Élise libertine 61 lors du déménagement Élise découvre le voisin sous un nouveau jour
Récit érotique écrit par Jacanas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Élise libertine 61 lors du déménagement Élise découvre le voisin sous un nouveau jour
Mon épouse Élise hypersexuelle et moi Alan candauliste sommes mariés depuis 32ans. Suivez nos aventures chronologiquement sous le titre Élise libertine. Après les excès de notre patron (voir les récits : l’accident) Élise et moi avons démissionnés.
En octobre après avoir envoyé nombre de CV Élise reçoit une proposition de travail en région PACA. Un entretien d’embauche et un essai de deux jour est prévu pour les 17 et 18 octobre. Nous nous y rendons Élise réussit largement son entretien d’embauche je lui donne mon accord pour qu’elle signe un contrat de huit mois à compter du 02 novembre. Je trouve et loue pour novembre et décembre un gîte à une dizaine de kilomètres d’Aix en Provence.
Mes séances de kiné sont terminées et je ne prends ma canne que pour les longues marches. Nous prenons la décision de changer de région pour ce nouvel emploi et de vendre notre maison.
Dès notre retour à bordeaux le jeudi 20 octobre nous planifions notre déménagement afin de vendre notre maison. Le vendredi Élise, fidèle à son habitude, est en minijupe sans culotte elle commence à faire du tri à la maison pour savoir ce qu’il faut garder avec nous pour vivre deux mois dans le gîte. En début de matinée je vais au garde meuble pour louer un box afin d’y stocker nos affaires. Le temps de visiter d’effectuer les formalités je reviens vers dix heures en rentrant j’entends parler dans la cuisine.
Je m’avance dans le couloir et par la porte entrouverte je vois Élise couchée sur la table sans jupe et le corsage ouvert entre ses cuisses un homme d’une quarantaine d’année occupé à lui bourrer la chatte je recule sans être vu. Je joue les voyeurs. Je vois la bite coiffée d’un préservatif disparaitre pour mieux ressortir, après quelques minutes j’entends Élise jouir en même temps que l’homme. Je retourne à la porte d’entrée et cette fois je claque la porte. Je vais dans le salon en appelant mon épouse qui me crie qu’elle est dans la cuisine. Je la rejoins et joue la surprise.
Moi : « Bonjour monsieur vous êtes »Lui : « Bonjour je suis Joël l‘agent immobilier je devais venir à 14h00 mais mon rendez-vous de 9h00 est annulé comme j’étais proche de chez vous je suis passé à tout hasard. »Moi : « Vous avez bien fait mon épouse vous a fait visiter » Lui : « Oui tout à fait je vais faire quelques photos pour la mise en vente »Il fait les photos nous discutons de son estimation et du prix de vente plancher que nous souhaitons nous signons le mandat de vente exclusif pour trois mois. L’après-midi je prépare les divers courriers de clôture des contrats de gaz et d’électricité etc.
Le vendredi soir nous recevons quatre couples de voisins pour un apéritif dinatoire. J’en profite pour demander à notre voisin le plus proche qui est au chômage depuis peu s’il peut nous aider le lundi et le mardi il accepte volontiers. Aurélie et Jérémy, nos voisins depuis cinq ans, ont 26 ans et sont mariés depuis un an. Elle est esthéticienne lui fraiseur il a perdu son emploi il y a deux mois à cause d’une réduction d’effectif dans son entreprise. Nous avons souvent pris l’apéro ou partagé des diner ensemble. Pendant le week-end Élise prépare les six valises que nous garderons avec nous pour les deux mois au gite.
Le lundi matin ma petite femme porte une mini robe rouge sans sous vêtement comme à son habitude et ce n’est pas la présence de Jérémy qui va changer la chose. Avec le voisin nous allons dans une grande surface acheter des cartons ainsi que du papier bulle pour les choses fragiles. Dès notre retour nous attaquons la mise en carton du linge de maison, de nos vêtements et de la vaisselle cette étape étant terminée en fin d’après-midi Jérémy et moi attaquons la bibliothèque, mon bureau et les dossiers qui s’y trouvent.
Mon épouse m’appelle dans sa pièce couture pour que je démonte sa table de travail. Je laisse Jérémy seul et vais aider Élise cela est rapide à mon retour je vois mon voisin ranger précipitamment quelque chose dans un carton. L’air de rien je prends quelques classeurs que je place près de son carton ce qui me permet de voir que c’est un de nos albums de photos intimes qu’il a rangé si vite. Sans rien dire je continue le rangement une heure plus tard le bureau est vide les cartons de livres et dossiers ont rejoint ceux de linge sur des palettes dans le garage.
Le mardi mon voisin démonte les meubles qui peuvent l’être et Élise emballe bibelots et cadres divers pendant que je transporte les cartons au box de stockage grâce au fourgon prêté par Marcel un voisin marchand de meubles. Au garde meuble un transpalette me permet de décharger rapidement le fourgon mais le rangement du box prend plus de temps. Je fais trois voyages entre 10 heures et 16 heures avec une pause à midi pour déjeuner avec Élise et Jérémy. En fin d’après-midi avec le voisin nous chargeons au fur et à mesure les petits meubles et ceux démontés dans le fourgon pendant qu’Élise termine les cartons de choses fragiles.
A dix-neuf heures Aurélie vient nous chercher pour que nous allions diner chez elle. Je verrouille le fourgon chargé. Nous dinons assez rapidement. Aurélie et Jérémy nous proposent quand notre maison sera vide mercredi soir de dormir chez eux plutôt qu’à l’hôtel ce que nous acceptons volontiers. Nous quittons nos voisins à vingt-deux heures.
Je propose à Élise de faire un voyage au box pour gagner du temps et avoir fini de vider la maison demain soir. Alors que je range nos affaires dans le box ma femme me dit j’ai quelque chose à te dire.
Élise raconte : [ - ce matin pendant que tu es au box je décroche les tableaux du couloir je suis sur l’escabeau pour m’attaquer au lustre. Je sens une présence je baisse la tête et vois Jérémy au pied de l’escabeau je continue de décrocher le lustre. Il ne peut s’empêcher de regarder le spectacle qui s’offre à lui et pose la main sur mon mollet. Comme je suis sans réaction sa main remonte le long de ma jambe et me caresse l’intérieur des cuisses. Ses doigts glissent dans ma brèche humide. Je descends une marche avec le lustre à la main et me tourne vers lui il m’embrasse la chatte. Je descends de l’escabeau et pose le lustre sur le sol. Jérémy me plaque contre le mur tout en m’embrassant. Il continue de me caresser et m’agenouille. Je défais sa ceinture et sors son sexe bandé, il est épais pas très long mais bien dur je le suce et le branle.
Lui : « J’ai vu ton album de photos sur lesquelles tu te fais baiser par plein de mecs différents je ne te savais pas aussi salope »
Jérémy est si excité qu’il éjacule rapidement dans ma bouche, il me prend par le bras et m’entraine chez lui : « comme ça si Alan revient nous dirons que nous sommes allés boire un coup ». Dès que sa porte est fermée il me conduit dans sa chambre son lit est encore ouvert.
Lui : « C’est à mon tour de te baiser maintenant, dire que j’ai perdu cinq ans»Moi : « Et si je refuse tu fais quoi ? »Lui : « J’ai peut-être une bite moins grosse que certaines sur tes photos mais tu vas voir je sais m’en servir »Il me met nue me pousse sur son lit, il me suce le clito, je mouille abondamment. Il se met nu puis attrape un préservatif dans sa table de chevet. Il me retourne sur le ventre : « Sur les photos tu as l’air d’aimer la levrette alors lève ton cul »Je me mets en position et d’un coup sec il me plante la totalité de son chibre capuchonné dans la chatte il me baise violemment. Je sens mon plaisir poindre et je vais au-devant de sa queue.
Lui : « Ça te plais de te faire baiser, si j’avais su que t’étais une salope il y a longtemps que je t’aurais choppée »Moi : « Tu sais il suffit parfois de tenter, pourquoi tu ne m’as pas draguée ? Oui baise moi à fond je suis une salope » Lui : « Tu m’excitais, je te regardais mais vu notre différence d’âge je n’osais pas »Moi : « Alors profite en jeudi il sera trop tard »Jérémy m’a baisé pendant une demie heure j’ai joui trois fois et lui deux et cet d’après-midi il m’a baisée à nouveau et m’a enculée dans le garage c’est lui qui as demandé à Aurélie de nous inviter à dormir pour pouvoir me baiser dans la nuit. Je ne sais pas encore comment il compte s’y prendre. ]
Une fois le fourgon vide Élise et moi rentrons à la maison. Avec la nuit dans les pièces quasi vides le moindre bruit résonne. Nous prenons une douche. Avant de me coucher je prends des antalgiques car mon dos me fait souffrir. Je me fais réprimander par ma chérie car elle trouve que j’en fais trop et que je devrais encore me ménager quatre mois après mon accident. A minuit nous sommes couchés.
Le mercredi matin à huit heures Jérémy arrive avec deux autres voisins Luc et Marcel ce dernier est accompagné d’un de ses employés je suis heureux de voir cette main d’œuvre arriver. Marcel a vite fait de charger mes meubles dont certains viennent de chez lui, trois voyages et à treize heures la maison est totalement vide.
Pour les remercier j’invite tout ce petit monde au restaurant du quartier dont nous sortons vers quinze heures. Élise, Jérémy et moi allons faire le ménage je propose à Jérémy de lui fournir une lettre de recommandation pour rentrer dans mon ancienne entreprise. Je téléphone à Sean et lui donne les éléments (qualification expérience et coordonnée de Jérémy) pour qu’il fasse la lettre de recommandation.
Je fais un tour à la déchetterie pour jeter toutes les saloperies. A dix-sept heures tout est terminé les valises chargées dans notre voiture. Élise part avec Jérémy m’attendre chez lui tandis que je regroupe toutes nos clés pour l’agent immobilier qui doit arriver. Ce dernier arrive une demie heure plus tard nous faisons le tour de la maison. Il est certainement déçu que ce ne soit pas Élise qui soit là. Il prend quelques photos de la maison vide et m’annonce qu’il a déjà une visite programmée en fin de semaine.
Après le départ de l’agent immobilier, avant de rejoindre mon épouse, je vais dans ma voiture chercher une bouteille de ‘‘fine de Bordeaux’’ que j’ai mise de côté pour remercier Jérémy. je traverse la rue pour juste au moment où Aurélie rentre de son travail. J’attends donc ma voisine pour rentrer avec elle. Je la salue elle me demande où est Élise je lui réponds qu’elle est déjà avec Jérémy. Je suis surpris de la voir sonner avant d’entrer. Nous entrons tous les deux et trouvons Élise et Jeremy dans le salon.
Jérémy : « Chérie pourquoi tu sonnes, c’est nouveau »Aurélie avec un sourire malicieux: « Il parait que tu es avec une jolie femme je ne voulais pas vous déranger »Jérémy le visage rouge : « Très drôle ! Au fait Alan me fait pistonner pour que je rentre dans son ancienne boite »Moi : « Oui, Sean mon ami depuis plus de 30 ans est directeur technique au siège il va faire une lettre que Jérémy donnera au nouveau chef de site. Sean fera intervenir le PDG directement pour l’embauche. »Jérémy : « En tout cas merci je ferai tout pour que ça marche » J’offre la bouteille de fine à mon hôte, Élise propose à Aurélie de l’aider pour le diner. La sonnette de la porte retentit. Aurélie demande à son Mari d’aller ouvrir. Ce dernier ouvre la porte c’est le fleuriste du boulevard qui livre des fleurs. Jérémy apporte le bouquet à sa femme qui ouvre la carte qui accompagne les fleurs.
Aurélie : « Ah non ! Élise et Alan merci mais il ne fallait pas, c’est avec plaisir que nous vous recevons » elle nous embrasse et nous invite à passer à l’apéro.
Nous prenons tous les quatre un apéritif largement servi, puis les femmes préparent le repas et dressent la table Jérémy ouvre deux bouteilles de vin un grave de Vayres et un clairet.
Nos épouses reviennent et nous prenons un deuxième apéro en passant à table. Aurélie apporte l’entrée et mon voisin sert le vin. Le repas traine en longueur Jérémy remplit généreusement mon verre et celui de sa femme mais lui et Élise ne boivent pas beaucoup. En fin de repas Aurélie demande à Élise de l’aider à débarrasser la table elles partent en cuisine, Élise revient seule au salon avec la cafetière et les tasses.
Élise : « Je crois qu’Aurélie est pompette »Jérémy : « Elle dormira mieux. »Aurélie nous rejoint Élise sert le café, nous le buvons en discutant de nos projets. Il est près de vingt-trois heures Jérémy sort quatre verres à cognac pour boire la fine il commence à servir.
Aurélie : « Pas pour moi chéri »Jérémy : « C’est du bon tu vas bien faire honneur à cette fine pour faire plaisir à Alan »Aurélie se laisse convaincre et nous dégustons tous les quatre notre eau de vie. Au bout d’un quart d’heure Aurélie se lève pour débarrasser les tasses mais elle titube et retombe sur son fauteuil.
Élise : « Laisse je m’en occupe, vas te coucher »Élise débarrasse aidée de Jérémy qui propose de l’aider à faire la vaisselle. Aurélie se lève en titubant et avance péniblement je me lève et l’aide à gagner sa chambre je l’assois au pied du lit et lui retire ses escarpins. J’ouvre le lit pour la coucher quand je me retourne elle a retiré sa robe, elle est seins nus et retire son string couleur chair et le jette sur le côté elle est sacrément bien foutue. Je glisse mon bras sous les siens pour l’amener sur le côté afin de la coucher.
Aurélie la bouche pâteuse : « T’es un amour occupe-toi de moi »Accrochée à mon cou elle m’embrasse à pleine bouche puis pose sa tête sur mon épaule, dommage qu’elle ne m’ait pas fait ça à jeun. Je l’allonge dans son lit. Avant de rabattre la couette je prends le temps de la regarder. Je commence à rabattre la couette et j’effleurer sa poitrine. Elle se redresse, les bras autour de mon cou elle me retient.
Aurélie le regard vitreux : « je t’ai toujours trouvé sympa et charmeur, fais-moi l’amour »Moi : « non Aurélie tu dis n’importe quoi, tu ne sais pas ce que tu fais il faut que tu dormes »Elle : « Caresse moi au moins »Elle retombe sur le lit, je pousse un peu la couette et de la main je lui prodigue la caresse demandée en passant de ses seins à son clito que je branle tous en lui doigtant la chatte elle jouit rapidement je l’embrasse sur le front et je rabats la couette j’éteins la lumière et quitte la chambre. Je vais rejoindre Jérémy et Élise dans la cuisine la vaisselle est presque terminée.
Jérémy : « comment va Aurélie ? »Moi : « elle est partie se coucher et je vais faire comme elle je suis crevé et avec l’alcool je vais bien dormir »Élise : « va mon chéri j’ai bientôt terminé »Je pars me coucher. Je ne clenche pas la porte qui sépare le couloir et le salon ni celle de la chambre. Dans le couloir la chambre d’amis est en face de celle de nos voisins. Je me couche en restant à l’affut du moindre bruit. Une dizaine de minutes plus tard j’entends du bruit. Je tends l’oreille la porte de chambre grince à peine, j’entends le ronflement d’Aurélie puis Jérémy dit (elle dort comme une marmotte). Un léger bruit de pas dans la chambre je devine qu’Élise s’approche du lit.
Élise chuchote : « chéri tu dors » sans réponse de ma part je l’entends reculer et sortir de la chambre.
J’attends un moment puis je me lève, aussi silencieusement que possible je quitte la chambre. Je vais à la porte du salon qui est juste poussée. J’entends Élise et Jérémy parler. Élise met Jérémy en garde sur les dérives sexuelle dans la société elle lui demande de tenir aurélie à l’écart. Comme rien ne se passe je suis sur le point de partir quand j’entends Jérémy gémir et un bruit de succion.
Jérémy : « Oui tu suces bien, attends j’enlève mon pantalon »J’entends le bruissement des vêtements que l’on retire, je pousse légèrement la porte. La porte entrebâillée de deux ou trois centimètres me permet de voir le salon. Élise est assise nue sur le canapé, Jérémy est nu debout face à elle. Les lèvres de mon épouse vont et viennent sur la queue bandée du voisin. D’où je suis j’évalue les dimensions de la bite (environ Ø4cm, L16cm). Ma gourmande se délecte de son sucre d’orge et le coquin semble apprécier. La tête en arrière il a les yeux fermés, la mâchoire crispée, les dents serrées. Ses mains, caressant parfois la joue ma femme, accompagnent le mouvement de la tête suceuse. Il lui parle tout bas.
Jérémy un peu plus fort : « Attention je viens haaarr »Élise serre ses lèvres autour du gourdin et l’absorbe le plus possible pour bien en tirer toute la sève. Elle observe le visage du jeune voisin qui jouit. Après les derniers soubresauts de la bite elle déglutie et libère le membre qui perd de sa rigidité.
Mon voisin s’assied près de ma moitié et lui caresse la poitrine, sa bouche embrasse les seins l’un après l’autre ses lèvres pincent les tétons. Élise elle caresse les bourses du jeunot et branle sa verge pour la revitaliser.
Lorsqu’elle juge la queue suffisamment raide ma libertine se lève, elle se met à genoux sur la banquette à cheval sur Jérémy face à lui et se laisse descendre. Je ne vois pas bien mais elle s’empale sur le braquemard du voisin et lui dévore la bouche.
Jérémy : « Si nos conjoints savaient qu’on baise pendant qu’ils dorment ça pourrait barder»Élise : « Ne t’inquiète pas Alan sait bien ce qui nous faisons, s’il s’est couché c’est pour nous laisser le champ libre »Lui : « tu crois qu’il nous a vu ou qu’il s’en doute ? »Elle : « non c’est juste que je lui dis tout »Au bout d’une demie heure j’en ai assez vu aussi je vais me coucher et je m’endors en pensant à ma jeune et jolie voisine que j’aurais pu baiser. Au cours de la nuit je suis réveillé par Élise qui se blottit contre moi, je jette un œil sur ma montre il est plus de deux heures du matin.
Moi : « Alors c’était bon, il baise bien le petit ? »Élise : « J’ignore s’il est toujours comme ça, il m’a baisé par tous les trous et m’a faite jouir pendant deux heures »Elle prend ma main la pose sur sa chatte : « Regarde j’ai encore son sperme dans la chatte et le cul »Elle se tourne et colle son cul sur mon bas ventre et comme je bande je ne peux pas ignorer son invitation. Ma bite trouve vite sa place dans le conduit étroit où je vais me soulager tout en lui caressant le clito. Finalement nous nous endormons.
A six heure trente je suis réveillé par un bruit de porte, j’enfile mon pantalon et je me lève. Je me dirige vers la cuisine qui est éclairée, ma voisine en déshabillé rouge tient à la main un verre d’eau où se dissout un comprimé.
Je m’approche : « Bonjour Aurélie comment vas-tu ? »Elle s’approche m’embrasse : « J’ai un orchestre bavarois dans la tête, pas toi ? »Moi : « Moi ça va j’ai l’habitude de boire un peu, as-tu passé une bonne nuit ? »Elle : « Oui, mais je ne sais pas si je dois te remercier »Moi : « Pourquoi ce n’est pas moi qui t’ai fait boire »Elle : « Je sais, mais tu as été très correct peut être trop quand tu m’as couchée hier soir »Moi : « Pourquoi trop, je n’allais pas abuser de toi alors que tu étais ivre »Elle : « Je te comprends mais quand je t’ai demandé j’en avais envie s’il y a une prochaine fois n’hésite pas »Moi : « Désolé j’ai raté l’occase excuse-moi. Tu travailles à quelle heure ce matin »Elle : « A huit heures j’ai une mariée à préparer pour son grand jour »Je déjeune avec Aurélie je suis récompensé lorsqu’elle s’assoit à côté de moi son déshabillé s’ouvre et m’offre une vue magnifique sur le mont de vénus. Elle va se préparer pour le travail et avant de partir elle s’empare de mes lèvres je rends son baiser à la mignonne et elle part.
A huit heures Élise et Jérémy se lèvent pendant qu’ils déjeunent je vais prendre ma douche. Puis c’est au tour d’Élise qui invite Jérémy à lui frotter le dos ce qui rend la douche plus longue que la normale. Finalement nous partons de Bordeaux à dix heures soit une heure de retard sur l’horaire prévu et nous arrivons au gîte près d’Aix en Provence vers dix-neuf heures………………..
A bientôt pour la suite du récit de nos aventures……………………….
N’hésitez pas à réagir à nos textes vos remarques sont bienvenues, merci à tous.
En octobre après avoir envoyé nombre de CV Élise reçoit une proposition de travail en région PACA. Un entretien d’embauche et un essai de deux jour est prévu pour les 17 et 18 octobre. Nous nous y rendons Élise réussit largement son entretien d’embauche je lui donne mon accord pour qu’elle signe un contrat de huit mois à compter du 02 novembre. Je trouve et loue pour novembre et décembre un gîte à une dizaine de kilomètres d’Aix en Provence.
Mes séances de kiné sont terminées et je ne prends ma canne que pour les longues marches. Nous prenons la décision de changer de région pour ce nouvel emploi et de vendre notre maison.
Dès notre retour à bordeaux le jeudi 20 octobre nous planifions notre déménagement afin de vendre notre maison. Le vendredi Élise, fidèle à son habitude, est en minijupe sans culotte elle commence à faire du tri à la maison pour savoir ce qu’il faut garder avec nous pour vivre deux mois dans le gîte. En début de matinée je vais au garde meuble pour louer un box afin d’y stocker nos affaires. Le temps de visiter d’effectuer les formalités je reviens vers dix heures en rentrant j’entends parler dans la cuisine.
Je m’avance dans le couloir et par la porte entrouverte je vois Élise couchée sur la table sans jupe et le corsage ouvert entre ses cuisses un homme d’une quarantaine d’année occupé à lui bourrer la chatte je recule sans être vu. Je joue les voyeurs. Je vois la bite coiffée d’un préservatif disparaitre pour mieux ressortir, après quelques minutes j’entends Élise jouir en même temps que l’homme. Je retourne à la porte d’entrée et cette fois je claque la porte. Je vais dans le salon en appelant mon épouse qui me crie qu’elle est dans la cuisine. Je la rejoins et joue la surprise.
Moi : « Bonjour monsieur vous êtes »Lui : « Bonjour je suis Joël l‘agent immobilier je devais venir à 14h00 mais mon rendez-vous de 9h00 est annulé comme j’étais proche de chez vous je suis passé à tout hasard. »Moi : « Vous avez bien fait mon épouse vous a fait visiter » Lui : « Oui tout à fait je vais faire quelques photos pour la mise en vente »Il fait les photos nous discutons de son estimation et du prix de vente plancher que nous souhaitons nous signons le mandat de vente exclusif pour trois mois. L’après-midi je prépare les divers courriers de clôture des contrats de gaz et d’électricité etc.
Le vendredi soir nous recevons quatre couples de voisins pour un apéritif dinatoire. J’en profite pour demander à notre voisin le plus proche qui est au chômage depuis peu s’il peut nous aider le lundi et le mardi il accepte volontiers. Aurélie et Jérémy, nos voisins depuis cinq ans, ont 26 ans et sont mariés depuis un an. Elle est esthéticienne lui fraiseur il a perdu son emploi il y a deux mois à cause d’une réduction d’effectif dans son entreprise. Nous avons souvent pris l’apéro ou partagé des diner ensemble. Pendant le week-end Élise prépare les six valises que nous garderons avec nous pour les deux mois au gite.
Le lundi matin ma petite femme porte une mini robe rouge sans sous vêtement comme à son habitude et ce n’est pas la présence de Jérémy qui va changer la chose. Avec le voisin nous allons dans une grande surface acheter des cartons ainsi que du papier bulle pour les choses fragiles. Dès notre retour nous attaquons la mise en carton du linge de maison, de nos vêtements et de la vaisselle cette étape étant terminée en fin d’après-midi Jérémy et moi attaquons la bibliothèque, mon bureau et les dossiers qui s’y trouvent.
Mon épouse m’appelle dans sa pièce couture pour que je démonte sa table de travail. Je laisse Jérémy seul et vais aider Élise cela est rapide à mon retour je vois mon voisin ranger précipitamment quelque chose dans un carton. L’air de rien je prends quelques classeurs que je place près de son carton ce qui me permet de voir que c’est un de nos albums de photos intimes qu’il a rangé si vite. Sans rien dire je continue le rangement une heure plus tard le bureau est vide les cartons de livres et dossiers ont rejoint ceux de linge sur des palettes dans le garage.
Le mardi mon voisin démonte les meubles qui peuvent l’être et Élise emballe bibelots et cadres divers pendant que je transporte les cartons au box de stockage grâce au fourgon prêté par Marcel un voisin marchand de meubles. Au garde meuble un transpalette me permet de décharger rapidement le fourgon mais le rangement du box prend plus de temps. Je fais trois voyages entre 10 heures et 16 heures avec une pause à midi pour déjeuner avec Élise et Jérémy. En fin d’après-midi avec le voisin nous chargeons au fur et à mesure les petits meubles et ceux démontés dans le fourgon pendant qu’Élise termine les cartons de choses fragiles.
A dix-neuf heures Aurélie vient nous chercher pour que nous allions diner chez elle. Je verrouille le fourgon chargé. Nous dinons assez rapidement. Aurélie et Jérémy nous proposent quand notre maison sera vide mercredi soir de dormir chez eux plutôt qu’à l’hôtel ce que nous acceptons volontiers. Nous quittons nos voisins à vingt-deux heures.
Je propose à Élise de faire un voyage au box pour gagner du temps et avoir fini de vider la maison demain soir. Alors que je range nos affaires dans le box ma femme me dit j’ai quelque chose à te dire.
Élise raconte : [ - ce matin pendant que tu es au box je décroche les tableaux du couloir je suis sur l’escabeau pour m’attaquer au lustre. Je sens une présence je baisse la tête et vois Jérémy au pied de l’escabeau je continue de décrocher le lustre. Il ne peut s’empêcher de regarder le spectacle qui s’offre à lui et pose la main sur mon mollet. Comme je suis sans réaction sa main remonte le long de ma jambe et me caresse l’intérieur des cuisses. Ses doigts glissent dans ma brèche humide. Je descends une marche avec le lustre à la main et me tourne vers lui il m’embrasse la chatte. Je descends de l’escabeau et pose le lustre sur le sol. Jérémy me plaque contre le mur tout en m’embrassant. Il continue de me caresser et m’agenouille. Je défais sa ceinture et sors son sexe bandé, il est épais pas très long mais bien dur je le suce et le branle.
Lui : « J’ai vu ton album de photos sur lesquelles tu te fais baiser par plein de mecs différents je ne te savais pas aussi salope »
Jérémy est si excité qu’il éjacule rapidement dans ma bouche, il me prend par le bras et m’entraine chez lui : « comme ça si Alan revient nous dirons que nous sommes allés boire un coup ». Dès que sa porte est fermée il me conduit dans sa chambre son lit est encore ouvert.
Lui : « C’est à mon tour de te baiser maintenant, dire que j’ai perdu cinq ans»Moi : « Et si je refuse tu fais quoi ? »Lui : « J’ai peut-être une bite moins grosse que certaines sur tes photos mais tu vas voir je sais m’en servir »Il me met nue me pousse sur son lit, il me suce le clito, je mouille abondamment. Il se met nu puis attrape un préservatif dans sa table de chevet. Il me retourne sur le ventre : « Sur les photos tu as l’air d’aimer la levrette alors lève ton cul »Je me mets en position et d’un coup sec il me plante la totalité de son chibre capuchonné dans la chatte il me baise violemment. Je sens mon plaisir poindre et je vais au-devant de sa queue.
Lui : « Ça te plais de te faire baiser, si j’avais su que t’étais une salope il y a longtemps que je t’aurais choppée »Moi : « Tu sais il suffit parfois de tenter, pourquoi tu ne m’as pas draguée ? Oui baise moi à fond je suis une salope » Lui : « Tu m’excitais, je te regardais mais vu notre différence d’âge je n’osais pas »Moi : « Alors profite en jeudi il sera trop tard »Jérémy m’a baisé pendant une demie heure j’ai joui trois fois et lui deux et cet d’après-midi il m’a baisée à nouveau et m’a enculée dans le garage c’est lui qui as demandé à Aurélie de nous inviter à dormir pour pouvoir me baiser dans la nuit. Je ne sais pas encore comment il compte s’y prendre. ]
Une fois le fourgon vide Élise et moi rentrons à la maison. Avec la nuit dans les pièces quasi vides le moindre bruit résonne. Nous prenons une douche. Avant de me coucher je prends des antalgiques car mon dos me fait souffrir. Je me fais réprimander par ma chérie car elle trouve que j’en fais trop et que je devrais encore me ménager quatre mois après mon accident. A minuit nous sommes couchés.
Le mercredi matin à huit heures Jérémy arrive avec deux autres voisins Luc et Marcel ce dernier est accompagné d’un de ses employés je suis heureux de voir cette main d’œuvre arriver. Marcel a vite fait de charger mes meubles dont certains viennent de chez lui, trois voyages et à treize heures la maison est totalement vide.
Pour les remercier j’invite tout ce petit monde au restaurant du quartier dont nous sortons vers quinze heures. Élise, Jérémy et moi allons faire le ménage je propose à Jérémy de lui fournir une lettre de recommandation pour rentrer dans mon ancienne entreprise. Je téléphone à Sean et lui donne les éléments (qualification expérience et coordonnée de Jérémy) pour qu’il fasse la lettre de recommandation.
Je fais un tour à la déchetterie pour jeter toutes les saloperies. A dix-sept heures tout est terminé les valises chargées dans notre voiture. Élise part avec Jérémy m’attendre chez lui tandis que je regroupe toutes nos clés pour l’agent immobilier qui doit arriver. Ce dernier arrive une demie heure plus tard nous faisons le tour de la maison. Il est certainement déçu que ce ne soit pas Élise qui soit là. Il prend quelques photos de la maison vide et m’annonce qu’il a déjà une visite programmée en fin de semaine.
Après le départ de l’agent immobilier, avant de rejoindre mon épouse, je vais dans ma voiture chercher une bouteille de ‘‘fine de Bordeaux’’ que j’ai mise de côté pour remercier Jérémy. je traverse la rue pour juste au moment où Aurélie rentre de son travail. J’attends donc ma voisine pour rentrer avec elle. Je la salue elle me demande où est Élise je lui réponds qu’elle est déjà avec Jérémy. Je suis surpris de la voir sonner avant d’entrer. Nous entrons tous les deux et trouvons Élise et Jeremy dans le salon.
Jérémy : « Chérie pourquoi tu sonnes, c’est nouveau »Aurélie avec un sourire malicieux: « Il parait que tu es avec une jolie femme je ne voulais pas vous déranger »Jérémy le visage rouge : « Très drôle ! Au fait Alan me fait pistonner pour que je rentre dans son ancienne boite »Moi : « Oui, Sean mon ami depuis plus de 30 ans est directeur technique au siège il va faire une lettre que Jérémy donnera au nouveau chef de site. Sean fera intervenir le PDG directement pour l’embauche. »Jérémy : « En tout cas merci je ferai tout pour que ça marche » J’offre la bouteille de fine à mon hôte, Élise propose à Aurélie de l’aider pour le diner. La sonnette de la porte retentit. Aurélie demande à son Mari d’aller ouvrir. Ce dernier ouvre la porte c’est le fleuriste du boulevard qui livre des fleurs. Jérémy apporte le bouquet à sa femme qui ouvre la carte qui accompagne les fleurs.
Aurélie : « Ah non ! Élise et Alan merci mais il ne fallait pas, c’est avec plaisir que nous vous recevons » elle nous embrasse et nous invite à passer à l’apéro.
Nous prenons tous les quatre un apéritif largement servi, puis les femmes préparent le repas et dressent la table Jérémy ouvre deux bouteilles de vin un grave de Vayres et un clairet.
Nos épouses reviennent et nous prenons un deuxième apéro en passant à table. Aurélie apporte l’entrée et mon voisin sert le vin. Le repas traine en longueur Jérémy remplit généreusement mon verre et celui de sa femme mais lui et Élise ne boivent pas beaucoup. En fin de repas Aurélie demande à Élise de l’aider à débarrasser la table elles partent en cuisine, Élise revient seule au salon avec la cafetière et les tasses.
Élise : « Je crois qu’Aurélie est pompette »Jérémy : « Elle dormira mieux. »Aurélie nous rejoint Élise sert le café, nous le buvons en discutant de nos projets. Il est près de vingt-trois heures Jérémy sort quatre verres à cognac pour boire la fine il commence à servir.
Aurélie : « Pas pour moi chéri »Jérémy : « C’est du bon tu vas bien faire honneur à cette fine pour faire plaisir à Alan »Aurélie se laisse convaincre et nous dégustons tous les quatre notre eau de vie. Au bout d’un quart d’heure Aurélie se lève pour débarrasser les tasses mais elle titube et retombe sur son fauteuil.
Élise : « Laisse je m’en occupe, vas te coucher »Élise débarrasse aidée de Jérémy qui propose de l’aider à faire la vaisselle. Aurélie se lève en titubant et avance péniblement je me lève et l’aide à gagner sa chambre je l’assois au pied du lit et lui retire ses escarpins. J’ouvre le lit pour la coucher quand je me retourne elle a retiré sa robe, elle est seins nus et retire son string couleur chair et le jette sur le côté elle est sacrément bien foutue. Je glisse mon bras sous les siens pour l’amener sur le côté afin de la coucher.
Aurélie la bouche pâteuse : « T’es un amour occupe-toi de moi »Accrochée à mon cou elle m’embrasse à pleine bouche puis pose sa tête sur mon épaule, dommage qu’elle ne m’ait pas fait ça à jeun. Je l’allonge dans son lit. Avant de rabattre la couette je prends le temps de la regarder. Je commence à rabattre la couette et j’effleurer sa poitrine. Elle se redresse, les bras autour de mon cou elle me retient.
Aurélie le regard vitreux : « je t’ai toujours trouvé sympa et charmeur, fais-moi l’amour »Moi : « non Aurélie tu dis n’importe quoi, tu ne sais pas ce que tu fais il faut que tu dormes »Elle : « Caresse moi au moins »Elle retombe sur le lit, je pousse un peu la couette et de la main je lui prodigue la caresse demandée en passant de ses seins à son clito que je branle tous en lui doigtant la chatte elle jouit rapidement je l’embrasse sur le front et je rabats la couette j’éteins la lumière et quitte la chambre. Je vais rejoindre Jérémy et Élise dans la cuisine la vaisselle est presque terminée.
Jérémy : « comment va Aurélie ? »Moi : « elle est partie se coucher et je vais faire comme elle je suis crevé et avec l’alcool je vais bien dormir »Élise : « va mon chéri j’ai bientôt terminé »Je pars me coucher. Je ne clenche pas la porte qui sépare le couloir et le salon ni celle de la chambre. Dans le couloir la chambre d’amis est en face de celle de nos voisins. Je me couche en restant à l’affut du moindre bruit. Une dizaine de minutes plus tard j’entends du bruit. Je tends l’oreille la porte de chambre grince à peine, j’entends le ronflement d’Aurélie puis Jérémy dit (elle dort comme une marmotte). Un léger bruit de pas dans la chambre je devine qu’Élise s’approche du lit.
Élise chuchote : « chéri tu dors » sans réponse de ma part je l’entends reculer et sortir de la chambre.
J’attends un moment puis je me lève, aussi silencieusement que possible je quitte la chambre. Je vais à la porte du salon qui est juste poussée. J’entends Élise et Jérémy parler. Élise met Jérémy en garde sur les dérives sexuelle dans la société elle lui demande de tenir aurélie à l’écart. Comme rien ne se passe je suis sur le point de partir quand j’entends Jérémy gémir et un bruit de succion.
Jérémy : « Oui tu suces bien, attends j’enlève mon pantalon »J’entends le bruissement des vêtements que l’on retire, je pousse légèrement la porte. La porte entrebâillée de deux ou trois centimètres me permet de voir le salon. Élise est assise nue sur le canapé, Jérémy est nu debout face à elle. Les lèvres de mon épouse vont et viennent sur la queue bandée du voisin. D’où je suis j’évalue les dimensions de la bite (environ Ø4cm, L16cm). Ma gourmande se délecte de son sucre d’orge et le coquin semble apprécier. La tête en arrière il a les yeux fermés, la mâchoire crispée, les dents serrées. Ses mains, caressant parfois la joue ma femme, accompagnent le mouvement de la tête suceuse. Il lui parle tout bas.
Jérémy un peu plus fort : « Attention je viens haaarr »Élise serre ses lèvres autour du gourdin et l’absorbe le plus possible pour bien en tirer toute la sève. Elle observe le visage du jeune voisin qui jouit. Après les derniers soubresauts de la bite elle déglutie et libère le membre qui perd de sa rigidité.
Mon voisin s’assied près de ma moitié et lui caresse la poitrine, sa bouche embrasse les seins l’un après l’autre ses lèvres pincent les tétons. Élise elle caresse les bourses du jeunot et branle sa verge pour la revitaliser.
Lorsqu’elle juge la queue suffisamment raide ma libertine se lève, elle se met à genoux sur la banquette à cheval sur Jérémy face à lui et se laisse descendre. Je ne vois pas bien mais elle s’empale sur le braquemard du voisin et lui dévore la bouche.
Jérémy : « Si nos conjoints savaient qu’on baise pendant qu’ils dorment ça pourrait barder»Élise : « Ne t’inquiète pas Alan sait bien ce qui nous faisons, s’il s’est couché c’est pour nous laisser le champ libre »Lui : « tu crois qu’il nous a vu ou qu’il s’en doute ? »Elle : « non c’est juste que je lui dis tout »Au bout d’une demie heure j’en ai assez vu aussi je vais me coucher et je m’endors en pensant à ma jeune et jolie voisine que j’aurais pu baiser. Au cours de la nuit je suis réveillé par Élise qui se blottit contre moi, je jette un œil sur ma montre il est plus de deux heures du matin.
Moi : « Alors c’était bon, il baise bien le petit ? »Élise : « J’ignore s’il est toujours comme ça, il m’a baisé par tous les trous et m’a faite jouir pendant deux heures »Elle prend ma main la pose sur sa chatte : « Regarde j’ai encore son sperme dans la chatte et le cul »Elle se tourne et colle son cul sur mon bas ventre et comme je bande je ne peux pas ignorer son invitation. Ma bite trouve vite sa place dans le conduit étroit où je vais me soulager tout en lui caressant le clito. Finalement nous nous endormons.
A six heure trente je suis réveillé par un bruit de porte, j’enfile mon pantalon et je me lève. Je me dirige vers la cuisine qui est éclairée, ma voisine en déshabillé rouge tient à la main un verre d’eau où se dissout un comprimé.
Je m’approche : « Bonjour Aurélie comment vas-tu ? »Elle s’approche m’embrasse : « J’ai un orchestre bavarois dans la tête, pas toi ? »Moi : « Moi ça va j’ai l’habitude de boire un peu, as-tu passé une bonne nuit ? »Elle : « Oui, mais je ne sais pas si je dois te remercier »Moi : « Pourquoi ce n’est pas moi qui t’ai fait boire »Elle : « Je sais, mais tu as été très correct peut être trop quand tu m’as couchée hier soir »Moi : « Pourquoi trop, je n’allais pas abuser de toi alors que tu étais ivre »Elle : « Je te comprends mais quand je t’ai demandé j’en avais envie s’il y a une prochaine fois n’hésite pas »Moi : « Désolé j’ai raté l’occase excuse-moi. Tu travailles à quelle heure ce matin »Elle : « A huit heures j’ai une mariée à préparer pour son grand jour »Je déjeune avec Aurélie je suis récompensé lorsqu’elle s’assoit à côté de moi son déshabillé s’ouvre et m’offre une vue magnifique sur le mont de vénus. Elle va se préparer pour le travail et avant de partir elle s’empare de mes lèvres je rends son baiser à la mignonne et elle part.
A huit heures Élise et Jérémy se lèvent pendant qu’ils déjeunent je vais prendre ma douche. Puis c’est au tour d’Élise qui invite Jérémy à lui frotter le dos ce qui rend la douche plus longue que la normale. Finalement nous partons de Bordeaux à dix heures soit une heure de retard sur l’horaire prévu et nous arrivons au gîte près d’Aix en Provence vers dix-neuf heures………………..
A bientôt pour la suite du récit de nos aventures……………………….
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