut les sécrétions vaginales ; la vulve de mon épouse était dorénavant luisante, presque ruisselante. Les subtils mots crus choisis par les quadragénaires, les diverses caresses que nous lui faisions et sa nudité intégrale avaient petit à petit exacerbé son désir. Nous caressâmes à tour de rôle sa vulve offerte, sans faire pénétrer le moindre doigt dans son vagin.
Nous cessâmes les attouchements sur son sexe, puis accompagnâmes mon épouse, qui nous suppliait de l'honorer, en lui pétrissant les seins jusqu’à notre arrivée au pied de la Statue de la Liberté.
Une fois arrivés chez nous, nous prîmes un copieux petit-déjeuner, puis nous couchâmes et dormîmes quelques heures. A notre réveil, avant de nous lever, nous fîmes le bilan de la nuit d'ébats, puis organisâmes les prochaines rencontres.
- Si tu rencontres d’ici jeudi des hommes à ton goût, fixe leur un rendez-vous vendredi prochain entre onze heures trente et minuit, square Alboni sous le viaduc du métro, lui précisai-je.
Notre nouveau lieu de rencontre se situait au bas des escaliers d’accès à la station de métro Passy dans le seizième arrondissement de Paris.
- Et toi, me répondit-elle, quand me feras-tu m'ébattre avec des hommes à mon goût ? Tu m’as proposé d’en rencontrer quelques-uns, mais pour l’instant, je n’ai rien vu venir !
- Sois encore un peu patiente, rétorquai-je ; tu ne seras pas déçue, j’en suis certain.
En fait, j’avais beau cherché des étalons, j’éprouvais des difficultés de recrutement ; tous ceux à qui j’avais proposé des relations sexuelles avec elle avaient refusé cette offre pourtant alléchante. J’allais devoir donc changer ma stratégie commerciale, pour la rendre plus convaincante. Bref, je devais mieux vendre la prestation qu’elle pouvait leur offrir.
Elle ajouta :
- C’est une bonne idée ce rendez-vous galant en plein Paris ; j’adore cette ville !
La suite du week-end se passa sans surprise particulière ; puis nous repartîmes travailler chacun de notre côté le lundi, et nous retrouvâmes en fin de journée dans notre logis. Elle m’annonça qu’elle avait trouvé deux quadragénaires particulièrement excitants :
- Après m'être ébattue avec des jeunes puceaux, expliqua-t-elle, je voudrais baiser avec des mâles expérimentés. Des hommes qui ont atteint la quarantaine devraient normalement convenir.
- A ton aise, répondis-je ; nous verrons bien vendredi.
Le vendredi soir arriva vite. Nous dînâmes vers vingt heures, puis elle prit la salle de bain pour se préparer. Elle précisa :
- Ce soir, je choisis ma toilette seule ; je veux vous faire une surprise, à toi et aux quadras !
Je l’attendais donc assis dans un canapé du salon ; elle me rejoignit vers vingt et une heures trente, elle portait une robe noire à fermeture éclair parcourant son dos du cou au bas des reins. Ses jambes étaient gainées de tulle blanc, et elle s’était chaussée d’escarpins noirs dont les talons mesuraient plus de dix centimètres ; je ne pouvais pas deviner les dessous qu’elle avait enfilés : bas ou collant ? Soutien-gorge, guêpière, body ? Culotte, string ? Porte-jarretelles ? J’avais hâte de participer à l’effeuillage.
Je pris à mon tour la salle de bain. J’étais habillé vers vingt-deux heures, nous quittâmes notre appartement quelques minutes plus tard, et nous dirigeâmes vers la gare. J’avais pris le sac qui contenait des boîtes de préservatifs et qui allait servir à ranger les habits que nous allions tous retirer petit à petit.
Nous descendîmes du métro vers vingt-trois heures à la station Passy ; la température était douce en ce premier vendredi de juin. Comme nous étions en avance, nous entrâmes dans un café pour consommer un triple express : la nuit allait probablement être longue, ces boissons nous permettaient de rester éveillés.
Nous arrivâmes au square Alboni sous le viaduc ferroviaire vers minuit moins le quart. Les deux quadragénaires nous attendaient. Alors que mon épouse embrassait langoureusement l’un d’eux, l’autre baissait la fermeture éclair de sa robe sur toute la hauteur. Puis elle embrassa longuement le second, le premier exigea :
- Lève tes bras !
Elle obtempéra ; il fit passer la robe par-dessus la tête de mon épouse ; nous constatâmes tous les trois qu’elle portait un body noir et un collant blanc qu'elle avait enfilé avant de fermer les pressions de l’entrejambe.
Lorsqu’elle eut fini d’embrasser les deux quadragénaires, elle s’approcha de moi et me tendit sa robe. Alors que je la rangeais dans le sac, je lui fis part de mon étonnement :
- Te rends-tu compte que tu es en dessous en pleine rue passante ?
- Ces deux hommes roulent des pelles comme des dieux, m’expliqua-t-elle. Je ne peux rien leur refuser !
Je ne lui connaissais pas encore ces penchants exhibitionnistes. Sa tenue restait toutefois décente : son body lui cachait son torse et son ventre ; engoncés dans leurs bonnets, ses seins étaient jointifs. Je lui indiquai le début du trajet :
- Prends les deux quadras par la taille, et dirigez-vous vers le pont de Bir Hakeim. Accompagne-les jusqu’au milieu du pont où vous prendrez l’allée aux Cygnes sur votre droite.
Ils marchèrent sur quelques mètres sous le viaduc du métro, puis empruntèrent la passerelle qui enjambait l’avenue du Président Kennedy. Cet ouvrage permettait de rejoindre le pont de Bir Hakeim, au niveau des chaussées destinées aux automobiles. Je suivais le trio.
Ce pont comporte encore de nos jours deux niveaux : un large tablier permet aux automobilistes de traverser la Seine. Il comprend deux chaussées parallèles séparées par une allée piétonnière puissamment éclairée que surplombe sur toute sa longueur le viaduc ferroviaire ; d’imposants piliers le soutiennent sur les côtés.
Nous atteignîmes un trottoir qui longeait une rue perpendiculaire à la passerelle, au-delà de laquelle débutait l’allée piétonnière. Le trio que formaient les deux quadragénaires et mon épouse s’arrêta au bord du parapet ; je m‘installai à leur hauteur.
Les deux hommes dégrafèrent lentement les bretelles du body. Ils le firent rouler ensuite le long des côtes puis des flancs, pour découvrir intégralement sa poitrine ; le body ne couvrait dorénavant plus que son ventre, du nombril au haut des cuisses. La tenue de mon épouse devenait vraiment indécente.
Ainsi libérés de leurs bonnets, les seins, dorénavant bien séparés, retrouvaient leurs positions naturelles. L’un des deux quadragénaires s’exclama :
- Tes nichons sont superbes !
C’était vrai ; chacun des seins avait le volume d’un pamplemousse. Malgré leur ptose, ils étaient bien ronds, et ne ressemblaient ni à des gourdes pesantes, ni à des gants de toilette aplatis. Les aréoles chocolat au lait, tels deux yeux atteints de strabisme légèrement divergent, scrutaient l’horizon. Au centre de chacune d’elles, pointait vers le ciel une noisette de belle taille. La base de chaque sein, placée sous l’aréole, épousait parfaitement une paume de main aux doigts serrés et légèrement pliés. Les mains des deux quadragénaires caressaient cette poitrine généreuse, palpant les seins offerts, faisant rouler les aréoles entre leurs doigts.
Nous traversâmes la rue et nous engageâmes dans l’allée sous le viaduc ferroviaire. Le trio marchait lentement vers la berge opposée, les quadragénaires malaxaient les seins nus, palpaient les fesses au travers du body et du collant.
Arrivés à mi-chemin entre les deux rives, nous obliquâmes vers la droite, traversâmes la chaussée carrossable, empruntâmes un escalier qui descendait vers l’Ile aux Cygnes. Elle est large d’environ dix mètres, et une allée piétonnière permet de relier le Pont de Bir Hakeim à celui de Grenelle, au-delà duquel s’érige la Statue de la Liberté. La circulation automobile y est impossible, il n’y a pas de chaussée carrossable.
Nous atteignîmes l’allée piétonnière, arborée, peu éclairée et longée de quelques bancs. Le trio s’arrêta devant le premier situé à sa droite. Les deux quadragénaires y firent grimper mon épouse face à l’allée ; l’un d’eux s’installa devant elle, l’autre se glissa derrière.
- Ecarte largement tes pieds, exigea celui qui lui faisait face.
Elle obéit. Un lampadaire placé au-dessus du banc diffusait une lumière peu intense. Les deux hommes dégrafèrent les pressions de l’entrejambe du body qu’ils relevèrent jusqu’au-dessus de la taille du collant. Nous constatâmes tous les trois qu’elle ne portait pas de culotte, et pûmes donc voir par transparence sa toison pubienne tondue. Les deux quadragénaires firent glisser les deux moitiés de l’entrejambe entre la peau et le body, qui ressemblait dorénavant à une étroite ceinture située juste sous les côtes de mon épouse.
L’homme situé derrière elle baissa lentement le collant à mi-cuisses, puis lui pétrit longuement les fesses de ses deux mains, alors que l’autre quadragénaire lui caressait les grandes lèvres.
- Elles sont râpeuses, s’étonna-t-il.
Il était vrai que je les avais rasées le week-end précédent, et que j’avais tondu à un demi-centimètre le reste de sa toison. En une semaine, les poils pubiens avaient poussé d’environ deux millimètres.
- C’est original, ajouta-t-il, mais j’aime bien.
Il caressa ensuite la toison ; les poils courts étaient raides et pointus, le quadragénaire devait ressentir de légers picotements au bout de ses doigts et dans sa paume, ce qu’il confirma :
- Ta chatte me brosse le creux de la main ! Cela me donne une idée.
Il remonta le collant jusqu’à la taille, puis malaxa délicatement le bas du ventre de mon épouse au travers du tissu transparent, de chaque côté de sa toison ; petit à petit, les poils pubiens passaient au travers des mailles du collant. Après dix bonnes minutes de ce traitement, une bonne partie de sa toison avait transpercé le fin tissu.
- Montrez-moi vos bites, nous demanda mon épouse.
Nous ne lui obéîmes pas ; nous l’aidâmes à descendre du banc, puis nous reprîmes notre marche en nous éloignant du Pont de Bir Hakeim, elle se tenait entre les deux quadragénaires qui reprirent le malaxage des seins et la palpation des fesses.
La densité du feuillage dru de cette fin de printemps isolait presque intégralement l’allée de la luminosité nocturne de Paris : entre deux lampadaires, nous déambulions dans une obscurité totale.
Nous parcourûmes quelques centaines de mètres ; des voies ferrées franchissaient l’allée sur le Pont Rouelle. Le trio se dirigea vers le pilier gauche de l’ouvrage, les deux quadragénaires firent monter mon épouse sur une petite marche devant une niche qu’un proche lampadaire éclairait faiblement. Elle nous fit face.
- Serre tes pieds, exigea l’un d’eux.
Ils saisirent le body, l’un à droite, l’autre à gauche, puis le firent descendre le long des jambes gainées de tulle blanc. Ils me tendirent le dessous que je rangeais dans le sac. L’un d’eux posa ses mains sur les épaules de mon épouse.
- Roule-moi une pelle, dit-il doucement.
Elle se pencha en avant pour embrasser son partenaire ; son torse se plaça en position horizontale, et ses seins furent soumis à la pesanteur. Ils ballottaient légèrement sous sa cage thoracique, tels deux grosses gouttes d’eau qui étaient sur le point de se détacher d’un plafond. Le baiser dura plusieurs minutes pendant lesquelles l’autre quadragénaire lui caressait délicatement sa poitrine, et que je lui pétrissais les fesses à travers le collant.
Elle se redressa ; comme la peau de son bas-ventre s’était éloignée du tissu en tulle alors qu’elle était penchée en avant, sa toison pubienne avait retrouvé sa place à l’intérieur du collant. Elle descendit du parapet, nous entrâmes sous le Pont Rouelle, nous en ressortîmes quelques secondes plus tard. Elle s’était à nouveau placée entre les deux quadragénaires, et avait roulé ses bras autour de leurs tailles.
- Ouvrez vos braguettes ; sortez vos bites et vos couilles, exigea-t-elle à la sortie du pont !
A partir de cet instant, les trois hommes que nous étions nous entendîmes pour rester intégralement vêtus et pour ne pas la pénétrer jusqu’à notre arrivée au pied de la Statue de la Liberté. Nous ne lui obéîmes donc pas. Nous parcourûmes encore quelques centaines de mètres, puis nous arrêtâmes dès que le dos de la statue apparut au travers des frondaisons épaisses. Je me présentai devant le trio, embrassai mon épouse, lui retirai le collant. Une fois nue de la tête aux chevilles (elle avait gardé ses escarpins à hauts talons), elle écarta les jambes, puis me demanda :
- Mets-moi une main au panier !
Je serrai mes doigts, puis glissai ma main droite sous son ventre ; je caressais quelques secondes ses petites lèvres sans les ouvrir, puis retirais prestement ma main : je voulais la faire languir. Lorsque nous reprîmes notre marche en avant, elle semblait frustrée, en manque de sensation sexuelle forte.
Lorsque nous aperçûmes le Pont de Grenelle, elle nous arrêta, puis nous interrogea :
- Vous voulez que je vous accompagne sous le tablier du pont complètement à poil, alors que l’éclairage y est intense ?
Non seulement l’île sous le pont était particulièrement éclairée, mais également ses alentours ; tout passant marchant sur le trottoir du tablier pouvait distinctement observer les évènements se déroulant en contrebas : d’où la réticence de mon épouse à qui je répondis :
- Nous allons continuer notre marche vers la statue ; il paraît que les femmes qui se font sauter en public et à poil ont des sensations particulières. Tu pourras confirmer ou infirmer en fin de nuit !
En fait, nous n’avions jusqu’à présent croisé personne depuis notre rencontre avec les deux quadragénaires. Le public allait très probablement être limité, voire inexistant. Cependant, si elle se faisait surprendre dans l’obscurité, il lui serait simple de se cacher ; alors qu’en pleine lumière …
Nous reprîmes notre marche, je suivais le trio de quelques mètres. Au fur et à mesure que l’éclairage s’intensifiait, je me rendais compte que mon épouse était particulièrement belle de dos ; son torse était droit, et ses flancs cintrés entre le bas de la cage thoracique et le haut des hanches lui donnaient une belle silhouette. Ses fesses rebondies n’étaient pas grasses, et surmontaient des jambes longues et fines.
Nous descendîmes un escalier puissamment éclairé qui permettait de joindre l’espace sous le tablier du pont. Nous nous arrêtâmes sur la quatrième ou cinquième marche, l’un des quadragénaires lui demanda :
- Ecarte fortement tes jambes.
Elle obtempéra ; l’angle de ses cuisses mesurait environ soixante degrés. Les deux quadragénaires et moi descendîmes trois marches supplémentaires, puis nous penchâmes pour observer son sexe par en dessous. Je réalisai qu’elle était également très belle de face : sous sa poitrine généreuse, son ventre était si plat que je voyais les détails de la cicatrice de naissance dans son nombril, sous lequel l’abdomen plongeait entre ses jambes. Sa toison tondue ressemblait à une pointe de flèche émoussée qui indiquait le chemin à suivre pour atteindre son puits de bonheur, véritable Graal que cherchaient les hommes qui lui faisaient la cour. Ses deux grossesses n'avaient pas altéré sa beauté, bien au contraire.
- Ecarte tes lèvres avec tes mains, montre-nous l’intérieur de ta chatte, ajouta le quadragénaire.
Elle dévoilait ainsi sa vulve. Le quadragénaire commença l’inventaire complet de son appareil génital :
- Joli clito, expliqua-t-il, mais il est vraiment petit.
Il le pressa de son index, mon épouse émit un long soupir de plaisir. Alors qu’il faisait tourner son doigt pour exciter le clitoris, elle nous supplia :
- Je vous en prie, laissez-moi tripoter vos zobs et vos burnes !
- Tu ne peux pas, lui répondis-je, tu as déjà les deux mains occupées.
Son besoin de jouer avec les sexes masculins avait évolué en quelques minutes : elle en avait d’abord fait une demande, qui était devenu une exigence, puis enfin une supplique.
Son clitoris avait légèrement grossi ; le quadragénaire continua l’inventaire des organes les plus intimes de sa vulve :
- Cherchons le petit trou qui te permet de pisser, s’exclama-t-il !
Il cessa d’exciter le clitoris pour chercher l’urètre. Elle proposa alors :
- J’ai un autre trou plus facile à trouver ; je vous en supplie, fouillez-le, puis enfilez-moi !
Les doigts qui cherchaient l’urètre firent alors plusieurs fois le tour de l'entrée du vagin, sans y pénétrer.
- C’est vrai que ce trou-là est plus facile à trouver, précisa-t-il.
L'excitation sexuelle accrut les sécrétions vaginales ; la vulve de mon épouse était dorénavant luisante, presque ruisselante. Les subtils mots crus choisis par les quadragénaires, les diverses caresses que nous lui faisions et sa nudité intégrale avaient petit à petit exacerbé son désir. Nous caressâmes à tour de rôle sa vulve offerte, sans faire pénétrer le moindre doigt dans son vagin.
Nous cessâmes les attouchements sur son sexe, puis accompagnâmes mon épouse, qui nous suppliait de l'honorer, en lui pétrissant les seins jusqu’à notre arrivée au pied de la Statue de la Liberté.
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