Elle (3/?)
Récit érotique écrit par Daticha [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Elle (3/?)
Cela va bientôt faire 5 mois qui je suis avec elle et environ 5 semaines, que je couche avec.
Elle… Elle est tout pour moi et depuis quelque temps, bien plus encore.
Nous partageons tout, depuis cette soirée où j'ai découvert mon manque. C'était comme si je l’avais redécouverte. Ce n'est pas une autre personne, mais cette expérience m’a ouvert l'esprit sur le fait que je l'aime, et que je serais prêt à tout faire pour elle.
Depuis cette nuit, nos relations en public sont plus ouvertes, nous nous cachons moins. Après mes cours, je me dépêche de la rejoindre. Il me faut la voir, j'ai besoin de la voir. Nous nous baladons après les cours, passons des heures assis sur un banc du parc, à attendre je ne sais quoi. Le soir, quand nous dormons ensemble, la plupart du temps le week-end, nous oublions tout. Il n'y a plus que nous. Et quand nous nous sommes trop rapprochés, ça dérape, comme cette fois dans mon école.
Il est 19 h 15. Je viens de sortir d'une longue journée : cours de 8 h 30 à 12 h 45 et de 13 h 30 à 19 h 15. Je me dirige vers ma voiture, la déverrouille, dépose mon sac dans le coffre et regarde autour de moi. Le parking se vide. Mes potes démarrent et disparaissent un à un dans la nuit. Quand soudain je la sens. Avant même de la voir, je sais qu'elle est là. Je me retourne et l’aperçois. Elle se tient devant moi, me regardant de ses yeux pétillants.
Elle ne voudra quand même pas le faire maintenant ! au milieu du parking où tout le monde peut nous voir !
Avant même que je ne puisse lui dire d'attendre, elle prend ma bouche et me suce la lèvre inférieure avec insistance. Plaqué contre la tôle froide, j'ouvre la portière et me glisse coté conducteur. Elle court côté passager, me fait un grand sourire et se jette à l'assaut de la fermeture de mon jean. Celle-ci lâche et je me retrouve le pantalon à mi-cuisses. À peine fini, que mon boxer a déjà rejoint mon jean. Elle arrête tout et se relève pour se coller à son siège. Je la regarde avec interrogation : pourquoi s’est-elle arrêtée ? C’est là que passe un de mes profs devant le capot de la voiture. Il me fait un signe de main, auquel je réponds timidement.
Sait-il que je suis dans ma voiture, la queue à l'air avec la main de ma copine qui me caresse la cuisse ? Aurait-il le moindre doute ? Non je n’en ai pas l’impression. Il continue vers sa voiture, à l'autre bout du parking. L’estimant assez loin, elle se remet à son œuvre. Prenant mon sexe qui pend dans sa main, elle commence à le branler lentement. Des gestes doux, qui petit à petit, me font durcir. Elle s'approche doucement, dépose un baiser sur le gland découvert, puis un second. Elle lèche ma bite, du gland jusqu'à la base, dépose des baisers un peu partout, pour finalement, la prendre en bouche. Elle joue avec sa langue et ma queue dans sa bouche chaude. Sa langue autour de mon gland, sa bouche humide trempe toute ma bite. Elle essaie de l’avaler complètement. Je me suis mis en position allongée, pouvant ainsi la voir en action. Quand elle arrive enfin à la prendre en entier, elle force encore deux trois fois dans le fond de sa gorge et s’arrête. Elle me regarde alors avec son sourire magique et me tend un préservatif.
D'accord que nous jouions un peu. Mais là, au milieu du parking où tout le mode peut nous voir ?
J'essaie de le lui faire comprendre, mais en vain.
Elle déroule le préservatif et me branle pendant vingt à trente secondes, pour bien le placer. Puis se mettant sur moi, elle s’empale dessus et joue avec. Je me prends au jeu et commence à la pilonner de par en dessous. Elle mouille comme pas possible. Ça dégouline sur mes cuisses et une partie de mon jean. Nous continuons encore une dizaine de minutes et je la sens jouir. Je me donne à fond pour les quelques minutes qu'il me reste et la fais jouir une seconde fois. Je me perds en elle et quand j'arrive à ne plus pouvoir me retenir, je jouis. Elle le sent, car elle continue encore deux trois fois, puis s’arrête et se rassoit à côté de moi. Elle enlève mon préservatif, le noue et le met dans son sac. Pendant ce temps, j'ai remis boxer et pantalon. Je mets le contact et démarre.
À peine ai-je fait dix mètres, que des feux de voiture s'allument derrière moi. La voiture de mon prof me double rapidement et continue sa route, en prenant un autre chemin que le nôtre.
Elle… Elle est tout pour moi et depuis quelque temps, bien plus encore.
Nous partageons tout, depuis cette soirée où j'ai découvert mon manque. C'était comme si je l’avais redécouverte. Ce n'est pas une autre personne, mais cette expérience m’a ouvert l'esprit sur le fait que je l'aime, et que je serais prêt à tout faire pour elle.
Depuis cette nuit, nos relations en public sont plus ouvertes, nous nous cachons moins. Après mes cours, je me dépêche de la rejoindre. Il me faut la voir, j'ai besoin de la voir. Nous nous baladons après les cours, passons des heures assis sur un banc du parc, à attendre je ne sais quoi. Le soir, quand nous dormons ensemble, la plupart du temps le week-end, nous oublions tout. Il n'y a plus que nous. Et quand nous nous sommes trop rapprochés, ça dérape, comme cette fois dans mon école.
Il est 19 h 15. Je viens de sortir d'une longue journée : cours de 8 h 30 à 12 h 45 et de 13 h 30 à 19 h 15. Je me dirige vers ma voiture, la déverrouille, dépose mon sac dans le coffre et regarde autour de moi. Le parking se vide. Mes potes démarrent et disparaissent un à un dans la nuit. Quand soudain je la sens. Avant même de la voir, je sais qu'elle est là. Je me retourne et l’aperçois. Elle se tient devant moi, me regardant de ses yeux pétillants.
Elle ne voudra quand même pas le faire maintenant ! au milieu du parking où tout le monde peut nous voir !
Avant même que je ne puisse lui dire d'attendre, elle prend ma bouche et me suce la lèvre inférieure avec insistance. Plaqué contre la tôle froide, j'ouvre la portière et me glisse coté conducteur. Elle court côté passager, me fait un grand sourire et se jette à l'assaut de la fermeture de mon jean. Celle-ci lâche et je me retrouve le pantalon à mi-cuisses. À peine fini, que mon boxer a déjà rejoint mon jean. Elle arrête tout et se relève pour se coller à son siège. Je la regarde avec interrogation : pourquoi s’est-elle arrêtée ? C’est là que passe un de mes profs devant le capot de la voiture. Il me fait un signe de main, auquel je réponds timidement.
Sait-il que je suis dans ma voiture, la queue à l'air avec la main de ma copine qui me caresse la cuisse ? Aurait-il le moindre doute ? Non je n’en ai pas l’impression. Il continue vers sa voiture, à l'autre bout du parking. L’estimant assez loin, elle se remet à son œuvre. Prenant mon sexe qui pend dans sa main, elle commence à le branler lentement. Des gestes doux, qui petit à petit, me font durcir. Elle s'approche doucement, dépose un baiser sur le gland découvert, puis un second. Elle lèche ma bite, du gland jusqu'à la base, dépose des baisers un peu partout, pour finalement, la prendre en bouche. Elle joue avec sa langue et ma queue dans sa bouche chaude. Sa langue autour de mon gland, sa bouche humide trempe toute ma bite. Elle essaie de l’avaler complètement. Je me suis mis en position allongée, pouvant ainsi la voir en action. Quand elle arrive enfin à la prendre en entier, elle force encore deux trois fois dans le fond de sa gorge et s’arrête. Elle me regarde alors avec son sourire magique et me tend un préservatif.
D'accord que nous jouions un peu. Mais là, au milieu du parking où tout le mode peut nous voir ?
J'essaie de le lui faire comprendre, mais en vain.
Elle déroule le préservatif et me branle pendant vingt à trente secondes, pour bien le placer. Puis se mettant sur moi, elle s’empale dessus et joue avec. Je me prends au jeu et commence à la pilonner de par en dessous. Elle mouille comme pas possible. Ça dégouline sur mes cuisses et une partie de mon jean. Nous continuons encore une dizaine de minutes et je la sens jouir. Je me donne à fond pour les quelques minutes qu'il me reste et la fais jouir une seconde fois. Je me perds en elle et quand j'arrive à ne plus pouvoir me retenir, je jouis. Elle le sent, car elle continue encore deux trois fois, puis s’arrête et se rassoit à côté de moi. Elle enlève mon préservatif, le noue et le met dans son sac. Pendant ce temps, j'ai remis boxer et pantalon. Je mets le contact et démarre.
À peine ai-je fait dix mètres, que des feux de voiture s'allument derrière moi. La voiture de mon prof me double rapidement et continue sa route, en prenant un autre chemin que le nôtre.
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