Elise, Sandra, Audrey, Anne et les autres (4)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Elise, Sandra, Audrey, Anne et les autres (4)
REVEIL EN FANFARE
Il était 6 heures ce matin là, un jour de semaine, quand Audrey se réveilla après un rêve érotique. Le songe torride l'avait mise en présence d'un ouvrier qui effectuait alors des travaux dans les locaux de sa compagnie d'assurance. Un métis qu'elle et ses collègues avaient trouvé particulièrement sexy. Il la prenait à la hussarde dans le local de la photocopieuse et au réveil, Audrey ressentit dans son bas-ventre une sensation comme s'il venait de la pénétrer réellement. Elle resta quelques minutes ébahie par ce rêve, regarda sa pendule de table de chevet, constata qu'il lui restait une heure de sommeil avant de déclencher le grand chambardement du matin : la douche express, le lever des deux enfants, la préparation de leur petit-déjeuner, le départ au boulot du compagnon à 8 heures, l'accompagnement à l'école, un ultime rangement et la course vers l'autobus qui la mènerait sur son lieu de travail.
Elle tenta de se rendormir en se touchant le sexe, étonnamment humide. Mais elle se rendit vite compte qu'elle n'y arriverait pas. A côté, son compagnon, Kevin, dormait encore, couché en chien de fusil, dos à elle, en pyjama. Il n'était pas dans l'habitude du couple de faire l'amour un matin de jour ouvrable. C'était plutôt le soir, et encore, quand la journée n'avait pas été trop fatigante pour l'un comme pour l'autre. Ils se réservaient pour le dimanche matin, pendant que les enfants regardaient les dessins animés à la télé.
Mais ce matin là, Audrey avaient vraiment mal au bas-ventre. Enfin, mal, ce n'était pas tout à fait le mot. Disons qu'elle ressentait une sorte de vide qu'il lui fallait combler. Elle considéra Kevin, glissa sa main sous sa couette qui tomba sur ses petites fesses dures, effleura les couilles sous la toile légère. Sa décision fut prise. Il restait une heure. C'était suffisant pour baiser. Elle se leva, entra dans la salle de bain, fit passer sa nuisette par-dessus sa tête, se regarda nue dans le miroir. Les pointes de ses seins larges étaient déjà dressées. Son pubis de brune, particulièrement fourni, semblait frétiller. Elle se retourna et regarda ses fesses, un peu trop charnues à son goût mais elles lui apparurent en attente de quelque chose. Elle prit un gant humide d'eau chaude, le passa sur son visage puis sur sa fente et sur son anus, brossa sa chevelure de jais tombant sur ses épaules, en fit une queue de cheval avant de se raviser et de la laisser tel que, puis se dirigea vers le lit.
6h15. Pas de temps à perdre. Audrey glissa son corps nu sous la couette et vint se coller au dos de Kevin. Pas de réaction. Sa main écarta l'élastique du pantalon de pyjama, parcourut la raie des fesses et arriva aux couilles bien pleines de Kevin. Elle s'y attarda et il se mit alors à remuer légèrement. Du pouce et de l'index, Audrey s'empara du pénis encore au repos de son compagnon et elle le sentit aussitôt durcir sous ses doigts. Elle insista et lui murmura à l'oreille :- Laisse-toi faire.
Quand il eut atteint une longueur déjà conséquente, il se retourna et lui dit :- Tu as des intentions, on dirait. Mais tu vas nous mettre en retard.
- M'en fiche. J'ai envie de baiser.
Elle n'avait pas quitté le pénis de la main. Il avait maintenant atteint un volume appréciable mais il pouvait encore faire mieux. La main fourrée dans le pyjama, elle le branlait énergiquement. Sur le dos, béat, il se laissait faire. Il n'allait quand même pas jouir sous ses doigts et la laisser en plan. Le sachant sensible à son expression, elle décida de parler cru :- J'ai envie de ta grosse bite dans ma chatte. Je suis en feu. Tu vas me défoncer. Et tu pourras même m'enculer si tu veux.
Kevin réagit au quart de tour. Il se débarrassa en un clin d'oeil de son pyjama, poussa la couette au bord du lit, alluma sa lumière de chevet et considéra sa compagne dans la splendeur de sa nudité offerte.
- Tu veux ma bite ? Tu vas l'avoir !
En général, il la préparait avec sa langue. Il adorait plonger le nez dans sa broussaille pendant que sa langue fouillait son intimité, la sentir se cabrer en crispant sa main sur sa nuque jusqu'à ce qu'elle l'implore de venir en elle. Mais un bref contact de son majeur sur sa vulve le renseigna : elle était archi mûre.
Bras tendus et nez à nez, il la pénétra illico en missionnaire et la tempête s'empara du lit. Lorsqu'après un divorce, Audrey entama une liaison avec Kevin, ce fut d'abord purement et essentiellement sexuel entre eux deux. Il n'aurait jamais imaginé que cette grande brune au visage régulier, au discours châtié, au profil classique de conseillère juridique, puisse être au plumard une véritable dévoreuse de bite. Leur premier accouplement, après un dîner de séduction, fut au-delà du torride. Non seulement elle remuait sans arrêt son cul, engloutissait sa queue dans des pipes profondes, jouait des pieds, des mains et des cuisses en virtuose, mais elle prononçait dans le sexe des mots d'une crudité qui transformait cette femme apparemment bien sous tous rapports en véritable salope. Mais ô combien excitante. Cette nuit là, Audrey était seule chez elle, ses enfants étant sous la garde de son ex. Elle put donner libre cours à la face cachée de sa personnalité en proférant des obscénités tout en se faisant prendre par tous les trous. A peine son amant avait-il giclé qu'il rechargeait devant tant d'enthousiasme. Jamais il n'avait baisé une telle femelle. Quelque temps plus tard, après maints accouplements jamais décevants, ils se mirent en couple. Et cela faisait maintenant trois ans qu'ils partageaient le même lit.
*******6h30. Après avoir été copieusement ramonée, étouffant ses cris par des "mmmmmhhhhh" pour ne pas alerter ses enfants, probablement déjà réveillés, Audrey connut un premier orgasme qui l'immobilisa. Kevin se retira prestement pour ne pas éjaculer car sa compagne l'avait fait tanguer comme sur un bateau ivre. Il avait beau y être habitué, c'était toujours profondément jouissif de baiser une telle passionaria du plumard.
Il se mit sur le dos, la queue en forme de mât, et Audrey vint s'empaler sur lui en guidant sa queue de la main vers son antre béant. Elle savait que dans cette position, il pourrait se retenir encore un bon quart d'heure. Et elle avait encore terriblement envie de baiser. A la lumière de la lampe de chevet, Kevin se régala de son attitude : seins dressés et mouvants, hanches en rotation, sourire en banane, jusqu'au nombril qui le fascinait par son agitation. Il rua un peu sous elle pour ne pas la laisser faire tout le boulot, provoquant un claquement de peaux qui accompagnèrent ses gémissements de plaisir. Elle se retourna pour lui montrer son cul et il en profita pour loger son pouce dans l'anneau qui s'ouvrit comme par enchantement. Elle se mit brièvement sur ses pieds et se pencha en avant pour regarder la bite faire son travail de bite, avant de se repositionner sur ses genoux. Lorsqu'elle lui mit la main aux couilles, il se sentit obliger de l'arrêter :- Arrête, tu vas me faire gicler !
Si elle en voulait encore, lui aussi. Elle le comprit et se mit à quatre pattes pour une autre phase de leur accouplement. Le fessier, tel était la partie du corps d'Audrey que Kevin préférait. Lorsqu'elle portait son jean moulant ses rondeurs, il ne pouvait s'empêcher d'y mettre la main, quitte à recevoir une petite tape. Alors qu'elle le trouvait trop gros, lui au contraire considérait ce fessier follement bandant. Tandis qu'elle l'attendait presque sagement à quatre pattes, il considéra les deux hémisphères à raie longue puis les parcourut de sa langue, ce qui couvrit la peau de chair de poule. Elle tourna la tête vers lui et dit :- Viens ! Ne me fais pas languir.
Mains sur ses hanches, il la pénétra aisément et elle redressa sa nuque brune désormais nantie d'une queue de cheval. Il la saisit et la tira vers lui en accentuant ses coups de boutoir, ce qui l'obligea à se mordre la main pour ne pas crier. Une nouvelle fois, les peaux claquèrent. Il se pencha en avant pour lui pétrir les seins tout en roulant son petit cul. Une série de "mmmmmhhh" d'Audrey ponctua son initiative. Mais elle savait quelle serait la suite. Il aimait trop son cul pour ne pas rentrer dedans. Quand il se retira de son vagin, elle se mit instantanément sur ses coudes et se cambra. Il écarta ses fesses, y mit la langue et elle répéta à nouveau :- Viens !
6h45. Il restait un quart d'heure de baise mais tous deux avaient perdu la notion du temps. Il voulait l'enculer. Elle le voulait dans son cul. Rien d'autre pour elle ne comptait que sa bite. Le lever des enfants ? Le petit-déjeuner ? Pffff, rien à faire.
- Mets-la moi ! adjura-t-elle.
La barrière des sphincters fut franchie avec facilité. Audrey était tout le contraire d'une coincée du rectum. La chaleur de l'envahissement lui fit étouffer un cri dans le matelas. Kevin baignait dans le confort anal et sut qu'il allait une nouvelle fois gicler dans les intestins de sa dulcinée. Au moins, rien à craindre côté procréation. Audrey savourait cette sensation différente. Mais Kevin était trop excité pour se retenir. Sentant le sperme monter le long de sa hampe, il accéléra brutalement son rythme, chahuta Audrey qui mordit le drap pour ne pas hurler de plaisir. Il s'effondra sur son dos dans des soubresauts, se vidant de sa semence pendant qu'elle roulait des hanches comme pour l'essorer. Et il s'aplatit sur elle, entre ses cuisses grandes ouvertes, fiché en elle comme un lapin sur sa lapine. Après avoir haleté, elle éclata d'un petit rire :- Eh ben, quel réveil ! souffla-t-elle.
Il rit aussi et finirent par se détacher. Il était juste 7h.
​*******Elle lui laissa la priorité pour la douche car le temps pressait pour lui. Elle revêtit juste une robe de chambre pour aller réveiller ses enfants et procéder aux habituels préparatifs culinaires. Sa vie de mère de famille avait pris en quelques minutes le dessus sur celle d'amante. Elle avait juste un peu mal au cul car Kevin n'y était pas allé de main morte, si on peut dire. Elle avait même dû aller vite fait aux toilettes pendant qu'il se douchait. Mais elle ressentait dans son corps un immense bien être d'après baise. Seul le sexe lui procurait de pareilles sensations. C'est pourquoi elle était si "addict" à la bite. Kevin était le premier à le savoir. Il s'efforçait de satisfaire à sa demande. S'il ne le faisait pas, il n'était pas sûr de la conserver dans son lit. Audrey ne faisait rien pour le démentir, même si elle n'avait nullement l'intention de le quitter. C'était une manière de le maintenir "sous pression". Et ainsi de lui offrir, comme ce matin là, un réveil en fanfare qui embellirait sa journée.
Il était 6 heures ce matin là, un jour de semaine, quand Audrey se réveilla après un rêve érotique. Le songe torride l'avait mise en présence d'un ouvrier qui effectuait alors des travaux dans les locaux de sa compagnie d'assurance. Un métis qu'elle et ses collègues avaient trouvé particulièrement sexy. Il la prenait à la hussarde dans le local de la photocopieuse et au réveil, Audrey ressentit dans son bas-ventre une sensation comme s'il venait de la pénétrer réellement. Elle resta quelques minutes ébahie par ce rêve, regarda sa pendule de table de chevet, constata qu'il lui restait une heure de sommeil avant de déclencher le grand chambardement du matin : la douche express, le lever des deux enfants, la préparation de leur petit-déjeuner, le départ au boulot du compagnon à 8 heures, l'accompagnement à l'école, un ultime rangement et la course vers l'autobus qui la mènerait sur son lieu de travail.
Elle tenta de se rendormir en se touchant le sexe, étonnamment humide. Mais elle se rendit vite compte qu'elle n'y arriverait pas. A côté, son compagnon, Kevin, dormait encore, couché en chien de fusil, dos à elle, en pyjama. Il n'était pas dans l'habitude du couple de faire l'amour un matin de jour ouvrable. C'était plutôt le soir, et encore, quand la journée n'avait pas été trop fatigante pour l'un comme pour l'autre. Ils se réservaient pour le dimanche matin, pendant que les enfants regardaient les dessins animés à la télé.
Mais ce matin là, Audrey avaient vraiment mal au bas-ventre. Enfin, mal, ce n'était pas tout à fait le mot. Disons qu'elle ressentait une sorte de vide qu'il lui fallait combler. Elle considéra Kevin, glissa sa main sous sa couette qui tomba sur ses petites fesses dures, effleura les couilles sous la toile légère. Sa décision fut prise. Il restait une heure. C'était suffisant pour baiser. Elle se leva, entra dans la salle de bain, fit passer sa nuisette par-dessus sa tête, se regarda nue dans le miroir. Les pointes de ses seins larges étaient déjà dressées. Son pubis de brune, particulièrement fourni, semblait frétiller. Elle se retourna et regarda ses fesses, un peu trop charnues à son goût mais elles lui apparurent en attente de quelque chose. Elle prit un gant humide d'eau chaude, le passa sur son visage puis sur sa fente et sur son anus, brossa sa chevelure de jais tombant sur ses épaules, en fit une queue de cheval avant de se raviser et de la laisser tel que, puis se dirigea vers le lit.
6h15. Pas de temps à perdre. Audrey glissa son corps nu sous la couette et vint se coller au dos de Kevin. Pas de réaction. Sa main écarta l'élastique du pantalon de pyjama, parcourut la raie des fesses et arriva aux couilles bien pleines de Kevin. Elle s'y attarda et il se mit alors à remuer légèrement. Du pouce et de l'index, Audrey s'empara du pénis encore au repos de son compagnon et elle le sentit aussitôt durcir sous ses doigts. Elle insista et lui murmura à l'oreille :- Laisse-toi faire.
Quand il eut atteint une longueur déjà conséquente, il se retourna et lui dit :- Tu as des intentions, on dirait. Mais tu vas nous mettre en retard.
- M'en fiche. J'ai envie de baiser.
Elle n'avait pas quitté le pénis de la main. Il avait maintenant atteint un volume appréciable mais il pouvait encore faire mieux. La main fourrée dans le pyjama, elle le branlait énergiquement. Sur le dos, béat, il se laissait faire. Il n'allait quand même pas jouir sous ses doigts et la laisser en plan. Le sachant sensible à son expression, elle décida de parler cru :- J'ai envie de ta grosse bite dans ma chatte. Je suis en feu. Tu vas me défoncer. Et tu pourras même m'enculer si tu veux.
Kevin réagit au quart de tour. Il se débarrassa en un clin d'oeil de son pyjama, poussa la couette au bord du lit, alluma sa lumière de chevet et considéra sa compagne dans la splendeur de sa nudité offerte.
- Tu veux ma bite ? Tu vas l'avoir !
En général, il la préparait avec sa langue. Il adorait plonger le nez dans sa broussaille pendant que sa langue fouillait son intimité, la sentir se cabrer en crispant sa main sur sa nuque jusqu'à ce qu'elle l'implore de venir en elle. Mais un bref contact de son majeur sur sa vulve le renseigna : elle était archi mûre.
Bras tendus et nez à nez, il la pénétra illico en missionnaire et la tempête s'empara du lit. Lorsqu'après un divorce, Audrey entama une liaison avec Kevin, ce fut d'abord purement et essentiellement sexuel entre eux deux. Il n'aurait jamais imaginé que cette grande brune au visage régulier, au discours châtié, au profil classique de conseillère juridique, puisse être au plumard une véritable dévoreuse de bite. Leur premier accouplement, après un dîner de séduction, fut au-delà du torride. Non seulement elle remuait sans arrêt son cul, engloutissait sa queue dans des pipes profondes, jouait des pieds, des mains et des cuisses en virtuose, mais elle prononçait dans le sexe des mots d'une crudité qui transformait cette femme apparemment bien sous tous rapports en véritable salope. Mais ô combien excitante. Cette nuit là, Audrey était seule chez elle, ses enfants étant sous la garde de son ex. Elle put donner libre cours à la face cachée de sa personnalité en proférant des obscénités tout en se faisant prendre par tous les trous. A peine son amant avait-il giclé qu'il rechargeait devant tant d'enthousiasme. Jamais il n'avait baisé une telle femelle. Quelque temps plus tard, après maints accouplements jamais décevants, ils se mirent en couple. Et cela faisait maintenant trois ans qu'ils partageaient le même lit.
*******6h30. Après avoir été copieusement ramonée, étouffant ses cris par des "mmmmmhhhhh" pour ne pas alerter ses enfants, probablement déjà réveillés, Audrey connut un premier orgasme qui l'immobilisa. Kevin se retira prestement pour ne pas éjaculer car sa compagne l'avait fait tanguer comme sur un bateau ivre. Il avait beau y être habitué, c'était toujours profondément jouissif de baiser une telle passionaria du plumard.
Il se mit sur le dos, la queue en forme de mât, et Audrey vint s'empaler sur lui en guidant sa queue de la main vers son antre béant. Elle savait que dans cette position, il pourrait se retenir encore un bon quart d'heure. Et elle avait encore terriblement envie de baiser. A la lumière de la lampe de chevet, Kevin se régala de son attitude : seins dressés et mouvants, hanches en rotation, sourire en banane, jusqu'au nombril qui le fascinait par son agitation. Il rua un peu sous elle pour ne pas la laisser faire tout le boulot, provoquant un claquement de peaux qui accompagnèrent ses gémissements de plaisir. Elle se retourna pour lui montrer son cul et il en profita pour loger son pouce dans l'anneau qui s'ouvrit comme par enchantement. Elle se mit brièvement sur ses pieds et se pencha en avant pour regarder la bite faire son travail de bite, avant de se repositionner sur ses genoux. Lorsqu'elle lui mit la main aux couilles, il se sentit obliger de l'arrêter :- Arrête, tu vas me faire gicler !
Si elle en voulait encore, lui aussi. Elle le comprit et se mit à quatre pattes pour une autre phase de leur accouplement. Le fessier, tel était la partie du corps d'Audrey que Kevin préférait. Lorsqu'elle portait son jean moulant ses rondeurs, il ne pouvait s'empêcher d'y mettre la main, quitte à recevoir une petite tape. Alors qu'elle le trouvait trop gros, lui au contraire considérait ce fessier follement bandant. Tandis qu'elle l'attendait presque sagement à quatre pattes, il considéra les deux hémisphères à raie longue puis les parcourut de sa langue, ce qui couvrit la peau de chair de poule. Elle tourna la tête vers lui et dit :- Viens ! Ne me fais pas languir.
Mains sur ses hanches, il la pénétra aisément et elle redressa sa nuque brune désormais nantie d'une queue de cheval. Il la saisit et la tira vers lui en accentuant ses coups de boutoir, ce qui l'obligea à se mordre la main pour ne pas crier. Une nouvelle fois, les peaux claquèrent. Il se pencha en avant pour lui pétrir les seins tout en roulant son petit cul. Une série de "mmmmmhhh" d'Audrey ponctua son initiative. Mais elle savait quelle serait la suite. Il aimait trop son cul pour ne pas rentrer dedans. Quand il se retira de son vagin, elle se mit instantanément sur ses coudes et se cambra. Il écarta ses fesses, y mit la langue et elle répéta à nouveau :- Viens !
6h45. Il restait un quart d'heure de baise mais tous deux avaient perdu la notion du temps. Il voulait l'enculer. Elle le voulait dans son cul. Rien d'autre pour elle ne comptait que sa bite. Le lever des enfants ? Le petit-déjeuner ? Pffff, rien à faire.
- Mets-la moi ! adjura-t-elle.
La barrière des sphincters fut franchie avec facilité. Audrey était tout le contraire d'une coincée du rectum. La chaleur de l'envahissement lui fit étouffer un cri dans le matelas. Kevin baignait dans le confort anal et sut qu'il allait une nouvelle fois gicler dans les intestins de sa dulcinée. Au moins, rien à craindre côté procréation. Audrey savourait cette sensation différente. Mais Kevin était trop excité pour se retenir. Sentant le sperme monter le long de sa hampe, il accéléra brutalement son rythme, chahuta Audrey qui mordit le drap pour ne pas hurler de plaisir. Il s'effondra sur son dos dans des soubresauts, se vidant de sa semence pendant qu'elle roulait des hanches comme pour l'essorer. Et il s'aplatit sur elle, entre ses cuisses grandes ouvertes, fiché en elle comme un lapin sur sa lapine. Après avoir haleté, elle éclata d'un petit rire :- Eh ben, quel réveil ! souffla-t-elle.
Il rit aussi et finirent par se détacher. Il était juste 7h.
​*******Elle lui laissa la priorité pour la douche car le temps pressait pour lui. Elle revêtit juste une robe de chambre pour aller réveiller ses enfants et procéder aux habituels préparatifs culinaires. Sa vie de mère de famille avait pris en quelques minutes le dessus sur celle d'amante. Elle avait juste un peu mal au cul car Kevin n'y était pas allé de main morte, si on peut dire. Elle avait même dû aller vite fait aux toilettes pendant qu'il se douchait. Mais elle ressentait dans son corps un immense bien être d'après baise. Seul le sexe lui procurait de pareilles sensations. C'est pourquoi elle était si "addict" à la bite. Kevin était le premier à le savoir. Il s'efforçait de satisfaire à sa demande. S'il ne le faisait pas, il n'était pas sûr de la conserver dans son lit. Audrey ne faisait rien pour le démentir, même si elle n'avait nullement l'intention de le quitter. C'était une manière de le maintenir "sous pression". Et ainsi de lui offrir, comme ce matin là, un réveil en fanfare qui embellirait sa journée.
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