Eliane, ou une quinca heureuse
Récit érotique écrit par Maitre A [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Eliane, ou une quinca heureuse
La révélation
Une fois n’est pas coutume, je vais vous conter une histoire qui me touche de très près. Et pour cause, elle se déroule cet été et j’en suis un des protagonistes.
Éliane est une secrétaire de 50 ans, divorcée depuis 10 ans et qui s’en porte fort bien. Pas de compagnon et de rares amants, juste pour l’hygiène et parfois le plaisir. Elle a la chance d’avoir un très beau corps, qu’elle entretient assidument. Du sport et des soins hebdomadaires, une alimentation équilibrée et jamais d’excès… Elle mesure 1m62 pour 50kgs, rousse de type vénitien, elle a de beaux seins de taille moyenne et très ronds et fermes. Silhouette de jeune fille, voila qui la décrit parfaitement. Depuis 3 ans, sur les conseils de sa fille, elle épile complètement sa chatte, ce qui permet des bikinis plus échancrés l’été… Bref, Éliane est une femme de son temps. Petit bémol, elle n’a pas beaucoup de goût pour se vêtir. Plus souvent des jeans et tee-shirts sans grands intérêts, que des jupes ou robes. Des dessous très passe partout, mais de qualité. C’est ce qui afflige le plus sa fille.
En se mois de Juin 2014, Éliane vient d’apprendre que ses vacances en famille tombent à l’eau. Juillet approche et sa fille lui fait faux bond, pour des sombres raisons qu’elle ne comprend pas trop. La perspective de rester chez elle la rend négative. Cela est si évident, qu’elle se fait interpeller par la jeune guichetière du point poste qu’elle fréquente pour son boulot.
« Salut Éliane, tu m’as l’air bien tristounette en ce moment. Quelque chose ne va pas ? »
« Salut Sandrine, rien de bien grave, mais je viens d’apprendre que je vais passer mes vacances toute seule. Ma fille et mon gendre on un autre plan ! »
« Tu es en vacances en Juillet, non ? »
« Oui, dans 15 jours… «
« J’ai une idée, nous allons chez mon beau père, qui possède une grande maison dans le Lubéron. On y sera à partir du 26 Juillet. Avant, il va être plus ou moins seul et je pense qu’il serait heureux de te recevoir. Bon, il travaille une bonne partie du temps, mais tu pourras profiter de sa piscine, du sauna et des superbes paysages. Et, normalement, il rentre tous les soirs… Ca te fera de la compagnie. En plus, les week-ends, il reçoit des amis et ça fait de l’animation… »
« C’est gentil, mais je ne me vois pas aller chez un inconnu. Il est sûrement charmant, mais c’est gênant et un peu déplacé… »
« Je ne vois pas pourquoi. J’ai passé deux années de suite la moitié de mes vacances chez lui, sans mon mari. Je ne le connaissais pas vraiment et il n’y avait aucune gêne. C’est un veuf très bien élevé qui te recevra le plus naturellement possible. Ça te fera le plus grand bien et cette relative solitude te permettra de méditer sur ton sort !!! »
Éliane, parti sans être convaincue. Pourtant, les jours qui suivirent, elle ne cessa de penser à cette proposition. Tant et si bien que le vendredi, elle demanda des précisions à Sandrine. Celle-ci les lui donna et lui donna le numéro de téléphone de Georges, en lui précisant qu’elle lui avait déjà parlé de l’éventuelle visite qu’elle pourrait lui faire. Sandrine avait anticipé sur la décision. Cela prouvait qu’elle savait comme Éliane était allergique aux vacances sans compagnie, même réduite.
Le samedi, en début d’après midi, elle appela le dénommé Georges. Une voix grave, chaude et un peu chantante lui expliqua les modalités de son possible séjour.
« Je suis veuf, depuis 5 ans. Je travaille dans la banque et mes responsabilités m’imposent une présence quasi journalière, du lundi au vendredi, à mon agence. Je pars vers 8h et ne rentre que vers 19h. Vous serez, donc, seule dans la journée. Vous organiserez le temps à votre gré. Le soir, j’apprécierai que vous m’ayez préparé le dîner. Mais je vous laisse juger de la possibilité. Sandrine vous a dit quelles étaient les installations de ma propriété. Je dois ajouter que la maison est à flanc de colline, entourée d’arbres et d’un haut mur protecteur. Pas de voisins à moins de 5 kilomètres et la discrétion la plus totale, assurée. Régulièrement, je reçois des amis le samedi et le dimanche. Ce sont des gens très bien élevés, qu’il ne vous sera pas difficile d’apprécier… Pour finir, j’ajoute que vous disposerez d’une chambre avec salle de bain et que vous pourrez, facilement, vous isoler en cas de besoin. Voila, libre à vous d’accepter ou non ! »
Finalement, ce fut sa fille qui la convainquit d’accepter. Elle lui dit qu’elle pourrait se sentir libre, mais pas seule et que rien ne l’obligerait à rester si elle ne se sentait pas bien là bas. Dès le lendemain, dimanche, elle confirma à Georges, sa venue le samedi suivant.
Le lundi, elle remercia Sandrine qui lui dit qu’elle allait adorer ce séjour et que cela allait la changer en tout point. Le sourire énigmatique de Sandrine lui sembla bizarre, mais elle n’en prit conscience que lors de son arrivée sur place.
Il faisait un temps splendide en ce samedi 5 Juillet, sur le Lubéron. Après de longues heures de voiture, Éliane fut heureuse de trouver le chemin menant à la propriété. Trois kilomètres cahoteux avant de se trouver face à un portail de plus de 2 mètres de haut. Il était 16h, elle sonna et on lui ouvrit. Une pente douce, montante, bordée d’arbres la mena au gigantesque bâtiment très rustique d’extérieur. Sur le seuil, un homme, en short, grand et massif. Probablement un peu plus âgé qu’elle, il avait un charme bestial. Pas vraiment beau, mais une gueule qui transpirait le vécu intense… Elle rangea sa voiture près de celles qui étaient sous le hangar et sorti prestement. Elle portait un vilain jean et un chemisier quelconque, qui ne révélaient rien de sa plastique, sauf son magnifique cul. Il était, déjà, près du coffre et il lui dit :
« Sois la bienvenue. Je vais te conduire à tes appartements. Je pense que tu as envie d’une bonne douche. As-tu faim ? »
« Bonjour ! Non, ça va, j’ai mangé en route. Mais la douche s’impose. Je te remercie de ton accueil… »
« Après ta toilette, je t’invite à nous rejoindre au bord de la piscine. Suis-moi… »
Il la conduisit vers l’aile droite de la bâtisse. La chambre était immense, plus de 20 m2, super bien équipée, avec un grand lit. Éliane remarqua le miroir à la tête du lit. Une porte donnait un accès direct à la salle de bain, qui comportait une douche ultra moderne, un jacusi grand modèle et des toilettes, plus un bidet. Il déposa ses bagages sur le sol et il sorti. Elle se déshabilla, rapidement, dans la chambre et alla prendre une douche réparatrice. Puis, elle choisi un bikini, acheté dans la semaine, qu’elle trouvait sympa, même si le haut laissait ses seins peu cachés et si le string était un peu minimaliste. Mais sa fille lui avait dit que s’était un truc que seules les vieilles portaient, tant il était trop descend… Piquée au vif, elle en avait acheté trois du même style !
Elle n’eut aucune difficulté à trouver la piscine. Mais elle fut stupéfaite de ce qu’elle découvrit. Il y avait là, le maître de maison et un couple, la trentaine. Une jolie brune, totalement nue et son mec, tout aussi à poil. La voyant arrivé, Georges lui sourit et dit ;
« Je te présente Claire, ma secrétaire, qui est venue avec son mari, Franck. Ils sont naturistes et un poil exhibitionnistes. J’espère que cela ne te choque pas trop ? »
« Non, enfin, c’est un peu inattendu… »
« Tu peux rester habillée, mais si le cœur t’en dit, n’hésite pas à te mettre à l’aise ! »
Elle se sentit encore plus mal à l’aise avec cette remarque. Le couple se roulait des pelles et l’homme avait la main sur la chatte rasée de sa jolie femme. Elle se sentait prise à un piège qui se refermait sur elle. L’homme avait glissé deux doigts dans le con béant de sa salope et elle restait là, debout à 5 mètres, la tête pleine de ses images indécentes qui la troublait. Soudain, elle senti la présence de Georges, derrière elle. Il posa ses grosses mains sur sa taille et sa bouche vint lui murmurer :
« Regarde comme ils sont beaux. Ils vont baiser devant nous et cela va les faire jouir intensément. Sois gentille, montre leur ton corps… »
Sans qu’elle ne puisse rien faire, il lui baissa son string, dévoilant sa moue lisse et rose. Le couple venait de changer de position. Elle en levrette, il venait de lui planter sa bite, fort respectable, dans la chatte. Georges libéra les seins de son invitée. Éliane, tremblait. Le couple baisait, l’homme la regardait tout en labourant sa femme.
« Tu vois, ça l’excite encore plus de sauter Claire en te voyant à poil… Faut dire que tu es sacrément bien foutue. Sandrine avait raison, tu es super bandante… Nous allons bien nous régaler avec toi ! »
Ces mots lui firent prendre conscience du fait que Sandrine l’avait, délibérément, jetée dans un piège sordide. La barre dure qui appuyait dans son dos montrait, clairement, que Georges bandait tout autant que Franck. Il l’entraina tout près du couple et elle vit, de très près, la longue bite qui labourait le ventre d’une Claire qui était à deux doigts de l’orgasme.
« Mets toi en levrette, ma belle, Franck va te faire goûter son chibre ! »
Éliane ne résista pas. Une fois en position, elle vit Franck se retirer du vagin de sa femme et venir planter sa bite au plus profond de sa moule. Elle poussa un cri de douleur et de plaisir qui lui déchira les oreilles. Elle se faisait prendre comme une salope, par un jeune gaillard qui possédait une queue magnifique. Georges, ôta son short et vint planter son sexe dans la grotte de Claire. Éliane découvrit que son hôte avait une bite énorme, moins longue mais beaucoup plus grosse que celle de Franck. Certainement la plus épaisse qu’elle est vue ! La cadence adoptée par son amant était telle, qu’elle fut submergée par un violent orgasme, alors que Claire jouissait pour la deuxième fois, avec une autre bite que la première. Franck sorti de sa chatte et alla se vider dans la bouche de sa femme, alors que Georges venait d’enculer la belle brune. Aux cris qu’elle poussait, malgré la bite qui lui remplissait la bouche, nul doute qu’elle sentait bien ce membre qui lui éclatait la rondelle. Peu adepte de la sodomie, qu’elle n’avait que très rarement pratiqué avec son mari, Éliane ne comprenait pas que Claire montre, rapidement, un réel plaisir à se faire enculer. Quand la jeune femme eut reçu le foutre de son mari, elle hurla son plaisir, manifestant un orgasme monumental. Georges libéra, alors, son foutre dans le cul béant de sa secrétaire.
Une demi-heure plus tard, douchés et habillés, les deux invités partirent. Georges et Éliane, étaient toujours nus. Elle en prit conscience, frissonna, puis déclara qu’elle allait prendre une douche.
« Reste nue, après. Et vient me rejoindre dans le salon. J’ai quelques bricoles à définir avec toi… »
Elle ne prononça pas le moindre mot, mais il était plus qu’évident qu’elle obéirait !
Une fois n’est pas coutume, je vais vous conter une histoire qui me touche de très près. Et pour cause, elle se déroule cet été et j’en suis un des protagonistes.
Éliane est une secrétaire de 50 ans, divorcée depuis 10 ans et qui s’en porte fort bien. Pas de compagnon et de rares amants, juste pour l’hygiène et parfois le plaisir. Elle a la chance d’avoir un très beau corps, qu’elle entretient assidument. Du sport et des soins hebdomadaires, une alimentation équilibrée et jamais d’excès… Elle mesure 1m62 pour 50kgs, rousse de type vénitien, elle a de beaux seins de taille moyenne et très ronds et fermes. Silhouette de jeune fille, voila qui la décrit parfaitement. Depuis 3 ans, sur les conseils de sa fille, elle épile complètement sa chatte, ce qui permet des bikinis plus échancrés l’été… Bref, Éliane est une femme de son temps. Petit bémol, elle n’a pas beaucoup de goût pour se vêtir. Plus souvent des jeans et tee-shirts sans grands intérêts, que des jupes ou robes. Des dessous très passe partout, mais de qualité. C’est ce qui afflige le plus sa fille.
En se mois de Juin 2014, Éliane vient d’apprendre que ses vacances en famille tombent à l’eau. Juillet approche et sa fille lui fait faux bond, pour des sombres raisons qu’elle ne comprend pas trop. La perspective de rester chez elle la rend négative. Cela est si évident, qu’elle se fait interpeller par la jeune guichetière du point poste qu’elle fréquente pour son boulot.
« Salut Éliane, tu m’as l’air bien tristounette en ce moment. Quelque chose ne va pas ? »
« Salut Sandrine, rien de bien grave, mais je viens d’apprendre que je vais passer mes vacances toute seule. Ma fille et mon gendre on un autre plan ! »
« Tu es en vacances en Juillet, non ? »
« Oui, dans 15 jours… «
« J’ai une idée, nous allons chez mon beau père, qui possède une grande maison dans le Lubéron. On y sera à partir du 26 Juillet. Avant, il va être plus ou moins seul et je pense qu’il serait heureux de te recevoir. Bon, il travaille une bonne partie du temps, mais tu pourras profiter de sa piscine, du sauna et des superbes paysages. Et, normalement, il rentre tous les soirs… Ca te fera de la compagnie. En plus, les week-ends, il reçoit des amis et ça fait de l’animation… »
« C’est gentil, mais je ne me vois pas aller chez un inconnu. Il est sûrement charmant, mais c’est gênant et un peu déplacé… »
« Je ne vois pas pourquoi. J’ai passé deux années de suite la moitié de mes vacances chez lui, sans mon mari. Je ne le connaissais pas vraiment et il n’y avait aucune gêne. C’est un veuf très bien élevé qui te recevra le plus naturellement possible. Ça te fera le plus grand bien et cette relative solitude te permettra de méditer sur ton sort !!! »
Éliane, parti sans être convaincue. Pourtant, les jours qui suivirent, elle ne cessa de penser à cette proposition. Tant et si bien que le vendredi, elle demanda des précisions à Sandrine. Celle-ci les lui donna et lui donna le numéro de téléphone de Georges, en lui précisant qu’elle lui avait déjà parlé de l’éventuelle visite qu’elle pourrait lui faire. Sandrine avait anticipé sur la décision. Cela prouvait qu’elle savait comme Éliane était allergique aux vacances sans compagnie, même réduite.
Le samedi, en début d’après midi, elle appela le dénommé Georges. Une voix grave, chaude et un peu chantante lui expliqua les modalités de son possible séjour.
« Je suis veuf, depuis 5 ans. Je travaille dans la banque et mes responsabilités m’imposent une présence quasi journalière, du lundi au vendredi, à mon agence. Je pars vers 8h et ne rentre que vers 19h. Vous serez, donc, seule dans la journée. Vous organiserez le temps à votre gré. Le soir, j’apprécierai que vous m’ayez préparé le dîner. Mais je vous laisse juger de la possibilité. Sandrine vous a dit quelles étaient les installations de ma propriété. Je dois ajouter que la maison est à flanc de colline, entourée d’arbres et d’un haut mur protecteur. Pas de voisins à moins de 5 kilomètres et la discrétion la plus totale, assurée. Régulièrement, je reçois des amis le samedi et le dimanche. Ce sont des gens très bien élevés, qu’il ne vous sera pas difficile d’apprécier… Pour finir, j’ajoute que vous disposerez d’une chambre avec salle de bain et que vous pourrez, facilement, vous isoler en cas de besoin. Voila, libre à vous d’accepter ou non ! »
Finalement, ce fut sa fille qui la convainquit d’accepter. Elle lui dit qu’elle pourrait se sentir libre, mais pas seule et que rien ne l’obligerait à rester si elle ne se sentait pas bien là bas. Dès le lendemain, dimanche, elle confirma à Georges, sa venue le samedi suivant.
Le lundi, elle remercia Sandrine qui lui dit qu’elle allait adorer ce séjour et que cela allait la changer en tout point. Le sourire énigmatique de Sandrine lui sembla bizarre, mais elle n’en prit conscience que lors de son arrivée sur place.
Il faisait un temps splendide en ce samedi 5 Juillet, sur le Lubéron. Après de longues heures de voiture, Éliane fut heureuse de trouver le chemin menant à la propriété. Trois kilomètres cahoteux avant de se trouver face à un portail de plus de 2 mètres de haut. Il était 16h, elle sonna et on lui ouvrit. Une pente douce, montante, bordée d’arbres la mena au gigantesque bâtiment très rustique d’extérieur. Sur le seuil, un homme, en short, grand et massif. Probablement un peu plus âgé qu’elle, il avait un charme bestial. Pas vraiment beau, mais une gueule qui transpirait le vécu intense… Elle rangea sa voiture près de celles qui étaient sous le hangar et sorti prestement. Elle portait un vilain jean et un chemisier quelconque, qui ne révélaient rien de sa plastique, sauf son magnifique cul. Il était, déjà, près du coffre et il lui dit :
« Sois la bienvenue. Je vais te conduire à tes appartements. Je pense que tu as envie d’une bonne douche. As-tu faim ? »
« Bonjour ! Non, ça va, j’ai mangé en route. Mais la douche s’impose. Je te remercie de ton accueil… »
« Après ta toilette, je t’invite à nous rejoindre au bord de la piscine. Suis-moi… »
Il la conduisit vers l’aile droite de la bâtisse. La chambre était immense, plus de 20 m2, super bien équipée, avec un grand lit. Éliane remarqua le miroir à la tête du lit. Une porte donnait un accès direct à la salle de bain, qui comportait une douche ultra moderne, un jacusi grand modèle et des toilettes, plus un bidet. Il déposa ses bagages sur le sol et il sorti. Elle se déshabilla, rapidement, dans la chambre et alla prendre une douche réparatrice. Puis, elle choisi un bikini, acheté dans la semaine, qu’elle trouvait sympa, même si le haut laissait ses seins peu cachés et si le string était un peu minimaliste. Mais sa fille lui avait dit que s’était un truc que seules les vieilles portaient, tant il était trop descend… Piquée au vif, elle en avait acheté trois du même style !
Elle n’eut aucune difficulté à trouver la piscine. Mais elle fut stupéfaite de ce qu’elle découvrit. Il y avait là, le maître de maison et un couple, la trentaine. Une jolie brune, totalement nue et son mec, tout aussi à poil. La voyant arrivé, Georges lui sourit et dit ;
« Je te présente Claire, ma secrétaire, qui est venue avec son mari, Franck. Ils sont naturistes et un poil exhibitionnistes. J’espère que cela ne te choque pas trop ? »
« Non, enfin, c’est un peu inattendu… »
« Tu peux rester habillée, mais si le cœur t’en dit, n’hésite pas à te mettre à l’aise ! »
Elle se sentit encore plus mal à l’aise avec cette remarque. Le couple se roulait des pelles et l’homme avait la main sur la chatte rasée de sa jolie femme. Elle se sentait prise à un piège qui se refermait sur elle. L’homme avait glissé deux doigts dans le con béant de sa salope et elle restait là, debout à 5 mètres, la tête pleine de ses images indécentes qui la troublait. Soudain, elle senti la présence de Georges, derrière elle. Il posa ses grosses mains sur sa taille et sa bouche vint lui murmurer :
« Regarde comme ils sont beaux. Ils vont baiser devant nous et cela va les faire jouir intensément. Sois gentille, montre leur ton corps… »
Sans qu’elle ne puisse rien faire, il lui baissa son string, dévoilant sa moue lisse et rose. Le couple venait de changer de position. Elle en levrette, il venait de lui planter sa bite, fort respectable, dans la chatte. Georges libéra les seins de son invitée. Éliane, tremblait. Le couple baisait, l’homme la regardait tout en labourant sa femme.
« Tu vois, ça l’excite encore plus de sauter Claire en te voyant à poil… Faut dire que tu es sacrément bien foutue. Sandrine avait raison, tu es super bandante… Nous allons bien nous régaler avec toi ! »
Ces mots lui firent prendre conscience du fait que Sandrine l’avait, délibérément, jetée dans un piège sordide. La barre dure qui appuyait dans son dos montrait, clairement, que Georges bandait tout autant que Franck. Il l’entraina tout près du couple et elle vit, de très près, la longue bite qui labourait le ventre d’une Claire qui était à deux doigts de l’orgasme.
« Mets toi en levrette, ma belle, Franck va te faire goûter son chibre ! »
Éliane ne résista pas. Une fois en position, elle vit Franck se retirer du vagin de sa femme et venir planter sa bite au plus profond de sa moule. Elle poussa un cri de douleur et de plaisir qui lui déchira les oreilles. Elle se faisait prendre comme une salope, par un jeune gaillard qui possédait une queue magnifique. Georges, ôta son short et vint planter son sexe dans la grotte de Claire. Éliane découvrit que son hôte avait une bite énorme, moins longue mais beaucoup plus grosse que celle de Franck. Certainement la plus épaisse qu’elle est vue ! La cadence adoptée par son amant était telle, qu’elle fut submergée par un violent orgasme, alors que Claire jouissait pour la deuxième fois, avec une autre bite que la première. Franck sorti de sa chatte et alla se vider dans la bouche de sa femme, alors que Georges venait d’enculer la belle brune. Aux cris qu’elle poussait, malgré la bite qui lui remplissait la bouche, nul doute qu’elle sentait bien ce membre qui lui éclatait la rondelle. Peu adepte de la sodomie, qu’elle n’avait que très rarement pratiqué avec son mari, Éliane ne comprenait pas que Claire montre, rapidement, un réel plaisir à se faire enculer. Quand la jeune femme eut reçu le foutre de son mari, elle hurla son plaisir, manifestant un orgasme monumental. Georges libéra, alors, son foutre dans le cul béant de sa secrétaire.
Une demi-heure plus tard, douchés et habillés, les deux invités partirent. Georges et Éliane, étaient toujours nus. Elle en prit conscience, frissonna, puis déclara qu’elle allait prendre une douche.
« Reste nue, après. Et vient me rejoindre dans le salon. J’ai quelques bricoles à définir avec toi… »
Elle ne prononça pas le moindre mot, mais il était plus qu’évident qu’elle obéirait !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bravo Maitre A, la pisicine c'est toujours excitant, baise un peu rapide peut etre
Aldebaran
Aldebaran
C'est un très bon départ. Eliane est visiblement une belle cochonne mature qui s'ignore. Nul doute que Georges, Franck, Claire (et pourquoi pas un autre couple) vont lui faire goûter quelques plaisirs interdits .... Vivement la suite.