Éléa, bibliothécaire... espiègle (4ème partie) - histoire érotique

Éléa avait toute confiance en Lucas. C'est pourquoi elle a écarté ses cuisses de plus belle. L'invitation était on-ne-peut-plus claire. Le bel usager l'a reçue cinq sur cinq, d'ailleurs, l'invitation. Il n'a pas perdu une seconde de plus et il a tendu la bouche en direction du sexe de la jeune et jolie bibliothécaire. Elle, elle a retenu son souffle...



Lucas a été subjugué par la beauté du minou qu'il avait sous les yeux. C'était un beau sexe féminin, rose, dénué de poils. C'était un beau sexe féminin qui luisait de cyprine. Ça voulait dire ce que ça voulait dire. Ça excitait la jeune femme, ce qu'il se passait. Elle avait tout pour elle, décidément.



Éléa s'est laissée complètement aller. Elle avait de quoi être à l'aise. Elle était en galante compagnie et elle prenait son pied. Son fantasme numéro un était là... et il était en train de la lécher. La jeune femme aux longs cheveux bruns avait les yeux fermés. Les jambes bien écartées, elle s'offrait à son bel usager. Oui. Elle ne pouvait pas être mieux, Éléa.





Confortablement allongée sur le dos, Éléa revit le moment chaud qu'elle a partagé avec Lucas, ce soir. Les yeux fermés, elle ne pense qu'à ça. Une sensation étrange mais agréable est née dans son corps. Éléa connaît cette sensation pour l'avoir déjà ressentie par le passé. Ça s'appelle avoir les papillons dans le ventre. Au jour d'aujourd'hui, elle n'a plus que Lucas en tête.



Jamais un homme n'avait fait autant de l'effet à Éléa, avant Lucas. Elle aime ça, la jeune et jolie bibliothécaire. Et là, assise sur le rebord de cette table, dans la réserve, les cuisses bien écartées, Éléa offrait son sexe à la vue, au nez et à la bouche de son bel usager. C'était une invitation claire, nette, précise et Lucas n'avait pas du tout l'intention de la laisser filer, cette invitation.





Éléa avait tout pour être bien. En même temps... Il ne pouvait pas en être autrement. Son bel usager était à l'écoute du plaisir qu'elle avait. Et dieu sait qu'elle en avait du plaisir, Éléa. Elle maintenait ses yeux fermés. Elle maintenait ses cuisses bien écartées. Elle se touchait les seins. Elle exprimait son plaisir comme bon lui semblait.





Lucas aime les femmes. Quand elles sont coquines, il les aime encore plus. La jolie bibliothécaire l'est, coquine. Elle est mignonne, qui plus est. Elle a ce qu'il faut là où il faut. Quand il lira des livres de la bibliothèque, il aura une pensée particulière pour la jeune femme. Ces livres... Peut-être qu'elle les a touchés, un jour... Désormais, Lucas aura toujours ça dans un coin de la tête.



Quand Lucas lira un livre, il aura la jeune et jolie bibliothécaire dans un coin de la tête. Il aura le sourire aux lèvres quand le sourire d'Éléa se rappellera à son bon souvenir. Il sentira une tension au niveau de son entrejambe lorsqu'il se remémorera les gros seins de la jeune femme. Peut-être même ressentira t-il l'envie de se masturber lorsqu'il pensera à elle...



Elle est mimi, la jeune et jolie bibliothécaire. Il ne la voyait pas comme ça. Au final, c'est tout sauf pour lui déplaire. Mais... D'un autre côté... Le revers de la médaille, c'est aussi qu'il ressent de la culpabilité, à présent. Il est marié et il l'aime, son épouse. Elle aussi, elle est jolie. Mais voilà. Éléa, la bibliothécaire espiègle, est entrée dans sa vie.





Le temps d'une partie de jambes en l'air, Lucas a tout oublié. Il n'en avait plus que pour la bibliothécaire. À genoux, installé entre ses jambes, Lucas léchait la belle petite chatte qui lui était offerte. Éléa, elle, se laissait aller. Qu'est-ce qu'elle était... bien.



Elle ne pouvait que laisser ses cuisses bien écartées. Jamais un homme ne s'y était aussi bien pris à lui faire un cunni. La jeune femme maintenait ses yeux fermés. C'était incongru, ce qu'il se passait dans la réserve. Heureusement qu'il n'y avait personne dans l'enceinte de la bibliothèque... Éléa, avec le recul, réalise qu'elle n'avait pas pris la précaution de fermer la bibliothèque au moment même où elle s'envoyait en l'air avec Lucas. Sur le coup, elle s'en fichait comme de la dernière petite culotte qu'elle avait dans son dressing.



La jeune femme n'a pas résisté à l'envie de prendre ses gros seins dans la paume de ses mains pour se les caresser. C'est quelque chose qu'elle aime, quand elle a du plaisir. Quand elle stimule sa poitrine, elle prend davantage de plaisir. Il faut dire qu'elle aime sa poitrine rebondie et qu'elle en est fière.



Éléa aime sentir à la fois la douceur et le moelleux de ses seins. C'est la partie de son corps qu'elle aime le plus. Du coup, elle y prend grand soin. Et elle aime tout autant la mettre en valeur, sa belle poitrine.

La jeune femme se sentait parfaitement à l'aise. Elle aimait sentir la langue de son bel usager sur son sexe. La caresse de ses mains sur ses gros seins faisait que les sensations qu'elle ressentait étaient décuplées. C'était... exquis. C'était... voluptueux. C'était tout ce qu'elle appréciait lorsqu'elle s'envoyait en l'air. Elle faisait confiance à son amant, les yeux fermés... au sens propre du terme.



Éléa avait les deux mains qui étaient posées sous le galbe de sa poitrine généreuse. Ce qu'elle aime quand elle se caresse ou bien quand elle fait l'amour, c'est presser ses seins l'un contre l'autre...



Non seulement ça l'excite, mais elle sait que ce genre de chose, ça excite les mecs avec qui elle couche. La jeune femme ne sait que trop bien que les hommes louchent sur ses seins quand ils la croisent dans la rue. Combien de fois a t-elle grillé leur regard qui s'est perdu sur sa poitrine? Ça ne la surprend plus à force. Elle aime même ça. Du coup, elle se gêne pas pour la mettre en valeur, sa poitrine. Au fur et à mesure que le temps passe, c'est devenu quelque chose auquel elle a pris goût. C'est quelque chose de naturel pour elle.  Elle aime ça.

Éléa est une femme heureuse, ce soir. Elle a passé un bonne journée, au boulot. Elle ne pouvait pas mieux la finir, cette journée. Elle pense et repense à ce qu'il s'est passé. Elle ne pensait pas qu'elle ferait ça un jour. Et pourtant, oui. C'est bel et bien ce qu'il s'est passé.



Éléa s'est décidée à rouvrir les yeux. Elle avait envie de voir comment Lucas s'y prenait. Le moins qu'on puisse dire, c'était qu'il s'y prenait bien. La jeune femme avait le cœur qui battait la chamade. Elle aimait ça, sentir les lèvres de son bel usager sur sa belle petite chatte. Elle ressentait des guillis agréables dans son bas-ventre. Plus Lucas la léchait, plus elle aimait ça. Plus elle avait du plaisir, moins elle parvenait à maîtriser les mouvements de son corps. Depuis un petit moment, la jeune femme s'est mise à onduler du bassin. Espiègle comme elle peut l'être, elle s'est également mise à frotter son sexe contre la bouche de son amant. Ça lui plaisait. Ni une, ni deux, elle s'en est amusée et elle a décidé d'en jouer.

C'est fou comme on peut être bien lorsque l'on est en compagnie d'une personne en qui on a confiance... et avec qui on prend du plaisir. Jamais Éléa ne s'est sentie aussi bien, d'aussi loin qu'elle se souvienne. Et elle le voyait, Lucas... Oui, elle le voyait. Il était concentré. Il était appliqué. Jamais Éléa n'avait pris autant de plaisir à être léchée. C'était la première fois où elle se laissait complètement aller. Éléa a décidé de déplacer ses mains. Elle les a portées sur la tête de Lucas. Là. La jeune femme a glissé ses doigts dans les cheveux de son bel usager. Lucas a instantanément réagi. Il a compris ce qu'il se passait, ce qu'Éléa faisait. Le temps d'un instant, l'homme a relevé la tête. Son regard a rencontré celui de la jeune et jolie bibliothécaire...



C'était donc vrai... Ils étaient en train de faire crac-crac. Ça leur plaisait, à l'un comme à l'autre, ce qu'il se passait. Ils aimaient le moment qu'ils vivaient ensemble. Ça n'aurait lieu qu'une fois. Et bien entendu, ce serait leur secret. Éléa et Lucas se sont souri. La. Leur pacte était scellé.





- Tu es si belle... Je me demande comment ça se fait que je ne t'ai pas rencontrée avant.

- Chuuuuttt... Tais-toi. Ça n'a pas d'importance. Continue de me lécher.





Mais quelle coquine, cette fille! Ah... S'il n'était pas marié... S'il l'avait rencontrée, cette nana... Tout serait différent. Non. Il fallait qu'il s'enlève ça tout de suite de la tête. C'était déjà mal, ce qu'il faisait. Il est marié et il l'aime, sa femme. Voilà qu'il était infidèle... Il fallait que ça s'arrête avant que les choses n'aillent plus loin. En réalité, c'était trop tard. Lucas est tombé sous le charme d'Éléa. Le mal était fait. L'usager avait craqué pour la jeune et jolie bibliothécaire. Il n'était plus en mesure de retrouver ses esprits. Et sans perdre de temps, Lucas a replongé son visage entre les cuisses d'Éléa.



Éléa, elle aussi, aurait pu ET dû mettre les ola et dire que ce n'était pas bien, qu'ils devaient arrêter tant que c'était encore possible.

Il n'en a rien été. Éléa était bien. Et elle ne voulait pas que Lucas arrête de s'occuper d'elle...