Elise, Sandra, Audrey, Anne et les autres (3)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 280 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Micky ont reçu un total de 2 611 973 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2022 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 4 085 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Elise, Sandra, Audrey, Anne et les autres (3)
CANDAULISTES A CINQUANTE ANS
Ce jour là, Anne rentra du travail toute guillerette et même légèrement excitée. C'était son jour de reprise après deux semaines de vacances (mais il lui en restait encore une) et elle était heureuse d'avoir retrouvé ses collègues et amies Audrey, Elise et Sandra, avec lesquelles elle avait déjeuné, comme d'habitude. Roland, son mari, était déjà rentré et avait commencé à préparer le dîner. Elle vint lui donner un coup de main et pendant qu'ils s'affairaient, elle lui raconta sa journée. Et en particulier le déjeuner où elle avait appris une nouvelle sensationnelle.
- Tu connais pas la meilleure. Audrey et Sandra sont parties en vacances ensemble, avec leur mari.
- Bon, et alors ?
- Ils se sont bien amusés. Ils avaient loué une maison à la campagne, ils ont fait de la rando, visité le coin, bref...
- Mais en quoi cela est-il intéressant ?
- Eh ben, c'est qu'ils ont fait une expérience. Ils ont... couché dans le même lit. Enfin, de temps en temps.
- Quoi ? Tu veux dire que...
- Ils se sont tapés des plans à quatre. Le mari de Sandra baisait Audrey et vice-versa.
Roland, le couteau en l'air, marqua sa surprise... et éclata de rire.
- Ah ben ça alors ! Et ça leur a plu ?
- Elles ont trouvé ça génial. Audrey n'avait jamais baisé avec un homme noir et Sandra n'avait jamais vu son homme baiser une femme blanche. Et une collègue en plus. Elles ont pris un pied majuscule.
- Ah bon ? Tu veux dire qu'elles t'ont fait envie ?
- J'ai pas dit ça. Mais bon, c'est vrai qu'à côté, on est du genre classique, avec nos vingt-cinq ans de vie en couple pépère.
- Comment ça, pépère ? Tu ne prends plus ton pied avec moi ? Ce n'est pas ce que je constate.
- Mais si, je le prends, mon pied, idiot. Mais je ne t'ai pas dit un autre truc. Figure-toi qu'avant les vacances, Elise, la gentille Elise, et son mari, ont fait la même chose avec le couple Sandra-Boubacar.
- Quoi ? La petite blonde ? Avec ce grand black ? Tu déconnes...
- Non, c'est vrai, et le plus étonnant, c'est que le mari d'Elise a sauté Sandra alors qu'on le croyait mou de la queue. Et il l'a fait jouir.
- Tu ne me l'avais pas dit. Pourquoi ?
- Ben, c'était notre petit secret entre filles. Mais bon, maintenant, ça prend une autre tournure. Ils baisent tous ensemble et moi, je fais un peu vieille France dans l'affaire alors que je passais pour la plus dévergondée, ou presque. Le monde à l'envers.
- Et alors ? Qu'est-ce que tu veux dire ?
- Dis-moi, ça te déplairait de me voir baiser avec un autre homme, devant toi ?
- Je n'y ai jamais vraiment pensé. Mais ça impliquerait que je baise moi aussi avec une autre femme devant toi. Et ça te plairait ?
- Je n'y ai jamais pensé non plus. Cela doit faire un drôle d'effet. En tout cas, Sandra et Audrey l'ont pris, leur pied. Et Elise aussi, ce qui est encore plus étonnant quand on la connait. Dire qu'on la croyait coincée du cul...
- Mais dis donc, tu m'excites avec tes histoires. Viens donc un peu par là.
Et Roland saisit la main de sa femme, l'attira à lui et l'embrassa goulûment. Anne sentit qu'il bandait. Il avait envie de baiser, tout d'un coup. Et elle aussi. Ils laissèrent tomber couteaux, fourchettes, cocottes et tabliers pour se ruer dans la chambre, se dévêtirent en un clin d'oeil et après des préliminaires vite expédiés, ils copulèrent avec ardeur. Roland fit crier Anne en la pliant en deux, ses chevilles au ras des oreilles, lui offrant une pénétration radicale agrémentée de mots crus :- Alors, c'est pépère, ce que je te fais ? Tu ne la sens pas, ma bite ? Elle est molle ?
- Non, non, je la sens bien, s'il te plait, continue... ahhhhh !
Anne adorait être ainsi prise au dépourvu, à la hussarde, traitée comme une chienne en chaleur, bradassée, tourneboulée, fouillée, bref baisée. Elle l'avait énervé en racontant les frasques de ses collègues et excité en évoquant une scène candauliste les concernant. A cinquante ans, ils arrivaient à l'âge des expériences nouvelles. Pendant qu'elle le chevauchait, les nichons en bataille, elle l'interrogea :- Alors, ça te plairait, de me voir me faire baiser par un autre mec, comme Sandra et Audrey ?
- Oui, oui, si tu y pends du plaisir. Et toi, ça ne te ferait rien de me voir baiser une autre nana ?
- Non, non, si tu la fais jouir et si je suis avec toi. Encule-moi maintenant, j'en ai envie.
Ils poursuivirent leurs ébats torrides encore quelques minutes. Les peaux claquèrent, Anne brama et Roland éjacula dans son rectum, comme souvent au terme de leurs accouplements. Et ils basculèrent sur le lit, abasourdis à la fois par ce qu'ils avaient fait et ce qu'ils avaient dit, dans le feu de l'action.
********Ils en rediscutèrent le lendemain, à tête reposée. C'est Roland qui lança le débat :- Tu voudrais vraiment qu'on se joigne à tes copines pour un plan à quatre ?
- Bah non, pas vraiment. Mélanger le boulot et le sexe, je trouve ça imprudent. Je crois d'ailleurs qu'elles devraient se calmer, ça risque de mettre le bordel dans les couples et entre nous. Par contre, avec des inconnus... pourquoi pas ?
- C'est risqué aussi. On ne sait pas sur qui on tombe.
La discussion sur le sujet en était restée là. Mais il cheminait dans la tête du couple. Surtout dans celle d'Anne qui vivait mal d'être en retrait par rapport à l'audace de ses collègues. D'autant qu'Elise se montrait désormais beaucoup plus délurée dans leurs échanges. Comme si elle avait brisé un tabou.
Quelque temps plus tard, Anne et Roland prirent la dernière semaine de vacances qui leur restait pour un séjour dans un hôtel d'une station balnéaire. Au bout d'une journée d'excursion, car le temps n'était pas propice à la plage, ils firent la connaissance d'un autre couple, un peu plus âgé, qui dînait à une table voisine de la leur, également en demi-pension. Ils firent plus ample connaissance en se promenant le soir sur le front de mer. Alex, aux cheveux poire et sel, était maître d'armes après avoir fait une belle carrière d'escrimeur et avait conservé un physique de sportif malgré l'approche de la soixantaine. Micheline, blonde péroxydée aux cheveux coupés à la garçonne, était beaucoup plus enveloppée mais sans être obèse pour autant. Ils décidèrent de se promener ensemble dès le lendemain, à pied en cas de beau temps ou en voiture dans le cas inverse.
Au bout de deux jours, ils étaient devenus complices comme s'ils se connaissaient depuis longtemps. Ils mangeaient ensemble, riaient ensemble, râlaient ensemble. Anne s'amusait des tenues affriolantes de Micheline qui tenait à faire plus jeune que son âge. Elle ne portait ainsi jamais de soutien-gorge, laissant ses seins lourds balloter sous la toile légère de ses mini robes dévoilant des cuisses charnues et moulant un fessier copieux. Alex exhibait complaisamment des bras musclés par le maniement de l'épée, du fleuret ou du sabre.
Au cours d'une promenade sur un sentier côtier, les deux couples abordèrent une crique déserte. A la stupéfaction d'Anne et Roland, Micheline fit valser ses chaussures de marche, baissa short et slip, retira son tee shirt et s'en alla courir vers l'eau fraiche dans le plus simple appareil, dévoilant ses rondeurs sans le moindre complexe, et sans la moindre démarcation blanche, signe d'un bronzage intégral. Alex l'imita aussitôt en faisant balancer couilles et pénis. Interdits, Anne et Roland se demandèrent quelle attitude adopter.
- Alors, vous venez, espèce de frileux ? leur lança Micheline, les nichons ruisselant d'eau de mer.
Anne se sentait mal d'aller à l'eau en slip et soutien-gorge. Elle se mit également à poil et entra dans l'eau en criant devant la fraicheur de l'onde. Roland l'imita, nu lui aussi. La complicité des deux couples venait de prendre un nouvel essor. Ils n'ignoraient plus rien de leurs corps. Ils s'allongèrent brièvement sur le sable pour se sécher au soleil rasant de septembre. Anne attrapa du regard les imposantes parties génitales d'Alex tandis que les yeux de Roland parcouraient les rondeurs pulpeuses de Micheline.
Les conversations des deux couples prirent dès lors un tour plus intime.
- Tu as l'air heureuse avec Roland, dit Micheline à Anne en marchant.
- Oui, très heureuse, et toi aussi avec Alex. Vous avez l'air très libérés. Cela vous arrive souvent de vous mettre nus, comme ça ?
- Très souvent oui. On est souvent à poil chez nous. Cet été, on est allé comme chaque année au cap d'Agde et on a fréquenté les plages nudistes. Tu as remarqué que j'étais toute bronzée ?
- Oui, pas comme moi. J'ai les fesses blanches... Mais dis-moi, le cap d'Agde, c'est pas un peu... libertin ?
- Bien sûr que si. Mais nous sommes libertins, Alex et moi.
- Ah bon ? Vous faites l'amour avec d'autres partenaires ?
- Absolument. Enfin, plus exactement, on baise. C'est jouissif, tu sais ? A notre âge, la variété, ça stimule. Vous n'avez jamais essayé, avec Roland ?
- Euh... non jamais. Mais c'est vrai qu'on y a pensé. Vous n'avez jamais eu de mauvaises expériences ?
- Rarement. Cet été, on a fait connaissance d'un jeune couple. La femme a énormément joui avec Alex. Tu as remarqué ses parties ? Quand il bande, il est fabuleux. C'est mon deuxième mariage et je dois avouer que je l'ai épousé pour le sexe. Enfin, pas que le sexe, mais beaucoup le sexe. Il m'a fait rajeunir de dix ans. C'est lui qui m'a fait connaitre le libertinage.
- Et ça ne te fait rien de le voir, euh, baiser avec une autre femme ?
- Au contraire, ça m'excite et d'ailleurs, je baise aussi, ne l'oublie pas. Le mari de la femme avait une queue d'enfer. J'ai eu la chance qu'il aime les femmes mûres un peu grosses comme moi. J'ai énormément joui.
- Veinarde... Dis donc, ça fait envie, tes histoires...
- Mais il ne tient qu'à vous, non ?
Anne ne répondit pas, perdue dans ses pensées. Les deux hommes marchaient devant et ce que leurs femmes ne savaient pas, c'est qu'ils avaient tenu peu ou prou la même conversation. Tous deux avaient vanté l'appétit sexuel de leur épouse avec force détails et conclu qu'une réunion à quatre s'imposait, si toutefois elles en étaient d'accord. Le sujet fut abordé le soir à table, d'abord mezzo voce puis franco car l'excitation était montée au fil du dîner. La main de Roland était remontée sous la table du genou à l'entrecuisses d'Anne et Alex avait fait de même avec Micheline, la seule différence résidant dans le fait que cette dernière, comme à son habitude, ne portait pas de slip. Alex s'était léché ostensiblement le majeur devant ses commensaux, signifiant par là que Micheline était bien mûre, celle-ci feignant l'indignation. Mais Anne constata que Roland bandait. Et qu'elle-même avait trempé sa culotte. Et deux couples fébriles gagnèrent la chambre du plus âgé, au nom de son expérience supérieure.
*******A peine entrée, Micheline fit passer sa robe légère par-dessus sa tête, se déchaussa et s'allongea nue sur le lit, exposant sa chair opulente et succulente avec ses seins larges et ses cuisses ouvertes sur un pubis glabre. Elle invita Alex à venir la rejoindre et dit à l'autre couple :- On va faire l'amour, devant vous. Regardez-nous, rejoignez-nous si vous voulez, vous n'êtes obligés à rien. Vous pouvez même repartir. Mais si vous restez, déshabillez-vous, qu'on soit à égalité.
Quand Micheline et Alex commencèrent à s'embrasser et se caresser, Anne n'hésita pas longtemps. Elle se débarrassa de ses vêtements, les plia et les déposa sur une chaise et invita Roland à faire de même. De voir Micheline et Alex en pleins préliminaires n'était pas de nature à calmer ses désirs. Quand ils entamèrent un 69 en travers du lit, Micheline dessus, Anne s'allongea à côté d'elle, le visage tout près de celui de la sexagénaire, et saisit la nuque de Roland pour l'inviter au cunni. Les bruits de succion de Micheline arrivaient directement à son oreille tandis qu'elle s'abandonnait à la langue de son mari. En tournant la tête, elle ne pouvait que constater le véritable mât de cocagne que la blonde à cheveux courts honorait de sa bouche. Quelle bite ! L'observant, Micheline devina son désir :- Suce-le avec moi, lui dit-elle.
Anne ne se fit pas prier. Tournant la tête, elle goba le gland plantureux que venait de lui offrir Micheline. Ainsi, c'était fait. Elle était passée au "plan à quatre", par sa propre volonté, même pas celle de Roland qui continuait à la lécher avec conviction, sans rien perdre du manège de son épouse. Micheline reprit le gland de son mari puis le repassa à Anne et ainsi de suite, non sans pousser parfois un petit gémissement car à l'autre bout de son corps, Alex ne restait pas inactif en dégustant sa vulve. Anne gémissait aussi, entrainant entre les deux femmes une complicité de plaisir. Mais l'excitation extrême qui les avait saisies avait maintenant besoin de concret. En clair, une pénétration vigoureuse.
Allongées côte à côte, béantes, elles reçurent simultanément de leur conjoint un envahissement massif, tonique, qui les fit crier de conserve. Tout en limant son épouse, Alex caressa le sein d'Anne et Roland fit de même pour Micheline. Une satisfaction manuelle que ce contact d'une chair tendre et voluptueuse. Mais c'était la bite fouilleuse qui passionnait les deux allongées. En proie à une excitation extrême, Anne et Micheline gigotaient, à la fois pour leur plaisir et celui de leur conjoint. Dans leur agitation, elles se heurtèrent du coude, du pied, de la cuisse, de la hanche et le contact de leur peau les électrisait, surtout Anne qui découvrait la "baise jumelle". Roland jubilait de voir son épouse s'adonner au mouvement perpétuel de son corps sur fond sonore de "ohh" et de "ahh", confirmant son adhésion à cette grande première de couple. Mais Micheline l'excitait aussi par sa manière très participative, seins et cul mouvants assortis de mots crus qu'il n'entendait pas souvent dans la bouche d'Anne. Puis Alex intervint :- Allez les filles, retournez-vous maintenant.
Elles présentèrent leur fessier copieux d'un même mouvement, toujours en travers du lit. La blonde à cheveux courts poussa un "mmmhh" de satisfaction quand elle fut pénétrée mais c'est un "ohhhh !" stupéfait qu'exprima le brune aux cheveux longs et bouclés cascadant sur ses épaules. C'est en tournant la tête vers celui qui s'était enfoncé en elle qu'elle découvrit Alex et en même temps Roland fiché dans Micheline. Ainsi donc, l'échange était maintenant une réalité concrète. Et même très concrète pour Anne que le sabre épais de l'escrimeur fouaillait dans ses profondeurs les plus intimes, rabotant ses parois vaginales, surexcitées par ce puissant forage. Il lui fallut quelques minutes pour prendre la mesure de ce membre (très) viril qui s'était d'abord aventuré prudemment dans cet antre inconnu. Mais la lubrification arriva vite et Anne connut alors un flot de sensations qui la firent couiner si fort qu'elle couvrit les expressions verbales de Micheline. Les deux hommes se régalaient de manière peu égoïste de la jouissance prise par leur épouse sans qu'ils en soient directement responsables. Ils leur adressèrent quelques propos salaces tout en poursuivant leur labeur. Roland était épaté par les mouvements frénétiques du cul d'Anne dans un bruit de clapot et de claquements de peau. Il savait qu'elle aimait être prise en levrette mais il ne l'avait jamais vue aussi subjuguée. "Encore, encore, plus fort, vas-y" répétait-elle entre deux halètements. Micheline ne voulut pas être en reste et lui attrapa les couilles en glissant une main entre ses jambes, ce qui le fit allonger d'un bon centimètre et gagner en profondeur, ce que Micheline apprécia d'un "ouiii" sonore.
Alex imposa une nouvelle position car il se sentait au bord de l'éjaculation du fait des mouvements rotatifs d'Anne. Il s'allongea et invita Roland à en faire autant, en parallèle, dans la longueur du lit. Les deux femmes considérèrent les deux pénis verticaux avec un petit gloussement qui en disait long. Elles savaient que dans cette posture, les deux hommes allaient pouvoir durer plus facilement et elles étaient loin d'avoir assouvi leur appétit. Anne avait dans la chatte un bouillonnement qu'elle n'avait pas éprouvé depuis longtemps, malgré le zèle de son mari à la satisfaire. Elle l'attribua à cette situation inédite autant qu'à l'efficacité de la bite de son partenaire. Voir Roland baiser avec une autre femme, et savoir qu'il la regardait baiser avec un autre homme, incendiait son bas-ventre. Elle s'empala sur le pieu de chair en même temps que Micheline et les deux hommes pouvaient désormais parfaitement visualiser à quelques centimètres leur épouse dans le plaisir candauliste, lippe humide, seins agités, bassin mouvant, tout comme celles-ci pouvaient observer l'expression de leur mari sous l'effet des coups de cul de leur voisine immédiate. Anne n'avais jamais eu autant l'impression de baiser qu'en ce moment présent et il lui avait fallu attendre la cinquantaine pour se faire ainsi "sauter la cervelle". Elle se prélassa longuement sur la bite comme une dégustation gastronomique, répondit à Micheline qui l'interrogeait sur son plaisir en roulant elle aussi des hanches, l'imita en se mettant brièvement sur ses pieds dans un claquement de fesses qui les fit couiner ensemble, retomba sur ses genoux, se retourna pour montrer son cul à Alex, Micheline faisant de même avec Roland et les deux hommes savouraient leur chance d'honorer deux femmes aussi amoureuses de leur queue.
C'est Micheline qui s'arrêta la première, la sueur coulant entre ses seins opulents. Anne se détacha à son tour dans un bruit mouillé et les deux femmes, assises sur le lit, échangèrent quelques mots :- Ils sont en pleine forme, nos julots, ça fait plaisir, dit la brune.
- C'est sans doute qu'on leur fait de l'effet, non ? répondit la blonde.
- Ils ont peut-être le droit de prendre leur pied maintenant.
- Tu as raison, ils ont beaucoup donné. Tu le veux comment, mon Roland ?
- Sais pas. Qu'est-ce qu'il aime ?
- Jouir dans mon cul pour finir.
- Tu veux qu'il m'encule ?
- Je parie qu'il en meurt d'envie, hein Roro ?
Roro fit oui de la tête. Le cul de Micheline, copieux, bien fendu, c'était ce qui se faisait de mieux pour l'enculade. Elle se mit à quatre pattes, fesses en l'air, qu'il écarta en y logeant une langue pointue. La sexagénaire roucoula. Elle adorait se faire lécher le petit trou. Il n'aurait aucun mal à s'enfoncer en elle. Anne et Alex observaient l'approche linguale. La brune était impatiente de voir son mari sodomiser une autre femme qu'elle. L'union fut assez rapide, la dame étant rompue à l'exercice, même avec le gros chibre de son mari, et le pénis de Roland entama ses aller-retours dans le rectum bien ouvert de Micheline qui poussa quelques vocalises sonores. Anne et Alex se masturbaient en les regardant. Les seins pendants de Micheline se balançaient en cadence et Alex vint l'embrasser sur la bouche pendant qu'elle gigotait. Puis Anne lui saisit la queue et l'attira en elle : - Viens, défonce-moi, fais-moi jouir, l'implora-t-elle.
Elle ne s'appartenait plus vraiment. Toute notion morale s'était enfuie de sa tête surchauffée. Elle voulait de la bite, rien que de la bite, et comme celle-ci en plus était bien grosse et bien raide, elle la ferait grimper aux rideaux. Alex s'enfonça en elle avec une grande facilité, d'autant qu'elle s'était ouverte en se tenant les pieds. Il observa son visage sur l'oreiller, cerné par son opulente chevelure brune et frisée, et se demanda si c'était bien la femme qu'il avait rencontrée à l'hôtel. Non, ce n'était pas elle. C'était une autre. Elle n'était plus qu'une chatte et il se devait de l'honorer de son sabre d'escrimeur du sexe. Il entendit son épouse Micheline bramer de plaisir sous les assauts de Roland et ça lui fit accélérer son rythme. Il voulait aussi entendre Anne gueuler. Non seulement elle gueula mais elle célébra sa bite avec une surprenante crudité et rua sous lui en posant les pieds sur le matelas, au point qu'il dut s'y arrimer pour ne pas être éjecté de son déduit. Le lit était devenu un tel chantier que le matelas sortit partiellement du sommier sur lequel il reposait. Curieusement, les deux femmes répétaient sans cesse le même mot : "encore !". Anne l'assortit d'un autre : "oui". Elle le scanda, le répéta, appuyant sur la dernière voyelle, "ouiiiiiii !", ce qu'Alex interpréta à juste titre comme un orgasme puissant, dévastateur. Mais c'était trop bon de voir ainsi une femelle s'exalter devant le travail de sa queue. Ignorant la douleur des griffes d'Anne lacérant la peau de son dos, il continua de creuser, jetant un oeil rapide sur l'autre couple. Micheline était désormais à plat ventre, mordant le drap, l'autre toujours joint à elle mais inerte, expulsant ses dernières gouttes de sperme. Il fut assez fier de durer un peu plus que Roland, de manifester une virilité supérieure, de regarder Anne se tordre pour rendre la pénétration encore plus efficiente, le visage déformé par l'orgasme. Et quand, épuisée, elle lâcha "viens, viens maintenant", il gicla d'abondance et répandit l'essentiel de son sperme sur son pubis brun et fourni que se constella de paillettes blanches. Alors, elle se détendit et sourit, la poitrine agitée par sa respiration saccadée. Alex la vit avec une fierté mâle comme une femme supérieurement baisée. A bientôt soixante ans, il était encore en capacité de faire jouir.
********Ce fut la seule fois où les deux couples copulèrent ensemble mais une vraie amitié naquit de ces ébats, si bien qu'ils se promirent de se revoir après les vacances. On sait cependant ce que valent ces promesses. Mais en attendant, Anne et Roland s'en retournèrent chez eux convaincus d'avoir franchi une étape dans leur vie sexuelle. "Il était temps", commenta même Roland, sans être démenti.
Anne se réjouissait à l'avance de retrouver ses copines de boulot pour leur narrer l'épisode. Elle serait moins gourde à leurs yeux; Pour autant, elle ne se voyait pas devenir une libertine pur sucre. C'était juste une expérience. Comme d'avoir été dépucelée... à cinquante ans.
A SUIVRE
Ce jour là, Anne rentra du travail toute guillerette et même légèrement excitée. C'était son jour de reprise après deux semaines de vacances (mais il lui en restait encore une) et elle était heureuse d'avoir retrouvé ses collègues et amies Audrey, Elise et Sandra, avec lesquelles elle avait déjeuné, comme d'habitude. Roland, son mari, était déjà rentré et avait commencé à préparer le dîner. Elle vint lui donner un coup de main et pendant qu'ils s'affairaient, elle lui raconta sa journée. Et en particulier le déjeuner où elle avait appris une nouvelle sensationnelle.
- Tu connais pas la meilleure. Audrey et Sandra sont parties en vacances ensemble, avec leur mari.
- Bon, et alors ?
- Ils se sont bien amusés. Ils avaient loué une maison à la campagne, ils ont fait de la rando, visité le coin, bref...
- Mais en quoi cela est-il intéressant ?
- Eh ben, c'est qu'ils ont fait une expérience. Ils ont... couché dans le même lit. Enfin, de temps en temps.
- Quoi ? Tu veux dire que...
- Ils se sont tapés des plans à quatre. Le mari de Sandra baisait Audrey et vice-versa.
Roland, le couteau en l'air, marqua sa surprise... et éclata de rire.
- Ah ben ça alors ! Et ça leur a plu ?
- Elles ont trouvé ça génial. Audrey n'avait jamais baisé avec un homme noir et Sandra n'avait jamais vu son homme baiser une femme blanche. Et une collègue en plus. Elles ont pris un pied majuscule.
- Ah bon ? Tu veux dire qu'elles t'ont fait envie ?
- J'ai pas dit ça. Mais bon, c'est vrai qu'à côté, on est du genre classique, avec nos vingt-cinq ans de vie en couple pépère.
- Comment ça, pépère ? Tu ne prends plus ton pied avec moi ? Ce n'est pas ce que je constate.
- Mais si, je le prends, mon pied, idiot. Mais je ne t'ai pas dit un autre truc. Figure-toi qu'avant les vacances, Elise, la gentille Elise, et son mari, ont fait la même chose avec le couple Sandra-Boubacar.
- Quoi ? La petite blonde ? Avec ce grand black ? Tu déconnes...
- Non, c'est vrai, et le plus étonnant, c'est que le mari d'Elise a sauté Sandra alors qu'on le croyait mou de la queue. Et il l'a fait jouir.
- Tu ne me l'avais pas dit. Pourquoi ?
- Ben, c'était notre petit secret entre filles. Mais bon, maintenant, ça prend une autre tournure. Ils baisent tous ensemble et moi, je fais un peu vieille France dans l'affaire alors que je passais pour la plus dévergondée, ou presque. Le monde à l'envers.
- Et alors ? Qu'est-ce que tu veux dire ?
- Dis-moi, ça te déplairait de me voir baiser avec un autre homme, devant toi ?
- Je n'y ai jamais vraiment pensé. Mais ça impliquerait que je baise moi aussi avec une autre femme devant toi. Et ça te plairait ?
- Je n'y ai jamais pensé non plus. Cela doit faire un drôle d'effet. En tout cas, Sandra et Audrey l'ont pris, leur pied. Et Elise aussi, ce qui est encore plus étonnant quand on la connait. Dire qu'on la croyait coincée du cul...
- Mais dis donc, tu m'excites avec tes histoires. Viens donc un peu par là.
Et Roland saisit la main de sa femme, l'attira à lui et l'embrassa goulûment. Anne sentit qu'il bandait. Il avait envie de baiser, tout d'un coup. Et elle aussi. Ils laissèrent tomber couteaux, fourchettes, cocottes et tabliers pour se ruer dans la chambre, se dévêtirent en un clin d'oeil et après des préliminaires vite expédiés, ils copulèrent avec ardeur. Roland fit crier Anne en la pliant en deux, ses chevilles au ras des oreilles, lui offrant une pénétration radicale agrémentée de mots crus :- Alors, c'est pépère, ce que je te fais ? Tu ne la sens pas, ma bite ? Elle est molle ?
- Non, non, je la sens bien, s'il te plait, continue... ahhhhh !
Anne adorait être ainsi prise au dépourvu, à la hussarde, traitée comme une chienne en chaleur, bradassée, tourneboulée, fouillée, bref baisée. Elle l'avait énervé en racontant les frasques de ses collègues et excité en évoquant une scène candauliste les concernant. A cinquante ans, ils arrivaient à l'âge des expériences nouvelles. Pendant qu'elle le chevauchait, les nichons en bataille, elle l'interrogea :- Alors, ça te plairait, de me voir me faire baiser par un autre mec, comme Sandra et Audrey ?
- Oui, oui, si tu y pends du plaisir. Et toi, ça ne te ferait rien de me voir baiser une autre nana ?
- Non, non, si tu la fais jouir et si je suis avec toi. Encule-moi maintenant, j'en ai envie.
Ils poursuivirent leurs ébats torrides encore quelques minutes. Les peaux claquèrent, Anne brama et Roland éjacula dans son rectum, comme souvent au terme de leurs accouplements. Et ils basculèrent sur le lit, abasourdis à la fois par ce qu'ils avaient fait et ce qu'ils avaient dit, dans le feu de l'action.
********Ils en rediscutèrent le lendemain, à tête reposée. C'est Roland qui lança le débat :- Tu voudrais vraiment qu'on se joigne à tes copines pour un plan à quatre ?
- Bah non, pas vraiment. Mélanger le boulot et le sexe, je trouve ça imprudent. Je crois d'ailleurs qu'elles devraient se calmer, ça risque de mettre le bordel dans les couples et entre nous. Par contre, avec des inconnus... pourquoi pas ?
- C'est risqué aussi. On ne sait pas sur qui on tombe.
La discussion sur le sujet en était restée là. Mais il cheminait dans la tête du couple. Surtout dans celle d'Anne qui vivait mal d'être en retrait par rapport à l'audace de ses collègues. D'autant qu'Elise se montrait désormais beaucoup plus délurée dans leurs échanges. Comme si elle avait brisé un tabou.
Quelque temps plus tard, Anne et Roland prirent la dernière semaine de vacances qui leur restait pour un séjour dans un hôtel d'une station balnéaire. Au bout d'une journée d'excursion, car le temps n'était pas propice à la plage, ils firent la connaissance d'un autre couple, un peu plus âgé, qui dînait à une table voisine de la leur, également en demi-pension. Ils firent plus ample connaissance en se promenant le soir sur le front de mer. Alex, aux cheveux poire et sel, était maître d'armes après avoir fait une belle carrière d'escrimeur et avait conservé un physique de sportif malgré l'approche de la soixantaine. Micheline, blonde péroxydée aux cheveux coupés à la garçonne, était beaucoup plus enveloppée mais sans être obèse pour autant. Ils décidèrent de se promener ensemble dès le lendemain, à pied en cas de beau temps ou en voiture dans le cas inverse.
Au bout de deux jours, ils étaient devenus complices comme s'ils se connaissaient depuis longtemps. Ils mangeaient ensemble, riaient ensemble, râlaient ensemble. Anne s'amusait des tenues affriolantes de Micheline qui tenait à faire plus jeune que son âge. Elle ne portait ainsi jamais de soutien-gorge, laissant ses seins lourds balloter sous la toile légère de ses mini robes dévoilant des cuisses charnues et moulant un fessier copieux. Alex exhibait complaisamment des bras musclés par le maniement de l'épée, du fleuret ou du sabre.
Au cours d'une promenade sur un sentier côtier, les deux couples abordèrent une crique déserte. A la stupéfaction d'Anne et Roland, Micheline fit valser ses chaussures de marche, baissa short et slip, retira son tee shirt et s'en alla courir vers l'eau fraiche dans le plus simple appareil, dévoilant ses rondeurs sans le moindre complexe, et sans la moindre démarcation blanche, signe d'un bronzage intégral. Alex l'imita aussitôt en faisant balancer couilles et pénis. Interdits, Anne et Roland se demandèrent quelle attitude adopter.
- Alors, vous venez, espèce de frileux ? leur lança Micheline, les nichons ruisselant d'eau de mer.
Anne se sentait mal d'aller à l'eau en slip et soutien-gorge. Elle se mit également à poil et entra dans l'eau en criant devant la fraicheur de l'onde. Roland l'imita, nu lui aussi. La complicité des deux couples venait de prendre un nouvel essor. Ils n'ignoraient plus rien de leurs corps. Ils s'allongèrent brièvement sur le sable pour se sécher au soleil rasant de septembre. Anne attrapa du regard les imposantes parties génitales d'Alex tandis que les yeux de Roland parcouraient les rondeurs pulpeuses de Micheline.
Les conversations des deux couples prirent dès lors un tour plus intime.
- Tu as l'air heureuse avec Roland, dit Micheline à Anne en marchant.
- Oui, très heureuse, et toi aussi avec Alex. Vous avez l'air très libérés. Cela vous arrive souvent de vous mettre nus, comme ça ?
- Très souvent oui. On est souvent à poil chez nous. Cet été, on est allé comme chaque année au cap d'Agde et on a fréquenté les plages nudistes. Tu as remarqué que j'étais toute bronzée ?
- Oui, pas comme moi. J'ai les fesses blanches... Mais dis-moi, le cap d'Agde, c'est pas un peu... libertin ?
- Bien sûr que si. Mais nous sommes libertins, Alex et moi.
- Ah bon ? Vous faites l'amour avec d'autres partenaires ?
- Absolument. Enfin, plus exactement, on baise. C'est jouissif, tu sais ? A notre âge, la variété, ça stimule. Vous n'avez jamais essayé, avec Roland ?
- Euh... non jamais. Mais c'est vrai qu'on y a pensé. Vous n'avez jamais eu de mauvaises expériences ?
- Rarement. Cet été, on a fait connaissance d'un jeune couple. La femme a énormément joui avec Alex. Tu as remarqué ses parties ? Quand il bande, il est fabuleux. C'est mon deuxième mariage et je dois avouer que je l'ai épousé pour le sexe. Enfin, pas que le sexe, mais beaucoup le sexe. Il m'a fait rajeunir de dix ans. C'est lui qui m'a fait connaitre le libertinage.
- Et ça ne te fait rien de le voir, euh, baiser avec une autre femme ?
- Au contraire, ça m'excite et d'ailleurs, je baise aussi, ne l'oublie pas. Le mari de la femme avait une queue d'enfer. J'ai eu la chance qu'il aime les femmes mûres un peu grosses comme moi. J'ai énormément joui.
- Veinarde... Dis donc, ça fait envie, tes histoires...
- Mais il ne tient qu'à vous, non ?
Anne ne répondit pas, perdue dans ses pensées. Les deux hommes marchaient devant et ce que leurs femmes ne savaient pas, c'est qu'ils avaient tenu peu ou prou la même conversation. Tous deux avaient vanté l'appétit sexuel de leur épouse avec force détails et conclu qu'une réunion à quatre s'imposait, si toutefois elles en étaient d'accord. Le sujet fut abordé le soir à table, d'abord mezzo voce puis franco car l'excitation était montée au fil du dîner. La main de Roland était remontée sous la table du genou à l'entrecuisses d'Anne et Alex avait fait de même avec Micheline, la seule différence résidant dans le fait que cette dernière, comme à son habitude, ne portait pas de slip. Alex s'était léché ostensiblement le majeur devant ses commensaux, signifiant par là que Micheline était bien mûre, celle-ci feignant l'indignation. Mais Anne constata que Roland bandait. Et qu'elle-même avait trempé sa culotte. Et deux couples fébriles gagnèrent la chambre du plus âgé, au nom de son expérience supérieure.
*******A peine entrée, Micheline fit passer sa robe légère par-dessus sa tête, se déchaussa et s'allongea nue sur le lit, exposant sa chair opulente et succulente avec ses seins larges et ses cuisses ouvertes sur un pubis glabre. Elle invita Alex à venir la rejoindre et dit à l'autre couple :- On va faire l'amour, devant vous. Regardez-nous, rejoignez-nous si vous voulez, vous n'êtes obligés à rien. Vous pouvez même repartir. Mais si vous restez, déshabillez-vous, qu'on soit à égalité.
Quand Micheline et Alex commencèrent à s'embrasser et se caresser, Anne n'hésita pas longtemps. Elle se débarrassa de ses vêtements, les plia et les déposa sur une chaise et invita Roland à faire de même. De voir Micheline et Alex en pleins préliminaires n'était pas de nature à calmer ses désirs. Quand ils entamèrent un 69 en travers du lit, Micheline dessus, Anne s'allongea à côté d'elle, le visage tout près de celui de la sexagénaire, et saisit la nuque de Roland pour l'inviter au cunni. Les bruits de succion de Micheline arrivaient directement à son oreille tandis qu'elle s'abandonnait à la langue de son mari. En tournant la tête, elle ne pouvait que constater le véritable mât de cocagne que la blonde à cheveux courts honorait de sa bouche. Quelle bite ! L'observant, Micheline devina son désir :- Suce-le avec moi, lui dit-elle.
Anne ne se fit pas prier. Tournant la tête, elle goba le gland plantureux que venait de lui offrir Micheline. Ainsi, c'était fait. Elle était passée au "plan à quatre", par sa propre volonté, même pas celle de Roland qui continuait à la lécher avec conviction, sans rien perdre du manège de son épouse. Micheline reprit le gland de son mari puis le repassa à Anne et ainsi de suite, non sans pousser parfois un petit gémissement car à l'autre bout de son corps, Alex ne restait pas inactif en dégustant sa vulve. Anne gémissait aussi, entrainant entre les deux femmes une complicité de plaisir. Mais l'excitation extrême qui les avait saisies avait maintenant besoin de concret. En clair, une pénétration vigoureuse.
Allongées côte à côte, béantes, elles reçurent simultanément de leur conjoint un envahissement massif, tonique, qui les fit crier de conserve. Tout en limant son épouse, Alex caressa le sein d'Anne et Roland fit de même pour Micheline. Une satisfaction manuelle que ce contact d'une chair tendre et voluptueuse. Mais c'était la bite fouilleuse qui passionnait les deux allongées. En proie à une excitation extrême, Anne et Micheline gigotaient, à la fois pour leur plaisir et celui de leur conjoint. Dans leur agitation, elles se heurtèrent du coude, du pied, de la cuisse, de la hanche et le contact de leur peau les électrisait, surtout Anne qui découvrait la "baise jumelle". Roland jubilait de voir son épouse s'adonner au mouvement perpétuel de son corps sur fond sonore de "ohh" et de "ahh", confirmant son adhésion à cette grande première de couple. Mais Micheline l'excitait aussi par sa manière très participative, seins et cul mouvants assortis de mots crus qu'il n'entendait pas souvent dans la bouche d'Anne. Puis Alex intervint :- Allez les filles, retournez-vous maintenant.
Elles présentèrent leur fessier copieux d'un même mouvement, toujours en travers du lit. La blonde à cheveux courts poussa un "mmmhh" de satisfaction quand elle fut pénétrée mais c'est un "ohhhh !" stupéfait qu'exprima le brune aux cheveux longs et bouclés cascadant sur ses épaules. C'est en tournant la tête vers celui qui s'était enfoncé en elle qu'elle découvrit Alex et en même temps Roland fiché dans Micheline. Ainsi donc, l'échange était maintenant une réalité concrète. Et même très concrète pour Anne que le sabre épais de l'escrimeur fouaillait dans ses profondeurs les plus intimes, rabotant ses parois vaginales, surexcitées par ce puissant forage. Il lui fallut quelques minutes pour prendre la mesure de ce membre (très) viril qui s'était d'abord aventuré prudemment dans cet antre inconnu. Mais la lubrification arriva vite et Anne connut alors un flot de sensations qui la firent couiner si fort qu'elle couvrit les expressions verbales de Micheline. Les deux hommes se régalaient de manière peu égoïste de la jouissance prise par leur épouse sans qu'ils en soient directement responsables. Ils leur adressèrent quelques propos salaces tout en poursuivant leur labeur. Roland était épaté par les mouvements frénétiques du cul d'Anne dans un bruit de clapot et de claquements de peau. Il savait qu'elle aimait être prise en levrette mais il ne l'avait jamais vue aussi subjuguée. "Encore, encore, plus fort, vas-y" répétait-elle entre deux halètements. Micheline ne voulut pas être en reste et lui attrapa les couilles en glissant une main entre ses jambes, ce qui le fit allonger d'un bon centimètre et gagner en profondeur, ce que Micheline apprécia d'un "ouiii" sonore.
Alex imposa une nouvelle position car il se sentait au bord de l'éjaculation du fait des mouvements rotatifs d'Anne. Il s'allongea et invita Roland à en faire autant, en parallèle, dans la longueur du lit. Les deux femmes considérèrent les deux pénis verticaux avec un petit gloussement qui en disait long. Elles savaient que dans cette posture, les deux hommes allaient pouvoir durer plus facilement et elles étaient loin d'avoir assouvi leur appétit. Anne avait dans la chatte un bouillonnement qu'elle n'avait pas éprouvé depuis longtemps, malgré le zèle de son mari à la satisfaire. Elle l'attribua à cette situation inédite autant qu'à l'efficacité de la bite de son partenaire. Voir Roland baiser avec une autre femme, et savoir qu'il la regardait baiser avec un autre homme, incendiait son bas-ventre. Elle s'empala sur le pieu de chair en même temps que Micheline et les deux hommes pouvaient désormais parfaitement visualiser à quelques centimètres leur épouse dans le plaisir candauliste, lippe humide, seins agités, bassin mouvant, tout comme celles-ci pouvaient observer l'expression de leur mari sous l'effet des coups de cul de leur voisine immédiate. Anne n'avais jamais eu autant l'impression de baiser qu'en ce moment présent et il lui avait fallu attendre la cinquantaine pour se faire ainsi "sauter la cervelle". Elle se prélassa longuement sur la bite comme une dégustation gastronomique, répondit à Micheline qui l'interrogeait sur son plaisir en roulant elle aussi des hanches, l'imita en se mettant brièvement sur ses pieds dans un claquement de fesses qui les fit couiner ensemble, retomba sur ses genoux, se retourna pour montrer son cul à Alex, Micheline faisant de même avec Roland et les deux hommes savouraient leur chance d'honorer deux femmes aussi amoureuses de leur queue.
C'est Micheline qui s'arrêta la première, la sueur coulant entre ses seins opulents. Anne se détacha à son tour dans un bruit mouillé et les deux femmes, assises sur le lit, échangèrent quelques mots :- Ils sont en pleine forme, nos julots, ça fait plaisir, dit la brune.
- C'est sans doute qu'on leur fait de l'effet, non ? répondit la blonde.
- Ils ont peut-être le droit de prendre leur pied maintenant.
- Tu as raison, ils ont beaucoup donné. Tu le veux comment, mon Roland ?
- Sais pas. Qu'est-ce qu'il aime ?
- Jouir dans mon cul pour finir.
- Tu veux qu'il m'encule ?
- Je parie qu'il en meurt d'envie, hein Roro ?
Roro fit oui de la tête. Le cul de Micheline, copieux, bien fendu, c'était ce qui se faisait de mieux pour l'enculade. Elle se mit à quatre pattes, fesses en l'air, qu'il écarta en y logeant une langue pointue. La sexagénaire roucoula. Elle adorait se faire lécher le petit trou. Il n'aurait aucun mal à s'enfoncer en elle. Anne et Alex observaient l'approche linguale. La brune était impatiente de voir son mari sodomiser une autre femme qu'elle. L'union fut assez rapide, la dame étant rompue à l'exercice, même avec le gros chibre de son mari, et le pénis de Roland entama ses aller-retours dans le rectum bien ouvert de Micheline qui poussa quelques vocalises sonores. Anne et Alex se masturbaient en les regardant. Les seins pendants de Micheline se balançaient en cadence et Alex vint l'embrasser sur la bouche pendant qu'elle gigotait. Puis Anne lui saisit la queue et l'attira en elle : - Viens, défonce-moi, fais-moi jouir, l'implora-t-elle.
Elle ne s'appartenait plus vraiment. Toute notion morale s'était enfuie de sa tête surchauffée. Elle voulait de la bite, rien que de la bite, et comme celle-ci en plus était bien grosse et bien raide, elle la ferait grimper aux rideaux. Alex s'enfonça en elle avec une grande facilité, d'autant qu'elle s'était ouverte en se tenant les pieds. Il observa son visage sur l'oreiller, cerné par son opulente chevelure brune et frisée, et se demanda si c'était bien la femme qu'il avait rencontrée à l'hôtel. Non, ce n'était pas elle. C'était une autre. Elle n'était plus qu'une chatte et il se devait de l'honorer de son sabre d'escrimeur du sexe. Il entendit son épouse Micheline bramer de plaisir sous les assauts de Roland et ça lui fit accélérer son rythme. Il voulait aussi entendre Anne gueuler. Non seulement elle gueula mais elle célébra sa bite avec une surprenante crudité et rua sous lui en posant les pieds sur le matelas, au point qu'il dut s'y arrimer pour ne pas être éjecté de son déduit. Le lit était devenu un tel chantier que le matelas sortit partiellement du sommier sur lequel il reposait. Curieusement, les deux femmes répétaient sans cesse le même mot : "encore !". Anne l'assortit d'un autre : "oui". Elle le scanda, le répéta, appuyant sur la dernière voyelle, "ouiiiiiii !", ce qu'Alex interpréta à juste titre comme un orgasme puissant, dévastateur. Mais c'était trop bon de voir ainsi une femelle s'exalter devant le travail de sa queue. Ignorant la douleur des griffes d'Anne lacérant la peau de son dos, il continua de creuser, jetant un oeil rapide sur l'autre couple. Micheline était désormais à plat ventre, mordant le drap, l'autre toujours joint à elle mais inerte, expulsant ses dernières gouttes de sperme. Il fut assez fier de durer un peu plus que Roland, de manifester une virilité supérieure, de regarder Anne se tordre pour rendre la pénétration encore plus efficiente, le visage déformé par l'orgasme. Et quand, épuisée, elle lâcha "viens, viens maintenant", il gicla d'abondance et répandit l'essentiel de son sperme sur son pubis brun et fourni que se constella de paillettes blanches. Alors, elle se détendit et sourit, la poitrine agitée par sa respiration saccadée. Alex la vit avec une fierté mâle comme une femme supérieurement baisée. A bientôt soixante ans, il était encore en capacité de faire jouir.
********Ce fut la seule fois où les deux couples copulèrent ensemble mais une vraie amitié naquit de ces ébats, si bien qu'ils se promirent de se revoir après les vacances. On sait cependant ce que valent ces promesses. Mais en attendant, Anne et Roland s'en retournèrent chez eux convaincus d'avoir franchi une étape dans leur vie sexuelle. "Il était temps", commenta même Roland, sans être démenti.
Anne se réjouissait à l'avance de retrouver ses copines de boulot pour leur narrer l'épisode. Elle serait moins gourde à leurs yeux; Pour autant, elle ne se voyait pas devenir une libertine pur sucre. C'était juste une expérience. Comme d'avoir été dépucelée... à cinquante ans.
A SUIVRE
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Micky
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...