Élise libertine 75 D’une soirée entre fille à la mêlée
Récit érotique écrit par les-jacanas [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Élise libertine 75 D’une soirée entre fille à la mêlée
[Heureux de vous retrouver, nous nous excusons de cette longue absence. Nous ne sommes ni en grève ni fâchés. Alan a rencontré la COVID mi-octobre (une forme assez violente) alors que depuis 2019 nous l’avions évitée. Après la réa puis les soins intensifs et les soins de suite il est de retour à la maison depuis mi-décembre mais avec six kilos de moins et le retour de douleurs dorsales (séquelles de son accident de 2005 récit 53) qui se sont réveillées, vous comprendrez que nous étions peu enclin à poursuivre nos récits. Enfin après ces fêtes en famille il va mieux. Nous vous proposons, le récit écrit avant cette épreuve, non sans vous souhaiter une bonne année 2024 et surtout la santé et du plaisir.]
Le soir du 13 octobre 2007 Alan veut regarder la demie finale de rugby opposant l’Angleterre à la France j’ai décidé d’organiser un repas au restaurant entre fille avec huit amies, cinq (Aurélie, Laetitia, Christine, Sandrine et Audrey ont encore des enfants en bas âge qu’elles confient à leurs époux, deux Nathalie et Geneviève ont des grands ados et Laure mariée depuis un plus de trois mois est sans enfant. Alan, afin de ne pas rester seul devant la télé pour suivre la demie finale de rugby, organise de son côté un barbecue à la maison avec les époux de Geneviève, Nat et Laure ils seront donc quatre pour regarder le rugby à la télé.
Ce samedi 13 octobre vers dix-huit heures trente je prends ma douche, je me maquille légèrement et je choisi ma tenue un ensemble tanga soutien-gorge bleu foncé sous une petite robe portefeuille bleu Klein tenue par une ceinture en chaine dorée, des escarpins noirs et une petite veste blanche. Il est un peu plus de dix-neuf heures lorsque je descends, Adrien, François et Sébastien viennent d’arriver à la maison. Bien évidemment j’ai droit à quelques sifflets d’admiration, j’embrasse mon mari et ceux de mes copines et je quitte la maison pour aller au portail où Aurélie doit me prendre dans cinq minutes. Nous avons rendez-vous avec les autres dans le centre d’Aix en Provence à dix-neuf heures quarante-cinq sur le cours Mirabeau devant le restaurant.
A vingt heures pile nous entrons au restaurant, notre table est installée le long de la verrière donnant sur la cour où il y a seulement quelques couples et dans la salle deux autres tables entièrement féminines il semble que nombre de ces messieurs soient restés devant la télévision. Nous prenons un apéritif qui se prolonge un peu en attendant l’entrée.
Pendant ce temps à la maison les hommes attaquent sérieusement l’apéro, la bouteille de whisky et celle de pastis ont pris un coup le temps que le barbecue soit prêt pour les grillades. Chacun choisit selon ses préférences merguez, côte de porc et même entrecôte le tout accompagné de légumes à la plancha. Les morfals ont bon appétit ils dévorent les grillades, l’accompagnement de légumes un peu moins mais le rosé sainte victoire presque deux bouteilles. Ce qui fait qu’au moment du coup d’envoi du match ces messieurs sont au taquet comme dit Alan.
Au restaurant les femmes sont plus sages déjà les portions sont moins généreuses et les femmes boivent peu une bouteille à six car trois ne boivent que de l’eau. Les sujets de discussion son nombreux et les plaisanteries fusent Nous sortons de table vers vingt-deux heures trente et décidons de prendre le café en terrasse sur le cours Mirabeau. Il y a bien quelques mâles qui essaient de nous draguer profitant de l’absence de nos hommes mais nous sommes trop bien entre copines et repoussons avances et sollicitations.
A la maison devant la télé ça trépigne, ça crie, ça s’impatiente car dans le match les Anglais ont marqué un essai dès la deuxième minute, les Français marquent trois pénalités pour mener de quatre points en début de seconde mi-temps. Les bières se succèdent au rythme de la victoire annoncée. Mais les Anglais reviennent à un point et malgré la domination des Français, ce sont les Anglais plus réalistes qui, avec une pénalité, mènent au score. Autant dire que, dans cette tension la gent masculine continue de boire pour se consoler. Finalement si les bleus n'ont pas démérité, ils s'inclinent quatorze à neuf. C’est bien connu une fois que le coup de sifflet final retentit les hommes refont le match, l’arbitre en prend pour son grade, tous contestent qui l’essai, qui les pénalités et tout cela en vidant de nouvelles bières.
Sur la terrasse du cours Mirabeau certaines boivent de la bière, d’autres comme Aurélie et Laure prennent du café, moi comme je ne conduis pas je continue au rosé. Vers vingt-trois heures nous sommes quelques-unes à avoir un peu chaud aux oreilles, certaines ont envie de rentrer mais d’autre comme moi sont moins pressées. Finalement c’est lorsque la fraicheur de la nuit se fait sentir, il est presque onze heures trente, que j’accepte de rentrer avec Aurélie qui a hâte de retrouver son mari et ses enfants. Nathalie est au top et décide d’aller seule en boite de nuit comme elle en a l’habitude (son mari François étant casanier).
Aurélie me dépose devant mon portail il n’est pas minuit, un signe de la main pour lui dire au revoir et je remonte l’allée. Plus je m’approche plus j’entends le brouhaha qui vient du salon. Personne ne m’entend rentrer tellement la discussion est animée sur les qualités comparées des joueurs. Dans le salon face à la télé Adrien François et Sébastien sont sur la banquette et Alan est dans son fauteuil qu’il a déplacé pour être face à la télé. Sur la table les bouteilles de Heineken vides sont alignées, sur le sol un pack de vingt sérieusement entamé. François le mari de Nat est le premier à m’apercevoir il ouvre une bière et me la tend
« Voilà la plus belle ! Élise tu trinques avec nous ? »
« Pas de bière mais si il reste du rosé je ne dis pas non »
J’enlève ma veste, et vient embrasser Alan (son haleine me confirme qu’il n’a pas sucé que des glaçons). Il se lève de son fauteuil comme il peut. En titubant et s’accrochant aux meubles il va chercher un reste de rosé dans la cuisine. A son retour il me donne la bouteille quasi vide mais pas de verre. Alors que je vais pour m’asseoir dans le second fauteuil face à eux j’entends Adrien râler
« Ah non pas devant la télé » (alors qu’ils ne la regardent pas)
Je les regarde, François (le mari de Nat) se pousse vers Adrien (mari de Geneviève) pour me faire une petite place entre lui et Sébastien le mari de Laure
« Viens entre nous tu seras bien »
Ma bouteille à la main installée entre François et Fred, je dois dire qu'on est un peu serrés sur le canapé. Devant le manque de réaction de mon mari je décide de boire au goulot ce qui fait rire les garçons, Alan réagit enfin et marmonne la voix pâteuse
« Tu veux… verre… chérie »
Je vois que vu son état il n’a pas vraiment envie de bouger »
« C’est un peu tard je vais finir comme ça »
C’est à ce moment qu’Adrien décide de nous quitter, il nous salue et part retrouver sa femme Geneviève
Dans une joyeuse cacophonie tout en buvant les deux hommes restants essaient de me raconter la demie finale mais j’ai parfois du mal à suivre. Vingt minutes plus tard j’arrive à la fin de la bouteille de rosé j’ai chaud aux oreilles.
François demande « Alan il y a encore du rosé ? » Sans réponse de mon mari François se lève va vers la cuisine.
Moi : « regarde dans l’armoire à vin il doit y en avoir dans le compartiment du haut».
Il revient avec une nouvelle bouteille et le tire-bouchon. Sébastien se lève pour ouvrir la bouteille, il en boit une gorgée, et me la tend avec un sourire et l’œil coquin puis s’assoit près de moi.
« Comme ça tu connaitras mes pensées ! »
« Et elle sont honnêtes au moins ? »
« Bois comme ça tu sauras ? »
De chaque côté mes voisins sourient, tout en refaisant le match, François pose sa main sur ma cuisse, mais serrés comme nous sommes, ça me choque à peine, je ne vois pas la nécessité réagir. Dans son fauteuil Alan a du mal à suivre la conversation et ses yeux vitreux ont tendance à se fermer.
Une demi-heure plus tard Alan ronfle avachi dans son fauteuil, l’attitude de Séb et François change je deviens le centre d’intérêt. Sébastien vient s’assoir sur la table basse face à moi. Tout en me parlant du match les allusions deviennent sexuelles, les mains des deux hommes se font plus audacieuses. Bien que Sébastien et Adrien ne soit plus sur la banquette François est toujours aussi serré contre moi. Je sais je suis un peu bourrée mais j’ai bien conscience que les maris de mes copines profitent de la situation pour me peloter. Ça ne me déplait pas et qu’ils me trouvent attirante malgré mon âge j’en suis même flattée.
Je vais dans la cuisine chercher une bouteille d’eau pour ne pas m’enivrer davantage afin de rester un minimum lucide. La télévision fonctionne toujours, je reprends ma place sur le canapé consciente du risque que je prends
« Séb tu peux éteindre la télé, le reportage n’intéresse personne, on ne la regarde pas»
Il se lève pour attraper la télécommande mais par surprise, d’un geste rapide, il m’embrasse sur la bouche en tenant ma tête entre ses deux mains, avant d’éteindre la télé.
« Tu as raison on a mieux à faire »
A son tour François l’imite et m’embrasse à pleine bouche pendant que Séb pousse un peu la table et s’agenouille devant moi. François complice saisit une de mes jambes pour la faire passer sur sa cuisse. Je me retrouve cuisses écartées, Séb en profite pour se placer entre mes cuisses, détacher ma ceinture et ouvrir ma robe avant de glisser ses doigts sous mon tanga. Il me caresse la fente pendant que l’autre me suce les seins qu’il a sortis de mon soutien-gorge. La situation m’excite, si on m’avait dit que les maris de mes copines m’exciteraient autant j’aurais dit (même pas en rêve). Mais l’évidence est toute autre.
Mes mains vont caresser les braguettes et ce que je sens ce ne sont pas des rouleaux de pièces de monnaie. Les deux coquins me facilitent la tâche en ouvrant leurs pantalons ils font glisser pantalon et sous vêtement au sol libérant ainsi deux belles queues. Pendant que je branle le pieu long et fin de François Séb sort une bite à peine plus courte mais plus grosse et me la pose sur les lèvres. Ma bouche s’ouvre et je suce avec gourmandise le membre de chair qui palpite sous ma langue. Les complices en profitent pour me retirer ma robe et mon soutien-gorge. Je ne maitrise plus rien et n’en ai pas envie, je n’ai pas l’habitude de rater une occasion qui se présente. Je suis sur le canapé coincée, tiraillée et écartelée entre les deux coquins, les seins sucés par le premier qui a les doigts dans ma chatte et la bite du second dans la bouche.
Si je trouve cela agréable le canapé n’est pas l’idéal pour cela. Je propose de monter à l’étage, prétextant un médicament à prendre je passe avant par notre chambre afin de déclenche l’ordi d’Alan et les caméras du réseau vidéo, (pour enregistrer le reste de la soirée) puis je récupère ma bouteille d’eau et mes vêtements, les garçons leurs bières et leurs fringues et nous nous dirigeons vers les escaliers lorsque Séb lance à François
« Je te l’avais dit que c’était une grosse cochonne qui aime la bite pour baiser avec le modèle de Laure»
C’est là que je comprends que le secret n’a pas été aussi bien gardé que je le pensais. J’interroge
« D’où tu sais ça toi ? »
« C’est Laure qui, en me montrant son dessin, m’a raconté que pour détendre le modèle que ses copines s’amusaient à faire bander tu es allée le baiser à l’étage » (récit 74)
« Et c’est tout ce qu’elle t’a dit »
« Non elle m’a raconté la journée, la piscine et qu’elle s’est couchée bourrée dans la caravane »
Je comprends pourquoi elle a modifié une partie du récit je la voyais mal dire mon chéri à l’enterrement de ma vie de jeune fille j’ai sucé mon modèle et baisé avec lui ainsi qu’avec les amis black d’Élise. Finalement je passe pour une salope mais c’est un peu vrai.
« Et tu ne crains pas qu’Alan se réveille »
« Avec ce qu'il a bu, ça m’étonnerait»
« Donc c’était prémédité pour baiser la vieille»
« Tu n’es pas vieille et tu es plutôt bien gaulée. Je reconnais que nous avons un peu poussé Alan à la conso et nous on a arrosé les plantes avec quelques verres pendant qu’il buvait. En plus il ne tient pas trop l’alcool ton homme »
(J’ai bien envie de leur dire qu’ils ont manigancé ça pour rien car Alan aurait été heureux de les regarder me baiser, mais je n’en fait rien cela leur évitera de trop se vanter.)
Nous montons à l’étage Je me retrouve rapidement à quatre pattes sur le lit, Sébastien qui prend un préservatif sur la table de chevet est le premier à me baiser en levrette alors que je suce François qui s’adresse à Séb :
« Quelle salope heureusement que nos femmes ne sont pas comme ça ! On va la baiser par tous les trous cette garce »
(Dans ma tête je pense mes pauvres gars si vous saviez)
J’abandonne la bite de François pour répondre
« Hé je suis là ! Je suis peut être une salope parce que j’aime baiser mais vous, vous êtes quoi ? Des soudards ? Vous trompez vos femmes, qui je pense ne savent pas qu’elles sont cocues, et en plus vous abusez de l’hospitalité d’un pote pour baiser sa femme comment vous appelez ça ? »
« Nous sommes des mâles et devant une belle salope comment résister ? on ne peut que la sauter ! Et toi quand tu te fais baiser par un autre mec c’est quoi »
« Hypocrites et gougeas en plus ! En tout cas maintenant il va falloir assurer mes gaillards car si vous ne me donnez pas assez de plaisir vous le regretterez, il se pourrait que le bruit circule que vous êtes incapables de satisfaire une femme»
Devant cette menace implicite François est circonspect, Sébastien lui joue les fanfarons
« T’inquiète Élise on va te défoncer et te fourrer nos bites dans tous tes trous, tu vas couiner de bonheur et jouir comme une salope jusqu’à demander grâce »
Je reprends en bouche la queue de François, Sébastien recommence à gratifier ma chatte de coups de bite. Défoncée par la grosse bite de Séb j’ai la praline en délire et bien que j’aie la bouche pleine je ne peux m’empêcher de gémir
« hummoouiiii,booooon »
Rapidement Séb se plante d’un coup bien au fond de ma chatte
« La pute comme elle est bonne je vais jouir »
Il éjacule dans sa capote avant de se retirer. Il est aussitôt remplacé par François, qui lui me baise sans capote (oui je sais ce n’est pas bien, mais c’est bon), il m’enfile d’une traite en me frappant la fesse. Séb vient me mettre sa queue ramollie dans la bouche pour que je la nettoie mais sa bite retrouve vite sa vigueur et il me baise la bouche poussant au-delà de la gorge puis il finit par m’arroser les amygdales de son foutre en poussant un cri rauque. J’avale sans rechigner mon premier jus de la nuit François y va de son commentaire
« Tu aimes avaler gourmande, ça te plait te faire baiser par plusieurs mecs salope ! Ton mari en a une petite ? Il sait qu’il ne te suffit pas ? »
« Mon mari n’est pas en cause ici, parle un peu moins et bourre moi la chatte ça t’évitera de dire des conneries»
François continue de me baiser en me claquant les fesses et Séb s’est approché sur le côté pour venir me doigter le petit trou. Alors que François écarte mes lobes fessiers Séb crache sur mon petit orifice puis il y glisse deux doigts. François en profite pour me caresser le clito. Sollicité comme je suis je ne tarde pas à sentir le plaisir monter en moi et je le fais savoir.
« Allez y mes salops faites-moi jouir continuez je viens ohhooouiiiiiiiii ………….»
Mon premier orgasme provoque la jouissance de François qui me remplit la chatte de son jus. Ce premier orgasme m’ouvre l’appétit j’ai encore envie de bites aussi je les laisse à peine récupérer et n’hésite pas à demander
« Baisez moi encore mes salops, François viens sous moi pour me baiser pendant que Séb m’encule »
Le mari de Nat se glisse sous moi, je peux m’empaler sur son zob dressé, derrière moi Séb appuie sur mon dos, il crache à nouveau sur mon œillet avant de me planter sa grosse queue coiffée dans la rondelle.
Les deux coquins coordonnent leurs mouvements et me baisent en cadence, l’un me ramone le fion l’autre me burine l’utérus, je sens monter en moi cette sensation d’être bien défoncée par ces deux bites je ne tarde pas à venir et le plaisir me pousse à déclamer mes gammes.
« Oui plus fort défonce-moi le cul Séb, allez y plus fort les queutards ouiiiii je viens encore haaaaaaouiiiiii»
Séb souligne
« Elle en veut la chienne écoute comme elle réclame on la prend à deux et elle demande qu’on la défonce plus fort ! »
François, tout en me bourrant la chatte, ajoute
« Tu aimes ça chienne »
« oh oui ! Continue plus fort je jouiiiiiis »
Je jouis intensément suivie par Séb qui garnit son préservatif. François ne jouit pas il reste raide dans mon vagin. Lorsque Séb quitte mon anus François me retourne sur le dos, s’empare de mes jambes qu’il vient poser sur ses épaules et il me bourre la chatte énergiquement pendant de longues minutes jusqu’à ce qu’il se retire et jouisse sur mon ventre.
Un petit intermède pendant lequel nous buvons un coup François me dit :
« Élise je ne savais pas que tu étais aussi salope, mais heureux d’en profiter ! »
« Ne vous gênez pas »
Séb : « Alors Élise tu es prête à continuer ou tu demandes grâce »
« Dans tes rêves coco c’est vous qui abandonnerez les premiers »
« François cette garce en veut encore et nous met au défi, montrons lui qu’on ne va pas la lâcher nous allons la baiser tous les deux ensemble dans le même trou. »
« Comme vous voulez deux bites ça ne me fait pas peur, vous m’avez ouvert l’appétit »
François et Séb me ramènent au centre du lit bien décidés à profiter de cette occasion pour me baiser autant qu’il le peuvent. François se couche sur le dos m’attire pour que, dos à lui, je m’encule sur sa bite, Fred se met à genou face moi, prend mes jambes et vient pour me planter son goupillon dans le fion avec celui de François. Il dérape et doit s’y prendre à trois fois pour franchir mes sphincters je sens les deux braquemards progresser dans mon fondements.
« La chienne, elle prend nos deux queues dans le cul sans problème la salope »
« Ce n’est pas le plus dur, maintenant baisez-moi »
Les deux hommes ne sont pas vraiment des habitués de la baise à plusieurs si bien qu’ils osent à peine bouger et c’est moi qui dois faire l’effort pour me baiser sur les deux braquemards. Je fais usage de tous mes muscles pour masser et faire contracter les sexes envahisseurs tout en essayant de frotter mon clito sur le pubis de Séb.
Les deux queutards sont les premiers à jouir je sens leur foutre gicler dans mon rectum ce qui déclenche ma jouissance, lorsqu’ils se retirent je constate que, comme François, Séb n’a pas mis de préservatif ce qui explique pourquoi j’ai si bien senti leurs spermes gicler.
Après une petite pause François est de nouveau opérationnel je m’empale sur son pieu. Il s’agite dans mon vagin j’en profite pour frotter mon clito sur son pubis et après plusieurs minutes lorsque je sens son chibre se contracter pour éjecter sa semence je jouis aussi. Je bascule sur le côté, je sens le foutre couler de ma chatte et de mon cul je file dans la salle d’eau. A mon retour les mecs sont avachis sur le lit les sexes sont au repos. Je les nargue un peu
« Hé bien messieurs il n’y a plus de combattant vous vous rendez »
C’est Sébastien qui me répond en regardant sa montre
« T’as vu l’heure ! Il est près de trois heures du mat nos femmes vont s’inquiéter ! »
« Donc j’ai gagné vous avez eu les yeux plus grands que vos bites, passez vite à la douche avant d’aller retrouver vos femmes »
Je regarde les garçons sous la douche ils ne trainent pas je donne des serviettes puis je passe à mon tour sous la douche une fois rhabillés nous descendons et surprise en arrivant au salon, Alan n’est plus dans son fauteuil, Séb s’affole
« Où est ton mari tu crois qu’il nous a entendu ? »
« Je ne pense pas, ne voyant personne il a dû aller se coucher.»
Panique supplémentaire lorsque Fred et Adrien constatent sur leurs téléphone que leurs femmes les ont appelés.
« Vous direz qu’Alan a demandé d’éteindre les portables pour ne pas être déranger pendant le match et que vous avez oubliés de les rallumer »
Ils m’embrassent et se dirigent vers la sortie. Sur le pas de la porte j’ajoute
« Bon les gars j’espère que ce qui vient de se passer restera entre nous bien évidemment ! Comme j’ai tout enregistré si vous ne voulez pas que vos femmes apprennent et voient ce qui s’est passé cette nuit vous avez intérêt à être discrets »
« C’est pas vrai ? Tu déconnes ! »
Je ne réponds pas et en souriant je lance : « Je vous dis bonne nuit les garçons»
Ils montent dans leurs voitures et partent, (aucun n’a pensé que j’avais vraiment enregistré notre séance de baise). Je rentre je ferme la porte (J’imagine déjà leurs excuses pour justifier de rentrer si tard). Je vais pour me coucher en arrivant dans notre chambre je trouve Alan devant son écran, il regarde l’enregistrement de la soirée il lève la tête :
« Je vois que tu ne t’es pas ennuyée »
« Il y a longtemps que tu es réveillé ? Pourquoi n’es-tu pas monté ? »
« Il y a près de trois quarts d’heure, je vous ai entendu mais j’ai préféré regarder sur l’écran sans qu’ils me voient. Ils t’ont bien baisée ces cochons. Qui a commencé ? »
« C’est Séb qui a su par Laure que j’avais baisé Fred le modèle à son d’enterrement de vie de jeune fille. Il en a parlé avec François et ils se sont mis d’accord pour nous faire boire, afin de m’enivrer pour me baiser pendant que tu dors bourré. C’est con, ils se sont donnés beaucoup de mal pour rien. Dès qu’Adrien est parti et que tu t’es endormi, ils ont commencés à me tripoter François a ouvert ma robe il a sorti mes seins pour les sucer, Séb m’a caressé la chatte, tu penses bien que cela m’a excitée. J’ai caressé les deux braguettes et lorsque Seb m’a mis sa queue dans la bouche, je l’ai sucé un peu en branlant François avant de monter à l’étage, toute la suite est enregistrée. Voilà comment je me suis retrouvée dans la mêlée».
En raison de l’heure Alan éteint l’ordi et nous nous couchons, mais mon chéri a une érection que je me dois de traiter je le suce comme il aime et rapidement je récolte le bénéfice de sa jouissance qui va rejoindre la rosé et le sperme des autres au fond de mon estomac. Nous nous endormons rapidement. Ce n’est que tard le dimanche matin que je suis réveillée pas une bouche qui me dévore la chatte, malgré l’orchestre bavarois qui résonne dans ma tête j’invite mon homme à me faire l’amour, c’est un beau dimanche qui s’annonce nous allons pouvoir regarder à deux la prestation des maris de mes copines.
A bientôt pour de nouveaux récits.
Le soir du 13 octobre 2007 Alan veut regarder la demie finale de rugby opposant l’Angleterre à la France j’ai décidé d’organiser un repas au restaurant entre fille avec huit amies, cinq (Aurélie, Laetitia, Christine, Sandrine et Audrey ont encore des enfants en bas âge qu’elles confient à leurs époux, deux Nathalie et Geneviève ont des grands ados et Laure mariée depuis un plus de trois mois est sans enfant. Alan, afin de ne pas rester seul devant la télé pour suivre la demie finale de rugby, organise de son côté un barbecue à la maison avec les époux de Geneviève, Nat et Laure ils seront donc quatre pour regarder le rugby à la télé.
Ce samedi 13 octobre vers dix-huit heures trente je prends ma douche, je me maquille légèrement et je choisi ma tenue un ensemble tanga soutien-gorge bleu foncé sous une petite robe portefeuille bleu Klein tenue par une ceinture en chaine dorée, des escarpins noirs et une petite veste blanche. Il est un peu plus de dix-neuf heures lorsque je descends, Adrien, François et Sébastien viennent d’arriver à la maison. Bien évidemment j’ai droit à quelques sifflets d’admiration, j’embrasse mon mari et ceux de mes copines et je quitte la maison pour aller au portail où Aurélie doit me prendre dans cinq minutes. Nous avons rendez-vous avec les autres dans le centre d’Aix en Provence à dix-neuf heures quarante-cinq sur le cours Mirabeau devant le restaurant.
A vingt heures pile nous entrons au restaurant, notre table est installée le long de la verrière donnant sur la cour où il y a seulement quelques couples et dans la salle deux autres tables entièrement féminines il semble que nombre de ces messieurs soient restés devant la télévision. Nous prenons un apéritif qui se prolonge un peu en attendant l’entrée.
Pendant ce temps à la maison les hommes attaquent sérieusement l’apéro, la bouteille de whisky et celle de pastis ont pris un coup le temps que le barbecue soit prêt pour les grillades. Chacun choisit selon ses préférences merguez, côte de porc et même entrecôte le tout accompagné de légumes à la plancha. Les morfals ont bon appétit ils dévorent les grillades, l’accompagnement de légumes un peu moins mais le rosé sainte victoire presque deux bouteilles. Ce qui fait qu’au moment du coup d’envoi du match ces messieurs sont au taquet comme dit Alan.
Au restaurant les femmes sont plus sages déjà les portions sont moins généreuses et les femmes boivent peu une bouteille à six car trois ne boivent que de l’eau. Les sujets de discussion son nombreux et les plaisanteries fusent Nous sortons de table vers vingt-deux heures trente et décidons de prendre le café en terrasse sur le cours Mirabeau. Il y a bien quelques mâles qui essaient de nous draguer profitant de l’absence de nos hommes mais nous sommes trop bien entre copines et repoussons avances et sollicitations.
A la maison devant la télé ça trépigne, ça crie, ça s’impatiente car dans le match les Anglais ont marqué un essai dès la deuxième minute, les Français marquent trois pénalités pour mener de quatre points en début de seconde mi-temps. Les bières se succèdent au rythme de la victoire annoncée. Mais les Anglais reviennent à un point et malgré la domination des Français, ce sont les Anglais plus réalistes qui, avec une pénalité, mènent au score. Autant dire que, dans cette tension la gent masculine continue de boire pour se consoler. Finalement si les bleus n'ont pas démérité, ils s'inclinent quatorze à neuf. C’est bien connu une fois que le coup de sifflet final retentit les hommes refont le match, l’arbitre en prend pour son grade, tous contestent qui l’essai, qui les pénalités et tout cela en vidant de nouvelles bières.
Sur la terrasse du cours Mirabeau certaines boivent de la bière, d’autres comme Aurélie et Laure prennent du café, moi comme je ne conduis pas je continue au rosé. Vers vingt-trois heures nous sommes quelques-unes à avoir un peu chaud aux oreilles, certaines ont envie de rentrer mais d’autre comme moi sont moins pressées. Finalement c’est lorsque la fraicheur de la nuit se fait sentir, il est presque onze heures trente, que j’accepte de rentrer avec Aurélie qui a hâte de retrouver son mari et ses enfants. Nathalie est au top et décide d’aller seule en boite de nuit comme elle en a l’habitude (son mari François étant casanier).
Aurélie me dépose devant mon portail il n’est pas minuit, un signe de la main pour lui dire au revoir et je remonte l’allée. Plus je m’approche plus j’entends le brouhaha qui vient du salon. Personne ne m’entend rentrer tellement la discussion est animée sur les qualités comparées des joueurs. Dans le salon face à la télé Adrien François et Sébastien sont sur la banquette et Alan est dans son fauteuil qu’il a déplacé pour être face à la télé. Sur la table les bouteilles de Heineken vides sont alignées, sur le sol un pack de vingt sérieusement entamé. François le mari de Nat est le premier à m’apercevoir il ouvre une bière et me la tend
« Voilà la plus belle ! Élise tu trinques avec nous ? »
« Pas de bière mais si il reste du rosé je ne dis pas non »
J’enlève ma veste, et vient embrasser Alan (son haleine me confirme qu’il n’a pas sucé que des glaçons). Il se lève de son fauteuil comme il peut. En titubant et s’accrochant aux meubles il va chercher un reste de rosé dans la cuisine. A son retour il me donne la bouteille quasi vide mais pas de verre. Alors que je vais pour m’asseoir dans le second fauteuil face à eux j’entends Adrien râler
« Ah non pas devant la télé » (alors qu’ils ne la regardent pas)
Je les regarde, François (le mari de Nat) se pousse vers Adrien (mari de Geneviève) pour me faire une petite place entre lui et Sébastien le mari de Laure
« Viens entre nous tu seras bien »
Ma bouteille à la main installée entre François et Fred, je dois dire qu'on est un peu serrés sur le canapé. Devant le manque de réaction de mon mari je décide de boire au goulot ce qui fait rire les garçons, Alan réagit enfin et marmonne la voix pâteuse
« Tu veux… verre… chérie »
Je vois que vu son état il n’a pas vraiment envie de bouger »
« C’est un peu tard je vais finir comme ça »
C’est à ce moment qu’Adrien décide de nous quitter, il nous salue et part retrouver sa femme Geneviève
Dans une joyeuse cacophonie tout en buvant les deux hommes restants essaient de me raconter la demie finale mais j’ai parfois du mal à suivre. Vingt minutes plus tard j’arrive à la fin de la bouteille de rosé j’ai chaud aux oreilles.
François demande « Alan il y a encore du rosé ? » Sans réponse de mon mari François se lève va vers la cuisine.
Moi : « regarde dans l’armoire à vin il doit y en avoir dans le compartiment du haut».
Il revient avec une nouvelle bouteille et le tire-bouchon. Sébastien se lève pour ouvrir la bouteille, il en boit une gorgée, et me la tend avec un sourire et l’œil coquin puis s’assoit près de moi.
« Comme ça tu connaitras mes pensées ! »
« Et elle sont honnêtes au moins ? »
« Bois comme ça tu sauras ? »
De chaque côté mes voisins sourient, tout en refaisant le match, François pose sa main sur ma cuisse, mais serrés comme nous sommes, ça me choque à peine, je ne vois pas la nécessité réagir. Dans son fauteuil Alan a du mal à suivre la conversation et ses yeux vitreux ont tendance à se fermer.
Une demi-heure plus tard Alan ronfle avachi dans son fauteuil, l’attitude de Séb et François change je deviens le centre d’intérêt. Sébastien vient s’assoir sur la table basse face à moi. Tout en me parlant du match les allusions deviennent sexuelles, les mains des deux hommes se font plus audacieuses. Bien que Sébastien et Adrien ne soit plus sur la banquette François est toujours aussi serré contre moi. Je sais je suis un peu bourrée mais j’ai bien conscience que les maris de mes copines profitent de la situation pour me peloter. Ça ne me déplait pas et qu’ils me trouvent attirante malgré mon âge j’en suis même flattée.
Je vais dans la cuisine chercher une bouteille d’eau pour ne pas m’enivrer davantage afin de rester un minimum lucide. La télévision fonctionne toujours, je reprends ma place sur le canapé consciente du risque que je prends
« Séb tu peux éteindre la télé, le reportage n’intéresse personne, on ne la regarde pas»
Il se lève pour attraper la télécommande mais par surprise, d’un geste rapide, il m’embrasse sur la bouche en tenant ma tête entre ses deux mains, avant d’éteindre la télé.
« Tu as raison on a mieux à faire »
A son tour François l’imite et m’embrasse à pleine bouche pendant que Séb pousse un peu la table et s’agenouille devant moi. François complice saisit une de mes jambes pour la faire passer sur sa cuisse. Je me retrouve cuisses écartées, Séb en profite pour se placer entre mes cuisses, détacher ma ceinture et ouvrir ma robe avant de glisser ses doigts sous mon tanga. Il me caresse la fente pendant que l’autre me suce les seins qu’il a sortis de mon soutien-gorge. La situation m’excite, si on m’avait dit que les maris de mes copines m’exciteraient autant j’aurais dit (même pas en rêve). Mais l’évidence est toute autre.
Mes mains vont caresser les braguettes et ce que je sens ce ne sont pas des rouleaux de pièces de monnaie. Les deux coquins me facilitent la tâche en ouvrant leurs pantalons ils font glisser pantalon et sous vêtement au sol libérant ainsi deux belles queues. Pendant que je branle le pieu long et fin de François Séb sort une bite à peine plus courte mais plus grosse et me la pose sur les lèvres. Ma bouche s’ouvre et je suce avec gourmandise le membre de chair qui palpite sous ma langue. Les complices en profitent pour me retirer ma robe et mon soutien-gorge. Je ne maitrise plus rien et n’en ai pas envie, je n’ai pas l’habitude de rater une occasion qui se présente. Je suis sur le canapé coincée, tiraillée et écartelée entre les deux coquins, les seins sucés par le premier qui a les doigts dans ma chatte et la bite du second dans la bouche.
Si je trouve cela agréable le canapé n’est pas l’idéal pour cela. Je propose de monter à l’étage, prétextant un médicament à prendre je passe avant par notre chambre afin de déclenche l’ordi d’Alan et les caméras du réseau vidéo, (pour enregistrer le reste de la soirée) puis je récupère ma bouteille d’eau et mes vêtements, les garçons leurs bières et leurs fringues et nous nous dirigeons vers les escaliers lorsque Séb lance à François
« Je te l’avais dit que c’était une grosse cochonne qui aime la bite pour baiser avec le modèle de Laure»
C’est là que je comprends que le secret n’a pas été aussi bien gardé que je le pensais. J’interroge
« D’où tu sais ça toi ? »
« C’est Laure qui, en me montrant son dessin, m’a raconté que pour détendre le modèle que ses copines s’amusaient à faire bander tu es allée le baiser à l’étage » (récit 74)
« Et c’est tout ce qu’elle t’a dit »
« Non elle m’a raconté la journée, la piscine et qu’elle s’est couchée bourrée dans la caravane »
Je comprends pourquoi elle a modifié une partie du récit je la voyais mal dire mon chéri à l’enterrement de ma vie de jeune fille j’ai sucé mon modèle et baisé avec lui ainsi qu’avec les amis black d’Élise. Finalement je passe pour une salope mais c’est un peu vrai.
« Et tu ne crains pas qu’Alan se réveille »
« Avec ce qu'il a bu, ça m’étonnerait»
« Donc c’était prémédité pour baiser la vieille»
« Tu n’es pas vieille et tu es plutôt bien gaulée. Je reconnais que nous avons un peu poussé Alan à la conso et nous on a arrosé les plantes avec quelques verres pendant qu’il buvait. En plus il ne tient pas trop l’alcool ton homme »
(J’ai bien envie de leur dire qu’ils ont manigancé ça pour rien car Alan aurait été heureux de les regarder me baiser, mais je n’en fait rien cela leur évitera de trop se vanter.)
Nous montons à l’étage Je me retrouve rapidement à quatre pattes sur le lit, Sébastien qui prend un préservatif sur la table de chevet est le premier à me baiser en levrette alors que je suce François qui s’adresse à Séb :
« Quelle salope heureusement que nos femmes ne sont pas comme ça ! On va la baiser par tous les trous cette garce »
(Dans ma tête je pense mes pauvres gars si vous saviez)
J’abandonne la bite de François pour répondre
« Hé je suis là ! Je suis peut être une salope parce que j’aime baiser mais vous, vous êtes quoi ? Des soudards ? Vous trompez vos femmes, qui je pense ne savent pas qu’elles sont cocues, et en plus vous abusez de l’hospitalité d’un pote pour baiser sa femme comment vous appelez ça ? »
« Nous sommes des mâles et devant une belle salope comment résister ? on ne peut que la sauter ! Et toi quand tu te fais baiser par un autre mec c’est quoi »
« Hypocrites et gougeas en plus ! En tout cas maintenant il va falloir assurer mes gaillards car si vous ne me donnez pas assez de plaisir vous le regretterez, il se pourrait que le bruit circule que vous êtes incapables de satisfaire une femme»
Devant cette menace implicite François est circonspect, Sébastien lui joue les fanfarons
« T’inquiète Élise on va te défoncer et te fourrer nos bites dans tous tes trous, tu vas couiner de bonheur et jouir comme une salope jusqu’à demander grâce »
Je reprends en bouche la queue de François, Sébastien recommence à gratifier ma chatte de coups de bite. Défoncée par la grosse bite de Séb j’ai la praline en délire et bien que j’aie la bouche pleine je ne peux m’empêcher de gémir
« hummoouiiii,booooon »
Rapidement Séb se plante d’un coup bien au fond de ma chatte
« La pute comme elle est bonne je vais jouir »
Il éjacule dans sa capote avant de se retirer. Il est aussitôt remplacé par François, qui lui me baise sans capote (oui je sais ce n’est pas bien, mais c’est bon), il m’enfile d’une traite en me frappant la fesse. Séb vient me mettre sa queue ramollie dans la bouche pour que je la nettoie mais sa bite retrouve vite sa vigueur et il me baise la bouche poussant au-delà de la gorge puis il finit par m’arroser les amygdales de son foutre en poussant un cri rauque. J’avale sans rechigner mon premier jus de la nuit François y va de son commentaire
« Tu aimes avaler gourmande, ça te plait te faire baiser par plusieurs mecs salope ! Ton mari en a une petite ? Il sait qu’il ne te suffit pas ? »
« Mon mari n’est pas en cause ici, parle un peu moins et bourre moi la chatte ça t’évitera de dire des conneries»
François continue de me baiser en me claquant les fesses et Séb s’est approché sur le côté pour venir me doigter le petit trou. Alors que François écarte mes lobes fessiers Séb crache sur mon petit orifice puis il y glisse deux doigts. François en profite pour me caresser le clito. Sollicité comme je suis je ne tarde pas à sentir le plaisir monter en moi et je le fais savoir.
« Allez y mes salops faites-moi jouir continuez je viens ohhooouiiiiiiiii ………….»
Mon premier orgasme provoque la jouissance de François qui me remplit la chatte de son jus. Ce premier orgasme m’ouvre l’appétit j’ai encore envie de bites aussi je les laisse à peine récupérer et n’hésite pas à demander
« Baisez moi encore mes salops, François viens sous moi pour me baiser pendant que Séb m’encule »
Le mari de Nat se glisse sous moi, je peux m’empaler sur son zob dressé, derrière moi Séb appuie sur mon dos, il crache à nouveau sur mon œillet avant de me planter sa grosse queue coiffée dans la rondelle.
Les deux coquins coordonnent leurs mouvements et me baisent en cadence, l’un me ramone le fion l’autre me burine l’utérus, je sens monter en moi cette sensation d’être bien défoncée par ces deux bites je ne tarde pas à venir et le plaisir me pousse à déclamer mes gammes.
« Oui plus fort défonce-moi le cul Séb, allez y plus fort les queutards ouiiiii je viens encore haaaaaaouiiiiii»
Séb souligne
« Elle en veut la chienne écoute comme elle réclame on la prend à deux et elle demande qu’on la défonce plus fort ! »
François, tout en me bourrant la chatte, ajoute
« Tu aimes ça chienne »
« oh oui ! Continue plus fort je jouiiiiiis »
Je jouis intensément suivie par Séb qui garnit son préservatif. François ne jouit pas il reste raide dans mon vagin. Lorsque Séb quitte mon anus François me retourne sur le dos, s’empare de mes jambes qu’il vient poser sur ses épaules et il me bourre la chatte énergiquement pendant de longues minutes jusqu’à ce qu’il se retire et jouisse sur mon ventre.
Un petit intermède pendant lequel nous buvons un coup François me dit :
« Élise je ne savais pas que tu étais aussi salope, mais heureux d’en profiter ! »
« Ne vous gênez pas »
Séb : « Alors Élise tu es prête à continuer ou tu demandes grâce »
« Dans tes rêves coco c’est vous qui abandonnerez les premiers »
« François cette garce en veut encore et nous met au défi, montrons lui qu’on ne va pas la lâcher nous allons la baiser tous les deux ensemble dans le même trou. »
« Comme vous voulez deux bites ça ne me fait pas peur, vous m’avez ouvert l’appétit »
François et Séb me ramènent au centre du lit bien décidés à profiter de cette occasion pour me baiser autant qu’il le peuvent. François se couche sur le dos m’attire pour que, dos à lui, je m’encule sur sa bite, Fred se met à genou face moi, prend mes jambes et vient pour me planter son goupillon dans le fion avec celui de François. Il dérape et doit s’y prendre à trois fois pour franchir mes sphincters je sens les deux braquemards progresser dans mon fondements.
« La chienne, elle prend nos deux queues dans le cul sans problème la salope »
« Ce n’est pas le plus dur, maintenant baisez-moi »
Les deux hommes ne sont pas vraiment des habitués de la baise à plusieurs si bien qu’ils osent à peine bouger et c’est moi qui dois faire l’effort pour me baiser sur les deux braquemards. Je fais usage de tous mes muscles pour masser et faire contracter les sexes envahisseurs tout en essayant de frotter mon clito sur le pubis de Séb.
Les deux queutards sont les premiers à jouir je sens leur foutre gicler dans mon rectum ce qui déclenche ma jouissance, lorsqu’ils se retirent je constate que, comme François, Séb n’a pas mis de préservatif ce qui explique pourquoi j’ai si bien senti leurs spermes gicler.
Après une petite pause François est de nouveau opérationnel je m’empale sur son pieu. Il s’agite dans mon vagin j’en profite pour frotter mon clito sur son pubis et après plusieurs minutes lorsque je sens son chibre se contracter pour éjecter sa semence je jouis aussi. Je bascule sur le côté, je sens le foutre couler de ma chatte et de mon cul je file dans la salle d’eau. A mon retour les mecs sont avachis sur le lit les sexes sont au repos. Je les nargue un peu
« Hé bien messieurs il n’y a plus de combattant vous vous rendez »
C’est Sébastien qui me répond en regardant sa montre
« T’as vu l’heure ! Il est près de trois heures du mat nos femmes vont s’inquiéter ! »
« Donc j’ai gagné vous avez eu les yeux plus grands que vos bites, passez vite à la douche avant d’aller retrouver vos femmes »
Je regarde les garçons sous la douche ils ne trainent pas je donne des serviettes puis je passe à mon tour sous la douche une fois rhabillés nous descendons et surprise en arrivant au salon, Alan n’est plus dans son fauteuil, Séb s’affole
« Où est ton mari tu crois qu’il nous a entendu ? »
« Je ne pense pas, ne voyant personne il a dû aller se coucher.»
Panique supplémentaire lorsque Fred et Adrien constatent sur leurs téléphone que leurs femmes les ont appelés.
« Vous direz qu’Alan a demandé d’éteindre les portables pour ne pas être déranger pendant le match et que vous avez oubliés de les rallumer »
Ils m’embrassent et se dirigent vers la sortie. Sur le pas de la porte j’ajoute
« Bon les gars j’espère que ce qui vient de se passer restera entre nous bien évidemment ! Comme j’ai tout enregistré si vous ne voulez pas que vos femmes apprennent et voient ce qui s’est passé cette nuit vous avez intérêt à être discrets »
« C’est pas vrai ? Tu déconnes ! »
Je ne réponds pas et en souriant je lance : « Je vous dis bonne nuit les garçons»
Ils montent dans leurs voitures et partent, (aucun n’a pensé que j’avais vraiment enregistré notre séance de baise). Je rentre je ferme la porte (J’imagine déjà leurs excuses pour justifier de rentrer si tard). Je vais pour me coucher en arrivant dans notre chambre je trouve Alan devant son écran, il regarde l’enregistrement de la soirée il lève la tête :
« Je vois que tu ne t’es pas ennuyée »
« Il y a longtemps que tu es réveillé ? Pourquoi n’es-tu pas monté ? »
« Il y a près de trois quarts d’heure, je vous ai entendu mais j’ai préféré regarder sur l’écran sans qu’ils me voient. Ils t’ont bien baisée ces cochons. Qui a commencé ? »
« C’est Séb qui a su par Laure que j’avais baisé Fred le modèle à son d’enterrement de vie de jeune fille. Il en a parlé avec François et ils se sont mis d’accord pour nous faire boire, afin de m’enivrer pour me baiser pendant que tu dors bourré. C’est con, ils se sont donnés beaucoup de mal pour rien. Dès qu’Adrien est parti et que tu t’es endormi, ils ont commencés à me tripoter François a ouvert ma robe il a sorti mes seins pour les sucer, Séb m’a caressé la chatte, tu penses bien que cela m’a excitée. J’ai caressé les deux braguettes et lorsque Seb m’a mis sa queue dans la bouche, je l’ai sucé un peu en branlant François avant de monter à l’étage, toute la suite est enregistrée. Voilà comment je me suis retrouvée dans la mêlée».
En raison de l’heure Alan éteint l’ordi et nous nous couchons, mais mon chéri a une érection que je me dois de traiter je le suce comme il aime et rapidement je récolte le bénéfice de sa jouissance qui va rejoindre la rosé et le sperme des autres au fond de mon estomac. Nous nous endormons rapidement. Ce n’est que tard le dimanche matin que je suis réveillée pas une bouche qui me dévore la chatte, malgré l’orchestre bavarois qui résonne dans ma tête j’invite mon homme à me faire l’amour, c’est un beau dimanche qui s’annonce nous allons pouvoir regarder à deux la prestation des maris de mes copines.
A bientôt pour de nouveaux récits.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Effectivement il vaut mieux faire attention.
C’est grâce à ces photos et vidéo que nous reconstituons nos aventures. Depuis la Covid d'Alan pour éviter que cela tombe entre les mains des enfants en cas de malheur, nous avons décidé de les détruire au fur et à mesure que nous écrivons nos récits et je peux vous dire que cela a déjà fortement diminué avec tous les récits déjà publiés. Il nous reste les dernières années de libertinage (à peine dix ans) et bien plus calmes mais encore quelques aventures à raconter.
L'hypersexualité qui m'a conduite à enchaîner les partenaires pendant de longues années s'est estompée à partir de 55 ans sans me créer de manque.
L'hypersexualité qui m'a conduite à enchaîner les partenaires pendant de longues années s'est estompée à partir de 55 ans sans me créer de manque.
Ah oui je viens de faire le calcul. Je vous imaginais plus dans les 50 à 60 pas plus.
Comme disait mon G père il n’y a pas d’âge pour regarder les feuilles à l’envers. 😊
Ça ne pose pas de problème vous aviez dit être hypersexuelle ?
Je connais le pseudo de votre mari aussi.
Il vous reste les souvenirs photos et vidéos. 😊
Comme disait mon G père il n’y a pas d’âge pour regarder les feuilles à l’envers. 😊
Ça ne pose pas de problème vous aviez dit être hypersexuelle ?
Je connais le pseudo de votre mari aussi.
Il vous reste les souvenirs photos et vidéos. 😊
Flatteuse! Hélas pas tant que cela si à l'époque j'avais 53 ans faites le calcul aujourd’hui cela fait plusieurs années que je suis recentrée sur mon couple et ma famille vous pouvez retrouver nos premières aventures écrite par Alan seul sous le pseudo Jacanas et suivre ainsi une grande partie de notre vie de libertins
Merci d’avoir répondu. Pourquoi 1 retour au calme ?
Vous êtes jeune encore.
Vous êtes jeune encore.
nous vous remercions de vos gentils mots. En effet cet épisode a eu lieu quelques mois après celui du récit 74 (enterrement de vie de jeune fille). Voila sept ans que nous avons quitté la région mais avons retrouvés Laure et Sébastien lors d'un voyage suite à un mariage à Aix en mai dernier. Ils libertinent ensemble désormais.
Chère lectrice ne désespérez pas il y a des hommes qui même s'ils ne sont pas parfait méritent notre amour.
Olga je te rassure Élise est proche d'un retour au calme.
Chère lectrice ne désespérez pas il y a des hommes qui même s'ils ne sont pas parfait méritent notre amour.
Olga je te rassure Élise est proche d'un retour au calme.
Très heureuse de vous retrouver et de savoir qu'Alan va mieux.
Je vois qu'Elise n'a pas laissé l'occasion et elle a eu bien raison!
Je vois qu'Elise n'a pas laissé l'occasion et elle a eu bien raison!
Bon courage à Alan pour assurer après le covid.
Ce récit est la suite du récit de Elise épisode 74 ?
Les maris ne valent pas tripette , je me plains du mien mais finalement meme si il a perdu ses couilles en route je vais le garder du moins encore 1 certain temps.
Une fois les petits adultes j'aviserai si je supporte encore la situation ou si je le vire. (:
Ce récit est la suite du récit de Elise épisode 74 ?
Les maris ne valent pas tripette , je me plains du mien mais finalement meme si il a perdu ses couilles en route je vais le garder du moins encore 1 certain temps.
Une fois les petits adultes j'aviserai si je supporte encore la situation ou si je le vire. (: