Elise libertine 42 Un WE à Montpellier - histoire érotique

Bonjour nous comptons sur votre indulgence pour notre longue absence et espérons pouvoir-vous conter nos aventures plus régulièrement. Voici la suite des aventures de notre couple : en 2004 mon épouse Élise hypersexuelle et moi Alan candauliste sommes mariés depuis 31ans. Vous pouvez suivre notre évolution libertine dans nos récits précédents d’Élise libertine.
En août 2004 nous décidons d’aller passer un WE à Montpellier. Dans cette perspective j’ai contacté Luc la cinquantaine annonceur dans une revue d’annonces libertines de l’époque. Après nos échanges téléphoniques je lui donne rdv vers dix-huit heures sur une terrasse de la place de la comédie avec signes de reconnaissances pour lui le dernier numéro du magazine, moi un béret et mon épouse une barrette à cheveux et un bracelet de sa création brodés au nom de la revue il devra s’asseoir à coté de nous.
Elise et moi arrivons à Montpellier en début d’après-midi. Nous passons à l’hôtel Ibis comédie laisser nos affaires et prendre une douche pour nous rafraichir et nous changer après de longues heures de voyage. Il fait très chaud nous choisissons des tenues de circonstance pour sortir. Élise, à qui je demande de porter sa barrette et son bracelet, choisit une robe légère fleurie sur fond jaune boutonnée devant sur un tanga et un soutien-gorge corbeille couleur chair, pour moi pantalon textile de lin beige et chemisette blanche.
Nous nous promenons dans les rues commerçantes proches de la place de la comédie. Après avoir effectué quelques achats nous revenons sur la place de la comédie vers 18h00 et nous prenons un rafraichissement sur une terrasse.
Un homme cheveux grisonnants(Luc) vient s’assoir à la table d’à côté près d’Élise et feuillette sa revue. Élise l’observe du coin de l’œil.
Élise me murmure : « tu as vu le mec à coté il lit le dernier S…. »Moi : « essaie d’engager la conversation »Elle (s’adressant à l’homme) : c’est bien le dernier S… que vous lisez.
Lui : «oui, vous connaissez »Elle : « bien sûr nous aussi nous sommes adeptes de cette revue bien pratique pour les rencontres.» Lui : « tout à fait »La libertine en décalant sa chaise pour lui faire de la place : « joignez-vous à nous nous pourrons discuter un peu. »Il se lève approche sa chaise de notre table et tend la main pour nous saluer : « bonjour je m’appelle Luc »En lui serrant Élise : « bonjour Luc moi c’est Élise et mon mari Alan » Je lui serre la main à mon tour : « Enchanté Luc ! Que boirez-vous »Lui : « une bière merci »J’appelle le serveur et commande deux bières et pour madame porto rouge. Nous entamons la conversation Il semble timide mais est très agréable nous discutons de libertinage et lui disons que nous aussi sommes annonceurs. Après une seconde tournée qu’il nous offre, au bout d’une petite heure le courant passe bien entre Élise et Luc.
Moi : « Luc voulez-vous diner avec nous ensuite si vous le voulez nous irons finir la soirée dans notre chambre n’est-ce pas chérie »Elle : « oui ! J’en serai ravie »Lui (en regardant Élise): « j’accepte volontiers de passer la soirée en si charmante compagnie j’espère que ce sera un plaisir partagé. »Elle : « bien sûr je l’espère aussi »Nous allons diner à la terrasse d’un restaurant place de la comédie. Après un nouvel apéritif nous faisons un repas léger au cours duquel Élise et Luc se caressent sans discrétion, leurs mains sont souvent sous la table à la découverte du corps de l’autre. Élise retire même son string sans quitter la table pour faciliter l’accès à son intimité. Le service n’est pas des plus rapides cela nous amène à rejoindre notre hôtel vers 22h30 et Élise comme Luc sont super excité.
Pendant le trajet ma coquine est impatiente elle me glisse à l’oreille : « il a un sacré morceau dans le pantalon » Aussitôt dans l’ascenseur Élise embrasse notre invité en lui caressant l’entrejambe et c’est à son bras qu’elle emprunte le couloir pour regagner la chambre.
Dès la porte franchie Élise se jette à genoux et ouvre la ceinture du pantalon de notre invité elle ouvre la braguette et baisse d’un seul geste le caleçon et le pantalon libérant ainsi une queue bandée très épaisse longue de bien 20cm. La vicieuse aperçoit le sexe hors norme de Luc son regard gourmand s’illumine en voyant le gros et long morceau de chair bandé prêt à l’honorer. La libertine prend entre ses deux mains le pieu tendu qu’elle porte à sa bouche ouverte autant qu’il lui est possible afin de sucer ce bel appendice. Tout en le suçant elle caresse les couilles d’une main et de l’autre elle déboutonne elle-même sa robe Luc lui caresse la tête puis il fait glisser les épaules de la robe qui tombe sur le sol.
Il relève Élise, la prend dans les bras et l’embrasse à pleine bouche. Mon épouse s’offre littéralement à cet homme qu’elle ne connaissait pas il y a quelques heures Ils finissent de se déshabiller tous les deux. Très rapidement la dévergondée entraine l’homme sur le lit. Couchés tête bêche elle lui suce la bite, lui pose sa bouche sur la chatte toute humide et titille de la langue le bouton de la belle. Il glisse plusieurs doigts dans le trou d’amour et commence à branler ma bergère.
Élise apprécie la langue qui lui taquine le clito ainsi que les doigts qui s’agitent dans sa fente, mais aussi la queue qu’elle suce avec délice et rapidement mon aventureuse épouse fait part de son impatienceElle : « Luc vient me baiser j’ai envie de sentir ta grosse bite me remplir la chatte »Il se redresse prend un préservatif dans la boite que j’ai posé sur la tablette de chevet. Il en coiffe sa mentule le préservatif est hyper tendu (c’est pourtant du XL). Il se place entre les jambes de la coquine frotte son gland sur la moule toute baveuse et le bouton puis lentement il enfonce son gourdin jusqu’à toucher le fond de la grotte intime.
Élise : « chéri avec sa queue je suis écartelée. » Luc lui relève les jambes et commence à marteler le fond de la grotte intime, la cochonne se pâme sous les coups de queue. Elle profite pleinement du priape qui la fouille. Son amant du jour ne ménage pas ses efforts et interroge ma moitié : « alors mignonne vous la sentez bien ma pine ? Elle vous remplit assez ? »(Bien qu’Élise lui ai demandé à table de nous tutoyer il vouvoie toujours ce qui perturbe ma moitié)Elle : « non s’il te plait pas de vous mais tu et j’aime qu’on me traite comme une salope quand je baise »Lui : « si tu y tiens salope je vais te traiter comme une trainée »Élise : « oui c’est ça baise moi » Luc : « bien salope tu ne crois pas que c’est moi qui vais faire tout le travail »Le pineur se couche sur le dos et ajoute : « viens t’empaler sur mon chibre petite pute »La perverse s’assied sur la poutre qui se dresse. Elle s’agite dessus le pieu tout en frottant son clito sur le pubis du pointeur elle se baise toute seule elle monte et descend pendant de longues minutes avant de jouir bruyamment une première fois.
« ooohhhh salop que ta bite est bonne je viens ! ouiiiiiiiiiiiiiiiaahhhouiii »Elle s’écroule sur son amant et l’embrasse reconnaissante du plaisir qu’il lui a donné. Mais Luc est endurant et il n’a pas joui et veut continuer de la prendre comme il l’entend.
Il ordonne : « alors morue tu veux être baisée comme une chienne alors mets-toi à quatre pattes ! Implore moi de te baiser comme une moins que rien ! »Élise se positionne pour la levrette : « Luc baise moi »Lui : « tu ne me donne pas d’ordre ! Tu fais ce que je te demande recommence !
Elle : « je t’en supplie mon étalon baise la pute que je suis ! Défonce-moi comme une roulure» Lui : « voilà c’est mieux tu vas voir comment un queutard comme moi va te bourrer pouffiasse » Luc se met derrière elle et d’un coup violent il plante son braquemard dans la chatte trempée de cyprine il bourre un long moment le pot à miel de la petite pute alors qu’elle passe sa main sous elle pour lui masser les valseuses. La cadence s’accélère Élise crie une nouvelle fois terrassée par le plaisir, le gaillard temporise puis reprend la saillie de sa nouvelle chienne pendant plusieurs minutes avant de la retourner sur le dos. Il lui pilonne à nouveau la cramouille et avant de jouir il donne de nouveau ses directives :« Comme t’es une belle salope je vais te jouir sur la gueule ! Tu ouvriras la bouche pigé ? »Elle : « oui mon étalon »Luc va et vient dans la boite à plaisir de mon épouse encore quelques minutes avant de se retirer il s’avance jusque sur la belle et libère sa semence en plusieurs jets puissants. Le premier jet s’écrase sur les yeux et le front, le second parvient dans la bouche ouverte de la gourmande le troisième s’écrase du menton à la joue. Il lui reste encore un peu de sperme qu’il essuie sur les cheveux avant de guider sa queue pour étaler le sperme sur le visage de la cochonne. Il termine en plongeant sa bite encore gonflée dans la bouche toujours ouverte de ma femme.
Lui : « maintenant nettoie moi la queue et avale tout ! »Élise friande de liqueur masculine se fait plaisir elle suce la verge sa langue tournoie autour du gland et sur le frein du braquemard elle avale avec gourmandise. Le visage et les cheveux de la gourmande sont collants de sperme mais cela n’empêche pas la vicieuse de se lancer dans une pipe de compétition. Le queutard ne peut résister sa bite est de nouveau bandée dans la bouche d’Élise qui est bien décidée à faire fumer le cigare à moustache. Luc est vaincu en dix minutes sa blanche liqueur jaillit à nouveau la coquine avale l’offrande avec gourmandise avant de se redresser avec un grand sourire de satisfaction.
Après une accalmie bienvenue pendant laquelle nous conversons alors que Luc est debout près du lit, la vicieuse se couche face à lui les cuisses écartées offrant sa chatte ouverte écartant les lèvres avec les mains. La chienne en veut encore profiter de ce membre hors norme. La perverse se met à genou et entreprend de faire gonfler à nouveau le membre qui fait une pause. Le chibre n’est pas long à reprendre de la vigueur sous le regard gourmand et satisfait de l’amatrice.
L’homme la soulève et l’entraine sur la table ronde il lève les jambes de ma femme, les pose sur ses épaules, il la tire par les hanches pour amener sa chatte au bord de la table puis se place se place face à la fente humide. Son mandrin écarte les chairs pour s’enfoncer au fond de la boite à plaisir. Il besogne l’aventureuse avec entrain pendant un moment elle couine de plaisir et en demande encore il la soulève ma salope de la table et l’entraine sur le lit. Il la retourne pour l’emmancher en levrette avant de lui demander :« Quelle salope ! Tu as vraiment le feu au cul, alors je vais de défoncer ton p’tit cul ! Ok ».
Élise : « je veux bien mais fait doucement pour ne pas me déchirer comme un black en octobre dernier ».
Lui : « pourquoi ? il était brutal ou sa bite était plus grosse que la mienne ? »Elle : « sa queue était énorme c’était bon mais j’ai dû me soigner et m’abstenir pendant plusieurs jours ».
Lui : « donc tu aimes et comme ma queue est plus petite que la sienne ça doit rentrer tout seul ! hein ? »Elle : « Alan donne le lubrifiant s’il te plait »Je donne le flacon de lubrifiant à Luc qui en verse un peu dans sa main et l’étale sur sa queue avant de venir pénétrer l’œillet de ses doigts lubrifiés. Les deux puis trois doigts assouplissent le petit anneau brun qui s’ouvre lentement.
Élise : « c’est bon vas-y encule moi je suis prête »Luc place son glaive face à la cible, il frappe la cible en plein centre et d’un mouvement lent et régulier s’enfonce dans l’entrée des artistes. Élise, sans aucune trace de douleur ou même d’appréhension, elle va au-devant du gourdin, elle accueille avec plaisir ce priape pénétrant profondément son rectum. Cette fois c’est lui qui va jouir le premier au bout de quelques minutes et même si elle éprouve du plaisir elle est un peu déçue de voir cette sodomie s’interrompre avant son orgasme et le fait savoir.
Et moi je n’ai pas droit au plaisir ?
Pour se faire pardonné son amant lui suce et doigte la chatte jusqu’à l’orgasme avant de retrouver une raideur suffisante.
Luc : « tu la veux dans le cul vicieuse et que je te défonce jusqu’à ce que tu demandes grâce »Elle : « oui bourre-moi fort et longtemps fais-moi jouir du cul comme une chienne »Cette fois il se maitrise beaucoup mieux la sodomie est longue, virile et dure jusqu’à ce que mon épouse soit emportée par un violent orgasme dans un long cri avant de sembler perdre connaissance et de s’écrouler Luc se termine à la main et éjacule sur le cul de ma cochonne qui retrouve doucement ses esprits.
Luc : « c’est de l’orgasme ou je ne m’y connais pas, tu ne fais pas semblant »C’est sur cette jouissance de que se clos cette soirée libertine bien agréable.
Après le départ de Luc Élise se dit satisfaite elle a aimé son savoir-faire et cette sodomie qui lui a provoqué un orgasme d’une intensité trop rare à son goût dans les sodomies.
A bientôt pour le récit de nos autres aventures……………………….
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