Élise libertine 57 L'accident 5/6 Ça va trop loin
Récit érotique écrit par Jacanas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Élise libertine 57 L'accident 5/6 Ça va trop loin
Depuis l’accident de mon mari Alan je me retrouve employé par Gérard son PDG qui me baise avec la bénédiction d’Alan, la semaine dernière se sont ajoutés Ali le chauffeur puis Cédric et David (voir partie 2). Je dois reconnaitre qu’ils me font tous jouir et que j’aime ça. Le boss mon maitre me considère comme sa chienne et je lui obéis.
Voir les parties précédentesCe lundi de la 4ème semaine mon maitre m’a offerte à des cadres d’un autre site ainsi qu’à un groupe de ses amis. Alan mon mari, qui est sorti de l’hôpital le matin même, a assisté à cette débauche derrière un voile. Après un jour de repos j’ai repris le travail.
Le jeudi 13h15 Ali vient nous chercher il me dépose au travail avant d’emmener Alan à l’hôpital pour sa kiné.
Inès m’accompagne au local des archives pour que je lui explique le rangement. Je lui explique comment retrouver un dossier grâce aux marquages sur les étagères. Elle est admirative en voyant mon travail. Elle en informe le patron.
Bien évidemment le boss débarque le vendredi à 14h15 il me baise mais cette fois il n’a pas verrouillé la porte et alors que, pliée sur le bureau, invisible de la porte je me fais défoncer la chatte j’entends Sean : « vous m’avez appelé Gérard. » J’essaie de me dégager je prends une claque sur les fesses par mon maître il répond: « oui Sean je suis là » Sean nous découvre accouplés. Tout en me bourrant la chatte mon maitre l’invite à s’approcher.
Gérard : « Sean venez-vous joindre à nous il me semble que vous êtes intimes depuis longtemps »Sean me regarde surpris, je lui tends ma main l’attire vers moi et sors sa queue que je suce et lorsque mon maitre se vide en moi il vient prendre la place et me baise à son tour avant, sur l’ordre du patron, de repartir au travail.
Lorsqu’il est part je dis au patron que je n’apprécie pas sa façon de faire il me plie sur le bureau me claque les fesses.
Maître : « N’oublie pas qui est ton maître, d’autres coquins qui vont venir te voir, je te laisse mais ne me déçoit pas » Dans l’après-midi j’ai la visite de trois employés. Les premier à me baiser sont David et Cédric (qui m’ont déjà baisée) le dernier que mon maitre m’a envoyé est Habib avec sa queue énorme il semble un peu hésitant.
Habib : « le patron m’a ordonné de te baiser » Moi : « Dans ce cas baise moi si mon maitre le demande. »C’est lui qui me baise le plus longtemps mais il me fait tellement jouir que par trois fois il me procure un orgasme, lui éjacule deux fois une au fond de ma gorge et une dans mon ventre. Je suis épuisée par les orgasmes de l’après-midi quand mon maître revient un quart d’heure avant la fin du travail.
Gérard : « tout s’est bien passé tu as bien joui »Moi : « oui maître »Lui : « comme tu as terminé ton travail de classement je pense que tu comprends qu’à présent, comme une bonne chienne tu vas veiller au bien être des employés masculins du siège il y en a que tu ne connais pas. »Moi : « monsieur ce n’est pas possible beaucoup connaissent Alan pour lui je ne peux plus accepter je viendrais après le weekend vous remettre ma démission»Lui : « ne prend pas de décision trop hâtive tu aimes le sexe, je t’en propose, réfléchis si tu veux on en reparle lundi »Moi : « j’en parle avec Alan »Lorsqu’Ali arrive Alan est dans la voiture, je le rejoins il remarque tout de suite que quelque chose ne vas pas. Il m’interroge mais je ne veux rien dire devant le chauffeur. C’est à l’appartement que je lui fais part de la décision de Moreau et de mon désir de démissionner. Mon homme comprend et me suit il m’aide même à rédiger ma lettre de démission. A son tour il me dit que nous pouvons rentrer à Bordeaux dès mercredi il a un rendez-vous kiné mardi il demandera une ordonnance pour poursuivre les séances à bordeaux. Pendant le weekend nous dressons la liste des choses à faire avant de partir.
Le lundi matin Inès est surprise de me voir, je lui demande d’informer Moreau que je suis là et avant que je rentre dans le bureau elle me demande de venir la voir après.
Dans le bureau Moreau me regarde : « ma petite chienne a pris sa décision »Moi : « je lui donne ma lettre de démission. Oui Monsieur je démissionne ça va trop loin, pour mon mari je ne peux plus accepter de faire la pute pour tous les personnels de la société. Nous allons retourner à Bordeaux dès mercredi»Lui : « tu n’aimes plus ma queue elle va te manquer»Il sort sa bite bandée s’approche de moi prend ma main et la pose sur son sexe je ne peux me retenir de le caresser.
Lui : « dis que tu n’aimes pas que je te fasse jouir, que je ne te donne pas de plaisir petite salope ?»Moi : « ce n’est pas ça monsieur vous voulez faire de moi une salope à la disposition de tout votre personnel alors que mon mari travaille pour vous c’est trop demander »Lui : « je te comprends mais tu restes ma chienne.» Il me pousse, je tombe assise sur une chaise, il me colle sa bite dans la bouche, je le suce je sens ma chatte se liquéfier j’aime sa façon de me dominer. Il me relève, m’ôte ma robe, me fait mettre à genoux et m’enfile son braquemard dans mon trou d’amour. Il me saisit par les seins, me baise avec vigueur je jouis et il m’inonde la chatte de sa semenceLui : « je ne vous chasse pas vous pouvez rester dans le meublé »Moi : « non merci notre décision est prise »Lui : « Dans ce cas je m’occupe personnellement de votre retour. Je demande à Inès de voir avec le comptable pour votre fin de contrat le règlement des sommes qui vous sont dues et le certificat de travail. » Avant que je sorte il me tend une serviette pour que je m’essuie, je rectifie ma tenue et je sors. Je retrouve Inès je lui dis que je démissionne que mon mari allant mieux nous repartons à Bordeaux mercredi. Elle me regarde le sourire en coin je sens qu’elle ne me croit pas vraiment.
Inès : « Moreau a commencé par te demander d’être nue sous tes vêtements je l’ai remarqué, comme c’est un obsédé il ne sait pas s’arrêter et il est allé trop loin. Je le sais par Habib que j’aime beaucoup et qui se confie souvent à moi. Habib a aimé te prendre et te faire jouir mais n’est pas fier de la façon dont cela s’est fait. Il demande que tu lui pardonnes » Moi : « tu sais depuis le début ? Je te remercie de ne pas me juger. Je suis addicte au sexe, j’aime ça je n’y peux rien, tu peux appeler Habib que je lui parle ? Tu me donne la clé des archives.»Inès appelle Habib, en l’attendant j’avoue à Inès ce qui précipite notre départ.
Inès : « je te comprends je suis passée par là Moreau ne s’arrête pas si tu ne dis pas stop. Compte sur moi pour qu’il te dédommage correctement »Quand Habib arrive et je lui demande de me suivre. Dans les archives je verrouille la porte derrière nous.
Moi « Je te remercie du message que tu as laissé à Inès mais je veux te dire que je ne t’en veux pas au contraire j’ai eu beaucoup de plaisir avec toi, et maintenant c’est moi qui t’offre mon corps je te demande de me baiser car j’aime quand tu me baises»Habib : « Tu veux que je te baise, eh bien je ne m’attendais pas à ça »Moi : « Oui baise moi »Habib : « mais…. tu es sûre de le vouloir »Comme réponse je retire ma robe portefeuille sous laquelle je suis nue. Habib me dévore des yeux tout en retirant son pantalon. Sa verge éléphantesque commence à se raidir je saisis l’énorme mentule à deux mains, je le lèche plus que je ne le suce. J’entraine l’homme de couleur vers le bureau je pose mes fesses sur le meuble en écartant mes cuisses pieds sur le bureau pour recevoir l’organe hors norme de ce mâle.
Habib guide son gros boudin noir vers ma caverne lentement il s’enfonce il pousse encore, je savoure pleinement cette pénétration. Il est au fond et il en reste toujours trois bon cm, mon ventre est rempli comme j’aime il se meut avec souplesse, il entre sort revient cela dure je suis en délire je jouis il m’embrasse, sa bouche lippue prend ma bouche pour m’empêcher de crier, enfin je le sens envoyer son jus en de fortes giclées dans mon ventre. Quand il se retire, sa trompe fait un bruit de ventouse suivi d’une coulée de sperme blanchâtre. J’attire mon amant à moi et l’embrasse sur la bouche tout en lui caressant la queue. Satisfait il me sourit ses yeux pétillent je m’accroche à son cou.
Lui : « Tu as aimé ? En tout cas moi oui, tu veux que je te laisse ? »Moi : « attends tu n’as pas fini, j’ai encore envie de sentir ta grosse queue dans mon cul » Habib étonné : « tu veux que je t’encule ? Tes désirs sont des ordres ! »Il me plie sur le bureau et vient me lécher l’œillet je sens sa langue s’insinuer dans le petit orifice sur lequel il crache puis ses doigts élargissent le passage. Il trempe son gourdin dans ma chatte avant de le poser sur mon anneau brun. Mon anus s’ouvre lentement. Il pousse je sens le boa sombre s’enfoncer progressivement dans mon fondement encore et encore mon rectum est plein. Le black force et reprend sa progression je sens mes intestins remuer sous la pression. Enfin les couilles de mon amant touchent mon périnée son énorme bite est entièrement dans mon cul.
Mon baiseur se met en mouvement il entre et sort ses 25 cm presqu’en totalité je sens le plaisir venir, des frissons parcourent mon échine, la peau de mon dos se transforme en chair de poule je n’en peux plus je lui demande de cracher son jus au fond de mon intestin, je jouis et me mors la main pour ne pas crier de plaisir. Habib accélère et me défonce de plus en plus vite avant d’ouvrir les vannes. Il libère sa semence dans un cri rauque un nouvel orgasme m’emporte je suis comme ko je peine à bouger.
Je sens mes intestins se vider de l’intrus, lentement le gourdin de chair quitte mon fondement je m’écroule sur le sol. Habib se précipite pour me relever et m’assoir sur le bureau je regarde sa queue légèrement souillée et lui propose de le nettoyer en le suçant il refuse. Je me redresse pour l’embrasser et en même temps je me touche le cul, il est encore entrouvert et du sperme s’en écoule. Habib me donne son mouchoir pour m’essuyer avant d’essuyer sa verge.
Habib : «Élise je suis heureux que tu ne m’en veuilles pas et merci pour cette preuve de sincérité, je te comprends, je suis rassuré et j’ai de l’estime pour la femme que tu es et qui s’assume. »Je suis heureuse d’avoir découvert la tendresse et la délicatesse de cet homme quand il n’est pas sous la coupe de Moreau. Nous quittons les archives et retrouvons Inès au secrétariat.
Inès : « ça va mieux »Habib : « je suis soulagé l’ambiguïté est levée, merci à toutes les deux, bon je retourne au boulot » il part souriant.
Moi : « merci Inès tu nous a permis de régler ce malentendu » Inès : « Tu as la tête de quelqu’un qui vient de prendre cher, comme moi tu n’as pas pu résister à sa grosse queue »Je l’embrasse sur la joue : « c’était délicieux, mais je dois y aller mon mari m’attend » Inès me fait au revoir d’un signe de la main et je regagne l’appartement où m’attend Alan.
J’explique à Alan : « Moreau a compris notre décision ce qui ne l’a pas empêché de me baiser. Il a dit que nous pouvions rester dans le meublé. J’ai confirmé notre départ pour Bordeaux. Il a insisté pour se charger personnellement de notre voyage retour. »Alan rassuré accepte que le patron organise notre retour. L’après-midi je l’accompagne à l’hôpital. Pendant qu’il fait sa kiné je reçois un appel de Gérard.
Gérard : « Élise votre voyage retour se fera en monospace avec un chauffeur je vous accompagnerai. Nous partirons vers 10h nous déjeunerons sur la route. Nous serons à Bordeaux avant le diner, je réserve une chambre à l’hôtel pour Le chauffeur et moi. Avec Alan nous irons le lendemain sur le site voir si tout va bien malgré son absence»Moi : « qui sera le chauffeur ? »Lui : « Ali à moins que tu préfères Habib »Moi : « Oui je l’aime bien »Lui : « C’est parce que tu as aimé sa queue que tu veux que ce soit lui qui vienne »Moi : « On ne sait jamais si j’ai une envie lors d’un arrêt pipi. On fait comme ça ! Et ce n’est pas la peine de réserver une chambre je peux vous loger»Lui : « C’est OK pour moi, je fais le nécessaire. N’oublie pas de passer voir Inès afin de signer le reçu pour solde de tout compte » Ma copine Céline téléphone chaque semaine pour prendre des nouvelles donc je l’informe de mon retour et lui demande de remplir le frigo je lui envoie la liste par SMS.
Lorsqu’Alan sort de sa séance kiné je lui résume l’appel : « Moreau nous ramène à Bordeaux en monospace avec un chauffeur, il propose de partir vers 10 heures pour être à Bordeaux pour diner. Si tu n’es pas trop fatiguée, le jeudi il veut aller à ton boulot voir si tout va bien»En rentrant je passe par une boutique pour acheter une robe très sexy pour Cécile afin de la remercierNous passons une soirée tranquille, le mardi matin je fais le ménage en grand pour restituer un logement propre, l’après-midi pendant qu’Alan est à sa séance kiné je passe au bureau signer les documents et recevoir mon chèque. Inès m’accueille avec le sourire : « Ma chérie tu vas être contente regarde le chèque. Moreau ne peux rien me refuser il fallait bien qu’il rémunère ton implication»Effectivement je suis agréablement surprise pour un mois à mi-temps un peu plus de trois mille euros dont une prime exceptionnelle de 2000 euros. Je signe les documents récupère ceux qui me reviennent. J’embrasse Inès.
Moi : « Inès merci pour tout, tu es une fille bien je regrette de ne pas avoir eu le temps de mieux te connaitre »Inès : « moi aussi je t’apprécie, bon rétablissement à Alan, je te souhaite bonne chance et bonne baise avec ton chauffeur, tu n’oublies pas de me le rendre ! »Moi : « promis ! » Et je m’empresse d’aller montrer mon chèque à Alan. Il est heureux pour moi. Après notre diner la soirée est consacrée à préparer les valises avant une nuit réparatrice.
Le mercredi 06 juillet nous sommes debout à sept heures et à neuf les valises sont bouclées nous sommes prêts à partir Alan en pantalon de toile et un pull, moi en jupe portefeuille courte à fleur et débardeur blanc.
Le patron arrive un peu avant dix heures avec Habib. Ils m’embrassent tous les deux saluent Alan, ils se partagent les bagages pour les charger dans le Chrysler voyager. Nous partons à l’heure prévue la circulation est dense et nous arrivons au restaurant à Tours il est près de treize heures. Après le repas nous marchons un peu avant de reprendre la route nous arrivons à la maison il est 19h15 Cécile nous accueille avec émotion. Je lui remets son cadeau et lui demande de l’ouvrir chez elle avec son homme. Elle a fleurit la maison fait les lits et me propose de rester pour préparer le diner je la remercie et lui dit qu’elle en a déjà fait beaucoup que nous allons nous débrouiller. Il est temps pour elle de rejoindre son mari.
Nous prenons l’apéro je laisse les trois hommes dans le salon je vais préparer un diner rapide, je dresse la table et nous dinons tranquillement vidant deux bouteilles de bordeaux au cours du repas et Gérard prend bien garde à me remplir mon verre au maximum. Les hommes repassent au salon pour le café pendant que je débarrasse la table. Je mets en route le lave-vaisselle et range la cuisine.
Alan : « vous prendrez bien un digestif rhum ou cognac ? Chérie peux-tu apporter les bouteilles »J’apporte les deux bouteilles, nos invités prennent un cognac et Alan son vieux rhum. Je m’assoir dans un fauteuil. Gérard : « Ma petite chienne va venir entre Habib et son maître pour trinquer avec nous. »Je me lève me sers un cognac et m’installe entre les deux hommes n’osant pas bouger, mon maître me dit de boire cul sec, pour ne pas le contrarier, je bois mon cognac d’un trait. Je ressers une tournée cette fois je bois mon cognac en plusieurs gorgées. Avec l’apéritif le vin à table et le cognac je commence à avoir la tête embrumée. Mon maître commence à me caresser et glisse sa main entre mes cuisses pour desserrer mes genoux. Je le regarde et lui souris il se penche vers moi et m’embrasse à pleine bouche, sa main remonte mon débardeur il me pince le téton et sa main retourne vers ma chatte je me sens bien je m’abandonne à l’envie de plaisir.
Mes mains partent à la recherche des bites de mes deux voisins. Habib qui n’a pas encore bougé se décide enfin à ouvrir son pantalon et je peux prendre en main l’objet qui m’a donné tant de plaisir. Je suis interrompue par mon maitre qui vient de se lever, il me met face au chauffeur.
Maitre : « assieds-toi sur la queue d’Habib tu es tellement trempée que sa bite va rentrer toute seule dans ta boite à mouille.»Je m’empale sur le braquemard du chauffeur mon maitre me donne sa queue à sucer, de son fauteuil Alan me regarde en souriant, son regard est plein de tendresse. Alors que je me baise sur la merveilleuse queue noire, mon maitre me baise la bouche. Mon maitre m’arrose le fond de la gorge de plusieurs giclées de sperme je déglutis. La bouche vide je me lève et demande à Habib de me suivre, la bite noire dans la chatte j’avance vers mon homme j’embrasse Alan et je sors sa verge. Je lui suce sa quéquette tout en le branlant pendant que le chauffeur me bourre la boite à plaisir. Rapidement Alan se répand dans ma bouche et Habib déverse sa semence au fond de mon ventre quand je jouis. Alan me prend dans ses bras il me caresse le visage m’embrasse puis il se lève à l’aide de ses béquilles il est environ 23h.
Alan : « Messieurs je vous souhaite une bonne fin de soirée je suis fatigué, je vais me coucher et reposer mon dos. Chérie je te laisse t’amuser»Maître, Habib et moi lui souhaitons une bonne nuit je lui promets de ne pas me coucher trop tard. ………...à bientôt pour la fin de cette aventure
Voir les parties précédentesCe lundi de la 4ème semaine mon maitre m’a offerte à des cadres d’un autre site ainsi qu’à un groupe de ses amis. Alan mon mari, qui est sorti de l’hôpital le matin même, a assisté à cette débauche derrière un voile. Après un jour de repos j’ai repris le travail.
Le jeudi 13h15 Ali vient nous chercher il me dépose au travail avant d’emmener Alan à l’hôpital pour sa kiné.
Inès m’accompagne au local des archives pour que je lui explique le rangement. Je lui explique comment retrouver un dossier grâce aux marquages sur les étagères. Elle est admirative en voyant mon travail. Elle en informe le patron.
Bien évidemment le boss débarque le vendredi à 14h15 il me baise mais cette fois il n’a pas verrouillé la porte et alors que, pliée sur le bureau, invisible de la porte je me fais défoncer la chatte j’entends Sean : « vous m’avez appelé Gérard. » J’essaie de me dégager je prends une claque sur les fesses par mon maître il répond: « oui Sean je suis là » Sean nous découvre accouplés. Tout en me bourrant la chatte mon maitre l’invite à s’approcher.
Gérard : « Sean venez-vous joindre à nous il me semble que vous êtes intimes depuis longtemps »Sean me regarde surpris, je lui tends ma main l’attire vers moi et sors sa queue que je suce et lorsque mon maitre se vide en moi il vient prendre la place et me baise à son tour avant, sur l’ordre du patron, de repartir au travail.
Lorsqu’il est part je dis au patron que je n’apprécie pas sa façon de faire il me plie sur le bureau me claque les fesses.
Maître : « N’oublie pas qui est ton maître, d’autres coquins qui vont venir te voir, je te laisse mais ne me déçoit pas » Dans l’après-midi j’ai la visite de trois employés. Les premier à me baiser sont David et Cédric (qui m’ont déjà baisée) le dernier que mon maitre m’a envoyé est Habib avec sa queue énorme il semble un peu hésitant.
Habib : « le patron m’a ordonné de te baiser » Moi : « Dans ce cas baise moi si mon maitre le demande. »C’est lui qui me baise le plus longtemps mais il me fait tellement jouir que par trois fois il me procure un orgasme, lui éjacule deux fois une au fond de ma gorge et une dans mon ventre. Je suis épuisée par les orgasmes de l’après-midi quand mon maître revient un quart d’heure avant la fin du travail.
Gérard : « tout s’est bien passé tu as bien joui »Moi : « oui maître »Lui : « comme tu as terminé ton travail de classement je pense que tu comprends qu’à présent, comme une bonne chienne tu vas veiller au bien être des employés masculins du siège il y en a que tu ne connais pas. »Moi : « monsieur ce n’est pas possible beaucoup connaissent Alan pour lui je ne peux plus accepter je viendrais après le weekend vous remettre ma démission»Lui : « ne prend pas de décision trop hâtive tu aimes le sexe, je t’en propose, réfléchis si tu veux on en reparle lundi »Moi : « j’en parle avec Alan »Lorsqu’Ali arrive Alan est dans la voiture, je le rejoins il remarque tout de suite que quelque chose ne vas pas. Il m’interroge mais je ne veux rien dire devant le chauffeur. C’est à l’appartement que je lui fais part de la décision de Moreau et de mon désir de démissionner. Mon homme comprend et me suit il m’aide même à rédiger ma lettre de démission. A son tour il me dit que nous pouvons rentrer à Bordeaux dès mercredi il a un rendez-vous kiné mardi il demandera une ordonnance pour poursuivre les séances à bordeaux. Pendant le weekend nous dressons la liste des choses à faire avant de partir.
Le lundi matin Inès est surprise de me voir, je lui demande d’informer Moreau que je suis là et avant que je rentre dans le bureau elle me demande de venir la voir après.
Dans le bureau Moreau me regarde : « ma petite chienne a pris sa décision »Moi : « je lui donne ma lettre de démission. Oui Monsieur je démissionne ça va trop loin, pour mon mari je ne peux plus accepter de faire la pute pour tous les personnels de la société. Nous allons retourner à Bordeaux dès mercredi»Lui : « tu n’aimes plus ma queue elle va te manquer»Il sort sa bite bandée s’approche de moi prend ma main et la pose sur son sexe je ne peux me retenir de le caresser.
Lui : « dis que tu n’aimes pas que je te fasse jouir, que je ne te donne pas de plaisir petite salope ?»Moi : « ce n’est pas ça monsieur vous voulez faire de moi une salope à la disposition de tout votre personnel alors que mon mari travaille pour vous c’est trop demander »Lui : « je te comprends mais tu restes ma chienne.» Il me pousse, je tombe assise sur une chaise, il me colle sa bite dans la bouche, je le suce je sens ma chatte se liquéfier j’aime sa façon de me dominer. Il me relève, m’ôte ma robe, me fait mettre à genoux et m’enfile son braquemard dans mon trou d’amour. Il me saisit par les seins, me baise avec vigueur je jouis et il m’inonde la chatte de sa semenceLui : « je ne vous chasse pas vous pouvez rester dans le meublé »Moi : « non merci notre décision est prise »Lui : « Dans ce cas je m’occupe personnellement de votre retour. Je demande à Inès de voir avec le comptable pour votre fin de contrat le règlement des sommes qui vous sont dues et le certificat de travail. » Avant que je sorte il me tend une serviette pour que je m’essuie, je rectifie ma tenue et je sors. Je retrouve Inès je lui dis que je démissionne que mon mari allant mieux nous repartons à Bordeaux mercredi. Elle me regarde le sourire en coin je sens qu’elle ne me croit pas vraiment.
Inès : « Moreau a commencé par te demander d’être nue sous tes vêtements je l’ai remarqué, comme c’est un obsédé il ne sait pas s’arrêter et il est allé trop loin. Je le sais par Habib que j’aime beaucoup et qui se confie souvent à moi. Habib a aimé te prendre et te faire jouir mais n’est pas fier de la façon dont cela s’est fait. Il demande que tu lui pardonnes » Moi : « tu sais depuis le début ? Je te remercie de ne pas me juger. Je suis addicte au sexe, j’aime ça je n’y peux rien, tu peux appeler Habib que je lui parle ? Tu me donne la clé des archives.»Inès appelle Habib, en l’attendant j’avoue à Inès ce qui précipite notre départ.
Inès : « je te comprends je suis passée par là Moreau ne s’arrête pas si tu ne dis pas stop. Compte sur moi pour qu’il te dédommage correctement »Quand Habib arrive et je lui demande de me suivre. Dans les archives je verrouille la porte derrière nous.
Moi « Je te remercie du message que tu as laissé à Inès mais je veux te dire que je ne t’en veux pas au contraire j’ai eu beaucoup de plaisir avec toi, et maintenant c’est moi qui t’offre mon corps je te demande de me baiser car j’aime quand tu me baises»Habib : « Tu veux que je te baise, eh bien je ne m’attendais pas à ça »Moi : « Oui baise moi »Habib : « mais…. tu es sûre de le vouloir »Comme réponse je retire ma robe portefeuille sous laquelle je suis nue. Habib me dévore des yeux tout en retirant son pantalon. Sa verge éléphantesque commence à se raidir je saisis l’énorme mentule à deux mains, je le lèche plus que je ne le suce. J’entraine l’homme de couleur vers le bureau je pose mes fesses sur le meuble en écartant mes cuisses pieds sur le bureau pour recevoir l’organe hors norme de ce mâle.
Habib guide son gros boudin noir vers ma caverne lentement il s’enfonce il pousse encore, je savoure pleinement cette pénétration. Il est au fond et il en reste toujours trois bon cm, mon ventre est rempli comme j’aime il se meut avec souplesse, il entre sort revient cela dure je suis en délire je jouis il m’embrasse, sa bouche lippue prend ma bouche pour m’empêcher de crier, enfin je le sens envoyer son jus en de fortes giclées dans mon ventre. Quand il se retire, sa trompe fait un bruit de ventouse suivi d’une coulée de sperme blanchâtre. J’attire mon amant à moi et l’embrasse sur la bouche tout en lui caressant la queue. Satisfait il me sourit ses yeux pétillent je m’accroche à son cou.
Lui : « Tu as aimé ? En tout cas moi oui, tu veux que je te laisse ? »Moi : « attends tu n’as pas fini, j’ai encore envie de sentir ta grosse queue dans mon cul » Habib étonné : « tu veux que je t’encule ? Tes désirs sont des ordres ! »Il me plie sur le bureau et vient me lécher l’œillet je sens sa langue s’insinuer dans le petit orifice sur lequel il crache puis ses doigts élargissent le passage. Il trempe son gourdin dans ma chatte avant de le poser sur mon anneau brun. Mon anus s’ouvre lentement. Il pousse je sens le boa sombre s’enfoncer progressivement dans mon fondement encore et encore mon rectum est plein. Le black force et reprend sa progression je sens mes intestins remuer sous la pression. Enfin les couilles de mon amant touchent mon périnée son énorme bite est entièrement dans mon cul.
Mon baiseur se met en mouvement il entre et sort ses 25 cm presqu’en totalité je sens le plaisir venir, des frissons parcourent mon échine, la peau de mon dos se transforme en chair de poule je n’en peux plus je lui demande de cracher son jus au fond de mon intestin, je jouis et me mors la main pour ne pas crier de plaisir. Habib accélère et me défonce de plus en plus vite avant d’ouvrir les vannes. Il libère sa semence dans un cri rauque un nouvel orgasme m’emporte je suis comme ko je peine à bouger.
Je sens mes intestins se vider de l’intrus, lentement le gourdin de chair quitte mon fondement je m’écroule sur le sol. Habib se précipite pour me relever et m’assoir sur le bureau je regarde sa queue légèrement souillée et lui propose de le nettoyer en le suçant il refuse. Je me redresse pour l’embrasser et en même temps je me touche le cul, il est encore entrouvert et du sperme s’en écoule. Habib me donne son mouchoir pour m’essuyer avant d’essuyer sa verge.
Habib : «Élise je suis heureux que tu ne m’en veuilles pas et merci pour cette preuve de sincérité, je te comprends, je suis rassuré et j’ai de l’estime pour la femme que tu es et qui s’assume. »Je suis heureuse d’avoir découvert la tendresse et la délicatesse de cet homme quand il n’est pas sous la coupe de Moreau. Nous quittons les archives et retrouvons Inès au secrétariat.
Inès : « ça va mieux »Habib : « je suis soulagé l’ambiguïté est levée, merci à toutes les deux, bon je retourne au boulot » il part souriant.
Moi : « merci Inès tu nous a permis de régler ce malentendu » Inès : « Tu as la tête de quelqu’un qui vient de prendre cher, comme moi tu n’as pas pu résister à sa grosse queue »Je l’embrasse sur la joue : « c’était délicieux, mais je dois y aller mon mari m’attend » Inès me fait au revoir d’un signe de la main et je regagne l’appartement où m’attend Alan.
J’explique à Alan : « Moreau a compris notre décision ce qui ne l’a pas empêché de me baiser. Il a dit que nous pouvions rester dans le meublé. J’ai confirmé notre départ pour Bordeaux. Il a insisté pour se charger personnellement de notre voyage retour. »Alan rassuré accepte que le patron organise notre retour. L’après-midi je l’accompagne à l’hôpital. Pendant qu’il fait sa kiné je reçois un appel de Gérard.
Gérard : « Élise votre voyage retour se fera en monospace avec un chauffeur je vous accompagnerai. Nous partirons vers 10h nous déjeunerons sur la route. Nous serons à Bordeaux avant le diner, je réserve une chambre à l’hôtel pour Le chauffeur et moi. Avec Alan nous irons le lendemain sur le site voir si tout va bien malgré son absence»Moi : « qui sera le chauffeur ? »Lui : « Ali à moins que tu préfères Habib »Moi : « Oui je l’aime bien »Lui : « C’est parce que tu as aimé sa queue que tu veux que ce soit lui qui vienne »Moi : « On ne sait jamais si j’ai une envie lors d’un arrêt pipi. On fait comme ça ! Et ce n’est pas la peine de réserver une chambre je peux vous loger»Lui : « C’est OK pour moi, je fais le nécessaire. N’oublie pas de passer voir Inès afin de signer le reçu pour solde de tout compte » Ma copine Céline téléphone chaque semaine pour prendre des nouvelles donc je l’informe de mon retour et lui demande de remplir le frigo je lui envoie la liste par SMS.
Lorsqu’Alan sort de sa séance kiné je lui résume l’appel : « Moreau nous ramène à Bordeaux en monospace avec un chauffeur, il propose de partir vers 10 heures pour être à Bordeaux pour diner. Si tu n’es pas trop fatiguée, le jeudi il veut aller à ton boulot voir si tout va bien»En rentrant je passe par une boutique pour acheter une robe très sexy pour Cécile afin de la remercierNous passons une soirée tranquille, le mardi matin je fais le ménage en grand pour restituer un logement propre, l’après-midi pendant qu’Alan est à sa séance kiné je passe au bureau signer les documents et recevoir mon chèque. Inès m’accueille avec le sourire : « Ma chérie tu vas être contente regarde le chèque. Moreau ne peux rien me refuser il fallait bien qu’il rémunère ton implication»Effectivement je suis agréablement surprise pour un mois à mi-temps un peu plus de trois mille euros dont une prime exceptionnelle de 2000 euros. Je signe les documents récupère ceux qui me reviennent. J’embrasse Inès.
Moi : « Inès merci pour tout, tu es une fille bien je regrette de ne pas avoir eu le temps de mieux te connaitre »Inès : « moi aussi je t’apprécie, bon rétablissement à Alan, je te souhaite bonne chance et bonne baise avec ton chauffeur, tu n’oublies pas de me le rendre ! »Moi : « promis ! » Et je m’empresse d’aller montrer mon chèque à Alan. Il est heureux pour moi. Après notre diner la soirée est consacrée à préparer les valises avant une nuit réparatrice.
Le mercredi 06 juillet nous sommes debout à sept heures et à neuf les valises sont bouclées nous sommes prêts à partir Alan en pantalon de toile et un pull, moi en jupe portefeuille courte à fleur et débardeur blanc.
Le patron arrive un peu avant dix heures avec Habib. Ils m’embrassent tous les deux saluent Alan, ils se partagent les bagages pour les charger dans le Chrysler voyager. Nous partons à l’heure prévue la circulation est dense et nous arrivons au restaurant à Tours il est près de treize heures. Après le repas nous marchons un peu avant de reprendre la route nous arrivons à la maison il est 19h15 Cécile nous accueille avec émotion. Je lui remets son cadeau et lui demande de l’ouvrir chez elle avec son homme. Elle a fleurit la maison fait les lits et me propose de rester pour préparer le diner je la remercie et lui dit qu’elle en a déjà fait beaucoup que nous allons nous débrouiller. Il est temps pour elle de rejoindre son mari.
Nous prenons l’apéro je laisse les trois hommes dans le salon je vais préparer un diner rapide, je dresse la table et nous dinons tranquillement vidant deux bouteilles de bordeaux au cours du repas et Gérard prend bien garde à me remplir mon verre au maximum. Les hommes repassent au salon pour le café pendant que je débarrasse la table. Je mets en route le lave-vaisselle et range la cuisine.
Alan : « vous prendrez bien un digestif rhum ou cognac ? Chérie peux-tu apporter les bouteilles »J’apporte les deux bouteilles, nos invités prennent un cognac et Alan son vieux rhum. Je m’assoir dans un fauteuil. Gérard : « Ma petite chienne va venir entre Habib et son maître pour trinquer avec nous. »Je me lève me sers un cognac et m’installe entre les deux hommes n’osant pas bouger, mon maître me dit de boire cul sec, pour ne pas le contrarier, je bois mon cognac d’un trait. Je ressers une tournée cette fois je bois mon cognac en plusieurs gorgées. Avec l’apéritif le vin à table et le cognac je commence à avoir la tête embrumée. Mon maître commence à me caresser et glisse sa main entre mes cuisses pour desserrer mes genoux. Je le regarde et lui souris il se penche vers moi et m’embrasse à pleine bouche, sa main remonte mon débardeur il me pince le téton et sa main retourne vers ma chatte je me sens bien je m’abandonne à l’envie de plaisir.
Mes mains partent à la recherche des bites de mes deux voisins. Habib qui n’a pas encore bougé se décide enfin à ouvrir son pantalon et je peux prendre en main l’objet qui m’a donné tant de plaisir. Je suis interrompue par mon maitre qui vient de se lever, il me met face au chauffeur.
Maitre : « assieds-toi sur la queue d’Habib tu es tellement trempée que sa bite va rentrer toute seule dans ta boite à mouille.»Je m’empale sur le braquemard du chauffeur mon maitre me donne sa queue à sucer, de son fauteuil Alan me regarde en souriant, son regard est plein de tendresse. Alors que je me baise sur la merveilleuse queue noire, mon maitre me baise la bouche. Mon maitre m’arrose le fond de la gorge de plusieurs giclées de sperme je déglutis. La bouche vide je me lève et demande à Habib de me suivre, la bite noire dans la chatte j’avance vers mon homme j’embrasse Alan et je sors sa verge. Je lui suce sa quéquette tout en le branlant pendant que le chauffeur me bourre la boite à plaisir. Rapidement Alan se répand dans ma bouche et Habib déverse sa semence au fond de mon ventre quand je jouis. Alan me prend dans ses bras il me caresse le visage m’embrasse puis il se lève à l’aide de ses béquilles il est environ 23h.
Alan : « Messieurs je vous souhaite une bonne fin de soirée je suis fatigué, je vais me coucher et reposer mon dos. Chérie je te laisse t’amuser»Maître, Habib et moi lui souhaitons une bonne nuit je lui promets de ne pas me coucher trop tard. ………...à bientôt pour la fin de cette aventure
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